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TENNIS
Toutes les mêmes, cruelles et si fragiles
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28. juin 2011, 22h58
Christian Despont | Le Matin
Des huit joueuses opposées hier en quarts de finale, six étaient originaires du bloc de l’Est. Jeu identique pour des personnalités hermétiques.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/SPORTTENNIS_0.jpg © DR
Wimbledon
Le tennis féminin est une industrie du spectacle qui contrôle tout, sauf l’essentiel: le choix des actrices. A Wimbledon, elles s’appellent Cibulkova, Kvitova, Pironkova. Et la nave va: faute de stars originales, ce générique peut-il séduire une clientèle plutôt distante, culturellement et géographiquement, au-delà du réflexe pavlovien? En d’autres termes, le quart de finale entre Tamira Paszek et Victoria Azarenka, hier, a-t-il passionné les familles de l’Arkansas et du Poitou-Charentes? «Les audiences sont excellentes», insiste la WTA.
Avant la chute du mur, trente des cinquante meilleures joueuses du monde étaient américaines, tandis que six étaient issues du monolithe communiste. Avant le prochain recensement de la WTA, lundi, seuls trois membres du top 50 proviennent des Etats-Unis, tandis que vingt-neuf sont originaires du bloc de l’Est.
Dominika Cibulkova, contrite, admet qu’il soit difficile de mettre un visage sur un nom: «A la sortie des courts d’entraînements, les chasseurs d’autographes nous demandent parfois d’épeler notre patronyme, ou de l’inscrire au bas de la feuille.» Fondamentalement, Radwanska, Azarenka et Pavlyuchenkova seraient mieux valorisées sur une grille de Scrabble que dans ce milieu où elles ne marquent pas de points. «Inconnues et destinées à le rester», dit un brûlot prophétique du Sun.
«Le tennis s’est toujours nourri de rivalités, il ne peut se suffire de querelles impersonnelles, analyse un coach expérimenté, actif sur le circuit WTA. Aucune joueuse n’est capable d’installer son emprise dans la durée. Ces filles ont abandonné leur enfance, elles ont endossé tant de charges de travail que, une fois au sommet, libérées du carcan parental, elles n’ont plus envie de travailler, comme ce fut le cas pour Safina et Ivanovic. Ou alors elles finissent en dépression, comme Vaidisova.»
Clones tristes
Zvonareva, Kutznetsova, Sharapova. Ainsi va la procession des clones tristes, chichement vêtues et sommairement équipées, robes légères et défaites amers. Le jeu est monolithique, basique, identique. Cursus classiques pour des personnalités hermétiques. Les pièces maîtresses sont interchangeables et formatées, pugnacité féminine garantie d’usine, championnes made in Bradenton, Floride, où la brusquerie schématique est reproduite en chaîne par une demi-douzaine d’académies.
Les familles de l’Est y affluent dans des équipées pionnières, avec leurs revanches sociales en bandoulière, leur progéniture sous le bras. Qualitativement, le tennis féminin en tire une forte densité dans les strates inférieures de son classement, et une dilution équivalente, immaîtrisable, à son plus haut niveau, sous le double effet des organismes fragiles et des esprits mal préparés. Ces joueuses n’ont pas de plan B, pas de variantes, pas de solutions de rechange. Uniformes et monomaniaques. Toutes les mêmes, cruelles et tellement fragiles.
Dans ce tennis de type utilitaire, d’obédience industrielle, les esthètes guettent la réhabilitation du geste, l’insolente incursion de la jugeote dans la véhémence. «Les joueuses de l’Est sont très précoces au plan athlétique, où elles ont imposé de nouveaux paradigmes. Elles sont habitées par ce sentiment d’urgence, de gain immédiat, lié à une précarité antérieure», nous expliquait Phil de Picciotto, patron de l’agence Octagon, en 2008.
Soif de pouvoir
La soif de pouvoir avant le goût du risque, l’aliénation à un système avant la lecture et la libre interprétation du jeu. Sorties de ce dogme prosaïque, les gagnantes n’ont rien à dire, mais elles le disent volontiers: «J’ai bien servi, j’ai bien joué, puis je suis devenue nerveuse mais, heureusement, j’ai fini par gagner», synthétise la gauchère Petra Kvitova, vainqueur de Tsvetana Pirenkova.
Pour joindre le geste à la parole, elles crient: 108 décibels pour Maria Sharapova, 95 pour Victoria Azarenka. Wimbledon qui, cette semaine, a signifié sa réprobation des nuisances sonores, continue de leur prêter une oreille distraite. Hier, passé l’épuisement de Marion Bartoli, battue par l’Allemande d’origine polonaise Sabine Lisicki, les quarts de finale n’ont éveillé qu’un intérêt subsidiaire, sinon un rejet idéologique, stimulé par le couinement obscène des demoiselles en lutte. Les demi-finales, jeudi, opposeront quatre filles de l’est.
28. juin 2011, 22h14
Christian Maillard | Le Matin
Un entraîneur, deux athlètes et un organisateur s’indignent: pour eux, la Française ne devrait pas être au départ du 1500 m.
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/athle.jpg (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/dehiba-n%E2%80%99est-pas-bienvenue-athletissima#) L’ancien athlète Pascal Thurnherr, l’entraîneur Laurent Meuwly, les athlètes Lea Sprunger et Clelia Reuse (de g. à dr.) sont tous opposés à la venue de Hind Dehiba, demain soir à la Pontaise. © Yvain Genevay
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/athle2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/dehiba-n%E2%80%99est-pas-bienvenue-athletissima#) Hind Dehiba © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/athle.jpg (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/dehiba-n%E2%80%99est-pas-bienvenue-athletissima#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/athle2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/dehiba-n%E2%80%99est-pas-bienvenue-athletissima#)
Athletissima Lausanne
Son mari, Fodil, a parlé de discrimination, de mesure illégale. Son avocat a rajouté: non-respect des lois de la concurrence et le droit de la personnalité de l’athlète qui veut exercer son métier. «Même les criminels qui sortent de prison ont le droit de travailler», a déclaré d’ailleurs l’époux dans notre dernière édition. Hind Dehiba, 32 ans, qui avait été suspendue en 2007 deux ans pour usage d’EPO, n’était pas la bienvenue à Lausanne. Mais un juge vaudois du Tribunal cantonal a ordonné Jacky Delapierre à l’inscrire, via une mesure provisionnelle, dans l’épreuve du 1500 m de demain soir. Du coup, le boss d’Athletissima «marche sur des œufs» en attendant la séance qu’il a fixée avec les organisateurs des autres meetings et d’autres personnes jeudi après-midi.
Dopés bannis à vie?
Alors que des jeunes écoliers se sont entraînés hier soir à la Pontaise avec des stars du meeting (Hind Dehiba n’était pas présente), plusieurs spécialistes du milieu se sont indignés contre la décision de la justice. Ex-sprinter suisse, aujourd’hui journaliste à la Radio Suisse Romande et organisateur de l’AtletiCAGenève, est abasourdi. «C’est comme si un acteur saisissait la justice pour imposer un metteur en scène pour le faire jouer dans son film. Ce n’est tout simplement pas normal. Si j’étais à la place de Jacky Delapierre je demanderai à la justice d’organiser le meeting, de choisir eux-mêmes les athlètes.» Entraîneur de Lea Sprunger et de Clelia Reuse, qui disputeront un 100 m et le relais 4 x 100 m à Lausanne, Laurent Meuwly ne comprend pas «tout à fait» la raison pour laquelle on peut obliger une athlète à prendre le départ. «Quel est le point juridique qui peut forcer la porte d’un meeting? Sur 100 m, il y a 8 couloirs, il y en a qui courent plus vite que d’autres.» Lea Sprunger se met, elle, à la place de Jacky Delapierre: «Dans un championnat d’Europe ou des Mondiaux, on pourrait se poser la question, mais là, j’estime que l’organisateur d’un meeting a le droit de refuser une athlète qui a été contrôlée positive. De saisir la justice pour cela, c’est moche.» Et Pascal Thurnherr de revenir à la charge: «Toujours à la place de Jacky Delapierre, je l’inscrirais dans une série B, avec des jeunes à ses côtés. De toute manière son temps de référence n’est que le 60e de l’année.»
Dwain Chambers et Justin Gatlin vont-ils désormais lui emboîter le pas? «Comme Bosman, cela pourrait en effet ouvrir des portes et faire jurisprudence, craint Laurent Meuwly, qui propose à la Fédération internationale de revoir son règlement: «Qu’on interdise simplement les cas positifs de revenir à la compétition.» Comme le pense Clélia Reuse: «Les dopés devraient être bannis à vie.» A commencer par Hind Dehiba, qui n’est vraiment pas la bienvenue à Lausanne.
Rugby: le début d'une nouvelle ère pour le Stade Français
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AFP - 28. juin 2011, 22h19
Le sauvetage du Stade Français, autorisé lundi à jouer en Top 14 la saison prochaine grâce à de nouveaux investisseurs, marque le début d'une nouvelle ère pour le club parisien qui doit à présent préparer l'avenir au plan sportif, quatre ans après son dernier titre en 2007.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309292319310-1-0.jpg Des joueurs du Stade Français à Cardiff contre les Harlequins, le 20 mai 2011 © AFP/Archives
. Un changement d'ère. Président depuis 1992, artisan de la remontée au sommet du club parisien cinq fois champion de France et deux fois finaliste de la Coupe d'Europe depuis son retour dans l'élite en 1997-98, Max Guazzini passe la main. Le nouvel homme fort, Thomas Savare, directeur général et fils du fondateur de la société Oberthur Technologies, va prendre la présidence du club et proposer le poste de président d'honneur à Max Guazzini qui va devenir actionnaire minoritaire.
Lundi, la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG) a accordé 48 heures au Stade Français pour accomplir les formalités juridiques liées aux versements effectués et aux engagements pris par le nouveau tour de table. Restent à préciser la composition du nouvel actionnariat, qui devra être entérinée en assemblée générale, et les apports respectifs des différents investisseurs (environ 10 millions d'euros au total selon des sources concordantes): Thomas Savare, Michel Glize, fondateur de l'Atelier de Sèvres et déjà actionnaire du club, et Jacques Veyrat, ex-président du groupe Louis-Dreyfus. Et également le scénario retenu pour remplacer la régie sportive Sportys --par ailleurs actionnaire minoritaire-, en redressement judiciaire et dont le défaut de paiement depuis décembre a précipité la chute du club.
Bernard Laporte est vraisemblablement le grand absent de la nouvelle direction du club. L'ancien entraîneur du Stade Français puis du XV de France et ex-secrétaire d'Etat aux Sports avait créé une société avec la mystérieuse fondation canadienne FACEM censée apporter 12 millions d'euros au club et à qui il avait versé plus de 180.000 euros de frais, avant de porter plainte pour escroquerie. Il s'agit du second retour raté en quelques mois de Laporte dans le Top 14 après son éphémère aventure à Bayonne.
. Avec quels joueurs ? L'incertitude règnait sur le sort de la vingtaine de recrutes déjà annoncées par le club parisien sur la base de l'ancien projet de reprise, dont les Néo-Zélandais Byron Kelleher et Aled de Malmanche, l'Australien David Lyons, l'Argentin Felipe Contepomi ou encore l'Anglais Paul Sackey et les Français Jérôme Fillol et Olivier Milloud. "Ces contrats seront honorés. A priori la saison des recrutements est terminée. C'est autour de cette équipe que va se construire l'avenir du Stade Français la saison prochaine", a déclaré Thomas Savare mardi sur BFMTV. Le Stade Français pourrait cependant être tenté de se séparer de quelques éléments pour alléger la masse salariale.
En attendant, l'entraînement a repris lundi, dirigé par Michael Cheika, directeur sportif depuis août 2010. Sans la plupart des internationaux ayant joué en juin avec les Barbarians Britanniques (Parisse, Bastareaud, Sackey) et français (Dupuy, Rabadan, Attoub), qui bénéficient encore d'une semaine de vacances. La nouvelle direction aura également à gérer le cas de Mathieu Bastareaud que le sauvetage du Stade Français, selon une source proche du joueur, n'a pas dissuadé de vouloir rejoindre Toulon. "Son cas n'est pas réglé, je n'ai pas encore rencontré M. Bastareaud. laissez-moi un peu de temps pour en décider", a indiqué mardi M. Savare.
Tiger Woods ne donne toujours pas de date pour son retour
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© getty
Tiger Woods, l'ancien N.1 mondial blessé depuis avril, ne donne toujours aucune date pour son retour à la compétition et demeure donc incertain pour le British Open qui débute dans deux semaines (14 au 17 juillet).
"Evidemment je suis déçu, je ne joue pas, a déclaré Woods lors d'une conférence de presse en marge du tournoi de Newton Square (AT&T National) qu'il ne dispute pas. J'aimerais être là pour jouer mais je ne suis pas tout à fait prêt. Mais ça progresse". "Je retiens les leçons du passé. Cette fois, je reviendrai quand je serai à 100%. Je ne sais pas quand ça sera", a-t-il poursuivi.
Sa participation au British Open reste donc incertaine. Woods, qui soigne un problème au genou gauche (déjà opéré quatre fois dans sa carrière) et un autre au tendon d'Achille gauche, n'a plus joué un tour entier en tournoi depuis le Masters d'Augusta début avril.
Vainqueur de 14 tournois du Grand Chelem, il n'a pas gagné depuis novembre 2009. L'Américain a salué la victoire à l'US Open du grand espoir Rory McIlroy, tout en espérant bientôt montrer qu'il peut rivaliser avec l'Irlandais du Nord, âgé de 22 ans, et la nouvelle génération.
"J'ai 35 ans. Je n'ai pas 65 ans. J'ai encore quelques années devant moi, a souligné Woods. Je sens que mes meilleures années sont devant moi". "Ma motivation est de revenir pour jouer de la façon dont je sais que je peux jouer et me sentir bien à nouveau", a ajouté Woods, sans fixer de date pour son retour. (afp/chds)
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Beaucoup s’interrogent sur l’anxiété qui, depuis plusieurs semaines, accompagne l’Espagnol dans sa conservation du pouvoir, et la gravité réelle des blessures qui, dans le même temps, le distraient de cette pensée obsédante.
Puis, il y eut ce débat sur les capacités de Juan Martin del Potro à exceller sur gazon
Enfin, il y eut cette question inoffensive autour des gauchers, et les avantages que lui-même pouvait tirer de cette singularité C'est amusant de consater que les journalistes utilisent toujours et encore les mêmes vielles recettes.
Ici on s'interroge sur l'anxiété, on parle de capacités sur gazon, et d'avantages du gaucher, ailleurs on parle de dépression, de capacités en bagarre et d'avantages du poids...;)
Font bien un peu chier les journalistes:diable:
Tiger Woods ne donne toujours pas de date pour son retour
Il fait comme il veut, tout le monde sait qu'il a le choix dans la date;):)
Wimbledon
Un coriace Tsonga au menu de Federer
28.06.2011 15:59 - mise à jour: 21:25 http://www.tsr.ch/2011/06/28/15/29/3234731.image?w=480&h=270 Federer n'aura pas la tâche forcément facile face à Tsonga. [Anja Niedringhaus - Keystone]
Roger Federer (no 3) détient les clés du quart de finale qu'il disputera mercredi (14h) à Wimbledon face à Jo-Wilfried Tsonga (no 12). Vainqueur de quatre de leurs cinq affrontements précédents, le Bâlois partira avec les faveurs de la cote.
Le sextuple lauréat du tournoi est cependant conscient de la menace que pourrait représenter le Français, qu'il s'attendait d'ailleurs à retrouver à ce niveau.
Vengeance
Convaincant jusqu'ici dans ce tournoi malgré la perte du premier set lundi face à Mikhail Youzhny (no 18), Roger Federer saura certainement encore élever son niveau de jeu et de concentration face à un Jo-Wilfried Tsonga en pleine confiance. Et il voudra tout faire pour "venger" la défaite subie l'an passé face à Tomas Berdych en quart de finale à Londres.
Appuyer là où ça fait mal Roger Federer sait exploiter au maximum les limites de Jo-Wilfried Tsonga. Sa faculté à varier les angles et les effets, http://www.tsr.ch/2011/06/28/16/33/3234821.image?w=230&h=165 Avant sa défaite de l'an dernier, "RF" restait sur sept finales consécutives sur le gazon londonien. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/06/28/16/33/3234821.image?w=418&h=300)sa capacité à accélérer la cadence pratiquement quand bon lui semble font particulièrement mal au puissant Manceau (1m88, 91 kg), dont la vitesse de déplacement n'est évidemment pas le point fort.
Recette gagnante
Le Bâlois affiche en outre une efficacité redoutable sur son engagement depuis le début de la quinzaine, avec 51 aces réussis dans ses quatre premiers matches et surtout 84% de points remportés derrière sa première balle. Or, le retour de service n'est pas non plus l'un des points forts de Jo-Wilfried Tsonga.
A l'exception du couac de Montréal 2009 où il s'était incliné 7-6 1-6 7-6 après avoir mené 5-1 dans le dernier set -, il a toujours su appliquer la recette gagnante face au Français de 26 ans. Il l'avait même écoeuré lors de leur unique affrontement en Grand Chelem, s'imposant 6-2 6-3 6-2 en demi-finale de l'Open d'Australie 2010 avant de conquérir le titre.
Tsonga au top
Jo-Wilfried Tsonga est proche du niveau de jeu qui lui avait permis d'atteindre la finale de l'Open d'Australie 2008 en pratiquant un tennis d'attaque flamboyant. Il a d'ailleurs brillé sur le gazon du Queen's: il s'offrait le scalp d'un Rafael Nadal certes fatigué par les efforts consentis pour conquérir un sixième titre à Roland Garros, avant de manquer de peu le titre. Le Vaudois d'adoption a en effet mené 6-3 5-5 15/40 sur le service d'Andy Murray en finale avant de s'incliner 3-6 7-6 6-4.
"Jo-Wilfried pratiquait un autre sport que moi dans les deux premiers sets", avait tenu à relever sur le court son bourreau écossais. Roger Federer est également prêt à retrousser les manches et à laisser passer l'orage le cas échéant, comme ce fut d'ailleurs le cas face à Mikhail Youzhny. Il sait que Jo-Wilfried Tsonga est capable d'enchaîner les aces et les coups gagnants, mais a souvent prouvé que son jeu de défense pouvait être à la hauteur de son jeu d'attaque.
agences/lper
;)Vais pas rater ce match, va il y avoir de la bauche....:content::content::content::amoureux:
Wimbledon
Tsonga déboulonne le maître Federer en quarts!
29 juin 2011 17:23 http://www.tsr.ch/2011/06/29/17/19/3237701.image?w=480&h=270 Le ciel est tombé sur la tête de Federer. [Toby Melville - Reuters]
2011 ressemble à 2010 pour Roger Federer à Wimbledon. Eliminé en quarts par Tomas Berdych l'an passé, le Bâlois a cette fois chuté devant Jo-Wilfried Tsonga. Vainqueur des 2 premiers sets, 6-3, 7-6, Federer a ensuite craqué devant la puissance du Français.
Roger Federer a été éliminé mercredi en quarts de finale de Wimbledon par le Français Jo-Wilfried Tsonga en cinq sets 3-6, 6-7 (3/7), 6-4, 6-4, 6-4. Tsonga, tête de série no12, affrontera en demi-finale le Serbe Novak Djokovic.
C'est la deuxième année d'affilée que Federer, sextuple vainqueur du tournoi, est battu en quart de finale. L'an passé, il s'était incliné face au futur finaliste, le Tchèque Tomas Berdych.
RF met la gomme avant de s'effacer
Le Suisse semblait pourtant se diriger vers une tranquille victoire après avoir dominé les deux premiers sets en commettant un minimum d'erreurs. Mais Tsonga a considérablement haussé son niveau de jeu. Impérial au service (une seule balle de break concédée), il a multiplié les coups gagnants du fond du court (31) et à la volée (37).
Federer (29 ans) n'avait jamais été battu dans un tournoi du Grand Chelem après avoir mené deux sets à zéro. Il n'avait plus perdu contre un Français dans un des quatre "majeurs" depuis plus de dix ans et sa défaite face à Arnaud Clément à l'Open d'Australie 2001.
Une première pour "Jo-Wi"
Tsonga (26 ans) jouera sa première demi-finale à Wimbledon et sa troisième dans un tournoi majeur. Il s'était révélé en atteignant la finale de l'Open d'Australie en 2008. Il avait cette année-là joué un match de rêve en demi-finale contre Rafael Nadal, avant de perdre contre Djokovic pour le titre. Le Français, 19e mondial, avait disputé une autre demie à Melbourne en 2010, perdue contre... Federer.
Djokovic bousculé par le jeune Tomic
Novak Djokovic a été bousculé par le jeune Australien Bernard Tomic, 18 ans, avant de se qualifier pour les demi-finales de Wimbledon en quatre manches (6-2 3-6 6-3 7-5). Tranquille en début de match, le Serbe a eu ensuite un gros passage à vide qui a permis à Tomic, 158e mondial, d'égaliser puis de mener 3 à 1 dans le troisième set.
Djokovic, tête de série no2, a alors réagi pour aligner sept jeux de suite, mais son jeune adversaire n'avait pas dit son dernier mot. Il a réussi à recoller, avant de concéder le break décisif à 5-5. "C'était un match très serré. J'ai été bon au premier set, mais il a suffi d'un mauvais jeu de service pour le remettre dans le match. Après il a été pendant un bon moment le meilleur sur le terrain", a reconnu le vainqueur.
Troisième demie pour "Nole"
"Tomic est imprévisible. Etant très jeune, il n'avait rien à perdre. Il frappait beaucoup de coups gagnants et ne faisait pas beaucoup de fautes du fond. J'ai essayé de changer le rythme mais ça a été dur", a ajouté le grand dominateur du début de saison. C'est la cinquième fois d'affilée que le no2 mondial atteint le dernier carré d'un Grand Chelem. Il y a un mois, il s'était incliné en demi-finale de Roland-Garros face à Federer. Il s'agissait de sa première défaite de l'année.
Djokovic disputera sa troisième demi-finale à Londres, ayant perdu les deux premières en 2007 et 2010. Il est assuré de devenir no1 mondial s'il se qualifie pour la finale ou si Rafael Nadal ne conserve pas son titre. Tomic, Australien d'origine bosno-croate, qui s'entraîne souvent avec Djokovic, était le plus jeune quart de finaliste à Wimbledon depuis 25 ans.
Sorti des qualifications, Tomic en était à son huitième match du tournoi. Il avait notamment éliminé le no5 mondial, le Suédois Robin Soderling.
;)Si Tsonga joue de même contre Djokovic vendredi il est en finale, superbe match Bravo Tsonga,,,,,:content::fou:
Wimbledon: Djokovic qualifié pour les demi-finales
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AFP - 29. juin 2011, 17h18
Novak Djokovic a été bousculé par le jeune Australien Bernard Tomic, 18 ans, avant de se qualifier pour les demi-finales de Wimbledon en quatre manches, 6-2, 3-6, 6-3, 7-5.
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309360503836-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/wimbledon-djokovic-qualifie-pour-les-demi-finales#) Le Serbe Novak Djokovic face à l'Australien Bernard Tomic, le 29 juin 2011 à Wimbledon AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309360414860-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/wimbledon-djokovic-qualifie-pour-les-demi-finales#) Le Serbe Novak Djokovic face à l'Australien Bernard Tomic à Wimbledon, le 29 juin 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1309360503836-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/wimbledon-djokovic-qualifie-pour-les-demi-finales#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1309360414860-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/wimbledon-djokovic-qualifie-pour-les-demi-finales#)
Tranquille en début de match, le Serbe a eu ensuite un gros passage à vide qui a permis à Tomic, 158e mondial, d'égaliser puis de mener 3 à 1 dans le troisième set.
Djokovic, tête de série N.2, a alors réagi pour aligner sept jeux de suite, mais son jeune adversaire n'avait pas dit son dernier mot. Il a réussi à recoller, avant de concéder le break décisif à 5-5.
"C'était un match très serré. J'ai été bon au premier set, mais il a suffi d'un mauvais jeu de service pour le remettre dans le match. Après il a été pendant un bon moment le meilleur sur le terrain", a reconnu le vainqueur.
"Tomic est imprévisible. Etant très jeune, il n'avait rien à perdre. Il frappait beaucoup de coups gagnants et ne faisait pas beaucoup de fautes du fond. J'ai essayé de changer le rythme mais ça a été dur", a ajouté le grand dominateur du début de saison.
C'est la cinquième fois d'affilée que le N.2 mondial atteint le dernier carré d'un Grand Chelem. Il y a un mois, il s'était incliné en demi-finale de Roland-Garros face à Federer. Il s'agissait de sa première défaite de l'année.
Djokovic disputera sa troisième demi-finale à Londres, ayant perdu les deux premières en 2007 et 2010. Il est assuré de devenir N.1 mondial s'il se qualifie pour la finale ou si Rafael Nadal ne conserve pas son titre.
Tomic, Australien d'origine bosno-croate, qui s'entraîne souvent avec Djokovic, était le plus jeune quart de finaliste à Wimbledon depuis 25 ans.
Sorti des qualifications, il en était à son huitième match du tournoi. Il avait notamment éliminé le N.5 mondial, le Suédois Robin Soderling.
tennis
Roger Federer: «Tsonga a fait un grand match»
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29. juin 2011, 20h03
Roger Federer (no 3) avait peu de regrets après sa défaite (3-6 6-7 6-4 6-4 6-4) subie face à Jo-Wilfried Tsonga (no 12) en quart de finale de Wimbledon. Il reconnaissait que son adversaire avait livré «un grand match».
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fed2.JPG © Keystone
Que vous inspire cette défaite après avoir mené deux sets à zéro?
«C’est difficile et frustrant, mais à la limite, je préfère perdre comme ça, en ayant bien joué moi-même. Jo a réussi une performance spéciale pour me battre. Il a vraiment joué super bien. Il a fait un grand match de bout en bout. Il ne m’a pas donné d’ouverture. Je ne me rappelle pas d’avoir eu une seule balle de break après celle que j’ai convertie au deuxième jeu. C’était un grand match je trouve. Il me rappelle un peu ma finale contre Andy Roddick (gagnée 16-14 au cinquième set en 2009) où ça s’était également joué sur des détails.»
Avez-vous été surpris par la puissance de Tsonga?
«Je l’avais déjà rencontré, ce n’est pas comme s’il avait 16 ans et que je le découvrais. Je savais à quoi m’attendre, il est capable de grandes choses et de moins bonnes par moments aussi. Aujourd’hui (réd: mercredi), il a sorti un grand match. Il a réussi quelques jeux en retour exceptionnels et a très bien servi. A chaque fois que ça devenait important, il a sorti le grand jeu. Il a réussi les coups qu’il fallait aux moments qu’il fallait. C’est dur pour moi, mais il a vraiment fait du bon boulot.»
A quel point êtes vous déçu après cette défaite?
«C’est dur mais cette défaite est plus facile à digérer que celle de l’année dernière (face à Tomas Berdych, également en quart de finale). J’ai presque l’impression de pas avoir perdu tellement je jouais bien moi-même. Je n’ai rien à me reprocher. Peut-être ça fera plus mal dans trois jours, mais j’en doute. Je me sens bien mieux qu’il y a un an, c’est très encourageant et cette défaite ne va rien y changer. Je pense que j’avais le jeu pour gagner le tournoi et je vais continuer à travailler plus dur que jamais pour être prêt pour la Coupe Davis (8-10 juillet à Berne face au Portugal) et l’été américain.»
Tsonga: "Comme dans un rêve"
Jo-Wilfried Tsonga a joué "comme dans un rêve" mercredi pour renverser, malgré la perte des deux premiers sets, le Suisse Roger Federer et atteindre les demi-finales de Wimbledon grâce à une victoire 3-6, 6-7, 6-4, 6-4, 6-4 dans le temple du tennis.
Q: Que ressentez-vous après cette victoire?
R: "Battre Roger Federer en quarts de finale de Wimbledon, c’est spécial. En fait, c’est juste fantastique. C’est comme battre Nadal à Roland-Garros. Pour moi ça restera comme l’un des meilleurs souvenirs de ma carrière".
Q: Comment avez-vous vécu ce match?
R: "Je me suis senti bien sur le court, j’étais léger, j’étais rapide. C’était parfait, c’était comme dans un rêve. Même mené deux sets à zéro, je me disais: +tu joues Federer, le stade est plein et tu es loin d’être ridicule+. Je savourais. Quand j’allais m’asseoir aux changements de côté, je me disais que c’était fabuleux d’être là".
Q: Et puis vous renversez la situation...
R: "A deux sets zéro je me disais que je n’étais pas très bien embarqué. Mais je me suis accroché et au fur et à mesure, à force de persistance, j’ai repris le dessus. Je n’ai jamais vraiment douté car je savais qu’il n’avait eu qu’une seule balle de break contre moi, tout au début du match. Je me disais qu’il allait y penser aussi. Alors j’ai continué à frapper très fort pour l’empêcher de mettre balle où il voulait. Et ça rentrait".
Q: Vous y croyiez avant le match?
R: "C’est marrant. Hier (mardi) soir j’ai discuté avec mon frère sur la terrasse et je lui disais: +t’imagines si demain je gagne contre Federer?+ Aujourd’hui je suis rentré sur le terrain avec la sensation que j’étais capable de le faire et ça ne m’a pas lâché jusqu’à la fin".
Q: Peut-on comparer cette victoire avec celle sur Nadal en demi-finales de l’Open d’Australie en 2008?
R: "Pour moi celle-ci est encore plus belle car contre "Rafa" il n’y avait pas eu de match alors que là ça a été compliqué, dur, en cinq sets. Gagner en cinq sets en quarts de finale de Wimbledon contre Federer, je ne peux pas rêver meilleur scénario".
Q: Vous n’avez jamais été rattrapé par la nervosité?
R: "J’ai beaucoup progressé sur le plan mental, je suis plus fort qu’avant. J’ai réussi à rester concentré tout le temps, à rester calme".
Q: Avez vous déjà servi aussi bien dans un match?
R: "Sur cinq sets non, jamais. J’ai servi de manière incroyable, comme au match précédent, je suis en confiance sur ce coup et j’espère que ça va continuer".
Q: Comment allez-vous préparer la demi-finale?
R: " De la même façon, en étant relax. Je suis arrivé jusqu’ici en étant tranquille et je ne vais pas me prendre la tête aujourd’hui. Je vais profiter ce soir et demain, transpirer un peu à l’entraînement, être rigoureux sur la récupération. Pour le reste je vais rester cool".
Q: Etes-vous d’acccord si l’on vous dit que le gazon est la moins bonne surface de Djokovic?
R: "Ouais mais ça veut rien dire, c’est comme les statistiques et les pronostics, c’est fait pour changer. S’il gagne Wimbledon demain on dira que c’est un spécialiste du gazon. Il partira forcément favori de notre match car c’est le N.2 mondial et parce qu’il a gagné énormément ces derniers temps. Mais je suis déterminé à aller plus loin. J’en veux plus".
:content:Bravo Fed...........
David Douillet, un novice en politique, des tatamis au gouvernement
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/132514"] (http://www.lematin.ch/printmail/132514)
AFP - 29. juin 2011, 17h47
L'ex-judoka David Douillet, 42 ans, nommé mercredi secrétaire d'Etat chargé des Français de l'étranger, est un novice en politique qui caressait tout haut l'envie d'être ministre depuis son arrivée sur les bancs de l'Assemblée comme député UMP des Yvelines en octobre 2009.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309362316795-1-0.jpg L'ex-judoka David Douillet, le 21 octobre 2009 à Paris © AFP/Archives
A peine un mois après avoir remporté la législative partielle de Poissy, il assure tout de go que si Nicolas Sarkozy lui propose le portefeuille des Sports, il accepte. Il se montre ensuite plus réservé, notamment quand son nom ressurgit avec insistance lors du remaniement de l'automne, et se borne alors à répéter qu'il n'a "rien demandé".
"Il est en train d'apprendre les codes", dit alors de lui un autre champion passé à la politique, Jean-François Lamour, député de Paris.
Avant d'être chargé des Français de l'étranger, un nouveau poste au sein du gouvernement, le sport restait pour David Douillet le domaine de prédilection, y compris à l'Assemblée, même s'il affirmait s'intéresser aussi "à l'industrie, l'environnement, la Défense..."
Reste qu'il se montre assez discret dans l'hémicycle, intervenant assez peu en séance dans ce travail de député qu'il dit "adorer", et ne fréquentant guère la presse dans la salle des Quatre Colonnes.
Les mauvaises langues jugent que le double médaillé d'or olympique (Atlanta 1996 et Sidney 2000) "est tombé un peu dans tous les pièges" et "s'est plutôt fait remarquer pour ses gaffes". Pour être ministre, "il faudrait qu'il soit bien entouré...", pronostiquait récemment un observateur.
Rama Yade, alors titulaire du portefeuille des Sports, l'avait raillé d'un cinglant "ceinture noire du ridicule", lorsqu'il critiquait sa gestion du psychodrame du Mondial de foot.
Très apprécié des Français et des médias, David Douillet, quadruple champion du monde devenu au fil des titres une légende du judo, démultiplie les activités après son retrait des tatamis en 2000 : entraîneur, consultant pour la télévision, homme d'affaires... puis se rapproche de la politique.
La fin des années 90 est également marquée par les difficultés financières de l'entreprise Travelstore, dont il est actionnaire. Le sportif, mis en examen en mai 2000 dans le cadre de la faillite de cette société, bénéficie d'un amendement à la loi d'amnistie de 2002, qui suscite la polémique.
Connu pour sa proximité avec Bernadette Chirac notamment au travers de l'opération Pièces Jaunes, ce natif de Rouen, marié et père de trois enfants, devient secrétaire national en charge des sports de l'UMP en mars 2009.
"Reconverti dans les affaires et la politique", dit de lui sa fiche Wikipédia. Tout à son ambition ministérielle, il n'en veille pas moins sur son fief des Yvelines. Récemment, la députée écologiste, Anny Poursinoff, sa voisine, lui reproche d'empiéter sur sa circonscription en anticipant le redécoupage électoral en vigueur à partir de 2012 et en se présentant auprès des électeurs comme leur "député référent".
C'est amusant de consater que les journalistes utilisent toujours et encore les mêmes vielles recettes.
Ici on s'interroge sur l'anxiété, on parle de capacités sur gazon, et d'avantages du gaucher, ailleurs on parle de dépression, de capacités en bagarre et d'avantages du poids...;)
Font bien un peu chier les journalistes:diable:
Et moi au boulot j'ai droit à : " Il a un bras plus gros que l'autre " ou bien " c'est pas possible il doit se doper" etc etc
L’interview
Maryam Jamal: «Courir pour un 3e titre»
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29. juin 2011, 22h26
Gaëlle Cajeux | Le Matin
Double championne du monde du 1500 m, Maryam Yusuf Jamal est arrivée rayonnante à Lausanne. Une rose à la main, elle évoque les moments pénibles et ses ambitions.
(http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#)1 / 4
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/jamal.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#) Maryam Yusuf Jamal sera au meilleur de sa forme fin août, pour les championnats du monde. © Philippe Dutoit
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/jamal2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#) © Philippe Dutoit
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/jamal3.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#) © Philippe Dutoit
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/jamal.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/jamal2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/jamal3.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/jamal4.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/maryam-jamal-%C2%ABcourir-pour-un-3e-titre%C2%BB#)
Cette rose est le cadeau d’un fan?
Oui… ( Elle sourit timidement .) Il vient de me l’offrir dans le lobby de l’hôtel.
Avez-vous beaucoup de témoignages amicaux de ce genre lorsque vous revenez en Suisse?
Beaucoup. Ça me fait plaisir. C’est touchant.
Vous avez vécu plusieurs années à Lausanne, c’est ici que vous vous êtes révélée. Désormais citoyenne de Bahreïn, ressentez-vous encore un vrai lien avec le public helvétique?
Oui, les gens n’hésitent pas à venir me parler. Du coup, je me sens vraiment bien quand je suis ici, j’ai ce sentiment agréable d’être à la maison.
Durant l’année, passez-vous encore du temps en Suisse?
D’habitude oui, beaucoup. Mais cette année, ça a été différent. Je me suis entraînée en Ethiopie.
Pourquoi ce changement?
Parce qu’ici il fait froid et à Bahreïn il fait trop chaud. Les conditions d’entraînement sont meilleures en Ethiopie. Mais après Athletissima, je monte à Saint-Moritz pour préparer les championnats du monde. Me faire des globules rouges. Je vais y rester deux mois et là, un gros entraînement, vraiment dur, est prévu. C’est essentiel de travailler fort avant Daegu.
Les Mondiaux, vous connaissez.
Oui, mais ça reste quelque chose de très spécial. C’est un immense plaisir.
Tenante du titre, parvenez-vous à faire abstraction de la pression?
J’ai déjà gagné deux fois, alors, au niveau de la pression, ce n’est pas la même chose. En fait c’est plus facile à gérer. J’ai deux titres, et bien je vais courir pour un troisième.
Et un record?
En fait, le record ce n’est pas important cette année. Si je suis bien, je cours pour la gagne.
Aux JO de Pékin, vous étiez bien justement, vous partiez favorite. Pourtant, vous êtes passée au travers de votre finale, pour terminer au 5e?rang. Comment avez-vous géré cette désillusion?
Sur le moment, j’étais vraiment déçue, fâchée. Mais c’est comme ça, il faut accepter. Parfois de mauvaises performances arrivent. Voilà, il faut oublier.
Combien de temps vous a-t-il fallu pour digérer?
Seulement cinq jours. Parce que si tu réfléchis beaucoup, tu perds du temps, et, surtout, tu ne cours pas bien. Ton esprit n’est pas libre. Il faut oublier.
Mais pour une athlète promise à l’or olympique, voir la médaille lui filer entre les doigts…
C’est dur, bien sûr. D’autant qu’ensuite tout le monde a dit Maryam, c’est fini, etc. Moi j’ai dit non. ( Elle sourit.)
Ces commentaires vous ont blessée?
Ça m’a fait mal, c’est sûr. Tout le monde parlait comme ça, mais je me suis efforcée de ne pas écouter. Je sais que j’ai les jambes pour aller vite.
C’est le cadeau de votre naissance?
Oui, depuis que je suis enfant, j’ai toujours fait beaucoup de kilomètres pour aller à l’école, pour aider mes parents aux champs, alors mes jambes sont faites pour ça. Courir.
Dans quelle forme êtes-vous actuellement?
Je me suis bien préparée. Je suis bien, mais pas encore à 100%. Mon pic de forme est prévu pour fin août, pour les Mondiaux bien sûr. Il me reste deux mois, le timing est parfait je crois.
Et qu’attendez-vous de la course de ce soir?
J’attends de gagner en fait. ( Elle sourit.) Et j’aimerais bien descendre au-dessous des quatre minutes.
Pensez-vous pouvoir vous rapprocher de votre record de 3’56’’?
Ici peut-être pas, mais je peux faire 3’58’’, 3’59’’. A Monaco, par contre, les 3’56’’ seront peut-être faisables. Là-bas, c’est plus facile qu’à Lausanne.
Une question de piste?
D’altitude surtout. Ici, on court à 600 m, or c’est mieux si c’est plus bas.
La difficulté, ce soir, viendra également de la concurrence, particulièrement relevée.
Oh oui! Mais c’est bien, c’est motivant. Car cette année, en fait, ce n’est pas très fort. Tout le monde maintenant court 4’00’’, 4’02’’, ce n’est rien du tout ça. Moi, j’aime mieux quand il y a plus de bagarre, comme ce devrait être le cas ici.
Qui est la fille la plus dangereuse?
Moi. (E lle rit.) Il y a des Ethiopiennes, des Kényanes, tout le monde vient pour gagner, mais je vais essayer d’être devant.
La Française Hind Dehiba, tenue à l’écart des grandes compétitions depuis son retour de suspension pour dopage, a obtenu le droit de courir à Lausanne et sera l’une de vos adversaires sur 1500 m.
Je ne réfléchis pas à qui est là ou pas. Je m’occupe de moi. Si tu es bien préparée, tu gagnes. Voilà.
Votre avantage à Lausanne, c’est d’avoir le public pour vous.
Oui, je sais. (Immense sourire.)
Sur la piste, ressentez-vous ce soutien ou êtes-vous dans une bulle?
Ça me donne les frissons parfois. C’est important.
Double championne du monde, estimez-vous avoir des choses à améliorer dans votre course?
Oui, bien sûr. C’est une amélioration surtout au niveau de la préparation. Si tu fais un entraînement vraiment dur, tu cours bien. C’est assez simple en fait. Mais il faut aussi savoir en faire moins certains jours.
Est-ce une lacune au niveau de la préparation qui avait affecté vos JO?
Non, c’était plus un coup de malchance. Moi, j’étais prête, bien préparée, mais c’était mon destin ce jour-là.
Désormais, avez-vous le sentiment que la chance a tourné, qu’elle vous accompagnera à Daegu et à Londres en 2012?
Il me semble que oui, je l’espère en tout cas. Je travaille beaucoup pour les Mondiaux. Et les JO, j’y pense aussi forcément. Ce n’est pas si loin, une année. Je dois bien m’y préparer mentalement. Cette médaille d’or, c’est mon rêve.
;)C'est une super bonne femme, la croisait presque tous les jour quand elle habitait Lausanne, elle s'entraînait dans les bois de sauvabelin ou je vais promener ma chienne....J'ai pu discuter avec, la grande classe:content::amoureux::amoureux::amoureux:
Il fait comme il veut, tout le monde sait qu'il a le choix dans la date;):)
:D:hihi:
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Lemaitre sort sa classe
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29. juin 2011, 22h09
Christian Maillard | Le Matin
Premier Blanc à descendre sous les 10’’, le Français d’Annecy s’attaque ce soir à Asafa Powell et à son record de France (9’’95). On appelle déjà le maître du chrono le «Mini-Bolt».
(http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/lemaitre-sort-sa-classe#)1 / 2
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Christophe Lemaitre à la veille d'Athletissima
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_play/video_thumbs/emvideo-kewego-iLyROoaf284Q.jpg (http://www.lematin.ch/node/132567)
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/clemaitre.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/lemaitre-sort-sa-classe#) Christophe Lemaitre n’était pas venu à Lausanne depuis 2009. © Philippe Dutoit
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_play_thumb/video_thumbs/emvideo-kewego-iLyROoaf284Q.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/lemaitre-sort-sa-classe#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/clemaitre.jpg (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/autres-sports/lemaitre-sort-sa-classe#)
Depuis que l’élève est devenu, sur le continent, le maître de la discipline, que le phénomène est descendu, avec sa classe, au-dessous des 10 secondes, d’aucuns, dans l’Hexagone, l’ont déjà affublé du surnom de «Mini-Bolt». Quelque peu réducteur, voire irrévérencieux, lui, préfère qu’on l’appelle l’«Eclair blanc». Ou Christophe Lemaitre, tout simplement. «On peut, peut-être, retrouver des ressemblances au niveau de la course et de la technique avec Usain Bolt, mais je préfère suivre mon propre chemin, se convainc-t-il. Je n’aime pas trop les comparaisons.» Lemaistre est tonique, unique.
Une piste magique
Si à l’âge de 15 ans, il ne connaissait encore rien de l’histoire de son sport – ni Carl Lewis ni Michael Johnson d’ailleurs – il sait aujourd’hui, Lemaitre, que la piste d’Athletissima est magique; qu’elle peut souvent se montrer d’humeur buissonnière, très rapide. Il sait Lemaitre qu’ici à Lausanne, alors qu’il n’avait que 4 ans, Leroy Burell était allé plus vite que le temps, qu’il avait, un beau jour de juillet 1994, effacé des tabelles Carl Lewis, en 9’’85. «Je pense qu’une piste rapide, cela peut être un facteur important pour réaliser une bonne performance», sourit ce grand gaillard de 190 cm, qui a probablement sa petite idée derrière la tête.
Powell comme locomotive
Si la dernière fois qu’il avait foulé le tartan de la Pontaise, en 2009, Usain Bolt l’avait largement battu sous la pluie, il sait aussi, Christophe, que l’autre Maître, celui incontesté de la discipline, ne sera pas là ce soir et que le ciel lausannois sera étoilé. Il sait, le Français, qu’il peut affoler, à son tour, le chrono. «Il est important pour la confiance de marquer son territoire, de me retrouver devant le plus de monde possible et si possible tout devant.» Il est conscient, Christophe, qu’il est capable de descendre une nouvelle fois en dessous de dix secondes, comme à Stockholm (9’’98) ou de battre son record de France (9’’95). Celui d’Europe appartenant au Portugais Francis Obikwelu (9’’86), d’origine nigériane, est également un objectif. «Je pense que je peux encore améliorer ce chrono, surtout avec Asafa Powell comme locomotive. Il va m’aider à aller plus vite.» L’athlète d’Annecy se réjouit de courir pratiquement dans son jardin, à Lausanne, devant tous ses supporters d’Aix-les-Bains. «Je vais essayer, devant mes fans, de confirmer ma bonne forme du bon moment, de me rapprocher des meilleurs, ne serait-ce pour le moral.»
Mondiaux dans le viseur
Nouvelle star du sprint, le Haut-Savoyard de 21 ans, triple champion d’Europe, a surtout dans son viseur les Mondiaux de Daegu. «Depuis l’an passé, j’ai franchi plusieurs caps, progressant physiquement et moralement. Mon but est d’acquérir la régularité tout en continuant d’améliorer mes chronos.» Christophe Lemaitre qui va affronter tour à tour les cracks du 100 m, Powell (à Lausanne) et Bolt (à Paris) – Tyson Gay est blessé – sera vite fixé sur ses chances à deux mois de son grand rendez-vous, en Corée du Sud. «On va voir ce que je vaux vraiment sur cette distance.» A Rome, Christophe n’était qu’à 7 centièmes de Powell. «Le but est de m’en rapprocher et qui sait pourquoi pas le battre. Je ne suis pas si loin de lui, non?»
Ne dit-on pas que le maître a toujours raison?
Gilbert: "Je n'ai rien à voir avec l'affaire Vansevenant"
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Philippe Gilbert, un des leaders de l'équipe Omega Pharma-Lotto, s'est indigné mercredi soir des amalgames faits entre son nom et l'affaire Vansevenant, l'ancien coureur de la formation belge au centre d'une affaire présumée de dopage.
"Je tiens à affirmer haut et fort que je n'ai rien à voir dans cette sombre histoire. J'ai prouvé depuis des années mon engagement contre le dopage grâce à mon sérieux et mon entraînement.
L'amalgame avec cette personne est le fruit de l'imagination de certaines personnes mal intentionnées", a déclaré Philippe Gilbert à l'AFP par voie de communiqué.
Vansevenant, qui a arrêté sa carrière en 2008, a été interrogé en Belgique après qu'un paquet contenant des produits dopants qui lui était destiné a été saisi il y a deux semaines par les douaniers de l'aéroport de Bruxelles.
Le colis (en provenance d'Australie) contenait des produits dopants modernes développant la masse musculaire et améliorant l'endurance.
"J'ai appris la nouvelle de l'affaire concernant l'ancien coureur de l'équipe OmegaPharma - Lotto ce matin (mercredi). Ce fut un terrible choc car ce genre d'information ne devrait plus exister alors que le monde du cyclisme se bat contre le dopage avec vigueur", a ajouté le nouveau champion de Belgique.
"Mais le pire, ce sont les amalgames qu'on en fait. J'en suis aujourd'hui la victime car certains se permettent d'associer mon nom à ce coureur. Mon seul tort est de porter les mêmes couleurs que l'équipe de cet ancien coureur", a protesté le Wallon.
"Je viens d'ailleurs de mandater mon avocat pour se rapprocher de mon équipe afin de défendre au mieux mon intégrité face aux éventuelles attaques diffamatoires", a-t-il insisté.
"Je tiens à rassurer mes supporters. Je suis au départ du Tour de France avec encore plus de motivation, prêt à me battre pour prouver sur le terrain ma probité", a conclu Gilbert.
La F1 roulera au V6 en 2014
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© photo news
Les Formule 1 seront équipées d'un moteur V6 turbo de 1,6 litre de cylindrée avec systèmes de récupération d'énergie à partir de 2014, a annoncé la Fédération internationale de l'automobile (FIA) après un vote par fax mercredi de son entité décisionnaire.
Ce nouveau bloc remplace le 4 cylindres de 1,6 litre turbocompressé, prévu pour 2013 mais qui n'avait pas les faveurs de certaines écuries, notamment Ferrari. La marque italienne, qui vend des voitures à 8 cylindres ou plus, estimait qu'un tel moteur ne servait pas ses intérêts commerciaux.
Le grand argentier de la discipline, Bernie Ecclestone, qui gère les droits de la F1, avait également manifesté son opposition au propulseur de plus petite cylindrée.
Des quatre fabricants de moteurs - Ferrari, Mercedes, Renault et Cosworth -, seul Renault militait activement pour le 4 cylindres.
"Le coût pour Renault de la F1 est de 100 millions d'euros. On ne peut pas changer de direction aussi subitement (...) On ne veut pas avoir de conflit ouvert (...) mais aujourd'hui, nous sommes dans la zone rouge", qui pourrait conduire le constructeur français à se retirer de la discipline, avait menacé mi-juin Jean-François Caubet, le directeur de Renault-sport.
"Nous avons déjà dépensé 10 millions sur ce nouveau moteur. Vingt personnes travaillent dessus chez Renault. Pouvez-vous imaginer les renvoyer chez elles?", s'était interrogé M. Caubet dans une interview au site autosport.com.
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4 filles dans le vent aux mondiaux
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30. juin 2011, 23h27
Jacques Wullschleger | Le Matin
Mujinga Kambundji, Jacqueline Gasser, Clelia Reuse et Léa Sprunger ont battu le record national du 4x100 m et décroché au passage les minima pour les Mondiaux de Daegu.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/course_13.jpg Lea Sprunger, Clelia Reuse, Jaqueline Gasser et Mujinga Kambundji (de g. à dr.) ont créé l’exploit à Athletissima en pulvérisant, en 43’’90, le record national du 4x100 vieux de 32 ans. © Keystone
Athletissima Lausanne
Elles sont ivres de joie. Les filles du relais 4x100 m iront en août en Corée du Sud, à Daegu, là où se dérouleront les Mondiaux. Adieu les vacances, vive l’athlétisme. Au bord des larmes Laurent Meuwly, entraîneur de ce quatuor de charme dit: «Dans l’optique des Européens de 2014 à Zurich, j’ai pris la responsabilité de ce relais il y a trois mois.»
Il y a peu à Izmir le relais suisse avait réalisé 44’’50. Hier sous le coup de 19 h 15, aidé par un petit vent gracieux, la Bernoise Kambundji, la Grisonne Gasser, la Valaisanne Reuse et la Nyonnaise Lea Sprunger ont bouclé le tour de piste en 43’’90, nouveau record de Suisse (ancien: 44’’31, vieux de 32 ans), mais surtout limite réussie pour un événement majeur.
Jeunes et talentueuses
Leur moyenne d’âge: 20 ans. Deux seulement sont des spécialistes du sprint, Kambundji et Gasser. Clelia Reuse aime le 100 m haies et le saut en longueur. Lea Sprunger, elle, est heptathlète. Meuwly: «Toutes ont pris conscience que c’était en équipe qu’elles avaient une chance de se rendre en Corée. Pas autrement car individuellement, on n’a pas les moyens de régater.»
Pour être performantes, les Suissesses ont effectué un gros travail au niveau des passages du témoin. «On ne se voit qu’une fois par mois. Là, c’était la 2e fois que le relais courait dans cette composition. Hier à Vidy, on a peaufiné la transmission. Ce travail supplémentaire a porté ses fruits.»
Dans les courants du stade, Lea Sprunger montre un sourire radieux. «C’est extra! On attend maintenant l’analyse. Les 44 secondes étaient à notre portée. Nous avons fait mieux. Quand j’ai constaté que l’Allemagne – équipe phare en Europe – n’était pas trop devant nous, je me suis dit: «Ça y est, on a réussi un gros truc.» Arrive Clelia Reuse, qui danse de joie. «On voulait réaliser quelque chose d’énorme. On a gardé ça pour nous. Et voilà.»
Ces quatre filles-là, avec Marisa Lavanchy, Lisa Urech et Ellen Sprunger, pour ne citer que ces réservistes de luxe, n’ont pas fini d’étonner. Jamais un relais de sprint féminin ne s’était qualifié pour un Mondial.
Une légende félicite les Suissesses
A l’arrivée du relais 4x100 m, le bonheur du clan suisses contrastait avec la déception des Slovènes. Un passage manqué qui a empêché leur dernière relayeuse, la «reine de la piste», de courir. Fâchée, «parce que c’est la deuxième fois que l’on passe à côté de notre course», la légende Merlene Ottey (51 ans) a pourtant tenu «à féliciter les Suissesses, elles ont fait une superbe course».
G. C.
;)J'y étais, c'était une bien belle soirée:amoureux::amoureux::amoureux:
ATHLÉTISME
Powell, le maître de Lausanne
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30. juin 2011, 23h22
Gaëlle Cajeux | Le Matin
Le Jamaïcain a brûlé la piste pour établir la meilleure performance mondiale de l’année (9’’78) . Lemaitre, 3e, égale son record de France.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/athle_0.jpg Christophe Lemaitre (à g.) n’a rien pu faire face à la puissance d’Asafa Powell. © Kexstone
Athletissima Lausanne
En descendant du podium, quart de Gruyère sous le bras, il avoue que ce beau morceau de fromage restera sûrement en Suisse. «Je ne veux pas trop grossir…» Rester fit, pour courir vite. Encore plus vite qu’hier soir à la Pontaise. En bloquant le chrono à 9’’78, Asafa Powell a établi la meilleure performance mondiale de la saison sur 100 m et prouvé que, la veille, il ne bluffait pas en annonçant: «Le vrai Asafa est de retour. Oui, je vous avais dit que j’étais en forme, prêt à courir vite, sourit le Jamaïcain. Ça va de mieux en mieux cette saison.»
«Ca gèle»
Champion de Jamaïque le week-end dernier, c’est le monde qui semble désormais lui tendre les bras. «Mais j’ai encore des choses à améliorer d’ici à Daegu ( fin août) . Surtout les derniers 50 m.» Pour ce qui est de sortir des starting-blocks, difficile de faire mieux. «Le départ est mon point fort, concède-t-il. J’essaie toujours de le réussir parfaitement et je l’ai fait ce soir.» Malgré le froid – «ça gèle» – et le décalage horaire, preuve que l’homme est de nouveau au sommet de son art. Prêt à tutoyer son record personnel (9’’72) établi en 2008… à Lausanne. «Cette piste doit m’aimer… En tout cas moi, j’aime Lausanne, son public, la piste. Il y règne une très belle atmosphère.» De celles qui rendent serein. «Avant la course, j’étais confiant, très confiant en fait. Je savais que ça irait vite.»
Trop vite pour Christophe Lemaitre, que l’on voyait pourtant offrir un duel à Asafa Powell. Mais le Français n’a terminé «que» troisième. «Mais il a égalé sa meilleure performance, remarque Powell lui-même. C’est beau, il faut se réjouir pour lui.» Lemaitre analyse: «Je ne suis pas parti, voilà ce qui s’est passé. J’ai un bon temps de réaction, mais la mise en action a été pénible. J’étais pourtant en forme. J’ai fait un bon échauffement, de bons départs en starts. Il n’y avait pas de signes avant-coureurs. Je n’ai pas enchaîné sur les premiers appuis. Ça a mis du temps. Je pense que mes défauts de l’année dernière sont revenus. Il faut que je continue à travailler afin que ça ne devienne pas récurrent. Dommage!» Malgré la déception, le champion d’Europe sait apprécier sa perf. «Je me dis que 9’’95, avec un aussi mauvais départ, ça pouvait largement faire 9’’90. Si j’avais été à la lutte plus longtemps avec Asafa, ça pouvait aller vite.»
Sa prochaine bataille, Christophe Lemaitre devra la livrer contre Usain Bolt, à Paris, sur 200 m. «On va voir les défauts de ce départ avant le 200 m. Je sais mon potentiel sur cette distance. J’ai le record de France ( 20’’16, codétenu avec Quénéhervé ) dans les jambes, c’est sûr, et pourquoi pas un chrono en dessous des 20’’ avec Bolt en locomotive. J’ai hâte de courir au Stade de France, avec le favori des championnats du monde. Ça peut être bénéfique pour la suite.»
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Maryam Jamal se rate sur 1500 m
Il y a eu quelques sifflets du côté de la tribune principale quand les concurrentes du 1500 m sont apparues sur le terrain balayé par un vent frisquet. Ils étaient destinés à la Française Hind Dehiba (lire ci-contre). C’était à Lausanne sa première course à ce niveau depuis longtemps. «Je remercie l’organisateur du meeting pour m’avoir permis de courir», dit-elle à l’arrivée, troisième en 4’06’’58, un chrono qui ne la qualifie pas pour les mondiaux de Daegu. Une destination que la Française espère atteindre de tout cœur.
«Je me suis battue pour aller au tribunal. Je me battrai pour aller en Corée. Aujourd’hui, j’ai pu travailler. Je n’ai pas couru pour dire je suis là. On ne peut pas empêcher quelqu’un d’effectuer son job. Si je vais alerter d’autres tribunaux? Je ne sais pas encore. Mais peut-être bien.» Caster Semenya, elle, a terminé loin de la gagnante. «1500 m, c’est beaucoup trop long. L’important pour moi, c’était de terminer (13e en 4’16’’36). Je vais me focaliser sur le 800 m qui est ma distance, ma course. Je ne pense pas encore aux JO de Londres. Je prépare les Mondiaux. Je veux défendre mon titre. Ce n’est pas une obsession mais mon vœu le plus cher.»
Favorite de la course, Maryam Jamal a raté son affaire (10e en 4’10’’21). A-t-elle été perturbée par un choc survenu avec une autre concurrente dans l’avant dernier virage? Mystère. Elle n’est pas venue dans la zone d’interview obligée qu’elle a été de satisfaire à un contrôle antidopage.
J. W.
tennis
Tsonga, un homme en liberté
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30. juin 2011, 23h06
Christian Despont | Le Matin
Le Français a licencié son staff pour chercher sa propre voie, seul. Confidences d’un affranchi.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tennis_38.jpg Avec le temps, Jo-Wilfried Tsonga est revenu à des fondamentaux: «Le plaisir est ma seule source de motivation. J’aspire à des défis, des souvenirs. Que je dispute ou non la finale, je ne changerai pas.» © Keystone
Tous les joueurs sont chaperonnés par des professionnels du dépassement de soi, encombrés d’accessoires et de préceptes. Jo-Wilfried Tsonga, 26 ans, s’en est délivré un beau matin, dans une pulsion rédemptrice, pour renouer avec une personnalité libertaire. Il a remercié son coach, son préparateur physique, et marché seul, l’esprit curieux, à la recherche de sa propre voie. «A force de tout maîtriser, je m’interdisais d’être ce que je suis», avoue-t-il dans un entretien intime.
Son jeu lui ressemble de plus belle, à osciller instinctivement entre la créativité, l’impulsivité et la tranquillité. Il a le tonus d’un petit matin frais et le relâchement d’une soirée folle. Bang à gauche, bang à droite. Un cœur qui fait boum, un corps qui bondit. «Je suis un gars simple avec des bonheurs simples, dit-il. J’aime l’humanisme, les personnes qui vivent.»
En 2008, à l’Open d’Australie, personne ne l’avait vu venir, force peinarde, avec ce quelque chose de Muhammad Ali dans le visage, de fulgurant dans la frappe. Tandis que Rafael Nadal sautillait et plantait son regard mortifère dans le sien, «le grand Jo» semblait ailleurs, à se demander s’il avait bien éteint la lumière en partant. «C’est un sentiment étrange: j’ai bien joué, et je n’ai eu aucune chance. Tsonga a évolué à un niveau que même Roger Federer n’atteint pas souvent», avait commenté Nadal, encore groggy (6-2 6-3 6-2).
Puis Jo-Wilfried Tsonga a commencé à parler de top 10, de records. La France cocardière a fait cocorico à sa fenêtre, petits matins blêmes pour des lendemains d’hier. «Je vis la notoriété comme une privation de liberté», avoue-t-il.
Régulation technique
Une logique interventionniste, inoculée par Eric Winogradsky, est entrée en collision avec des instincts premiers. Jo-Wilfried Tsonga a gagné en capacités ce qu’il a perdu en aptitudes, soumis à une phase compliquée, mais nécessaire, de régulation technique. «Jo est devenu un joueur beaucoup plus complet, observe Mats Wilander. Il a appris à slicer, à varier, à temporiser. En 2008, il avait la pêche, mais pas de panoplie.» Puis il y a eu les blessures et le sentiment d’urgence que cette fragilité, sournoisement, a induit. Sa verve gestionnaire n’avait plus de sens. D’une phase de développement, Jo-Wilfried Tsonga est entré dans une ère d’optimisation, affranchie de l’enjeu. «Le plaisir est ma seule source de motivation. J’aspire à des défis, des souvenirs. Que je dispute ou non la finale, je ne changerai pas. Amis, maison, pas de prises de tête. Je ne répondrai pas aux gens qui envoient des SMS depuis mercredi, et je n’envisagerai pas l’avenir au-delà du jour qui se lève.»
Même spontanéité dans l’analyse de son épopée contre Roger Federer: «Je me suis senti très fort car, comment l’expliquer, je n’étais jamais dans un état de panique. Je n’avais pas le trac, je n’avais pas peur. J’étais bien, léger, rapide, comme dans un rêve. Même mené de deux sets, je profitais de l’instant, et je voulais qu’il dure.»
Sans vanité ni pédanterie
Jo-Wilfried Tsonga a toujours eu une haute idée de son talent, mais sans vanité ni pédanterie, car «il a reçu une excellente éducation», témoigne Eric Salliot, journaliste à RTL, proche du joueur. Le costaud n’a jamais recouru aux services d’un psychologue: «Non, non, non.» Son inspiration vient d’ailleurs, elle vient de là: «De Wimbledon, de la France, du Congo, de ma maison, de partout.»
«Le grand Jo» promène ses certitudes sur les courts de grandes renommées, sans penser à mal ni à demain. Force peinarde et délivrée: «Les autres, en général, n’aiment pas jouer contre moi, car je suis agressif. Parce que parfois, aussi, je fais n’importe quoi et que la balle rentre quand même (rires). J’ai un côté imprévisible et, pour cette raison, probablement, je représente un certain danger.»
Tous les joueurs arrivent sur le circuit en suivant un schéma de pensée. Jo-Wilfried Tsonga, 26 ans, en est sorti indemne. «Avant, j’avais tendance à râler pour tout et n’importe quoi, parce que ma voiture n’était pas à l’heure, parce que mon coach n’était pas démonstratif. Tout était organisé en fonction de moi, et je n’y prêtais plus attention. Maintenant, je dois apprendre à réfléchir par moi-même, à gérer seul. Cette liberté n’a pas de prix.»
DUELS ENTRE GENS DE BONNE COMPAGNIE
Sur Twitter, Andy Murray parle de son chien et des complaintes de John McEnroe avec une déférence égale, dans un langage choisi: «Je sais que John voudrait davantage d’animosité entre nous, les joueurs du top 4. Il a sans doute raison. Mais en ce moment, la vie sur le circuit est très agréable. Je regretterais que les rapports changent et deviennent hostiles.»
Avant de s’affronter, ce soir, en demi-finale, Andy Murray et Rafael Nadal ont joué ensemble à la PlayStation, bavardé dans les vestiaires et emmené leurs amies dîner dans le même restaurant. Le premier tient une chronique sur le site BBC, le second blogue pour The Times. L’un compatit avec le numéro un mondial et ses devoirs accablants, l’autre implore le peuple britannique de comprendre le sujet Murray, désespérément compliqué et austère. Tous deux ont lié connaissance sur le circuit juniors, où Novak Djokovic
et Andy Murray ont également tissé une solide amitié.
Il n’y aura pas davantage d’électricité dans cette demi-finale très attendue, présentée comme un affrontement entre deux grognards, que dans une soirée Tupperware. «Les gens voudraient voir de la tension, de la bravade, et non un duel entre gens de bonne compagnie, provoque John McEnroe sur le plateau de BBC. Ces amitiés en deviennent exaspérantes. Quand Federer pleure, Nadal le console. Quand Murray perd à trois reprises en finale d’un Grand Chelem, tout le monde explique qu’il mériterait de gagner. A mon époque, c’était impensable.»
Mais le tennis «n’est plus comme ça», objecte Andy Murray, il n’est plus articulé selon un axe nord-sud, autour de détestations sincères et culturelles, quand un parti pris de circonstance imposait de choisir entre Connors et McEnroe, Wilander et Edberg, Lendl et tous les autres.
«Il y aura deux grands matches vendredi, c’est une évidence», a également commenté Novak Djokovic, avant de parler de son chien «Pierre», retenu en quarantaine aux douanes anglaises.
CYCLISME
Un parcours taillé pour Contador
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30. juin 2011, 22h54
Laurent Guyot
Avant d’être innocenté ou jugé coupable par le TAS au début du mois d’août, l’Espagnol (28 ans) peut gagner sa quatrième Grande Boucle. «Le Matin» décode les étapes où le Tour pourrait se jouer.
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/cyc_8.jpg (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/un-parcours-taille-pour-contador#) © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_play_thumb/video_thumbs/emvideo-youtube-21S_y0WH7x0.jpg (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/un-parcours-taille-pour-contador#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/cyc_8.jpg (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/un-parcours-taille-pour-contador#)
TOUR DE FRANCE
Les Herbiers
Les douze millions de spectateurs attendus tout au long des 3430,5 km du parcours sont avertis. Alberto Contador, le grand favori de l’épreuve, pourrait perdre tout le bénéfice de ses efforts sur le tapis vert. Toujours sous la menace d’une suspension suite à son contrôle positif au clenbuterol subi l’année dernière à Pau, le triple vainqueur du Tour de France dispose pourtant d’un parcours taillé à sa mesure. Avec quatre arrivées au sommet, un chrono par équipes et un contre-la-montre individuel à la veille de l’arrivée à Paris, tous les voyants sont au vert pour le protégé de Bjarne Riis. S’il conserve la forme affichée sur les routes du Tour d’Italie et qu’il résiste à la pression – hier il a été hué par les spectateurs lors de la présentation des équipes –, l’enfant de Pinto devrait déclasser Andy Schleck, Bradley Wiggins, Cadel Evans, Ivan Basso, Robert Gesink, Jürgen Van den Broeck et tous les autres.
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/TDF.jpg Tour de France
Euro de basket dames: la France en demie et aux portes des JO
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AFP - 30. juin 2011, 22h54
La France n'a pas manqué son grand rendez-vous en prenant le meilleur sur la Lituanie (66-58) en quart de finale de l'Euro-2011 dames de basket-ball, jeudi à Lodz, un succès qui lui entrouvre les portes des jeux Olympiques de Londres.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309467248709-1-0.jpg La Française Isabelle Yacoubou lors d'un match de l'Euro 2007 en Lettonie © AFP/Archives
En demi-finale, les Bleues, tenantes du titre, rencontreront vendredi l'inattendue équipe de Turquie, qui avait auparavant battu le Monténégro (56-44).
Avec ce succès, la France est qualifiée pour le Tournoi pré-olympique (TPO), lors duquel seront distribués les derniers billets pour les JO de Londres.
Le TPO est quasiment la garantie d'aller aux JO, le niveau du basket européen étant bien supérieur à celui des autres continents. En 2008, les quatre équipes européennes engagées au TPO étaient allées à Pékin.
Les Bleues seront directement qualifiées pour les Jeux, si elles conservent leur titre. Depuis Sydney en 2000, aucune équipe de France, ni féminine ni masculine, ne s'est qualifiée pour les Jeux.
Ce succès est de bon augure pour la suite de cet Euro. A chaque fois qu?elle a passé les quarts d'une compétition majeure, la France a atteint la finale, pour deux titres européens (2001, 2009) et une médaille d?argent (1999).
Les Françaises sont d'abord apparues très tendues, manquant plusieurs paniers faciles et perdant quelques ballons. La défense très resserrée des Lituaniennes sur leurs intérieures les gênait considérablement.
Il fallait attendre la 9e minute avant que Sandrine Gruda, leur leader offensif, prenne, et réussisse, son premier tir (9-13). Mais les Bleues défendaient elles-mêmes fort bien, bloquant complètement l'accès de leur panier.
Les Lituaniennes trouvaient leur salut dans les tirs primés 26-20, 15e). La sortie rapide pour trois de Clémence Beikes (12e) restreignait les options de Pierre Vincent, qui décidait de décaler Edwige Lawson au poste d'arrière.
Dans un match très haché, le subterfuge fonctionnait plutôt bien, la France recollant (33-34, 20e), notamment grâce à une Emilie Gomis agressive offensivement (10 points à la pause, 14 au final).
Désormais bien dans leur match, les Bleues enserraient dans leur défense étouffante des Lituaniennes limitées à 8 points dans le troisième quart-temps.
Isabelle Yacoubou, très en vue à chacune de ses entrées en jeu (13 points en 17 minutes), apportait de nouvelles options en attaque, en imposant sa puissance sous les panneaux (47-38, 28e).
Sans solutions, les Lituaniennes se livraient à un concours de tirs à trois points, en pure perte (6 sur 18), permettant à la France de creuser un écart enfin significatif (53-42, 30e).
Contrairement à l'an passé, où elles avaient craqué en fin de match face aux Espagnoles en quart de finale du Mondial-2010, les Bleues géraient admirablement les dernières minutes.
Les leaders bleues Gruda, Lawson et Céline Dumerc, la capitaine courage, prenait les choses en mains, finissant toutes à 13 points, avec quelques paniers décisifs.
La France candidate à l'organisation de la Coupe du Monde de rugby en 2023, selon Pierre Camou
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AFP - 30. juin 2011, 20h44
Le président de la Fédération française de rugby (FFR), Pierre Camou, a affirmé jeudi sa volonté de voir la France organiser la Coupe du Monde de rugby en 2023, première édition non attribuée après celles de 2011 en Nouvelle-Zélande, 2015 en Angleterre et 2019 au Japon.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309459382681-1-0.jpg Le président de la Fédération française de rugby Pierre Camou pose à Marcoussis le 4 mai 2011 © AFP/Archives
"Une fédération se doit d'avoir des objectifs et des ambitions. 2023 parait loin mais c'est juste demain, il faut se préparer. Pour le rugby français, on l'a vu en 2007, l'organisation d'une Coupe du Monde est un évènement important dans le développement du rugby", a déclaré Pierre Camou.
Le président de la FFR a par ailleurs réaffirmé son objectif de construire un stade de 80.000 places à l'horizon 2017. Ce projet, conduit par l'ancien international Serge Blanco, doit faire l'objet d'un vote en fin d'année au sein de la FFR.
"J'espère qu'en 2023, nous aurons le notre et que dans ce stade magnifique qui sera construit, il pourra y avoir cette Coupe du Monde", a lancé M. Camou.
"Ce serait un bonheur pour le rugby français. Cela voudrait dire que nous sommes sur la voie d'un développement plus important, d'une stabilité nous permettant d'aider avec des ressources nouvelles l'ensemble de nos clubs et de nos missions. Pour l'instant, on fait ce que l'on peut avec ce que l'on a. On n'est pas toujours maître de ce que nous avons. Il faut trouver la maîtrise de nos propres ressources, de notre propre outil de travail", a-t-il conclu.
La France a accueilli sur son sol des rencontres du Mondial-1999 majoritairement disputé au Royaume-Uni et a été l'organisateur du Mondial-2007, qui comprenait également des rencontres à Cardiff et à Edimbourg.
Pour succéder au Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande (9 septembre - 23 octobre), l'International Rugby Board (IRB) a décidé d'attribuer simultanément les éditions 2015 et 2019, respectivement à l'Angleterre --avec des rencontres au pays de Galles-- et au Japon.
Mondial dames de foot: les Bleues corrigent le Canada et sont presque en quarts
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AFP - 30. juin 2011, 20h16
L'équipe de France féminine a quasiment assuré dès son deuxième match sa qualification pour les quarts de finale du Mondial-2011 en battant très nettement le Canada (4-0) au terme d'une démonstration technique collective, jeudi à Bochum.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309457340963-1-0.jpg Les footballeuses françaises se congratulent après un but contre les canadiennes, en Coupe du monde, le 30 juin 2011 à Bochum © AFP
Avec six points en deux matches, les Bleues sont presque en quarts de finale, un niveau qu'elles ont déjà atteint à l'Euro-2009, mais jamais en Coupe du Monde.
Seule une très improbable défaite de l'Allemagne en soirée contre le Nigeria peut désormais les empêcher de se préparer à un formidable Allemagne-France devant plus de 50.000 spectateurs mardi à Mönchengladbach, avec la première place du groupe pour seul enjeu.
Face à des Canadiennes athlétiques, les 20 premières minutes, âpres et physiquement intenses, ont pourtant été difficiles pour les Bleues.
Mais elles n'ont pas fui le défi canadien et en rivalisant en agressivité, ce sont finalement elles qui ont fait reculer les Canucks dans ce match que les deux équipes savaient décisif pour la qualification.
Le premier but français était à ce titre symbolique. Tout partait en effet d'un tacle impitoyable d'Elise Bussaglia, poids-plume du milieu bleu et excellente tout au long de la partie, à l'entrée de la surface. Après un relais avec Necib, la joueuse du Paris SG frappait et son tir, dévié, était repris de la tête et à la limite du hors-jeu par Thiney (24).
Les joueuses de Bruno Bini pouvaient alors faire valoir un milieu de terrain beaucoup plus fort techniquement et infiniment plus inventif, et mettaient la main sur le match, multipliant les occassions par Necib (31), ou Delie (40).
Vingt minutes suffisaient en deuxième période pour boucler l'affaire avec la manière, d'abord grâce au doublé de Thiney d'une très jolie frappe fuyante (60) puis par Abily de la tête sur un corner de la capitaine Soubeyrand (66).
Côté canadien, la buteuse et capitaine Christine Sinclair (117 buts en 160 sélections), incertaine jusqu'au bout à cause d'un nez cassé, était bien sur la pelouse, protégée par un masque de Catwoman.
Mais celle que sa sélectionneuse Carolina Morace présente comme "l'une des meilleures joueuses du monde si ce n'est la meilleure", a été discrète, bien muselée par Laura Georges qui, après une entame cafouillée, a su se reprendre pour fêter plus que dignement sa 100e sélection.
En fin de match, Thomis, lancée en profondeur par Necib, trompait encore McLeod (83). Dans un stade encore bien plein (plus de 16.000 spectateurs pour 20.000 places), des "Allez les Bleues" descendaient des tribunes.
Contador hué par le public du Puy-du-Fou
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© belga
Alberto Contador, qui prendra samedi le départ du Tour de France dans l'attente d'une décision après son contrôle positif de l'an passé, a été hué par le public du Puy-du-Fou lors de la cérémonie de présentation des équipes participant à la Grande Boucle.
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© belga
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Arrivé avec ses partenaires de Saxo Bank en dernier des 22 équipes, l'Espagnol, triple vainqueur de l'épreuve (2007, 2009, 2010), a été sifflé par les 7.000 spectateurs de l'enceinte du théâtre gallo-romain du parc vendéen, malgré quelques applaudissements épars.
Son rival attendu, le Luxembourgeois Andy Schleck, avait été applaudi quelques minutes plus tôt.
Positif à un contrôle antidopage dans le Tour 2010, qu'il a expliqué par une contamination alimentaire, Contador a été blanchi en première instance. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) doit trancher du cas après la fin du Tour 2011.
La cérémonie de présentation a donné lieu à un spectacle d'environ deux heures, sous les yeux de Philippe de Villiers, ancien président du Conseil général de Vendée dont il a démissionné en octobre 2010, qui s'était réjoui un peu plus tôt de voir le Tour de France partir de sa région.
"C'est le Tour de mes rêves: je rêvais d'une ligne entre le passage du Gois et le Mont des Alouettes, mon Mont-Blanc à moi", a-t-il déclaré, en référence au tracé de la première étape samedi.
C'est la quatrième fois que le Tour de France part de Vendée, après 1993, 1999 et 2005. En 1993 et 1999, la présentation s'était déjà tenue au Puy-du-Fou. (belga)
La Tchèque Petra Kvitova première finaliste à Wimbledon
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7S7 mise à jour La Tchèque Petra Kvitova s'est qualifiée pour la finale de Wimbledon en battant la Bélarusse Victoria Azarenka en trois sets 6-1, 3-6, 6-2 jeudi.
C'est la première fois que Kvitova, 21 ans et 8e joueuse mondiale, atteint une finale du Grand Chelem. Elle y retrouvera samedi la Russe Maria Sharapova ou l'Allemande Sabine Lisicki, opposées dans la deuxième demi-finale.
Déjà demi-finaliste l'année dernière à Wimbledon et finaliste à Eastbourne il y a deux semaines, la gauchère tchèque a imposé à Azarenka sa science supérieure sur gazon.
Grande (1,83 m) et véloce, elle s'est appuyée sur sa grosse première balle pour survoler le début du match grâce à six aces, dont trois consécutifs pour conclure le premier set en seulement 27 minutes.
Azarenka, dont c'était la première demi-finale en Grand Chelem alors qu'elle est N.4 mondiale, a ensuite réagi en profitant d'une baisse de régime au service de Kvitova qui perdait alors son deuxième set de la quinzaine.
Mais la Tchèque a tout de suite repris le dessus dans la troisième manche grâce à sa force de frappe nettement supérieure (40 points gagnants à 9).
Impressionnante depuis le début du tournoi, Kvitova est la première Tchèque à atteindre la finale de Wimbledon depuis la victoire de Jana Novotna en 1998 et la quatrième joueuse de son pays de l'histoire après Martina Navratilova et Hana Mandlikova.
C'est aussi la première gauchère à jouer une finale du Grand Chelem depuis Monica Sales à Roland-Garros en 1998.
Lance Armstrong de retour à la compétition?
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Lance Armstrong, septuple vainqueur du Tour de France, qui a officiellement mis fin à nouveau en février à sa carrière après un retour en 2009, projette de participer à une compétition cycliste aux Etats-Unis, a annoncé son manageur jeudi à la presse.
Armstrong pourrait participer au moins deux jours à la course américaine "A travers l'Iowa", prévue du 24 au 30 juillet, a déclaré Mark Higgins au Des Moines Register, journal de la région.
Armstrong, poursuivi par des soupçons de dopage tout au long de sa carrière, est à nouveau la cible d'accusations de la part d'anciens coéquipiers. Fin mai, son compatriote Tyler Hamilton a détaillé sur la chaîne de télévision américaine CBS des accusations concernant l'époque où il courait avec lui dans l'équipe US Postal. Le coureur texan, 39 ans, avait disputé sa dernière course à l'étranger lors du Tour Down Under qui s'est achevé le 23 janvier dernier en Australie.
Il était entré dans l'histoire du cyclisme en remportant, après avoir soigné un cancer des testicules, sept Tours de France, un record, entre 1999 et 2005. Il avait ensuite pris une première fois sa retraite, dont il était sorti en janvier 2009 pour reprendre la course tout en faisant la promotion de sa fondation de lutte contre le cancer.
:diable:M'énerve machin..............
Le PSG officiellement vendu à Qatar Sports Investments
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Le Paris-SG (L1) a été officiellement vendu à Qatar Sports Investments (QSI) qui devient actionnaire majoritaire à hauteur de 70%, a annoncé jeudi Sébastien Bazin, président de Colony Capital Europe, ex-actionnaire majoritaire du club de football.
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L'accord a été signé vers 13 heures entre Colony Capital et le président de QSI, Nasser Al-Khelaifi, sur les bases prévues et selon les modalités convenues, a précisé M. Bazin.
"C'est un moment fort, je suis convaincu d'avoir laissé le PSG entre de bonnes mains", a déclaré Sébastien Bazin au ministère des Sports en marge d'une rencontre avec la ministre des Sports Chantal Jouanno.
"La vente s'est faite vers 13 heures dans un bon climat", a-t-il encore indiqué. "La vie au club continue, la saison commence aujourd'hui", a pour sa part dit Robin Leproux, président du club parisien, avant de partir pour le Camp des Loges à Saint-Germain-en-Laye, où le PSG reprenait l'entraînement (à 16H00).
L'ancien joueur parisien et entraîneur de l'Inter Milan, le Brésilien Leonardo, devrait devenir le prochain directeur sportif aux pouvoirs élargis du Paris SG. En dehors de la question Leonardo, M. Al-Khelaifi avait glissé la semaine passée vouloir conserver le même "management" au PSG, c'est-à-dire Robin Leproux au poste de président et Antoine Kombouaré au poste d'entraîneur. (afp)
Natation: le champion du monde Cesar Cielo contrôlé positif à un diurétique
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/133365"] (http://www.lematin.ch/printmail/133365)
AFP - 01. juillet 2011, 23h43
Le Brésilien Cesar Cielo, champion du monde des 50 et 100 m nage libre, a été contrôlé positif à un diurétique en mai dernier, a annoncé vendredi la Confédération brésilienne des sports aquatiques (CBDA).
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309556222289-1-0.jpg Cielo Filho lors de l'Open de Paris le 25 juin 2011 © AFP/Archives
Des traces de furisemida, une substance diurétique interdite, ont été trouvées dans les échantillons de Cesar Cielo, également champion olympique du 50 m nage libre de Pékin. La CBDA lui a infligé un avertissement et a transmis son dossier à la Fédération internationale de natation (Fina).
:DJe me marre, quand je dit que tous sports confondus est pollué............. y compris la moto Messieurs, me trompe? je ne pense pas........:D
Tour de France: le bus de Quick Step inspecté, le directeur sportif à la gendarmerie
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AFP - 01. juillet 2011, 21h05
Le directeur sportif de Quick Step, Wilfried Peeters, était présent vendredi soir à la gendarmerie de La Roche-sur-Yon, où le bus de l'équipe cycliste était en cours d'inspection, à la veille du départ du Tour de France, a-t-on appris auprès de la formation belge.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309546859442-1-0.jpg Le bus de l'équipe cycliste Quick Step, qui participe au tour de France, à la gendarmerie de la Roche-sur-Yon, le 1er juillet © AFP
"Notre directeur sportif est allé là-bas avec le conducteur du bus", a déclaré à l'AFP le responsable presse de la formation belge, Alessandro Tegner, en retraçant le scénario des dernières heures.
"Après la conférence de presse de la mi-journée (aux Herbiers), les coureurs ont déjeuné à côté et sont repartis avec le bus de l'équipe. Ils sont arrivés à l'hôtel vers 16 heures et se sont fait masser, comme à l'habitude. Vers 17h00, 17h30, la gendarmerie est arrivée pour emmener le bus à La Roche-sur-Yon", a-t-il détaillé.
"Nous sommes confiants dans le fait de pouvoir récupérer notre bus pour la première étape du Tour (samedi, Passage du Gois - Mont des Alouettes)", a-t-il ajouté.
L'autocar, qui a été saisi à Challans (Vendée) où réside l'équipe Quick Step, devait être fouillé par les services d'enquête à La Roche-sur-Yon.
Le but de l'opération est de pratiquer un "contrôle approfondi" du véhicule dans le cadre de la lutte antidopage, a indiqué la direction de la gendarmerie à Paris. Elle est pilotée par la section de recherche d'Angers (Maine-et-Loire) et l?Office central de lutte contre les atteintes à l?environnement et à la santé publique (Oclaesp).
Sylvain Chavanel, nouveau champion de France, et le Belge Tom Boonen, triple vainqueur de Paris-Roubaix, sont les chefs de file de l'équipe belge sur le Tour de France.
:DLa preuve......:fou:
Euro dames de basket: la France éliminée en demi-finale par la Turquie
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/133341"] (http://www.lematin.ch/printmail/133341)
AFP - 01. juillet 2011, 22h26
La France, tenante du titre, a été éliminée en demi-finale de l'Euro-2011 dames de basket-ball par la Turquie 68 à 62 a.p. (fin du temps réglementaire: 60-60), vendredi à Lodz.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309551865575-1-0.jpg Pierre Vincent (C), l'entraîneur de l'équipe féminine de basket, le 24 septembre 2010 à Ostrava, lors d'un match contre la Grèce © AFP/Archives
En finale, la Turquie, équipe surprise de la compétition, rencontrera dimanche (20h30), la Russie, qui a largement battu la République tchèque (85-53) dans l'autre demi-finale.
Cyclisme: la veille du Tour, saisie d'un autocar de l'équipe Quick Step
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AFP - 01. juillet 2011, 18h55
Un autocar de l'équipe cycliste Quick Step engagée dans le Tour de France, saisi par les gendarmes, a été conduit à La Roche-sur-Yon pour y être inspecté, a constaté un correspondant de l'AFP sur place.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309539188460-1-0.jpg Le coureur de Quick Step Sylvain Chavanel suivi d'une voiture de son équipe, le 25 février 2011 en Belgique © Belga/AFP
Le véhicule a été saisi à Challans (Vendée) où résidait l'équipe Quick Step à la veille du départ du Tour de France et devait être fouillé par les services d'enquête à La Roche-sur-Yon dans le cadre de la lutte contre le dopage, selon des sources proches du dossier.
Interrogée dans l'après-midi au sujet de cette saisie, la direction du Tour de France aux Herbiers (Vendée) a indiqué n'avoir aucune information à ce sujet.
Quick Step est l'équipe du champion de France de cyclisme sur route Sylvain Chavanel, 32 ans, meilleure chance française de l'édition 2011 de la Grande Boucle et du Belge Tom Boonen, 30 ans, triple vainqueur de Paris-Roubaix, deux fois lauréat du Tour des Flandres et champion du monde 2005.
Le Tour de France doit s'élancer samedi pour une première étape de 191,5 km entre le Passage du Gois, route qui relie à marée basse l'Ile de Noirmoutier et la terre vendéenne, et le Mont des Alouettes, en Vendée également.
:D:D:DCommence bien le tour..........:fou::D:D:amoureux:je me marre, vais pas paryer le vainqueur va changer dans l'année....:D:bad:
Natation: le champion du monde Cesar Cielo contrôlé positif à un diurétique
AFP - 01. juillet 2011, 23h43
Le Brésilien Cesar Cielo, champion du monde des 50 et 100 m nage libre, a été contrôlé positif à un diurétique en mai dernier, a annoncé vendredi la Confédération brésilienne des sports aquatiques (CBDA).
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309556222289-1-0.jpg Cielo Filho lors de l'Open de Paris le 25 juin 2011 © AFP/Archives
Des traces de furisemida, une substance diurétique interdite, ont été trouvées dans les échantillons de Cesar Cielo, également champion olympique du 50 m nage libre de Pékin. La CBDA lui a infligé un avertissement et a transmis son dossier à la Fédération internationale de natation (Fina).
Ce qui me fait rire c'est que cette substance est peut être un produit masquant d'autres substances illicites ou tout simplement pour perdre du poids. Alors il va nous donner l'excuse qu'il voulait perdre du poids. Seul soucis 3 autres de ses potes ont été controlés positif au même produit. Donc 4 des meilleurs brésiliens voulaient maigrir. Ah c'est ça de bouffer au Mc Do faut pas se plaindre maintenant:):)
Wimbledon: Nadal défendra son titre en finale
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Si - 01. juillet 2011, 20h46
La finale de Wimbledon opposera le tenant du titre au nouveau numéro un mondial.
Rafael Nadal (no 1) défiera dimanche son successeur au sommet de la hiérarchie, Novak Djokovic (no 2). Le gaucher majorquin a brisé comme l'an passé le rêve de tout un peuple en battant en quatre sets (5-7 6-2 6-2 6-4) Andy Murray (no 4), qui espérait offrir au tennis masculin britannique son premier titre du Grand Chelem depuis 1936.
Cette deuxième demi-finale avait pourtant démarré de manière idéale pour Andy Murray. Impressionnant sur son engagement, il empochait logiquement le premier set en signant l'unique break dans le dernier jeu. Le droitier de Dunblane ne parvenait cependant pas à poursuivre sur sa lancée.
L'Ecossais relançait les actions de Rafael Nadal en livrant un jeu de service catastrophique à 2-2 dans la deuxième manche, offrant alors le break à l'Espagnol en commettant quatre fautes directes. La confiance changeait de camp, et Rafael Nadal s'envolait vers une victoire qui ne souffre aucune discussion. Il ne connaissait qu'une seule alerte dans les trois derniers sets, effaçant les deux balles de break que se procurait son adversaire dans le quatrième jeu du quatrième set.
Andy Murray a ainsi subi sa troisième défaite consécutive en demi-finale à Church Road. L'Ecossais est simplement le deuxième joueur de l'ère Open à s'incliner à trois reprises sans connaître la victoire à ce stade de la compétition à Wimbledon, après l'Anglais Tim Henman...
Assuré de devenir no 1 mondial grâce à sa victoire fêtée en quatre sets face à Jo-Wilfried Tsonga dans la première demi-finale, Novak Djokovic veut maintenant ajouter la cerise sur le gâteau. Le Serbe, qui jouera sa première finale sur le gazon londonien, a cependant paru très crispé au moment de conclure alors qu'il servait pour le match dans la troisième manche. Il serait très certainement frustré d'accéder au 1er rang mondial au lendemain d'une défaite.
La pression sera moindre sur les épaules de Rafael Nadal, invaincu à Wimbledon depuis la défaite concédée en finale de l'édition 2007 face à Roger Federer. Sacré en 2008 et 2010 et absent sur blessure en 2009, le gaucher majorquin en est à 20 victoires d'affilée sur le gazon de Church Road. Il prendrait certainement un malin plaisir à gâcher la fête du nouveau numéro un mondial.
Les statistiques sont en outre plutôt favorables à l'Espagnol, qui a remporté 16 de leurs 27 premiers face-à-face. Novak Djokovic reste certes sur quatre succès, acquis en finale des Masters 1000 d'Indian Wells, Miami, Madrid et Rome cette année. Mais le Serbe a perdu les cinq duels livrés face à Rafael Nadal en Grand Chelem. Il s'était notamment incliné en quatre sets en finale du dernier US Open.
:diable:Va Nadal, j'ai parié un saladier sur ta victoire.........:fou::boutons::D
Wimbledon: Nadal défendra son titre en finale
Vamos Rafa :content:
Une finale à ne pas rater!!
Je ne suis ni pour l'un ni pour l'autre mais tant qu'on voit un beau match ça me plait. Les deux sont vraiment exceptionnel en ce moment, j'aimerais bien que Djoko gagne vu sa saison mais si c'est Nadal ça ne me gêne pas.
Donc allez Djoko quand même:):)
Une finale à ne pas rater!!
Je ne suis ni pour l'un ni pour l'autre mais tant qu'on voit un beau match ça me plait. Les deux sont vraiment exceptionnel en ce moment, j'aimerais bien que Djoko gagne vu sa saison mais si c'est Nadal ça ne me gêne pas.
Donc allez Djoko quand même:):)
:diable:NADAL:p:p:DJe parie mon slip (propre en ordre, repassé):)
Tennis
Wimbledon: la Tchèque Petra Kvitova victorieuse
02. juillet 2011, 16h55
LeMatin.ch
La Tchèque Petra Kvitova a gagné samedi son premier Wimbledon en battant en finale la Russe Maria Sharapova en deux petits sets 6-3, 6-4.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/Petra_0.jpg A 21 ans, la Tchèque Petra Kvitova s'est adjugée la finale de Wimbledon en deux petits sets, face à la Russe Maria Sharapova. © Keystone
La Tchèque Petra Kvitova a gagné samedi son premier Wimbledon en battant en finale la Russe Maria Sharapova en deux petits sets 6-3, 6-4.
La Tchèque Petra Kvitova a gagné samedi son premier Wimbledon en battant en finale la Russe Maria Sharapova en deux petits sets 6-3, 6-4.
Cette joueuse très athlétique (1,83 m), âgée de 21 ans, s’était révélée l’an passé en atteignant les demi-finales sur l’herbe anglaise alors qu’elle n’était pas tête de série. Elle avait alors perdu contre la future championne, l’Américaine Serena Williams.
Sa percée a été confirmée cette saison. En gagnant trois titres à Brisbane, Paris-Coubertin et Madrid, elle a fait son entrée dans le Top 10. Elle était tête de série N.8 à Londres.
Première Tchèque depuis 1998
Kvitova est la première Tchèque à remporter un tournoi du Grand Chelem depuis Jana Novotna à Wimbledon en 1998. "C’est difficile de trouver les mots avec ce trophée dans les mains et en voyant toutes les grandes joueuses qui sont dans la tribune", a dit la gagnante sous les yeux de Novotna et de Martina Navratilova, la plus grande championne tchèque de l’histoire, neuf fois titrée à Wimbledon.
"J’étais bien sûr nerveuse. Je me suis concentrée sur chaque point", a ajouté Kvitova, qui a eu beaucoup de mal à retenir ses larmes.
Bien que novice à ce niveau, la Tchèque n’a pas été saisie par la peur, à part sur le premier jeu, où elle a cédé d’entrée son service. Elle a tout de suite réagi en reprenant l’engagement de Sharapova.
Par la suite, elle a nettement dominé au service et du fond du court grâce à son grand coup droit. Après un nouveau break à 4-2, elle a conclu le premier set proprement 6-3.
Cinq breaks
Dans la deuxième manche, les deux joueuses ont eu du mal à conserver leur service. Après un échange de break, trois pour Kvitova et deux pour Sharapova, la Tchèque a conclu sur son premier ace du match après 1h 25 min de jeu, sans avoir été saisie par la peur de gagner.
Kvitova, qui devrait monter à la 7e place du classement WTA lundi, est la plus jeune gagnante de Wimbledon depuis... Sharapova, qui s’était imposée en 2004 à l’âge de 17 ans.
La Russe était pourtant favorite
La défaite est une énorme déception pour la Russe, qui retrouvait la finale sept ans après la victoire qui l’avait révélée et faisait figure de grande favorite.
Pas assez performante au service (6 doubles fautes), elle a été souvent prise de vitesse dans les échanges. Elle va néanmoins retrouver le Top 5 pour la première fois depuis son opération à l’épaule fin 2008.
FOOTBALL
L'Argentine bousculée pour le premier match de sa Copa America
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02. juillet 2011, 16h10
LeMatin.ch & les agences
Les matches d’ouverture réservent souvent des surprises et la Copa America 2011 n’y a pas échappé: la Bolivie a neutralisé l’Argentine (1-1), pays organisateur et grand favori de la compétition.
(http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)1 / 5
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/012218_XEM163_74dd1e2f.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#) Lionel Messi taclé par des joueurs boliviens © KEYSTONE
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/012259_XEM139_47a525c4.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#) Les Boliviens ouvrent le score par Rojas à la 47e. © KEYSTONE
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/012306_XEM143_7f682076.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#) Lionel Messi tente de se défaire de Jhasmany Campos, à g., et Roland Garcia. © KEYSTONE
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/012327_XDJ136_73ab262d.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#) Sergio Aguero égalise à la 75e. © KEYSTONE
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_play_thumb/video_thumbs/emvideo-youtube--AE-pnmtps0.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/012218_XEM163_74dd1e2f.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/012259_XEM139_47a525c4.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/012306_XEM143_7f682076.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/012327_XDJ136_73ab262d.jpg (http://www.lematin.ch/sports/football/international/largentine-bousculee-pour-le-premier-match-de-sa-copa-america#)
A La Plata, les Boliviens ouvraient la marque sur un but de Rojas dès l’entame de la seconde période (47e), sur lequel le gardien Romero n’était pas exempt de reproche.
Dès lors, le temps filait et le jeu offert par l’Argentine en première période, fondé sur la possession de balle, se délitait peu à peu. Heureusement pour Messi et ses coéquipiers, Agüero, cinq minutes à peine après son entrée en jeu, parvenait enfin à égaliser à l’issue d’un jeu en triangle (75e).
Même si elle a évité la catastrophe, il reste bien des réglages à faire dans cette équipe d’Argentine. Elle a notamment dû attendre une demi-heure pour voir un tir cadré grâce à Tevez. Le ballon bien a circulé, mais les Argentins ont souvent peiné à mettre le gardien adverse en danger.
Déchet technique
Messi était très actif au début, mais son influence déclinant au fil du match. Il partait de loin, comme il l’affectionne tant, avant de délivrer une passe tranchante à Tevez ou Lavezzi. Un retour bolivien ou une dernière maladresse, comme ce tir trop croisé de Lavezzi (25e), empêchait néanmoins le déblocage du score.
A la possession toute barcelonaise, l’Argentine ajoutait aussi un zeste d’individualisme, avec Banega ou Tevez partant dans des séries de dribbles souvent infructueuses, ou de déchet technique, à l’image d’un Lavezzi brouillon.
«C’est sûr que ce n’est pas ce que nous attendions. ais l’engagement de l’équipe me va, même si évidemment je ne suis pas content du résultat, parce que nous étions venus pour gagner», a reconnu Sergio Batista, le sélectionneur argentin. «Il y a des choses à améliorer et nous le savons, mais nous n’allons pas changer le schéma tactique. Notre déficit vient de nos pertes de balle. Ce résultat ne change rien et je suis convaincu que nous allons continuer à jouer ce cette manière.»
WIMBLEDON
Djokovic met le monde à ses pieds
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01. juillet 2011, 23h41
Christian Despont | Le Matin
3 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/tennis/djokovic-met-le-monde-ses-pieds#comments)
Hier, après sa victoire en demi-finale face à Tsonga, le Serbe est devenu numéro un mondial, avec le sentiment du destin accompli, bras en croix et yeux au ciel.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/djokovic_0.jpg Djokovic (Ser/2) bat Tsonga (Fr/12) 7-6 (7/4) 6-2 6-7 (9/11) 6-3. © Keystone
A 20 ans et toutes ses dents, Novak Djokovic avait promis de rayer Federer des mémoires, et d’installer son imagination au pouvoir. Paroles mutines. Paroles tenues. «J’ai travaillé toute ma vie, depuis l’âge de 4 ans, pour que ce jour survienne. Un rêve devient avènement», a commenté l’élu, bras en croix et yeux au ciel.
Novak Djokovic, élevé dans la conscience d’un destin supérieur, accédera lundi à la plus haute fonction du tennis, celle de numéro un mondial, après que le binôme Federer-Nadal ait confisqué le pouvoir pendant plus de sept ans. Le «Djoker» a perdu beaucoup de poids, un peu de son babillage hâbleur, mais il a su garder la foi, toujours. C’est d’un signe de croix que, après la balle de match, il montre sa joie. «J’ai vu défiler toute mon enfance, toute ma carrière.»
Epoque difficile
Hommage quand même: «Il a fallu que j’aligne cinquante victoires, et concède une seule défaite en sept mois, pour atteindre la première place mondiale. Les joueurs comme moi sont nés à une époque difficile. Celle du tandem Nadal-Federer.»
La consécration ultime l’attendait au bout de la demi-finale. C’était un rendez-vous si important que, en chemin, Novak Djokovic a commencé à devenir nerveux, peut-être même à penser qu’il n’y arriverait jamais. Breaké à 6-5 au troisième set, si près du but. Deux balles de match au tie-break, acte manqué. La sueur, la peur, l’âpreté de la tâche, tout ceci ne sentait pas bon. Mais Jo-Wilfried Tsonga, un peu moins spontané, constant et perspicace que devant Roger Federer, ne pouvait s’opposer à un destin aussi puissant. «J’aurais pu battre n’importe qui aujourd’hui, sauf Djokovic. En défense, Nole a couru partout et renvoyé des balles que je croyais inaccessibles. Il a parfaitement retourné mon service. J’admets sans peine que je n’étais pas le meilleur.»
Il croit en lui
A 20 ans et tous ses esprits, le Serbe possédait déjà cette science de l’imbroglio, d’abord exprimée avec des ardeurs un rien benêtes, œil rieur et sourire roublard, puis convertie en une vraie méthode de travail. Jamais l’insolent n’a prétexté son âge ou imploré la patience. Jamais il n’a pris match après match, dans le bonheur universel de progresser et d’espérer. «Quand il perdait, il était surpris», rappelle John McEnroe, devenu son ami. La défaite n’a jamais été à ses yeux qu’un stupide accident de travail.
«J’ai commencé à la montagne, dans un tout petit village. J’ai continué à Belgrade, où le tennis n’était pas vraiment populaire. Pendant la guerre, nous avons connu des temps difficiles. Mais avec ma famille, nous avons porté ce projet très loin, au-delà de tous les questionnements. Je n’ai pas cessé un seul instant de croire en moi.»
Novak Djokovic ne s’est jamais connu d’autre but dans la vie que devenir le meilleur. Son père, interrogé par L’Equipe, participe de cette approche quasi messianique: «Quand Nole avait 12 ans, il m’a dit qu’il rêvait de figurer parmi le top 20. Je lui ai répondu: «Dans ce cas, j’arrête tout de suite.» A quoi bon fixer des objectifs qui, une fois atteints, n’offrent aucune autre perspective que le déclin? Il faut rêver du but ultime. D’ailleurs, nous avons toujours pensé que Novak serait numéro un mondial. Quand son frère Marko l’a félicité pour son deuxième rang, nous l’avons calmé.»
L’entreprise familiale gère aujourd’hui des revenus à sept chiffres, dans des dérivés infinis (textile, cosmétique, immobilier, académie, événementiel sportif). A Belgrade, Novak Djokovic ne se déplace jamais sans quatre agents de la brigade antiterroriste. Il est devenu le numéro un, le parangon de réussite. Il est devenu Novak Djokovic.
;)BRAVO on change de menu........:amoureux:
CYCLISME
Tour de France: Philippe Gilbert remporte l'étape
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02. juillet 2011, 17h46
LeMatin.ch & les agences
Le Belge Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté la 1re étape du Tour de France. Il s’est ainsi emparé du maillot jaune.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/021639_TDF22_4ad27d9d.jpg Philippe Gilbert © KEYSTONE
Philippe Gilbert remporte l'étape. Le leader d'Omega Pharama Lotto a lâché Fabian Cancellara puis résisté au retour de Cadel Evans.
Cette étape, qui menait les 198 coureurs du Passage du Gois au Mont des Alouettes sur 191.5 km, a coûté cher au grand favori du Tour, l’Espagnol Alberto Contador (Saxo Bank). Le récent vainqueur du Giro a été la victime indirecte d’une grosse chute collective survenue à 9 km de l’arrivée et qui a coupé le peloton en deux.
Contador a été accompagné dans son malheur par son dauphin de l’an passé, Andy Schleck (Lux). Les deux hommes ont franchi la ligne avec 1’20’’ de retard sur le vainqueur. Bradley Wiggins (GB/Sky), outsider sérieux après son succès au Dauphiné, a aussi perdu du terrain dans l’aventure (1’29’’).
Philippe Gilbert, qui portait l’étiquette de grand favori de cette arrivée en côte, a répondu aux attentes. Le champion de Belgique, grand dominateur des classiques printanières, a contré parfaitement après l’attaque de Fabian Cancellara peu après la flamme rouge.
Wimbledon
Premier sacre de Novak Djokovic à Wimbledon
03.07.2011 17:43 - mise à jour: 18:30 http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/27/3247182.image?w=480&h=270 Novak Djokovic est bien le meilleur joueur du moment. [Alastair Grant - Keystone]
Novak Djokovic a fêté son accession au rang de no1 mondial par un triomphe sans appel en finale de Wimbledon. Le Serbe a dominé Rafael Nadal 6-4 6-1 1-6 6-3 et remporte son 3e titre du Grand Chelem, le premier à Londres.
Novak Djokovic a remporté son premier Wimbledon en battant Rafael Nadal, tenant du titre, en quatre sets dimanche en finale. Avec cette troisième victoire en Grand Chelem, Djokovic, qui était assuré depuis deux jours de ravir la place de no1 mondial à Nadal au prochain classement lundi, confirme qu'il est bien le meilleur joueur du moment.
C'est l'accomplissement d'un rêve pour le Serbe qui s'est mis au tennis à l'âge de quatre ans après avoir suivi le tournoi londonien à la télévision. "C'est difficile de décrire mes émotions, c'est le plus grand jour de ma vie. C'est mon tournoi préféré, le premier que j'ai regardé, celui que j'ai toujours rêvé de gagner", a réagi le Serbe, tombé à la renverse après la balle de match avant de faire le tour du court et de lancer ses raquettes dans le public.
C'est aussi un événement de taille dans l'histoire du tennis puisque Djokovic brise à double titre la domination du duo Federer-Nadal qui a monopolisé la place de no1 mondial depuis plus de sept ans et qui avait remporté les huit dernières éditions de Wimbledon. Djokovic a remporté son huitième tournoi de l'année et son 48e succès en 49 matches cette saison.
Première victoire contre Nadal en Grand Chelem
http://www.tsr.ch/2011/07/03/16/37/3247048.image?w=230&h=165 Novak Djokovic a remporté son 5e succès de rang face à Rafael Nadal. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/03/16/37/3247048.image?w=418&h=300)En confiance après ses quatre finales de suite remportées face à Nadal en 2011, le Serbe de 24 ans l'a battu pour la première fois en six rencontres du Grand Chelem en prenant l'Espagnol à son propre jeu. Hormis un coup de pompe spectaculaire au troisième set, il a dominé Nadal du fond du court grâce à sa formidable défense. Il a limité les fautes directes pour mettre l'Espagnol constamment sous pression. L'Espagnol a craqué en premier, sur son service dans le dernier jeu du premier set où Djokovic a converti la toute première balle de break de la partie sur une faute en coup droit de son adversaire.
Au set suivant, Djokovic, qui était apparu tendu en début de match, a évolué à un niveau démentiel, faisant ressembler Nadal et ses dix titres du Grand Chelem à un petit garçon égaré sur le Central le plus célèbre du monde. "Contre le meilleur joueur du monde qui a gagné deux fois ici et qui m'avait toujours battu dans les grands matches, je me devais d'être au top de mon jeu et je crois que j'ai joué le meilleur match sur gazon de ma carrière", a-t-il dit.
Troisième défaite en finale pour Nadal
http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/28/3247187.image?w=230&h=165 Rafael Nadal n'a pu que constater la supériorité du Serbe. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/28/3247187.image?w=418&h=300)Après avoir digéré sa nette baisse de régime, Djokovic est reparti de plus belle pour remporter les trois derniers jeux du match et infliger à Nadal sa première défaite au All England Lawn Tennis Club depuis 2007. C'est seulement la troisième finale sur treize que Nadal perd en Grand Chelem, à chaque fois à Wimbledon où il s'est imposé en 2008 et 2010 et a perdu face à Federer en 2006 et 2007 en finale. Il avait été absent en 2009.
"Quand j'avais gagné pour la première fois ici, ça a été une énorme émotion, alors je peux imaginer ce que ressent Novak aujourd'hui. C'est un jour spécial pour lui", a déclaré Nadal. Vainqueur de l'Open d'Australie en 2008 et 2011, Djokovic remporte son premier tournoi du Grand Chelem ailleurs qu'à Melbourne. C'est le 26e titre de sa carrière et son premier sur gazon.
Dans le passé, seuls Michael Stich, en 1991, et Andre Agassi, en 1992, ont remporté leur premier titre sur herbe à Wimbledon. Après la victoire de la Tchèque Petra Kvitova dans le simple dames la veille, la victoire de Djokovic est la deuxième grande première du week-end et elle vient elle aussi de l'Europe de l'Est.
afp/alt
MILLES, le 03.07.2011 à 18:48Imaginez la surface de RG rendue plus vite comme Wimbledon ralentit si fortement, évoluerons-nous sur deux surfaces diffférentes? Depuis quelques années WIM est devenu RG sur herbes et favorise plus certains joueurs que d'autres. Dommage.
anonyme, le 03.07.2011 à 18:22@Stef, oui wimbledon c'est le plus prestigieux des tournoi, le plus beau le plus grand pour beaucoup de raison, c'est vrai Roland Garros est plus dure a gagner, mais l'histoire du tennis a commencé las Bas! en plus le public anglais pour ce qui est du Tennis est fantastique ! Respecteux et connaisseur! Joué sur l'herbe y'as pas mieux car j'ai eu la chance d'y jouer et c'est merveilleux!
Rogi Fidirir, le 03.07.2011 à 18:22Nadal a trouvé son Maître !
Sacha, le 03.07.2011 à 18:15parce que probablement les gens comprennent pas le mot respect, un joueur qui joue un peu au tennis comme moi R4, sait que sans adversaire pas de tennis! et qui oui pendant le match c'est mode combat! mais oui ne jamais se complaire dans la défaite d'un adversaire mais au contraire le féliciter ! Bravo a tous les deux deux grand Champions ! merci pour ce tennis de rêve!
ohyeah, le 03.07.2011 à 18:15A coucouroucoucou : ça n'a rien à voir avec du chauvinisme vu que là on tient pour un Serbe. et oui le chauvinisme est le monopole des Français!!!
Richie, le 03.07.2011 à 18:15NOVAK DJOKOVIC LA NOUVELLE STAR MONDIALE DU TENNIS !
Federer et Nadal, bye bye !
coucouroucoucou, le 03.07.2011 à 18:00Dommage que certains se réjouissent de la défaite de Nadal. Dans la presse espagnole, il y a beaucoup de respect pour Federer. Le chauvinisme n'est pas le monopole des Français apparemment ...
Oussama Muse, le 03.07.2011 à 17:53Incroyable? Nadal a craqué! Serait-ce le début de la fin d?un mythe??! En tout cas, je suis très, très très content!!!
http://oussamamuse.wordpress.com/2011/06/14/allons-donc-a-wimblelondon/
Stef, le 03.07.2011 à 17:53Wimbledon le plus prestigieux ? avec Roland Garros qui l est tout autant et qui est le plus dur a gagner.
:non:Pas être déçu Pechos, c'est amplement mérité.....;):content:bravo Nole
Tour de France
Thor Hushovd endosse le maillot jaune
03.07.2011 17:28 - mise à jour: 18:48 http://www.tsr.ch/2011/07/03/16/17/3247022.image?w=480&h=270 Thor Hushovd, avec son maillot à pois rouges, a réalisé un coup de maître avec son équipe Garmin. [Laurent Rebours - Keystone]
La 2e étape du Tour de France a souri à l'équipe Garmin, vainqueur du contre-la-montre par équipes aux Essarts. Membre de cette formation américaine, Thor Hushovd s'empare du maillot jaune devant son coéquipier David Millar et Cadel Evans.
La formation Garmin-Cervelo a gagné la 2e étape du Tour de France, un contre la montre par équipes aux Essarts (23 km). Son leader, le champion du monde Thor Hushovd, prend le maillot jaune. Emmenée aussi par le rouleur britannique David Millar, l'équipe Garmin a été la meilleure dans cet exercice particulier et très difficile. Sur un tracé aussi court, les écarts n'ont pas été très importants.
Ainsi, les BMC de Cadel Evans (Aus) et les Sky de Bradley Wiggins (GB) ont cédé 4'' à l'équipe victorieuse. Derrière, les Leopard-Trek de Cancellara et des frères Schleck sont à 5'', de même que la formation HTC Highroad (Martin, Cavendish). Déjà distancé la veille, Alberto Contador a perdu encore un peu de terrain. Son équipe (Saxo Bank) a pris le 8e rang de l'étape à 28''. L'Espagnol, triple vainqueur de la Grande Boucle, se retrouve déjà à 1'38'' d'Andy Schleck (Lux), son dauphin de 2010.
http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/07/3247153.image?w=230&h=165 Thor Hushovd a ravi le maillot jaune à Philippe Gilbert. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/07/3247153.image?w=418&h=300)Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a comme prévu cédé le maillot jaune, son équipe concédant 39''. Thor Hushovd (33 ans), champion du monde en titre, occupe la tête du général. Son coéquipier David Millar est 2e dans le même temps, alors que Cadel Evans est 3e à 1''. "On a très bien couru. C'était un objectif. Je me sentais fort, j'avais beaucoup d'énergie. Tous les autres ont bien couru, c'est ce qu'il faut dans un contre-la-montre par équipes", a déclaré le nouveau leader du général.
Contador: "Schleck et Evans sont les favoris"
http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/48/3247221.image?w=230&h=165 Alberto Contador peut faire la moue après un début de Tour très mitigé. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/48/3247221.image?w=418&h=300)Alberto Contador a désigné dimanche Andy Schleck et Cadel Evans pour favoris du Tour de France alors que lui-même pointe en 75e position, à 1'42" du leader Thor Hushovd après les deux premières étapes. Interrogé sur les sifflets qui l'ont accueilli jeudi lors de la présentation du Tour de France, le triple vainqueur de l'épreuve a affirmé que cela lui avait "fait mal au coeur".
"C'est très dur d'être là au milieu de cette foule. Tu te sacrifies pour le Tour, tu fais des efforts, tu obtiens des résultats qui sont le résultat de ces efforts... Etre reçu comme ça, ça fait mal au coeur, pas seulement pour moi mais aussi pour mon équipe", a déclaré l'Espagnol dans l'émission Stade 2 (France Télévisions).
Sur la course, Contador a jugé que "la situation actuelle dans le Tour est ouverte". "J'ai un problème, j'ai presque deux minutes de retard. Andy (6e à 4 secondes) est très fort dans la montagne et les derniers Tours se sont gagnés pour quelques secondes. Evans (3e à une seconde) est un coureur très solide, il peut prendre l'avantage sur les autres. Je pense ce sont les deux favoris", a-t-il poursuivi.
Revenant sur l'épisode de la veille au Mont des Alouettes (retard provoqué par une chute collective), il a estimé qu'il n'y avait "pas d'erreur" de sa part. "Les coureurs arrivaient par les côtés, il n'y avait pas beaucoup d'espace et juste devant moi, il y a eu une chute. Je suis toujours concentré à 100%. Ca a été une question de malchance", a-t-il estimé.
Sur sa participation au Tour alors qu'il est dans l'attente d'une décision définitive pour un contrôle antidopage positif datant de juillet 2010, il a jugé que la situation n'était "bien pour personne". "Ca a été une dernière année très difficile, a-t-il affirmé. J'aimerais que (l'affaire) soit terminée. Les experts savent qu'il ne s'agit pas de dopage. (...) Ce qui est difficile, c'est cette attente. J'espère que ça se réglera vite, et je suis optimiste".
Autres sports
Hansueli Sprunger sacré champion de Suisse
03 juillet 2011 18:40 http://www.tsr.ch/2011/07/03/18/39/3247206.image?w=480&h=270 Hansueli Sprunger a surpris la concurrence à Schaffhouse. [SAMUEL GOLAY - Keystone]
Surprise aux championnats de Suisse de saut à Schaffhouse. Hansueli Sprunger, plus âgé des cavaliers en lice, a décroché son 2e titre national. Le Bâlois de 59 ans a devancé Beat Mändli, alors que Steve Guerdat a dû se contenter de la 11e place.
Hansueli Sprunger a fait valoir toute son expérience dans les championnats de Suisse de saut d'obstacles à Schaffhouse. Le Bâlois de 59 ans, qui était le plus âgé des 47 cavaliers engagés, a conquis sur Kepi de Valse son deuxième titre national après celui décroché en 1999.
En tête après la première comme après la deuxième épreuve, Sprunger a su préserver sa maigre avance sur ses poursuivants au terme d'un Grand Prix suivi par près de 4000 spectateurs dimanche. Il terminait ces joutes avec 4,25 points et devançait de justesse le Schaffhousois Beat Mändli (5,42), 2e sur Louis. Les deux hommes ont signé un double sans-faute dimanche.
Guerdat pas dans le top-10
La médaille de bronze est revenue au duo Simone Wettstein/Cash and Go (6,34). La Zurichoise de 38 ans, qui n'a pas non plus commis de faute dans le Grand Prix, glane à 38 ans sa première médailles dans des joutes nationales au sein de l'élite.
Tenante du titre, Claudia Gisler n'a pu faire mieux que 5e avec Touchable. La Bulloise Christina Liebherr a obtenu le meilleur résultat romand en terminant 8e sur Callas Sitte. Le Jurassien Steve Guerdat s'est quant à lui classé 11e avec Nino des Buissonnets.
si/alt
Autres sports
Vladimir Klitschko est toujours le maître
03 juillet 2011 09:39 http://www.tsr.ch/2011/07/03/09/38/3246594.image?w=480&h=270 Vitali et Vladimir Klitschko détiennent tous les titres mondiaux chez les poids lourds. [Keystone]
Vladimir Klitschko est devenu, samedi soir à Hambourg, champion du monde des poids lourds unifié (WBO/WBA/IBF). Le colosse ukrainien a battu aux points, à l'unanimité des trois juges, le Britannique David Haye.
Vladimir Klitschko reste le maître de la catégorie des poids lourds. L'Ukrainien est devenu champion du monde, version unifiée WBO, WBA et IBF, après sa victoire samedi soir sur le Britannique David Haye. Klitschko (35 ans) s'est imposé largement aux points à l'unanimité des trois juges (117-109, 118-108, 116-110) à l'issue d'un combat en 12 reprises, disputé dans le stade de football de Hambourg par une fraîche température (12 degrés).
L'Ukrainien plus grand (1,99 m contre 1,91 m), a profité une nouvelle fois de cet avantage pour tenir à distance son adversaire avec son poing gauche en avant. L'Anglais, plus mobile, plus rapide, a bien essayé de troubler l'organisation de Klitschko. Il y est parvenu à plusieurs reprises en plaçant sa droite, mais pas suffisamment pour faire tomber son adversaire et pour les juges-arbitres.
Une affaire de famille
Le combat commençait vraiment à la 3e reprise où les deux boxeurs se donnaient coup pour coup. A la 6e, Klitschko était légèrement coupé à la pommette gauche. A la 7e il prenait un avertissement pour s'être appuyé fortement et à plusieurs fois sur le dos de son adversaire. Mais il en fallait davantage pour déstabiliser le géant Ukrainien, même si ce combat a été sûrement l'un des plus difficile de sa carrière.
Vladimir Klitschko compte désormais 56 victoires, dont 49 par KO, en 59 combats. Son frère aîné Vitali, 40 ans, détient pour sa part le titre WBC des poids lourds, qu'il remettra en jeu le 10 septembre contre le Polonais Tomasz Adamek. C'est la première famille de l'histoire de la boxe à détenir tous les titres dans une catégorie.
David Haye, 30 ans, n'a pas réussi à mettre fin au règne des Klitschko. Son bilan est désormais de 26 victoires dont 23 par KO en 28 combats.
Garmin vainqueur, Gilbert perd le jaune au profit d'Hushovd
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7S7 mise à jour La formation Team Garmin du Norvégien Thor Hushovd a remporté dimanche la deuxième étape du Tour de France, disputée sous forme d'un contre-la-montre par équipes de 23 km autour des Essarts.
Philippe Gilbert, dont l'équipe Omega Pharma-Lotto a pris que la 10e place, a perdu son maillot jaune, endossé samedi au terme de la 1ère étape au Mont des Alouettes, au profit du champion du monde norvégien. L'équipe américaine d'Hushovd et de David Zabriskie a décroché sa première étape sur la Grande Boucle en bouclant son parcours en 24:48.
Contador à 1.40 de Schleck et Evans
Elle a devancé de 4 secondes les équipes BMC de l'Australien Cadel Evans, 2e, et Sky du Britannique Bradley Wiggins, 3e. L'équipe Team Leopard des frères Schleck, emmené par sa locomotive suisse Fabian Cancellara, a terminé 4e à 5 secondes. Saxo Bank et l'Espagnol Alberto Contador ont limité les dégats en prenant la 8e place à 28 secondes de Garmin, mais le vainqueur du Tour 2010 voit néanmoins des concurrents comme Evans et les Schleck compter à présent plus de 1:40 d'avance sur lui.
Les équipes belges Omega Pharma-Lotto, 10e et Quick Step, 14e, ont terminé à respectivement 39 et 56 secondes de Garmin. Au classement général, Hushovd, qui était pointé samedi soir à six secondes de Gilbert, précède désormais son équipier écossais David Millar et d'une seconde Cadel Evans. (belga/mb)
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03/07/11 17h32
Contador: "Du temps difficile à récupérer"
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Alberto Contador a reconnu samedi soir que le temps perdu à l'arrivée de la première étape du Tour de France, au Mont des Alouettes, serait difficile à récupérer.
"Dans le cyclisme d'aujourd'hui, les courses se gagnent et se perdent en secondes. Alors, perdre 1 min 15 sec (environ) sur tous les favoris, c'est un écart qu'on a du mal à récupérer", a déclaré l'Espagnol.
"J'ai passé une journée difficile, il y avait beaucoup de tension, des coureurs qui remontaient sans cesse vers l'avant", a raconté le triple vainqueur du Tour, pris dans une chute massive à 9 kilomètres de l'arrivée.
"J'étais très près de la tête du groupe, mais des coureurs sont tombés devant moi. J'ai réussi à freiner à temps et j'ai passé comme j'ai pu. Mais le groupe était loin", a expliqué le Madrilène.
"C'est le cyclisme !, a poursuivi Contador. Il vaut mieux penser à la suite et être optimiste. Ce sont des choses qui peuvent se produire. Aujourd'hui, c'est sur moi que c'est tombé, un autre jour ce sera sur quelqu'un d'autre. Je n'ai pas eu de chance mais le Tour est long."
Contador a évoqué le contre-la-montre par équipes de dimanche aux Essarts (23 km): "J'espère que les écarts ne seront pas trop importants. Si on les ajoute au temps perdu aujourd'hui, ça risque d'être compliqué."
Djokovic fait honneur à son statut de numéro 1
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7S7 mise à jour Novak Djokovic a remporté son troisième titre du Grand Chelem en dominant Rafael Nadal en finale de Wimbledon (6-4 6-1 1-6 6-3). Il s'agit du huitième trophée pour le joueur serbe cette saison sur neuf tournois disputés. "Nole" est au-dessus du lot en ce moment.
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Le Serbe Novak Djokovic, 24 ans, nouveau numéro 1 mondial à partir de ce lundi, a justifié ce rang en battant son prédécesseur espagnol Rafael Nadal, 25 ans, en quatre sets, 6-4, 6-1, 1-6 et 6-3, dimanche en finale du tournoi de Wimbledon. Il s'agit de la première victoire de sa carrière sur le gazon londonien.
Djokovic disputait dimanche sa cinquième finale en Grand Chelem. Il a remporté l'Open d'Australie en 2008 et en 2011 et perdu en finale de l'US Open en 2007 (contre Roger Federer) et 2010 (contre Rafael Nadal). Il sera lundi le le 25e N.1 mondial depuis l'instauration du classement ATP en 1973. Il succèdera en effet à Rafael Nadal, qui avait lui-même détrôné Roger Federer en gagnant Roland-Garros en 2010.
Le Serbe brise ainsi la domination du duo Federer-Nadal qui monopolisait la place de N.1 mondial depuis plus de sept ans, et qui avait remporté les huit dernières éditions de Wimbledon. Djokovic a remporté son huitième tournoi de l'année et son 48e succès en 49 matches cette saison. En confiance après ses quatre finales d'affilée remportées face à Nadal en 2011, le Serbe l'a battu pour la première fois en six rencontres du Grand Chelem en prenant l'Espagnol à son propre jeu.
Hormis un coup de pompe spectaculaire au troisième set, il a dominé Nadal du fond du court grâce à sa formidable défense. Il a limité les fautes directes pour mettre l'Espagnol constamment sous pression. (belga/mb)
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03/07/11 17h54
Turquie-Russie, la finale de l'Euro de basket chez les dames
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La Turquie a battu la France, tenante du titre, 68-62 a.p. (fin du temps réglementaire: 60-60), vendredi à Lodz en demi-finale de l'Euro-2011 dames de basket-ball.
En finale, la Turquie, équipe surprise de la compétition, rencontrera dimanche (20h30), la Russie, qui a largement battu la République tchèque (85-53) dans l'autre demi-finale.
Cette finale marque le retour en grâce de la Russie, qui avait achevé à une décevante 7e place le Mondial 2010.
2011 pourrait être l'année des Russes, qui ont pris l'habitude d'être sacrées championnes d'Europe tous les quatre ans: toujours finalistes depuis 2001, elles ont remporté l'or en 2003 et 2007, et l'argent en 2001, 2005 et 2009.
Comme en phase de poule, où elles avaient fait subir à la République tchèque sa seule autre défaite de la compétition (69-55), en ayant compté plus de 22 points d'avance, les Russes n'ont jamais été inquiétées. (belga/chds)
Demi-finales
Vendredi:
République Tchèque - Russie 53-85 (26-39)
France - Turquie 62-68 a.p. (60-60, 31-38)
Finale
Dimanche (20h30):
Russie - Turquie
Match pour la 3e place
Dimanche (18h00):
France - République Tchèque
Samedi
Match pour la 7e place:
Lettonie - Lituanie (18h00)
match pour la 5e place:
Croatie - Montenegro (20h30)
02/07/11 00h11
:)Vlà pour ce dimanche.......Bonne lecture
Content pour Djoko, il le mérite avec ce début de saison. 50 victoires en 51 matchs:fou::fou::fou: Seul un phénoménal Federer l'a battu à Roland Garros. Aujourd'hui Nadal a eu du mal au début avant de revenir dans le match. Mais Djoko a gagné les points importants
Le retard de Contador réduit sur tapis vert?
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© reuters
Le directeur sportif de l'équipe Saxo Bank, le Danois Bjarne Riis, veut voir le retard de son leader Alberto Contador réduit sur le tapis vert. C'est ce qu'a annoncé le journal espagnol AS dimanche.
L'équipe va en effet demander aux commissaires de course de réduire l'écart qu'Alberto Contador a accumulé sur le vainqueur de la première étape, Philippe Gilbert, de 1 minute et 20 secondes à 34 secondes. Contador avait été retardé suite à une chute massive à 9 kilomètres de l'arrivée.
Selon Riis, Contador a aussi été gêné par l'autre chute, survenue à deux kilomètres de l'arrivée. Avant de devoir mettre pied à terre, l'Espagnol se trouvait à une trentaine de secondes du groupe de Gilbert.
Lors de la deuxième chute, Contador avait rejoint son principal rival pour la victoire finale, Andy Schleck. Le Luxembourgeois a eu la chance que cela s'était produit dans les trois derniers kilomètres et a donc été crédité du même temps que le peloton. (belga/mb)
;)Pour.tous ou rien..........:diable:
Vanhoenacker gagne l'Ironman d'Autriche et bat le record mondial
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© reuters
Marino Vanhoenacker a remporté pour la 6e année consécutive l'Ironman d'Autriche, dimanche à Klagenfurt, signant en 7h45:58 un nouveau record mondial sur le circuit de triathlon complet (3,8 km natation, 180 km vélo et 42,195 à pied). Le Brugeois de Jabbeke a amélioré de plus de quatre minutes de la meilleure marque mondiale sur Ironman, toujours détenue par Luc Van Lierde (7h50:27 à Roth en 1996), un autre Brugeois, qui a mis un terme à sa carrière internationale en 2009.
Cinquième en 46:49 après la natation, le militaire de carrière a fait la différence en vélo à plus de 42 km/h de moyenne. Il a signé en 4h15:37 le 2e meilleur temps vélo jamais réalisé dans l'histoire du circuit signé, bouclant ensuite son marathon en 2h39:24. L'an dernier déjà, il était passé à 98 secondes de la marque de Van Lierde en terminant en 7h52:05.
Malgré une côte cassée en début de saison, qui l'avait privé d'une participation en Afrique du Sud, le triathlète belge décroche là son 9ème succès sur Ironman. A ses 6 victoires autrichiennes s'ajoutent également des succès aux Ironman de Floride (2005), d'Afrique du Sud (2009) et de Malaisie (2010).
Avec les point gagnés en Autriche au classement KPR, Vanhoenacker est assuré de sa participation à Hawaii, où il avait pris la 3e place en 2010. Il compte désormais 6900 points et grimpe à la 4e place de ce classement qualificatif dont les 40 premiers sont qualifiés pour Hawaii.
Football
Un terne Brésil déçoit face au Venezuela
03 juillet 2011 23:04 http://www.tsr.ch/2011/07/03/21/45/3247419.image?w=480&h=270 Le Brésilien Robinho (en jaune) à la lutte avec le Vénézuélien Gabriel Cichero. [Natacha Pisarenko - Keystone]
Le Brésil n'a pas davantage convaincu que l'Argentine pour son entrée en lice dans la Copa America. La Seleçao, qui a été tenue en échec par le Venezuela (0-0), aurait-elle perdu un peu de son lustre légendaire?
La Copa America a commencé de manière mitigée pour le Brésil. A Cordoba (groupe B), les auriverde ont en effet été tenus en échec 0-0 par le Venezuela après une prestation globalement décevante.
Face à une formation bien en place, qui s'est efforcée de réduire les espaces dans son camp au maximum, le Brésil a été gêné. Ses vedettes n'ont pas vraiment justifié leur réputation, à l'image d'un Neymar trop personnel ou d'un Pato parfois maladroit dans ses contrôles. La Seleçao a peiné à changer de rythme pour bousculer son adversaire.
Les Brésiliens ont été malchanceux à la 25e, sur un tir de Pato repoussé par la transversale. Robinho, bien placé suite à un contre fulgurant, voyait son tir être repoussé par l'épaule d'un défenseur tombé au sol alors que le gardien était battu (39e). A part ces deux actions, les quintuples champions du monde n'ont rien produit de menaçant pour le portier adverse.
Le jeu brésilien a perdu de son liant en seconde période, et le Venezuela a porté quelques attaques dangereuses. L'outsider n'a ainsi rien volé en obtenant un point.
si/tai
En sport automobile, le Genevois Alain Menu a fêté son 3e succès de la saison en WTCC, à Porto
03 juillet 2011 18:35
Alain Menu (Chevrolet) a fêté son troisième succès de la saison en WTCC. A Porto, le pilote genevois a remporté la 1re course après s'être élancé de la pole position. Il a mené durant toute l'épreuve pour devancer ses coéquipiers Yvan Muller (FRA) et Rob Huff (GBR). Réglement oblige, le Suisse partait de la 8e position pour la seconde course. Englué dans le trafic, il ne pouvait pas faire mieux que 6e. C'est le leader du championnat, Rob Huff, qui s'imposait après une lutte musclée avec son coéquipier Yvan Muller.
;)Départ permanence, vais mre faire percer la citrouille qui me sert de genoux:bad::langueŽ:
Il fait beau, ben journée calme pas de promenade aujourdhui:pleure:
Bonne journée à tous, évitez le sport:langueŽ::D
En sport automobile, le Genevois Alain Menu a fêté son 3e succès de la saison en WTCC, à Porto
03 juillet 2011 18:35
Alain Menu (Chevrolet) a fêté son troisième succès de la saison en WTCC. A Porto, le pilote genevois a remporté la 1re course après s'être élancé de la pole position.
Quel champion, une légende du wtcc :thumbleft:
Cyclisme
Tour de France: la 3e étape à l'Américain Tyler Farrar
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04. juillet 2011, 17h50
LeMatin.ch & les agences
L'Américain de l'équipe Garmin Tyler Farrar a remporté au sprint la 3e étape du Tour de France à Redon. Son coéquipier norvégien Thor Hushovd conserve le maillot jaune de leader.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116336516.JPG Tyler Farrar remporte au sprint la 3e étape de la Grande Boucle. © KEYSTONE
Tyler Farrar (Garmin) a remporté au sprint à Redon la 3e étape du Tour de France cycliste. L'Américain a devancé le Français Romain Feillu et le champion d’Espagne Jose Joaquin Rojas.
Le coéquipier norvégien de Farrar Thor Hushovd a conservé le maillot jaune de leader.
L’Américain, bien lancé par le champion du monde, a enlevé son premier succès d’étape dans le Tour, le jour de la fête nationale américaine. En franchissant la ligne, Farrar a dessiné avec ses doigts les lettres WW, en hommage à son ami, le coureur belge Wouter Weylandt, victime d’une chute mortelle en mai dans la 3e étape du Giro.
Le Britannique Mark Cavendish s’est classé cinquième du sprint derrière le Français Sébastien Hinault (4e) et devant Hushovd (6e).
L’étape, longue de 198 kilomètres, a été courue sous la chaleur entre Olonne-sur-Mer (Vendée) et Redon (Ille-et-Vilaine). Elle a été ouverte par une échappée de cinq coureurs lancée dès le 1er kilomètre, à la sortie d’Olonne-sur-mer.
L'échappée prend fin à 9 km de l'arrivée
Les Français Mickaël Delage et Maxime Bouet, les Espagnols Ivan Gutierrez et Ruben Perez Moreno, le Néerlandais Niki Terpstra, ont compté une avance supérieure à 8 minutes (Km 74) avant que le peloton réduise l’écart à l’approche du pont de Saint-Nazaire.
Sous l’effet du vent de côté, le peloton s’est coupé en trois au passage du pont avant de se reconstituer quelques kilomètres plus loin, au soulagement de l’Italien Ivan Basso, l’un des distancés.
L’échappée a pris fin à 9 kilomètres de l’arrivée, quand ses derniers rescapés, Gutierrez et Delage, qui comptaient 40 sec à leur avance ont fini par être rejoints.
Dans le sprint, Cavendish a perdu le sillage de ses coéquipiers chargés de l’emmener, à quelque 1800 mètres de la ligne. Le Britannique, vainqueur de quinze étapes lors des trois dernières éditions, est revenu ensuite à l’avant sans pouvoir se mêler à la lutte pour la victoire.
Farrar, emmené par Hushovd puis par son "lanceur" néo-zélandais Julian Dean, a résisté au retour de Romain Feillu pour s’imposer nettement.
L’Américain, qui vit à Gand pendant la saison européenne, est âgé de 27 ans. Il dispute le Tour pour la 3e fois et compte déjà à son palmarès des succès d’étape sur le Giro et la Vuelta.
OLYMPISME
Le sort de la candidature d'Annecy aux JO 2018 se jouera mercredi
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04. juillet 2011, 08h31
LeMatin.ch & les agences
Jacques Rogge, président du CIO, annoncera à Durban (Afrique du sud), mercredi vers 17 heures, le nom de la ville élue pour accueillir les JO 2018.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/annecy2018.jpg Annecy saura mercredi si elle accueillera les Jeux Olympiques d'hiver en 2018. © LUCIEN FORTUNATI-a
Le CIO entame lundi par la réunion de sa commission exécutive une semaine animée à Durban (Afrique du sud), qui culminera mercredi en fin d'après-midi avec l'élection de la ville hôte des JO d'hiver 2018 que se disputent Annecy, Munich (Allemagne) et Pyeongchang (Corée du Sud).
C'est par les courtes retrouvailles de son exécutif que le CIO va ouvrir les festivités. En raison des noces du prince Albert de Monaco, membre du CIO qui avait invité l'ensemble de ses collègues à son mariage avant de rejoindre Durban, la réunion de la quinzaine de membres du gouvernement olympique a été repoussée et concentrée sur une après-midi, lundi.
Ce devrait être suffisant pour valider, ou non, les disciplines admises au programme olympique dès Sotchi 2014, notamment le saut à skis féminin, le ski et snowboard slopestyle ou le patinage artistique par équipes, et lancer le processus de révision pour celui des JO d'été 2020.
Pendant ce temps, les partisans des candidatures ne vont pas chômer. A pied d'oeuvre pour la plupart depuis vendredi dernier, ils sont entrés dans un compte à rebours qui s'achèvera mercredi vers 17 heures avec l'annonce par Jacques Rogge, président du CIO, du nom de la ville élue pour accueillir les JO 2018, quatre ans après Sotchi.
Dans l'intervalle, Charles Beigbeder, Katharina Witt et Yang-Ho Cho, patrons des trois candidatures, auront rencontré (ou tenté de) un maximum de membres du CIO à l'opinion jugée indécise pour tenter de les rallier à leur cause. Une tâche titanesque pour Annecy qui est loin d'avoir les faveurs de pronostics de plus en plus favorables à Munich face à Pyeongchang, favorite historique mais deux fois battue par le passé (pour 2010 et 2014).
Car si les trois dossiers sont techniquement au coude à coude selon les appréciations de la commission d'évaluation du CIO rendues publiques en mai, il n'en est pas de même de leur poids politique, Annecy accusant un sérieux retard sur ses rivales.
Dans leur ultime quête de voix, les techniciens seront aidés des politiques venus en Afrique du Sud tenter de refaire le coup de Tony Blair (Londres-2012), Vladimir Poutine (Sotchi-2014) ou Lula (Rio-2016), décisifs dans la victoire de leur camp.
Mais ni Christian Wulff, le président allemand, ni Lee Myung-bak son homologue sud-coréen sur place depuis samedi, ni François Fillon, le premier ministre français dépêché aux antipodes pour pallier la défection du président Nicolas Sarkozy, ne paraissent en mesure d'emporter à eux seuls le morceau.
Une fois la page électorale refermée, la session du CIO se penchera sur des sujets moins spectaculaires, jeudi, vendredi et samedi. L'assemblée plénière devrait ainsi valider par vote les décisions prise par la commission exécutive lundi et introniser trois nouveaux membres.
OLYMPISME
Le sort de la candidature d'Annecy aux JO 2018 se jouera mercredi
04. juillet 2011, 08h31
LeMatin.ch & les agences
Jacques Rogge, président du CIO, annoncera à Durban (Afrique du sud), mercredi vers 17 heures, le nom de la ville élue pour accueillir les JO 2018.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/annecy2018.jpg Annecy saura mercredi si elle accueillera les Jeux Olympiques d'hiver en 2018. © LUCIEN FORTUNATI-a
Et dire qu'on va avoir les JO dans une ville toute bétonnée et où il n'y a pas de montagnes aux alentours proches:diable::diable::diable:
Vive l'argent, dommage pour les sportifs:bad:
saut à skis
Ammann doit faire le poids
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/134126)
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04. juillet 2011, 21h01
Bernard Morel | Le Matin
Pour satisfaire à l’indice de masse corporelle exigé par la FIS (21), le quadruple champion olympique est contraint de prendre entre 1,5 et 2 kilos. Ce qui n’est pas simple pour lui.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/ammann_3.jpg Pour Simon Ammann, soulever des poids est un exercice quotidien car il doit augmenter sa masse musculaire pour prendre du poids. © Jean-Guy Python
La relation un peu trouble entre le saut à skis et l’anorexie appartient-elle désormais au passé? En augmentant à 21 le seuil plancher d’indice de masse corporel des sauteurs à skis une année seulement après l’avoir fait passer de 19,5 à 20,5, la Fédération internationale de ski montre qu’elle est soucieuse d’un problème qui a touché quelques sauteurs par le passé. «Cette mesure va dans la bonne direction, estime Sylvain Freiholz, l’ancien sauteur. Déjà avec le passage à 20,5, on a vu un réel changement dans la stature des sauteurs. Certains sont devenus de vrais athlètes avec une charpente plus marquée.»
Lorsqu’il a appris que l’indice augmentait encore cette année, Simon Ammann n’était, lui, pas vraiment content. «Je ne suis pas contre le fait qu’il soit fixé à 21, mais je trouve un peu dur pour les sauteurs qu’on le monte encore cette année alors qu’il avait déjà été augmenté l’année dernière, souligne le quadruple champion olympique. Prendre cette mesure dans un intervalle de deux ans aurait été plus judicieux.»
Entraînement quotidien
Simon Ammann fait partie des sauteurs légers, habitués à flirter avec la limite fixée. «Alors que la majorité des sportifs prend du poids quand la saison se termine, moi j’en perds, explique-t-il. Chaque année, c’est la même chose. Je ne saurais vous dire pour quelle raison, mais le résultat est là.» Et d’ajouter dans un sourire: «J’ai vraiment la morphologie et le métabolisme pour le saut à skis.»
A l’aube de cette saison 2011-2012, Simon Ammann se retrouve donc contraint de prendre du poids – entre 1,5 et 2 kg – s’il veut atteindre la limite fixée par la FIS. Alors, il change un peu son alimentation – «Je mange moins de salade et davantage de viande», dit-il – et, surtout, travaille beaucoup musculairement. «L’entraînement de force, c’est tous les jours actuellement», lâche-t-il en s’apprêtant à prendre une barre dans les mains. Il précise: «Un travail musculaire est nécessaire en saut à skis pour avoir un bon tonus au moment du décollage sur le tremplin. Les années précédentes, il était ciblé et axé sur la qualité. Cette année, c’est la quantité qui prime. Quand on répète 12 flexions avec une barre de 80 kg sur les épaules, c’est vraiment intensif.»
Même s’il ne perd ni son sourire ni son humour, Simon Ammann ne semble pas totalement serein actuellement. Il ne cache pas qu’il a l’esprit totalement occupé par cette obligation de prendre du poids. «Je n’ai pas encore songé à mes objectifs pour la saison à venir car toute ma concentration est prise par ce travail musculaire, poursuit-il. Heureusement, je suis assisté par un coach. J’ai besoin de ce soutien pour aller de l’avant.»
Si les sauteurs n’atteignent pas l’indice de masse corporel exigé, ils doivent utiliser des skis plus courts que la longueur maximale autorisée (146% de la taille du sauteur). L’année dernière, Simon Ammann était au-dessous de la limite en début de saison. Il avait dû prendre des skis raccourcis d’un centimètre, ce qui l’avait un peu perturbé. «Un centimètre, cela ne parait pas grand-chose, mais quand tu as les skis aux pieds, tu sens chaque centimètre de différence, relève le Saint-Gallois. Cette année, je veux pouvoir utiliser les skis les plus longs possibles.»
Lutter contre le risque d’anorexie
C’est en 2004 que la FIS a fixé un premier seuil plancher à 18,5 d’indice de masse corporelle – on l’obtient en divisant le poids par la taille au carré – pour lutter contre l’anorexie qui menaçaient certains sauteurs. Il est passé ensuite à 19,5, puis à 20,5 en 2010 et, cette année, à 21. Même s‘il est pesé avec la combinaison et les chaussures de saut, ce qui représente environ 3 kilos, l’athlète est obligé à la fois de se muscler et de manger s’il veut atteindre 21.
Mondial de rugby: l'équipe de France reprend l'entraînement à Marcoussis
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/134093"] (http://www.lematin.ch/printmail/134093)
AFP - 04. juillet 2011, 19h17
Les joueurs du XV de France ont entamé lundi leur deuxième semaine de préparation au Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande (9 septembre-23 octobre) par une journée de travail très chargée au Centre national (CNR) de Marcoussis.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309799737474-1-0.jpg L'équipe de France de rugby s'entraîne à Marcoussis, le 1er juillet 2011 © AFP
Après un week-end "de transition" au Château des Mesnuls à Rambouillet (Yvelines), mêlant activités physiques et ludiques (concours de cuisine, paint-ball), les Français, qui ont réintégré le CNR dimanche en fin de journée, ont repris le travail lundi dans leurs quartiers habituels.
Les joueurs ont entamé leur journée à 07h00 par une séance de cardiologie autour du terrain d'entraînement avant de travailler par petits groupes alternant rugby, musculation et la suite des entretiens individuels prévus avec le préparateur mental François Pelletier, selon l'encadrement du XV de France.
Le groupe a repris vers 16h00 une feuille de route dédiée au travail physique, alternant diverses activités de musculation, d'endurance et de gainage.
Le 2e ligne Romain Millo-Chluski (tendinite à un tendon d'Achille), dispensé des activités les plus contraignantes ce week-end, a de nouveau été ménagé lundi tandis que le 3e ligne Imanol Harinordoquy (inflammation de l'aponévrose plantaire) a poursuivi son programme personnalisé sans prendre part aux courses les plus sollicitantes, a-t-on précisé de même source.
Le 3e ligne Fulgence Ouedraogo (bras) a également poursuivi son programme adapté, de même que les talonneurs William Servat (genou) et Dimitri Szarzewski (tendon d'Achille).
Une nouvelle journée chargée attend les Français mardi au CNR avant une seconde "journée de transition" mercredi sur un site proche de la forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne).
Les Français quitteront le CNR vendredi pour un stage au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire) à l'exception d'Aurélien Rougerie (malléole), qui poursuit depuis dimanche sa rééducation à Saint-Raphaël où il sera rejoint vendredi par le pilier Thomas Domingo (genou).
Dopage: Mike Powell pour une suspension à vie des athlètes positifs
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/134073"] (http://www.lematin.ch/printmail/134073)
AFP - 04. juillet 2011, 18h06
L'ancien champion du monde du saut en longueur l'Américain Mike Powell s'est dit favorable à la suspension à vie de tous les athlètes contrôlés positifs, lundi à New Delhi.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309795536501-1-0.jpg Mike Powell au saut en longueur à Atlanta, le 19 juin 1996 © AFP/Archives
"Je pense que si vous utilisez des médicaments (interdits), vous devriez être banni à vie," a dit Powell, âgé de 47 ans, à l'agence de presse indienne India news agency.
L'Américain, toujours détenteur du record du monde avec un saut à 8,95 m, est au titre d'ambassadeur de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) actuellement en Inde. Un pays dont huit athlètes ont été contrôlés positif aux stéroïdes anabolisants, six la semaine dernière et deux autres ce lundi.
Sur les six premiers athlètes, dont Mandeep Kaur et Sini Jose, membres du relais 4x400 m dames sacré aux Jeux du Commonwealth à New Dehli et asiatiques à Canton, quatre ont été contrôlés dans le cadre d'une réunion nationale à Bangalore (sud) fin juin et deux autres hors compétition. Pour les deux derniers dont Ashwini Akkunji, membre du relais 4x400 m dames, ni le lieu ni la date des contrôles n'ont été précisés.
Les six premiers ont été suspendus à titre provisoire dans l'attente du résultat des échantillons B, qui devrait intervenir dans les prochains jours. Les deux derniers sont dans l'attente d'une décision.
"Cela montre que nous prenons cela (ndlr: le dopage) au sérieux. L'athlétisme est l'un des rares sports qui est prêt à punir ses vedettes", a souligne Powell.
"A partir de maintenant, si vous essayez d'utiliser quelque chose, vous prenez un gros risque. L'athlétisme est à la pointe de la lutte en matière de dopage", s'est réjoui l'athlète.
Jeux Olympiques: 3 nouvelles épreuves adoubées pour 2014, 8 à l'étude pour 2020
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AFP - 04. juillet 2011, 22h52
Le CIO a introduit officiellement trois épreuves au programme des jeux Olympiques d'hiver de Sotchi (2014), le slopestyle en snowboard et ski et le slalom parallèle en snowboard, et mis à l'étude huit nouveaux sports pour les JO-2020, lundi à Durban.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309812600518-1-0.jpg Compteur des JO d'hiver à Sotchi, le 20 mai 2011 © AFP/Archives
Au terme de la décision de la commission exécutive du CIO, l'épreuve par équipes de ski alpin n'a pas été retenue pour des raisons d'encombrement, voire de saturation du calendrier et des pistes, soumis aux aléas de la météo durant la quinzaine olympique.
Le slopestyle ski et snowboard, le slalom parallèle, tous hommes et femmes, rejoignent donc au programme de Sotchi le ski halfpipe, le saut à skis féminin, le relais mixte en biathlon, l'épreuve par équipes en patinage artistique et le relais par équipes en luge qui avaient été approuvées lors de la commission exécutive de Londres, début avril dernier.
Ce délai entre le premier et le second groupe d'épreuves additionnelles s'explique par les études de faisabilité menées par des experts mandatés par le CIO à Sotchi.
"Le slopestyle est un sport de plus en plus populaire, a justifié Jacques Rogge, président du CIO. Il a le même avenir que le snowboard dans les années 1980. Ce sont des sports très spectaculaires et ajoute de l'intérêt pour les jeunes à notre programme de sports olympiques d'hiver."
Parallèlement, la commission exécutive, qui s'est tenue en une demi-journée, lundi après-midi à Durban, à l'avant-veille de l'ouverture de la 123e session et de l'élection de la ville hôte des JO-2018, a dressé la liste des huit sports, sur douze candidats, autorisés à concourir pour l'introduction au programme olympique d'été, dès 2020.
Il s'agit du base-ball et de son pendant féminin le softball, du karaté, du roller, de l'escalade, du squash, du wakeboard (ski nautique sur une seule planche) et du wushu. La commission a repoussé les requêtes de la danse, du surf, du bowling et du netball.
Chacun des huit sports sera passé au crible de 30 critères tels que son universalité ou sa conformité avec les règlements antidopage et évalué par la commission du programme.
En septembre 2013, l'un de ces sports sera recommandé aux membres du CIO réunis en session à Buenos Aires et introduit si approuvé. En contrepartie, une autre discipline aura été précédemment exclue du programme olympique et ajoutée à la liste des huit candidats.
Après Wimbledon, accueil triomphal pour Djokovic à Belgrade
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AFP - 04. juillet 2011, 23h03
Novak Djokovic, vainqueur dimanche de Wimbledon et désormais N.1 mondial de tennis, a reçu un accueil triomphal lundi soir à son retour à Belgrade, où des dizaines de milliers de personnes l'ont accueilli en héros.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309813388962-1-0.jpg Des dizaines de milliers de personnes réunies à Belgrade pour accueillir Novak Djokovic le 4 juillet 2011 © AFP
Beaucoup de jeunes s'étaient massés devant le Parlement serbe, brandissant des drapeaux de la Serbie et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: "Nole, on t'aime", ou encore "Nole, le roi!", en référence au surnom du joueur.
La télévision privée B92 a diffusé des images d'un bus à impériale qui amenait Djokovic et son équipe de l'aéroport de Belgrade vers le centre-ville et qui avançait au ralenti sur une autoroute bouchonnée par des voitures klaxonnant à tue-tête, alors que des milliers de personnes saluaient le convoi à son passage.
Escorté par une dizaines de voitures de police, le bus a ensuite traversé la principale place de la capitale serbe, Terazije, où régnait une atmosphère de carnaval.
Le point culminant de la soirée est intervenu lorsque Djokovic, heureux et souriant, est monté sur une estrade dressée en face du Parlement en brandissant le trophée de Wimbledon, devant une foule en délire qui scandait "Nole, Nole!", ou encore, "Nole, on t'aime!".
"Il est la fierté de la Serbie et du peuple serbe", a lancé une adolescente, venue spécialement à Belgrade pour accueillir Djokovic depuis la ville de Novi Sad, située à quelque 80 km au nord de la capitale.
Novak Djokovic est devenu officiellement N.1 au classement ATP lundi pour la première fois de sa carrière au détriment de l'Espagnol Rafael Nadal, qu'il a aussi battu en finale de Wimbledon dimanche (6-4, 6-1, 1-6, 6-3).
Philippe Gilbert favori sur le Mûr de Bretagne
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Philippe Gilbert (Omega Pharma Lotto) est le favori unanime de la 4-ème étape du Tour de France dont le départ sera donné à Lorient et qui arrivera au sommet du Mûr de Bretagne après 172,5 kilomètres d'une course "plate" mardi. Le parcours comprend aussi la Côte de Laz (4e catégorie) après 79 km dans les Montagnes Noires.
Mais le plat du jour arrive à la fin avec l'entrée dans la localité de Neuillac et jusqu'à la ligne d'arrivée 12 km plus loin. En particulier à partir de la la banderole des trois derniers kilomètres, avec une première rampe de 500 mètres pour commencer.
Mais c'est à la sortie de la zone urbaine, à deux bornes de l'arrivée, que la bosse finale démarre vraiment. C'est très dur pendant 1,5 km: des pentes à 12, 13, puis 10, puis 8%, jusqu'à 500 mètres de la ligne, avant de voir la route se radoucir et même s'aplanir dans les deux derniers hectomètres.
Les purs sprinters risquent donc très fort de ne pas être à la fête, tandis que les favoris pour le général final ont intérêt à se montrer très attentifs sous peine de perdre quelques précieuses secondes. Quant à Gilbert, il sait ce qu'il lui reste à faire...
Gatlin: "Mon retour sera accompli avec un podium aux JO"
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Le champion olympique 2004 du 100 m, l'Américain Justin Gatlin, suspendu pendant quatre ans pour dopage, a considéré lundi à Reims, où il devait s'aligner sur la ligne droite, que (son) "retour serait pleinement accompli avec un podium aux J0 de Londres 2012".
En attendant, le New-yorkais, qui s'entraîne en Floride, à Dysney World, a gagné son billet pour les Mondiaux de Daegu (27 août-4 septembre), "mon premier objectif depuis la reprise".
Que pensez-vous de l'Europe des petits meetings?
"L'an dernier, j'ai repris la compétition en Estonie pour un total de six meetings en Europe. Je prends ce qu'on me propose et c'est un grand honneur. J'aime globalement la culture européenne. Je courrai samedi à Madrid puis deux fois en Italie. J'étais venu en France en 2003 pour les Mondiaux (à Paris-Saint-Denis) et pour un meeting, en 2003 ou 2004."
Est-ce un désavantage d'être refusé dans les grands meetings?
"A Reims, quatre des meilleurs sprinters mondiaux actuels seront au départ. Et je viens pour un gros chrono, je veux vraiment aller au-dessous des 10 secondes. J'ai couru trois fois aux sélections US, avec une 2e place en finale et le meilleur temps depuis mon retour (9.95). Mon entraîneur, Brooks Johnson, pense que je peux aller plus vite."
Pendant votre absence s'est levée l'étoile d'Usain Bolt?
"Il a contribué à médiatiser notre sport. En réalisant 9 sec 58, il a ouvert la porte des rêves à beaucoup d'autres. Il donne aux jeunes l'envie de courir comme lui. J'ai regardé beaucoup de cassettes: il est celui qui s'est le plus rapproché du point de perfection, mais la course parfaite n'existe pas. Je veux penser que c'est un avantage de ne pas rencontrer Bolt avant les Mondiaux. Mais je prends chaque meeting comme une occasion pour progresser. Je ne me réserve pas, je ne vais pas me cacher."
Quel regard portez-vous sur le Français Christophe Lemaitre?
"C'est un compétiteur né, un coureur courageux. Courageux? Parce qu'il est le seul blanc au haut niveau et qu'il a d'une certaine façon la pression. Mais comme il est aussi décontracté, il est dangereux."
Dans votre traversée du désert, qu'avez-vous appris sur le genre humain?
"J'ai pensé arrêter ma carrière après qu'on m'eut donné une chance dans le football (américain). J'ai alors pris conscience que ce n'était pas mon affaire, que j'étais fait pour courir. Beaucoup de gens m'ont soutenu et m'ont poussé à revenir. Je suis très croyant et ma mère priait chaque jour pour moi."
Et un fils vous est né?
"Je suis effectivement devenu papa. Je crois que l'expérience de la naissance de Gace (13 mois) m'a fait devenir homme. Il m'a pacifié et, en même temps, c'est mon moteur."
A quel moment pourrez-vous considérer avoir achevé votre retour?
"Je suis encore en train de travailler. Mon entraîneur m'a dit d'être patient et que l'objectif ce sont les JO-2012. Si je suis sur le podium à Londres, qui est un vrai objectif, alors je pourrai considérer que mon retour a été pleinement accompli."
Peut-on encore vous comparer au jaguar?
"C'est ma nature, avec mes longues jambes, d'avoir une longue foulée. Cette façon de courir pourra m'aider à retrouver le très haut niveau."
Renault et Williams renouent avec leur glorieux passé
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L'écurie britannique Williams et le constructeur Renault ont annoncé lundi un accord de partenariat châssis-moteur pour 2012 et 2013, renouant ainsi avec leur riche histoire commune, pavée de neuf titres dans les années 1990.
"Il y a une grande fierté à faire revivre le nom de Williams-Renault. Ensemble, nous avons produit des voitures de course reconnues pour leur innovation technique. Cela reste toujours la période la plus fructueuse de Renault en F1 à ce jour", s'est réjoui Bernard Rey, président de Renault F1.
"Nous sommes ravis et enthousiasmés par notre nouveau partenariat avec Renault, a de son côté commenté Frank Williams, fondateur de l'écurie éponyme. Notre relation précédente avec Renault a été l'une des plus réussies dans l'histoire de Williams."
Williams et Renault ont, en effet, vécu une idylle dans les années 1990. Leur vie commune, entre 1989 et 1997, a accouché de quatre couronnes pilotes conquises par les Britanniques Nigel Mansell (1992) et Damon Hill (1996), le Français Alain Prost en 1993 et le Canadien Jacques Villeneuve en 1997.
Ensemble, les deux partenaires ont aussi engrangé 63 victoires et cinq sacres constructeurs (1992, 1993, 1994, 1996 et 1997), alors que Renault s'en était allé en cueillir un sixième avec Benetton en 1995.
Dans le même temps, McLaren, équipée par Honda, Peugeot et Mercedes, piétinait. Et Ferrari gagnait épisodiquement. Le constructeur au losange, lui, asseyait sa réputation de vainqueur, mais aussi d'innovateur, grâce notamment aux systèmes de contrôle de la traction ou de suspension active, qu'il imposait en F1.
Cette période faste a également été marquée par l'accident mortel du Brésilien Ayrton Senna, lors du Grand Prix de San Marin en 1994. Un passé lourd que les deux entreprises préfèrent oublier, pour se concentrer sur un futur doré.
Héritage
"Nous ne voulons pas trop nous attarder sur le passé. Nous devons regarder vers l'avenir et continuer à reconstruire notre réputation sur la piste, ce en quoi cette annonce va nous aider, j'en suis certain", a estimé Frank Williams.
Car, depuis la fin de l'ère Renault, Williams a perdu son lustre. Son association avec BMW (2000-2005) a abouti à plusieurs victoires, quelques querelles, mais aucun titre. Tandis qu'avec Cosworth, Toyota, puis de nouveau Cosworth, l'écurie de Grove (Grande-Bretagne) s'est enfoncée.
Cette saison, après huit Grands Prix, Williams ne compte que quatre points au classement constructeurs, tous grappillés par son vétéran brésilien Rubens Barrichello. Des écuries traditionnellement faibles comme Force India ou Toro Rosso la devancent sur la piste.
"Nous ne sommes pas satisfaits de seulement terminer les courses ou de prendre quelques points. Notre but est de gagner et nous voulons nous remettre en position de le faire", a observé Adam Parr, le président de Williams F1.
"Clairement, notre niveau de performance en ce moment n'est pas là où nous voudrions qu'il soit, mais nous faisons tout pour rectifier cela. Ce partenariat est un pas dans ce processus. Il a trait au futur. Dans un sens, il s'agit de gagner le droit d'hériter du passé", a-t-il
poursuivi.
Pour cela, Williams devra à nouveau concevoir des monoplaces en mesure de lutter pour la victoire. Et s'imposer face aux trois autres écuries propulsées par des blocs Renault: Team Lotus, Lotus Renault et Red Bull. La tâche s'annonce complexe.
Matches truqués: "Une suspension à vie pour les coupables"
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Le président de la fédération internationale de football (FIFA) Joseph Blatter a averti lundi à Harare que les joueurs et dirigeants zimbabwéens, dont la culpabilité serait prouvée dans une affaire des matches truqués en Asie, seront suspendus à vie.
"Quand ces personnes seront déclarées coupables, on les suspendra à vie, que ce soient des joueurs ou des dirigeants. Ils ne seront pas autorisés à revenir dans le monde du football", a déclaré le Suisse, qui effectuait sa première visite au Zimbabwe.
La FIFA a récemment ouvert une enquête sur le Zimbabwe au sujet d'une supposée affaire de matches truqués impliquant la sélection nationale lors d'une tournée en Asie en 2009. :diable:BRAVO.........
Tour de France: la 3e étape à l'Américain Tyler Farrar
Cycllisme | L'Américain de l'équipe Garmin Tyler Farrar a remporté au sprint la 3e étape du Tour de France à Redon. Son coéquipier norvégien Thor Hushovd conserve le maillot jaune de leader.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/116336516.JPG © KEYSTONE | Tyler Farrar s'adjuge la 3e étape de la Grande Boucle.
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AFP | 04.07.2011 | 17:52
Tyler Farrar (Garmin) a remporté au sprint à Redon la 3e étape du Tour de France cycliste. L'Américain a devancé le Français Romain Feillu et le champion d’Espagne Jose Joaquin Rojas.
Le coéquipier norvégien de Farrar Thor Hushovd a conservé le maillot jaune de leader.
L’Américain, bien lancé par le champion du monde, a enlevé son premier succès d’étape dans le Tour, le jour de la fête nationale américaine. En franchissant la ligne, Farrar a dessiné avec ses doigts les lettres WW, en hommage à son ami, le coureur belge Wouter Weylandt, victime d’une chute mortelle en mai dans la 3e étape du Giro.
Le Britannique Mark Cavendish s’est classé cinquième du sprint derrière le Français Sébastien Hinault (4e) et devant Hushovd (6e).
L’étape, longue de 198 kilomètres, a été courue sous la chaleur entre Olonne-sur-Mer (Vendée) et Redon (Ille-et-Vilaine). Elle a été ouverte par une échappée de cinq coureurs lancée dès le 1er kilomètre, à la sortie d’Olonne-sur-mer.
L'échappée prend fin à 9 km de l'arrivée
Les Français Mickaël Delage et Maxime Bouet, les Espagnols Ivan Gutierrez et Ruben Perez Moreno, le Néerlandais Niki Terpstra, ont compté une avance supérieure à 8 minutes (Km 74) avant que le peloton réduise l’écart à l’approche du pont de Saint-Nazaire.
Sous l’effet du vent de côté, le peloton s’est coupé en trois au passage du pont avant de se reconstituer quelques kilomètres plus loin, au soulagement de l’Italien Ivan Basso, l’un des distancés.
L’échappée a pris fin à 9 kilomètres de l’arrivée, quand ses derniers rescapés, Gutierrez et Delage, qui comptaient 40 sec à leur avance ont fini par être rejoints.
Dans le sprint, Cavendish a perdu le sillage de ses coéquipiers chargés de l’emmener, à quelque 1800 mètres de la ligne. Le Britannique, vainqueur de quinze étapes lors des trois dernières éditions, est revenu ensuite à l’avant sans pouvoir se mêler à la lutte pour la victoire.
Farrar, emmené par Hushovd puis par son "lanceur" néo-zélandais Julian Dean, a résisté au retour de Romain Feillu pour s’imposer nettement.
L’Américain, qui vit à Gand pendant la saison européenne, est âgé de 27 ans. Il dispute le Tour pour la 3e fois et compte déjà à son palmarès des succès d’étape sur le Giro et la Vuelta.
Le PSG débarque à Mouret (FR) sous l'œil de Canal+
Football | Le FC Sion affrontera le Paris Saint-Germain ce samedi en match de préparation du côté de Mouret (FR). A noter que Canal+ Sport diffusera la rencontre en direct.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/113466139.JPG © KEYSTONE | Le PSG sera samedi au Mouret dans le canton de Fribourg.
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Jérémy Santallo | 04.07.2011 | 14:58
A deux semaines de la reprise du championnat, le FC Sion poursuit sa préparation.
Ce week-end, le club valaisan aura deux matches amicaux au programme: le PSG samedi au Mouret, dans le canton de Fribourg, événement diffusé en direct par Canal+ Sport.
Dimanche, Sion et sa nouvelle recrue Pascal Feindouno affrontera Etoile Carouge à Chablais.
Divers
Trois nouvelles épreuves feront leur apparition aux JO de Sotchi, dont le slopestyle ski et snowboard
Le CIO a introduit officiellement 3 épreuves au programme des JO d'hiver de Sotchi (2014), le slopestyle en snowboard et ski et le slalom parallèle en snowboard. L'épreuve par équipes en ski alpin n'a en revanche pas été retenue pour des raisons d'encombrement, voire de saturation des pistes.
Le Chili annonce la couleur
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Si - 05. juillet 2011, 10h19
Deux buts en l'espace de 6 minutes ont permis au Chili de cueillir sa première victoire à la Copa America. Les Chiliens se sont imposés 2-1 devant le Mexique à San Juan.
Mené au score à la pause après une réussite de Nestor Araujo à la 40e, le Chili a retourné la situation grâce à des réussites de Parades (66e) et de Vidal (72e). Victorieux de la Suisse l'an dernier lors de la Coupe du monde, les Chiliens étaient les favoris de cette rencontre qui les opposait à une formation mexicaine très juvénile.
Dans la premier match de ce groupe C disputé également à San Juan, l'Uruguay a été tenue en échec par le Pérou (1-1). Piégés sur une réussite de Guerrero à la 24e, les Uruguayens, demi-finalistes en Afrique du Sud, ont égalisé juste avant la pause par le joueur de Liverpool Luis Suarez.
Lille refuse 40 millions de l'Inter pour Hazard
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Michel Seydoux, le président de Lille, a déclaré qu'Eden Hazard ne partirait pas, sauf offre exceptionnelle. Visiblement, il ne ment pas puisque le club champion de France vient de refuser une offre de 40 millions de l'Inter Milan pour la pépite belge.
"Nous voulons absolument qu'Eden reste parmi nous. Nous n'allons pas en parler pendant 175 ans. J'ai l'impression que même Eden n'est pas au courant de tout ce qu'on raconte sur lui."
Engagé en Ligue des Champions, le LOSC ne veut plus se déforcer, lui qui a déjà perdu Cabaye (Newcastle), Rami (Valence) et probablement Gervinho, en partance pour Arsenal. (JC)
Taïg Khris a réussi son pari (vidéo)
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Le patineur français Taïg Khris, 35 ans, a battu samedi le record du monde de saut en longueur en rollers, atterrissant à 29 mètres, après s'être élancé du haut de la butte Montmartre.
Pas complètement satisfait de sa prestation, le champion a descendu la pente impressionnante par trois fois. Quelque 30.000 spectateurs ont assisté à ses sauts.
Après la tour Eiffel et le Sacré-Coeur, le casse-cou songe encore à d'autres défis impliquant d'autres monuments emblématiques à l'avenir. (7sur7)
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05/07/11 09h00
Bravo même si son nom et prénom ne sonnent pas trop la France:content:
Le plus gros burger du monde pèse 352 kilos
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Brett Enright et Nick Nicora viennent d'exploser le record du monde du plus gros burger commercialisé au monde. Ils ont cuisiné un monstre de 352 kilos, remplaçant ainsi dans le Guinness Book des Records le précédent, qui ne pesait "que" 226 kilos.
Les deux cuistots auront mis quinze heures pour cuisiner l'énorme burger, et auront utilisé une seule viande à la taille impressionnante.
La foule s'était massée autour des deux chefs, pour observer, mais aussi pour avoir l'honneur de goûter un morceau de ce gros burger.
Chaque part coûtait 99 cents, de l'argent qui a été intégralement reversé à la banque alimentaire du Comté d'Alameda.
Ca vous ouvre l'appétit ou ça vous donne envie de vomir? (mlb:fou::Dy en a pour tout le forum.......:D
:diable:merde trompé de poste, Jaya pitié très cher modo merci de faire le nécessaire(insolites):):):amoureux::ange:
tennis
Le retour de l’enfant prodige
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05. juillet 2011, 23h19
Gaëlle Cajeux | Le Matin
Absent depuis 2009, Roger Federer réintègre l’équipe nationale pour affronter le Portugal dès vendredi. Et le Bâlois assure avoir «le feu».
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fed4.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#) Roger Federer est relax, il a digéré sa défaite en quart de finale de Wimbledon et assure être au mieux. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fed1_9.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#) Les retrouvailles en Coupe Davis entre Severin Luethi, Roger Federer et Stanislas Wawrinka sont empreintes d’une évidente connivence. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fed2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#) Federer a accordé une demi-heure à ses fans. Dédicaçant même un billet de 10 fr. et un iPhone. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fed3.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#) Federer s’est déjà entraîné à deux reprises hier à Berne. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/fed4.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/fed1_9.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/fed2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/fed3.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/le-retour-de-l%E2%80%99enfant-prodige#)
Son site Internet a beau situer son activité actuelle à Wimbledon, Roger Federer est bien là, de retour «à la maison». Pour réintégrer cette équipe suisse de Coupe Davis qu’il désertait depuis 2009. «Je suis resté à Londres quelques jours de plus (ndlr: après sa défaite contre Tsonga), histoire de m’organiser, explique le Bâlois. Puis je suis venu en Suisse, où je suis resté tranquille quelques jours avant de rejoindre l’équipe lundi.»
Le temps d’une balade matinale en ville de Berne, puis d’un premier entraînement sur cette surface dure de la PostFinance Arena, et le groupe – Roger Federer, Stanislas Wawrinka, Stéphane Bohli et Marco Chiudinelli – a retrouvé ses repères. Et son patron. De quoi enlever un peu de pression à Stanislas Wawrinka? «Non, la présence de Roger nous donne plus de possibilités de gagner cette rencontre contre le Portugal. Tout simplement.» Entre le Vaudois et le Bâlois existerait un pacte Coupe Davis. Wawrinka assure néanmoins n’être pour rien dans le retour de Federer. «Je n’ai aucun pouvoir sur lui, sinon il aurait plus joué ces dernières années…» sourit-il.
Une priorité... ponctuelle
Le No 3 mondial rêverait-il donc du saladier d’argent au point de faire désormais de la Coupe Davis une priorité? «C’est une priorité là maintenant, oui. Après on verra. Mais j’ai dit à Stan et à toute l’équipe que désormais je jouerai plus que par le passé. Je n’ai pas joué les trois dernières rencontres. Mais c’est la première fois que ça arrive dans ma carrière. D’habitude, j’ai toujours joué au moins une fois par an, remarque Federer. Maintenant, la priorité est de monter dans le groupe mondial (ndlr. en battant le Portugal ce week-end, la Suisse se qualifierait pour le barrage de promotion dans le groupe mondial, mi-septembre) et après six ou huit mois on verra la situation. Comment est le corps, celui de Stan (qui éclate de rire), le mien, de celui de chacun. Mais c’est vrai que j’ai envie de jouer. Il n’en a jamais été autrement. Seulement avant, avec la place de numéro un, les Grands Chelems, avec les records que j’alignais, c’était difficile d’en faire une priorité. Peut-être que cela changera. Mais ça impliquera de bousculer toute ma planification. Je devrai être moins présent sur le circuit, faire l’impasse sur des Masters 1000.»
Serein après la défaite
Trêve de futur, voici le présent. Roger Federer a digéré sa défaite en quart de finale de Wimbledon. «Merci à tous ceux qui ont été tristes pour moi, mais je vais bien. Désormais je suis plus serein après une défaite, car je me dis que j’ai accompli tant de choses et ça, personne ne peut me l’enlever. Un revers comme celui contre Tsonga est plus facile à expliquer et à supporter. Cela m’a fait mal sur le moment. Mais je ne vais pas pleurer pendant des semaines. Je reste calme, mais le feu doit être là. Et je l’ai!»
L’enfant prodige est de retour en équipe nationale, et en Suisse. Une première depuis 2008 et le match contre la Belgique, à Lausanne. Une occasion que ses fans, jamais rassasiés de son talent, ne laissent pas filer. Hier, ils étaient plus de 1000 à l’ovationner lors de son entrée sur le court, pour un second entraînement avec son complice, Stanislas Wawrinka. «D’habitude, dans les grands tournois, les billets sont très chers, c’est difficile pour les fans d’en obtenir. Aujourd’hui, ils ont eu la possibilité de venir gratuitement», se réjouit Federer. Qui leur a offert une demi-heure de séance d’autographes. «Etre disponible, c’est le minimum que je puisse faire. C’est du respect envers ces gens qui sont nombreux à se lever au milieu de la nuit pour regarder mes matches. Qui croient en moi et veulent que je continue à jouer.»
«Ne pas sous-estimer l’adversaire»
Les No 3 et 15 mondiaux, opposés aux matricules 90 (Federico GIl) et 93 (Rui Machado). Si ce n’est pas vraiment une formalité, ça y ressemble. Pourtant les Suisses se gardent bien d’envisager ainsi leur rencontre contre le Portugal. «On n’est pas là à organiser la fête de samedi soir, pas du tout», souligne Stanislas Wawrinka. Et Roger Federer d’ajouter: «Il y aura une vraie résistance. Nous devons nous méfier. On ne va en tout cas pas sous-estimer l’adversaire.» Respect de part et d’autre. Pedro Cordeiro, capitaine de l’équipe portugaise: «Les Suisses sont clairement favoris, à domicile, avec Federer et Wawrinka. Mais je suis sûr que mes joueurs vont donner leur meilleur pour essayer de créer la surprise.»
Mondial de rugby: "l'objectif" c'est d'être champion du monde estime Dusautoir
AFP - 05. juillet 2011, 23h38
Le capitaine du XV de France Thierry Dusautoir a rappelé mardi lors d'une conférence de presse "l'objectif" de remporter la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande, titre auquel "on peut sérieusement penser" à condition de "donner le meilleur de nous-mêmes."
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309901812244-1-0.jpg Le capitaine du XV de France Thierry Dusautoir (d) lors d'une séance d'entraînement à Marcoussis le 5 juillet 2011 © AFP
Q: Comment se passe cette préparation?
R: "C'est très exigeant mais ça se passe très bien. Il y a toujours de l'enthousiasme et l'envie d'aller s'entraîner, c'est le plus important. Les préparateurs physiques ont réussi à trouver des exercices différents qui nous permettent, même dans la douleur, de rester intéressés."
Q: Y-a-t-il un risque d'épuisement avant la compétition?
R: "On est là pour ça. C'est la case obligatoire à passer pour être prêts pour ce premier match de Coupe du monde et jusqu'à la fin. C'est vrai que c'est dur mais c'est le prix de la réussite."
Q: Rarement le XV de France aura eu autant de temps pour se préparer...
R: "On va avoir l'opportunité de rester ensemble pendant deux mois de préparation et deux mois de compétition. On peut travailler physiquement, techniquement et tactiquement, c'est bien. On est en train de former une équipe au sens le plus important du terme: mieux se connaître, les défauts, les qualités, les susceptibilités. C'est très important au sens humain. Ce temps-là nous permet de le faire."
Q: Que représente pour vous une Coupe du monde en Nouvelle-Zélande?
R: "Déjà, jouer une Coupe du monde, c'est un évènement particulier pour tout joueur de rugby, ce n'est pas anodin. On a travaillé pendant quatre ans pour pouvoir jouer cette compétition. C'est vrai qu'il y a un caractère particulier en Nouvelle-Zélande, c'est l'équipe la plus mythique du rugby. Celui qui arrivera à gagner en Nouvelle-Zélande entrera vraiment dans l'histoire. Pour la France, ce serait coup double. (...) On a gagné en Nouvelle-Zélande il y a deux ans, cela veut dire que c'est possible et qu'on en est capable. Quand on commencera la compétition, il s'agira de s'en souvenir."
Q: Vous avez déclaré que les joueurs devaient faire preuve d'égoïsme...
R: "Oui, c'est le message que j'ai fait passer et je le maintiens. Au fond, ce sont les joueurs qui paient le prix le plus lourd, ne serait-ce que physiquement, pour être là. Tout dépend d'eux. Il faut qu'ils profitent un maximum de la chance qui leur a été accordée d'aller à la Coupe du monde, de s'investir à cent pour cent dans tout ce qui leur est proposé parce que même si c'est vrai que c'est très dur, ce sont des moments qui restent gravés. Il faut en profiter."
Q: L'encadrement a également prévu quelques moments de détente...
R: "Ca permet surtout de pouvoir respirer un petit peu. On a une préparation exigeante. Ca permet de s'investir à cent pour cent quand des séances compliquées nous sont proposées. Ca nous permet de nous aérer, de mieux nous connaître, c'est un ensemble qui a été étudié pour nous permettre d'être le mieux possible pendant la Coupe du monde."
Q: Mettez-vous le rôle de capitaine de côté pendant ce début de préparation, essentiellement physique?
R: "Le rôle de capitaine, à l'extérieur, est toujours présent. Il s'agit d'organiser, d'être le porte-parole de l'équipe. J'assume ce rôle à cent pour cent. Après, sur les séances physiques, je me prépare comme chaque joueur."
Q: "Marc Lièvremont a rappelé sa volonté de remporter cette Coupe du monde, qui "commence maintenant"...
R: "C'est l'objectif. On s'engage dans cette compétition, ce n'est pas pour aller faire du tourisme en Nouvelle-Zélande. Si on donne le meilleur de nous-mêmes du début jusqu'à la fin, le titre de champion du monde, on peut sérieusement y penser."
Mondial de foot féminin: alléchants quarts Allemagne-Japon et Angleterre-France
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/134516"] (http://www.lematin.ch/printmail/134516)
AFP - 05. juillet 2011, 23h26
Les deux premiers quarts de finale du Mondial dames de football proposeront deux alléchantes affiches avec l'Allemagne, pays-hôte et double tenante du titre, face au Japon, et l'Angleterre contre la France, après la fin du 1er tour, mardi, des groupes A et B.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309901071463-1-0.jpg Les joueuses allemandes célèbrent un but contre l'équipe de France, le 5 juillet 2011 à Mönchengladbach © AFP
Devant 50.000 spectateurs enthousiastes à Mönchengladbach, la Mannschaft, également quintuple championne d'Europe, a fait honneur à son rang pour terminer invaincue du groupe A. C'est d'abord Kerstin Garefrekes qui a ouvert la marque de la tête en devançant la défense française à la réception d'un long coup franc (25e). Inka Grings a ensuite doublé la mise, toujours de la tête (32e), face à des Françaises dépassées alors qu'elles n'avaient encaissé aucun but jusque là.
En seconde période, les Bleues sont revenues au score par deux fois mais, en infériorité numérique après l'exclusion de leur gardienne Sapowicz, se sont logiquement inclinées 4 à 2 en dépit d'une bonne fin de match.
A Augsbourg, l'Angleterre n'a pas seulement dominé 2-0 le Japon, surnommé le Barça féminin pour son jeu bien léché et qui avait déjà pratiquement son ticket pour les quarts, mais elle a surtout fait souffrir à distance le Mexique, opposé à la Nouvelle-Zélande à Sinsheim.
Obligées de gagner tout en comptant sur une défaite anglaise, les Mexicaines ont ouvert rapidement le score par Mayor (2e), mais leur joie n'a duré que 13 minutes, le temps pour Ellen White de battre la gardienne japonaise (15e). Un second but anglais signé Rachel Yankey (65e) a mis fin à tout suspense d'autant que, après avoir mené 2-0, les Mexicaines ont été rejointes dans les derniers instants (Smith 90e, Dominguez 90+4e).
GROUPE A
Mardi:
Canada - Nigeria 0 - 1
France - Allemagne 2 - 4
Déjà joués:
Nigeria - France 0 - 1
Allemagne - Canada 2 - 1
Canada - France 0 - 4
Allemagne - Nigeria 1 - 0
GROUPE B
Mardi:
Angleterre - Japon 2 - 0
Nouvelle-Zélande - Mexique 2 - 2
Déjà joués:
Japon - Nouvelle-Zélande 2 - 1
Mexique - Angleterre 1 - 1
Japon - Mexique 4 - 0
Nouvelle-Zélande - Angleterre 1 - 2
Programme des quarts de finale
Samedi (en heure locale, GMT +2)
(18h00): Angleterre - France à Leverkusen (1)
(20h45): Allemagne - Japon à Wolfsbourg (2)
Evans l'emporte sur le fil, Gilbert battu
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© afp
7S7 mise à jour Philippe Gilbert n'est pas parvenu à l'emporter à Mûr-de-Bretagne. Dans le coup lors des derniers mètres, le Liégeois a dû laisser filer Alberto Contador et Cadel Evans. C'est ce dernier qui l'a emporté au sprint de quelques centimètres. Gilbert est cinquième, Hushovd reste en jaune.
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© afp
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L'Australien Cadel Evans (BMC) a remporté la 4e étape du Tour de France, mardi à Mûr-de-Bretagne, devant l'Espagnol Alberto Contador, les deux hommes étant départagés par la photo-finish. Le Norvégien Thor Hushovd (Garmin) a conservé le maillot jaune de leader après cette étape bretonne de 172,5 kilomètres.
Evans s'est imposé de quelques centimètres à Contador, le triple vainqueur de l'épreuve (2007, 2009, 2010) qui a relevé la tête après un démarrage laborieux samedi dernier. Le Madrilène, qui pensait avoir gagné, a levé le bras en franchissant la ligne. Mais Evans a conservé une très courte avance pour enlever son deuxième succès d'étape dans un Tour de France.
Au sommet de Mûr-de-Bretagne, une montée de 2 kilomètres à 6,9%, l'Espagnol a pris 8 secondes à son grand rival, le Luxembourgeois Andy Schleck, débordé dans un final très serré.
Pas de cadeau d'anniversaire pour Gilbert
Le Kazakh Alexandre Vinokourov a pris la troisième place devant le Colombien Rigoberto Uran et le favori du jour, le Belge Philippe Gilbert, qui n'a pu s'imposer comme il l'espérait pour fêter son 29e anniversaire.
Hushovd s'est accroché pour terminer dans le groupe de tête et préserver la courte avance d'une seconde qu'il possède sur Evans au classement général.
Une échappée lancée dès le 9e kilomètre, sous la pluie, par les Français Jérémy Roy et Blel Kadri, les Espagnols Imanol Erviti et Gorka Izagirre et le Néerlandais Johnny Hoogerland a tenu jusqu'à l'amorce du final.
Le quintette, qui disposait d'un avantage de 2 minutes à 50 kilomètres de l'arrivée, a été rejoint après le passage aux 4 kilomètres.
Evans, 34 ans, figurait déjà au palmarès des vainqueurs d'étape dans le Tour. Il a été désigné vainqueur sur le tapis vert du contre-la-montre d'Albi en 2007, après le déclassement de Vinokourov.
L'ancien coureur de VTT est monté à deux reprises sur le podium à Paris. A chaque fois, il a pris la deuxième place du classement final, à moins d'une minute des vainqueurs, les Espagnols Alberto Contador (2007) et Carlos Sastre (2008). (afp)
05/07/11 17h22
Décès de l'ex-champion olympique du 30 km Mika Myllylä
Ski nordique | Selon la police, il était seul dans son appartement de Kokkola, dans l'ouest de la Finlande. Parmi les plus célèbres skieurs de fond de son pays, Mika Myllylä, qui a décroché durant sa carrière un total impressionnant de 6 médailles olympiques et 9 médailles aux championnats du monde, avait 41 ans. "Nous ne considérons pas que la mort soit liée à un crime. La cause du décès va faire l'objet d'une enquête", a indiqué la police finlandaise.
philguerin
06/07/2011, 13h00
Putain 41 ans c'est vraiment trop tôt... çà mérite un éclaircissement...
Putain 41 ans c'est vraiment trop tôt... çà mérite un éclaircissement...
C'est pas bien dur à comprendre, un gars un peu paumé qui pour continuer à gagner se dopait puis se droguait. Arrêt de sa carrière qui représentait tout dans sa vie et il se retrouve du jour au lendemain sans rien.
Un peu comme Pantani et d'autres sportifs morts très jeunes.
Très triste quand même
;);)C'est l'hécatombe cette étape, j'aime pas voir cela.....:bad::boutons::fou:
philguerin
06/07/2011, 15h07
je viens de me mettre sur France2 oui il semble en effet que çà tombe beaucoup aujourd'hui
je viens de me mettre sur France2 oui il semble en effet que çà tombe beaucoup aujourd'hui
leur faut ils des roulettes comme pour les gosses?
Cinquante
06/07/2011, 17h49
Les cyclistes sont toujours en train de dire qu'ils aiment se faire mal... Donc, doivent être satisfaits
Cyclisme
Cavendish gagne la 5e étape du Tour de France
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[URL="http://twitter.com/share?text=Cavendish+gagne+la+5e+%C3%A9tape+du+Tou r+de+France&url=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/le-britannique-mark-cavendish-gagne-la-5e-etape-du-tour-de-france"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/le-britannique-mark-cavendish-gagne-la-5e-etape-du-tour-de-france&t=Cavendish+gagne+la+5e+%C3%A9tape+du+Tour+de+Fran ce)
06. juillet 2011, 17h35
LeMatin.ch & les agences
C'est le Britannique Mark Cavendish qui vient de remporter la 5e étape du Tour de France, en s'imposant au sprint face au Belge Philippe Gilbert.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/Cavendish.JPG Le Britannique Mark Cavendish. © KEYSTONE
Le Britannique Mark Cavendish (HTC) a remporté au sprint la 5e étape du Tour de France, mercredi en Bretagne, près du cap Fréhel, où le Norvégien Thor Hushovd (Garmin) a conservé le maillot jaune de leader.
Cavendish a devancé le Belge Philippe Gilbert et le champion d’Espagne Jose Joaquin Rojas au terme de cette étape de 164,5 kilomètres marquée par de nombreuses chutes.
Le Français Tony Gallopin, un néophyte du Tour, a pris la quatrième place devant le Gallois Geraint Thomas et l’Allemand Andre Greipel.
Un autre Français, Thomas Voeckler, a été rejoint à seulement 1700 mètres de la ligne.
Sous l’effet du vent et d’un peloton nerveux sur les petites routes de Bretagne à l’approche du littoral, une succession de chutes se sont produites en cours d’étape, la principale contraignant le Slovène Janez Brajkovic à l’abandon au Km 71.
Quelques instants plus tard, le vainqueur sortant, l’Espagnol A1berto Contador, s’est retrouvé lui aussi à terre. Le maillot déchiré sur le dos, il a changé de vélo et a réintégré un petit groupe comprenant notamment le Néerlandais Robert Gesink, attardé par une chute précédemment, pour reprendre sa place dans le peloton.
A 62 kilomètres de l’arrivée, le Belge Tom Boonen est resté au sol pendant plusieurs minutes. Touché notamment à l’épaule droite, il est remonté sur le vélo afin de terminer l’étape, en essayant de rentrer dans les délais.
Le champion du Danemark Nicki Sörensen a chuté lui aussi par la suite, apparemment à cause d’une moto, mais a pu repartir. Tout comme, dans la première moitié du parcours, le Britannique Bradley Wiggins, le champion de France Sylvain Chavanel, les Américains Levi Leipheimer et Chris Horner.
Le champion de France du contre-la-montre, Christophe Kern, a pour sa part jeté l’éponge après la mi-course. L’Alsacien souffrait d’une tendinite au genou gauche.
Sous un ciel typiquement breton, alternant soleil et nuages, l’échappée du jour a été menée dès le 4e kilomètre par l’Espagnol Ivan Gutierrez, déjà à l’avant deux jours plus tôt, avec les Français Anthony Delaplace, Sébastien Turgot et Tristan Valentin.
Le quatuor a compté plus de cinq minutes d’avance (Km 45) avant d’être rejoint à 45 kilomètres de l’arrivée.
A l’initiative de Jérémy Roy, un duo français a tenté sa chance à 32 kilomètres de la ligne. Roy et Voeckler, qui l’a suivi sans attendre, ont résisté jusqu’à l’approche de l’arrivée à la chasse conduite vivement par l’équipe HTC relayée par la formation du maillot jaune.
Cavendish a signé son premier succès dans le Tour 2011, son seizième dans le Tour. Le coureur de l’île de Man, qui vit en Toscane (Italie), est âgé de 26 ans.
;)Je mise dessus avec Andy Scleck et le reste pour demain:)
Olympisme
Pyeongchang décroche les JO de 2018
06. juillet 2011, 16h41
LeMatin.ch & les agences
16 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/sports-dhiver/jo-2018-une-ville-ete-elue-nom-connu-des-17h30#comments)
La ville sud-coréenne de Pyeongchang a été élue hôte des jeux Olympiques d’hiver 2018. Elue dès le premier tour de vote du CIO, elle a devancé Munich et Annecy.
F1: "Vettel devrait faire des folies pour perdre le titre", selon Massa
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/134834"] (http://www.lematin.ch/printmail/134834)
AFP - 06. juillet 2011, 18h16
L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull), leader du Championnat avec 77 points d'avance sur son coéquipier Mark Webber et le Britannique Jenson Button (McLaren), "devrait faire des folies pour perdre le titre", a estimé mercredi le Brésilien Felipe Massa (Ferrari).
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309968913774-1-0.jpg Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) à Valence le 24 juin 2011 © AFP
"En étant réaliste, Sebastian Vettel devrait faire des folies pour perdre le titre. Mais nous ne devons pas ralentir nos efforts. Nous ne devons pas regarder ce qu'il fait. Nous devons penser à nous-mêmes. Gagner quelques courses serait très positif et démontrerait que nous réalisons du bon travail", a estimé Massa.
"On a beaucoup parlé du fait que Ferrari était déjà hors de la lutte pour le titre à ce moment de la saison. Je ne connais pas la réponse, mais je sais que nous aborderons chaque course de la même manière, en essayant de la gagner", a-t-il poursuivi sur le site de la Scuderia.
"Et il ne faut pas oublier que chaque amélioration que nous réussirons à apporter à cette voiture peut aussi être importante pour 2012, car il n'y aura pas de grandes évolutions réglementaires", a observé le Brésilien, ajoutant "qu'une bonne voiture (maintenant) représente un pas en avant pour 2012".
Avec 42 points, Felipe Massa compte 144 longueurs de retard sur Vettel (186) quand son coéquipier, l'Espagnol Fernando Alonso, navigue déjà à 99 unités de l'Allemand.
;)Pour moi c'est fait..... plus de suspens
Mondial de rugby: chassez cette routine...
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/134796)
AFP - 06. juillet 2011, 17h01
Les joueurs du XV de France sont unanimes pour souligner le caractère éprouvant de leur programme de préparation au Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande (9 septembre - 23 octobre) mais également sa grande variété, destinée à "chasser la routine" à deux mois de la compétition.
(http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#)1 / 2
[URL="http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#"] (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#)
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309964235272-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#) William Servat est traité par la spécialiste Sophie Poyet (C) le 5 juillet 2011 à Marcoussis AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1309964352625-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#) L'équipe de France à l'entraînement à Marcousis le 5 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1309964235272-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1309964352625-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/mondial-de-rugby-chassez-cette-routine#)
C'est un long tunnel de travail et d'efforts physiques en tout genre. Des litres transpirés autour du terrain d'entraînement dès potron-minet, des quintaux soulevés dans la salle de musculation. Avec, comme modeste récompense, quelques menus contacts avec un ballon de rugby.
Plus de deux mois avant leur entrée dans le Mondial contre le Japon le 10 septembre, les Français sont plongés depuis le 28 juin dans le premier des trois cycles de préparation au Centre national (CNR) de Marcoussis (Essonne) qui se poursuit dès vendredi au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire, 8-18 juillet).
Suivront ensuite le "deuxième cycle", davantage axé sur le jeu, lors du stage à Saint-Laurent-de-Cerdans (Pyrénées-Orientales, 24-31 juillet) et d'un bref retour au CNR, et la troisième phase qui recouvre la période des deux matches de préparation contre l'Irlande le 13 août à Bordeaux et le 20 août à Dublin, neuf jours avant le départ aux antipodes.
De l'avis des joueurs déjà présents lors de la préparation du Mondial-2007 en France, cette première phase est tout aussi éprouvante mais aussi très variée dans son contenu.
"En 2007, la première période de la préparation n'avait été axée que sur le travail physique, on n'avait pas touché le ballon. Là, c'est toujours aussi dur physiquement mais on pratique un peu de rugby tous les jours", relève le talonneur Dimitri Szarzewski.
"C'est intéressant de commencer à travailler le rugby dès maintenant. C'est peu sollicitant au niveau physique et c'est bien d'avoir vu tout ces détails avant d'entrer dans le vif du sujet", renchérit le 2e ligne Lionel Nallet.
Bûché depuis de nombreux mois par l'entraîneur Marc Lièvremont, le programme est réglé au millimètre. "On n'a pas une minute, on est tout le temps occupé: une séance, un peu de psycho, de la musculation, un entraînement, un peu de rugby...", décrivait, enthousiaste, le centre Aurélien Rougerie avant son départ pour la suite de son programme de rééducation (malléole) à Saint-Raphaël (Var) où il sera rejoint en fin de semaine par Thomas Domingo.
Pour chasser la moindre routine, "le piège absolu de toute préparation" selon le capitaine Thierry Dusautoir, l'encadrement a prévu plusieurs sorties hors des murs du CNR. La délégation a ainsi passé le week-end à Rambouillet (Yvelines) où fut organisé, entre autres, un concours de cuisine encadré par quelques chefs étoilés.
Mercredi, les Français devaient passer la journée à l'Ecole interarmées du sport de Fontainebleau (Seine-et-Marne). Le plus grand secret entoure le contenu, que les joueurs découvrent sur le tas, de ces "journées de transition" censées renforcer la cohésion du groupe.
Autre paramètre de ce début de préparation: la présence de nombreux joueurs blessés ou convalescents qui suivent un programme adapté sans être coupés des valides, Rougerie et Domingo exceptés.
"C'est primordial parce qu'au delà des qualités individuelles de chaque joueur, ce qui permettra d'avoir des résultats et de créer quelque chose, c'est l'émulation qui se créera à l'intérieur du groupe", résume le talonneur William Servat, lui-même en convalescence (genou) mais qui a tenu à suivre ses partenaires lors du stage au Chambon-sur-Lignon.
Gilbert retrouve le maillot vert
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Deuxième de l'étape en portant seulement pour la seconde fois de sa carrière le maillot de champion de Belgique, Philippe Gilbert portera jeudi au départ de la 6e étape du Tour de France, à Dinan, le maillot vert de leader du classement aux points.
La raison est le déclassement, après l'arrivée de l'étape, de l'Espagnol Jose Joaquin Rojas (Movistar) lors du sprint intermédiaire de Goudelin (km 70) en raison d'un changement de ligne.
Rojas, qui portait le maillot vert, s'est vu retirer les 7 points de la 9e place. Comme Tom Boonen, a lui aussi été déclassé de la 6e place pour la même raison, Gilbert passe de la 10e à la 8e place et ajoute deux points à son total. Il en compte désormais 120 pour 112 au champion d'Espagne.
Philippe Gilbert avait déjà porté la vareuse verte en course lors de la 3e étape lundi entre Olonne-sur-Mer et Redon.
;)Il est dans le coup..........:content:
World Gymnaestrada 2011
05 juillet 2011 10:37; Act: 05.07.2011 12:08 Print (http://javascript<b></b>:window.print())
http://www.20min.ch/dyft/28e828/F_.S44.W600.C3355443/La%20Patrouille%20Suisse%20sera%20en%20d%E9mo%20%E 0%20Lausanne.pngLa Patrouille Suisse sera en démo à Lausanne
La patrouille des Forces aériennes suisses survolera Lausanne dans le cadre de la World Gymnaestrada, vendredi 8 et dimanche 10 juillet. Des nuisances sonores sont attendues.
Les pilotes de la Patrouille Suisse volent à bord de chasseurs américains F-5 E Tiger II... plus... (http://javascript<b></b>:;)En grand format sur notre portail vidéo http://www.20min.ch/2010/img/story/videoportal-icon.png (http://www.20min.ch/ro/videotv/?vid=209970&cid=120)
Les pilotes de la Patrouille Suisse volent à bord de chasseurs américains F-5 E Tiger II. (source: www.youtube.com (http://www.youtube.com))
par e-mail (http://javascript<b></b>:;)
Les Lausannois peuvent s'attendre à quelques nuisances sonores vendredi entre 10h et 10h30 ainsi que dimanche entre 18h05 et 18h15. La Patrouille Suisse (http://www.lw.admin.ch/internet/luftwaffe/fr/home/verbaende/einsatz_lw/kunstflugteam/ps.html) survolera la ville à l'occasion de la World Gymnaestrada 2011 (http://www.wg-2011.com/) qui se déroulera jusqu'au 16 juillet.
La Patrouille Suisse se produira dimanche lors de la cérémonie d'ouverture prévue au Stade olympique de la Pontaise, ont annoncé mardi les organisateurs de la fête internationale de gymnastique et les Forces aériennes. Les passages du vendredi sont nécessaires à la mise en place de la démonstration.
A 300m au-dessus de la ville
Dans les zones à forte densité de population, la Patrouille Suisse vole à au moins 300 mètres du sol. Au-dessus des aérodromes et des plans d'eau, l'altitude minimale de sécurité est à 100 mètres du sol, en fonction de la figure acrobatique exécutée, précise le communiqué.
La World Gymnaestrada aura lieu du 10 au 16 juillet 2011. Près de 19'000 participants de 55 pays sont attendus à Lausanne. La manifestation se tient tous les quatre ans. Elle a pour but de promouvoir le sport et l'activité physique et de présenter à un large public la gymnastique de groupe dans un cadre non compétitif.
La Patrouille Suisse (fiche technique sur ce lien (http://www.lw.admin.ch/internet/luftwaffe/fr/home/verbaende/einsatz_lw/kunstflugteam/ps.parsys.0002.downloadList.96358.DownloadFile.tmp/patrouillesuisse2011fiweb.pdf)) et le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) ainsi que le Comité d’organisation de la World Gymnaestrada Lausanne 2011 remercient la population des régions concernées pour leur compréhension et s'excusent d'ores et déjà des éventuels désagréments.
Film promotionnel de la Patrouille Suisse
http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/La-Patrouille-Suisse-sera-en-demo-a-Lausanne-18475716
philguerin
07/07/2011, 07h28
Merci Norton... y'avait longtemps que je ne te l'avais pas dis... c'est presque un travail à temps plein ton truc...:fou::fou::fou:
Merci Norton... y'avait longtemps que je ne te l'avais pas dis... c'est presque un travail à temps plein ton truc...:fou::fou::fou:
;)Ben comme toi j'aime partager mes idées (photos sport etc je pense qu'un forum est fait pour cela........Bon week-end à toi et famille Phil et n'oublie pas de visiter les nouvelles sportives........:content::D
Il vient ce beau temps dans tes Landes?:diable:
Gilbert: "Mon plan avec Vanendert n'a pas fonctionné"
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© ap
Philippe Gilbert avait également noté cette sixième étape du Tour de France dans son agenda, mais le N.1 mondial n'est pas parvenu à inscrire un deuxième succès à son palmarès sur la Grande Boucle, terminant 7e du sprint final.
"J'avais demandé à Jelle Vanendert de tenter quelque chose dans la dernière montée avant l'arrivée pour faire réagir les autres équipes et éliminer les hommes les plus rapides du peloton. Mais il y avait encore tellement de bons sprinters à l'avant de la course, que notre mission devenait impossible. Notre plan n'a pas fonctionné", a déclaré Gilbert.
"L'arrivée était difficile et je n'étais pas très à l'aise à cause de la chaussée rendue très glissante par la pluie. Je me suis toutefois mêlé au sprint mais n'ai pas su jouer la victoire et me suis classé 7e, ce qui m'a permis de garder mon maillot vert."
"J'ai accéléré à l'endroit le plus dur de la pente, comme Philippe me l'avait demandé", a répliqué Vanendert. "Ce qui au départ devait servir à hausser le rythme est finalement devenu une attaque. Mais même lorsque Thomas Voeckler m'a rejoint, je savais qu'il serait impossible de rester devant jusqu'au bout parce que le peloton était trop proche. Mais qui ne tente rien n'a rien. Pour moi, le plus important c'est que l'étape s'est bien déroulée et qu'il n'y a pas eu trop de chutes.".
;)ben mon avis, il n'a pas la taille pour gagner un tour. Par contre dans les (classiques il reste un des meilleur:amoureux:Sympa en plus.....
Edvald Boasson Hagen devance Goss et Hushovd
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© afp
7S7 mise à jour Edvald Boasson Hagen a remporté la 6e étape du Tour de France du jour. Le Norvégien a gagné le sprint face à Goss et Hushovd. Gilbert, enfermé dans la dernière ligne droite, termine septième et garde son maillot vert pour un petit point. Hushovd reste en jaune.
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Le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Team Sky) a remporté jeudi la 6e étape du Tour de France, la plus longue de l'épreuve avec 226,5 km entre Dinan et Lisieux, où son compatriote Thor Hushovd (Garmin), qui a pris la 3e place du sprint final derrière l'Australien Matthew Goss, a conservé son maillot jaune de leader.
Cinq coureurs, les Néerlandais Lieuwe Westra et Johnny Hoogerland, le Français Anthony Roux, le Colombien Leonardo Duque et l'Italien Adriano Malori ont passé en tête la majeure partie de cette journée où la pluie a été quasi permanente.
Partis depuis le 6e kilomètre, les cinq hommes ont compté un moment plus de dix minutes d'avance avant de voir leur avantage diminuer à 60 km de l'arrivée. Au passage, à l'occasion de deux des trois difficultés répertoriées, Hoogerland a empoché 3 points au classement de la montagne, lui permettant de déposséder l'Australien Cadel Evans de son maillot à pois.
Malori, le dernier rescapé de l'échappée, repris à 3 km du terme, c'est un peloton réduit à un cinquantaine d'unités qui s'est présenté à Lisieux. La puissance de Boasson Hagen a permis à l'équipe Sky de décrocher son premier succès sur le Tour, alors que Philippe Gilbert, enfermé à l'avant du peloton, a pris la 7e place du sprint, conservant pour un point son maillot vert du classement par points.
;)Très belle victoire d'étape:content::amoureux:Mais je ne le met pas comme dangereux dans le tour:non:
Le téléphone d'Alizée Cornet sonne en plein match (vidéo)
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Scène surréaliste au tournoi de Bastad où, lors de la rencontre entre Alizée Cornet et Caroline Wozniacki, le téléphone de la Française a sonné pendant que la numéro 1 mondiale se préparait à servir pour la balle de match.
Il a fallu quelques secondes à Alizée Cornet pour comprendre que le portable qui sonnait était bien le sien. Et quand elle l'a découvert, toute l'assistance a éclaté de rire, même les deux joueuses.
A noter que Wozniacki a gagné cette rencontre sur un double 6-4. (JC)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=P7IhwaEdiV4#t=50s
:non:Une blonde de plus quoi.........
Le toit du stade de Twente s'écroule: 1 mort, 14 blessés
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(Photo Twitter)
7S7 mise à jour A la suite de l'effondrement d'une partie du stade de football du FC Twente, à Enschede (est des Pays-Bas), le bilan a été revu à la baisse: 1 mort, alors que quatorze personnes sont blessées.
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Une personne a été tuée et quatorze blessées jeudi lors de l'effondrement d'une partie du toit du stade du club de football du FC Twente, à Enschede, dans l'est des Pays-Bas, selon un nouveau bilan annoncé par le maire de la ville.
"Une personne est morte et quatorze sont blessées. Dix d'entre elles ont été conduites à l'hôpital et deux sont grièvement blessées", a déclaré le maire d'Enschede, Peter den Oudsten, lors d'une conférence de presse.
Les circonstances de l'accident sont encore indéterminées, a-t-il souligné, ajoutant que des recherches se poursuivaient pour établir si d'autres personnes se trouvaient encore sous les décombres du toit.
"Nous devons être sûrs qu'il ne reste plus personne sous les décombres".
Une partie du toit du stade du club de première division FC Twente, vainqueur de la Coupe des Pays-Bas, s'était effondrée vers midi alors que des travaux d'agrandissement du stade sont en cours.
Un énorme bruit
Selon des témoins, un énorme bruit a retenti alors que des poutres de soutien se sont détachées du toit.
Selon les informations parues dans différents médias locaux, c'est le toit de l'extension du stade qui s'est effondré alors qu'un chantier de rénovation était en cours.
Les ambulances vont et viennent, de part et d'autre de la région. La police est également sur place afin de dresser un périmètre de sécurité autour du lieu de l'accident, où des travaux d'agrandissement du stade étaient en cours.
Les pompiers ont déployé de grands moyens afin de soulever les poutres sous lesquelles sont coincés les ouvriers. Le club de Twente doit jouer fin du mois pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions. (belga/jc)
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Imaginons un match de coupe d'europe ou autres (importants):diable:N'importe quoi, au prix des billets..........:langueŽ:
Zidane annonce qu'il sera "directeur du football" au Real
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L'ancien meneur de jeu français du Real Madrid entre 2001 et 2006, Zinédine Zidane, aujourd'hui conseiller du président Florentino Perez, a annoncé jeudi qu'il serait le "directeur du football" de l'équipe première du club à partir de la prochaine saison.
Toutefois, aucun accord officiel n'a encore été annoncé par le club madrilène.
"Je serai le directeur du football de l'équipe première", a déclaré Zidane, à l'issue d'un match caritatif dans lequel il a joué aux côtés de son idole de jeunesse, l'Uruguayen Enzo Francescoli.
L'ancien international est resté vague sur ses fonctions exactes au sein du club: "Nous verrons. Tout le monde me demande la même chose, mais je serai ici à partir de lundi prochain et jusqu'à la fin de la saison", a-t-il seulement affirmé.
Selon la presse espagnole, Zidane travaillera en étroite collaboration avec l'entraîneur portugais de l'équipe, José Mourinho. Certains journaux avaient évoqué sa montée en grade au sein du club, après le départ fin mai du directeur général Jorge Valdano, qui ne s'entendait pas avec Mourinho.
Au moment d'accepter ce nouveau poste, "Mourinho a été très important, mais aussi le président, et c'est ce qui est le plus important", a indiqué Zidane.
"Le Real Madrid est la chose la plus importante qui me soit arrivée dans la vie, tant comme footballeur que comme personne", a déclaré l'ancien joueur qui est conseiller de Florentino Perez depuis novembre 2010.
"Je vais continuer à collaborer avec le club parce c'est le plus important", a-t-il assuré.
;)Aussi comptable que MSR Platini..........:)
Tour de France: la gazette
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/135222"] (http://www.lematin.ch/printmail/135222)
AFP - 07. juillet 2011, 18h47
Le peloton est passé en début de la 5e étape au large du Mont Saint-Michel. Ce monument classé au Patrimoine de l'Humanité avait été mis à l'honneur en 1990 avec une arrivée d'étape partie de Nantes. Johann Museeuw s'y était imposé.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310057189717-1-0.jpg Le peloton du Tour de France passe devant le Mont Saint-Michel, en Normandie, pour la 6e étape du Tour de France, le 6 juillet 2011 © AFP
Prolongation. Christophe Kern, champion de France du contre-la-montre, a abandonné mercredi durant la 5e étape après avoir souffert durant plusieurs jours d'une tendinite à un genou. Jeudi, le manager de son équipe Europcar, Jean-René Bernaudeau, a annoncé la prolongation du coureur âgé de 30 ans pour deux ans dans sa formation. Kern a signé une très belle saison, avec une victoire d'étape dans le Dauphiné Libéré, une 6e place au classement final de l'épreuve et un titre de champion de France.
Amour. Jan Ullrich, vainqueur du Tour de France 1997 et licencié en 2006 de son équipe T-Mobile pour son implication supposée dans le réseau de dopage sanguin du docteur Fuentes, envisage de revenir dans le cyclisme. Le coureur, aujourd'hui âgé de 37 ans a exprimé cette possibilité, sans plus de précisions sur la date et à quelle fonction, dans une interview à un site internet spécialisé allemand. Evoquant une relation "d'amour-haine" avec le vélo, il y affirme que "en ce moment, c'est redevenu un grand amour".
Touchés, pas coulés. Les cinq coureurs de la Quick Step qui ont chuté lors de la 5e étape (de Weert, Chavanel, Ciolek, Boonen, Steegmans) ont tous pris le départ de la 6e étape, comme Juan Manuel Garate de la Rabobank malgré un trait de fracture à l'épaule qui le faisait beaucoup souffrir jeudi matin. Et tous ont terminé, non sans mal. Le dernier d'entre eux, Chavanel, a terminé 188e sur 193 coureurs arrivés dans les délais.
Piqué. Le Français de l'équipe BMC, Amaël Moinard, a dû se faire soigner pour une piqûre de guêpe dans le palais. L'insecte a dû chercher à s'abriter des déluges d'eau qui sont tombés tout au long de l'étape...
Retraite. Daniel Mangeas, qui officie comme commentateur officiel du Tour depuis des années, envisage peut-être la retraite. "J'aimerais bien aller jusqu'en 2013, il s'agira du centième Tour de l'histoire et de mon quarantième", déclare-t-il dans un interview à Ouest-France.
Monument. Le peloton est passé en début de la 5e étape au large du Mont Saint-Michel. Ce monument classé au Patrimoine de l'Humanité avait été mis à l'honneur en 1990 avec une arrivée d'étape partie de Nantes. Johann Museeuw s'y était imposé.
Autre course. Des militants de la CGT des côtes d'Armor ont exposé leurs revendications en marge du départ de Dinan. "Nous, on court après notre salaire", avaient-ils inscrit sur une banderole.
Vlà va suffir pour la soirée..........:)
:diable:bon passons aux sujets sérieux, marre de ces (bécanes):p
Cyclisme
Tour de France: la 7e étape à Cavendish, Hushovd toujours en jaune
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/135576)
[URL="http://twitter.com/share?text=Tour+de+France%3A+la+7e+%C3%A9tape+%C3% A0+Cavendish%2C+Hushovd+toujours+en+jaune&url=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/tour-de-france-la-7e-etape-cavendish-hushovd-toujours-en-jaune"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/tour-de-france-la-7e-etape-cavendish-hushovd-toujours-en-jaune&t=Tour+de+France%3A+la+7e+%C3%A9tape+%C3%A0+Cavend ish%2C+Hushovd+toujours+en+jaune)
08. juillet 2011, 18h16
Le Britannique Mark Cavendish a remporté au sprint la 7e étape du Tour de France à Châteauroux. Le Norvégien Thor Hushovd conserve le maillot jaune de leader.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116536386.JPG Le vainqueur du jour, Mark Cavendish. © KEYSTONE
Le Britannique Mark Cavendish (HTC) a remporté au sprint la 7e étape du Tour de France à Châteauroux, où le Norvégien Thor Hushovd (Garmin) a conservé le maillot jaune de leader.
Cavendish a devancé l’Italien Alessandro Petacchi, l’Allemand Andre Greipel et le Français Romain Feillu.
:diable:Pour mon ami Phil, Andy schleck, voilà mon dernier prono:p:D:content::content::content::amoureux::amo ureux::amoureux:
08. juillet 2011, 16h41
Claude-Alain Zufferey | LeMatin.ch
La grosse surprise de l’après-midi s’est produite dans le quart de final féminin entre May-Walsh et Cicolari-Menegatti.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/081517_PS121%20BCH_76a89c48.jpg La paire italienne Cicolari-Menegatti. © Keystone
Les Italiennes ont réussi l’exploit de sortir les Américaines en trois sets (21-19, 19-21, 15-11). «C’est la première fois que je quitte Gstaad aussi tôt dans la compétition. Nos adversaires ont juste un peu mieux joué que nous. Contrairement à ce qui se passait les autres années, les jeunes commencent à moins nous respecter. Elles savent que finalement elles ne sont pas favorites et qu’elles n’ont pas grand-chose à perdre», commente Kerry Walsh, quintuple vainqueur dans l’Oberland bernois et championne olympique 2004 et 2008.
Chez les messieurs, Sébastien Chevallier est désormais fixé sur son sort. Il jouera son seizième de finale (aujourd’hui à 18 h) face aux Tchèques Benes- Kubala. Une partie qui semble à la portée du Genevois et de son coéquipier Sascha Heyer. Dans le même temps, Laciga-Weingart affronteront les Américains Gibb-Rosenthal.
Tennis
Coupe Davis: la Suisse mène 2-0 contre le Portugal
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/135502)
[URL="http://twitter.com/share?text=Coupe+Davis%3A+la+Suisse+m%C3%A8ne+2-0+contre+le+Portugal&url=http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/coupe-davis-suisse-portugal-wawrinka-remporte-le-premier-match"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/tennis/coupe-davis/coupe-davis-suisse-portugal-wawrinka-remporte-le-premier-match&t=Coupe+Davis%3A+la+Suisse+m%C3%A8ne+2-0+contre+le+Portugal)
08. juillet 2011, 15h19
M.A.
La Suisse mène 2-0 face au Portugal, au 2e tour de la zone Europe/Afrique. Tant Roger Federer que Stanislas Wawrinka ont remporté leur match.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116771475.JPG La Suisse mène face au Portugal en Coupe Davis. © KEYSTONE
La Suisse mène 2-0 face au Portugal, au 2e tour de la zone Europe/Afrique. Le récital que les 8000 spectateurs étaient en droit d’espérer n’a cependant pas eu lieu à Berne.
Stanislas Wawrinka (ATP 15) a joué les intermittents du spectacle dans le match d’ouverture, s’imposant 7-5 6-3 6-4 face au no 1 lusitanien Frederico Gil (ATP 90). Roger Federer a quant à lui réussi l’exploit de perdre un set face au modeste Rui Machado (ATP 93), qu’il dominait finalement 5-7 6-3 6-4 6-2. «Les deux Portugais ont joué le coup à fond. Ils méritent le plus grand respect», relevait à juste titre le no 3 mondial.
N’empêche que le Vaudois et le Bâlois s’en sont avant tout sortis grâce à la qualité de leur première balle de service, alors que leur bagage technique est largement supérieur à celui des Portugais. Stanislas Wawrinka fut trop inconstant en coup droit et parfois trop attentiste à la relance, alors que Roger Federer a péché en revers et dans son déplacement. Le public a d’ailleurs dû plus souvent soutenir ses favoris qu’applaudir leurs trop rares coups de génie.
Pas de miracle de Berne pour le Portugal
Comme ils aimaient le souligner, les deux compères ont cependant assuré l’essentiel et il n’y aura sans doute pas de miracle de Berne pour le Portugal. A 2-0, l’équipe de Suisse peut en effet voir venir: elle a remporté ses 18 matches précédents lorsqu’elle s’est retrouvée dans cette situation. Son dernier échec remonte à un quart de finale du groupe mondial joué à St-Gall en 1988. Claudio Mezzadri, Roland Stadler et Heinz Günthardt avaient alors perdu les trois derniers matches face aux Mexicains Leonardo Lavalle et Jorge Lozano, à chaque fois en cinq sets !
Un tel scénario ne se reproduira pas dans la PostFinance Arena. La victoire devrait être assurée dès le double de samedi, où les champions olympiques en titre Roger Federer et Stanislas Wawrinka devraient être opposés à la paire Frederico Gil/Leonardo Tavares. Le Bâlois voudra sans doute tout faire pour éviter de rejouer dimanche face à Frederico Gil.
Satisfaction de mise
La satisfaction était donc de mise pour Roger Federer et Stanislas Wawrinka. «Il est difficile de jouer de manière libérée quand tu manques ton début de match, alors que tu sais que le public attend que tu sortes de grands coups, concédait le Bâlois. J’ai sous-estimé la difficulté à s’adapter à cette surface, très différente du gazon. Rui a mérité de remporter le premier set. Mais j’ai pris le contrôle de la partie grâce à mon service après avoir réussi le break dans le deuxième set.»
«C’est bien d’avoir pu m’imposer en trois sets, lâchait pour sa part le Vaudois. J’ai commis des fautes, mais j’ai su garder la tactique que j’avais choisie. Je voulais être agressif, et j’ai su imposer mon jeu. J’estime avoir livré un match solide. J’étais un peu nerveux en début de rencontre, comme toujours lorsque je joue en Coupe Davis à domicile. Je ne bougeais pas très bien. J’ai dû trouver mes marques et m’habituer au jeu de mon adversaire. J’ai su gérer.»
«Mon service fut la clé du match. Cette arme fut de plus en plus efficace au fil de la rencontre», glissait le champion olympique de double, ravi d’avoir vu sa fille Alexia avant le début de la partie. «C’est la première fois qu’elle me voyait sur un court. Cela m’a motivé encore plus, et m’a fait énormément plaisir», souriait un Stan impressionné par le public. «Les fans sont très présents, alors qu’il s’agit d’un match de la zone Europe/Afrique dans lequel nous sommes largement favoris», concluait-il.
;)Ouaip sur ce coup rien à se vanter.........:non::non:
Gilbert: "Plus beau de rouler avec le maillot tricolore"
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© belga
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"Nous avons fait ce que nous pouvons faire en tant qu'équipe et André Greipel a essayé de gagner, mais finalement c'est un résultat logique avec Mark Cavendish comme vainqueur", a expliqué Philippe Gilbert vendredi à l'issue de la 7e étape du Tour de France.
"Bravo à Greipel, il a fait ce qu'il pouvait, comme nous tous d'ailleurs. Celui qui pense que nous ne pouvons pas nous mettre d'accord, cherche la petite bête. Chacun reçoit sa chance, comme annoncé", a déclaré Gilbert .
"J'ai perdu mon maillot vert, bien que j'ai fait le sprint intermédiaire. Mais j'ai atteint ma limite et c'était encore pire quand, après une chute, je me suis retrouvé à la fin du premier peloton. J'étais bien sur le côté et je regardais les meilleurs. Heureusement j'ai pu récupérer pour ensuite jouer mon rôle pour Greipel comme c'était prévu. Samedi je roulerai à nouveau dans mon maillot tricolore de champion de Belgique, le maillot dans lequel je préfère rouler. Mais si je peux reprendre le maillot vert à Super-Besse, je ne laisserai pas passer cette chance."
:non::non:Là il nous prend pour des cons, ou des Bel....:p:D
Red Bull nie la venue de Lewis Hamilton
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© epa
Dietmar Mateschitz, patron de Red Bull, nie l'arrivée la saison prochaine du Britannique Lewis Hamilton (McLaren) dans l'écurie de Formule 1 qu'il possède et juge "probable" une prolongation du contrat de l'Australien Mark Webber, sur le site du quotidien Krone Zeitung vendredi.
Interrogé sur les rumeurs concernant un transfert du pilote McLaren, M. Mateschitz parle "d'invention médiatique. Nous n'y avons jamais pensé".
En revanche, le fondateur et dirigeant de Red Bull qualifie de "probable" la prolongation du contrat de Webber, le coéquipier du champion du monde allemand Sebastian Vettel.
"C'est en théorie encore ouvert, mais probable. Ce n'est seulement pas encore confirmé.(...) Au début de l'été, il a expliqué à l'équipe: +Je me sens bon, rapide et fort. Je continue pour un an de plus+", poursuit l'argentier de l'écurie Red Bull.
Après huit épreuves, Vettel est largement en tête du classement du Championnat 2011 avec 186 points, tandis que Webber partage la 2e place (109 pts) avec le Britannique Jenson Button (McLaren). Hamilton (97 pts), 4e au général, s'est parfois plaint du manque de compétitivité de sa monoplace. (
;)Poue moi le championnat et terminé.....Suis content pour Alonzo, ce c...... qui prétendait faire 3 titres d'afillée..:langueŽ:Dans le c..:content:
Le sprinter Tyson Gay doit mettre un terme à sa saison
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© afp
Tyson Gay ne courra plus cette saison. Le sprinter américain, qui n'avait pas réussi à se qualifier pour les championnats du monde Daegu, a subi une arthroscopie mardi à la hanche.
"Le médecin est très satisfait de l'intervention. Il est persuadé que Tyson pourra reprendre l'entraînement à l'automne", a déclaré le manager de Gay Mark Wetmore.
Tyson Gay (28 ans) souffrait depuis quelque temps de la hanche droite. Elle l'avait empêcher de se placer en ordre utile lors des sélections américaines en vue de Mondiaux du 27 août au 4 septembre en Corée du Sud. Le triple champion du monde 2007 devait être le plus redoutable rival du Jamaïcain Usain Bolt.
:fou:Ben MERDE
Tennis
Coupe Davis: la Suisse mène 2-0 contre le Portugal
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116771475.JPG Roger Federer a quant à lui réussi l’exploit de perdre un set face au modeste Rui Machado (ATP 93), qu’il dominait finalement 5-7 6-3 6-4 6-2.
;)Ouaip sur ce coup rien à se vanter.........:non::non:
:):):)J'aime bien la tournure de la phrase. En tout cas c'est sur le Fed' sur ce coup là il a fait fort. Il met des tôles en 3 sets aux joueurs du top 15 mais par contre face au 100ème mondial il arrive à en perdre un surtout avec le public à fond derrière lui:D
;)H0p un peu d sport en éspétant que certaines personne arrive à comprendre mon message:diable:
Beachvolley
Larissa/Juliana remportent le Grand Chelem de Gstaad
09. juillet 2011, 18h03
LeMatin.ch & les agences
Larissa et Juliana ont prolongé leur règne sans partage sur le tournoi du Grand Chelem de Gstaad. Les Brésiliennes ont remporté l’épreuve bernoise en dominant en finale les Chinoises Xue Chen et Zhang Xi.
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Mode image (http://www.lematin.ch/node/135777) http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116849849.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) Les Brésiliennes Juliana et Larissa remportent le tournoi. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116849830.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116850050.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) © Keystone
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116850000.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116849583_0.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116850020.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) Les Brésiliennes ont remporté l’épreuve bernoise en dominant en finale les Chinoises Xue Chen et Zhang Xi © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116835160.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) Le Suisse Jonas Weingart. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116835195.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) Les Suisses Martin Laciga (à droite) et Jonas Weingart. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116835310.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) Martin Laciga (à droite) opposé à Penggen Wu. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/116835590.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#) L'Allemand Jonas Reckermann et le Brésilien Ferramento. © Keystone
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116849849.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116849830.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116850050.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116849855.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116850000.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116849583_0.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116850020.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116835160.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116835195.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116835310.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/116835590.JPG (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/beachvolley-larissajuliana-evidemment-au-grand-chelem-de-gstaad#)
C'est avec le score 21-15 21-13. que les Brésiliennes Larissa et Juliana ont remporté le tournoi du Grand Chelem de Gstaad. Elles ont dominé en finale les Chinoises Xue Chen et Zhang Xi.
Il s’agit tout simplement du troisième succès et du sixième podium de rang à Gstaad pour Juliana, sacrée pour la troisième fois championne du monde avec sa coéquipière il y a trois semaines à Rome.
Chez les hommes, les deux Suisses Martin Laciga et Jonas Weingart ont bouclé leur parcours au Grand Chelem de Gstaad à la neuvième place. Les deux Suisses ont été éliminés au stade des huitièmes de finale par la paire chinoise Xu Penggen/Wu Linyi (no 11) en trois sets.
Les Helvètes avaient remporté la première manche 18-21 et ont longtemps tenu la dragée haute à leurs adversaires lors du deuxième set. Ils ont toutefois fini par courber l’échine, pliant lors de la deuxième levée (21-19), avant de rompre au tie-break (15-12).
Ce résultat constitue tout de même une petite satisfaction pour le vétéran Fribourgeois et son jeune homologue bernois. No 3 suisses avant le début du tournoi dans le sillage des paires Heuscher/Bellaguarda et Heyer/Chevallier (toutes deux 17es au final), ils ont réussi dans l’Oberland leur premier top 10 depuis les débuts de leur association.
Une neuvième placé est de bonne augure dans l’optique d’une qualifications pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Ils devront toutefois passer par les qualifications des futurs tournois, car c’est grâce à une wild-card qu’ils ont pu entrer directement dans le tableau principale de l’épreuve de Gstaad.
Les résultats
Messieurs. 8e de finale: Penggen Wu/Linyin Xu (Chine/11) battent Martin Laciga/Jonas Weingart (S/30) 18-21 21-19 15-12.
Dames. Finale: Larissa/Juliana (Bré/2) battent Chen Xue/Xi Zhang (Chine/7) 21-15 21-13. Match pour la 3e place: Greta Cicolari/Marta Menegatti (It/5) battent Talita/Antonelli (Bré/6) 22-20 21-14.
:diable:Bravo la technique, tout est décentré et plus moyen de corriger un message.........:non:Non votre truc ne fonctione pas, 15 jours pour visualiser deux trois photos... se battre pour l'avoir au centre... Merde suis fâché.........................:p
:diable:Passons aux choses sérieuses....
Football
Sion s’offre une victoire de prestige face au PSG
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09. juillet 2011, 23h26
Jérôme Beuchat | Le Matin Dimanche
1 commentaire (http://www.lematin.ch/sports/football/sion-s%E2%80%99offre-une-victoire-de-prestige-face-au-psg#comments)
Les Sédunois se sont imposés sur le score de 3-2 face au Paris Saint-Germain hier au Mouret. Les Valaisans étaient plus en jambes que les Parisiens, qui commencent leur préparation.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/Foot_1.JPG Laurent Roussey © Keystone
A une semaine de la reprise du championnat de Suisse, Sion était supposé plus fort physiquement que son hôte parisien. Des Parisiens arrivés hier en fin de matinée à l’aéroport et reparti directement, dès le coup de sifflet final.
Ce décalage dans la préparation entre les deux formations a avantagé l’équipe de Christian Constantin, mais ce détail n’enlève en rien la belle performance des joueurs valaisans. «Nous avons eu une organisation solide, un bon jeu vers l’avant et une grande efficacité avec ces trois buts», relevait Laurent Roussey.
Trois réussites de toute beauté qui ont été chaleureusement applaudies par le nombreux public du petit stade du Mouret: un coup franc à 25 mètres d’Obradovic en pleine lucarne, un face-à-face gagné par Afonso contre le portier Douchez et un tir plein de finesse de Prijovic. A chaque fois, ce sont des actions rondement menées qui ont abouti, avec une circulation de balle déjà bien huilée entre les différentes lignes. «On a vu que Sion était prêt pour commencer sa saison, bien que je sois quand même déçu d’avoir perdu cette partie», expliquait l’entraîneur parisien, Antoine Kombouaré.
Malheureusement, les Valaisans se sont fait peur dans les dernières minutes de la partie et ont vu le PSG revenir à une longueur en l’espace de cinq minutes. «C’est vraiment dommage d’avoir encaissé ces deux buts, expliquait l’entraîneur sédunois. Les remplaçants n’ont pas eu le même état d’esprit que les autres».
Choix à faire
Ce n’est donc pas un problème physique à une semaine d’affronter Zurich? «Nous sommes prêts et très impatients que cela recommence, mais nous verrons qu’à ce moment-là si nous avons fait les bons choix», continuait Roussey.
Le FC Sion jouera encore aujourd’hui à Chalais face à Etoile Carouge avec, comme objectif, de donner du temps de jeu à tout le monde. «Nous allons aligner les joueurs qui n’ont pas ou peu évolué aujourd’hui (hier). J’aurai des choix à faire dès la semaine prochaine et pour cela, il faut que je fasse tourner mon effectif».
:D:D:DJe me marre, vivent les (paysans):fou::content::content:
tennis
L’équipe de Suisse se rapproche de l’élite mondiale
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09. juillet 2011, 23h05
Gaëlle Cajeux | Le Matin Dimanche
L’union retrouvée de Roger Federer et Stanislas Wawrinka a maté le Portugal (3-0) et laisse présager le meilleur pour l’équipe nationale en Coupe Davis. Sauf blessure ou indisponibilité.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tennis_41.jpg Humour, complicité et talent; Roger Federer et Stanislas Wawrinka ont tous les ingrédients nécessaires entre les mains pour envisager de décrocher un jour le saladier d’argent. © Gaëlle Cajeux
«Super! Fedrinka!» Une fusion de noms, imaginée en tribunes, qui traduit en un mot l’efficience et le charme de l’alliance présente sur le terrain. Roger Federer, souvent absent ces dernières années - «je suis le premier à le regretter»-, a rejoint Stanislas Wawrinka, fidèle soldat de la Coupe Davis. Complémentarité des talents, complicité des âmes; après leurs victoires en simple, les deux hommes ont triplé l’avantage de la Suisse sur le Portugal. Trois à zéro, la partie est (presque) finie. Déjà gagnée. La brigade helvétique peut partir à l’assaut de l’élite mondiale. Pour entreprendre la conquête du Graal.
«Notre objectif est de réintégrer le groupe mondial. Nous avons fait un premier pas, mais maintenant il ne faut par regarder trop loin. Attendons déjà mercredi pour voir contre qui l’on jouera notre match de barrage en septembre», tempère le capitaine Severin Lüthi. Avant d’avouer: «Oui, nous pouvons presque battre toutes les équipes au monde.» Son groupe, emmené par le duo doré sur l’Olympe, laisse effectivement à chacun une conviction: le saladier d’argent est à sa portée.
Les encouragements de Sefolosha
Thabo Sefolosha assistait hier à son premier match de tennis «en direct dans le stade». «C’était une belle expérience de voir Stan et Roger en même temps. Remporter la Coupe Davis me semble plus qu’envisageable, la Suisse a vraiment deux joueurs d’exception et je ne vois pas pourquoi elle n’y parviendrait pas, souligne le basketteur. En tout cas je leur souhaite bonne chance, je vais continuer à suivre ça de très près.»
Ancien joueur et entraîneur, désormais consultant pour la télévision alémanique, Heinz Günthardt renchérit: «Roger et Stan forment l’une des meilleures équipes au monde. Si les deux jouent ensemble, s’ils sont en forme et qu’on a la chance d’évoluer à la maison, je ne trouve pas une seule raison qui les empêcherait de battre n’importe quelle équipe. Mais c’est ça la question: est-ce qu’ils vont jouer ensemble?»
«C’était notre deuxième match avec Rodg’ en Coupe Davis, notre seconde victoire, j’espère qu’il y en aura d’autres», glisse Stanislas Wawrinka. Si la tournée américaine ne laisse pas de bobos, le Vaudois assure qu’il «fera son maximum pour être présent et en forme» lors du match de play-off, du 16 au 18 septembre. «Une blessure, la maladie», seules ces choses-là pourraient empêcher Federer d’y participer. «Il faut aussi voir où l’on joue, parce que le monde est grand… et après l’US Open ça peut ne pas être envisageable de s’y rendre. Mais je vais me décider rapidement. Une chose est sûre, je vais plus jouer en Coupe Davis dans le futur.»
Etre membre de la brigade pour décrocher ce précieux saladier, rare bien manquant encore à son palmarès. Et pour ces moments uniques, entre potes. Les parties de yass le soir à l’hôtel, la déconne à l’entraînement. Même en match. «Ce qu’on se dit entre les points?» Federer éclate de rire. Wawrinka: «Dis-leur la vérité, Rogd’.» «Vous voulez la vérité? Ah oui, que la vérité, toujours… Bon, ben, ce sont des conneries de temps en temps pour se changer un peu les idées. Parce que dire uniquement: je sers le coup droit, derrière tu fais une volée revers… ce n’est pas très marrant. On aime bien discuter d’autre chose, profiter du public. On décompresse un peu, mais en restant sérieux et professionnels. Une fois que l’échange est lancé, on est là.» Wawrinka: «Il a plus ou moins dit la vérité, je pense que c’est une bonne réponse…»
L’équipe ne cache par contre pas que son No 1 ne jouera pas aujourd’hui. «Et on décidera ce soir (hier) si Stan dispute le deuxième match.»
CYCLISME
Rui Costa piège les favoris
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09. juillet 2011, 23h11
Laurent Guyot | Le Matin Dimanche
Revenu aux affaires en avril après une suspension de 6 mois pour dopage, le Portugais de Movistar a résisté au retour des Gilbert, Evans et Cie.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tf_1.jpg Alberto Rui Costa s’est payé le luxe de gagner en solitaire après une échappée de 183 km. © Keystone
Au pays des mille volcans, les explosions se sont succédé dans le final. A la différence près que ce ne sont pas les grands favoris qui ont tiré le feu d’artifice attendu pour cette première étape au profil escarpé.
Parti dès le 6e kilomètre en compagnie de huit autres coureurs, Alberto Rui Costa s’est payé le luxe de gagner en solitaire après 183 km de fugue. Même si l’écart a chuté aussi vite que la température en raison de la pluie glaciale, celui qui était annoncé comme le plus sûr espoir du cyclisme portugais a signé un bel exploit. Au même titre d’ailleurs que Thor Hushovd, qui est parvenu à se hisser avec les frères Schleck, Basso, Evans, Cunego, Contador au sommet du mur final pour conserver son maillot jaune. Le champion du monde norvégien n’a pas caché sa satisfaction au terme de cette 8e étape. «Je me suis battu et cela m’a permis d’ajouter un 7e jour à mon rêve d’enfant. La recette est simple. Depuis que j’habite à Monaco, j’ai pris l’habitude de m’entraîner en compagnie de Philippe Gilbert. Et, dans l’arrière-pays niçois, il y a de quoi faire pour progresser. C’est d’ailleurs la seule solution si je veux encore gagner des sprints. Dans une dernière ligne droite plate, je ne suis plus à même de rivaliser avec les Cavendish, Farrar ou Rojas. Alors j’ai choisi les emballages en faux plat montant. Je ne suis pas devenu pour autant un grimpeur. Compte tenu des efforts consentis aujourd’hui (hier), je ne vais pas vous garantir d’être encore en jaune à la veille de la journée de repos (lundi).»
Episodes peu glorieux
Héros du jour, Alberto Rui Costa a retrouvé les devants de la scène de la Grande Boucle juste une année après un fait divers tout aussi explosif. A Gueugnon, le 10 juillet 2010, le Portugais s’était signalé au monde entier en se battant comme un chiffonnier avec l’Espagnol Carlos Barredo au terme de l’étape. Les deux hommes avaient joué des poings et s’étaient même tapés avec des… roues de vélo pour laver leur honneur après des insultes échangées en cours de route.
Le jury des commissaires les avait gardés en course tout en leur infligeant une amende de 400 francs. Un épisode peu glorieux qui est demeuré sans suite au dire du vainqueur. «Nous avons mis les affaires à plat. Je suis devenu un ami de Carlos.»
En revanche, le gagnant des Quatre Jours de Dunkerque 2009 a moins parlé de sa suspension de six mois purgée entre les mois d’octobre et mars dernier. Le Portugais était tombé dans les mailles du filet de la lutte antidopage pour avoir utilisé un médicament à base de methylhexanamine. «J’aimerais remercier Eusebio Unzue (manager général de Movistar) de m’avoir donné une nouvelle chance. Ce qui me permet aujourd’hui de dédicacer ce succès à Javier Tondo, mon chef de file décédé accidentellement voici deux mois, et à Mauricio Soler, toujours sur son lit d’hôpital en Suisse.»
Tactique en question
Si l’édition 2011 de la Grande Boucle a attendu la 8e étape pour fêter une victoire d’un échappé, cette journée ne restera pas dans les annales pour ce qui concerne le classement général. Pas plus que la tactique appliquée par l’équipe BMC et justifiée par son directeur sportif John Lelangue. «Nous ne voulions pas le maillot jaune. Toutefois, il nous appartenait de mener la chasse derrière l’échappée pour éviter un écart trop conséquent. Nous avons pris le relais des Garmin (Hushovd) bien sollicités toute la semaine. Et surtout nous avons voulu éviter de perdre du temps sur nos principaux adversaires.»
A ce jeu, la formation américano-suisse s’en est tirée avec les honneurs grâce à la 3e place de Cadel Evans. Reste à savoir si les efforts déployés durant près de 100 km par les Schär, Bookwalter, Burghardt, Quinziato puis Hincapie, Moinard, Santaromita et Morabito ne se paieront pas cash dans les Pyrénées et les Alpes. Le lieutenant valaisan de Cadel Evans a minimisé le problème. «Nous ne nous sommes pas épuisés. Tout le monde a bien joué le jeu sur le plat afin de ne pas permettre aux échappés de prendre 10-15 minutes d’avance. Et, par la suite, nous avons cédé notre place aux Astana et Garmin. Même les Lotto et les Leopard sont venus en première ligne.»
Heureux d’être arrivé sur son terrain de prédilection, le vice-champion suisse a mis du cœur à l’ouvrage dans le premier col (la Croix-Saint-Robert). «Je me suis senti à l’aise. J’ai mené une bonne partie de l’ascension avant de piloter Cadel en descente. Ensuite, une moto de la TV est venue me gêner dans un virage où nous avons échappé au pire. Le temps de reprendre mon rythme et la tête du peloton était bien loin. Alors j’ai préféré finir à mon rythme. Le travail n’est pas terminé.»
Olivier Rochus pour la 9e fois en finale d'un tournoi ATP
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© ap
Olivier Rochus (ATP 74/N.6) disputera dimanche à Newport face à l'Américain John Isner (ATP 46/N.1) sa 9e finale sur le circuit ATP.
L'Auvelaisien, qui n'avait plus atteint ce stade de l'épreuve depuis l'année dernière...à Newport, visera un 3e titre sur le circuit, après ceux conquis à Palerme à 2000, et à Munich en 2006.
C'est la 32e fois qu'un Belge est présent en finale d'une épreuve ATP. Jusqu'à présent, seuls cinq joueurs belges ont inscrit leur nom au palmarès d'un tournoi ATP: Bernard Mignot, Filip Dewulf, Olivier Rochus, Xavier Malisse et Steve Darcis, pour un total de dix titres belges.
Les Belges en finale des tournois ATP:
- Les cinq vainqueurs et dix titres belges:
Bernard Mignot (1)
- en 1974 à Dusseldorf (All) bat Jiri Hrebec (Tch) 6-1, 6-0, 0-6, 6-4
Filip Dewulf (2)
- en 1995 à Vienne (Aut) bat Thomas Muster (Aut) 7-5, 6-2, 1-6, 7-5
- en 1997 à Kitzbuhel (Aut) bat Julian Alonso (Esp) 7-6 (7/2), 6-4, 6-1
Olivier Rochus (2)
- en 2000 à Palerme (Ita) bat Diego Nargiso (Ita) 7-6 (16/14), 6-1
- en 2006 à Munich (All) bat Kristof Vliegen (BEL) 6-4, 6-2
Xavier Malisse (3)
- en 2005 à Delray Beach (USA) bat Jiri Novak (Tch) 7-6 (8/6), 6-2
- en 2007 à Chennai (Inde) bat Rafael Nadal (Esp) 7-6 (7/4), 7-6 (7/4) - en 2007 à Delray Beach (USA) bat James Blake (USA/N.1) 5-7, 6-4, 6-4
Steve Darcis (2)
- en 2007 à Amersfoort (P-B) bat Werner Eschauer 6-1, 7-6 (7/1)
- en 2008 à Memphis (USA) bat Robin Soderling (Suè) 6-3, 7-6 (7/5)
- Les finalistes belges:
Eduardo Masso (1)
en 1990 à Hilversum (P-B) battu par Francisco Clavet (Esp) 3-6, 6-4, 6-2, 6-0
Steve Darcis (1) en 2008 à Amersfoort (P-B) battu par Albert Montanes (Esp) 1-6, 7-5, 6-3
Kristof Vliegen (2)
- en 2003 à Adelaïde (Aus) battu par Nikolay Davydenko (Rus) 6-2, 7-6 (7/3)
- en 2006 à Munich (All) battu par Olivier Rochus (BEL) 6-4, 6-2
Christophe Rochus (2)
- en 2003 à Valence (Esp) battu par Juan-Carlos Ferrero (Esp) 6-2, 6-4
- en 2006 à Rotterdam (P-B) battu par Radek Stepanek (Tch) 6-0, 6-3
Olivier Rochus (7)
en 2002 à Copenhague (Dan) battu par Lars Burgsmuller (All) 6-3, 6-3
en 2003 à Copenhague (Dan) battu par Karol Kucera (Svq) 7-6 (7/4), 6-4
en 2005 à Auckland (N-Z) battu par Fernando Gonzalez (Chi) 6-4, 6-2
en 2007 à Bombay (Inde) battu par Richard Gasquet (Fra) 6-3, 6-4
en 2009 à Stockholm (suè)
battu par Marcos Baghdatis (Chy) 6-1, 7-5 en 2010 à Newport (USA)
battu par Mardy Fish (USA) 5-7, 6-3, 6-4 en 2011 à Newport (USA) face à John Isner (USA)
Xavier Malisse (8)
en 1998 à Mexico City (Mex) battu par Jiri Novak (Tch) 6-3, 6-3
en 1999 à Delray Beach (USA) battu par Lleyton Hewitt (Aus) 6-4, 6-7 (2/7), 6-1
en 2001 à Atlanta (USA) battu par Andy Roddick (USA) 6-2, 6-4
en 2001 à Delray Beach (USA) battu par Jan-Michael Gambill (USA) 7-5, 6-4
en 2004 à Lyon (Fra) battu par Robin Soderling (Suè) 6-2, 3-6, 6-4
en 2004 à St-Poelten (Aut) battu par Filippo Volandri (Ita) 6-1, 6-4
en 2006 à Adelaïde (Aus) battu par Florent Serra (Fra) 6-3, 6-4
en 2006 à Delray Beach (USA) battu par Tommy Haas (All) 6-3, 3-6, 7-6 (7/5)
en 2011 à Chennai (Ind) battu par Stanislas Wawrinka (Sui) 7-5, 4-6, 6-1. (belga)
Gilbert: "Voir jour par jour pour le vert"
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© photo news
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© reuters
Pas de deuxième succès sur le Tour de France pour Philippe Gilbert samedi à Super-Besse, mais bien un deuxième accessit après sa deuxième place lors du sprint massif de la 5e étape.
"Costa était trop loin pour la victoire. Même si j'avais pu partir avant, Costa aurait gagné", a réagi le champion de Belgique à sa descente de vélo. "J'ai vraiment fini dans la douleur, que j'ai ressentie jusqu'au bout des doigts. L'effort a été intense."
"La première fois que j'ai démarré mon dérailleur n'a pas bien
fonctionné à cause de la pluie et je suis resté sur le petit plateau. J'ai dû me rasseoir pour faire passer le 53 dents et j'ai perdu un peu de temps avant de redémarrer."
Grâce à cette deuxième place et à son sprint intermédiaire, où il a devancé Rojas, Gilbert reprend le maillot vert de l'Espagnol avec 15 points d'avance sur le sprinter de la Movistar. "Pour le vert, je verrai jour par jour", a encore confié le Remoucastrien qui dit de pas encore avoir regardé le profil de la 9e étape, traversant le Cantal dimanche entre Issoire et Saint-Flour
Je l'apprécie... il est vraiment sympa (le Belge...:p:D:D:D
Kevin Borlée remporte le 400 m à Madrid
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© epa
Kevin Borlée a remporté le 400 m du meeting d'athlétisme de Madrid, comptant pour le World Challenge IAAF, samedi soir dans la capitale espagnole.
Le champion d'Europe en titre s'est imposé en 44.74, à 3 centièmes du record de Belgique (44.71) détenu par son frère jumeau Jonathan depuis les demi-finales de l'Euro de Barcelone l'été dernier.
Il a aussi réalisé le meilleur chrono européen de la saison, la meilleure marque européenne 2011 étant jusque là détenue par Jonathan Borlée (45.04 le 12 juin à Strasbourg), et le 3e meilleur temps mondial de l'année, derrière les 44.65 du Grenadin Rondell Bartholomew et les 44.68 de l'Américain Tony McQuay.
Vendredi, Jonathan Borlée avait pris la 2e place du 400 du meeting Diamond League de Paris en 45.05, derrière le Bahaméen Christopher
Brown (44.94).
Webber signe la pole au Grand Prix de Grande-Bretagne
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© getty
L'Australien Mark Webber (Red Bull) occupera dimanche la pole position du Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, 9e épreuve de la saison 2011, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi à Silverstone (centre).
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© afp
Webber, auteur de sa deuxième pole de la saison, permet à Red Bull de continuer son sans faute dans le domaine, son coéquipier allemand Sebastian Vettel, 2e dimanche, ayant gagné les sept autres.
Red Bull, pour la 4e fois de l'année, monopolise la première ligne. L'Espagnol Fernando Alonso, 3e s'élancera du deuxième rang aux côtés de son coéquipier, le Brésilien Felipe Massa.
Les monoplaces de la Scuderia semblent s'être rapprochées des Red Bull à la faveur du changement de réglement, qui neutralise l'effet du diffuseur soufflé, un élément aérodynamique procurant de l'appui - et donc de la performance - aux monoplaces. Le Britannique Jenson Button (McLaren) est 5e.
Il partira de la 3e ligne avec l'Ecossais Paul di Resta (Force India-Mercedes), auteur de très jolies qualifications, tandis que le Vénézuélien Pastor Maldonado (Williams), lui aussi très bon samedi, et le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber) se partageront la 4e. Classements des qualifications du Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, courues samedi à Silverstone. (afp/chds)
Grille de départ:
1re ligne: Mark Webber (AUS/Red Bull-Renault) Sebastian Vettel (GER/Red Bull-Renault) 2e ligne: Fernando Alonso (ESP/Ferrari) Felipe Massa (BRA/Ferrari) 3e ligne: Jenson Button (GBR/McLaren-Mercedes) Paul di Resta (SCO/Force India-Mercedes) 4e ligne: Pastor Maldonado (VEN/Williams-Cosworth) Kamui Kobayashi (JPN/Sauber-Ferrari) 5e ligne: Nico Rosberg (GER/Mercedes) Lewis Hamilton (GBR/McLaren-Mercedes) 6e ligne: Adrian Sutil (GER/Force India-Mercedes) Sergio Perez (MEX/Sauber-Ferrari) 7e ligne: Michael Schumacher (GER/Mercedes) Vitaly Petrov (RUS/Lotus-Renault) 8e ligne: Rubens Barrichello (BRA/Williams-Cosworth) Nick Heidfeld (GER/Lotus-Renault) 9e ligne: Heikki Kovalainen (FIN/Team Lotus) Jaime Alguersuari (ESP/Toro Rosso-Ferrari) 10e ligne: Sébastien Buemi (SUI/Toro Rosso-Ferrari) Timo Glock (GER/Virgin-Cosworth) 11e ligne: Jarno Trulli (ITA/Team Lotus) Jérôme d'Ambrosio (BEL/Virgin-Cosworth) 12e ligne: Vitantonio Liuzzi (ITA/Hispania-Cosworth) Daniel Ricciardo (AUS/Hispania-Cosworth).
;)Si Vettel gagne ou est 2ème on peut couper la télé et le championnat avec....:langueŽ::diable:
:diable:Bon au boulot.....
à la une
http://www.lematin.ch/files/imagecache/580x425/stories/c1_1.jpgVidéo
(http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/journee-noire-sur-le-tour-de-france)cyclisme
Journée noire sur le Tour de France (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/journee-noire-sur-le-tour-de-france)
Deux coureurs renversés par une voiture, Vinokourov et Van den Broeck à terre: journée noire. (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/journee-noire-sur-le-tour-de-france)
Ligue de diamant: Asafa Powell domine ses copains de Kingston
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/136015"] (http://www.lematin.ch/printmail/136015)
Si - 10. juillet 2011, 22h07
Asafa Powell est mieux qu'un numéro 1 de substitution. En l'absence d'Usain Bolt et de Tyson Gay, il a confirmé sa régularité au sommet en 2010 en remportant le 100 m du meeting de Birmingham.
En 9''91 (et 9''95 en séries), Powell a signé les 70e et 71e chronos de sa carrière sous les 10''.
A part sa défaite de justesse à Rome le mois dernier devant Bolt (9''93 contre 9''91), le champion de Jamaïque, épargné par les blessures, a gagné toutes les courses qu'il a terminées cette saison et abordera les Mondiaux de Daegu à fin août gonflé à bloc. A Birmingham, dans des conditions très britanniques (fraîcheur et humidité), il a dominé ses compatriotes Nesta Carter (2e en 9''93) et Michael Frater (3e en 10''01).
Un petit sprint entre amis puisque tous trois s'entraînent ensemble à Kingston sous la conduite de Stephen Francis. Powell n'a pas forcé, se contentant de gagner après que la course a été retardée par deux faix départs.
Le Jamaïcain, qui se considère comme "l'homme à battre" cette saison, est le détenteur de la meilleure performance mondiale de l'année avec ses 9''78 réussis à Lausanne il y a dix jours.
Lisa Urech a une rivale de plus au-dessus d'elle. L'Australienne Sally Pearson a signé la meilleure performance mondiale de l'année sur 100 m haies en 12''48, reléguant la Bernoise au 5e rang de l'année avec ses récents 12''62 de La Chaux-de-Fonds. L'athlète de Sydney, vice-championne olympique à Pékin en 2008, n'a jamais été aussi forte.
Maryam Jamal a encore sept semaines pour arriver en forme en vue des Mondiaux, où elle a une couronne à défendre sur 1500 m. L'ex-athlète du Stade Lausanne n'a pas retrouvé toute la fluidité de sa foulée, et c'est à l'énergie qu'elle a arraché la 3e place sur sa distance de prédilection en 4'06''39.
La perspective des JO de Londres booste l'athlétisme britannique, qui a fêté deux autres belles victoires: par David Greene sur 400 m haies (48''20) et surtout Mo Farah sur 5000 m. Ce grand fan d'Arsenal, double champion d'Europe sur 5000 et 10'000 m, a dominé les Ethiopiens en 13'06''14.
A la hauteur, la Tessinoise Beatrice Lundmark n'a pas saisi sa chance (8e avec 1m83) dans un concours remporté par la Croate Blanka Vlasic avec 1m99.
Avec le Mondial, le football féminin français a changé de dimension
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/136012)
AFP - 10. juillet 2011, 21h17
En se qualifiant pour les demi-finales du Mondial allemand, l'équipe de France féminine a clairement franchi un palier, récompense de la professionnalisation rapide de la discipline, de la culture de la victoire inculquée par Lyon et du "projet de vie" mis en place par Bruno Bini.
(http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#)1 / 2
[URL="http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#"] (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#)
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310325318121-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#) Les joueuses de l'équipe de France célèbrent leur victoire face à l'Angleterre en quart de finale du Mondial à Leverkusen, le 9 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310325393761-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#) Le sélectionneur des Bleues Bruno Bini félicite ses joueuses après leur victoire face à l'Angleterre à Leverkusen le 10 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310325318121-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310325393761-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/avec-le-mondial-le-football-feminin-francais-change-de-dimension#)
"Et s'il n'y a pas tout ça, le tir de Bussaglia, il fait poteau sortant", résume le sélectionneur des Bleues.
. Un sport qui s'est professionnalisé
Le point de départ de la montée en puissance du football féminin français est sans doute la mise en place de la section féminine du pôle Espoirs de Clairefontaine, juste après le Mondial-98. "80% de la sélection est passée par Clairefontaine, on en profite", résume la capitaine Sandrine Soubeyrand qui fait partie des rares exceptions. Le chiffre exact est plus proche de 66%, mais il est indéniable que la formation dispensée à Clairefontaine est à l'origine d'un bond qualitatif considérable.
Bini, lui, tient à saluer le travail des clubs. "On a bossé comme des fous mais il ne s'agit pas de tirer la couverture à nous. C'est collectif. Les filles ont progressé, tout s'est professionnalisé et c'est aussi parce que les clubs bossent de mieux en mieux".
. La culture de la gagne avec Lyon
La victoire de Lyon en finale de la Ligue des champions, qui plus est face à une formation allemande (Potsdam), a fait office de déclic. "C'est psychologique, c'est la culture du +c'est possible+, la culture de la gagne", estime Bini. Les Bleues ont donc appris à gagner à travers leurs 10 Lyonnaises, comme les Bleus de 98 avaient appris à le faire dans leurs clubs en Italie ou en Angleterre.
. Le projet de vie de Bini récompensé
"Le résultat de samedi est le reflet du projet de vie instauré par Bruno", juge Bernadette Constantin, vice-présidente de la Ligue de football amateur et ancienne internationale. Ce "projet de vie" est au coeur du discours du sélectionneur, qui racontait encore dimanche avoir entendu un commentateur d'une chaîne allemande dire que la Mannschaft, éliminée, avait "manqué de la joie de vivre et de l'enthousiasme des Françaises". C'est également au nom de ce projet de vie qu'il a choisi de se passer de certaines joueuses majeures comme la gardienne de Lyon Sarah Bouhaddi ou sa coéquipière Amandine Henry. Le pari était risqué mais il est gagné: le groupe France vit bien, et ce n'est pas qu'une formule.
. Et maintenant ?
"Je ne voulais pas que les filles portent le poids du développement de la discipline. Mais bien sûr, cette qualification va aider", estimait Bini dimanche. Les fruits du parcours réussi des Bleues en Allemagne seront à récolter dans plusieurs années, à condition de parvenir à mettre en place un cercle vertueux.
"Du côté de la fédération, des projets ont été mis en oeuvre. Fernand Duchaussoy avait installé une commission de féminisation et m'avait nommée vice-présidente de la LFA. Noël Le Graët a aussi envoyé un signal fort en nommant Brigitte Henriques (elle aussi ancienne internationale) secrétaire générale de la FFF", énumère Bernadette Constantin.
"Et du côté des clubs professionnels, il y a plus que des frémissements, ça réfléchit. Jean-Michel Aulas a montré la voie mais il ne faut pas qu'il soit seul", ajoute-t-elle.
Reste la médiatisation, que Soubeyrand devine déjà "éphémère et furtive". Mais pour Bernadette Constantin, "plus l'image de la pratique va se diffuser, plus les petites iront naturellement vers le foot".
Tour de France: Flecha et Hoogerland renversés par une voiture suiveuse
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AFP - 10. juillet 2011, 20h34
L'Espagnol Juan Antonio Flecha et le Néerlandais Johnny Hoogerland ont été renversés par une voiture suiveuse alors qu'ils étaient en tête de la 9e étape, dimanche entre Issoire et Saint-Flour, un accident qualifié de "scandale" par le directeur du Tour, Christian Prudhomme.
(http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#)1 / 2
[URL="http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#"] (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#)
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310322704855-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#) Le cycliste Johnny Hoogerland lors de sa chute sur la 9e étape du Tour de France le 10 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310322812089-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#) Le cycliste Johnny Hoogerland en pleurs sur la ligne d'arrivée, après sa chute sur le Tour de France, le 10 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310322704855-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310322812089-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-flecha-et-hoogerland-renverses-par-une-voiture-suiveuse#)
Les deux coureurs ont été heurtés par une voiture siglée France Télévisions qui voulait les dépasser sur une ligne droite d'une route étroite, à quelque 37 kilomètres de l'arrivée. Ils faisaient alors partie d'un groupe de cinq coureurs échappés.
Le véhicule, qui est une voiture technique "Euro Media" chargée d'assurer le suivi technique pour la retransmission télévisée, a été exclue du Tour de France.
Flecha (Sky) a pu repartir derrière les trois autres coureurs du groupe de tête (Casar, L. L. Sanchez, Voeckler). Hoogerland (Vacansoleil) a fait un vol plané dans le champ voisin et a touché de plein fouet des barbelés.
Rattrapé et dépassé par le peloton, il a franchi la ligne d'arrivée les genoux et les jambes ensanglantés, en compagnie de Flecha, à plus de 16 minutes du vainqueur, l'Espagnol Luis Leon Sanchez.
Hoogerland est monté sur le podium en tant que nouveau porteur du maillot à pois du meilleur grimpeur avant de partir à l'hôpital, a indiqué le directeur sportif de l'équipe Vacansoleil, Hilaire van der Schueren.
"Je suis allé au podium avec (Christian) Prudhomme (directeur du Tour) et Jean-François (Pescheux, directeur de course). Ils ont fait des excuses, ils sont furieux parce que ce n'est pas bon pour le Tour. Mais ce n'est pas leur faute", a déclaré le responsable de l'équipe néerlandaise.
"C'est incroyable qu'un chauffeur prenne des risques comme ça", a-t-il lâché.
Christian Prudhomme a souligné qu'il s'agissait d'une voiture de "prestataires de France Télévisions travaillant pour les caméras embarquées et les directs", pointant le deuxième accident impliquant des véhicules de presse depuis le départ.
Mercredi, une moto "photographe" avait été exclue définitivement du Tour par la direction de l'épreuve après avoir fait chuter le Danois Nicki Sörensen (Saxo Bank) à quelque 70 km l'arrivée de la 5e étape au cap Fréhel.
"Deux accidents liés aux médias en quelques jours sur le Tour de France, une moto de photographe et ensuite une voiture technique, ce sont deux accidents de trop et c'est même un scandale", a déclaré le patron du Tour sur RTL après l'arrivée à Saint-Flour.
La voiture suiveuse, qui a provoqué la chute de l'Espagnol Juan Antonio Flecha et du Néerlandais Johnny Hoogerland dans la 9e étape, a été exclue du Tour de France, a annoncé dimanche la direction de l'épreuve.
Concernant les circonstances de l'accident, Christian Prudhomme a déclaré: "J'ai annoncé sur Radio Tour, qui est le canal que tout le monde a le devoir d'écouter, aux autres voitures de s'effacer et de laisser la priorité aux voitures de directeurs sportifs. Cette voiture ne l'a pas fait. Non seulement elle ne s'est pas effacée, mais elle a heurté deux des cinq coureurs et elle aurait pu en heurter cinq".
L'Espagnol Luis Leon Sanchez, qui faisait partie de l'échappée et vainqueur de l'étape à Saint-Flour, a indiqué qu'il avait senti "l'accident proche".
"A ce moment-là, on avait fait le plus gros du travail, a-t-il raconté. On était sur des routes étroites et on sentait l'accident proche. Beaucoup de voitures de l'organisation, avec des invités, nous ont dépassés très vite, en nous frôlant".
"La voiture qui a fait tomber Flecha et Hoogerland aurait pu me faire tomber moi aussi", a lâché Thomas Voeckler, lui-même touché à une cheville dans cet accident. "C'est très regrettable. Il y a assez de risques comme ça dans une course", a relevé le nouveau maillot jaune.
Dans un communiqué, l'équipe Vacansoleil a indiqué qu'elle "discuterait demain (lundi, journée de repos) de ce qui s'est passé". "Aucun commentaire ne sera fait (aujourd'hui dimanche) pour éviter qu'ils ne soient fondés sur l'émotion", précise le court texte.
Tour de France: dans les coulisses du grand cirque
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/135986)
AFP - 10. juillet 2011, 18h54
La ligne d'arrivée d'une étape du Tour de France est le Graal attendu par tous mais il est avant tout le fruit d'une gigantesque installation qui permet la mise en scène du plus grand spectacle sportif itinérant au monde.
(http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#)1 / 3
[URL="http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#"] (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#)
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310316660017-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#) Sprint sur la ligne d'arrivée du Tour de France à Cap Frehel, le 6 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310316756610-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#) Les camions garés dans la zone technique du Tour de France à Saint-Flour, le 10 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1310316847047-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#) Distribution de saucisson par une caravane publicitaire du Tour de France, entre Issoire et Saint-Flour, le 10 juillet 2011 AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310316660017-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310316756610-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/depeches/photo_1310316847047-1-0.jpg (http://www.lematin.ch/flashinfo/sport/tour-de-france-dans-les-coulisses-du-grand-cirque#)
Tout commence alors que 200 kilomètres plus loin, à proximité du départ, les coureurs dorment encore. A 05h00 du matin, Jean-Louis Pagès, l'architecte de cette petite ville mobile, trace symboliquement à la craie la ligne d'arrivée.
A partir de là, les monteurs (jusqu'à 450 personnes) installent des tribunes, le camion protocole, une salle de presse, la "zone technique" où sont réunis les médias audiovisuels du monde entier, les installations électriques qui les accompagnent, des parkings pour les camions logistiques, les véhicules des 2.400 journalistes, officiels et invités, les bus des 22 équipes, les fléchages sur le site...
Le tout est alimenté par un groupe électrogène de 2 mégawatts, "l'équivalent d'une ville de 8.000 habitants", précise Jean-Louis Pagès.
En cinq heures environ, tout est prêt pour accueillir les 4.500 personnes qui se presseront pour assister à l'aboutissement d'une journée de course.
Tout est agencé selon des plans fixés entre les mois d'octobre de l'année précédente, quand est annoncé le parcours, et mars. "On connaît déjà pratiquement tout le tracé du Tour 2012, même si les villes concernées ne le savent pas encore", explique Jean-Louis Pagès, dont l'avis est crucial pour l'organisation d'une arrivée ou d'un départ.
"Si un site le vaut, on trouve souvent une solution. Mais on ne peut pas raser le sommet du montagne pour installer une arrivée", caricature-t-il.
"Il y a des sites où l'on ne pourra jamais aller", ajoute-t-il en refusant de dévoiler les noms d'endroits qui ont été recalés. La première contrainte, c'est la surface: environ 7 hectares pour une ligne d'arrivée.
Au coeur de celle-ci, la "zone technique", un dédale de 130 véhicules où serpentent des kilomètres de câbles. Y sont réunies les installations radios et télévisions du monde entier qui répercutent l'événement dans 190 pays.
Le novice y est facilement déboussolé.
"Je m'y suis déjà perdu, en plus les camions ne sont jamais à la même place ! Ca m'est arrivé de faire trois fois le tour avant de retrouver le camion", explique Alexandre Pasteur, commentateur sur Eurosport qui officie pour la première fois sur le Tour de France.
"Sur le Tour, tout est surdimensionné. J'ai commenté Paris-Nice ou le Dauphiné. A côté, ce sont des courses de cadets", ajoute-t-il.
Dans les coulisses de ce spectacle en mondiovision se préparent également, dans des camping-cars, les hôtesses qui monteront sur scène pour les remises des différents maillots aux lauréats.
A peine ce moment de gloire passé et les retransmissions terminées, les opérations de démontage commencent. A 21h00, les camions prennent la route de l'arrivée de l'étape suivante. Et à 05h00 le lendemain, le grand cirque s'installe dans une nouvelle ville...
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La voiture responsable de l'accident exclue (vidéo)
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© belga
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La voiture suiveuse, qui a provoqué la chute de l'Espagnol Juan Antonio Flecha et du Néerlandais Johnny Hoogerland dans la 9e étape, a été exclue du Tour de France, a annoncé dimanche la direction de l'épreuve.
Tentative de dépassement ratée
Le véhicule est une voiture technique "Euro Media", chargée d'assurer le suivi technique pour la retransmission télévisée.
Hoogerland et Flecha ont été renversés par cette voiture qui tentait de doubler le groupe d'échappés à une quarantaine de kilomètres de l'arrivée à Saint-Flour.
Un maillot à pois malgré le vol plané
Flecha et Hoogerland ont été désignés coureurs les plus combatifs du jour, après avoir continué leur course ensanglantés et pansés. Hoogerland a également revêtu le maillot à pois après une journée décidément chargée en émotions. (belga/acx)
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Alonso remporte sa première victoire de la saison
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7S7 mise à jour Fernando Alonso a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1 dimanche sur le circuit de Silverstone. L'Espagnol s'est imposé au volant de sa Ferrari dans cette 9e manche du championnat du monde.
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L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, neuvième épreuve de la saison, devant l'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) et l'autre Red Bull pilotée par l'Australien Mark Webber, dimanche à Silverstone.
Alonso, qui n'avait pas gagné depuis 11 épreuves (GP de Corée du Sud 2010), s'est imposé pour la 27e fois de sa carrière au terme d'une course riche en rebondissements, au cours de laquelle il a su profiter d'une nouvelle erreur de Red Bull, maladroit lors du troisième arrêt aux stands de Vettel.
L'Allemand, dont la roue arrière-gauche était bloquée, a vu passer l'Espagnol, qui a ensuite accumulé les meilleurs tours en course pour s'imposer largement. La Scuderia peut se féliciter du niveau de performance de sa monoplace, inconcevable il y a encore quelques courses.
Mais elle ne peut toujours pas rêver de titre, Alonso, malgré les 25 unités récupérées grâce à cette victoire, restant à 92 longueurs de Vettel, même s'il remonte à une plus honorable 3e place au classement général.
C'est au contraire l'Allemand qui réalise une bonne opération au Championnat, car il réussit à devancer ses dauphins au général avant le GP de Grande-Bretagne, le Britannique Jenson Button (McLaren) et Webber, dans des conditions certes très contestables pour ce dernier.
Si Button a été victime d'une erreur d'un de ses mécaniciens aux stands, qui n'a pas revissé sa roue avant-gauche, ce qui l'a mis hors course, l'Australien, qui attaquait son coéquipier dans le dernier tour, a reçu des consignes de course évidentes.
"Maintiens l'écart", lui a ainsi demandé le patron de Red Bull, Christian Horner, alors que Mark Webber tentait de dépasser son partenaire.
Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), un temps 2e, finit 4e au terme d'une superbe bataille dans les dernières boucles avec le Brésilien Felipe Massa (Ferrari), 5e, tandis que l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) est 6e, le Mexicain Sergio Perez (Sauber) 7e et l'Allemand Nick Heidfeld (Lotus Renault) 8e.
L'Allemand Michael Schumacher (Mercedes), qui a multiplié les dépassements -et a commis quelques erreurs- prend la 9e place. Il précède l'Espagnol Jaime Alguersuari (Toro Rosso), 10e après une jolie course.
:langueŽ:ben MERDE, je ne l'apprécie pas du tout..........:p
La Serbie à son tour en demi-finale de la Coupe Davis
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© afp
La Serbie, tenante du titre, s'est qualifiée pour une nouvelle demi-finale de Coupe Davis, où elle recevra du 16 au 18 septembre l'Argentine, alors que la France attendait toujours de connaître son adversaire, entre les Etats-Unis et l'Espagne.
Janko Tipsarevic a vite fait oublier pour les Serbes le contretemps de la veille, quand la paire Novak Djokovic-Nenad Zimonjic avait concédé une défaite inattendue devant le double suédois Simon Aspelin et Robert Lindstedt 6-4, 7-6 (7/5), 7-5. Le N.3 serbe n'a pas eu à forcer pour vaincre dimanche à Halmstad le très inexpérimenté Michael Ryderstedt, 297e joueur mondial, 6-2, 7-5, 6-3, permettant à la Serbie de mener 3-1.
C'est la sixième fois que Tipsarevic apporte le point décisif à la Serbie. La Serbie, qui a gagné 4-1 après l'abandon d'Ervin Eleskovic face à Viktor Troicki, recevra donc en septembre l'Argentine de Juan Martin Del Potro, qualifiée depuis samedi après un sans faute face au Kazakhstan (5-0).
La France, également assurée depuis samedi d'être présente en demie, pour la deuxième année consécutive, a finalement battu dimanche l'Allemagne 4 à 1 à Stuttgart. Les Français sauront dans la nuit de lundi contre qui ils joueront. A l'issue du double, l'Espagne menait 2 à 1 contre les Etats-Unis à Austin (Texas).
La France recevra les Etats-Unis si ce sont eux qui passent, mais se déplacera en Espagne si ce sont les coéquipiers de Rafael Nadal qui se qualifient en demi-finales. (afp)
GYMNASTIQUE
Gymnaestrada: une tradition suisse
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11. juillet 2011, 23h09
Bernard Morel | Le Matin
Forte de 3500 gymnastes, la délégation helvétique est la plus importante à Gymnaestrada. C’était déjà le cas lors des précédentes éditions.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/gymna_0.jpg La soirée suisse de Gymnaestrada est la plus courue, hier à Lausanne, 10 000 spectateurs avaient fait le déplacement. © Yvain Genevay
Entre la Suisse et la Gymnaestrada, il existe une folle histoire d’amour. Dimanche, lors de la cérémonie d’ouverture au stade de la Pontaise, l’image était saisissante: alors que la tête du cortège suisse avait déjà couvert les 400 m du pourtour du stade, ceux qui fermaient la marche n’avaient pas encore commencé à défiler. Forte de 3500 membres, la délégation suisse est de loin la plus importante de cette édition 2011. Avec quelque 1300 participants, les Finlandais, Norvégiens, Portugais et Allemands sont loin derrière. «C’est ma cinquième Gymnaestrada et à chaque fois, avec près de 4000 personnes, on était beaucoup plus nombreux que les autres pays», relève Irma Fehlmann, responsable du Groupe Jura Gym.
Des salles partout
D’où vient cet amour immodéré des gymnastes suisses pour la Gymnaestrada? «Elle correspond exactement à l’esprit de notre sport tel qu’il est pratiqué en Suisse, explique Walter Minder, le chef de la délégation suisse. On y montre toutes les facettes de la gymnastique.» Roger Huber, vice-président de la commission Gymnaestrada de la SFG, ajoute: «Les sociétés de nos villes et nos villages sont structurées de telle manière que, des enfants aux grands-parents, tout le monde peut participer. Sans délaisser l’élite, la SFG a la volonté de développer le sport de masse. De plus, chaque village ou presque a sa salle de sports avec du matériel mis à disposition des sociétés de gym. C’est une immense chance.»
Soirée très prisée
La Suisse, pour dire vrai, est une terre de tradition pour la gymnastique. Avec 390 000 membres, répartis en 3500 clubs ou sociétés, la Société fédérale de gymnastique est de loin la fédération la plus importante du pays. «A l’époque, dans les villages, pour pratiquer un sport, on s’inscrivait à la société de gymnastique, reprend Irma Fehlmann. Aujourd’hui, les activités se sont élargies, mais la tradition demeure.»
Celle-ci date du XIXème siècle déjà. La Suisse n’a pas signé l’acte fondateur de la Fédération internationale de gymnastique en 1881, mais a rejoint la FIG peu après. A l’époque, le but de l’activité physique était de préparer les jeunes hommes à l’armée. Et jusqu’au début des années 1950, avant l’arrivée des pays de l’Est européen et de l’Asie, la Suisse faisait partie de l’élite mondiale de la gymnastique.
Cet enracinement de la gymnastique est encore très profond en Suisse. Mais le sport a su s’adapter. On n’enseigne plus la gym pour former des soldats et on s’est abondamment ouverts aux femmes. «La majorité des membres de la SFG sont maintenant des femmes», précise Roger Huber. Et Walter Minder de compléter: «Avec toutes les possibilités de pratique qu’offre la gymnastique, les femmes ont de quoi exprimer tout leur potentiel et toute leur féminité. En fait, ce sport est adapté pour chaque âge et chaque sexe. C’est ce qui fait sa force.»
A la Gymnaestrada, la Suisse n’impressionne pas seulement au niveau quantitatif, mais également sur le plan qualitatif. «Le niveau des productions suisses est parmi les plus élevés, souligne Roger Huber. Tout n’est pas parfait dans tous les groupes bien sûr, mais pendant la préparation nous avons une commission chargée de visionner les groupes et, au besoin, de les pousser à s’améliorer. Nous demandons une certaine qualité.» D’ailleurs, que ce soit en Suisse ou à l’étranger, la soirée suisse, qui a fait le bonheur de 10 000 spectateurs hier soir à Malley, est toujours la plus courue. «Quand les billets ont été mis en vente, ils ont été vendus en quelques jours, ajoute Roger Huber. Nous avons même hésité à faire une troisième représentation tant il y avait de demandes.»
:amoureux::content::content:
cyclisme
Fabian Cancellara: «Et la sécurité, bordel?»
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11. juillet 2011, 21h56
Laurent Guyot | Le Matin
Suite à l’accident survenu à Flecha et à Hoogerland, la polémique fait rage dans les coulisses du Tour. Les coureurs, Fabian Cancellara en tête, demandent d’être mieux protégés.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tdf_3.jpg Cancellara a vivement réagi après l’accident survenu à Flecha et à Hoogerland («Le Matin» d’hier). Il demande que les coureurs soient mieux protégés. © Keystone
La nuit a tout sauf calmé les esprits. L’accident survenu, dimanche, à Flecha et à Hoogerland entre Issoire et Saint-Flour est revenu sur toutes les lèvres. Entre brèves sorties d’entraînement, massages, conférences de presse, la journée de prétendu repos a pris des allures de réquisitoire. Sur l’air connu de «et la sécurité bordel», les coureurs se sont montrés critiques à la lecture des explications alambiquées de Daniel Bilalian, le directeur des sports de France Télévisions au journal L’Equipe. «C’est un accident malencontreux. La seule chose qui me rassure c’est que le garçon ne soit pas grièvement touché. (!) En tout cas, il n’est pas hospitalisé (ndlr: les médecins de l’Hôpital de Saint-Flour ont effectué une trentaine de points de suture pour soigner les plaies aux jambes d’Hoogerland), il a fini l’étape. Nos personnels prennent suffisamment de risques tous les jours pour ne pas avoir envie d’en faire prendre aux autres. Ce tout sauf des va-t-en guerre, des kamikazes.» Et pourtant le conducteur fautif de la voiture assurant l’assistance technique des caméras embarquées par France Télévisions a passé outre à l’interdiction de dépasser le groupe des échappés. Le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme, très en colère et plus à l’écoute des coureurs et directeurs sportifs remontés s’est excusé. «Il y a déjà eu la chute de Nicki Sörensen heurté par une moto d’une agence de photos. Dimanche, ce conducteur est passé outre aux ordres donnés sur Radio Tour. Il aurait très bien pu heurter les cinq échappés. De toute façon, c’est déjà deux accidents de trop. Nous allons en parler et nous prendrons les mesures qui s’imposent.»
Le revers de la médaille
Que ce soit dans les hôtels des Lotto, des Saxo Bank, des BMC ou même des Leopard, pourtant tous bien éloignés les uns des autres, les coureurs et membre des équipes ont insisté sur les risques quotidiens imposés par les organisateurs. Fabian Cancellara, choqué comme les frères Schleck par les images vues à la TV, est monté aux barricades. «La diminution du nombre de voitures ne résoudra rien. Le conducteur a enfreint une interdiction. Il s’en tire beaucoup trop bien avec une exclusion de la course. Les deux malheureux auraient très bien pu perdre la vie. Je n’ai pas de mots pour qualifier une telle attitude.» Recordman suisse des maillots jaunes avec 21 jours, le quadruple champion du monde du contre-la-montre insiste sur le gigantisme de l’organisation. «Le Tour est peut-être la plus belle des courses du monde. C’est une grande chose qui a pris des allures beaucoup trop petites cette année. Les routes sont étroites, dangereuses, indignes d’une telle épreuve. J’espère que nous allons délaisser ces chaussées qui sont normalement réservées aux agriculteurs. L’organisation ne peut pas demeurer indifférente. Je ne demande pas un luxueux hôtel 5 étoiles. Ce que je veux avant tout, c’est de la sécurité. J’ai une femme, une fille et je tiens à ma vie même si j’adore faire mon travail. Je ne vous cache pas que je me suis déjà souvent demandé ce que je faisais ici depuis le départ de ce Tour. A mon avis, même les chutes de Vinokourov et de Van den Broeck, de simples faits de course, auraient pu être évitées en plaçant des gens dans les virages dangereux de cette descente.»
Kolobnev, contrôlé positif, emmené par les gendarmes
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© reuters
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© afp
Le Russe Alexandr Kolobnev (Katusha), qui a fait l'objet d'un contrôle positif antidopage au Tour de France, a été emmené lundi soir par la Gendarmerie pour être entendu, a-t-on appris sur place.
Kolobnev a quitté l'hôtel où est logée son équipe, à Vézac, au sud d'Aurillac, avant 22 heures. L'affaire est entre les mains du parquet d'Aurillac, selon les précisions données sur place. Le coureur russe est le premier coureur positif du Tour de France 2011.
L'Union cycliste internationale (UCI) a confirmé en début de soirée le contrôle positif à un diurétique (présence d'hydrochlorothiazide), le 6 juillet, le jour de la 5e étape gagnée au cap Fréhel par le Britannique Mark Cavendish. Le coureur âgé de 30 ans, est positif à une substance considérée comme "spécifiée".
Selon le Code mondial antidopage, quand un sportif peut établir comment une substance spécifiée est entrée dans son corps ou est entrée en sa possession, et que cette substance spécifiée n'était pas destinée à améliorer la performance sportive, la sanction peut être réduite au minimum à une réprimande sans période de suspension, et au maximum à une suspension de deux ans.
Les diurétiques, qui sont utilisés notamment dans le traitement de l'hypertension, figurent sur la liste des produits interdits par le code mondial antidopage, pour leurs effets masquants qui permettent de cacher la prise d'autres produits tels que des anabolisants. (belga)
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© reuters
L’Allemand Andre Greipel (Omega Pharma) a remporté au sprint la 10e étape du Tour de France, mardi à Carmaux. Le Français Thomas Voeckler (Europcar) a conservé le maillot jaune de leader.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/sprintGreipel.jpg L’Allemand Andre Greipel (à droite) a remporté au sprint. © AFP
L’Allemand Andre Greipel (Omega Pharma) a remporté au sprint la 10e étape du Tour de France, mardi à Carmaux, devant le Britannique Mark Cavendish.
Le Français Thomas Voeckler (Europcar) a conservé le maillot jaune de leader après cette étape de transition longue de 158 kilomètres.
Greipel a signé son premier succès dans le Tour qu’il découvre à l’âge de 28 ans.
L’Allemand a débordé d’une roue Cavendish qui a lancé le sprint dans la courte ligne droite finale.
Le champion d’Espagne Jose Joaquin Rojas a pris la troisième place devant le champion du monde, le Norvégien Thor Hushovd, et le Français Romain Feillu.
Sous un ciel orageux, une échappée de six coureurs formée à l’initiative de l’Italien Marco Marcato a ouvert la course après une douzaine de kilomètres. Ses cinq compagnons, tous français (Arthur Vichot, Anthony Delaplace, Julien El Fares, Rémy Di Grégorio, Sébastien Minard), se sont entendus avec lui pour s’assurer un avantage maximal de 4 minutes, au Km 48, sur le peloton.
Après l’équipe de Voeckler, les hommes de Cavendish ont pris le relais en tête du peloton pour se rapprocher (1 min 45 sec aux 50 km). Marcato, Minard et Vichot ont distancé leur compagnons avant la dernière côte, à 15 kilomètres de l’arrivée, mais ont été repris par le peloton mené à vive allure par les coéquipiers de Greipel.
Dans cette courte ascension, un groupe d’attaquants s’est dégagé à l’initiative du Français Tony Gallopin. Voeckler et le porteur du maillot vert, le Belge Philippe Gilbert, ont suivi avec le Belge Dries Devenyns et l’Allemand Tony Martin.
Par la suite, Gilbert a insisté en partant seul aux 7 kilomètres. Mais il a été repris 2 kilomètres plus loin.
Au sprint, Cavendish s’est retrouvé moins entouré qu’à l’habitude. En sortant en deuxième position du dernier virage, il a dû lancer le sprint et a connu la défaite contre son ancien coéquipier, avec lequel il entretient des relations tendues.
Greipel, au gabarit solide (1,84 pour 75 kg), a enlevé son sixième succès de la saison, de loin le plus important.
Depuis le début du Tour, il avait terminé à trois reprises dans les dix premiers d’étape: à Redon (9e), au cap Fréhel (6e) et à Châteauroux (3e).
La dernière victoire d’étape allemande remontait à 2009 (Heinrich Haussler à Colmar).
Le Russe Alexandr Kolobnev, suite à un contrôle antidopage positif (diurétique), et l’Ukrainien Yaroslav Popovych, n’ont pas pris le départ d’Aurillac. En revanche, le Néerlandais Johnny Hoogerland, blessé dimanche par une voiture suiveuse, a poursuivi la course.
Gilbert: "La dernière bosse était plus longue que prévu"
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© ap
"Je n'ai pas hésité une seule seconde à partir à l'attaque. Que ce soit quand Gallopin a attaqué, ou quand la collaboration dans le groupe n'était pas bonne", a déclaré Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) mardi à l'arrivée de la 10e étape du Tour de France, remportée par son équipier André Greipel.
"J'ai vu derrière moi un peloton réduit, avec peu d'équipiers disponibles mais tout de même encore plusieurs coureurs de l'équipe HTC. Il fallait donc attaquer. J'aurais peut-être pu gagner si la dernière bosse, située à 5 kilomètres de l'arrivée, n'avait pas été plus longue qu'indiqué dans le road-book. On pensait qu'elle faisait 350 mètres alors qu'elle en faisait en réalité entre 700 et 800. C'était trop long et trop dur à ce moment", a ajouté Gilbert.
"Mais la voie était tracée pour un succès d'André Greipel. Que Rojas et Cavendish se rapprochent au classement du maillot vert n'est pas un drame. Je pense toujours que je peux le ramener à Paris. On verra au jour le jour comment ça se passe", a déclaré le champion de Belgique.
Dries Devenyns s'est déjà montré à plusieurs reprises durant ce Tour de France et il a encore animé la finale mardi. "Tony Martin était l'élément perturbateur dans notre groupe d'échappés", a expliqué le coureur de l'équipe Quick Step. "Cest pourquoi j'ai attaqué. J'espérais recevoir la compagnie de Gilbert, mais il est revenu avec les autres avant de partir seul. Mais j'essayerai encore", a-t-il conclu.
Roger Federer lance un vaste projet éducatif au Malawi
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Le joueur de tennis suisse Roger Federer a lancé mardi un projet de 3,3 millions de dollars destiné à permettre à 54.000 jeunes enfants du Malawi d'aller à l'école au cours des dix prochaines années.
"En tant que père de deux petites filles, j'observe tous les jours comment les enfants peuvent apprendre incroyablement rapidement si leur environnement est stimulant. (...) C'est un grand privilège pour moi et pour ma fondation d'aider à donner aux enfants du Malawi la possibilité d'atteindre leur plein potentiel", a déclaré Roger Federer dans un communiqué.
Le programme mené par la Fondation Roger Federer doit être mis en oeuvre avec la branche malawite de l'association humanitaire Action Aid. Il envisage la construction de 80 centres d'accueil pour enfants dans six des 28 districts du pays.
Visant les enfants âgés de 3 à 5 ans, les centres offriront des salles de classes équipées, des aires de jeu et ils fourniront un repas complet à chaque enfant présent.
Le Malawi est l'un des pays les plus pauvres d'Afrique, la moitié de ses 13 millions d'habitants vivant sous le seuil de pauvreté.
Fondée en 2003, la Fondation Roger Federer vient en aide à près de 20.000 enfants en Tanzanie, au Malawi, en Ethiopie, au Zimbabwe, en Afrique du Sud et en Suisse, selon son site internet.
Contador: "Je ne pense pas à rentrer chez moi avant la fin du Tour"
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© reuters
"Je ne pense pas à rentrer chez moi, pas avant le fin du Tour" de France, a déclaré mardi Alberto Contador, en réponse aux rumeurs qui annonçaient un possible abandon de l'Espagnol en raison d'une douleur au genou droit.
"Je vais faire tout mon possible pour atteindre mon objectif qui est de lutter pour la victoire à Paris", a déclaré le triple vainqueur la Grande Boucle (2007, 2009, 2010) à l'arrivée de la 10e étape à Carmaux.
"La journée s'est bien passée et c'est une bonne nouvelle pour ma jambe. Ca n'a pas été une étape très exigeante. Maintenant, je vais pouvoir récupérer et penser à demain (mercredi). C'est un des rares jours qui reste où on pourra se remettre (de nos petites blessures)", a-t-il poursuivi à deux jours de la première étape pyrénéenne (Cugnaux - Luz-Ardiden).
Au début de l'étape mardi, la douleur "me gênait un peu, mais ça s'est bien passé", a raconté le Madrilène.
"Il a fallu être attentif à la fin car il y a eu une petite cassure dans la dernière ascension. J'étais un peu derrière et j'ai dû remonter mais je suis content car cela signifie que les jambes marchent bien", a-t-il estimé, ajoutant avoir été également "vigilant pour ne pas faire une nouvelle chute".
Un des directeurs sportifs de l'équipe Saxo Bank, Philippe Mauduit, a estimé que le genou de Contador était en "bonne voie de guérison".
"Le test (de la journée de mardi) s'est plutôt bien passé. Il a toujours une petite douleur, ce qui est normal après un choc à cet endroit", a-t-il expliqué.
"Hier soir (lundi), il avait le genou encore un peu gonflé, ce matin (mardi) beaucoup moins, et ce soir plus du tout", a-t-il ajouté. "Ce n'est pas mauvais signe".
Les secrets de l'entraînement d'Usain Bolt (vidéo)
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La société française "Elephant et Compagnie" a récemment mis en ligne la bande d'annonce d'une saga de documentaires sur Usain Bolt. Dans cette séquence, on y voit l'homme le plus rapide de la planète en plein entraînement, tentant de se déplacer le plus vite possible dans une piscine.
Le documentaire intitulé "The Fastest", dévoilant l'intimité du champion olympique, devrait sortir en 2012. Une deuxième partie est également prévue: "The Legend", dont la diffusion pourrait intervenir le jour de l'ouverture des Jeux Olympiques de Londres. Dans ce deuxième volet, on suivra la préparation du Jamaïcain pour les JO. (JC)
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CYCLISME
Tour de France: troisième victoire d'étape pour Mark Cavendish
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13. juillet 2011, 17h26
LeMatin.ch & les agences
Le sprinter britannique remporte sa troisième victoire d'étape sur le Tour de France 2011. Le Français Thomas Voeckler conserve le maillot jaune
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/arrivetour11e.jpg Le Britannique Mark Cavendish (HTC) a remporté au sprint la 11e étape du Tour de France, © AFP
Le Britannique Mark Cavendish (HTC) a remporté au sprint la 11e étape du Tour de France, mercredi à Lavaur, où le Français Thomas Voeckler (Europcar) a conservé le maillot jaune de leader.
Cavendish a enlevé son 18e succès d’étape dans le Tour. Le Britannique de l’île de Man a devancé son vainqueur de la veille, l’Allemand Andre Greipel, au terme des 167,5 kilomètres d’une étape de transition contrariée par une grosse averse dans la partie finale.
L’Américain Tyler Farrar a pris la troisième place devant le Russe Denis Galimzyanov et le Norvégien Edvald Boasson Hagen.
Le Français Romain Feillu s’est classé sixième. Après l’arrivée, il a annoncé à la télévision son probable abandon en raison d’une tendinite à un nou.
Voeckler est arrivé au sein du peloton, à la veille de la première arrivée en haute montagne, dans la station pyrénéenne de Luz-Ardiden.
L’échappée du jour a pris corps une douzaine de kilomètres après le départ de Blaye-les-Mines, à l’inititive du Français Mickaël Delage, suivi par deux autres Français, Tristan Valentin et Jimmy Engoulvent, le Néerlandais Lars Boom, l’Espagnol Ruben Perez Moreno et l’Ukrainien Andriy Grivko.
Le peloton a laissé le groupe prendre jusqu’à 4 minutes et demie d’avance avant de maintenir l’écart et revenir progressivement sous la conduite des équipiers de Cavendish.
La pluie battante, et la chaussée détrempée, ont freiné l’avancée du peloton qui a effectué le jonction dans les trois derniers kilomètres.
Boom a insisté et a résisté jusqu’au seuil des 2 kilomètres avant le sprint conclu au net avantage de Cavendish, qui a battu de plus d’une longueur Greipel.
Cavendish, 26 ans, a signé son troisième succès depuis le départ après ceux du Cap Fréhel (5e étape) et de Châteauroux (7e étape).
Le Britannique a endossé le maillot vert du classement par points, dans lequel il devance le champion d’Espagne Jose Joaquin Rojas et le champion de Belgique Philippe Gilbert.
John Gadret, 4e du dernier Giro, n’a pas pris le départ de cette étape.
TENNIS
Barrage de Coupe Davis: la Suisse devra se rendre en Australie
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13. juillet 2011, 12h10
LeMatin.ch & les agences
48 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/tennis/barrage-de-coupe-davis-la-suisse-devra-se-rendre-en-australie#comments)
Après la victoire de l'équipe de Suisse contre le Portugal le week-end dernier, Roger Federer avait laissé entendre qu'un déplacement en Australie en septembre juste après l'US Open constituerait le pire tirage au sort.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fedwaw_0.jpg Roger Federer et Stan Wawrinka samedi dernier lors du match de double contre les Portugais. © KEYSTONE-a
L’équipe de Suisse de Coupe Davis n’a pu éviter le pire lors du tirage au sort des barrages de promotion/relégation du groupe mondial. La formation du capitaine Severin Lüthi devra en effet se déplacer en Australie pour des play-off prévus du 16 au 18 septembre, soit la semaine suivant la fin de l’US Open (29 août-11 septembre).
Cette rencontre pourrait bien avoir lieu sur gazon, surface sur laquelle l’espoir Bernard Tomic (18 ans) vient de disputer les quarts de finale à Wimbledon. L’herbe demeure par ailleurs le revêtement sur lequel l’ex no 1 mondial Lleyton Hewitt, sacré à Londres en 2002, s’exprime le mieux.
Roger Federer avait expliqué lui-même au cours du match remporté 5-0 face au Portugal le week-end dernier qu’un déplacement en Australie constituerait le pire tirage. Swiss Tennis sait pertinemment que le Bâlois pourrait être tenté de renoncer à un voyage si astreignant. L’Australie, qui évoluait elle aussi en zone continentale cette année, partira avec les faveurs du pronostic en l’absence de l’homme aux 16 titres du Grand Chelem.
Coupe Davis. Barrages de promotion/relégation du groupe mondial (16-18 septembre): Australie - Suisse, Roumanie - République tchèque, Russie - Brésil, Israël - Canada, Afrique du Sud - Croatie, Chili - Italie, Japon - Inde, Belgique - Autriche.
OLYMPISME
Madrid retente sa chance pour les JO de 2020
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13. juillet 2011, 14h02
LeMatin.ch & les agences
Après ses échecs de 2012 et 2016, Madrid va à nouveau présenter sa candidature à l’organisation des Jeux olympiques d’été 2020.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/olympisme.jpg © KEYSTONE-a
Madrid sera à nouveau candidate à l’organisation des Jeux olympiques d’été 2020, a annoncé le maire de la ville Alberto Ruiz-Gallardon. La capitale espagnole a échoué pour ceux de 2012 et 2016.
Cette candidature «représente un coût notablement inférieur à celui des deux candidatures précédentes», a déclaré M. Gallardon lors d’une conférence de presse. Il a ajouté que le dossier serait monté de manière à peser le moins possible sur les fonds publics. Madrid, battue au 3e et dernier tour par Rio pour les JO 2016, «bénéficie de l’expérience de ses deux candidatures précédentes et de la reconnaissance de la famille olympique», a souligné M. Gallardon.
La candidature doit être validée par le Conseil municipal et le Comité olympique espagnol, qui doit ensuite la présenter au CIO avant le 1er septembre. Rome est pour le moment la seule ville officiellement candidate à l’organisation des Jeux 2020. Tokyo et Istanbul devraient prochainement annoncer leur candidature. Durban, en Afrique du Sud, pourrait également les imiter. La ville retenue pour accueillir ces Jeux doit être désignée en 2013 lors d’une réunion du CIO à Buenos Aires.
Cavendish prend sa revanche sur Greipel, Gilbert perd le vert
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© afp
Après avoir subi la loi d'André Greipel hier à Carmaux, Mark Cavendish a pris sa revanche à Lavaur. Le Britannique s'est imposé devant son rival allemand et Tyler Farrar. Philippe Gilbert perd le maillot vert, désormais sur les épaules de "Cav".
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© afp
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© ap
Le Britannique Mark Cavendish (HTC) a remporté, sous la pluie, la 11e étape du Tour de France cycliste, disputée mercredi sur 167,5 kmventre Blaye-les-Mines et Lavaur. Il s'est imposé au sprint devantvl'Allemand André Greipel (Omega Pharma-Lotto) et l'AméricainvTyler Farrar (Garmin), et ravit à Philippe Gilbert le maillot vert du classement par points.
Six coureurs, l'Espagnol Ruben Perez Moreno, l'Ukrainien Andriy Grivko, le Néerlandais Lars Boom et les Français Michael Delage, Jimmy Engoulvent et Tristan Valentin, étaient sortis du peloton après 13,5 km et ont été repris à 3 km de l'arrivée, à l'exception de Lars Boom. L'ancien champion du monde de cyclo-cross a tenté sa chance seul, mais il a à son tour été rejoint par le peloton à 2 km de la ligne d'arrivée.
Battu mardi par Greipel, Cavendish a pris 24 heures plus tard sa revanche sur son ancien coéquipier, en signant son 18e succès d'étape dans le Tour, le troisième cette année. Le Français Thomas Voeckler (Europcar) conserve le maillot jaune de leader du classement général. Le Tour prendra de la hauteur jeudi en arrivant dans les Pyrénées. La 11e étape reliera Cugnaux à Luz-Ardiden avec au programme un col de 1e catégorie, La Hourquette d'Ancizan en km 141,5, et deux cols hors-catégorie, le Tourmalet (km 175,5) et l'arrivée à Luz-Ardiden après 211 km de course
;)Demain avec la montagne va il y avoir des dégats...:bad:
Voici ce que mange un coureur chaque jour pendant le Tour
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L'alimentation d'un coureur est fondamentale. Pour soutenir des longues distances et un effort violent, les athlètes se nourrissent "de préférence avec hydrates de carbone et protéines, surtout pâte, jambon cru et parmesan, mais aussi fruits et gâteaux, préférée la tarte, pour avoir toujours à disposition des sucres à rapide assimilation", peut-on lire sur un site de cyclisme.
Pour vous donner une idée précise, Andy Schleck a publié une photo de ce qu'un coureur mange par jour pendant le Tour de France.
;)ben:non::non: pas de pastilles......:D
Coupe Davis: la Belgique accueille l'Autriche
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La Belgique affrontera l'Autriche en barrages du Groupe mondial de la Coupe Davis de tennis, du 16 au 18 septembre à domicile, a-t-on appris mercredi matin lors du tirage au sort effectué à Londres.
Classée au 18e rang du classement mondial par nations, la Belgique n'était pas tête de série pour ce tirage au sort, et pouvait, outre l'Autriche, tomber sur des pays comme la Suisse, la Russie, la République tchèque, la Croatie, le Chili, l'Inde et Israël. La Belgique a été contrainte de disputer les barrages à la suite de sa défaite 1-4 face à l'Espagne de Rafael Nadal en mars dernier à Charleroi.
L'Autriche avait de son côté été battue 2-3 par la France au 1er tour du Groupe mondial. Les deux meilleurs joueurs autrichiens sont Jurgen Melzer, 12e mondial, et Andreas Haider-Maurer, 74e à l'ATP. Ce sera la première rencontre en tant que capitaine pour Johan Van Herck, nommé en mai dernier à la suite de la démission de Réginald Willems.
La Belgique n'est jamais parvenue à battre l'Autriche lors des quatre confrontations précédentes entre les deux nations, la dernière ayant eu lieu en 2003, aussi en barrages du Groupe mondial. L'Autriche s'était imposée 3-2 à Vienne. Les vainqueurs des barrages seront dans le Groupe mondial en 2012, les perdants en zone Europe.
Gilbert: "C'était trop dangereux pour sprinter"
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© epa
Philippe Gilbert a perdu son maillot vert au profit du Britannique Mark Cavendish qui l'a emporté lors de la 11e étape du Tour de France mercredi.
"Sur cette chaussée glissante, c'était trop dangereux de me mêler à un sprint massif", a expliqué le champion de Belgique.
"De plus nous avions décidé d'à nouveau tout faire pour Greipel. C'est dommage évidemment d'avoir perdu le maillot vert, mais le Tour dure jusque Paris. Nous verrons bien où je peux encore saisir ma chance. Dans les cols peut-être. Cela commence demain (jeudi). Maintenant que Jurgen Van den Broeck n'est plus là, je peux naturellement rouler pour moi. Mais il faut voir maintenant comment les jambes vont réagir dans les Pyrénées."
Football
13 juillet 2011 22:51
Les Etats-Unis ont décroché leur qualification pour la finale du Mondial dames, en battant la France 3-1 à Moenchengladbach. La meilleure équipe du monde au classement FIFA affrontera le Japon en finale dimanche à Francfort. Les Nippones ont dominé la Suède 3-1. Les Bleues se sont montrées supérieures techniquement aux Américaines. Mais elles ont encaissé trois buts sur les 4 premiers tirs cadrés de l'adversaire. Dans l'autre demi-finale, les Japonaises n'ont pas été perturbées par l'ouverture du score suédoise (10e). Leur moral à toute épreuve et leur jouerie ont eu raison des Scandinaves.
Auto - Formule1
13 juillet 2011 17:35
Mark Webber "resignera" avec l'écurie Red Bull, a affirmé Dieter Mateschitz, le PDG de l'entreprise autrichienne. La renconduction du contrat de l'Australien est un thème central au niveau du marché des transferts pour 2012. Les noms de Lewis Hamilton ou de Sébastien Buemi ont notamment été avancés pour le remplacer.
Autres sports
"Une ambiance incroyable, et des gens très sympas"
13 juillet 2011 16:15 http://www.tsr.ch/2011/07/13/16/14/3267442.image?w=480&h=270 Près de 20'000 gymnastes participent à la World Gymnaestrada de Lausanne. [Dominic Favre - Keystone]
Cette année, 55 pays participent à la World Gymnaestrada, soit près de 20'000 gymnastes de tous horizons. Qu'ils soient Canadiens, Sud-Africains ou Mexicains, tous apprécient Lausanne, même si la vie est très chère en Suisse. Ambiance.
Pour sa 14e édition, la World Gymnaestrada accueille le total record de 55 pays, soit près de 20'000 athlètes. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on vient de loin pour participer à cet événement d'envergure mondiale. Ainsi, en observant de près la liste des nations participantes, on remarque les présences de gymnastes argentins, australiens, chinois, kazakhs, vénézuéliens ou encore sud-africains.
"Rencontre et partage", la Gymnaestrada porte bien sa devise. Lundi, au jour de la 1ère journée "officielle" de présentation des divers spectacles, on a ainsi croisé bon nombre de gymnastes échangeant pin's, casquettes, t-shirts et autres sacs officiels. "L'ambiance est vraiment incroyable", confie Jessica, jeune gymnaste française, après avoir posé en galante compagnie mexicaine sur des photos. "C'est ma première Gymnaestrada, mais franchement, j'adore!".
"Tout est si vert en Suisse"
http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/50/3267420.image?w=230&h=165 Une gymnaste canadienne profite de l'ambiance estivale du début de semaine à Gymnaestrada. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/50/3267420.image?w=418&h=300)Helen, Sharon et Dina, elles, sont un peu plus âgées - une belle trentaine -, et ne boudent pas non plus leur plaisir d'être à Lausanne. "Les gens sont vraiment très sympas ici, très accueillants", confient les trois Canadiennes d'Ottawa. "L'ambiance est bon enfant et il fait vraiment bon être ici, pendant les vacances". Des vacances que la délégation canadienne va poursuivre au-delà de la semaine de Gymnaestrada, pour certains en Europe, pour d'autres toujours en Suisse. "Il est prévu d'aller à Interlaken ou encore Saas-Fee", explique Sharon. "Je me réjouis vraiment. C'est la 1ère fois que je viens en Suisse, et c'est magnifique".
"Tout est si vert en Suisse, c'est incroyable". Esiko Nagai n'en revient pas, et peine même à vous regarder dans les yeux. "Au sud du Japon, d'où je viens, nous n'avons pas cette chance. Il y a énormément d'entreprises, de buildings et évidemment de la pollution. Me retrouver ici, en Suisse, me fait vraiment beaucoup de bien. En plus, c'est l'été, il fait beau et chaud...".
http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/51/3267422.image?w=230&h=165 Les gymnastes nippons sont marqués par le côté "vert" de la Suisse. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/51/3267422.image?w=418&h=300)La Nipponne, qui affiche une bonne cinquantaine, nous abandonne un court instant. Un gymnaste néo-zélandais lui a demandé de venir sur sa photo, avec des Belges et deux grandes et blondes Suédoises. "C'est ça l'esprit Gymnaestrada, confie Esiko, qui en est à sa quatrième édition. En bonne Japonaise qu'elle est, elle profitera de son séjour européen pour faire un peu de tourisme, en Italie, à Chamonix et au Mt-Blanc.
"On nous aide volontiers quand nous sommes perdues"
Du tourisme, Milena, Mariana et Yasmine espèrent aussi en faire un peu durant la semaine, même si rien n'est encore agendé. Nos trois jeunes Brésiliennes de Rio de Janeiro espèrent aller voir Genève, "pour faire un peu de shopping". "C'est aussi pour ça qu'on vient en Suisse, non", demande l'une d'elles. "En tout cas, je dois dire que les gens de votre pays sont très sympas, coupe Milena, qui avait déjà participé aux Gymnaestrada de Berlin (1975) et Lisbonne (2003). "En plus, on nous vient volontiers en aide quand nous sommes perdues", ajoute-t-elle en rigolant.
http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/53/3267424.image?w=230&h=165 Deux gymnastes néerlandais s'entraînent ou s'amusent sur une fontaine de Beaulieu. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/13/15/53/3267424.image?w=418&h=300)Le sourire est également bien présent du côté de ces gymnastes mexicaines de Guadalajara, "même si les organisateurs ont oublié de nous fournir les matelas pneumatiques pour dormir". "Après deux nuits, on a déjà mal au dos", raconte Maria Fernanda, les yeux rivés sur le beau gymnaste portugais qui semble lui faire de l'oeil quelques mètres plus loin. "L'ambiance est vraiment sympa ici, surtout avec ce beau temps et cette chaleur. C'est fou, il fait plus chaud que chez nous!", s'exclame Paola Corona, qui était déjà de la partie à Dornbirn, en 2007. "J'espère vraiment que nous aurons l'occasion de revenir en Suisse un jour". Andrea est, elle, un peu plus réservée, la faute sans doute à une cheville un brin endolorie.
"Tout est huit fois plus cher que chez nous"
http://www.tsr.ch/2011/07/13/16/00/3267430.image?w=230&h=165 Bien des gymnastes "amusent la galerie" dans les jardins de Beaulieu. [Reuters] (http://www.tsr.ch/2011/07/13/16/00/3267430.image?w=418&h=300)Jetlaba et Lebogang, eux, viennent d'Afrique du Sud. Leur délégation compte près de 500 membres, tous de Rustenburg, dans la province du "North West". "Les gens sont très sympas avec nous. On nous dit bonjour dans le bus, ce qui nous surprend parfois. Et il faut bien dire que les filles sont jolies dans le coin...". Les deux jeunes hommes, la petite vingtaine, roulent un peu "des mécaniques", effectuant moult vrilles et sauts piqués dans les jardins de Beaulieu, alors que d'autres athlètes se prélassent au bord des bassins.
Si les deux garçons regrettent que leur délégation ait été parquée aussi loin de Lausanne - on n'a pas réussi à comprendre où ils étaient logés... -, c'est surtout après les prix en vigueur en Suisse qu'ils en ont. "Tout est vraiment très cher. Comparé à chez nous, en Afrique du Sud, tout est huit fois plus cher", s'estomaquent-ils.
Daniel Burkhalter
Autres sports
Mickelson en embuscade au British Open
13 juillet 2011 14:41 http://www.tsr.ch/2011/07/13/14/40/3267267.image?w=480&h=270 Mickelson est l'atout numéro un des Etats-Unis. [Matt Dunham - Keystone]
Les golfeurs américains ne remportent plus le moindre titre depuis 5 épreuves du Grand Chelem. Phil Mickelson tentera de mettre fin à cette disette dès jeudi lors du British Open. Tiger Woods, blessé, sera absent.
L'Europe, forte de trois récents vainqueurs d'un tournoi majeur, et l'Afrique du Sud, qui détient le trophée grâce à Louis Oosthuizen, sont les grandes favorites du 140e British Open qui débute jeudi sur le parcours côtier du Royal St George's dans le Kent. L'Amérique est sevrée de titre depuis cinq épreuves du Grand Chelem.
Les Etats-Unis compteront sur les vieux briscards Phil Mickelson (41 ans), Steve Stricker (44 ans) et Matt Kuchar (33 ans) pour tenter de mettre fin à cette disette inhabituelle, démarrée bien avant les problèmes conjugaux suivis de blessures et de méforme de sa figure de proue Tiger Woods. L'ancien no1 mondial, aujourd'hui seulement 19e, va d'ailleurs manquer pour la première fois de sa carrière un deuxième majeur d'affilée après l'US Open.
Pas un déclin
L'éclipse de l'homme aux 14 victoires en Grand Chelem a coïncidé avec l'émergence de joueurs plus ou moins jeunes, qui se sont imposés un peu à la Tiger Woods! Ainsi, Oosthuizen, alors seulement 54e joueur mondial, avait remporté le 139e British Open avec 7 coups d'avance sur Lee Westwood. Le jeune prodige irlandais Rory McIlroy s'est quant à lui imposé au dernier US Open avec 8 coups sur son dauphin Jason Day pour devenir le plus jeune vainqueur de l'épreuve depuis 1923!
Pour Lee Westwood, l'absence de victoires US depuis le Masters 2010 (Mickelson) n'est pas le signe d'un déclin de l'empire américain. "C'est cyclique. Il y a quelque temps, on ne voyait pas beaucoup d'Européens ou de joueurs du reste du monde gagner des majeurs. C'était alors l'apanage des Américains. Et quand un ou deux joueurs issus d'une région donnée se mettent à gagner, ça inspire les autres", souligne l'Anglais.
Et Westwood de citer l'Irlandais Graeme McDowell (US Open 2010), Oosthuizen, l'Allemand Martin Kaymer (Championnat PGA 2010), le Sud-Africain Charl Schwartzel (Masters 2011) et bien sûr McIlroy, sans doute le plus talentueux de tous. Le classement mondial est d'ailleurs occupé aux quatre premières places par des Européens (Luke Donald, Westwood, McIlroy et Kaymer).
McIlroy ne se voit pas favori
Avant de survoler l'US Open, Rory McIlroy était déjà entré dans l'histoire du Grand Chelem en réussissant une carte record de 63 d'entrée au British 2010 avant d'exploser "en vol" 24 heures plus tard (80) en raison du vent et d'une météo changeante. "Je préfère les parcours bordés d'arbres comme à Augusta, Quail Hollow ou Akron qui conviennent mieux à mon style de jeu aérien", avait expliqué le jeune Nord-Irlandais.
S'il ne se compte pas parmi les favoris, McIlroy est persuadé que son succès à l'US Open peut amener d'autres jeunes à briller en Grand Chelem. "Ryo (le Japonais Ishikawa, 19 ans) est le meilleur jeune au monde. Il a déjà remporté tant de tournois au Japon. Jason Day a terminé deuxième à ses deux premiers majeurs de l'année (Masters et US Open). Et il n'a que 23 ans!", explique-t-il.
Après cinq vainqueurs inattendus aux cinq derniers tournois du Grand Chelem, la 140e British va-t-il sourire, enfin, à un favori comme l'Anglais Luke Donald, un no mondial toujours à la recherche d'un majeur, ou son compatriote Lee Westwood? Ou couronnera-t-il un homme d'expérience comme Mickelson ou le Sud-Africain Ernie Els, vainqueur en 2002. Réponse dimanche.
agences/tai
CYCLISME
Tour de France: Sanchez gagne la grande étape des Pyrénées
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14. juillet 2011, 17h32
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/tour-de-france-lespagnol-samuel-sanchez-gagne-la-grande-etape-des-pyrenees#comments)
L'Espagnol Samuel Sanchez, champion olympique des Jeux de Pékin, s'est imposé à l'arrivée à Luz-Ardiden. En terminant 9e de l'étape, le Français Thomas Voeckler est parvenu à sauver son maillot jaune. Alberto Contador a fini distancé.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/sanchezarrivee.jpg © DR
L’arrivée dans les Pyrénées n’a pas décanté la situation en tête du Tour de France. Thomas Voeckler (Fr/Europcar) reste en jaune au terme d’une 12e étape remportée par Samuel Sanchez (Esp/Euskaltel).
Sanchez, champion olympique en titre, a fêté en solitaire son premier succès sur le Tour, dont il avait fini 4e du général l’an passé. Le grimpeur espagnol de 33 ans a largué dans les 500 derniers mètres son compagnon d’échappée, le Belge Jelle Vanendert, qui a concédé 7’’.
Seul parmi les favoris à avoir tenté une attaque franche, le Luxembourgeois Frank Schleck a pris une belle 3e place à 10’’ du vainqueur. Il a ainsi pris 20’’ à Ivan Basso (It), Cadel Evans (Aus) et à son frère Andy.
Contador pas au mieux
Mieux encore, il a récupéré 33’’ sur Alberto Contador, 8e à 43’’. Le triple vainqueur de la Grande Boucle (2007, 2009, 2010) a cédé du terrain dans le dernier kilomètre et il n’est pas apparu au sommet de sa forme dans la montée finale sur Luz-Ardiden, terme de cette étape de 211 km partie de Cugnaux et qui proposait notamment l’ascension du Tourmalet.
«Aujourd’hui, c’était un peu la conséquence de mes chutes», a estimé Contador. «Je ne me sentais pas au mieux dans les jambes, je n’avais pas mon meilleur coup de pédale». Mais il s’est voulu optimiste pour la suite: «je suis quand même satisfait. Ca ira de mieux en mieux».
Thomas Voeckler s’est très bien battu pour conserver le maillot jaune. Le Français s’est classé 9e à 50’’. Il est resté au contact des favoris jusqu’à 2,5 kilomètres de l’arrivée, au moment du démarrage de Frank Schleck. Avec l’aide de son coéquipier Pierre Rolland, il a tenu bon jusqu’à la ligne, placée à l’altitude de 1715 mètres.
«Ce n’est pas inespéré mais ce n’était pas gagné au départ», a souri le Français, fatigué à l’arrivée. «J’avais dit que logiquement je devrais le perdre... Je suis content d’avoir eu tort. Pour aller loin dans la souffrance, il me faut une motivation», a expliqué Voeckler. «Le maillot ne m’a pas rendu plus fort mais il m’a donné la motivation pour atteindre un seuil de souffrance plus élevé. Ca a rejailli sur toute l’équipe».
Au général, Voeckler précède désormais Frank Schleck de 1’49 et Cadel Evans de 2’06. Andy Schleck occupe le 4e rang à 2’17, alors que Contador (7e) se retrouve à 4’00 du leader.
Longue échappée
Six coureurs (Mangel, Kadri, Roy, Gutierrez, Perez Moreno, Thomas) ont mené une longue échappée dès le départ. Le groupe a abordé le premier col, la Hourquette d’Ancizan, avec près de six minutes d’avance. Dans la descente, plusieurs coureurs ont chuté mais ont pu poursuivre la course, notamment Voeckler qui en a été quitte pour une frayeur en touchant une voiture sur le bas-côté.
Jérémy Roy a franchi le sommet du Tourmalet en tête (Km 175,5) devant le Gallois Geraint Thomas. Mais le duo s’est présenté au pied de l’ascension finale avec un avantage à peine supérieur à deux minutes sur leurs premiers poursuivants. Sanchez et Vanendert se sont alors dégagés du groupe intercalé pour prendre le commandement à 7 kilomètres de la ligne. Derrière eux, les favoris se sont timidement testés jusqu’à l’attaque franche de Frank Schleck.
Au vu des difficultés de Contador pour assumer la poursuite, Basso - qui a confirmé sa montée en régime - et Evans ont accéléré le rythme pour ne lâcher qu’une vingtaine de secondes à l’aîné des frères Schleck. «C’était un premier test, et pas le dernier», a commenté Andy Schleck. «Une journée parfaite pour nous».
Le Tourmalet a condamné le Néerlandais Robert Gesink, qui a cédé son maillot blanc de meilleur jeune au Français Arnold Jeannesson. Les Allemands Andreas Klöden (plus de 8 minutes de retard) et Tony Martin (plus de 9 minutes) ont eux aussi lâché prise.
Vendredi, la 13e étape mènera le peloton de Pau à Lourdes sur 152,5 km. La principale difficulté sera le col de l’Aubisque, dont le sommet est situé à une quarantaine de km de l’arrivée.
:)Bravo Phil Thomas à gardé le maillot jaune mais d'un fil....:p:D:DBelle course de Thomas........Les Schleck sembles en forme.....:amoureux:
Sanchez s'impose devant un Vanendert héroïque
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7S7 mise à jour Samuel Sanchez a remporté la première étape de haute montagne à Luz Ardiden, devant le Belge Jelle Vanendert et Frank Schleck. Contador a perdu encore de précieuses secondes pour le classement général.
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© afp
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L'Espagnol Samuel Sanchez a remporté la 12e étape du Tour de France, première grande étape de montagne, sur 211 km entre Cugnaux et une arrivée au sommet à Luz Ardiden dans les Pyrénées, jeudi. Le champion olympique a devancé de 7 secondes Jelle Vanendert (Omega Pharma-Lotto) qui a accompagné Samuel Sanchez durant toute la montée de Luz Ardiden.
Frank Schleck (Leopard-Trek) a pris la troisième place décrochant les autres favoris lors d'une attaque à 2,5km de l'arrivée au sommet. Le Luxembourgois termine à 10 secondes, mais prend quelques secondes sur les autres prétendants à la victoire finale comme l'Italien Ivan Basso, 4e à 30 secondes de Sanchez, l'Australien Cadel Evans, 5e, son frère Andy Schleck, 6e, l'Italien Damiano Cunego, 7e à 35 secondes, mais surtout l'Espagnol Alberto Contador, 8e à 43 secondes.
Philippe Gilbert a tenu le choc de cette première étape de montagne terminant à un peu moins de 3:30 du vainqueur. Le Français Thomas Voeckler (Europcar), 9e de l'étape à 50 secondes, conserve son maillot jaune de leader au classement général devant Franck Schleck. La 13e étape conduira jeudi les coureurs de Pau à Lourdes sur 152,5
De quoi est capable Philippe Gilbert en haute montagne?
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Philippe Gilbert a annoncé qu'il aimerait se frotter aux gros bras de ce Tour... © photo news
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Gilbert parviendra-t-il à récupérer le maillot vert? © photo news
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© belga
Le parcours vers Luz-Ardiden, avec un col de première catégorie ( Hourquette d'Ancizan, inédit) et deux cols hors catégorie (le Tourmalet et Luz-Ardiden) sonne le véritable départ du Tour de France.
Qui allumera la mèche?
A l'issue de cette première étape de haute montagne, on aura sans doute une petite idée sur les candidats à la victoire finale. Contador, Evans et les frères Schleck devraient en découdre sur les pentes des routes pyrénéennes. L'Espagnol, qui compte plus d'une minute et demi de retard sur Evans, ne peut tergiverser et n'aura d'autre choix que d'attaquer. A moins qu'il n'attende les Alpes avant de tester ses adversaires, mais cette tactique comporte des risques.
L'une des questions que beaucoup d'observateurs se posent concerne les capacités de Philippe Gilbert à suivre les gros bras en haute montagne, vu son état de grâce du moment. Depuis l'abandon de Jurgen Vanden Broeck, le Remoucastrien est l'atout majeur d'Omega Pharma dans ce Tour. "Phil" a déjà annoncé qu'il aimerait "se tester" dans les Pyrénées, même si l'objectif numéro un reste le maillot vert, récupéré par Mark Cavendish hier à Lavaur.
"Tester ne veut pas dire exploser"
Mais le Belge ne risque-t-il pas de se "brûler" et perdre des forces précieuses en vue des sprints? C'est probable. Sans oublier les efforts consentis lors de la première semaine et lors des classiques printanières. "Gilbert n'est pas fou, se tester ne veut pas dire aller trop loin au point d'exploser complètement. Il ne fera pas d'efforts inconsidérés. Il saura trouver sa limite et aura toujours son premier objectif en tête: avoir le maillot vert sur les épaules à Paris", recadre Luien Van Impe, ex-vainqueur de la Grande Boucle, dans La Libre Belgique.
Puis surtout, Gilbert (1m79, 67 kg) n'a pas la morphologie d'un grimpeur comme Schleck (1m86, 68 kg) ou Contador (1m76, 61 kg). Son style de puncher, un peu à l'instar de Cancellara, convient mieux à des côtes plus courtes. Toutefois, si un top 10 ne semble pas à la portée du Belge, une 15e ou 16e place devrait être jouable.
"Gilbert a un potentiel fantastique et, même si la haute montagne n'est pas vraiment son domaine, je pense qu'il peut faire une bonne place. N'oublions pas que beaucoup de leaders soit ont disparu, soit connaissent des problèmes physiques à cause des nombreuses chutes qui ont émaillé ce début de Tour. Et c'est peut-être la chance de notre compatriote", termine Van Impe. (mb)
David G. et Jeremy K. sont morts à six jours d’intervalle. Ces décès ne changeront sans doute rien à la pratique d’un sport extrême restant très peu réglementé dans notre pays.
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«Je suis désolé de vous informer que notre pote Jeremy G. est mort en sautant de l’Eiger depuis le spot Mushroom.» C’est ainsi que la tribu des base-jumpers a appris hier la mort de l’un des siens sur le site de référence Blincmagazine.com. L’accident a eu lieu ce mardi peu après 11 h et le disparu, un pratiquant américain «relativement nouveau» d’une trentaine d’années, a même immortalisé sa chute fatale avec une minicaméra. La police bernoise essaie de visionner ces images pour comprendre ce qui s’est passé. Pour mémoire, le base-jump est un dérivé du parachutisme consistant à s’élancer en chute libre depuis des supports fixes (ponts, immeubles, antennes, barrages ou falaises) avant de déplier une voile.
Au fond d’une crevasse
D’après Blincmagazine.com, Jeremy et Jeff, un ami qui l’accompagnait ce jour-là, étaient «de bonne humeur» et «en pleine forme» quand ils ont atteint leur objectif après 1 h 45’ de marche. Les conditions météo étaient bonnes. Le saut, leur premier à cet endroit, s’annonçait magnifique. Ils l’avaient minutieusement préparé en regardant des vidéos et en parlant avec des jumpers expérimentés. Jeff est évidemment choqué. Lui a sauté sans dommage quelques secondes avant son comparse. Ce n’est que lorsqu’il a vu arriver l’hélico de la Rega qu’il a compris qu’un drame s’était joué hors de sa vue derrière une butte où son ami avait fini sa course au fond d’une crevasse située au pied de la paroi nord de l’Eiger. Quelques randonneurs ont assisté au crash.
La mort de Jeremy porte à 35 le nombre de personnes décédées officiellement en Suisse lors d’accidents de base-jump depuis 2000. Cet accident mortel est le quatrième de l’année 2011 et le deuxième en moins d’une semaine. Jeudi 7 juillet en effet, David K., un Tchèque de 36 ans, s’écrasait en effet à Stechelberg (BE). Ces dernières années, le nombre de sauts est en augmentation – plus de 10 000 – et les accidents aussi.
Rarement des Suisses
Le Bureau de prévention des accidents (BPA) n’envisage pas pour autant de lancer de campagne de sensibilisation. «Ce sport reste marginal. Les base-jumpers sont bien équipés et conscients des risques encourus, explique Rolf Moning, porte-parole de cette organisation. Ce sont d’ailleurs rarement des Suisses, d’où l’inutilité de s’adresser à eux.» Dans notre pays, une centaine de personnes seulement s’adonneraient à la discipline, à en croire la non officielle Association suisse de base-jump. Les base-jumpers, dont une majorité sont dans la trentaine, viennent souvent du parachutisme. Leur discipline ne requiert l’obtention d’aucun brevet. Elle est pourtant exigeante. Sécurité oblige, plier leur voile prend par exemple 30 minutes contre seulement 5 pour un parachute.
Un durcissement de la réglementation? pas demain la veille
Contrairement aux Etats-Unis, la Suisse tolère bien le base-jump.
Ce sport extrême y est soumis à la législation sur les règles de l’air qui précise, grosso modo, que les sauts ne doivent mettre en danger ni la vie ni les biens d’autrui. La seule vraie contrainte pour le base-jumper, sous peine d’amende, est en fait d’être couvert par une RC et d’inspecter la place d’atterrissage avant son saut. Malgré les accidents, l’instauration d’une réglementation plus stricte n’est pas à l’ordre du jour. «Les communes ou les cantons concernés pourraient déjà interdire certains «spots», explique Anton Kohler, porte-parole de l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC). Dans la région de Lauterbrun-nen (BE), l’une des Mecque mondiales, milieux touristiques et politiques sont contre de tels durcis-sements. Les base-jumpers y sont des clients réguliers et appréciés. Certains vont jusqu’à rembourser aux paysans les éventuels dégâts causés par leurs sauts. «C’est bien d’avoir encore des espaces de liberté tels que celui-là ou l’alpinisme», assène Andreas Knabe. Ce responsable de l’Ecole de parachutisme de Château-d’Œx (VD) a pourtant tourné le dos au base-jump après y avoir perdu un ami en 2006. «C’est lui qui pliait ma voile. Il avait les pieds sur terre, était marié, avait deux enfants et bossait comme cadre dans une entreprise de sécurité. A l’image de la majorité des pratiquants, c’était tout sauf un frappadingue!»
CYCLISME
Alberto Contador au bord du gouffre
14. juillet 2011, 22h56
Laurent Guyot | Le Matin
Si Thomas Voeckler a gardé son maillot jaune, le triple vainqueur du Tour s’est effacé devant Basso, Evans et les frères Schleck.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/velo_12.jpg Attaqué par Andy Schleck (à g.) et Ivan Basso (à dr.), Alberto Contador (au centre) n’a pas pu réagir. © Keystone
Sur son terrain de prédilection, à un jet de pierre de son pays, Alberto Contador a montré ses limites actuelles. Dans ce premier rendez-vous avec la haute montagne gagné par son compatriote Samuel Sanchez, le vainqueur du Giro est encore arrivé à perdre du temps. Des secondes qui risquent de peser lourd à l’heure du décompte final.
Attaqué à tour de rôle par les frères Schleck puis par Cadel Evans mais aussi affaibli par le tempo des Liquigas, le citoyen de Pinto a craqué dans les 300 derniers mètres. Son coup de pédale saccadé était à des lieues de celui vu sur les pentes de l’Etna, où l’Espagnol avait dynamité le Tour d’Italie. Ce qui n’est pas venu troubler le triple vainqueur du Tour de France. Le chef de file des Saxo Bank a donné rendez-vous à ses adversaires dans les jours à venir. «Je n’étais pas au mieux, c’est vrai. Je n’avais pas mon coup de pédale habituel. Mais cela va aller de mieux en mieux. J’en suis convaincu.»
La méthode Coué a-t-elle rattrapé le protégé de Bjarne Riis? Ou s’est-il mis à jouer au poker menteur afin de mieux rebondir dans les Alpes et lors du contre-la-montre de la dernière semaine? Ses explications ont paru un peu juste. «Je suis tout de même satisfait de mon étape. Aujourd’hui, j’avais pris le parti de rester prudent. Quand Andy et Fränk Schleck sont partis à l’attaque, j’ai gardé mon rythme. Mes jambes étaient lourdes. Je n’ai pas pu donner plus que ça lors du démarrage de Cadel Evans, d’Ivan Basso et d’Andy Schleck. Mais le Tour n’est pas fini.»
Ivan Basso en embuscade
L’avertissement n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Andy Schleck, le premier, a réagi. «Je ne suis pas inquiet outre mesure. Mais tout de même, si c’est son jour sans, alors nous devons nous faire du souci. Avec Fränk, nous avons bien manœuvré. Nous sommes parvenus à finir le travail commencé par l’équipe dès l’amorce du Tourmalet. Les gars ont accéléré et usé nos adversaires. Il faudra remettre ça lors de l’étape du Plateau de Beille. De toute façon, le Tour se jouera dans les Alpes.»
Si les frères Schleck sont passés à l’attaque à tour de rôle dans les quatre derniers kilomètres, le duo a aussi profité des services des Liquigas d’un Ivan Basso conquérant. Bien emmené par Sylvester Szmyd, dévoué serviteur, le Transalpin s’est replacé dans la course à la victoire finale. Souriant comme à ses plus beaux jours, le vainqueur du Tour d’Italie 2006 et 2010 rêve de jaune. «Je suis venu pour gagner. Et ma performance du jour m’a permis de voir que je suis sur la bonne voie.»
Un constat que peut aussi faire Damiano Cunego. Même si le Petit Prince de Vérone, battu lors de la dernière étape du Tour de Suisse par Levi Leipheimer, doit effectuer la différence avant le chrono de Grenoble la veille de l’arrivée à Paris.
Interview de Cadel Evans 3e à 2’06’’ du maillot jaune
Cadel Evans, cette première étape de haute montagne correspond-elle à vos attentes?
Il y a encore du chemin à faire. Je ne suis pas en jaune et il n’est pas sûr que je le sois à la fin de la semaine. Mais je suis très content de la tournure prise par les événements. J’ai réussi à garder le contact avec les meilleurs et même pris du temps à Alberto Contador. C’est dire que je suis toujours dans une position idéale. Je ne vais pas me plaindre.
L’équipe BMC a-t-elle tenu son rôle?
Tous les gars se sont mis en quatre pour m’amener dans un fauteuil au pied des difficultés. Ensuite, j’ai pu compter sur Steve Morabito qui m’a protégé, ravitaillé le plus longtemps possible dans l’ultime ascension. Je suis très satisfait de cette journée.
Comment voyez-vous la suite dans les Pyrénées?
Les frères Schleck voudront encore nous prendre du temps probablement à l’occasion de l’étape menant au Plateau de Beille, samedi. Mais il y a des choses que l’on peut prévoir et d’autres pas. Nous allons prendre les étapes les unes après les autres. Qui sait si d’autres n’attaqueront pas dès demain (ndlr: aujourd’hui).
L. G.
;)beau chercher, pas de nouvelles pour l'instant, faut dire que j'ai pris de l'avance.........:non::non:peu pas aller plus vite que le tour.........:D
;)Ok vous allez dire que ce n'est pas un sport? Vous n'avez pas tort, va pas il y avoir d'épreuves Olympique dans la discipline... Que ce cela arrive dans les Alpes ou ailleurs c'est vraiment tragique, me demande parfois si ils ne cherchent pas la mort. La base est déjà de demander aux habitants du coin ou non? Eux ils connaissent la météo et l'humeur de la montagne du jour.....................
Accidents de montagne
Journée meurtrière en Valais: cinq alpinistes sont morts
15. juillet 2011, 16h49
LeMatin.ch & les agences
La journée fut meurtrière en Valais: cinq alpinistes sont décédés ce vendredi, trois d'entre eux au pied du Combin de Valsorey, le quatrième au Lagginhorn, sur la commune de Saas-Grund, et le cinquième au Petit Mont-Collon.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/GrandCombin.jpg Le massif du Grand Combin. © Police valaisanne
Cinq alpinistes ont fait des chute mortelles en Valais vendredi.
Trois ont perdu la vie à une altitude de 3700 mètres alors qu’ils parvenaient à quelques mètres du col situé au pied du Combin de Valsorey (VS). Le quatrième est décédé au Lagginhorn, sur la commune de Saas-Grund (VS).
Les trois alpinistes morts au Grand-Combin étaient équipés de piolets et de crampons. L’un d’eux est vraisemblablement tombé et à entraîné ses camarades de cordée dans sa chute. Les malheureux ont alors glissé sur plusieurs centaines de mètres de long d’un couloir enneigé tout en heurtant des rochers. La procédure d’identification des victimes est en cours.
L’alpiniste décédé au Lagginhorn faisait partie d’un groupe de sept alpinistes allemands. Ils n’étaient pas encordés. A 3850 mètres d’altitude, à environ 100 mètres du sommet, l’homme a chuté de plusieurs centaines de mètres. Il est décédé sur les lieux de l’accident. Son identification est en cours.
Au Petit Mont-Collon, deux alpinistes redescendaient du sommet en rappel, dont la corde était fixée autour d'un rocher. Le premier est descendu sans problème. Quand est arrivé le tour du second, le bloc autour duquel était attaché la corde s'est détaché de la paroi. L'alpiniste a fait une chute de vingt mètres. Il est décédé sur les lieux.
Ces trois drames portent à neuf le nombre de personnes tuées dans des accidents de randonnée ou de haute montagne en Valais depuis le début du mois de juillet.
En plus à 5 tu loues un guide? pas déconner, Indiana machin machin c'est du kino...
Cyclisme
Tour de France: et de quatre pour Cavendish!
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/137972)
[URL="http://twitter.com/share?text=Tour+de+France%3A+et+de+quatre+pour+Cav endish%21&url=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/tour-de-france-et-de-quatre-pour-cavendish"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/tour-de-france-et-de-quatre-pour-cavendish&t=Tour+de+France%3A+et+de+quatre+pour+Cavendish%21 )
17. juillet 2011, 17h28
LeMatin.ch & les agences
Mark Cavendish a remporté au sprint la 15e étape du Tour de France. C'est sa quatrième victoire sur la Grande Boucle de cette année. Le Français Thomas Voeckler garde lui le maillot jaune de leader.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/117394320.JPG Mark Cavendish, le vainqueur du jour. © KEYSTONE
Mark Cavendish (HTC) a remporté au sprint la 15e étape du Tour de France cycliste, disputée sur 192,5km entre Limoux (Aude) et Montpellier (Hérault).
Le Français Thomas Voeckler (Europcar) conserve le maillot jaune de leader.
C'est la quatrième victoire d'étape du sprinteur britannique sur la Grande Boucle 2011 et la 19e de sa carrière sur le Tour.
Après une journée de repos demain, le peloton parcourra mardi 162,5km entre Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme) et Gap (Hautes-Alpes).
Va bien le Thomas, c'est un bon comme Tomas Luthi:p:D:D:D:amoureux::amoureux:
Le plateau de Beille
Voeckler continue de rire en jaune
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/137828)
[URL="http://twitter.com/share?text=Voeckler+continue+de+rire+en+jaune+&url=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/voeckler-continue-de-rire-en-jaune"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/voeckler-continue-de-rire-en-jaune&t=Voeckler+continue+de+rire+en+jaune+)
16. juillet 2011, 22h42
Laurent Guyot | Le Matin Dimanche
4 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/voeckler-continue-de-rire-en-jaune#comments)
Impressionnant d’aisance, le chouchou des Français a fini 7e d’une étape gagnée par Jelle Vanendert. Il est resté au contact des favoris Evans, Schleck, Contador et Cie au plateau de Beille.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/veloo_1.jpg La tunique jaune de leader rend Thomas Voeckler très tonique: le Français a surpris tout son monde, à commencer par Alberto Contador (à g.), qui commence à grimacer, et Fränk Schleck (à dr.), incapables de le lâcher. © Keystone
L’exception confirmera-t-elle la règle? Sur la ligne d’arrivée tracée dans le magnifique décor du plateau de Beille, paradis du ski nordique, c’est toujours le vainqueur – ou porteur du maillot jaune – qui est ensuite monté sur la plus haute marche du podium à Paris. Marco Pantani (1998), Lance Armstrong (2002 et 2004) et Alberto Contador avaient posé les jalons de leur succès final. Mais, au vu du verdict rendu par l’ascension finale de 15,8 km (7,9% de moyenne), rien n’est moins sûr.
Parti à 7 km du sommet culminant à 1780 mètres, Jelle Vanendert (26 ans) a savouré sa 4e victoire chez les pros en profitant des atermoiements des favoris. Et Thomas Voeckler, généreux et efficace comme toujours, est parvenu à rester dans le sillage des frères Schleck, Basso, Evans et Contador pour conserver son maillot jaune. Même si le protégé de Jean-René Bernaudeau a reconnu quelques faiblesses. «Le vélo, ce n’est pas une partie de plaisir. Cela vous fait mal aux jambes. Il a fallu serrer les fesses comme dans la montée vers Luz-Ardiden. Je suis content de voir que c’est dur pour tout un chacun. De plus, comme c’est rare que je sois devant en montagne, je préfère souffrir devant. Mais aujourd’hui, je suis vraiment surpris, même si j’avais pris conscience de mes possibilités jeudi. Je ne me suis pas élancé battu de Saint-Gaudens. Je n’ai pas réfléchi plus que ça d’ailleurs, j’en étais bien incapable. Dans la vallée, je me suis juste dit qu’il faudrait me protéger du vent. Quitte à me mettre dans le rouge, j’ai sauté dans les sillages des attaquants en utilisant un petit braquet.»
Le jour de gloire de Vanendert
Fidèle équipier de Philippe Gilbert dans les classiques du printemps, Jelle Vanendert a connu son jour de gloire dans la dernière étape disputée dans les Pyrénées. Battu jeudi par Samuel Sanchez, le Belge s’est offert une vitrine de luxe en remportant l’étape tout en endossant le maillot réservé au meilleur grimpeur. Le héros du jour a savouré ces moments inoubliables. «Mes employeurs (Omega Pharma-Lotto) se sont montrés compréhensifs. Après les classiques, j’ai pu me préparer à ma guise pour mon premier Tour. Je me suis reposé, entraîné et suis rentré sur le circuit pour Le Dauphiné. C’est pour cette raison que j’ai bien réussi dans les Pyrénées. Je suis frais et dans la forme de ma vie.»
Professionnel depuis six ans, le Flamand n’avait jamais crevé l’écran. «Je me suis imposé dans des courses de second plan et j’ai terminé 6e de la Flèche Wallonne. Même dans mes rêves je n’aurais pas imaginé terminer 2e d’une étape du Tour de France et gagner au plateau de Beille deux jours plus tard.»
Dans le rouge
Au même titre que Jelle Vanendert, Thomas Voeckler pédale sur un nuage tout jaune. Son rêve n’en finit plus et risque bien de durer jusqu’aux Alpes. A ces quatre étapes alpestres où les frères Schleck, Alberto Contador, Ivan Basso et même Cadel Evans devront prendre leurs responsabilités une fois pour toutes. Bien sûr, les ascensions du Galibier et de l’Alpe-d’Huez sont autrement plus exigeantes que celles du plateau de Beille. Et le chrono de samedi a donné une petite marge à l’Australien de BMC en tant que meilleur rouleur des favoris déclarés. Toutefois, le chef de file d’Europcar dispose d’un matelas de deux minutes en sa faveur. Qui ne le rassure pas pour tout autant. «La fatigue se fait sentir. Toute l’équipe s’est mise en quatre de façon à me permettre de garder le maillot. Il faudra remettre l’ouvrage sur le métier. Je me suis mis dans le rouge. Ma seule consolation, c’est que je crois qu’eux aussi ont dû repousser leurs limites. Je suis parvenu à suivre, mais c’était vraiment limite. Je n’aurai pas de trop de deux jours pour me refaire la cerise.»
Déjà porteur du maillot jaune durant dix jours en 2004, Thomas Voeckler peine tout de même à croire à un miracle. Même si, au vu de sa forme, une place sur le podium à Paris n’est pas – ou n’est plus – une simple vue de l’esprit. «En 2004, j’avais gardé le maillot pour deux secondes avant de le perdre à Villard-de-Lans trois jours plus tard. Selon moi, cette année-là, Lance Armstrong était monté plus vite que nous. Aujourd’hui, il aurait fait un grand ménage s’il avait été là. Ce que je suis certain en ce qui me concerne, c’est que je suis à mon meilleur niveau depuis maintenant trois?ans. Mes jambes tournent bien. Je vais défendre ma première place jusqu’au bout. Je ne suis peut-être pas le plus fort, mais je trouve encore plus de motivation à repousser ma souffrance avec ce maillot jaune sur mes épaules.»
"J'ai 0% de chance de gagner le Tour"
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"J'ai 0% de chance de gagner le Tour de France" a répondu dimanche le maillot jaune Thomas Voeckler aux pronostics, qui enflent depuis la veille et l'annoncent comme un possible vainqueur de la Grande Boucle 2011.
Jusqu'à samedi, la question était de savoir comment vous alliez garder votre maillot jaune. On parle désormais de vous voir gagner le Tour de France. Est-ce difficile à assumer ?
"Non, ce n'est pas difficile parce que je me concentre sur mon travail sur le vélo, sur l'aspect sportif. Je ne suis pas là pour gagner le Tour de France, ce n'est pas mon objectif, je pense même que je n'ai aucune chance. J'ai réussi à suivre les favoris hier (samedi au plateau de Beille). Ce serait un bonheur d'arriver à les suivre par la suite mais je n'estime pas avoir le niveau en haute montagne. Hier (samedi) c'est presque une anomalie que j'ai pu les suivre ! Je ne me prends pas trop la tête. Bien sûr, avoir réussi à les suivre, ça motive. Maintenant, je sais ce que sont les Alpes, je m'attends à des moments très difficiles."
Vous affirmez ne pas pouvoir gagner le Tour. Mais tous les Français l'attendent... Dans quelle mesure voulez-vous gagner ce Tour ?
"Tout le monde voudrait gagner le Tour ! Les Français, je le sens bien, attendent une victoire depuis Bernard Hinault (1985) et un Français sur le podium depuis Richard Virenque (1997). Je ne veux pas mentir au public, il reste une semaine. Peut-être que ça ferait de la publicité si j'annonçais: +Je suis en jaune, je vais gagner+. Le Tour a été dessiné pour que la dernière semaine soit décisive. Je vais me battre. Mais j'estime avoir 0% de chance de gagner le Tour de France."
Pensez-vous pouvoir éventuellement compter sur un coup de main d'autres équipes françaises ?
"Je ne pense pas. Dans la montagne, les coups de main, ça n'existe pas. Ou on a les jambes pour suivre ou on n'arrive pas à suivre. Ce n'est pas comme sur le plat. Je ne m'attends à aucune aide à part celle de mes coéquipiers."
Le Brésil éliminé de la Copa America par le Paraguay
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L'Argentine à la trappe, le Brésil idem! Les quarts de finale de la Copa America ont produit une deuxième énorme surprise avec l'élimination du double tenant du titre, tombé face au Paraguay dans la même loterie des tirs au but (0-0 a.p., 2-0 t.a.b.).
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Le Paraguay, qui n'avait plus atteint le dernier carré depuis 1989, rencontrera le vainqueur de Chili-Venezuela, qui se jouera dimanche soir. De manière incroyable, trois des quatre tireurs brésiliens (Elano, André Santos et Fred) ont envoyé leurs tirs au but dans les tribunes, et Thiago Silva a vu le sien repoussé par Villar.
Le gardien des Guaranis a été le héros de la soirée, en état de grâce: il s'est interposé sur une frappe vicieuse de Ganso (67e) ou des tirs à bout portant de Pato (73e, 82e) et Lucio (33e), ce dernier arrêté avec... les parties intimes.
Justement, le Paraguay luttait avec ses principales qualités de sacrifice, d'abnégation. Bousculé par la vitesse brésilienne, il multipliait les fautes pour la court-circuiter. "Nous ne devons pas rentrer dans ce jeu", avait prévenu Robinho. En prolongation, une altercation débouchait néanmoins sur l'exclusion, de part et d'autre, de Lucas Leiva et Alcaraz (103e).
Et le maître-mot de "patience" martelé par les Brésiliens durant le tournoi se diluait dans la précipitation. Les Guaranis n'ont jamais inquiété Julio Cesar, hormis dans les toutes dernières minutes. Et dans l'épreuve fatidique. (belga)
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Lewis Hamilton a demandé sa Pussycat en mariage
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Ca y est, Lewis Hamilton s'est enfin décidé à demander sa compagne, Nicole Scherzinger en mariage.
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Selon le père de la chanteuse, c'est ce samedi qu'a eu lieu la demande tant attendue. "Ils sont fiancés", a indiqué Alfonso Valiente au Daily Mail. Et le beau-papa semble ravi de cette nouvelle. "Mon futur beau-fils est un mec droit, il est sympa et c'est une personne très discrète", dit-il. "Ma famille l'aime beaucoup, tout le monde se réjouit de cette nouvelle".
Lewis Hamilton et Nicole Scherzinger sont en couple depuis quatre ans. Et il semblerait que la famille de Nicole ait déjà d'autres projets pour le pilote et la chanteuse. Après le mariage dont on ignore encore la date, ceux-ci voient déjà bien une ribambelle de mini Lewis ou de mini Nicole courir dans la maison. (CB)
football
Premier titre pour les Japonaises
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17. juillet 2011, 23h32
Le Matin
1 commentaire (http://www.lematin.ch/sports/football/international/premier-titre-pour-les-japonaises#comments)
A la surprise générale, le Japon a battu les Etats-Unis en finale.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/japon_0.jpg Aya Miyama avait montré la voie aux Japonaises. © Keystone
Les Japonaises sont devenues championnes du monde, hier soir à Francfort, en battant les Américaines aux tirs au but.
Il a fallu attendre la deuxième mi-temps pour voir enfin un but dans cette finale très plaisante. C’est l’Américaine Alex Morgan qui débloquait les compteurs en inscrivant le 1-0 à la 69e minute de jeu. Mais les Japonaises, par l’entremise de Miyama, égalisaient, 12 minutes seulement après l’ouverture du score.
C’est sur ce résultat qu’Américaines et Japonaises atteignaient la fin du temps réglementaire. En prolongations, les filles de l’Oncle Sam pensaient avoir fait le plus dur en marquant le 2-1 grâce à leur attaquant Wambach (104e).
Mais les Japonaises revenaient encore une fois à la marque. Cette fois, c’est Sawa qui redonnait de l’espoir aux joueuses asiatiques (117e minute). Ce résultat ne bougeait plus et les deux équipes se retrouvaient face à face dans une séance de tirs au but.
Une séance que les Américaines n’ont pas su négocier, laissant la victoire aux Japonaises.
valentinette76
18/07/2011, 08h45
Je comprends pas comment les americaines sont si bonnes au foot alors que leur equipe masculine c est de la daube.... Et les Japonaises pareils, ca m etonne de ne pas voir l allemagne, la france ou l espagne en finale pas vous?
Je comprends pas comment les americaines sont si bonnes au foot alors que leur equipe masculine c est de la daube.... Et les Japonaises pareils, ca m etonne de ne pas voir l allemagne, la france ou l espagne en finale pas vous?
Le foot est un sport surtout pratiqué par les femmes aux USA, là où les hommes préfèrent le basket, le baseball ou le football américain.
Jouer au foot pour une fille c'est courant là-bas, beaucoup moins pour un homme:)
Natation
La belle Manaudou réussit son retour
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18. juillet 2011, 10h10
LeMatin.ch & les agences
2 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/autres-sports/la-belle-manoudou-reussit-son-retour#comments)
La Française Laure Manaudou, championne olympique et triple championne du monde, a remporté facilement dimanche l’épreuve du 200 m dos de la réunion d’Athens (Géorgie), en couvrant la distance en 2’10’’20.
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Manaudou a précédé sa grande rivale de ce meeting l’Américaine Megan Romano de plus de 2 secondes.
La nageuse française, 24 ans, qui espère participer aux Jeux olympiques de Londres en 2012, s’était qualifiée pour la finale du 200 m dos en terminant seulement 5e des séries (2’17’’13), près de 4’’ derrière Romano, meilleure temps des qualifications (2’13’’15) et très loin de son record de France des Championnats de France de Dunkerque en 2008 (2’06’’64).
La victoire de Manaudou sur 200 m dos est sa deuxième du week-end après sa première place au 200 m nage libre en 1’ 59’’30, assez loin de son record du monde en 2007 à Melbourne en 1’55’’52, battu depuis par l’Italienne Federica Pelligrini.
Manaudou s’était également qualifiée pour la finale du 100 m nage libre en finissant 3e des séries mais a été scratchée pour la course de l’après-midi.
;)Ca c'est du sport............:amoureux::D
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:non::non:Rien à jeter:fou::amoureux::amoureux::amoureux::D:cadeaux :
;)La c'est triste....:langueŽ:
Un joueur de rugby décède suite à un tacle
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Halley Appleby, un joueur de rugby australien de 21 ans, est décédé après avoir été grièvement blessé lors d'un match entre l'équipe universitaire du Queensland et GPS.
Le joueur a perdu conscience après avoir été victime d'un tacle qui lui aurait fracturé la colonne vertébrale. Il aurait été victime d'une crise cardiaque et aurait souffert de graves lésions cérébrales. Réanimé sur le terrain, il fut ensuite transféré à l'hôpital de Brisbane.
Arrivé dans un état critique, le jeune joueur de 21 ans était rapidement considéré comme mort cliniquement par l'équipe médicale. Sa famille, qui ne ratait jamais un match selon Mike Zaicek, le coach-adjoint de l'équipe, a décidé de couper les machines qui le retenaient à la vie.
Sur Couriermail, Michael Heenan, le coach principal de l'équipe, a rejeté l'idée que le tacle qui a précipité le décès de son joueur était trop violent ou contraire à l'éthique du jeu. "L'Université ne se préoccupe pas de cela pour le moment. Il serait en outre inapproprié pour nous de commenter", a-t-il déclaré.
La 16e étape offre un profil favorable à Philippe Gilbert
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© belga
Philippe Gilbert aura l'occasion mardi à l'occasion de la 16e étape de réduire son retard au classement par points du Tour de France. Le profil des 162,5 km entre Saint-Paul-Trois-Châteaux et Gap offre au champion de Belgique un terrain de prendre des points à ses principaux concurrents Mark Cavendish en José Joaquin Rojas.
Le parcours ne cessera de monter jusqu'au col de Manse de 2e
catégorie (9,5 km à 5,2 pour cent) au km 151. Gilbert est 3e dans la course au maillot vert à 71 points de Cavendish et 34 de Rojas.
Le sprint intermédiaire au km 117,5, à Veynes, est situé en montée. Il offrira 20 points à son vainqueur. Quant au vainqueur de l'étape, la ligne d'arrivée étant fixée au bas du col de Manse dont le sommet est située 12,5 km plus tôt, il attribuera 30 points au vainqueur
Contador: "Dans les Alpes, les choses vont changer"
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L'Espagnol Alberto Contador a déclaré qu'il fallait "saisir la moindre opportunité de revenir dans la lutte" (pour la victoire finale) dans le Tour de France, lundi lors d'une conférence de presse à Rochegude.
"Sans le temps perdu lors de la première étape, je serais en position de gagner le Tour", a dit Contador, 28 ans, actuellement 7e du classement général à 4 minutes du maillot jaune, le Français Thomas Voeckler. "Désormais, les écarts au classement général sont importants, aussi devons-nous saisir la moindre opportunité de revenir dans la lutte (pour la victoire)", a déclaré le triple vainqueur du Tour (2007, 2009, 2010).
"Dans les Alpes, les choses vont changer. Les ascensions sont plus longues et les altitudes plus élevées" (que dans les Pyrénées). Certains grimpeurs ne seront pas à l'aise", a-t-il analysé. "Le final à Pinerolo (terme en Italie de la 17e étape mercredi, ndlr) pourrait être difficile, cela dépendra des conditions climatiques", a-t-il estimé.
"Mais pour moi, le plus important sera le Galibier et l'Alpe d'Huez, a ajouté le grimpeur espagnol. L'ascension du Galibier est très difficile, spécialement dans les premiers kilomètres. Si nous voulons y faire la différence, nous devrons imprimer un rythme très élevé". (belga/mb)
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CYCLISME
Andy Schleck: «Je suis prêt à me sacrifier pour mon frère Fränk»
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18. juillet 2011, 23h26
Laurent Guyot | Le Matin
Serein, Andy Schleck souligne la performance de Thomas Voeckler et parle du choix à effectuer afin de ramener le maillot jaune à Paris.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/cycl_19.jpg Les frères Schleck, hier, lors de la journée de repos. Andy (à dr.), quatrième au général, a promis d’aider Fränk, deuxième à moins de deux minutes de Thomas Voeckler, si la course le décidait. © Keystone
Andy Schleck, êtes-vous prêt à déboulonner Thomas Voeckler de son trône?
Je ne serais plus sur le Tour de France si j’avais perdu tout espoir. Il m’étonne. Le maillot jaune lui donne des ailes. Je vais déjà voir comment il survit dans les Alpes. Mais pour le moment, Thomas vole et nous n’allons pas le laisser encore partir dans une échappée.
Comment expliquez-vous l’absence de grandes batailles dans ce Tour?
Nous avons passé les Pyrénées avec deux seules arrivées au sommet soit à Luz-Ardiden et le plateau de Beille. Les favoris ne s’expliqueront jamais avant l’ascension finale. Et le niveau est trop serré entre le 1er et le 5e pour espérer effectuer un écart en l’espace de dix kilomètres. Bien sûr, c’était dur. Toutefois, nous n’avons pas roulé à bloc. C’était du stop and go. Mais je vous rassure, il y aura bien une journée où les éclats seront au rendez-vous.
Les arrivées à Gap et à Pinerolo vous inspirent-elles?
A Gap, je ne vois pas comment créer des écarts. La seule possibilité est la chute d’un favori dans la descente menant à l’arrivée. C’est du pareil à Pinerolo avec un facteur risque décuplé. S’il pleut mercredi, je crains le pire. Je ne peux donner du crédit à ASO ( ndlr: Amaury Sport Organisation, société organisatrice du Tour de France) pour un tel final. Je n’espère pas voir le Tour se jouer sur des chutes.
Misez-vous alors plus sur le Galibier que sur l’Alpe-d’Huez?
Les deux étapes sont propices à une course de mouvements. Les ascensions sont longues et nous serons souvent et longtemps à devoir pédaler à plus de 2000 mètres d’altitude. Les trois derniers kilomètres du Galibier sont très pentus et bien plus sélectifs que ceux connus à Luz-Ardiden ou au plateau de Beille.
Qui va attaquer?
Alberto Contador doit le faire s’il veut gagner. Et il n’est pas là pour faire de la figuration. Nous sommes déjà dans les startings pour le suivre.
Etes-vous prêt à vous sacrifier pour votre frère?
Nous savons parfaitement que nous ne pouvons pas gagner les deux le Tour de France la même année. Nous déciderons en fonction de nos sensations. Ce qui n’empêche pas d’affirmer que je suis prêt à me sacrifier pour Fränk. Le but, c’est d’avoir le jaune à Paris, pas de voir deux Schleck sur le podium.
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(http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/andy-schleck-%C2%ABje-suis-pret-me-sacrifier-pour-mon-frere-fraenk%C2%BB#)
Les «vacances» de Cancellara
Sur la terrasse de son «Relais & Château» de Noyons, Fabian Cancellara est plus disponible que jamais. Tantôt moqueur, tantôt sérieux, le Bernois n’a pas manqué de relever les absences répétées des journalistes autour de lui. «Je suis en vacances. Tout le monde me laisse tranquille cette année. Il n’y a ni maillot jaune, ni victoire d’étape. Je suis persuadé qu’ils ont trouvé d’autres histoires plus intéressantes. Je passe un bon Tour car je peux rester dans le bus, «twitter» et rouler pour l’équipe.» Avant d’aller se dérouiller les jambes l’espace d’une petite heure, le porteur d’eau de luxe des Leopard-Trek a refusé, pour l’heure, de parler de succès dans le chrono de Grenoble. «Je me concentre sur le travail à faire pour les Schleck. Nous sommes là pour gagner le Tour, pas un contre-la-montre. Et il y a du boulot. Croyez-moi même dimanche sur la route de Montpellier nous n’étions pas à la fête. Il y en aura encore jusqu’au sommet de l’Alpe-d’Huez. Or nous avons déjà mal aux jambes même si les Pyrénées n’étaient pas aussi dures que lors des précédentes éditions.» Ce qui n’empêche pas le No 1 helvétique d’avoir sa petite idée sur le dénouement de l’épreuve. «Cadel Evans ne fera jamais le spectacle. Il attend le chrono. Ivan Basso roule à son rythme. Alberto Contador revient en forme. Et je m’attends à une belle bagarre entre lui et les deux frères. Quant à Thomas Voeckler, je le vois exploser de la plus belle des façons dans l’Alpe-d’Huez.»
Escrime : les épéistes français sacrés champions d'Europe par équipes
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/138335"] (http://www.lematin.ch/printmail/138335)
AFP - 18. juillet 2011, 20h04
Les épéistes français ont été sacrés champions d'Europe par équipes lundi à Sheffield, huit mois après leur titre mondial sous la verrière du Grand Palais à Paris.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1311012131868-1-0.jpg L'épéiste français Gauthier Grumier lors du championnat d 'Europe à Sheffield le 18 juillet 2011 © AFP
Emmenés par Gauthier Grumier et Jean-Michel Lucenay, qui avaient déjà contribué à l'or mondial en novembre, ils ont battu en finale les Hongrois, double tenants du titre, par 45 touches à 40, pour reconquérir le titre continental qui manquait au palmarès de l'épée masculine française depuis 2008.
Depuis le titre olympique à Athènes en 2004, cette arme restait invaincue dans les grands rendez-vous, JO et Mondiaux, mais avait déserté les podiums continentaux les deux dernières années.
Trois jours après leur déconvenue en individuel vendredi, Gauthier Grumier et Jean-Michel Lucenay, les deux médaillés mondiaux en solo et en quatuor de Paris, se sont bien rattrapés avec l'épreuve par équipes, aidés par les deux bizuths Yannick Borel et Ronan Gustin.
Les épéistes apportent à la France sa troisième médaille de ces Championnats, mais la première en or après les médailles d'argent de Boladé Apithy au sabre et du fleuret masculin.
Au fleuret, les Françaises se sont contentées de la cinquième place après avoir été stoppées en quarts par les Allemandes, médaillées de bronze.
TENNIS
Djokovic surfe avec son chien
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18. juillet 2011, 13h15
LeMatin.ch
2 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/tennis/atp/djokovic-surf-avec-son-chien#comments)
Le numéro 1 mondial serbe a publié une photo de vacances sur son compte twitter où il apprend à son chien à surfer.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/djokovic_1.JPG Djokovic s'amuse avec Pierre, son chien. © DR
"Je ne sais pas qui s'amuse le plus. Moi ou Pierre (ndlr: son chien)? Lui a adoré!" a commenté Djokovic.
Ski
18 juillet 2011 20:15
Pour diminuer le risque de blessures, la Fédération internationale (FIS) va changer la réglementation concernant les dimensions des skis dès la saison 2012/13. Si les skis de slalom ne sont pas touchés et ceux de descente/super-G peu concernés, les modifications concernent surtout les "lattes" de géant. A l'avenir, les géantistes messieurs devront chausser des skis de 195cm minimum (185cm jusqu'ici). Chez les dames, le minimum passera de 180 à 188cm. Et le rayon de courbure sera augmenté. Les skis de géant seront ainsi plus longs, plus étroits et moins taillés, histoire de réduire la force centrifuge.
Divers
18 juillet 2011 20:02
L'équipe de Suisse masculine a été arrêtée en 1/4 aux Championnats d'Europe de Sheffield/ENG. A l'épée, Max Heinzer, Benjamin Steffen, Fabian Kauter et Florian Staub ont été éliminés par le champion du monde en titre, la France. Les Helvètes terminent au 6e rang. Têtes de série no8, les épéistes suisses n'ont rien pu faire contre les Français, victorieux 45-34. Le quatuor tricolore était au-dessus du lot, lui qui s'est ensuite offert la médaille d'or en dominant en finale les doubles tenants du titre hongrois (45-40). Depuis 2 éditions, c'est la 1ère fois que la Suisse finit aussi "loin".
;)Superbe étape du tour.........
Un GRAND bravo à Thomas qui conserve le maillot jaune:amoureux::amoureux::content:
Suite ce soir...........:p
Contador: "J'ai été solide, avec de bonnes sensations"
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© ap
Alberto Contador s'est réjoui mardi d'avoir été "solide, avec de bonnes sensations dans les jambes" lors de ses attaques qui ont notamment distancé les frères Schleck dans la 16e étape du Tour.
Contador s'est plaint de douleurs au genou droit dans ce Tour.
"Je suis content, il semble que mes jambes ont répondu un peu mieux. L'essentiel, c'est que j'ai été solide, avec de bonnes sensations dans les jambes. Il reste trois jours de montagne, et il va falloir essayer d'en profiter", a déclaré l'Espagnol à l'arrivée.
"L'important, ce sont mes sensations parce que les écarts avec mes rivaux se font en fonction des jambes. Le plus important, c'est d'avoir obtenu ces écarts avec les jambes, c'est ce qui me motive le plus", a-t-il ajouté.
Le triple vainqueur du Tour (2007, 2009, 2010), qui a devancé de 18 secondes Frank Schleck et de 1:06 Andy Schleck, a toutefois estimé que ses rivaux étaient "les mêmes (...). Rien n'a changé par rapport à hier (lundi)".
"Pour moi, c'était clair dès le début qu'il fallait tenter ma chance, mais je ne savais pas quel résultat j'allais obtenir. (...) Oui, d'une certaine manière j'ai essayé de surprendre un peu".
Interrogé sur une éventuelle alliance de circonstances avec son compatriote Samuel Sanchez, Contador a répondu: "Sans doute, on est très amis, nous sommes deux coureurs qui, dans le contre-la-montre, ne sommes pas supérieurs l'un à l'autre, alors bien sûr que d'une certaine manière ça peut être un grand allié".
:diable:Ben mon dernier mot Cadel Evans......:content::amoureux::amoureux:
Hushovd est le plus fort, Voeckler perd des secondes
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© epa
7S7 mise à jour Le Norvégien Thor Hushovd (Garmin) a remporté la 16e étape du Tour de France au lendemain de la seconde journée de repos de cette 98e édition.
Il a devancé au sprint ses deux derniers compagnons d'échappée: son compatriote Edvald Boasson Hagen (Sky) et son équipier canadien Ryder Hesjedal, 3e à 2 secondes, au terme des 162,5 km entre Saint-Paul-Trois-Châteaux et Gap. L'étape a été parcourue sur un rythme élevé (46,1 km/h de moyenne) malgré la présence d'une pluie battante dans la seconde moitié du parcours. Il s'agit du 2e succès d'étape du champion du monde dans ce Tour après sa victoire dans la 13e étape le 15 juillet à Lourdes.
Derrière les autres échappés, où Dries Devenyns a pris la 9e place à 1:55, l'Espagnol Alberto Contador a attaqué à plusieurs reprises dans le Col de Manse qui précédait l'arrivée. Il a réussi à s'échapper en compagnie de l'Australien Cadel Evans et de l'Espagnol Samuel Sanchez. Evans s'est isolé dans la descente et pris la 11e place à 4:22 devant Contador, 5e à 4:26 et Sanchez. Philippe Gilbert a terminé 15e à 4:44.
Le Français Thomas Voeckler, 18e à 4:44, a conservé le maillot jaune. Evans lui a repris 21 secondes. Il est désormais 2e à 1:45. Le Luxembourgeois Franck Schleck est 3e à 1:49. Le grand perdant du jour est Andy Schleck, 32e à 5:32. Il se retrouve 4e à 3:03. Contador est 6e à 3:42.
Un Contador qui est passé à l'attaque dans le col de Manse, à quelque 17 kilomètres de l'arrivée, pour reprendre du temps à ses rivaux. Sous la pluie battante, le vainqueur sortant n'a été accompagné que par l'Australien Cadel Evans et par l'Espagnol Samuel Sanchez. Evans a pris les devants dans la descente pour précéder ses deux compagnons de 3 secondes sur la ligne d'arrivée, au terme des 162,5 kilomètres.
Le Luxembourgeois Andy Schleck, qui n'avait pu suivre Contador et Evans dans la montée, a été distancé plus encore dans la descente. Il a perdu près d'une minute sur ses rivaux directs. Voeckler a limité la perte de temps à une grosse vingtaine de secondes sur Evans, désormais deuxième du classement général à 1 min 45 sec du Français. Pour le gain de l'étape, Hushovd a réglé ses deux compagnons d'échappée, son compatriote Edvald Boasson Hagen et son coéquipier canadien Ryder Hesjedal.
Déjà vainqueur à Pau de la 13e étape, Hushovd a signé son deuxième succès depuis le départ, son dixième dans le Tour dont il a porté à plusieurs reprises le maillot jaune. La course a commencé à se dénouer seulement après les deux premières heures, marquées par une succession d'attaques (48,9 km/h de moyenne). Un groupe de dix coureurs (Boasson Hagen, Hushovd, Roy, Hesjedal, Ignatyev, Devenyns, Grivko, Marcato, A. Perez, Martin) a fini par trouver l'ouverture et le peloton a laissé faire, hormis la contre-attaque d'un trio (Jeandesboz, Mollema, Dumoulin).
Au pied du col de Manse, la principale difficulté du jour classée en deuxième catégorie, le Russe Mikhail Ignatyev a pris les devants à 21 kilomètres de l'arrivée. Mais il a été rejoint et dépassé par Hesjedal qui a basculé au sommet avant Boasson Hagen et Hushovd, lesquels l'ont rejoint dans la descente. Au classement général provisoire, Contador pointe désormais à 3 min 42 sec de Voeckler et à 1 min 57 sec d'Evans, le mieux placé des favoris.
L'oncle d'un coureur retrouvé mort sur le Tour de France
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Patrick Guay est l'oncle du coureur de l'équipe belge Quick Step. © getty
7S7 mise à jour Un technicien-chauffeur de 59 ans, employé d'un sous-traitant de la société organisatrice du Tour de France, et également oncle du coureur Jérôme Pineau, a été retrouvé mort mardi vers 6H00 à Gap (Hautes-Alpes), aux abords immédiat de l'arrivée du jour de l'épreuve cycliste, a indiqué le parquet de Gap.
Il s'agit de Patrick Guay, l'oncle du coureur de l'équipe belge Quick Step qui est présent dans le peloton de la Grande boucle 2011, a précisé dans un communiqué l'organisation du Tour en présentant ses condoléances. Le corps a été retrouvé en partie immergé dans la rivière la Luye, selon le parquet.
Le substitut du procureur de la République de Gap, Rémy Avon, qui s'est rendu sur les lieux, a ouvert une enquête judiciaire pour tenter de déterminer les causes et les circonstances de ce décès. Patrick Guay, qui a été retrouvé près de son camping-car, accomplissait son 27e Tour de France, a indiqué l'organisation du Tour. Il était passionné de cyclisme, lui-même ancien coureur à la fin des années 1970.
Les camions des chaînes de télévision sont stationnés depuis lundi sur les bords de la Luye, au site de la Blâche, à Gap, à proximité de l'arrivée de la 16e étape du Tour de France entre Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme) et le chef-lieu des Hautes-Alpes. .
Frank Schleck: "On ne s'attendait pas à une attaque"
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© afp
Frank Schleck a reconnu mardi que lui et son frère Andy "ne s'attendaient pas à une attaque des leaders", dont Alberto Contador, qui les a distancés respectivement de 18 secondes et de 1:06 à l'arrivée de la 16e étape du Tour de France.
"Très franchement, on ne s'attendait pas une attaque des grands leaders, des favoris. C'est bien vu, il faut le dire. Il y a aussi Bjarne (Riis, leur ancien manager) qui sait qu'on n'aime pas trop le froid et la descente était dangereuse. Chapeau à eux, ils ont fait un bon coup", a reconnu l'aîné des frères luxembourgeois.
"Bien sûr, on s'attendait à une autre journée mais c'est comme ça. Ce n'est pas une tragédie. Nous, on reste sur notre chemin, on reste concentré. Il ne faut pas ne pas perdre de temps, il nous faut en gagner", a-t-il ajouté.
Son frère Andy Schleck a estimé que l'écart "ne veut rien dire".
En concédant qu'il ne s'est pas "senti super" quand Contador a attaqué dans le col de Manse, il a ajouté que "le Tour n'est pas fini, il a juste commencé".
"Je suis en forme dans la montagne, je suis affirmatif. Je l'ai montré, je vais continuer à le montrer. Je garde le moral, je serais là", a-t-il assuré.
"Hamilton manque d'humilité et de maturité"
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Nigel Mansell n'arbore plus la moustache d'antan mais ne manque pas de piquant lorsqu'il s'agit de s'exprimer sur le monde de la F1 et en particulier sur Lewis Hamilton. © photo news
L'ancien champion du monde Britannique Nigel Mansell
n'a pas épargné Lewis Hamilton. Dans une interview accordée à F1 Racing, Mansell a estimé que le pilote McLaren manquait de maturité. Une petite pique survenue suite à la déclaration douteuse d'Hamilton, qui avait associé sa double pénalité à Monaco à sa couleur de peau.
"Lewis n'est pas mature et il n'a pas la tête sur ses épaules. Je pense qu'il doit se calmer car le récent épisode de Monaco n'était pas nécessaire et n'était pas très flatteur, tant pour lui que pour la Formule 1. En revenant sur cette course, son style de pilotage était très mauvais et Lewis n'avait aucun respect pour ses adversaires," a déclaré Mansell.
"Dire que les dépassements sont impossibles à Monaco, eh bien... J'ai moi-même dépassé plusieurs fois à la sortie du tunnel. Mais ensuite tenir de tels propos au sujet des commissaires, c'était consternant. J'étais très déçu et il doit se rappeler qu'il a été un champion du monde. Il devrait donc agir en conséquence et de manière appropriée en tout temps."
"Lewis, tout comme Jenson Button, ont été de grands champions du monde, et il est vraiment fantastique de les voir dans la même équipe. Mais pour moi, Jenson peut compter sur ce petit plus de maturité."
Tour de France
Le Tour "déjà réussi" de Thomas Voeckler
18.07.2011 17:05 - mise à jour: 19:11 http://www.tsr.ch/2011/07/18/16/13/3275627.image?w=480&h=270 "Ti-Blanc" a pris la pause lors de la journée de repos à Valence. [Christophe Ena - Keystone]
Héros de cette deuxième semaine sur les routes du Tour de France, Thomas Voeckler est décidé à aller au bout de sa souffrance pour conserver son maillot jaune. Mais l'Alsacien est convaincu qu'il ne le gardera pas indéfiniment.
Thomas Voeckler a estimé son Tour de France "déjà réussi" pour lui et pour l'équipe Europcar, lors de la seconde journée de repos de la course dont il porte le maillot jaune. "On n'aurait jamais espéré avoir le maillot jaune pendant autant de temps", s'est enthousiasmé l'Alsacien de 32 ans, qui a répondu aux médias, une heure durant, dans la cour de son hôtel à Valence.
Estimez-vous toujours vos chances de victoire finale à zéro?
Thomas Voeckler: Sincèrement oui. Comme tout le monde en parle, je me demande si c'est moi qui ai raison de ne m'accorder aucune chance ou vous qui avez raison d'en parler. http://www.tsr.ch/2011/07/18/17/02/3275663.image?w=230&h=165 L'Alsacien tient à sa tranquillité et savoure un moment de lecture bien mérité. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/18/17/02/3275663.image?w=418&h=300)Depuis 2004, où j'ai eu la chance d'être sous le feu des projecteurs, je sais comment ça marche, ça fait du bien en France de penser qu'un Français peut gagner le Tour. Mais je suis certain de ne pas être celui-là.
Comment vous sentez-vous?
Thomas Voeckler: Beaucoup mieux qu'après l'étape du Plateau de Beille. J'ai passé une bonne nuit. Hier (ndlr: dimanche), j'étais dans un sale état. Si ça avait été une étape de montagne, j'aurais fini à un quart d'heure.
Et la fatigue psychologique?
Thomas Voeckler: Heureusement, j'ai vécu 2004. On gère beaucoup plus qu'à l'époque, pour moi et encore plus le staff. La ligne franchie, je préférerais me doucher et aller à l'hôtel avec les collègues... Mais on ne peut pas tout avoir. (ndlr: La médiatisation) c'est un passage obligé. En 2004, j'étais content qu'on s'intéresse à moi. Là, je mentirais si je disais que je prends énormément de plaisir, ça fait partie du métier.
Ressentez-vous la pression?
Thomas Voeckler: Je ne suis pas là pour gagner le Tour. On arrive dans les Alpes, c'est le moment pour les coureurs qui sont là pour gagner le Tour. Moi, j'ai juste une obligation morale envers mes coéquipiers qui ont tout donné, l'obligation d'aller au bout de ma souffrance. Et, quand ça ne marchera plus, ça ne marchera plus... Si je perds le maillot demain, ça ne m'empêchera pas d'être tranquillement chez moi, lundi, avec mon épouse et mes enfants.
Cadel Evans détient les clés
Qui a la clé du Tour?
Thomas Voeckler: Pour moi, c'est Evans, à cause de sa supériorité dans le contre-la-montre.
Au Dauphiné, vous aviez perdu moins de deux minutes sur Evans...
Thomas Voeckler: J'étais très mal parti. Brajkovic m'a rattrapé à 20 kilomètres de l'arrivée, j'ai réussi à finir avec lui en point de mire. Je suis très nul en contre-la-montre. Si j'ai un objectif devant moi, j'arrive à faire beaucoup mieux. Mais je pense qu'Evans sera plus fort (ndlr: au Tour) qu'au Dauphiné.
Et vous-même?
Thomas Voeckler: Je me suis surpris au Plateau de Beille. J'espère être meilleur qu'au Dauphiné sachant que d'ici là (ndlr: samedi), j'aurai peut-être 'craqué' un grand coup...
http://www.tsr.ch/2011/07/18/16/54/3275676.image?w=230&h=165 Voeckler sait ce qu'il doit au travail de ses coéquipiers à l'image de Pierre Rolland. Pour eux, il ira au bout de sa souffrance. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2011/07/18/16/54/3275676.image?w=418&h=300)Le regard des autres a-t-il changé sur vous?
Thomas Voeckler: Je ne sais pas, je m'occupe de moi.
Regrettez-vous d'avoir autant couru en début de saison?
Thomas Voeckler: Je me demande comment j'arrive à faire cela. J'ai beaucoup couru. En tout et pour tout, j'ai fait une semaine sans vélo après les Quatre Jours de Dunkerque. J'en ai profité pour tout remettre en ordre chez moi pour l'arrivée de la petite (ndlr: son deuxième enfant). Mais je ne regrette pas. Ce que j'aime, c'est la compétition. Je fais du vélo à ma façon, comme j'aime. Chacun a son approche. Et puis je suis déjà parti de la maison 170 jours dans l'année. Pour des courses, d'accord, pour le reste...
"Ces moments-là, on ne nous les enlèvera pas"
Votre équipe?
Thomas Voeckler: On a un très bon groupe qui s'entend super bien. Il peut y avoir des petits coups de gueule, l'essentiel est de les régler. Il y a une grosse différence entre faire son travail parce qu'on doit le faire et parce qu'on en a envie. Les gars ont très envie, ils donnent le meilleur. Ces moments-là, on ne nous les enlèvera pas.
Que faudrait-il pour gagner le Tour?
Thomas Voeckler: Je ne sais pas... il faudrait que j'ai le maillot jaune à Créteil (ndlr: départ de la dernière étape) !
Que pensez-vous de l'inquiétude des "grands" à votre égard?
Thomas Voeckler: La question montre très bien que je ne suis pas comme eux (ndlr: un grand)! Je vais essayer de suivre. Si justement ils sont grands et moi petit, ils n'ont pas à être inquiets...
afp/lper
Divers
19 juillet 2011 20:57
Le Français Pierre Jonquères d'Oriola, double champion olympique de saut d'obstacles (1952/1964), est décédé à son domicile. Il était âgé de 91 ans. Descendant d'une famille anoblie sous Louis XV, le cavalier avait failli manquer les JO de 1952 à Helsinki à cause de rapports tendus avec la Fédération française. En Finlande, il avait conquis l'or individuel en selle sur Ali Baba. Douze ans plus tard, le cavalier catalan, montant Lutteur B, avait offert à la France, le 24 octobre 1964, sa seule médaille d'or des JO de Tokyo, ce qui lui avait valu les félicitations appuyées du président de la République, Charles De Gaulle.
JO 2022
La Suisse centrale n’est plus candidate
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20. juillet 2011, 11h08
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.lematin.ch/sports/jo-d%E2%80%99hiver-2022-la-suisse-centrale-n%E2%80%99est-plus-candidate#comments)
Lucerne et la Suisse centrale ne sont plus intéressées par une éventuelle candidature pour les JO d’hiver de 2022 selon la «Neuen Zürcher Zeitung».
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/53674954.JPG Le lac des Quatre-cantons © Keystone
La Suisse centrale n’est pas en mesure d’accueillir un événement international de cet ampleur, affirme la porte parole de «Luzern Tourismus».
Les Grisons (Davos/St-Moritz), Genève et le Valais demeurent donc seuls en lice pour une candidature. Ces régions auront l’occasion de s’exprimer devant le comité exécutif de Swiss Olympic lors d’une séance le 11 août.
L’exécutif de l’organisation faîtière fera ensuite savoir avec quelle région le cas échéant il envisage de déposer une candidature.
Le dernier mot reviendra aux délégués des fédérations membres, qui se prononceront lors d’une séance extraordinaire au printemps 2012.
Les JO 2022 seront attribués en 2015.
Richard Virenque pète les plombs en direct (vidéo)
http://static2.7sur7.be/static/photo/2011/16/2/14/20110720103637/media_xl_4289969.jpg
http://static3.7sur7.be/static/photo/2011/12/15/10/20110720103424/media_l_4289965.jpg
© photo news
En 1998, Richard Virenque a longtemps nié son implication dans l'affaire Festina (scandale de dopage après l'arrestation de Wille Voet, soigneur de l'équipe) avant passer aux aveux. Et quand quelqu'un a le malheur d'évoquer cette période noire de sa vie sportive, l'ex-coureur français sort les crocs. Pas question de plaisanter sur son passé peu glorieux.
"Les mecs comme toi je les encule"
Olivier Bourg, spécialiste des canulars téléphoniques sur Virgin Radio, l'a appris à ses dépens. Ce dernier s'est fait passer pour un producteur des studios Pixar et lui a proposé de doubler la voix de Pinocchio, le menteur par excellence, pour son nouveau film. Ce qui n'a pas vraiment plu à Virenque, c'est un euphémisme. Petit extrait de sa réponse: "T'es un abruti. Les mecs comme toi je les encule et je leur crache à la gueule. Un jour je t'attraperai et je saurai où tu habites et par n'importe quel moyen. Si tu crois que j'ai pas le bras long, je l'ai assez long..." Fin de citation. (mb)
http://www.youtube.com/watch?v=cef8rknkz9I&feature=player_embedded
Je me super marre:D:D:D:fou:
Football
Le Paraguay en finale sans avoir gagné un match
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/139156)
[URL="http://twitter.com/share?text=Le+Paraguay+en+finale+sans+avoir+gagn%C 3%A9+un+match&url=http://www.lematin.ch/sports/football/international/copa-america-le-paraguay-en-finale-sans-avoir-gangne-aucun-match"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/football/international/copa-america-le-paraguay-en-finale-sans-avoir-gangne-aucun-match&t=Le+Paraguay+en+finale+sans+avoir+gagn%C3%A9+un+m atch)
21. juillet 2011, 07h11
LeMatin.ch & les agences
5 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/football/international/copa-america-le-paraguay-en-finale-sans-avoir-gangne-aucun-match#comments)
Le Paraguay affrontera l'Uruguay en finale de la Copa America. Il a battu le Venezuela aux tirs au but mercredi soir. Particularité de l'équipe: elle n'a jamais remporté un match en 90 ou 120 minutes depuis le début de la compétition.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/117750806.JPG Le Paraguay affrontera l'Uruguay en finale de la Copa America © Keystone
Le Paraguay a réussi mercredi soir la performance insolite de se hisser en finale de la Copa America sans avoir remporté le moindre match en 90 ou 120 minutes, battant aux tirs au but le Venezuela (0-0 a.p., 5-3 t.a.b.), pourtant meilleur dans cette demi-finale.
Le gardien et capitaine Villar, déjà héros contre le Brésil au tour précédent (0-0 a.p., 2-0 t.a.b.), a arrêté le tir au but de Lucena et envoyé le Paraguay en finale contre l’Uruguay dimanche au terme d’un cinquième nul d’affilée. Du jamais-vu.
Les Guaranis, qui atteignent la finale de la compétition pour la première fois dans la nouvelle formule de douze équipes créée en 1993, ont l’occasion de décrocher le troisième titre continental de leur histoire (après 1953 et 1979). La Vinotinto, elle, a déjà réussi la meilleure performance de son histoire en se hissant jusqu’au dernier carré du tournoi.
Un miracle
Pour le Paraguay, la belle histoire continue ! La génération Villar avait déjà écrit une page d’histoire en parvenant aux quarts de finale du Mondial-2010, seulement éliminée par l’Espagne, future championne.
Et l’aventure des Guaranis tient du miracle: sur leurs dix derniers matches de compétition, ils n’en ont remporté qu’un (contre la Slovaquie au Mondial-2010) ! Miracle aussi quand on sait que le Venezuela a touché trois fois du bois: une tête de Rosales sur la barre (43e), puis coup sur coup un tir de Maldonado dévié par Fedor sur le poteau (93e) que trouvait ensuite Arango d’un superbe coup franc brossé (96e).
La domination vénézuélienne émergeait ainsi sur la fin, renforcée par l’expulsion de Santana (103e), symbole de Guaranis perdant le fil et leurs nerfs. Il fallait d’ailleurs une prolongation pour donner un peu de souffle à cette rencontre.
Il y en avait pourtant eu en début de partie, histoire de se réchauffer dans la froidure de Mendoza. Ardeurs initiales trompeuses, car le match déclinait ensuite en pente douce. La "discipline" revendiquée par les deux sélectionneurs, Gerardo Martino et Cesar Farias, prévalait sur tout autre aspect, si bien que les défenses prenaient le dessus sur les offensives.
Côté Paraguay, une tête de Veron bien détournée par Vega (8e), et puis plus rien. Les Guaranis jouaient de manière stéréotypée, avec de long ballons devant pour Haedo Valdez, qui s’épuisait dans ces courses vaines. Santa Cruz, le meilleur buteur de l’histoire du Paraguay (25 buts, à égalité avec J. Cardozo), le remplaçait à un quart d’heure de la fin du temps réglementaire pour rester... sept minutes sur le terrain, touché derrière la cuisse.
Le mot d’ordre paraguayen ? Patience. Non pas pour marquer un but, mais pour parvenir à la séance des tirs au but, et Villar fera le reste. L’Uruguay est prévenu.
CYCLISME
Voeckler a vraiment eu de la chance
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20. juillet 2011, 23h01
Laurent Guyot | Le Matin
Victime de deux sorties de route dans la dernière descente, faute de lucidité, le maillot jaune a encore lâché 27’’ aux favoris.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tdf_Keystone.jpg A fond dans la dernière descente de l’étape, Thomas Voeckler a commis deux erreurs qui auraient pu lui coûter très cher. © Keystone
Sa fin de règne approche. Thomas Voeckler le sait. L’avoue et ne perd pas pour autant le sourire. Même si, hier après-midi, le maillot jaune s’est fait deux belles frayeurs.
Loin derrière Edvald Boasson Hagen, étincelant une fois de plus, le chouchou des Français a failli payer de sa personne sa fougue. «Je suis parti à fond les manettes pour gagner des secondes. Et j’en ai perdu encore plus. C’est mon tempérament mais je ne suis pas passé très loin de la correctionnelle. J’ai présumé de mes forces. Je me suis mis en surrégime et, avec le manque de lucidité dû à la fatigue, cela ne pardonne pas dans une descente aussi technique. J’ai eu de la chance, beaucoup même, et c’est pourquoi je ne suis pas déçu par le temps laissé dans l’aventure.»
Contador à l’attaque
L’Alsacien établi en Vendée a plus tremblé lors de sa 2e sortie de route. «Dans le premier virage, je me suis vite aperçu de ma faute mais je n’ai pas sorti le pied. Au lieu de me calmer et de suivre les Schleck et Evans, je me suis remis à la planche. Et là, honnêtement, quand j’ai effectué mon tout droit, je me suis efforcé de faire sauter ma roue avant sur la marche. J’ai fermé les yeux car j’étais convaincu de ne pas y arriver et de finir ma journée dans une ambulance. C’était chaud.»
Offensif, Alberto Contador l’a été aussi. Comme la veille, l’Espagnol est monté aux barricades dans l’ascension de la côte de Pramartino. Son coup de force n’a pas suffi à lâcher les frères Schleck et Cadel Evans.
Mais le Pistolero est reparti de plus belle dans la descente en compagnie de Samuel Sanchez. «Je dois remettre l’ouvrage sur le métier tous les jours et dans toutes les circonstances si je veux gagner ce Tour. Nous sommes tous fatigués et peut-être que cela finira par payer. Même si je n’ai pas pris du temps à Cadel Evans, je suis satisfait, encore une fois, content de ma journée. J’espère disposer des mêmes sensations dans le Galibier et lors de la montée vers l’Alpe-d’Huez.»
Evans défensif
Retardé par la première acrobatie du maillot jaune, Cadel Evans a, lui aussi, tiré un bilan positif de sa journée. «En fait, je n’étais pas assez devant quand Alberto et Samuel sont partis. En sortant de la route, Thomas a, involontairement, mis du désordre dans le groupe des favoris. Je suis parvenu à prendre les roues des Schleck et tout a fini par s’arranger.»
Serein, le chef de file des BMC
sait aussi ce qui l’attend. «Ce n’est pas à moi et à mes équipiers de prendre la course en main. Je serai défensif car je sais que je vais faire l’objet d’attaques incessantes d’ici à l’Alpe-d’Huez.»
INTERVIEW
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/itw_0.jpg EDVALD BOASSON HAGEN Vainqueur de l’étape d’hier
Edvald Boasson Hagen, aviez-vous prémédité votre attaque?
Je suis parti derrière Chavanel afin de pouvoir le contrer. J’avais envie d’être seul pour monter à mon rythme. Je connaissais très bien cette côte car nous avions pris la peine de venir la reconnaître avec l’équipe. Lors de ce stage, je m’étais donné la peine de la faire deux fois et ensuite je l’ai encore regardée à la vidéo.
N’avez-vous pas douté dans cette descente?
J’étais serein car je connaissais tous les virages par cœur. A mon avis, elle est plus technique que dangereuse. En étant seul en tête de la course, j’avais, il est vrai, un avantage. Tout a parfaitement fonctionné et je ne me suis jamais fait peur.
Votre défaite au sprint face à Thor Hushovd, votre compatriote, la veille vous a-t-elle vexé?
Non, j’étais fâché contre moi en raison de l’erreur commise en vue de la ligne d’arrivée. Je voulais ma revanche. Avant le départ de l’étape, nous avions prévu de partir dans l’échappée afin d’être aux premières loges. Je suis très heureux du dénouement car j’ai vraiment d’excellentes sensations depuis le début de la semaine. Même si ce sera une autre histoire dans le Galibier et dans l’Alpe-d’Huez. Je vais encore être transcendé par tous les supporters norvégiens venus nous encourager.
;)Beaucoup de chance....tant mieux. A mon avis il va perdre le maillot dans l'étape de la journée....
Cyclisme
Boasson Hagen vainqueur, Voeckler toujours en jaune
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20. juillet 2011, 17h32
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.lematin.ch/actu/tour-de-france-boasson-hagen-remporte-la-17e-etape-voeckler-reste-en-jaune#comments)
Le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky) a remporté en solitaire, mercredi, la 17e étape du Tour de France qui est arrivé en Italie, dans la ville de Pinerolo.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/norvégien%20à%20vélo_0.JPG Le Norvégien Edvald Boasson Hagen (SKY) remporte la 17e étape du Tour de France. © Keystone
Le Français Thomas Voeckler (Europcar) a conservé le maillot jaune de leader, malgré une sortie de route dans la dernière descente.
L’Espagnol Alberto Contador a attaqué dans la dernière côte, Pramartino, au seuil des 11 derniers kilomètres, sans réussir à distancer ses adversaires.
Dans la descente, le triple vainqueur du Tour a pris les devants avec son compatriote Samuel Sanchez, mais le duo a été rejoint dans les derniers hectomètres par ses principaux adversaires, Evans, Andy et Frank Schleck.
Sortie de route pour Voeckler
Voeckler, qui a pris des risques dans cette descente très raide, a fait une sortie de route sans gravité, dans la cour d’une maison sur le bord de la route, après avoir échappé de peu à la chute une première fois.
Le Français a concédé une petite trentaine de secondes à ses suivants au classement général.
Pour le gain de l’étape, Boasson Hagen a devancé de 40 secondes le Néerlandais Bauke Mollema.
Le Français Sandy Casar a pris la troisième place, à 50 secondes, devant deux compatriotes, Julien El Fares et le champion de France Sylvain Chavanel.
Parcours ensoleillé
Sur ce parcours ensoleillé de 179 kilomètres, une échappée de 14 coureurs a fini par trouver l’ouverture après un début de course tambour battant (53,1 km dans la première heure).
De ce groupe, l’Espagnol Ruben Perez est sorti dans la montée de Sestrière, à 64 kilomètres de l’arrivée. Le Basque a effectué la descente mais a buté sur la dernière montée, la côte de Pramartino.
Chavanel l’a rejoint le premier avant que Boasson Hagen contre à 11 kilomètres de l’arrivée et se dirige vers son deuxième succès personnel, après celui obtenu à Lisieux (6e étape).
Deuxième victoire norvégienne
Deuxième la veille à Gap derrière le champion du monde Thor Hushovd, Boasson Hagen a signé la deuxième victoire norvégienne en deux jours, la quatrième pour son pays depuis le départ de l’épreuve.
Agé de 24 ans, le prodige norvégien dispute le Tour pour la deuxième fois.
Au classement général provisoire, Voeckler ne compte plus que 1 min 18 sec d’avance sur l’Australien Cadel Evans.
Contador: "Les Schleck sont collés à moi"
http://static3.7sur7.be/static/photo/2011/15/12/10/20110720215311/media_xl_4290880.jpg
© afp
L'Esapgnol Alberto Contador, qui a tenté en vain de distancer ses principaux rivaux au classement général dans la descente très raide de Pramartino, proche de l'arrivée, a expliqué avoir fait une descente dangereuse mais contrôlée.
"Ca n'a pas été tellement risqué, c'était une descente dangereuse, mais j'ai toujours contrôlé, sans dépasser les limites (...) Derrière, il y avait beaucoup de coureurs et il leur a été facile de revenir, mais l'important c'est d'essayer tous les jours".
Les frères Schleck?: "Ils sont collés à moi, mais je fais ma course et c'est tout". Les secondes prises mercredi à Voeckler sont "un gain très, très précieux parce que c'est un très grand coureur, qui s'est défendu de façon incroyable dans les Pyrénées", et "la moindre avance qu'on lui enlève est importante".
L'étape de jeudi est la plus importante des deux prochaines, "pour sa difficulté, mais la dernière partie du Galibier est très ouverte, et les pourcentages pas trop élevés, tout dépendra d'où vient le vent".
L'Alpe d'Huez, vendredi? "Courte, mais explosive", mais pour Contador, "sans aucun doute, la plus dure, c'est celle de demain".
:diable:Hooooooooo Contador, à toi de décoller faut pas déconner non plus.
Voeckler: "Je ne pense pas pouvoir suivre demain"
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© epa
http://static1.7sur7.be/static/photo/2011/10/11/5/20110720175532/media_l_4290590.jpg
© afp
Le Français Thomas Voeckler, leader au classement général du Tour de France, a de nouveau perdu quelques secondes mercredi à l'issue de la 17e étape entre Gap et Pinarolo, en Italie.
"Chaque jour, je perds un peu de temps. Heureusement, j'avais pas mal d'avance," a expliqué Voeckler. "Je suis sorti trois fois. J'ai eu beaucoup de chance (lors de la sortie dans une cour). S'il y a un mur en face, je ne peux pas m'arrêter. Le VTT, ce n'est pas ma spécialité. Si ma femme a regardé, je vais me faire engueuler! Je connaissais la descente par vidéo et les copains d'AG2R m'en avaient parlé. Mais j'ai basculé en tête et j'ai essayé de prendre de l'avance. J'ai voulu forcer un peu. Si j'avais fait un peu moins le chien fou... Après, on perd en confiance. Si je prends un peu moins de risques, je termine avec Evans et les autres. J'ai présumé un peu de mes moyens dans la descente et ça ne pardonne pas. Vingt-six secondes, ce n'est pas cher payé, cela aurait pu être une clavicule. Dans la dernière ascension, j'ai réussi à suivre. Demain (jeudi), ce sera plus dur de suivre. Je ne pense pas pouvoir suivre les 'collègues' dans le Galibier."
Andy Schleck: "Le Galibier, l'étape décisive"
http://static2.7sur7.be/static/photo/2011/7/13/1/20110720192733/media_xl_4290796.jpg
© belga
Andy Schleck a estimé mercredi que l'étape de jeudi sera "l'étape décisive" pour la victoire finale dans le Tour de France et a cité Cadel Evans, Alberto Contador et Samuel Sanchez comme ses principaux rivaux.
"Demain (jeudi) sera l'étape décisive. J'espère que ce ne sera pas une course d'attente jusqu'au dernier col, mais on ne sait jamais. Le Lautaret c'est plat, s'il y a le vent, ça peut être un désavantage (pour un coureur seul). C'est 210 kilomètres, et on monte trois fois au-dessus de 2500 mètres (deux fois, ndlr). Ca va être l'étape du Tour", a estimé le Luxembourgeois.
"Je m'attends au pire! Ca va être une étape très dure et palpitante pour le cyclisme et le Tour de France. On est dans les derniers jours et tout reste ouvert", a confirmé son frère Frank.
"On est encore deux leaders" dans l'équipe Leopard", a assuré l'aîné, troisième du général, qui devance son frère cadet (4e) de 1 min et 14 sec au classement général à quatre étapes de la fin du Tour.
Andy Schleck a affirmé s'être senti "bien" mercredi, après avoir perdu 1 min 18 sec sur Contador la veille. "Je me sentais bien dans la montagne et plus à l'aise dans la descente", a-t-il souligné, avant de fustiger une descente finale "très dangereuse"..
CYCLISME
Le grand numéro d'Andy Schleck
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21. juillet 2011, 23h03
Laurent Guyot | Le Matin
Parti à 60 km de l'arrivée, le Luxembourgeois s'est payé le luxe de gagner en solitaire pour se rapprocher à 15'' du maillot jaune.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/andys.jpg Seul face à la pente et à la foule, Andy Schleck a été impressionnant hier dans les Alpes. © Keystone
Même le grand Eddy Merckx, quintuple vainqueur de l'épreuve, l'a reconnu au sommet du Galibier, plus haute arrivée jamais jugée en... 98 éditions. «Ce genre d'étape fait l'histoire du cyclisme. Andy Schleck s'est imposé à l'ancienne. Avec cet exploit, il a donné de la grandeur au Tour.»
Le Cannibale ne s'est pas trompé. Cette 18e étape figurera en bonne place dans les annales grâce à une odyssée d'un autre temps. Celle d'Andy Schleck, montré du doigt au même titre que son équipe Leopard-Trek, en raison d'une tactique pour le moins discutable adoptée sur son terrain de prédilection. Mais aussi à cause de cette nouvelle défaillance d'Alberto Contador, dans le final, qui lui enlève ses chances de gagner un quatrième maillot jaune.
Parti tout seul à 5 km du passage de l'Izoard, le cadet de la famille Schleck a trouvé les moyens de résister à la chasse engagée par Cadel Evans, suivi comme son ombre par Thomas Voeckler. Suspense, frissons et émotions ont rythmé l'une des plus belles étapes courues depuis longtemps sur les routes de l'Hexagone. Et où 87 coureurs ont aussi bénéficié de la clémence du jury des commissaires pour ne pas devoir rentrer à la maison. En effet, les Cavendish, Cancellara et Millar sont arrivés avec un retard de 35'40", soit 2'23" au-delà des délais fixés à 33'17".
Désigné comme épouvantail, avant même le début de l'épreuve, le Galibier a tenu son rang. Le mérite en est revenu à un homme et à l'équipe Leopard, venus pour gagner le Tour. Andy Schleck n'a pas boudé son plaisir lors du passage de la ligne avant de s'écrouler dans les bras de Johnny, son papa ému aux larmes. «Je ne suis pas venu pour terminer encore deuxième du Tour. Je l'avais dit au départ et lors des jours de repos. Et ce matin je m'étais adressé à l'équipe. Je suis parti en me disant: ça passe ou ça casse. Je me suis arraché dans le final pour conserver un maximum de secondes. Je n'ai pas souvenir d'avoir autant souffert sur un vélo.»
La bravoure d'Evans
Privé du maillot jaune pour quinze secondes, le héros du jour a relativisé sa déception. «Bien sûr, j'aurais volontiers pris le maillot, mais c'est à Paris que je désire le porter. Il y a encore du travail avec la montée de l'Alpe-d'Huez et le chrono. Je ne suis ni fâché ni déçu. J'ai encore deux jours pour y parvenir, même si je ne suis pas le seul à le vouloir.»
A commencer par Cadel Evans, lui aussi auteur d'un morceau de bravoure, qui a assumé ses responsabilités dans un final à couper le souffle. «Je me suis battu de toutes mes forces afin de ne pas perdre le Tour aujourd'hui. Je n'ai pas compris les attitudes des équipes comme Euskaltel et Europcar dans notre chasse entre l'Izoard et le début du final. Désormais les frères Schleck sont bien placés pour la victoire finale. Et le contre-la-montre ne sera pas simple. Avec toute la fatigue accumulée, reprendre entre une et deux minutes tiendra de la gageure.»
;)heeehee l'ai dit et je maintien Cadel Evans va gagner le tour, un super Schleck...
Foutu pour Contador, navré pour toi Indorae:p:D:DBises quand même:amoureux::amoureux::)
ATHLÉTISME
Usain Bolt ne plaisante pas
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21. juillet 2011, 22h22
Gaëlle Cajeux | Le Matin
Le Jamaïcain n'est pas prêt à se laisser devancer, mais il assure toutefois que son record de 9''58 est trop loin pour lui cette saison.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/usainbolt.jpg Usain Bolt: «On ne peut pas attendre un record du monde à chaque fois.» © Keystone
Usain Bolt qui déboule le premier, puis attend l'arrivée, quelques instants plus tard, de Christophe Lemaitre. Face aux médias, le Jamaïcain et le Français s'accordent à le dire, plus ou moins implicitement: cette scène se répétera sur la piste du meeting Herculis de Monaco. Après leur confrontation sur 200?m à Paris et la victoire du premier, les deux hommes se retrouvent ce soir pour un duel sur 100?m (21?h?40).
Avec des ambitions diverses. Le champion d'Europe espère y réaliser «la meilleure perf' possible» - se rapprocher voire battre son record de France (9''95). L'homme le plus rapide du monde entend gagner. «J'aime courir avec Christophe, car il a de plus en plus confiance en lui, remarque Usain Bolt. Mais je serai toujours au moins deux appuis devant lui... ( Les deux rient.) Evidemment je veux gagner, donc je vais donner le meilleur de moi. Je n'ai jamais couru ici, mais j'ai vu que la piste était très rapide. Si j'exécute parfaitement les gestes travaillés à l'entraînement, il y aura un bon résultat à la fin. Mais, encore une fois, mon objectif principal, ce sont les championnats du monde.»
L'or visé à Daegu
A Daegu, fin août, Usain Bolt traquera la médaille d'or, pas le record. «Pour moi, l'essentiel n'est pas de faire de grand chrono - c'est bien quand ça arrive -, mais c'est une question de technique. Si tu fais bien les choses, le temps suit. L'important est d'être là dans les moments-clés, sur les grands championnats. Peu importe que je coure en 10'' ou en 9''5, l'important est d'être devant les autres.» Le Jamaïcain ne s'en cache pas. Freiné dans sa préparation par des problèmes de dos, il n'est actuellement pas au niveau qu'il souhaiterait. «Donc je continue de travailler, de progresser. Si je parviens à courir en 9''6-9''7 cette saison ( il en est pour l'heure à 9''91 ), je serai très heureux.»
Mais, à Daegu, le monde l'attend, le rêve dans son temps record. «9''58, ce n'est pas une plaisanterie! rétorque-t-il. Je ne vais pas me mentir à moi-même et me dire: oui je peux y arriver. Si je dis que je ne suis pas dans cette forme-là, il faut bien comprendre que je sais que j'aurai du mal à atteindre cette performance. Bien sûr je travaille et je sais que je vais progresser, atteindre de grande vitesse. Mais on ne peut pas attendre un record du monde à chaque fois, ce n'est pas aussi évident que cela.»
La star Lemaitre
La star a bien une idée pour devenir définitivement supersonique. Quelque chose à «piquer» à un autre athlète. «Si je pouvais prendre le départ d'Asafa (Powell). Si j'avais sa faculté à bondir des starting-blocks, alors... ce serait terminé...» Et que prendrait Christophe Lemaitre à Usain Bolt? Le Français ne voit rien à répondre. «Médiatiquement en tout cas, je n'aimerais pas avoir sa célébrité, parce que je ne pourrais plus sortir de chez moi, et moi j'aime bien être tranquille. C'est bien que ce soit lui la star.» Usain Bolt: «Je peux vous dire que Christophe est déjà une star, surtout à Paris, et il le sera d'autant plus à l'avenir.» Et de se tourner vers lui: «Tu as intérêt à t'y faire. Et si tu ne veux vraiment pas être une star, ne cours pas vite!»
tennis
George Bastl: «Les tournois de Suisse sont mes Grands Chelems»
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21. juillet 2011, 21h30
Gaëlle Cajeux | Le Matin
Très médiatisé l'an dernier à Gstaad, à la faveur d'une imposante barbe et de son double avec Dustin Brown, George Bastl a ensuite disparu. Alors, à 36 ans, que devient le Villardou?
(http://www.lematin.ch/sports/tennis/%C2%ABles-tournois-de-suisse-sont-mes-grands-chelems%C2%BB#)1 / 2
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/bast2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/%C2%ABles-tournois-de-suisse-sont-mes-grands-chelems%C2%BB#) Hier le look mousquetaire © Laurent de Senarclens
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/bast1.jpghttp://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/black.gif (http://www.lematin.ch/sports/tennis/%C2%ABles-tournois-de-suisse-sont-mes-grands-chelems%C2%BB#) 2010 le look homme des bois © Jean-Guy Python
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/bast2.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/%C2%ABles-tournois-de-suisse-sont-mes-grands-chelems%C2%BB#)http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440_thumb/stories/bast1.jpg (http://www.lematin.ch/sports/tennis/%C2%ABles-tournois-de-suisse-sont-mes-grands-chelems%C2%BB#)
Vous venez d'atterrir en Suisse. Vous rentrez d'un tournoi?
Non, je me suis entraîné quelques jours au Centre ATP de Monaco, pour me préparer au mieux pour Gstaad ( l'Open de Gstaad débute dimanche).
Vous allez y disputer le double, comme l'an dernier?
Oui, je vais essayer de le jouer. Mais ça dépendra un peu avec qui et, surtout, si j'obtiens une wild card ou pas. Prioritairement, je vais à Gstaad dans l'espoir d'obtenir la troisième wild card attribuée en simple.
Lors de l'édition 2010, votre look avait beaucoup fait parler de vous. Ensuite plus rien. Qu'avez-vous fait durant l'année écoulée?
J'étais le premier étonné que ma barbe intéresse autant. Mais on a aussi pas mal parlé du double avec Brown. J'en ai de très bons souvenirs. Il y avait eu une bonne symbiose avec le public. Après Gstaad, j'ai continué à jouer, mais pas autant que je l'aurais souhaité. J'ai été confronté à des problèmes physiques. C'était soit je me faisais opérer du genou, avec le risque assez important de devoir m'arrêter définitivement, soit je me laissais du temps pour récupérer. Alors ça m'a empêché d'enchaîner des tournois à un rythme effréné. J'ai joué partiellement, quand ça allait mieux et aussi quand mon classement me permettait d'entrer dans les tournois. C'est pour ça que j'ai peu eu l'occasion de jouer.
Du coup, vous êtes retombé au 781e rang du classement ATP. N'avez-vous jamais été découragé, au point de vouloir arrêter?
Non, ma passion du tennis est toujours aussi forte. Ce qui me motive, c'est l'envie de gagner un tournoi sur sol suisse. C'est pour ça que je me réserve un maximum pour Gstaad et Bâle. Pour moi, ce sont vraiment mes Grands Chelems de l'année.
Pensez-vous vraiment pouvoir gagner l'une de ces compétitions
Aujourd'hui, si je bénéficie de la wild card en simple, j'ai l'intime conviction que je vais être la surprise du tournoi de Gstaad. Chacun habite dans ses rêves et ses ambitions. Moi, c'est ce qui me donne envie de m'accrocher, de m'entraîner et de jouer. Il suffit de pas grand-chose pour améliorer mon classement. Vu où je suis, la marge de progression est d'autant plus grande.
Mais il vous faut galérer sur des Challengers pour grappiller des points.
Je sais qu'il n'y a pas trente-six mille chemins, c'est par là que je dois passer et je le fais. Vraiment ça ne me gêne pas de devoir faire des qualifs de Challengers. Bien sûr, c'est difficile. Mais je ne joue pas au tennis pour être dans le luxe, loger dans de grands hôtels et jouer devant des centraux pleins. Les dimensions d'un terrain sont les mêmes partout dans le monde. Ça ne change rien par rapport à mon envie ou mon ego.
Après avoir goûté aux grands matches, comme votre victoire sur Sampras à Wimbledon en 2002, n'y a-t-il pas de frustration?
C'est une philosophie de vie. Pour moi, ce qui est passé est passé. Et je suis en train de tout faire pour reproduire quelque chose de similaire. Je ne me pose pas ce genre de question. Le fait de ne pas avoir pu jouer pendant un certain temps m'a permis de beaucoup penser à mon tennis. Avec le recul, je me rends compte que, malheureusement, j'ai eu de mauvais entraîneurs au début de ma carrière, et ça m'a empêché de progresser. Ensuite, c'est difficile de changer les mauvaises habitudes. Maintenant j'essaie d'évoluer, techniquement, tactiquement. Progresser en tant que joueur fait aussi partie de ma motivation.
Russie 2014
La chronique de Seb
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21. juillet 2011, 21h22
Sébastien Buemi | Le Matin
Dans l'intimité de Sébastien Buemi, pilote suisse de F1
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/BUEMI_0.jpg «Sotchi, c'est top!» © Audemars Piguet
Bonjour à tous.
Depuis le Grand Prix d'Angleterre, je suis allé à Sotchi, en Russie, le week-end dernier, pour une démonstration destinée au public russe. Comme il y aura un grand prix là-bas en 2014, les organisateurs voulaient sensibiliser les habitants à ce que c'est qu'une formule 1. Les Russes n'en avaient jamais vu.
Red Bull était donc sur place avec les écuries Renault et Virgin, pendant que McLaren et Ferrari étaient à Moscou. A Sotchi, c'était fantastique, plus de 100 000 personnes sont venues nous voir. Nous avons roulé au milieu des rues, il faisait un temps superbe, très chaud, et j'en garde un très bon souvenir. Nous avons même pu visiter les travaux du futur circuit, qui sera intégré au complexe qu'ils sont en train de construire pour les futurs Jeux olympiques d'hiver.
Lundi, je suis rentré à Monaco, et mercredi, je suis venu ici, au Nürburgring. C'est un circuit que j'adore, j'y ai de magnifiques souvenirs. J'ai gagné ici en formule BMW et en formule Renault, et j'ai terminé sur le podium en formule 3. Et puis il faut bien admettre que ce circuit, c'est un peu la Mecque du sport automobile. Tout ici respire
la course, des restaurants aux rues du village. Bien sûr, je compte profiter de la météo, toujours incertaine dans ces montagnes, pour finir dans les points. Il devrait pleuvoir pendant tout le week-end, et il faudra vraiment que je fasse le maximum. C'est tout particulièrement important en ce moment, avant la pause estivale du mois d'août. Dimanche, ne perdez pas de vue ma Toro Rosso No 18...
A bientôt.
automobilisme
Ferrari est sur la bonne piste
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21. juillet 2011, 21h12
Luc Domenjoz | Le Matin
Après sa victoire de Silverstone, il y a quinze jours, la Scuderia a retrouvé le moral des vainqueurs.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/f1_65.jpg Pour Ferrari et Alonso, les résultats devraient être meilleurs en deuxième partie de saison. © Keystone
Le début de saison 2011 de Ferrari a été calamiteux. Après des semaines pendant lesquelles les ingénieurs ne comprenaient pas ce qui se passait, il s'est avéré que la soufflerie de Maranello était mal calibrée et donnait de fausses indications sur les appuis aérodynamiques des pièces testées dans son tunnel.
Du coup, le châssis 150° Italia ne générait pas les appuis nécessaires, et ses pilotes ont connu un début de saison très difficile. Aujourd'hui, à l'heure où la saison 2011 entame sa deuxième moitié, Fernando Alonso compte déjà 92 points de retard sur Sebastian Vettel, l'équivalent de trois victoires et une deuxième place!
Même si tout reste mathématiquement possible, il sera sans doute difficile à l'Espagnol de jouer le titre. Chez Ferrari, on ne baisse pourtant pas les bras. Le mauvais calibrage de la soufflerie a désormais été corrigé, et le directeur technique, Aldo Costa, a été licencié - il occupait pourtant ce rôle depuis 2005.
En progrès
Depuis, les performances de la 150° Italia ne cessent de progresser, au point de permettre à Fernando Alonso de s'imposer à Silverstone, il y a deux semaines, au nez et à la barbe des Red Bull. «Disons que j'attribue une mauvaise note à Ferrari pour les trois premiers mois de la saison», explique Stefano Domenicali, patron de sa «gestion sportive». «Mais depuis les choses vont mieux. Bien que nous n'ayons signé qu'une seule victoire, nous étions suffisamment compétitifs pour en remporter davantage en fonction des circonstances... Cela dit, nous ne devons pas nous préoccuper du classement au championnat, mais, au contraire, tenter de faire de notre mieux, course après course. Quand tout sera terminé, nous verrons bien où nous en serons!»
Le patron admet tout de même que cette première victoire de la saison permet de remonter le moral des troupes: «C'était d'autant plus important que cette victoire a eu lieu sur le même circuit que la première victoire d'une Ferrari, 60 ans plus tôt. Ferrari ne peut pas se contenter d'une seule victoire par saison, évidemment, mais il était important de ressentir de nouveau cette ambiance de succès. Ferrari a toujours remporté au moins un grand prix au cours des 18 dernières saisons. Peu d'écuries peuvent se vanter d'un tel résultat...»
Andy Schleck roi du Galibier, Voeckler garde le jaune
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© ap
Le Luxembourgeois Andy Schleck (Leopard Trek) a remporté la 18e étape du Tour de France, disputée jeudi sur 200,5 km entre Pinerolo et le col Galibier, dans les Alpes, où a été jugée l'arrivée la plus haute de l'histoire de la Grande Boucle (2645 m). Il s'est imposé en solitaire au terme d'une échappée de plus de 60 km avec 2:06 d'avance sur son frère Frank et 2:14 sur l'Australien Cadel Evans. Le Français Thomas Voeckler (Europcar), 5e de l'étape à 2:21, conserve pour une poignée de secondes son maillot jaune de leader du classement général.
L'Espagnol Alberto Contador, lâché dans les deux derniers kilomètres, a pris la 15e place de l'étape, à 3:50 d'Andy Schleck, juste derrière Jelle Vanendert, 14e et meilleur Belge. Andy Schleck a signé sa troisième victoire d'étape sur le Tour, la première cette année.
Au général, Voeckler reste en jaune avec 15 secondes d'avance sur Andy Schleck et 1:08 sur Frank Schleck. Cadel Evans est 4e à 1:12, l'Italien Damiano Cunego 5e à 3:46. Contador pointe au 7e rang à 4:44 de Voeckler.
Les coureurs s'attaquent à la trilogie des géants
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© afp
Une trilogie hors catégorie attend les 169 coureurs du Tour de France, jeudi, dans la 18e étape qui franchit les cols d'Agnel et d'Izoard avant de rejoindre le sommet du Galibier, à 2645 mètres d'altitude.
Les coureurs ont pris le départ de Pinerolo (nord de l'Italie) vers 11h30 (09h30 GMT). Avant cette arrivée inédite au Galibier, la plus haute dans l'histoire centenaire de la Grande Boucle, au bout de 200,5 kilomètres, la course rentre d'Italie par Casteldelfino (Château-Dauphin dans le val Varaita). Le col d'Agnel, que le Tour n'a jamais escaladé par ce versant, conduit à l'altitude de 2744 mètres au bout d'une très longue montée de 23,7 kilomètres (à 6,5 %), les neuf derniers sur des lacets pentus à proximité du grandiose Mont Viso.
La course descend ensuite dans le Queyras et enchaîne avec l'Izoard, l'un des cols mythiques du Tour (14,1 km à 7,3 %). Elle traverse la Casse déserte chère à Fausto Coppi et Louison Bobet dont deux médaillons rappellent les exploits dans ce site austère, proche du sommet (2360 m), à 55 kilomètres de l'arrivée. Après Briançon (Km 162), au bas de la descente, l'interminable montée du Galibier (23, km à 5,1 %) commence à partir de Monétier-les-Bains.
La pente s'accentue à partir du Lautaret, pour les 8,5 derniers kilomètres, le dernier encore plus raide (9 %) au-dessus du tunnel. Départ de Pinerolo (Italie) à 11h20 (lancé à 11h30), arrivée au Galibier vers 17h04 (moyenne calculée à 36 km/h).
;)SPECIAL Indorae - Pechos:D
Contador abdique
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© getty
Alberto Contador, triple vainqueur du Tour de France, a estimé "la victoire désormais impossible" dans l'édition 2011 de la Grande Boucle, jeudi, après son recul dans la 18e étape qui arrivait au sommet du Galibier.
"J'ai eu un jour sans", a déclaré le vainqueur sortant, qui a terminé l'étape à la 15e place, à 3 min 50 sec du vainqueur (Andy Schleck).
"Les jambes n'ont pas bien répondu et je n'avais plus de jus dans les 10 derniers kilomètres. La journée a été très dure dès le début", a ajouté l'Espagnol, désormais pointé à la 7e place du classement général (à 4 min 44 sec du leader, Thomas Voeckler) à trois jours de l'arrivée.
"Andy a mis les atouts de son côté de manière intelligente. Il a placé des équipiers dans l'échappée et il a réalisé une grande étape. Il faut le féliciter", a estimé Contador à propos du vainqueur du jour, son dauphin des deux derniers Tours de France.
"La victoire est désormais impossible", a reconnu le Madrilène, vainqueur du Giro en mai dernier et candidat à un doublé Giro-Tour qui n'a plus été accompli depuis l'Italien Marco Pantani en 1998.
L'Espagnol, qui attend la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) le concernant (sur le contrôle positif du Tour 2010 pour lequel il a été acquitté en première instance), est invaincu dans les grands tours depuis 2007.
Contador, 28 ans, a gagné le Tour à trois reprises (sous réserve de la décision du TAS pour son dernier succès), le Giro par deux fois et la Vuelta une fois.
Durant la 18e étape, le vainqueur sortant a consulté le médecin de la course "pour une douleur articulaire au genou droit", selon les termes du communiqué médical.
"Je ne m'attendais pas à cela (souffrir), mais je suis habitué à avoir des sensations différentes", a déclaré Contador. "Maintenant je dois me reposer, je suis épuisé et je pense à demain".
Les classements après la 18e étape
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© photo news
Classement de la 18e étape du Tour de France, disputée jeudi entre Pinerolo et Col du Galibier:
1. Andy Schleck (Lux/LEO) les 200,5 km en 6h07:56.
(moyenne: 32,7 km/h)
2. Frank Schleck (Lux/LEO) à 2:07.
3. Cadel Evans (Aus/BMC) 2:15.
4. Ivan Basso (Ita/LIQ) 2:18.
5. Thomas Voeckler (Fra/EUC) 2:21.
6. Pierre Rolland (Fra/EUC) 2:27.
7. Damiano Cunego (Ita/LAM) 2:33.
8. Rein Taaramae (Est/COF) 3:22.
9. Tom Danielson (USA/GRM) 3:25.
10. Ryder Hesjedal (Can/GRM) 3:31.
11. Maxim Iglinskiy (Kaz/AST) 3:35.
12. Christian Vande Velde (USA/GRM) 3:38.
13. Haimar Zubeldia (Esp/RSH) 3:44.
14. Jelle Vanendert (Bel/OLO) 3:50.
15. Alberto Contador (Esp/SAX) 3:50.
16. Jean-Christophe Peraud (Fra/ALM) 3:55.
17. Hubert Dupont (Fra/ALM) 4:07.
18. Samuel Sanchez (Esp/EUS) 4:42.
19. Nicolas Roche (EIR/ALM) 4:58.
20. Jérome Coppel (Fra/SAU) 5:07.
21. Robert Gesink (P-B/RAB) 5:35.
22. Kevin De Weert (Bel/QST) 5:35.
23. Vladimir Gusev (Rus/KAT) 6:53.
24. Arnold Jeannesson (Fra/FDJ) 7:01.
25. Rob Ruijgh (P-B/VAC) 7:25.
26. Geraint Thomas (G-B/SKY) 7:31.
27. Rigoberto Uran (Col/SKY) 7:31.
28. Egor Silin (Rus/KAT) 7:44.
29. Vladimir Karpets (Rus/KAT) 9:17.
30. David Arroyo (Esp/MOV) 9:17.
31. Gianni Meersman (Bel/FDJ) 10:33.
32. Xavier Zandio (Esp/SKY) 11:17.
33. Sylvester Szmyd (Pol/LIQ) 12:21.
34. Daniel Navarro (Esp/SAX) 13:37.
35. Maxime Monfort (Bel/LEO) 14:06.
36. Christophe Riblon (Fra/ALM) 14:20.
37. Chris Anker Sörensen (Dan/SAX) 14:45.
38. Gorka Izagirre (Esp/EUS) 15:53.
39. Johnny Hoogerland (P-B/VAC) 17:23.
40. Gorka Verdugo (Esp/EUS) 17:32.
41. Dries Devenyns (Bel/QST) 18:18.
42. Peter Velits (Svq/HTC) 18:25.
43. Thomas De Gendt (Bel/VAC) 19:12.
44. Rémy Di Grégorio (Fra/AST) 20:08.
45. Imanol Erviti (Esp/MOV) 20:29.
46. Steve Morabito (Sui/BMC) 20:29.
47. Maarten Tjallingii (P-B/RAB) 20:43.
48. Anthony Charteau (Fra/EUC) 20:43.
49. David Loosli (Sui/LAM) 21:27.
50. Joost Posthuma (P-B/LEO) 21:51.
51. Matteo Bono (Ita/LAM) 22:29.
52. Egoi Martinez (Esp/EUS) 26:21.
53. Markel Irizar (Esp/RSH) 27:39.
54. Amaël Moinard (Fra/BMC) 28:18.
55. Brent Bookwalter (USA/BMC) 28:33.
56. Jesus Hernandez (Esp/SAX) 28:38.
57. Ruben Perez Moreno (Esp/EUS) 31:02.
58. Pablo Urtasun (Esp/EUS) 31:10.
59. José Joaquin Rojas (Esp/MOV) 31:17.
60. Carlos Barredo (Esp/RAB) 31:17.
61. Stuart O'Grady (Aus/LEO) 31:17.
62. Maxime Bouet (Fra/ALM) 31:17.
63. Levi Leipheimer (USA/RSH) 31:17.
64. Jens Voigt (All/LEO) 31:17.
65. Laurens ten Dam (P-B/RAB) 31:17.
66. Andrey Zeits (Kaz/AST) 31:17.
67. Yannick Talabardon (Fra/SAU) 31:17.
68. Lieuwe Westra (P-B/VAC) 31:17.
69. Dmitriy Fofonov (Kaz/AST) 31:17.
70. Fabrice Jeandesboz (Fra/SAU) 31:17.
71. Michael Schär (Sui/BMC) 31:17.
72. George Hincapie (USA/BMC) 31:17.
73. Roman Kreuziger (Tch/AST) 31:17.
74. Ivan Santaromita (Ita/BMC) 31:17.
75. Yury Trofimov (Rus/KAT) 31:17.
76. David Moncoutié (Fra/COF) 31:17.
77. Ramunas Navardauskas (Lit/GRM) 31:17.
78. Julian Dean (N-Z/GRM) 31:17.
79. Sergio Paulinho (Por/RSH) 31:17.
80. Richie Porte (Aus/SAX) 33:44.
81. Arthur Vichot (Fra/FDJ) 35:40.
82. Mickaël Delage (Fra/FDJ) 35:40.
83. Bernhard Eisel (Aut/HTC) 35:40.
84. Linus Gerdemann (All/LEO) 35:40.
85. Sandy Casar (Fra/FDJ) 35:40.
86. Christian Knees (All/SKY) 35:40.
87. Daniel Oss (Ita/LIQ) 35:40.
88. Sebastian Lang (All/OLO) 35:40.
89. Rui Costa (Por/MOV) 35:40.
90. Jürgen Roelandts (Bel/OLO) 35:40.
91. Sylvain Chavanel (Fra/QST) 35:40.
92. Sébastien Turgot (Fra/EUC) 35:40.
93. André Greipel (All/OLO) 35:40.
94. Manuel Quinziato (Ita/BMC) 35:40.
95. Andrey Amador (C-R/MOV) 35:40.
96. Mark Cavendish (G-B/HTC) 35:40.
97. Fabian Cancellara (Sui/LEO) 35:40.
98. Perrig Quemeneur (Fra/EUC) 35:40.
99. Andriy Grivko (Ukr/AST) 35:40.
100. Grega Bole (Sln/LAM) 35:40.
101. Simon Gerrans (Aus/SKY) 35:40.
102. Sébastien Hinault (Fra/ALM) 35:40.
103. Cyril Gautier (Fra/EUC) 35:40.
104. Marco Marcato (Ita/VAC) 35:40.
105. Tony Gallopin (Fra/COF) 35:40.
106. Ivan Gutierrez (Esp/MOV) 35:40.
107. Tony Martin (All/HTC) 35:40.
108. Jérémie Galland (Fra/SAU) 35:40.
109. Matthew Goss (Aus/HTC) 35:40.
110. Jimmy Engoulvent (Fra/SAU) 35:40.
111. Mark Renshaw (Aus/HTC) 35:40.
112. Tejay Van Garderen (USA/HTC) 35:40.
113. Grischa Niermann (All/RAB) 35:40.
114. Alessandro Petacchi (Ita/LAM) 35:40.
115. Denys Kostyuk (Ukr/LAM) 35:40.
116. Danilo Hondo (All/LAM) 35:40.
117. Blel Kadri (Fra/ALM) 35:40.
118. David Millar (G-B/GRM) 35:40.
119. Alessandro Vanotti (Ita/LIQ) 35:40.
120. Adriano Malori (Ita/LAM) 35:40.
121. Alan Perez Lezaun (Esp/EUS) 35:40.
122. Paolo Longo Borghini (Ita/LIQ) 35:40.
123. Juan Antonio Flecha (Esp/SKY) 35:40.
124. Thor Hushovd (Nor/GRM) 35:40.
125. Benjamin Noval (Esp/SAX) 35:40.
126. Luis Leon Sanchez (Esp/RAB) 35:40.
127. Maciej Paterski (Pol/LIQ) 35:40.
128. Addy Engels (P-B/QST) 35:40.
129. Anthony Delaplace (Fra/SAU) 35:40.
130. Jérôme Pineau (Fra/QST) 35:40.
131. Kristjan Koren (Sln/LIQ) 35:40.
132. Bauke Mollema (P-B/RAB) 35:40.
133. Philippe Gilbert (Bel/OLO) 35:40.
134. Tomas Vaitkus (Lit/AST) 35:40.
135. Fabio Sabatini (Ita/LIQ) 35:40.
136. Bjorn Leukemans (Bel/VAC) 35:40.
137. Jérémy Roy (Fra/FDJ) 35:40.
138. Romain Zingle (Bel/COF) 35:40.
139. Lars Ytting Bak (Dan/HTC) 35:40.
140. Jakob Fuglsang (Dan/LEO) 35:40.
141. Nicki Sörensen (Dan/SAX) 35:40.
142. Julien El Farès (Fra/COF) 35:40.
143. Edvald Boasson Hagen (Nor/SKY) 35:40.
144. Francisco Ventoso (Esp/MOV) 35:40.
145. Tristan Valentin (Fra/COF) 35:40.
146. Samuel Dumoulin (Fra/COF) 35:40.
147. Mikhail Ignatiev (Rus/KAT) 35:40.
148. Arnaud Coyot (Fra/SAU) 35:40.
149. Gerald Ciolek (All/QST) 35:40.
150. Ben Swift (ENG/SKY) 35:40.
151. Brian Vandborg (Dan/SAX) 35:40.
152. Leonardo Duque (Col/COF) 35:40.
153. Sébastien Minard (Fra/ALM) 35:40.
154. Anthony Roux (Fra/FDJ) 35:40.
155. Tyler Farrar (USA/GRM) 35:40.
156. Danny Pate (USA/HTC) 35:40.
157. Vincent Jérôme (Fra/EUC) 35:40.
158. Michaël Buffaz (Fra/COF) 35:40.
159. Maciej Bodnar (Pol/LIQ) 35:40.
160. Matteo Tosatto (Ita/SAX) 35:40.
161. Jonathan Hivert (Fra/SAU) 35:40.
162. Yohann Gène (Fra/EUC) 35:40.
163. Dimitry Muravyev (Kaz/RSH) 35:40.
164. Niki Terpstra (P-B/QST) 35:40.
165. Marcus Burghardt (All/BMC) 35:40.
166. Borut Bozic (Sln/VAC) 35:40.
167. Laurent Mangel (Fra/SAU) 35:40.
168. Marcel Sieberg (All/OLO) 35:40.
Leonardo Bertagnolli (Ita/LAM) Abandon
Classement général de Tour de France après la 18e étape, courue jeudi entre Pinerolo et Col du Galibier:
1. Thomas Voeckler (Fra/EUC) 79h34:06.
2. Andy Schleck (Lux/LEO) à 0:15.
3. Frank Schleck (Lux/LEO) 1:08.
4. Cadel Evans (Aus/BMC) 1:12.
5. Damiano Cunego (Ita/LAM) 3:46.
6. Ivan Basso (Ita/LIQ) 3:46.
7. Alberto Contador (Esp/SAX) 4:44.
8. Samuel Sanchez (Esp/EUS) 5:20.
9. Tom Danielson (USA/GRM) 7:08.
10. Jean-Christophe Peraud (Fra/ALM) 9:27.
11. Rein Taaramae (Est/COF) 9:36.
12. Pierre Rolland (Fra/EUC) 10:09.
13. Kevin De Weert (Bel/QST) 11:21.
14. Haimar Zubeldia (Esp/RSH) 12:01.
15. Rigoberto Uran (Col/SKY) 12:46.
16. Jelle Vanendert (Bel/OLO) 13:08.
17. Jérome Coppel (Fra/SAU) 15:30.
18. Arnold Jeannesson (Fra/FDJ) 15:32.
19. Nicolas Roche (Irl/ALM) 16:43.
20. Rob Ruijgh (P-B/VAC) 20:05.
21. Christian Vande Velde (USA/GRM) 23:06.
22. Ryder Hesjedal (Can/GRM) 23:19.
23. Vladimir Karpets (Rus/KAT) 25:38.
24. Vladimir Gusev (Rus/KAT) 25:59.
25. Peter Velits (Svq/HTC) 28:10.
26. Hubert Dupont (Fra/ALM) 31:52.
27. Gorka Verdugo (Esp/EUS) 33:56.
28. Maxime Monfort (Bel/LEO) 35:16.
29. Sandy Casar (Fra/FDJ) 43:52.
30. Geraint Thomas (G-B/SKY) 48:53.
31. Yury Trofimov (Rus/KAT) 50:10.
32. Robert Gesink (P-B/RAB) 52:25.
33. Philippe Gilbert (Bel/OLO) 55:42.
34. Levi Leipheimer (USA/RSH) 58:30.
35. Egoi Martinez (Esp/EUS) 59:46.
36. Chris Anker Sörensen (Dan/SAX) 1h00:16.
37. David Arroyo (Esp/MOV) 1h00:55.
38. Andrey Zeits (Kaz/AST) 1h03:32.
39. Dries Devenyns (Bel/QST) 1h04:47.
40. Yannick Talabardon (Fra/SAU) 1h05:38.
41. Tony Martin (All/HTC) 1h07:09.
42. Xavier Zandio (Esp/SKY) 1h07:13.
43. Carlos Barredo (Esp/RAB) 1h08:42.
44. Julien El Farès (Fra/COF) 1h10:20.
45. David Moncoutié (Fra/COF) 1h10:56.
46. Cyril Gautier (Fra/EUC) 1h11:03.
47. Sylvester Szmyd (Pol/LIQ) 1h12:31.
48. Rémy Di Grégorio (Fra/AST) 1h13:47.
49. Steve Morabito (Sui/BMC) 1h16:05.
50. Daniel Navarro (Esp/SAX) 1h23:57.
51. Jérôme Pineau (Fra/QST) 1h24:20.
52. George Hincapie (USA/BMC) 1h25:03.
53. Edvald Boasson Hagen (Nor/SKY) 1h27:05.
54. Anthony Charteau (Fra/EUC) 1h27:18.
55. Linus Gerdemann (All/LEO) 1h29:59.
56. Maxime Bouet (Fra/ALM) 1h30:18.
57. Luis Leon Sanchez (Esp/RAB) 1h30:31.
58. Christophe Riblon (Fra/ALM) 1h30:40.
59. Jakob Fuglsang (Dan/LEO) 1h31:10.
60. Thor Hushovd (Nor/GRM) 1h33:45.
61. Laurens ten Dam (P-B/RAB) 1h34:09.
62. Amaël Moinard (FRA/BMC) 1h40:14.
63. Jens Voigt (All/LEO) 1h40:29.
64. Egor Silin (Rus/KAT) 1h40:31.
65. David Loosli (Sui/LAM) 1h41:50.
66. Ruben Perez Moreno (Esp/EUS) 1h42:09.
67. Sylvain Chavanel (Fra/QST) 1h42:24.
68. Maciej Paterski (Pol/LIQ) 1h42:40.
69. Gorka Izagirre (Esp/EUS) 1h46:53.
70. David Millar (G-B/GRM) 1h47:29.
71. Grischa Niermann (All/RAB) 1h48:09.
72. Christian Knees (All/SKY) 1h48:46.
73. Tony Gallopin (FRA/COF) 1h50:08.
74. Johnny Hoogerland (P-B/VAC) 1h52:14.
75. Thomas De Gendt (Bel/VAC) 1h53:28.
76. José Joaquin Rojas (Esp/MOV) 1h53:46.
77. Bauke Mollema (P-B/RAB) 1h55:38.
78. Tejay Van Garderen (USA/HTC) 1h56:49.
79. Richie Porte (Aus/SAX) 1h57:26.
80. Ivan Santaromita (Ita/BMC) 1h57:42.
81. Markel Irizar (Esp/RSH) 1h59:44.
82. Sergio Paulinho (Por/RSH) 2h00:06.
83. Imanol Erviti (Esp/MOV) 2h00:18.
84. Marco Marcato (Ita/VAC) 2h00:29.
85. Jürgen Roelandts (Bel/OLO) 2h01:20.
86. Stuart O'Grady (Aus/LEO) 2h01:35.
87. Bjorn Leukemans (Bel/VAC) 2h02:40.
88. Adriano Malori (Ita/LAM) 2h04:26.
89. Alan Perez Lezaun (Esp/EUS) 2h05:32.
90. Gianni Meersman (Bel/FDJ) 2h08:00.
91. Nicki Sörensen (Dan/SAX) 2h09:24.
92. Jérémy Roy (FRA/FDJ) 2h12:23.
93. Matteo Bono (Ita/LAM) 2h14:02.
94. Maarten Tjallingii (P-B/RAB) 2h14:23.
95. Kristjan Koren (Sln/LIQ) 2h16:20.
96. Rui Costa (Por/MOV) 2h16:46.
97. Arthur Vichot (Fra/FDJ) 2h18:29.
98. Daniel Oss (Ita/LIQ) 2h19:21.
99. Ivan Gutierrez (Esp/MOV) 2h19:38.
100. Maxim Iglinskiy (Kaz/AST) 2h20:55.
101. Michael Schär (Sui/BMC) 2h21:10.
102. Juan Antonio Flecha (Esp/SKY) 2h21:20.
103. Dmitriy Fofonov (Kaz/AST) 2h22:02.
104. Jesus Hernandez (Esp/SAX) 2h22:52.
105. Alessandro Petacchi (Ita/LAM) 2h24:13.
106. Joost Posthuma (P-B/LEO) 2h25:38.
107. Simon Gerrans (Aus/SKY) 2h25:58.
108. Jonathan Hivert (Fra/SAU) 2h26:02.
109. Danilo Hondo (All/LAM) 2h29:10.
110. Sébastien Hinault (FRA/ALM) 2h31:05.
111. Anthony Roux (Fra/FDJ) 2h31:27.
112. Roman Kreuziger (Tch/AST) 2h31:38.
113. Sebastian Lang (All/OLO) 2h31:40.
114. Benjamin Noval (Esp/SAX) 2h33:51.
115. Manuel Quinziato (Ita/BMC) 2h34:33.
116. Brent Bookwalter (USA/BMC) 2h34:45.
117. Tristan Valentin (Fra/COF) 2h36:18.
118. Sébastien Turgot (Fra/EUC) 2h39:08.
119. Matteo Tosatto (Ita/SAX) 2h39:09.
120. Laurent Mangel (Fra/SAU) 2h39:13.
121. Leonardo Duque (Col/COF) 2h42:02.
122. Brian Vandborg (Dan/SAX) 2h42:05.
123. Fabian Cancellara (Sui/LEO) 2h42:38.
124. Michaël Buffaz (Fra/COF) 2h42:44.
125. Mark Cavendish (G-B/HTC) 2h43:19.
126. Paolo Longo Borghini (Ita/LIQ) 2h43:48.
127. Alessandro Vanotti (Ita/LIQ) 2h44:05.
128. Borut Bozic (Sln/VAC) 2h44:15.
129. Mickaël Delage (FRA/FDJ) 2h44:35.
130. Grega Bole (Sln/LAM) 2h44:53.
131. Jérémie Galland (FRA/SAU) 2h45:16.
132. Dimitry Muravyev (Kaz/RSH) 2h46:42.
133. Ben Swift (ENG/SKY) 2h47:42.
134. Lieuwe Westra (P-B/VAC) 2h48:25.
135. Francisco Ventoso (ESP/MOV) 2h48:56.
136. Anthony Delaplace (FRA/SAU) 2h49:17.
137. Fabrice Jeandesboz (FRA/SAU) 2h50:02.
138. Marcel Sieberg (All/OLO) 2h50:52.
139. Tomas Vaitkus (Lit/AST) 2h51:09.
140. Sébastien Minard (Fra/ALM) 2h51:35.
141. Matthew Goss (Aus/HTC) 2h53:33.
142. Niki Terpstra (P-B/QST) 2h54:37.
143. Andriy Grivko (Ukr/AST) 2h56:17.
144. Julian Dean (N-Z/GRM) 2h57:27.
145. Addy Engels (P-B/QST) 2h57:41.
146. Blel Kadri (Fra/ALM) 2h58:06.
147. Gerald Ciolek (All/QST) 2h59:04.
148. Arnaud Coyot (Fra/SAU) 2h59:22.
149. Denys Kostyuk (Ukr/LAM) 2h59:28.
150. Mikhail Ignatiev (Rus/KAT) 3h01:10.
151. Romain Zingle (Bel/COF) 3h02:14.
152. André Greipel (All/OLO) 3h04:14.
153. Maciej Bodnar (Pol/LIQ) 3h04:23.
154. Lars Ytting Bak (Dan/HTC) 3h04:34.
155. Yohann Gène (Fra/EUC) 3h07:34.
156. Tyler Farrar (USA/GRM) 3h07:37.
157. Bernhard Eisel (Aut/HTC) 3h07:46.
158. Jimmy Engoulvent (Fra/SAU) 3h07:59.
159. Pablo Urtasun (Esp/EUS) 3h08:39.
160. Ramunas Navardauskas (Lit/GRM) 3h08:54.
161. Mark Renshaw (Aus/HTC) 3h12:23.
162. Samuel Dumoulin (Fra/COF) 3h12:47.
163. Perrig Quemeneur (Fra/EUC) 3h13:13.
164. Marcus Burghardt (All/BMC) 3h13:48.
165. Vincent Jérôme (Fra/EUC) 3h16:50.
166. Danny Pate (USA/HTC) 3h18:45.
167. Andrey Amador (C-R/MOV) 3h24:15.
168. Fabio Sabatini (Ita/LIQ) 3h26:21.
Le Paraguay file en finale de la Copa aux tirs au but
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Le Paraguay s'est qualifié pour la finale de la Copa America à l'issue d'un cinquième nul d'affilée dans le tournoi, en battant le Venezuela aux tirs au but (0-0 a.p., 5-3 t.a.b.) en demi-finale, mercredi soir à Mendoza.
Paraguay-Uruguay
Le Paraguay affrontera l'Uruguay en finale, dimanche au stade Monumental de Buenos Aires (16H00 locales, 19H00 GMT). Le Venezuela pour sa part rencontrera le Pérou dans le match pour la 3e place, samedi à La Plata (16H00 locales, 19H00 GMT).
Les Guaranis, qui atteignent la finale de la compétition pour la première fois dans la nouvelle formule de douze équipes créée en 1993, ont l'occasion de décrocher le troisième titre continental de leur histoire (après 1953 et 1979). La Vinotinto, elle, a déjà réussi la meilleure performance de son histoire en se hissant jusqu'au dernier carré du tournoi.
Le Venezuela a pourtant dominé la match et surtout la prolongation, et a trouvé trois fois les montants des Paraguayens. Mais leur gardien et capitaine Villar a de nouveau été le héros de la soirée, comme en quarts contre le Brésil (0-0 a.p., 2-0 t.a.b.), en arrêtant le tir au but de Lucena.
Demi-finale:
Paraguay - Venezuela 0-0
Tirs au but: 5-3
Réussis par le Paraguay: Ortigoza, Barrios, Riveros, O. Martinez, Veron
Réussis par le Venezuela: Maldonado, Rey, Fedor
Raté par la Venezuela: Lucena.
La Belgique battue 4-1 par l'Espagne chez les U19
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© belga
La Belgique a été battue 4-1 par l'Espagne dans son premier match du championnat d'Europe de football des moins de 19 ans, jeudi à Mogosoaia en Roumanie.
Les Diablotins étaient réduits à dix contre onze après que leur gardien de but Koen Casteels a été exclu pour une faute sur Morata à la 13e minute. L'arbitre accordait un penalty aux Espagnols, que Pablo Sarabia transformait pour ouvrir le score au quart d'heure.
Le joueur de Stoke City Florent Cuvelier égalisait en début de seconde période (46e). Pablo Alcacer remettait l'Espagne aux commandes à la 65e, avant que Juan Muñiz Gallego (90+1) et Alvaro Morata (90+3) n'alourdissent le score dans le temps additionnel.
La rencontre devait avoir lieu mercredi, mais avait été arrêtée après un quart d'heure en raison d'un violent orage, alors que le score était de 1-0 en faveur de l'Espagne. Après une longue interruption, il avait été décidé de rejouer le match dans son intégralité jeudi.
Dans l'autre rencontre du groupe B, la Serbie avait battu la Turquie 2-0 mercredi.
La Belgique affrontera la Turquie samedi et la Serbie mardi. Les deux premiers du groupe seront qualifiés pour les demi-finales.
:fou:Vachement bronzés les belges? et moi qui pensait qu'il pleuvait tout le temps:D
Jelle Vanendert garde le maillot à pois
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© belga
Jelle Vanendert (Omega Pharma-Lotto) a conservé le maillot à pois de meilleur grimpeur du Tour de France à l'issue de la 18e étape, qu'il a terminée en 14e place jeudi au Galibier. Le Limbourgeois pointe au 16e rang du général, à 1:47 de la 13e place Kevin De Weert, le premier Belge au général.
Vanendert n'a pu accompagner les favoris jusqu'au bout jeudi et n'a donc pas marqué de pois pour le classement du meilleur grimpeur. "Mais nous ne faisons aucun reproche à Jelle Vanendert", a déclaré Herman Frison, directeur sportif d'Omega Pharma-Lotto. "Evidemment, nous aurions aimé prendre des points au Galibier, mais Jelle a eu un peu de mal à 4 km de l'arrivée. Il garde cependant le maillot à pois. Ce sera difficile de la défendre vendredi, car Andy Schleck n'a plus que 4 points d'avance. Nous allons voir calmement ce que nous allons faire vendredi".
Jelle Vanendert est en tête du classement du meilleur grimpeur avec 74 points, 2 de plus que l'Espagnol Samuel Sanchez et 4 de plus que le Luxembourgeois Andy Schleck, vainqueur de la 18e étape. Frank Schleck est 4e de ce classement avec 56 points.
Vendredi, la 19e étape reliera Modane Valfréjus à l'Alpe d'Huez avec au programme un col de 1e catégorie (le Télégraphe) et deux cols hors-catégorie, le Galibier et la montée finale à l'Alpe d'Huez.
Pour moi le plus beau maillot:content::amoureux::amoureux:
Serena Williams directement dans le tableau final de l'US Open
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© bruno
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© reuters
Serena Williams sera directement versée dans le tableau final de l'US Open. L'Américaine, blessée la plus grande partie de la saison, bénéficie d'un statut protégé, indique mercredi le site internet du 4e tournoi du Grand Chelem de l'année qui débutera le 29 août à New York.
Serena Williams, qui avait remporté l'US Open en 1999, 2002 et 2008, a été écartée des terrains pendant près d'un an, à cause d'une blessure au pied et d'une embolie pulmonaire. Elle est retombée à la 172e place du classement mondial, un classement insuffisant pour se hisser dans le tableau final de l'US Open.
La cadette des soeurs Williams a donc dû utiliser son statut protégé, dont elle ne peut faire usage que pour huit tournois, dont un du Grand Chelem.
Kim Clijsters, qui a dû renoncer à Wimbledon en raison d'une blessure à la cheville, défendra son titre à New York, où elle s'est imposée trois fois (2005, 2009 et 2010), et aura donc de nombreux points WTA à défendre. La Limbourgeoise pourra devenir la première joueuse à remporter l'US Open depuis trois ans de suite après Chris Evert, victorieuse de 1976 à 1978. (belga/chds)
;)Talent et........BEAUTE, que demander de plus????:amoureux::amoureux::amoureux:
Monfils et les favoris tranquilles à Hambourg
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© afp
Gaël Monfils s'est tranquillement qualifié pour les 8e de finale du tournoi de tennis de Hambourg en battant l'Espagnol Albert Ramos 6-4, 6-2, mercredi, les favoris ou spécialistes de la terre battue ont également franchi avec plus ou moins de facilité le 2e tour.
Gaël Monfils, tête de série N.1, s'est bien ressaisi de son échec d'entrée à Stuttgart la semaine dernière où il avait été victime de la forme retrouvée du Roumain Victor Hanescu. Pour une place en quart, le Français affrontera le Tchèque Radek Stepanek, tombeur de l'Italien Andreas Seppi 6-1, 7-5.
Pour sa part, l'Autrichien Jürgen Melzer (N.2) a été contraint à disputer trois sets par l'un des nombreux Espagnols engagés, Daniel Gimeno, finalement battu 6-3, 5-7, 6-1. En revanche, les Espagnols Nicolas Almagro (N.3) et Fernando Verdasco (N.8) tout comme l'Argentin Juan Monaco n'ont pas eu à forcer leur talent.
Plus accroché, l'Allemand Florian Mayer (N.6) a toutefois battu le Turc Marsel Ilhan 6-4, 7-6 (7/5) tandis que son compatriote Cedrik-Marcel Stebe, 20 ans et 168e mondial, a poursuivi sa route.
Vingt-quatre après son exploit face à l'Espagnol Juan Carlos Ferrero, vainqueur à Stuttgart dimanche dernier, Stebe a éliminé avec autorité (6-3, 7-6 (7/5) le Russe Nikolay Davydenko, un ancien vainqueur, pour s'offrir une place en 8e de finale face à Fernando Verdasco.
Soler a pu quitter les soins intensifs
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Le coureur cycliste Mauricio Soler n'est plus aux soins intensifs de l'hôpital universitaire de Pampelune, en Espagne, a annoncé mercredi son équipe Movistar. "Son état s'améliore lentement mais sûrement", a précisé Alfredo Zuniga le médecin de Movistar sur le site de cyclingnews.com.
"Il reconnaît déjà des proches et a commencé à parler. On peut tenir de brèves conversations avec lui. Il est toujours très fatigué, ce qui est normal compte tenu de l'importance du choc mais ses progrès sont bons surtout depuis la semaine dernière."
Le Colombien a été victime le 16 juin d'une grave chute après être entré en collision avec un spectateur au cours de la 6e étape du Tour de Suisse. Quatre jours auparavant il avait remporté la 2e étape à Crans-Montana. Le lauréat du classement de la montagne du Tour de France 2007 a souffert d'une fracture du crâne, d'une hémorragie cérébrale, d'une perforation du poumon et d'une fracture de la cheville. Il avait dû être placé en coma artificiel pendant une semaine à l'hôpital de Saint-Gall. Après trois semaines d'hospitalisation en Suisse, Soler, 28 ans, a été transféré il y a dix jours à Pampelune.
L'UEFA va payer la stérilisation des chiens errants en Ukraine
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L'Union européenne de football (UEFA) veut régler le problème des chiens errants en Ukraine, où se déroulera l'an prochain l'Euro de football. Michel Platini, le président de l'UEFA, s'était déjà plaint de ce problème lors d'une visite dans le pays. L'UEFA va participer financièrement à une campagne de stérilisation.
Selon le journal ukrainien Segodnja, les autorités du pays vont recevoir 8.600 euros à cet effet de la part des instances suprêmes du football européen. L'Ukraine organisera avec la Pologne le 14e championnat d'Europe des nations du 8 juin au 1er juillet 2012.
Le pays veut se montrer sous son meilleur jour aux yeux des nombreux touristes qui ne manqueront pas de le visiter. La capitale Kiev compterait pas moins de 11.000 chiens errants. A certains endroits de la ville, des meutes de chiens attaqueraient même les passants.
;)Vont bientôt payer les hooligans:D:D:D
;)Bon, passons aux choses sérieuses, ça dàconne vilain sur ce forum:p
Tour de France
Premier succès français sur la Grande Boucle 2011
22.07.2011 17:58 - mise à jour: 18:35 http://www.tsr.ch/2011/07/22/17/53/3285315.image?w=480&h=270 Rolland, qui comptait trois succès dans sa carrière dans des courses mineures, a signé sa plus belle victoire. [Pascal Rossignol - Reuters]
Cocorico! La France tient son premier succès sur le Tour 2011. Vingt-cinq ans après Bernard Hinault, Pierre Rolland a levé les bras à l'Alpe d'Huez. Mais cette médaille a son revers, puisque Thomas Voeckler a logiquement cédé son maillot jaune à Andy Schleck.
Le Français d'Europcar a remporté la 19e étape du Tour de France devant les Espagnols Samuel Sanchez et Alberto Contador, qui a marqué la journée par une magnifique réaction d'orgueil après sa défaillance de la veille sur les routes du mythique Galibier.
"Dans le Galibier, Thomas (ndlr: Voeckler) m'a dit: 'ne t'occupe plus de moi'", a expliqué le coureur de 25 ans. "Je me suis dit que j'allais jouer ma carte. J'ai voulu prendre de l'avance avant la montée. Je connaissais très bien la montée de l'Alpe d'Huez, je l'ai montée dix fois en stage, je l'ai visionnée aussi des dizaines de fois. J'ai gardé mon sang-froid face à deux Espagnols qui s'entendent bien, qui roulent ensemble depuis le départ. C'était quitte ou double, mais je ne voulais pas faire deuxième. Au virage numéro un, je savais que je pouvais mettre grand plateau et aller à bloc jusqu'à l'arrivée."
En jaune au départ des 109,5 kilomètres, Voeckler a lâché prise dans la montée de l'Alpe d'Huez. Il a concédé près de trois minutes et demie à Rolland, son lieutenant d'équipe, et plus de deux minutes à Andy Schleck.
L'attaque irrésistible de Rolland
A 2,5 kilomètres du sommet, Rolland et Samuel Sanchez ont rejoint Contador, parti faire un numéro de grimpeur dans cette ascension de 13,8 kilomètres (à 7,8 % de pente). Le Français a attaqué aux 2 kilomètres pour précéder d'une quinzaine de secondes Sanchez, champion olympique à Pékin, et d'une vingtaine de secondes Contador.
Andy Schleck est arrivé dans un groupe comprenant notamment l'Australien Cadel Evans, à moins d'une minute du vainqueur. Au classement général, le cadet des Schleck précède son aîné Frank de 53 secondes et Evans de 57 secondes à la veille du contre-la-montre de Grenoble et à deux jours de l'arrivée à Paris.
afp/lper
Cyclisme
Tour de France: Andy Schleck en jaune, Pierre Rolland gagne l'étape
22. juillet 2011, 18h21
LeMatin.ch & les agences
Le maillot jaune du Tour de France change d'épaules. Il est passé de celles du Français Thomas Voeckler à celles du Luxembourgeois Andy Schleck. Un autre Français, Pierre Rolland, a remporté cette 19e étape sur la mythique Alpe d'Huez.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/117264191.JPG Pierre Rolland en compagnie de l'ancien maillot jaune. © KEYSTONE
Le Luxembourgeois Andy Schleck (Leopard) s'est emparé du maillot jaune de leader du Tour de France, à la veille du contre-la-montre de Grenoble et à deux jours de l'arrivée à Paris. Il a l'a enlevé au Français Thomas Voeckler.
C'est un autre Français, Pierre Rolland (Europcar), qui a remporté la 19e étape de la Grande Boucle, sur la mythique Alpe d’Huez, devant les Espagnols Samuel Sanchez et Alberto Contador.
Rolland a signé le premier succès français depuis le départ en conclusion d’une étape marquée par la réaction d’orgueil de Contador au lendemain de sa défaite du Galibier.
Le Français Thomas Voeckler, qui portait le maillot jaune au départ des 109,5 kilomètres, a lâché prise dans la montée de l’Alpe d’Huez. Il a concédé près de trois minutes et demie à Rolland, son lieutenant de l’équipe de Jean-René Bernaudeau.
A 2,5 kilomètres du sommet, Rolland et Samuel Sanchez ont rejoint Contador qui était parti faire un numéro de grimpeur dans cette ascension de 13,8 kilomètres (à 7,8 % de pente).
Le Français a attaqué aux 2 kilomètres pour précéder d’une quinzaine de secondes Sanchez, champion olympique à Pékin, et d’une vingtaine de secondes Contador.
Andy Schleck est arrivé dans un groupe comprenant notamment l’Australien Cadel Evans, à moins d’une minute du vainqueur.
Au classement général provisoire, le cadet des Schleck précède son aîné Frank de 53 secondes et Evans de 57 secondes.
Classement général:
1. Andy Schleck (LUX/LEO) 82h48:43.
2. Frank Schleck (LUX/LEO) à 0:53.
3. Cadel Evans (AUS/BMC) 0:57.
4. Thomas Voeckler (FRA/EUC) 2:10.
5. Damiano Cunego (ITA/LAM) 3:31.
6. Alberto Contador (ESP/SAX) 3:55.
7. Samuel Sanchez (ESP/EUS) 4:22.
8. Ivan Basso (ITA/LIQ) 4:40.
9. Tom Danielson (USA/GRM) 7:11.
10. Pierre Rolland (FRA/EUC) 8:57.
:)Pas grave me suis trompé d'un jour, gaffe demain Cadel va tabasser au contre la montre...:amoureux::amoureux::content:
FORMULE 1
Webber et Alonso devants
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22. juillet 2011, 17h16
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.lematin.ch/sports/auto-moto/formule-1/webber-et-alonso-devants#comments)
On se dirige vers un duel entre les Red Bull-Renault et les Ferrari au GP d’Allemagne.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/220807_TG221_28a50d97.jpg © AFP
Le meilleur temps des essais libres a été établi par Mark Webber, devant Fernando Alonso.
Si Alonso a été le seul à tourner en-dessous de 1’32’’ sur le Nürburgring lors de la séance matinale, avec un chrono de 1’31’’894, il a été devancé en début d’après-midi par Webber, auteur d’un temps de 1’31’’711. L’Australien a précédé l’Espagnol de 0’’168, Alonso ayant légèrement amélioré son chrono matinal en 1’31’’879.
Ces deux pilotes ont dominé leur équipier respectif: Sebastian Vettel s’est classé 3e de chaque séance, devançant toujours Felipe Massa. Le champion du monde et leader actuel du championnat espère sans doute mieux pour sa course à domicile.
Les Mercedes semblent être les principaux outsiders sur le tracé allemand: Michael Schumacher a signé le 5e temps devant son coéquipier Nico Rosberg. Les McLaren-Mercedes semblent par contre à nouveau en retrait, tout comme lors du récent GP de Grande-Bretagne.
Sébastien Buemi, 13e de la première séance, n’a pas pu participer à la deuxième: le pilote suisse a endommagé sa monoplace lors d’une sortie de route peu avant la fin de la session matinale. Pas idéal comme début de week-end.
Cela ne rigole pas non plus du côté de chez Sauber-Ferrari: les bolides suisses sont restés dans l’anonymat de la seconde moitié du peloton. Perez (16e/13e) a été plus rapide que Kobayashi (19e/16e).
FOOTBALL
Didier Ollé-Nicolle retrouve du boulot
[/URL][URL="http://www.lematin.ch/print/139690"] (http://www.lematin.ch/printmail/139690)
22. juillet 2011, 16h31
Julien Caloz | LeMatin.ch
L'ancien coach de NE Xamax est attendu à Chypre. Il devrait être nommé entraîneur et manager sportif de l'Apollon Limassol pour une durée de deux ans.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/101348_40f0253e.jpg Didier Ollé-Nicolle © Sandro Campardo
Viré de la Maladière la saison dernière, Didier Ollé-Nicolle (50 ans) devrait s'engager dans les prochains jours avec l'Apollon Limassol, selon L'Equipe. Le technicien français a accompagné l'équipe chypriote en Bulgarie, où elle effectue actuellement un stage de préparation.
Suis suisse ok mais quand les joueurs foutent la merde c'est l'entraîneur qui trinque...
;)Bonne chance Didier............
Une arme pointée sur Djokovic
[/URL] (http://www.lematin.ch/printmail/139641)
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22. juillet 2011, 14h06
LeMatin.ch
19 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/tennis/atp/une-arme-pointee-sur-djokovic#comments)
Janko Tipsarevic qui pointe une arme à feu sur Novak Djokovic: c'est la dernière facétie du tennisman serbe.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/Djokovic1.jpg Janko Tipsarevic pointe une arme à feu en direction de Novak Djokovic. © Facebook
Cette photo a été publiée sur le profil facebook de Tipsarevic, avec comme titre: "How much $$$ would Rafa give...", comprenez "Combien donnerais Rafael Nadal pour..." appuyer sur la gachette.
Bien sûr, c'est une blague. Mais l'humour des deux Serbes risque de ne pas plaire à tout le monde. Djokovic et Tipsarevic ont d'ailleurs rapidement enlevé la photo de Facebook. Mais trop tard, elle s'était déjà répandue sur la toile.
Rolland s'impose à l'Alpe d'Huez, Andy Schleck en jaune
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© afp
7S7 mise à jour Le coureur français Pierre Rolland s'est imposé au sommet de l'Alpe d'Huez. Le coéquipier de Thomas Voeckler, qui a cédé son maillot jaune à Andy Schleck, a déposé dans les deux derniers kilomètres Alberto Contador et Samuel Sanchez. Rolland est le premier français depuis Bernard Hinault en 1986 à s'imposer à l'Alpe d'Huez. Samuel Sanchez prend la tête du classement du meilleur grimpeur. De Gendt est le premier belge. Il termine sixième de l'étape, à 57 secondes du vainqueur.
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© belga
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© belga
Le Français Pierre Rolland (Europcar) a remporté la 19e étape du Tour de France au sommet de l'Alpe d'Huez à l'issue des 109km du parcours au départ de Modane Val Fréjus. L'Espagnol Samuel Sanchez (Euskaltel) a pris la 2e place, à 14 secondes, devant son compatriote Alberto Contador (Saxo Bank), 3e à 23 secondes. Andy Schleck, 9e, endosse le maillot jaune.
Le lauréat de l'an dernier a joué son va-tout dans cette dernière étape alpestre en attaquant dès la première difficulté dans le Col du Télégraphe après une vingtaine de kilomètres de course. Alberto Contador est resté en tête jusqu'à moins de 2 km de l'arrivée au sommet de l'Alpe d'Huez, rejoint ensuite par Rolland et Sanchez.
A 57 secondes, le Slovène Peter Velits a pris la 4e place devant Cadel Evans. Thomas De Gendt est premier belge en 6e position, devant l'Italien Damiano Cunego, 7e, Frank Schleck, 8e et Andy Schleck, 9e, tous à 57 secondes. Au classement général, Andy Schleck (Leopard-Trek) en profite pour endosser le maillot jaune de leader à la veille d'un contre-la-montre décisif samedi Grenoble (42,5km). Le Français Thomas Voeckler termine en effet à plus de 3 minutes.
Pierre Rolland est le premier Français à s'imposer au sommet de l'Alpe d'Huez depuis 25 ans et le succès de Bernard Hinault en 1986. Jelle Vanendert doit céder son maillot de meilleur grimpeur à Samuel Sanchez. Andy Schleck possède 53 secondes d'avance au classement, sur son frère, Frank, et 57 sur Cadel Evans.
"Je connaissais l'Alpe d'Huez comme ma poche"
Voici les déclarations de Pierre Rolland (Fra/Europcar), vainqueur de l'étape: "Dans le Galibier, Thomas (Voeckler) m'a dit: 'ne t'occupe plus de moi'. Je me suis dit que j'allais jouer ma carte. J'ai voulu prendre de l'avance avant la montée. Je connaissais très bien la montée de l'Alpe d'Huez, je l'ai montée dix fois en stage, je l'ai visionnée aussi des dizaines de fois. J'ai gardé mon sang-froid face à deux Espagnols qui s'entendent bien, qui roulent ensemble depuis le départ. C'était quitte ou double, mais je ne voulais pas faire deuxième. Au virage numéro un, je savais que je pouvais mettre grand plateau et aller à bloc jusqu'à l'arrivée."
L'Alpe d'Huez dernier round en montagne
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Evans à la poursuite de Frank Schleck. L'Alpe d'Huez sera le théâtre d'un beau duel entre les deux derniers favoris à la victoire finale. Á moins que Voeckler ne résiste? © belga
L'ascension de l'Alpe d'Huez vient en conclusion de la 19e étape du Tour de France, la dernière de montagne, vendredi, à deux jours de l'arrivée à Paris et alors de Thomas Voeckler est toujours en jaune. De Modane Val Fréjus à la station de l'Oisans, le parcours se limite à 109,5 kilomètres, en montée et en descente.
La course aborde le Galibier, du côté de son versant le plus dur, par son marche-pied du Télégraphe (1re catégorie, Km 26,5). A partir de Valloire, la route attaque le col proprement dit, classé hors catégorie (16,7 km à 6,8 %), jusqu'au tunnel situé à 2556 mètres d'altitude, légèrement en contre-bas du col qui accueille l'arrivée de l'étape précédente.
La très longue descente par le Lautaret et la bourgade de la Grave conduit à Bourg-d'Oisans, au pied de la montée aux 21 virages, longue de 13,8 kilomètres (à 7,9 %). La ligne est installée à l'altitude de 1850 mètres, sur l'avenue du Rif Nel où l'Espagnol Carlos Sastre avait bâti son succès final en 2008.
L'Alpe d'Huez (1400 habitants), dont les 21 virages en lacets sont devenus légendaires, accueille la Grande Boucle pour la 27e fois depuis la première arrivée en 1952. Départ de Modane à 14h30 (lancé à 14h35), arrivée à l'Alpe d'Huez vers 17h37 (moyenne calculée à 36 km/h).
Le Tour de Wallonie, déjà penser à l'après-Tour
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© photo news
Le Tour cycliste de Wallonie marque dès samedi au départ d'Amay, près de Liège, la transition vers la deuxième partie de saison alors que le Tour de France se termine dimanche à Paris.
Pour de nombreux coureurs absents de la Grande Boucle pour diverses raisons (blessures, méforme, choix du directeur sportif), les routes de la partie sud de la Belgique sont un bon moyen de se jauger.
L'ancien champion de Belgique Stijn Devolder, qui avait préféré renoncer au Tour de France, s'estimant en manque de condition, veut sauver sa saison en brillant sur les classiques automnales. Il aura l'occasion de se tester de samedi à mercredi, à l'instar de l'Italien Alessandro Ballan, du Russe Serguei Ivanov ou du Français Pierrick Fédrigo.
Des coureurs comme Russell Downing, vainqueur l'an dernier, Stefano Garzelli, Rinaldo Nocentini, Martin Elmiger, Fabian Wegmann et Danilo Di Luca sont cités parmi les candidats à la victoire. Glen D'Hollander se souviendra lui de sa victoire lors de l'édition 2001.
Les étapes:
Samedi: Amay-Banneux (152 km)
Dimanche: Wanze-Houffalize (194,4 km)
Lundi: Sambreville-Perwez (224,4 km)
Mardi: Enghien-Mouscron (180 km)
Mercredi: Charleroi-Thuin (163,3 km)
Les équipes:
Acqua & Sapone, AG2R, BMC, Cofidis, FDJ, Landbouwkrediet, Leopard, Omega Pharma, Katusha, Quick Step, Skil, Sky, Europcar, RadioShack, Topsport, Vacansoleil, Veranda's Willems, Wallonie-Bruxelles
Le Tour partira de Berlin en 2016 ou 2017
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© afp
Berlin pourrait accueillir le départ du Tour de France en 2016 ou 2017, indique le quotidien Tagesspiegel, vendredi.
"Je vais rencontrer les organisateurs du Tour de France lundi à Paris pour en discuter", a indiqué au journal Thomas Härtel, secrétaire d'Etat au sport de la capitale allemande, qui est aussi un Etat régional. "Les organisateurs ont pensé d'eux-même à Berlin et sont déjà venus en repérage dans la ville", a précisé M. Härtel.
Toutefois, comme à chaque fois qu'il est question de cyclisme en Allemagne, la question de la lutte antidopage n'est jamais loin, et le responsable municipal avertit: "si le Tour devait débuter à Berlin, cela impliquerait que tous les efforts soient mis en oeuvre contre le dopage".
La Grande Boucle a déjà rendu visite une fois à Berlin, en 1987, alors que le Mur existait encore, pour les 750 ans de la ville. Berlin-ouest avait accueilli un prologue en contre-la-montre individuel de 6,1 km le 1er juillet, puis une étape en ligne de 105,5 km le lendemain, et un contre-la-montre par équipe de 40,5 km, le 3.
Comme un symbole, le Polonais Lech Piasecki était devenu le premier coureur du bloc soviétique à revêtir le maillot jaune au terme de l'étape en ligne du 2 juillet, suivie par plus de 100.000 personnes, selon les organisateurs de l'époque.
Les heures de Batista à la tête de l'Argentine comptées
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© reuters
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© getty
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© reuters
Les heures de Sergio Batista, sélectionneur de l'Argentine, éliminée dès les quarts de finale de "sa" Copa America, seraient comptées, avançait la presse argentine vendredi. Le journal Clarin évoque une réunion décisive lundi prochain au sein de la Fédération argentine (AFA) et cite les noms de possibles successeurs: Alejandro Sabella et Gerardo Martino.
A chaud, dans un premier temps, l'AFA avait dit refuser tout "changement brusque" à la tête de l'équipe nationale, par la voix du sous-directeur des sélections, Humberto Grondona, fils du président de l'AFA Julio Grondona. Mais plusieurs décideurs au sein de la Fédération auraient ensuite décidé d'écarter Batista du projet à mettre en place pour réussir un bon Mondial 2014 au Brésil.
Le directeur des sélections, Carlos Bilardo, pourrait aussi être écarté, selon Clarin. Batista s'est d'ailleurs offert au même moment une lettre ouverte dans Clarin, intitulée "la force pour aller de l'avant". Batista explique que l'objectif n'était pas tant de gagner la Copa que d'"envoûter" le public avec le jeu de la sélection, ce qui n'a pu être fait que par intermittences.
Mais en dehors de ce constat, cette "douleur", cette "frustration", Batista se fait surtout son propre avocat en vue de la prochaine étape: se préparer pour le Mondial-2014 au Brésil. "Je suis sûr de mon projet de jeu footbalistique et je sais comment le traduire sur le terrain", martèle le sélectionneur. Et de se présenter en architecte d'un "rêve": "redevenir une grande équipe". "Mon but a toujours été le Mondial (au Brésil) et ça l'est encore", insiste le technicien national, qui est certain que le groupe peut "surmonter les problèmes".
Le maintien de Batista, annoncé dans un premier temps par l'AFA, avait été durement critiqué par son prédécesseur Diego Maradona, en conflit ouvert avec la fédération argentine depuis son éviction. "Si j'étais Batista, et que je n'avais gagné qu'un match contre le Costa Rica, (3-0) je serais parti de moi-même", avait lancé "el Diez" sur Radio Belgrano.
L'élimination de l'Argentine dans sa Copa à domicile contre l'Uruguay (1-1 a.p., 5-4 t.a.b.) avait été durement ressentie dans le pays. "Echec national", avait titré le journal Olé. "Nous sommes footballistiquement morts, parce que c'était la Copa, c'était le moment de décoller, d'armer une équipe autour de Messi et de rêver à un avenir", regrettait ainsi le quotidien sportif.
Batista était déjà peu apprécié des supporters argentins avant cette Copa, le jugeant illégitime à son poste: s'il a conquis le titre olympique en 2008, il n'a aucune expérience dans un (grand) club.
:non::non::non:Si il n'y a pas du Diego la derrière, je ferme ce poste...:fou::langueŽ:
Webber plus rapide qu'Alonso, d'Ambrosio 21e
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© afp
L'Australien Mark Webber (Red Bull) a signé vendredi le meilleur temps de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, qui aura lieu dimanche sur le circuit du Nürburgring (Est).
Avec un chrono de 1 min 31 sec 711/1000, Webber a devancé de 168/1000 l'Espagnol Fernando Alonso (2e), déjà meilleur temps vendredi matin, ce qui montre que sa Ferrari est bien au niveau des meilleurs. La Scuderia semble faire jeu égal avec les Red Bull, l'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull), 3e, précédant le Brésilien Felipe Massa (Ferrari), 4e.
Derrière, les deux Mercedes des Allemands Michael Schumacher (5e) et Nico Rosberg (6e) ont pris la place des McLaren, à ces rangs vendredi matin. Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren) est ainsi 7e. Il devance les deux Lotus Renault de l'Allemand Nick Heidfeld (8e) et du Russe Vitaly Petrov (9e), alors que l'Allemand Adrian Sutil (Force India) finit 10e.
Sans connaître les réglages testés ni la quantité d'essence embarquée, deux facteurs pouvant faire grandement varier les temps au tour, tout comme les types de pneus dont sont chaussées les monoplaces, il il est probable que ce classement ne reflètera pas celui de la grille de départ dimanche. D'autant que la pluie est annoncée pour les qualifications et la course, ce qui devrait encore modifier les forces en présence.
Jérôme d'Ambrosio (Virgin-Cosworth), auteur du 24e et dernier chrono vendredi matin (1:40.428), a cette fois signé le 21e chrono en 1:37.313.
;)bel exploit Jérome...Faut dire que c'est la presse belge qui le dit:DBonne route quand même......
Malisse sorti par Harrison à Atlanta
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Xavier Malisse a été éliminé au 2e tour du tournoi de tennis d'Atlanta, épreuve de l'ATP sur surface dure dotée de 375.000 euros, jeudi aux Etats-Unis.
Le Courtraisien, 40e mondial et exempté du 1er tour vu son statut de tête de série N.4, s'est incliné 6-7 (3) 6-4 6-4 face à l'Américain Ryan Harrison (ATP 120), qu'il rencontrait pour la première fois
Corruption à la Fifa: lourde sanction en vue pour Bin Hammam
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© ap
Mohamed Bin Hammam, président de la Confédération asiatique suspendu pour corruption présumée par la Fédération internationale de football (Fifa), se dit innocent mais s'attend au pire, dénonçant une procédure inéquitable, devant le comité d'éthique vendredi et samedi à Zurich.
L'affaire avait éclaté fin mai, juste avant l'élection présidentielle à la Fifa où le Qatarien Mohamed Bin Hammam était opposé au président sortant, le Suisse Joseph Blatter. MBH est soupçonné d'avoir voulu acheter des voix dans le cadre d'une réunion de la Confédération du football caribéen début mai à Trinité et Tobago, avec des enveloppes contenant 40.000 dollars (28.000 euros). Des photos de ces prétendues enveloppes marron ont déjà circulé sur internet sans qu'il soit possible de les authentifier.
Bin Hammam avait retiré sa candidature avant de se retrouver frappé de suspension depuis sept semaines, le temps de l'enquête interne par le comité d'éthique. Blatter, seul candidat en lice, avait été réélu dans une ambiance délétère le 1er juin, le mot de corruption étant sur toutes les lèvres. Le Qatarien de 62 ans clame toujours son innocence et assure en apporter les preuves devant le comité d'éthique qui l'auditionne vendredi à Zurich au siège de la Fifa avant de délibérer et rendre sa décision samedi. Mais dans son blog, MBH répète que, s'il espère bien une audition "juste" en toute "indépendance", il regrette une procédure "biaisée" et "inéquitable".
Quincy Jones
"Je suis suspendu depuis sept semaines parce que j'aurais soudoyé des personnes. Et ça ne surprend personne que ceux qui prétendent avoir reçu ces supposés pots-de-vin ne soient pas frappés de la même sanction que moi ?", s'interroge-t-il. "Pourquoi le comité d'éthique de la Fifa était si pressé de me suspendre avant l'élection à la présidence, puis commence seulement à chercher des preuves de ma culpabilité ou de mon innocence ?", enchaîne-t-il. "Il n'y a aucun doute qu'une campagne avait été organisée pour s'assurer que je ressemble à un coupable et m'éliminer du monde du football aux yeux de la justice populaire, avant même cette audition", assène l'homme d'affaires aux faux airs de Quincy Jones.
Et de dénoncer ces "fuites" dans la presse, des sources anonymes présentées comme membres du comité d'éthique ou de la Fifa qui font état "de preuves de versement d'argent en échange de voix" ou prétendent encore qu'il sera "banni à vie de toute activité liée au football". Mais MBH ne veut pas être une victime expiatoire. Si le comité d'éthique le condamne lourdement, il entend saisir le Tribunal fédéral suisse et le Tribunal arbitral du sport (TAS), a précisé une source de son entourage à l'AFP. Vendredi et samedi, les implications de deux responsables du football caribéen, Debbie Minguell et Jason Sylvester, personnages moins en vue que Bin Hammam, seront également examinées par le comité d'éthique.
Egalement suspendu au départ dans cette affaire, pour complicité présumée avec Bin Hammam, le Trinitéen Jack Warner, vice-président de la Fifa, a présenté le 20 juin sa démission. "Warner ayant lui-même choisi de démissionner, toutes les procédures menées à son encontre par le comité d'éthique sont closes, et la présomption d'innocence demeure", avait commenté à cette date la Fifa. Warner a pu être entendu dans cette enquête en tant que témoin et non plus en tant que suspect. (afp)
:DIl faut un coupable... et pendant ce temps là le Suisse Blatter -Platini etc se sucre sans boire le café.......:p:diable:
Marion Jones virée par le club de basket de Tulsa
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Marion Jones, qui voulait se relancer dans le basket-ball après la fin de sa carrière de star de l'athlétisme terminée dans le déshonneur et la prison en raison de la prise de produits dopants, ne fait plus partie du club de Tulsa Shock, qui évolue dans le championnat WNBA.
Jones, qui avait admis en 2007 s'être dopée en prenant un stéroïde non détectable, le THG, a purgé six mois de prison pour avoir menti aux enquêteurs fédéraux. Marion Jones, 35 ans, qui avait joué au basket-ball pour l'université de Caroline du Nord, championne des Etats-Unis en 1994, avait rejoint le Tulsa Shock en mars 2010.
Le Shock a expliqué avoir mis fin à sa collaboration avec Marion Jones afin d'engager Abi Olajuwon, 23 ans et fille de l'ancien grand joueur de NBA, Hakeem Olajuwon. (afp)
Décès de l'apnéiste Patrick Musimu dans sa piscine
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L'apnéiste belge Patrick Musimu est décédé jeudi après-midi d'un accident dans sa piscine à Watermael-Boitsfort (Région bruxelloise), ont confirmé vendredi des sources policière et judiciaire. La police a découvert son corps inanimé jeudi vers 13H40. Patrick Musimu est décédé dans sa piscine à la fin d'un entraînement.
Le sportif, né à Kinshasa en 1970, a fait un malaise et s'est noyé. Le plongeur belge était le premier homme à être descendu à plus de 200 mètres de profondeur en apnée en atteignant les 209,60 mètres, en "No Limit", lors d'un entraînement en juin 2005 à Hurghada, en Egypte.
Il avait découvert la plongée sur le tard à la suite d'un reportage télévisé. Après quelques mois d'initiation, le licencié en kinésithérapie battait déja deux records du monde, en Belgique, lors d'une Coupe du Monde d'apnée: le 65 m en immersion libre et celui du 63 m à poids constant.
En avril 2002, il détrônait le célèbre Italien Umberto Pelizzari, champion du monde en titre, en descendant à 87 m en poids constant pour établir quelques mois plus tard le record du monde en poids variable à 120 mètres. Patrick Musimu avait mis au point une technique consistant à remplir ses cavités nasale et sinusale d'eau de mer, comblant le vide normalement occupé par l'air ce qui lui permettait de ne plus devoir compenser la différence de pression en cours de plongée. Patrick Musimu laisse derrière lui une petite fille de sept ans ainsi que son épouse.
:non::non:c'est l'arroseur arrosé. vraiment con cette mort
Le Grand Prix d'Australie menacé après 2015
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L'avenir du Grand Prix d'Australie de Formule 1, organisé près de Melbourne, dans l'Etat de Victoria, n'est pas assuré après 2015 en raison des 38 millions d'euros de subventions annuelles qu'il nécessite, a indiqué la ministre du Tourisme du Victoria vendredi.
"C'est une très, très grosse subventions et je ne suis pas à l'aise avec ça", a déclaré Mme Asher. La ministre du Tourisme de l'Etat de Melbourne a expliqué que son gouvernement ne garantirait son soutien au GP australien que jusqu'en 2015, terme du contrat qui lie les organisateurs à la société de Bernie Ecclestone, grand argentier de la F1.
Mme Asher a précisé que le montant des subventions nécessaires à l'organisation de la course était de 38 millions d'euros, dont la moitié seulement pour obtenir les droits d'accueillir le Grand Prix. "Je lui tire mon chapeau. Il (Ecclestone) a négocié une très belle affaire avec le gouvernement précédent", a ajouté la ministre.
La ministre a révélé qu'en raison du contrat signé par le gouvernement travailliste précédent, les subventions avaient été multipliées par 9 depuis 2001, pour un total de 226 millions d'euros.
Selon une étude d'impact, le Grand Prix engendrerait entre 24 et 29 millions d'euros de retombées économiques au Victoria. La ministre du nouveau gouvernement libéral du Victoria a annoncé que des négociations pour l'après 2015 auraient lieu en 2013 et 2014.
:diable:Bon je stop là, surtout que vous ne mettez pas trop de nouvelles...:p
:diable:En Suisse on dit tu es un paysan si tu ne vends pas ta vache au prix du boeuf tu n'as rien compris...
en fait vous visitez les nouvelles sportives mais vous n'avez pas de commentaires...
bref, c'est Triste
:diable:Cela pour vous dire que je parle de toutes Nationalités confondues...
:pSi les Suisses sont (bons) partout, pas de ma faute..........
:diable:En Suisse on dit tu es un paysan si tu ne vends pas ta vache au prix du boeuf tu n'as rien compris...
en fait vous visitez les nouvelles sportives mais vous n'avez pas de commentaires...
bref, c'est Triste
:diable:Cela pour vous dire que je parle de toutes Nationalités confondues...
:pSi les Suisses sont (bons) partout, pas de ma faute..........
Moi j'viens souvent les voir Norton et j'aime bien ! Bon je t'avoue que savoir si le servette ou le neuchatel gagne ç'est pareil :yes::p;)
Au faîtes le neuchatel a finalement racheté par un riche qatari ou je ne plus d'ou ?
Moi j'viens souvent les voir Norton et j'aime bien ! Bon je t'avoue que savoir si le servette ou le neuchatel gagne ça m'est un égal :yes::p;)
Au faîtes le neuchatel a finalement racheté par un riche qatari ou je ne plus d'ou ?
13. mai 2011 - 11:48
Neuchâtel Xamax désormais à l’heure tchétchène
http://www.swissinfo.ch/media/cms/images/keystone/2011/05/111947420-30223176.jpg Légende: Le nouveau président Andreï Rudakov a réitéré jeudi soir les ambitions de son patron Bulat Chagaev de «refaire de Xamax l’équipe qui a brillé dans les années ’80 et de disputer à nouveau la Coupe d’Europe». (Keystone)
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Par Samuel Jaberg, swissinfo.ch
Au terme d’une semaine agitée à Neuchâtel, l’homme d’affaires tchétchène Bulat Chagaev a officiellement repris jeudi soir les rênes de Neuchâtel Xamax. Expédiée en 24 minutes, l’assemblée générale n’aura pas permis de lever tous les doutes.
Il a surtout brillé par son absence. Bulat Chagaev, nouvel homme fort de Neuchâtel Xamax, n’était pas présent jeudi soir à l’assemblée générale extraordinaire du club dans les salons du stade de la Maladière.
La veille au soir, l’homme d’affaires tchétchène était encore à Grozny pour l’inauguration d’un nouveau stade de 30'000 personnes. C’est lui qui avait organisé la rencontre opposant une sélection d’anciennes gloires composée notamment de Luis Figo et Diego Maradona, et une équipe formée autour du jeune président tchétchène Ramzan Kadyrov.
Le lendemain, toutes ces anciennes idoles étaient attendues à Neuchâtel pour un cocktail dînatoire organisé par Bulat Chagaev. Elles n’ont finalement pas répondu présent. Motif invoqué: l’avion privé de l’homme d’affaires tchétchène n’a pas pu décoller à temps de Grozny. Pas de Maradona donc à Neuchâtel, dont le nom avait circulé dans la presse pour occuper le poste d’entraîneur. Ni de Bulat Chagaev, désormais actionnaire majoritaire, qui a laissé le soin à son bras opérationnel Andreï Rudakov, intronisé président du Conseil d’administration, de se voir remettre les clés du club.
Les nouveaux dirigeants n’ont pas tardé à prendre leur première décision. Exit l’entraîneur Didier Ollé-Nicole, à qui l’on n’a pas pardonné la sévère défaite concédée face à Thoune (1-4) mercredi soir dans un stade plein, l’entrée ayant été offerte par les nouveaux propriétaires. Il sera remplacé par Bernard Challandes, homme du crû, qui aura pour rude mission d’assurer le maintien du club en première division.
http://www.swissinfo.ch/media/cms/images/null/2011/05/screen-30169910.jpg Bulat Chagaev est officiellement le nouveau patron de Neuchâtel Xamax. (tsr)
Augmenter le budget
Le nouveau président Andreï Rudakov a insisté sur l’importance de voir Neuchâtel Xamax rester en première division. Il a également réitéré les ambitions de son patron de «refaire de Xamax l’équipe qui a brillé dans les années ’80 et de disputer à nouveau la Coupe d’Europe».
Pour cela, il faudra augmenter le budget du club, a-t-il affirmé, sans donner de chiffres précis. «Regardez le budget du FC Bâle», a-t-il dit pour donner un ordre d’idée.
Andreï Rudakov a en revanche balayé d’un revers de main toutes les critiques à l’égard de Bulat Chagaev, dont l’origine opaque de la fortune et les liens qu’il entretient avec le président tchétchène ont soulevé la polémique depuis l’annonce de la reprise du club. «La Suisse est un pays démocratique, ceux qui veulent s’exprimer le font. Nous sommes concentrés sur le football», a déclaré Andreï Rudakov.
Peu d’oppositions
Durant l’assemblée, un seul homme, détenteur de trois des 300'000 actions, s’est opposé à la remise du club à Bulat Chagaev. Le président-mécène sortant Sylvio Bernasconi s’est à cet instant fendu d’une plaisanterie qui a peu fait rire l’assistance: «C’est comme en Tchétchénie, trois voix contre, ce n’est rien».
Michel Reymond, actionnaire depuis 10 ans et supporter de toujours, a été «surpris» quand il a constaté qu’il était le seul à lever son bulletin de vote - il y a eu en revanche plusieurs abstentionnistes. «D’autres pensent comme moi, mais ils n’ont pas eu le courage de s’opposer. J’estime que la présidence devrait rester dans le canton. Avec tout ce qu’on entend sur Monsieur Chagaev, j’ai un peu peur. L’avenir de Xamax s’annonce sombre».
Depuis l’annonce de l’arrivée de Bulat Chagaev, plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer la nouvelle mainmise tchétchène sur le club. Une manifestation réunissant une cinquantaine de personnes a été organisée mercredi soir à Neuchâtel à l’instigation d’un professeur d’université, qui avait auparavant dénoncé dans un tract virulent les liens de Bulat Chagaev avec Ramzam Kadyrov.
Le club a immédiatement réagi, convoquant la presse et annonçant le dépôt d’une plainte pénale pour diffamation. Paolo Urfer, le directeur sportif de Xamax, justifie une telle mesure: «Monsieur Chagaev a désiré se manifester face à la gravité du tract car ça ne l’a pas laissé insensible. Il nous a demandé de prendre position. La brèche est belle pour certaines organisations qui ne font pas beaucoup parler d’elles. Mais nous sommes un simple club de football, nous refusons d’être diabolisés».
" Nous sommes un simple club de football, nous refusons d’être diabolisés "
Paolo Urfer, directeur sportif de Xamax
Des inquiétudes
Bulat Chagaev, qui serait à la tête d’une fortune de plusieurs milliards de francs, n’a pas véritablement levé les doutes sur l’origine de sa fortune lors de sa seule interview accordée à un média suisse: «Du temps de l’Union soviétique, j’ai travaillé durant 12 ans dans l’industrie d’Etat et ensuite j’ai fait du business. J’étais dans la construction, le bâtiment, la vente de terres et beaucoup d’autres choses. Mais je n’ai jamais été dans le gaz et le pétrole, croyez-moi.»
Le sénateur tessinois Dick Marty s’est inquiété dans les colonnes du Matin «de tout cet argent qui afflue en Suisse en provenance de dictatures, qu’elles soient tchétchène, ouzbek ou kazakhe comme on l’a vu récemment». Et d’ajouter: «Ce monsieur (Chagaev) fait ce qu’il veut, mais il devrait plutôt se soucier de son pays qui vit encore largement dans la misère et où les droits de l’homme sont gravement violés. J’ai moi-même témoigné lors d’un procès contre Kadyrov accusé d’être mêlé à des assassinats en Tchétchénie. Il faut se souvenir que son régime a déjà été condamné 200 fois devant la Cour européenne des droits de l’homme!»
Et que pensent les autorités suisses de l’arrivée sur le devant de la scène médiatique d’un investisseur tchétchène qui se dit proche du pouvoir en place? «Objectivement, ce n’est pas un sujet de discussion au Conseil fédéral», a affirmé le ministre Didier Burkhalter sur les antennes de la radio suisse romande. «Je suis lié par le cœur au club, j’y ai joué toutes mes années de junior. Je n’ai pas d’avis sur le reste, je fais confiance aux dirigeants.»
Retrouver la sérénité
Quant à Sylvio Bernasconi, le président-mécène qui quitte ses fonctions après six ans passées à la tête du club, il s’est montré très amer tout au long de la soirée, fustigeant «l’amnésie» des médias à son égard et jouant souvent sur le registre de la provocation. «Je suis sûr que je me serais aussi bien entendu avec Monsieur Kadyrov», a-t-il ainsi répondu à une question de swissinfo.ch concernant les liens supposés du nouvel homme fort du club avec le président tchétchène.
Mais à Neuchâtel, la volonté est désormais à l’apaisement des esprits, essentielle pour que l’équipe retrouve une certaine sérénité. Gilbert Facchinetti, président de Xamax de 1979 à 2003, résume ainsi le sentiment d’une bonne partie des actionnaires et des supporters: «Je suis à la fois heureux que l’on ait trouvé un repreneur, mais aussi triste de voir le club s’éloigner de son ancrage cantonal. Comme je suis un homme fondamentalement positif, je fais confiance en nos nouveaux dirigeants».
Samuel Jaberg, swissinfo.ch
Neuchâtel
;)Salut Pechos à mon avis c'est un bien pour XamaX
F1 - Lotus Renault
Kubica : «Je serai là en 2012»
Robert Kubica, qui poursuit sa rééducation après son terrible accident lors d'un rallye en Italie début février, est confiant sur ses chances d'être présent sur la grille en 2012.
http://www.lequipe.fr/Medias/Formule1/201004/430x313/kubica-atout-n-1-de-renault.jpg
Robert Kubica va de mieux en mieux et se voit sur la grille en 2012. (EQ)
Robert Kubica va de mieux en mieux et sa rééducation se passe bien, comme il l'espérait. C'est ce qu'il a rappelé lors d'un chat avec des fans sur le site de son écurie (http://www.lotusrenaultgp.com/?lang=fr), Lotus Renault. Et le Polonais, dans ces conditions, pense bien pouvoir être au départ du premier Grand Prix de la saison prochaine. «Oui, je serai là (l'année prochaine), a-t-il affirmé. Je suis satisfait de la manière dont tout se passe. Je progresse de la manière prévue, et heureusement, il n'y a pas de complications. Mais il est encore trop tôt pour établir un programme de retour. Physiquement, je suis encore un peu faible, mais ma condition générale est bonne. J'ai retrouvé mon poids normal et dans quelques semaines je serai capable de marcher sans aide.»
«Je ne pense pas (que l'accident va affecter mes performances), a-t-il ajouté. Je ne me souviens de rien, je sais juste quelles conséquences il a eu. Mais pour moi, il ne s'est rien passé.»
Le Polonais a également réaffirmé son engagement avec son écurie : «Je suis un pilote Lotus Renault. Cela me manque de ne pas pouvoir piloter pour eux cette saison, mais je sens que mon travail à Enstone n'est pas encore terminé.»
Tu vois que je participe (un peu):boutons:
Je viens ici très régulièrement, comme beaucoup d'autres je pense, tu ne travailles donc pas pour rien.
Merci Norton
F1 - Lotus Renault
Kubica : «Je serai là en 2012»
Robert Kubica, qui poursuit sa rééducation après son terrible accident lors d'un rallye en Italie début février, est confiant sur ses chances d'être présent sur la grille en 2012.
http://www.lequipe.fr/Medias/Formule1/201004/430x313/kubica-atout-n-1-de-renault.jpg
Robert Kubica va de mieux en mieux et se voit sur la grille en 2012. (EQ)
Robert Kubica va de mieux en mieux et sa rééducation se passe bien, comme il l'espérait. C'est ce qu'il a rappelé lors d'un chat avec des fans sur le site de son écurie (http://www.lotusrenaultgp.com/?lang=fr), Lotus Renault. Et le Polonais, dans ces conditions, pense bien pouvoir être au départ du premier Grand Prix de la saison prochaine. «Oui, je serai là (l'année prochaine), a-t-il affirmé. Je suis satisfait de la manière dont tout se passe. Je progresse de la manière prévue, et heureusement, il n'y a pas de complications. Mais il est encore trop tôt pour établir un programme de retour. Physiquement, je suis encore un peu faible, mais ma condition générale est bonne. J'ai retrouvé mon poids normal et dans quelques semaines je serai capable de marcher sans aide.»
«Je ne pense pas (que l'accident va affecter mes performances), a-t-il ajouté. Je ne me souviens de rien, je sais juste quelles conséquences il a eu. Mais pour moi, il ne s'est rien passé.»
Le Polonais a également réaffirmé son engagement avec son écurie : «Je suis un pilote Lotus Renault. Cela me manque de ne pas pouvoir piloter pour eux cette saison, mais je sens que mon travail à Enstone n'est pas encore terminé.»
Tu vois que je participe (un peu):boutons:
Je viens ici très régulièrement, comme beaucoup d'autres je pense, tu ne travailles donc pas pour rien.
Merci Norton
Merci à toi Pasky, ne te gêne pas de donner ton avis....
J'apprécie beaucoup Kubica et suis hureux d'avoir de bonnes nouvelles..
Bonne journée et à plus..
Aujourd'hui le tour se gagne ou se perd, toujours mon favori Cadel Evans une bête contre la montr mais Andy et en super forme.....ä voir...:fou::D
Cinquante
23/07/2011, 10h15
[QUOTE=Norton;485020
Aujourd'hui le tour se gagne ou se perd, toujours mon favori Cadel Evans une bête contre la montr mais Andy et en super forme.....ä voir...:fou::D[/QUOTE]
Ben quoi... ils sont pas Suisses !
Pourquoi ils t'intéressent ces deux là ? :)
Et le Suisse qui gagnait, il trichait non ?
En fait, pour le moteur électrique, je m'étais beaucoup intéressé au truc et, pour moi, ça ne tient pas debout cette histoire. Vu la dimension des batteries qu'aurait pu tenir le cadre, ça lui aurait donné 100 W pendant 3 mn ce qui aurait été suffisant pour placer son démarrage mais vu le poids que ça aurait occasionné, sur la distance, ça l'aurait plutôt handicapé qu'autre chose.
Tout ça pour te faire remarquer, mon petit trésor, que je m'intéresse aussi à ta rubrique sportive.
Tu veux que je te dise merci pour chaque article ?
Vais demander à Xor de me faire un truc automatique ! :)
En fait, pour le moteur électrique, je m'étais beaucoup intéressé au truc et, pour moi, ça ne tient pas debout cette histoire. Vu la dimension des batteries qu'aurait pu tenir le cadre, ça lui aurait donné 100 W pendant 3 mn ce qui aurait été suffisant pour placer son démarrage mais vu le poids que ça aurait occasionné, sur la distance, ça l'aurait plutôt handicapé qu'autre chose.
Il me semble que c'était le pédalier qui disposait d'un système de récupération de l'énergie, après je suis pas vraiment spécialiste :)
Tu veux que je te dise merci pour chaque article ?
Vais demander à Xor de me faire un truc automatique ! :)
Mets-le dans ta signature:)
Sinon pour dire que moi aussi je jette tous les jours un œil à cette rubrique, même si tout ne m'intéresse pas forcément :)
moi je m'en fou des suisses:p et des autres aussi:D
moi je m'en fou des suisses:p et des autres aussi:D
http://www.larousse.fr/encyclopedie/data/images/1001060.jpg
Il te manque une visière tu verrais mieux devant toi, un peu plus loin que ton nombril....
AUTOMOBILISME
Ecclestone, la controverse de trop?
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[URL="http://twitter.com/share?text=Ecclestone%2C+la+controverse+de+trop%3F&url=http://www.lematin.ch/sports/auto-moto/formule-1/ecclestone-la-controverse-de-trop"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/auto-moto/formule-1/ecclestone-la-controverse-de-trop&t=Ecclestone%2C+la+controverse+de+trop%3F)
23. juillet 2011, 23h16
Luc Domenjoz, Nürburgring | Le Matin Dimanche
C’est un petit homme devenu grand. Véritable génie commercial, le Britannique qui a mené la formule 1 au sommet voit désormais sa gouvernance remise en question par une affaire de corruption. Histoire d’une ascension fulgurante et d’une chute annoncée.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/f1_66.jpg Venu d’un milieu modeste, Bernie Ecclestone s’est construit un véritable empire à coups de stratégies commerciales plus ou moins douteuses. Mais la roue est en train de tourner et Bernie n’est pas loin de la sortie de piste. © Keystone
Dans les paddocks de formule 1, il existe un vieux dicton jamais démenti: «… et, à la fin, c’est Bernie qui gagne!» Depuis que Charles Bernard Ecclestone (dit «Bernie», ou encore «Mister E») a posé le pied dans un paddock de F1, dans les années 60, son influence n’a cessé de croître et sa richesse de s’accroître.
Quels que soient les problèmes surgis au fil des ans, ou les menaces qui ont pesé sur son contrôle de la F1, il a toujours fini par écarter ses ennemis, en profitant même généralement pour renforcer son pouvoir. Rien ne prédisposait pourtant le petit Bernard à une telle destinée. Mal connue jusqu’ici, sa vie vient de faire l’objet de deux biographies qui éclairent son ascension, mais aussi ses méthodes brutales*.
Parti de rien
Bernie Ecclestone naît le 28 octobre 1930 à St Peter, en Angleterre, dans un foyer extrêmement modeste dont les revenus ne permettent pas d’offrir de cadeaux à leurs deux enfants. La famille vit seule, personne ne leur rend jamais visite, et aujourd’hui encore Bernie Ecclestone a horreur des fêtes ou des cadeaux.
Après avoir passé son enfance à monter et démonter la vieille moto de son père pour tout passe-temps, il se lance, la guerre terminée, dans le commerce des deux-roues, puis des voitures d’occasion.
Sans éducation, sans la moindre qualification, il ne réussit que par un amour maladif de l’argent ainsi qu’un fabuleux sens des affaires et des magouilles. Son truc est simple: il débarque dans un garage et propose à son interlocuteur d’acquérir l’intégralité de son parc de véhicules pour une somme qui semble importante. Le vendeur accepte sans se rendre compte que Bernie est venu la nuit précédente évaluer avec précision toutes les voitures présentes et formuler une offre nettement inférieure à la valeur du tout.
Il a aussi la chance de se trouver dans le bon créneau. Dans les années 50, la classe moyenne anglaise se passionne pour les voitures et en achète avec les économies réalisées pendant la guerre. Bernie Ecclestone s’enrichit de manière indécente.
Mais si l’homme d’affaires est redoutable, le personnage n’inspire guère de sympathie. Brillant, cassant et colérique, ses amis disent qu’ils ne l’ont jamais vu heureux. Avec ses employés, il se montre impitoyable. «Je me fiche de l’avis des autres, et je me débarrasse de ceux qui me le donnent, reconnaît-il. Je suis petit, et les petits doivent se battre pour survivre. J’ai mené toutes les batailles que j’avais une bonne chance de remporter. Devant les autres, je fuyais…»
Son caractère irascible le voit exploser ses téléphones contre les murs à chaque fois que la conversation prend une mauvaise tournure, tandis que sa passion maniaque de l’ordre le pousse à exiger un garage d’une propreté clinique. Dans les affaires, il ne cesse de tricher, s’étant fait une spécialité de «reculer» les compteurs kilométriques des voitures qu’il rachète.
Fils, mari et père indigne
Marié à trois reprises, il se moque de sa famille, ne prenant pas la peine de se rendre au mariage de sa fille, Debbie, ou à l’enterrement de ses parents. Au moment de se marier avec sa première épouse, Ivy, il quitte la cérémonie et retourne à son bureau dès les consentements échangés, sans faire la fête, et… en oubliant la mariée!
Devenu très ami avec l’Allemand Jochen Rindt, l’un de ses clients, il assiste à quelques grands prix vers la fin des années 60. A Monza, en 1970, Rindt est en passe de remporter le championnat du monde de formule 1 lorsqu’il se tue au volant de sa Lotus.
Bernie n’affiche pourtant aucune émotion et rachète l’écurie Brabham dans les mois qui suivent. Une fois encore, il a flairé la bonne affaire: à l’époque, les écuries négocient individuellement les primes versées par les circuits. Bernie leur propose de tout centraliser et de s’en occuper, moyennant une commission de 2%. En 1976, au moment de regrouper des droits télévisés jusqu’alors désorganisés, il augmente sa commission – qui finit par s’élever à plus de 50%.
La machine Ecclestone est lancée. En quelques années, le Britannique transforme un championnat pour passionnés aux mains graisseuses en un show à l’aura mondiale. En 1999, il acquiert les droits commerciaux de la formule 1 jusqu’en 2109, et vend ses sociétés à une chaîne de télévision allemande, EM.TV pour 3 milliards de livres sterling.
C’est alors que l’affaire se complique: peu après, EM.TV est reprise par le groupe de médias Kirch. Ce dernier fait faillite en 2002, et ses trois banques créancières se retrouvent propriétaires des droits commerciaux de la F1.
L’une d’entre elles, la Bayerische Landesbank, charge Gerhard Gribkowsky, l’un de ses employés, de se débarrasser de cet actif encombrant. L’Allemand se lie d’amitié avec Bernie, et tous deux convainquent la société CVC Capital Partners, un fonds d’investissement, de racheter la F1 des mains des banques. Sur l’insistance de Gribkowsky, le contrat de vente prévoit que Bernie Ecclestone reste le patron absolu de la F1.
La valse des millions
En échange de son aide, Bernie Ecclestone verse alors une commission de 44 millions de dollars à Gribkowsky, et tout cela serait passé inaperçu si l’Allemand n’avait été arrêté, début 2011, par les autorités de son pays pour fraude fiscale – il n’avait pas déclaré cette rondelette commission.
Mais depuis, la justice d’outre-Rhin est sur la piste de Bernie Ecclestone. Et alors qu’il avait toujours nié avoir versé le moindre pot-de-vin dans l’affaire de la vente à CVC, le Britannique, avant-hier, a avoué avoir effectivement payé 44 millions de dollars à Gribkowsky. Tout en réfutant la moindre illégalité. «Il me menaçait, justifie désormais Bernie Ecclestone. Il voulait me dénoncer au fisc anglais. On était justement en train de finaliser un accord fiscal qui avait nécessité cinq ans de négociation. Je n’avais aucune envie que «Gribko» vienne leur dire n’importe quoi. J’ai préféré payer.»
Le problème, pour Bernie Ecclestone, c’est que la justice allemande le soupçonne d’avoir reçu, en échange de ce versement, un montant de 66,5 millions de dollars venant de la Bayerische Landesbank (qui appartient à l’Etat) sur instructions de Gribkowsky. Bernie Ecclestone l’admet, mais conteste toute irrégularité, affirmant que ces 66,5 millions n’étaient qu’une commission classique liée à la vente à CVC.
Bernie Ecclestone semble dans une position très difficile, ainsi que le prouvent ses aveux soudains de vendredi. Désormais dans le collimateur de la justice allemande, il pourrait se voir prochainement inculpé de corruption et de fraude. Ce qui, à 80 ans, menacerait sérieusement sa position à la tête de la F1.
A moins que, comme toujours… à la fin, ce soit Bernie qui gagne.
Football
Copa America: le Pérou s'empare de la 3ème place
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23. juillet 2011, 23h25
LeMatin.ch & les agences
Le Pérou sur le podium de la Copa America. Grâce à 3 buts de Guerrero, le Pérou bat le Venezuela et monte sur la troisième marche du podium.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/118001390.JPG Trois buts de Guerrero emmènent le Pérou sur la troisième place du podium © Keystone
Le Pérou a confirmé son regain continental en s’emparant de la troisième place de la Copa America, samedi à La Plata, grâce à un triplé de Guerrero au détriment du Venezuela (4-1), généreux mais naïf, et qui a de toute façon réalisé le meilleur tournoi de son histoire.
L’Albirroja, titrée en 1939 et 1975 et dont le meilleur résultat récent était une 4e place en 1997, monte sur le podium d’une Copa America pour la septième fois de son histoire.
Elle effectue surtout un spectaculaire rétablissement après avoir terminé à la dernière place du groupe sud-américain de qualifications au Mondial-2010. Le sélectionneur Sergio Markarian, qui avait repris à la suite de ce fiasco, peut envisager plus sereinement la campagne pour 2014.
Signe de l’importance donnée à cette petite finale par les deux équipes, les sélectionneurs avaient limité la rotation, à rebours de la tradition de laisser jouer les "coiffeurs". Manquaient cependant au coup d’envoi les capitaines Vargas (suspendu) et Arango (remplaçant).
Le Pérou, apparu bien terne en demi-finale (0-2 face à l’Uruguay), a réagi en montrant un peu plus d’envie et d’esprit d’entreprise. Mais c’est par un grand réalisme, s’appuyant sur un Guerrero décisif, qu’il fit la différence.
Seule la naïveté vénézuélienne en défense, doublée du sens de la contre-attaque des Péruviens, ont fait basculer le match en leur faveur, sous l’impulsion de Guerrero, auteur d’un triplé (65e, 90e, 90e+3) et passeur décisif sur l’ouverture du score de Chiroque (42e). Le capitaine de l’équipe à bande rouge prenait ainsi seul la tête du classement des buteurs du tournoi (5 buts).
La Vinotinto, même réduite à dix après le carton rouge de Rincon (59e), son deuxième du tournoi, affichait pourtant la même générosité qu’en quart contre le Paraguay (0-0 a.p., 3-5 t.a.b.) et dominait les débats en multipliant les occasions nettes, entre les tentatives de Fedor détournée par le gardien (34e) et à ras du poteau (47e), et la reprise ratée de Cichero devant la cage grande ouverte (82e).
Un activisme récompensé par la réduction du score d’Arango (78e). Mais en terminant au pied du podium et avec une telle raclée, le Venezuela pourra nourrir des regrets.
DÉMOCRATISATION
Les filles ne cessent de faire tomber les bastions masculins du sport
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23. juillet 2011, 19h47
Bertrand Monnard | Le Matin Dimanche
Le Mondial de foot féminin a été un triomphe. Les dames brillent aujourd’hui dans des disciplines qui leur furent longtemps inaccessibles.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/fillesSport.jpg En Allemagne, lors de la dernière Coupe du monde, le football féminin a attiré 800 000 spectateurs dans les stades. © Keystone
De plus en plus de sports féminins, restés longtemps des bastions masculins, connaissent un succès croissant, étonnent le public et envoient valser les vieux clichés machistes. Dernier, et très symbolique, exemple en date: le Mondial de foot féminin en Allemagne, qui, au fil des matches, a vu son engouement inattendu monter à la télé, grâce au bouche-à-oreille, et pas seulement en Allemagne, pays organisateur. En attente d’un événement aussi populaire, le hockey féminin se développe en Europe et en Suisse, même s’il reste loin du phénomène qu’il connaît en Amérique du Nord. Longtemps apanage des hommes, le saut à la perche est devenu l’une des disciplines les plus prisées des organisateurs de meeting grâce à l’ambassadrice de rêve qu’est Yelena Isinbayeva. Enfin, grâce à la ténacité de ses championnes, le saut à skis féminin sera enfin introduit aux JO de 2014 à Sotchi. Tout un symbole.
«Eh, t’as vu le Mondial féminin, ça joue bien et, en plus, les filles sont jolies.» Ces derniers temps, il suffisait d’écouter les discussions de bistrot. Même les machos étaient étonnés. Loin des moqueries habituelles, le foot féminin était au centre de bien des débats. Contrairement à ce qui était attendu, les stades étaient pleins, 800 000 billets ont été vendus dans ce grand pays du foot féminin qu’est l’Allemagne. Et le scénario, même pour nous Romands, en l’absence de l’équipe de Suisse, a été idéal. Les Françaises ayant atteint les demi-finales, la sauce n’a cessé de monter chez nos voisins. L’Equipe y a consacré plusieurs unes, du jamais-vu, et les directs sur Eurosport ont atteint des chiffres records. Et puis, pour couronner le tout, il y a eu l’apothéose, la victoire finale si touchante du Japon, contre les favorites américaines, apportant un peu de baume à un pays meurtri.
Des joueuses très féminines
Tous les clichés ont volé en éclats. Des joueuses très féminines, bien loin de cette image de garçons manqués encore imaginée par certains, et surtout un jeu rapide, spectaculaire, comme le soulignait Jérôme Latta, rédacteur en chef des Cahiers du football, dans une chronique parue dans Le Monde. «Les filles disposent de toute la gamme des gestes techniques, il y a moins d’actes d’antijeu, de simulation, le rythme est élevé. Bien sûr, ce Mondial a profité d’une exposition exceptionnelle grâce à la pause du foot masculin, mais le foot s’est découvert un deuxième sexe. L’idée a toujours prévalu qu’il ne pouvait y avoir de vrai football que celui des hommes. Un jour viendra peut-être où on ne devra plus seulement dire «Coupe du monde», mais préciser «Coupe du monde masculine.» «L’avenir du foot est féminin», avait prédit un jour Sepp Blatter, patron de la FIFA.
Précurseur du foot féminin chez nous, présidente depuis vingt-quatre ans d’Yverdon-Sports, meilleure équipe romande, vainqueur des deux dernières Coupes de Suisse, Linda Viallate est ravie. «Chez nous aussi, il y a de l’engagement, de la rapidité. On nous compare souvent aux hommes en se demandant à quel niveau on jouerait chez eux. Mais, non, le foot féminin est un sport à part entière, nos joueuses ne sont pas des filles qui font du foot, mais des footballeuses. Elles sont bien dans leurs baskets, font ce qu’elles aiment, défendent de vraies valeurs comme le fair-play, qui se perd un peu ailleurs, quand on voit ce qui se passe dans le foot romand.»
Audrey Riaz (25 ans), employée de commerce, est milieu de terrain à Yverdon. «J’ai commencé à jouer à Tolochenaz avec la bande de Kevin, mon petit frère. J’étais la seule fille. Aujourd’hui, quand des gens demandent comment on joue, je leur réponds: «Mais venez nous voir!» Quant aux clichés, du genre football féminin égale homosexuelles, c’est horrible. Il y a des filles hyperféminines dans notre équipe.»
Le Mondial de hockey féminin, qui a eu lieu ce printemps en Suisse, à Winterthour, n’a pas eu, et de loin, le retentissement de son équivalent du ballon rond. L’écart trop grand entre le Canada et les Etats-Unis, largement dominateurs, et les autres nations, a tendance à tuer le suspense. «Dans l’espoir de réduire cet écart, nous allons investir 2 millions de francs ces prochaines saisons dans différents pays, assure le Suisse René Fasel, président de la Fédération internationale. Les charges étant interdites, le hockey féminin est différent, technique, agréable à regarder.»
En Suisse, pays classé au sixième rang de la hiérarchie internationale, le nombre d’adeptes ne cesse de croître, mais 80% des filles jouent côté alémanique. «Jusqu’à 15 ans, faute d’équipe junior, les filles sont obligées d’évoluer avec les garçons, ce qui est bien admis par les clubs outre-Sarine, mais pas entré dans les mœurs chez nous», regrette Estelle Devis, présidente du HC Prilly féminin (LNB), qui assume aussi le rôle de gardienne dans ce club qu’elle a fondé en 2002 malgré le scepticisme. «Le virus, je l’ai attrapé en allant voir les matches du Lausanne HC avec mes parents. Mon père était d’accord que je fasse du hockey, ma mère voulait m’orienter vers le volley. Aujourd’hui, à Prilly, nous sommes 20 joueuses de 18 à 43 ans, toutes bonnes patineuses. Tant pis pour ceux qui nous voient encore comme des camionneuses. Moi, la première, je suis plutôt féminine.»
Bientôt le saut à skis
Depuis l’introduction du 3000 steeple féminin aux JO d’Athènes en 2004, hommes et femmes disputent aujourd’hui exactement les mêmes disciplines en athlétisme. Un des derniers bastions à tomber, le saut à la perche, ouvert aux femmes en 2000 seulement, est devenu aujourd’hui l’une des disciplines les plus prisées des organisateurs de meeting. La belle et très coquette Russe Yelena Isinbayeva, qui a fait grimper le record du monde à 5,06 m, y est pour beaucoup. «C’est un sport très esthétique», relève Laurent Meuwly, patron de l’athlétisme romand. Deux Suissesses, Nicole Buchler et Anne-Catherine Schmid, figurent parmi l’élite mondiale.
Autre future conquête, le saut à skis, qui deviendra nouvelle discipline féminine aux JO de Sotchi dans trois ans. Emmenée par la championne du monde, l’Américaine Lindsey Van, les meilleures, qui participent depuis des années à un circuit parallèle sur les mêmes tremplins que les garçons, se sont battues jusque devant un tribunal civil pour que leur discipline soit enfin admise aux JO. «C’était le moment, se réjouit Sylvain Freiholz, consultant à la TSR. J’avais vu du saut féminin pour la première fois en 1995 au Canada, c’était catastrophique. Mais le niveau s’est bien amélioré. Même sur un grand tremplin, les meilleures ne perdent que quelques mètres sur les hommes. A 11-12 ans, les filles, grâce au feeling, sautent d’ailleurs plus loin que les garçons. Après, la puissance change tout.»
Deux Suissesses, les sœurs Sabrina et Bigna Windmüller, de Saint-Gall, figurent parmi l’élite. Seule Romande, Malika Schüpbach (18 ans), du Brassus, victime de trois grosses blessures, a mis sa carrière entre parenthèses: «J’ai commencé à 8 ans au Brassus avec les garçons. J’ai déjà sauté sur de grands tremplins à Oberstdorf, à Lillehammer. J’adore voler.»
CYCLISME
Fabian Cancellara a trouvé des meilleurs rouleurs que lui
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23. juillet 2011, 23h00
Laurent Guyot | Le Matin Dimanche
Quadruple champion du monde du chrono, le Bernois, seulement 8e, ne s’est pas pris la tête malgré la défaite de ses potes Andy et Fränk Schleck.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/tdf_4.jpg Fabian Cancellara a roulé à fond dans le seul contre-la-montre solitaire de ce Tour, mais sa fraîcheur physique et les conditions météo ne lui ont pas permis de prétendre aux places auxquelles il est habitué. © Keystone
Le suspense a duré l’espace d’un match de football. Une heure et demie où Fabian Cancellara est resté sous la surveillance du chaperon antidopage. Le Bernois, par superstition, n’a pas voulu satisfaire au contrôle imposé au vainqueur. Le temps de se doucher, de s’entretenir avec Kim Andersen, son directeur sportif, mais aussi avec Pat McQuaid, président de l’UCI, venu aux nouvelles, le champion olympique du contre-la-montre est venu parler de son Tour, de son chrono mais aussi du gigantisme exagéré pris par la Grande Boucle. Tour à tour, Richie Porte, Thomas De Gendt, Tony Martin, Jean-Christophe Peraud, Samuel Sanchez, Alberto Contador et bien sûr Cadel Evans ont profité de meilleures conditions atmosphériques et surtout d’une fraîcheur supérieure après trois semaines de course pour renvoyer à ses classes celui qui figure juste derrière Jacques Anquetil comme le roi du chrono de l’Histoire du Tour de France. Avant d’aller assister à la défaite de Fränk et Andy Schleck dans un siège du bus des Leopard-Trek, pour suivre «un duel entre hommes», l’Helvète joue cartes sur table. «J’ai tout donné… pour les frères.» Parti sous un ciel gris mais peu de vent, Spartacus s’est engagé à fond devant sa voiture où avaient pris place Andy et Fränk Schleck afin de reconnaître le tracé.
«Le parcours était exigeant et je n’ai pas pu le visionner avant de partir. Pas plus que les frères, car notre descente de l’Alpe-d’Huez s’est transformée en chemin de croix. Nous avons mis plus de deux heures pour arriver à bon port faute d’avoir une escorte et d’éviter les bouchons. Le Tour est devenu une grosse usine difficile à gérer et contrôler. Mais là, il y a quand même quelque chose à dire. Cela ne peut pas continuer comme cela. Un jour ça va mal se passer et un drame pourrait se produire.»
Pas à son niveau habituel
Sur ce parcours exigeant et maîtrisé comme un chef par Tony Martin, Fabian Cancellara est resté loin du niveau connu à d’autres occasions. La faute à des conditions atmosphériques (pluie durant les deux tiers du tracé) mais aussi à une fraîcheur perdue dans le combat quotidien effectué en faveur d’Andy et Fränk Schleck. «Je me suis engagé au maximum afin de faire des temps pour les frères. Kim Andersen m’a félicité compte tenu du manque de préparation puisque je me suis référé à ses indications pour prendre les virages. J’ai évité les erreurs et une chute toujours possible sous la pluie. Compte tenu des trois semaines passées sur les routes de l’Hexagone, je suis content de ma prestation. Mais je ne vous cacherai pas que, comme beaucoup de coureurs, j’ai mal aux jambes. Les batteries sont vides. J’ai tout donné parce que je sais aussi que l’étape des Champs-Elysées n’est longue que de 100 km.»
Pas son Tour
En dialecte alémanique, en français, en italien puis encore en anglais, le fidèle lieutenant d’Andy et Fränk Schleck tire aussi le bilan d’un Tour où son 22e maillot jaune n’est demeuré qu’un rêve. «J’ai toutes les raisons de me satisfaire de cette Grande Boucle un peu particulière. Je peux continuer à vivre même si je ne me suis pas imposé une fois et que je n’ai pas porté le maillot jaune. Il n’y avait pas de prologue, ni de chrono avant cette avant-dernière étape. De plus, je suis aussi venu avec une tâche définie. J’avais la charge de protéger les deux frères et je me suis engagé à fond dans ce rôle pas évident. Avec les autres coéquipiers, nous avons réussi à éviter tous les pièges, les chutes et autres incidents mais cela ne s’est pas avéré sans mal. L’énergie dépensée a pesé lourd dans la balance lors de ce contre-la-montre.» Honnête, le champion de Suisse sur route est heureux de tourner la page après deux mois intensifs avec des reconnaissances, le Tour de Suisse, le championnat suisse et trois semaines de Tour de France. «Je peux me regarder dans la glace. L’absence d’un succès d’étape ou d’un maillot jaune ne changera rien à ma vision de cette édition 2011. Je suis à la fois content et fier du travail effectué. J’ai donné mon maximum et en sport, comme dans la vie de tous les jours, c’est la chose la plus importante. Ma satisfaction est d’autant plus importante que nous sommes arrivés à Grenoble avec un scénario idéal. Maintenant je vais récupérer en profitant de ma famille. Et il sera toujours assez tôt de se remettre à la planche en vue des championnats du monde de Copenhague d’ici deux semaines au mieux.»
CYCLISME
Cadel Evans: «J’en rêve depuis vingt ans, depuis que j’ai vu Indurain gagner le Tour»
23. juillet 2011, 22h17
Grenoble, Laurent Guyot | Le Matin Dimanche
Premier Australien à gagner la Grande Boucle, le chef de file de BMC ajoute une ligne de plus à son fabuleux palmarès, avec la manière.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/evans.jpg © Keystone
Il l’a fait et bien fait. Même si 7 secondes manquent à l’appel pour fêter une double victoire. Cet après-midi, peu avant 16 h, Cadel Evans pénétrera sur la plus belle avenue du monde avec le maillot jaune. Une bonne heure plus tard, l’Australien de 34 ans lèvera les bras au ciel pour savourer une victoire méritée et méritoire.
Lui qui avait pris place par deux fois sur le podium en 2007 (2e) et en 2008 (2e) derrière Alberto Contador et Carlos Sastre. Auteur d’un contre-la-montre remarquable (2e derrière Tony Martin), le Tessinois d’adoption s’est permis de tuer le suspense quant aux chances des frères Schleck aussi vite qu’il tournait les jambes.
A mi-parcours, le champion du monde sur route 2009 avait repris les 57 secondes nécessaires à Andy Schleck. Concentré, déterminé et efficace, le protégé d’Andy Rihs et de Jim Ochowicz, patrons de l’équipe américano-suisse BMC, s’est même payé le luxe de menacer jusque sur la ligne d’arrivée le premier succès sur le Tour de France de l’Allemand de HTC-Highroad.
En larmes
Cette nouvelle place d’honneur quasi synonyme de victoire finale à Paris a fait craquer le citoyen de Stabio. Qui s’est effondré dans les bras de son soigneur et des membres de sa formation avant de monter sur le podium pour recevoir la précieuse tunique. Les yeux encore brillants de larmes, Cadel Evans s’est d’abord réjoui de ce premier défi relevé avec brio. «Je n’arrive pas encore à y croire. J’ai dû me pincer, car cela fait tellement de temps que je me suis concentré pour ce grand jour. J’en rêve depuis vingt ans. Depuis que j’ai vu sur un écran TV en Australie Miguel Indurain gagner le Tour. Alors je suis prêt à patienter jusqu’à dimanche après-midi pour savourer pleinement cette consécration.»
Marié à Chiara, virtuose italienne du piano, du chant et de la danse, celui qui est arrivé en Suisse avec deux Coupes du monde de VTT gagnées en 1998 et en 1999 a mis du temps pour se faire une carte de visite sur route. «J’ai commencé avec le BMX, puis je me suis mis au VTT. Ensuite, mon entraîneur m’a persuadé que j’étais aussi bon sur route. Alors j’ai pris l’avion pour venir tester mes aptitudes en Europe. Mais cela ne s’est pas fait sans mal. J’ai connu pas mal de malchance, notamment au Tour d’Italie en 2002. Après les soucis vécus dans le Tour en 2007, en 2008 et en 2010, je suis heureux de voir que la roue a peut-être tourné. En 2007, je finis à 23 secondes de Contador et à 58 de Sastre en 2008. L’année passée, je me casse le coude au moment où je prends le maillot. Tout cela pour vous dire que je suis heureux et fier de me retrouver à cette place aujourd’hui.»
La perte de son entraîneur
Installé à Lugnorre, épaulé par son confident et ami neuchâtelois Georges Probst, avant de se rapprocher de sa future épouse, Cadel Evans, issu d’une communauté aborigène, n’oublie personne à l’heure des remerciements. Avec des trémolos dans la voix, il évoque aussi l’influence de son entraîneur Aldo Sassi, décédé l’année dernière d’une tumeur au cerveau. «Je lui dois beaucoup. Il croyait plus en moi que moi-même. C’est lui qui m’a convaincu que je pourrais encore gagner le Tour. Alors j’aurais vraiment bien voulu qu’il soit présent tout à l’heure à Paris. Mais je ne veux pas sous-estimer le travail de mes équipiers, du staff au grand complet et des ingénieurs qui m’ont donné le meilleur vélo de chrono. Nous avons vraiment mis tous les atouts de notre côté. Que ce soit dans les reconnaissances ou ce stage en altitude (dix jours à la Gemmi à 2300 m) avant de prendre le départ du Tour.»
Fervent défenseur de la cause tibétaine, l’Australien refuse de croire à un changement d’attitude depuis son titre mondial conquis à un jet de pierre de son domicile en septembre 2009. «Je suis toujours le même. Je reste quelqu’un de méticuleux. Je recherche la perfection, mais cela vient de mon éducation. Et sur un Tour de France il faut toujours être présent. Cette année, je suis arrivé au pied des Pyrénées sans connaître de soucis majeurs. Et ensuite j’ai réussi à rivaliser aussi bien avec Contador que les frères Schleck. Mais tout ne s’est pas révélé facile. J’ai bien failli perdre le Tour dans le Galibier. Jeudi, j’ai pris mes responsabilités de manière à réduire l’écart sur Andy. Vendredi, je me suis trouvé en délicate posture en raison d’un problème mécanique.»
Du dopage et d’éventuels succès perdus face à des coureurs roulant à des années-lumière de ses convictions, Cadel Evans ne veut pas en faire des histoires. «J’espère juste être un bon exemple pour les jeunes et pour ce cyclisme que j’aime tant. Après chacun est libre de penser ce qu’il veut sur ces affaires. Et maintenant laissez-moi aller fêter avec mon équipe. Je n’attends que ça!»
:diable:ben si il gagne je gagne aussi j'ai parié depuis le début que Cadel gagnait le tour........:content::content:
Contador: "Evans mérite de gagner le Tour"
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Cadel Evans mérite de gagner le Tour, a estimé le vainqueur sortant, l'Espagnol Alberto Contador, en rendant hommage à l'Australien, samedi, après le contre-la-montre de Grenoble.
"C'est un digne vainqueur. Sa manière de courir n'est pas spectaculaire mais il a montré qu'il était très fort, il a disputé de belles étapes", a estimé Contador.
"Aujourd'hui, il a fait un grand contre-la-montre et c'est une victoire méritée (au classement général)", a ajouté le Madrilène, vainqueur de l'épreuve en 2007, 2009 et (sous réserve de la décision à venir du Tribunal arbitral du sport) 2010.
Troisième du chrono de Grenoble gagné par l'Allemand Tony Martin devant Evans, Contador a déclaré être content de son étape: "Je me suis senti bien. Hier (vendredi, Alpe d'Huez) a été un jour difficile et cela s'est vu aujourd'hui."
"Je n'ai pas réussi à monter sur le podium mais de toute façon j'étais venu pour gagner. Il y a eu des bons et des mauvais jours, mais je vais retenir le bilan de cette saison, qui est positif", a ajouté l'Espagnol, cinquième du classement général, à 3 min 57 sec d'Evans.
"J'ai donné le maximum (dans ce Tour). Je retiendrai aussi le soutien du public. Hier (vendredi) mon téléphone portable a été saturé de messages de félicitations concernant mon étape, et cela me rend plus heureux que la victoire", a conclu Contador.
Le grand numéro de Cadel Evans
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Cadel Evans prend le maillot jaune juste avant l'arrivée aux Champs-Elysées. A 34 ans, le coureur australien remportera son premier Tour. Il avait terminé second en 2007 et 2008.
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L'Australien Cadel Evans (BMC) s'est emparé du maillot jaune de leader du Tour de France après la 20e et avant-dernière étape, un contre-la-montre de 42,5 kilomètres disputé autour de Grenoble.
A la veille de l'arrivée à Paris, Evans précède désormais le Luxembourgeois Andy Schleck, qui était en tête de la course, de 1 min 34 sec. Evans a pris la deuxième place de l'étape gagnée par Tony Martin (HTC), à 7 secondes seulement du coureur allemand. Andy Schleck, 17e du contre-la-montre, a cédé 2 min 30 sec sur Evans.
Son frère aîné, Frank, désormais troisième du classement général, a abandonné trois secondes supplémentaires. L'Espagnol Alberto Contador a pris la troisième place du "chrono", à 1 min 06 sec. Le vainqueur sortant a gagné une place au classement général (5e).
Pour le gain de l'étape, Tony Martin a roulé à la moyenne de 45,9 km/h, tout près (à 6 secondes) de son temps réalisé le 8 juin dernier lors de sa victoire d'étape dans le Critérium du Dauphiné. Le Français Pierre Rolland, qui s'est surpassé pour ne céder que 2 min 50 sec à Martin, a préservé son maillot blanc de meilleur jeune.
Son coéquipier, Thomas Voeckler, 13e de l'étape, a préservé sa quatrième place au classement général. Evans, qui a gagné la 4e étape à Mûr-de-Bretagne, a endossé pour la première fois le maillot jaune dans cette édition de la Grande Boucle, à la veille de l'arrivée.
L'Australien qui est âgé de 34 ans, a terminé à deux reprises à la deuxième place du Tour, en 2007 derrière Alberto Contador et en 2008 derrière un autre Espagnol, Carlos Sastre.
Evans est devenu le premier Australien champion du monde en 2009. Il devrait être aussi le premier coureur de son pays en passe de remporter le Tour. La dernière étape est longue de 95 kilomètres entre Créteil et Paris. NDLR: les temps et écarts sont officieux. (afp/chds)
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Hushovd: "Dans ces cas-là, le sport ne compte plus"
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Le champion du monde de cyclisme, le Norvégien Thor Hushovd, a estimé samedi à l'issue de la 20e étape du Tour de France que "le sport ne compte plus" par rapport au drame vécu par son pays, où un attentat et une fusillade ont fait au moins 91 morts vendredi à Oslo et dans ses environs.
"Ma tête est en Norvège", a déclaré Hushovd, visiblement très affecté et moins loquace qu'à l'habitude après avoir bouclé son parcours. "Je suis triste et je pense à toutes ces personnes touchées. C'est dur quand on est loin du pays. Courir perd son sens. Le sport ne compte plus quand on voit ce qui se passe dans le monde", a ajouté le champion du monde de cyclisme, désigné sportif de son pays à plusieurs reprises.
"J'adresse mes pensées à tous les Norvégiens", a poursuivi Hushovd. "C'est dur de courir et de souffrir pour moi quand, dans la vraie vie, il se passe de pareilles choses en Norvège. Je veux que le Tour se finisse. Je pense à tout le monde en Norvège". Hushovd, l'un des deux coureurs norvégiens présents sur le Tour, a évoqué une conversation avec son cadet, Edvald Boasson Hagen: "Pour nous, c'est irréel de comprendre ce qui se passe. C'est tout le pays qui est attaqué, ça fait peur. J'ai beaucoup de tristesse, on ne pense pas que ca puisse arriver et tout d'un coup on se rend compte que ça peut arriver n'importe où et à n'importe qui."
Un "chrono" pour départager Andy Schleck et Evans
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La 20e étape du Tour effectue samedi une boucle de 42,5 kilomètres à l'est de Grenoble. Le parcours, déjà reconnu par les concurrents du Critérium du Dauphiné le mois dernier, comporte deux ascensions, la première au-dessus d'Eybens et de son vélodrome, la seconde sur les contreforts de la montée de Chamrousse, à Vaulnaveys-le-Haut (Km 22,5).
Après une descente rapide, la route revient sur une partie plane pour revenir à Grenoble où la ligne est installée près du Palais des Sports et du nouveau stade des Alpes. La préfecture de l'Isère (160.000 habitants), qui héberge chaque automne les derniers Six-Jours organisés en France, accueille la Grande Boucle pour la 39e fois. Deux points de chronométrage intermédiaires sont prévus à Vizille (Km 15) et à Vaulnaveys-le-Haut (Km 22,5).
Les deux derniers grands "chronos" du Tour: 2009 (Annecy, 40,5 km): 1. Alberto Contador (ESP), 50,103 km/h 2. Fabian Cancellara (SUI) à 3 sec 3. Mikhail Ignatiev (RUS) à 15 sec ... 12. Cadel Evans (AUS) à 1 min 14 sec 21. Andy Schleck (LUX) à 1 min 45 sec 35. Frank Schleck (LUX) à 2 min 34 sec 115. Thomas Voeckler (FRA) à 5 min 12 sec 2010
(Pauillac, 52 km): 1. Fabian Cancellara (SUI), 51,2 km/h 2. Tony Martin (GER) à 17 sec 3. Bert Grabsch (GER) à 1 min 48 sec ... 35. Alberto Contador (ESP) à 5 min 43 sec 40. Samuel Sanchez (ESP) à 5 min 51 sec 44. Andy Schleck (LUX) à 6 min 14 sec 128. Thomas Voeckler (FRA) à 9 min 11 sec .
La 3e étape du Dauphiné, le 8 juin (42,5 km): 1. Tony Martin (GER), 45,987 km/h 2. Bradley Wiggins (GBR) à 11 sec 3. Edvald Boasson Hagen (NOR) à 43 sec ... 6. Cadel Evans (AUS) à 1 min 20 sec 40. Thomas Voeckler (FRA) à 3 min 18 sec. (afp/mb)
Perisic manque un penalty, Schalke gagne la Super Coupe
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Schalke 04 a remporté la Super Coupe d'Allemagne en battant Dortmund aux tirs au but 4-3 après une rencontre qui s'est soldée sur un 0 à 0 à Gelsenkirchen, samedi devant 61.673 spectateurs.
Dortmund, champion d'Allemagne, avait trouvé le poteau à la 6e minute de jeu par Kehl. Vainqueur de la Coupe d'Allemagne, Schalke 04 a pu compter sur Fahrmann, le remplaçant de Neuer, qui a pu sortir quelques beaux arrêts.
Kevin Grosskreutz et Ivan Perisic, l'ex-Brugeois monté au jeu à la 75e minute de jeu, ont manqué leur tir au but. Schalke 04 s'y est imposé 4 à 3. (belga/chds)
Super Coupe d'Allemagne:
Schalke 04 - Borussia Dortmund 0 - 0
(tab: 4-3)
Les équipes:
Schalke 04: Fährmann - Höger, Papadopoulos, Höwedes, Fuchs - Matip, Baumjohann (Edu 89) - Draxler (Jurado 46), Raúl, Holtby - Huntelaar (Moravek 69)
Borussia Dortmund: Weidenfeller - Piszczek, Felipe Santana, Hummels, Löwe (Leitner 77) - Gündogan, Kehl (Bender 75) - Götze (Perisic 75), Kagawa, Großkreutz - Lewandowski
La séance des tirs au but:
0-1 Gündogan, 1-1 Holtby, 1-2 Hummels, 2-2 Edu, Großkreutz manqué, 3-2 Höwedes, 3-3 Leitner, 4-3 Jurado, Perisic manqué
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GP d'Allemagne: Buemi dernier, Liuzzi pénalisé et D'Ambrosio 21e
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Sébastien Buemi (Toro Rosso) disqualifié des qualifications pour avoir utilisé une essence non conforme, partira dernier dimanche du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, aux côtés de Vitantonio Liuzzi (Hispania), pénalisé de cinq places, a annoncé la FIA samedi. Jérôme d'Ambrosio (Virgin Marussia) gagne ainsi une place sur la grille de départ (21e).
Le Suisse, qui devait partir 16e, a été exclu des qualifications. Il pourra néanmoins prendre part à la course du Nürburgring (Est), qu'il débutera à la dernière place, a fait savoir la Fédération internationale de l'automobile.
"Pendant la première séance d'essais libres (FP1), la voiture de Buemi a rencontré un problème de pression d'essence, qui a empiré lors de la deuxième séance (FP2), ce qui explique pourquoi il n'a pas réalisé de tour chronométré durant cette session", a expliqué Toro Rosso dans un communiqué.
"Après la FP2, tout le système d'essence a été changé. Or l'échantillon d'essence prélevé sur sa voiture après les qualifications ne correspondait pas à celui donné à la FIA avant le début de la saison. L'écurie pense que le nouveau système contenait un produit chimique qui a contaminé l'essence et causé la non-conformité", selon l'écurie italienne.
L'Italien Vitantonio Liuzzi, originellement 23e, a été sanctionné de
cinq places pour avoir dû changer de boîte de vitesses avant les qualifications, alors que cette même boîte n'avait pas été utilisée pendant cinq courses, ce qui n'est pas permis par le règlement.
Buemi étant déclassé, il ne perd toutefois ni ne gagne aucune place. A l'inverse, l'Espagnol Jaime Alguersuari (Toro Rosso), initialement 17e, passe 16e.
Gagnent également une place le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber, 17e), les pilotes Team Lotus, le Finlandais Heikki Kovalainen (18e) et l'Indien Karun Chandhok (20e), et les deux Virgin de l'Allemand Timo Glock (19e) et de Jérôme d'Ambrosio (21e).
L'Australien Daniel Ricciardo, normalement 24e, gagne deux places. Il s'élancera 22e.
Formule 1 - Grand Prix d'Allemagne
Hamilton entretient l'espoir
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Persuadé d'être toujours dans la course au titre, Lewis Hamilton (McLaren) a remporté une victoire indispensable, dimanche à Nürburg. Il a pris des risques pour devancer Fernando Alonso (Ferrari) et Mark Webber (RBR). Fautif, Sebastian Vettel (RBR) a arraché la 4e place dans le dernier tour.
Le Nürburgring n’est pas le mieux configuré pour le spectacle, et les experts de la Fédération internationale de l'Automobile (FIA) s’étaient peut-être trompés en fixant la zone DRS avant la chicane. En dépit de ces handicaps, le circuit allemand a produit une nouvelle course haletante dimanche, grâce aux esprits compétiteurs de Lewis Hamilton (McLaren) et Fernando Alonso (Ferrari), premier et deuxième, et aux déboires de l’idole locale, Sebastian Vettel (Red bull), 4e sur le fil.
Cette saison, aux essais, une Red Bull a toujours su couvrir la défaillance de l’autre. Samedi, un Mark Webber des grands jours avait suppléé un Vettel en méforme depuis les premiers tours de vendredi pour maintenir la série autrichienne : dix pole positions en autant de meetings 2011. Malheureusement, l'Australien a poursuivi sa mauvaise habitude en étant incapable de fructifier sa position, comme précédemment cette année à Montmelo et à Silverstone. Le plus prompt à s'extraire de sa surprenante 2e place sur la grille, Hamilton a viré en tête pour entamer une belle chevauchée vers sa deuxième victoire annuelle, après celle acquise en Chine. Néanmoins, celle-ci s'est fait désirer car Webber l'a doublé au premier changement de pneus (tour 16/60). Il l'a repassé au deuxième arrêt (tour 32). Au passage suivant, le champion du monde 2008 a dû opérer une manœuvre sans concession au virage n°3 pour reprendre l'avantage sur Alonso, sorti juste devant lui de la pit lane. Il a ensuite montré un rythme supérieur au pilote rouge.
Alonso : "Bon dans l'optique du championnat"
Pas satisfait de son bolide vendredi, le Britannique de 26 ans a révélé sa montée en puissance à l'arrivée. "Jour après jour, j'ai mieux compris le fonctionnement de la voiture ; notamment au niveau des pneus", a-t-il indiqué. Par environ 14°C dans l'air et 20°C au sol, la montée en température des gommes aura été un épineux problème pendant trois jours. "Au début, nous perdions du temps par rapport aux autres pilotes dans le premier secteur", a repris l'Anglais, désormais à la tête de 16 victoires en Mondial. "Mais je me suis amélioré en plusieurs points du circuit, par exemple dans le virage 3 où mes pneus glissaient beaucoup. J'ai réussi à corriger ça. C'est pareil au virage 8, la chicane rapide, que je n'arrivais pas à prendre à fond. Mark me reprenait du temps dans cette portion. Je suis content d'avoir réussi à faire un pas en avant. Je suppose qu'il y a encore des parties où nous devons nous améliorer, en particulier avec le plein de carburant pour le début de course. Mais nous avons fait un pas en avant significatif. J'espère que nous allons continuer en ce sens avec l'équipe. Chaque victoire est spéciale. Mais celle-ci l'est un peu plus après l'énergie que l'équipe a mise pour développer la voiture", a-t-il ajouté. Sur la Nordschleife, Woking avait apporté six programmes de développement vendredi, pour validation immédiate ou évaluation.
"Lors de mon dernier relais, en pneus durs, je n'étais pas assez rapide pour revenir sur Lewis", a reconnu Alonso. "On s'est juste concentré à maintenir un écart suffisant avec Mark [Webber] pour assurer la 2e place. Pour nous, c'est une course fantastique. Samedi, nous avons un peu souffert en qualification avec la 4e place mais là, la voiture possédait un rythme incroyable. Nous étions dans le rythme des meilleurs. Nous avons dépassé Sebastian [Vettel] en course et Mark [Webber] dans les stands. Après la 2e place à Valence et la victoire à Silverstone, ce résultat est bon dans l'optique du championnat."
Vettel n'a jamais trouvé les bons réglages
S'il a conservé sa place de n°2 mondial, Webber n'a pu cacher sa déception de n'avoir pu vaincre, pratiquement un an après sa dernière, en Hongrie (1er août 2010), prochain rendez-vous avant la trêve estivale, dès dimanche. "Je n'étais pas assez rapide. J'ai fait de mon mieux mais ces gars (Hamilton et Alonso, ndlr) possédaient une marge suffisante. J'ai vraiment un sentiment mitigé. Pour obtenir un meilleur résultat, il faut être meilleur. Je le redis : nous devons nous améliorer."
Quand à Vettel, il a limité les pertes en venant à bout de Massa à l'orée du dernier tour, au stand, où le Brésilien et lui s'étaient donné rendez-vous pour chausser des pneus "medium". Absent de la 1re ligne pour la première fois de la saison, le champion du monde aura fait pâle figure, n'ayant pu mettre le doigt sur le set-up idéal. Il avait toujours fini premier ou deuxième cette année, et sa 4e place ne correspond pas à ses standards. Les 6e, 7e et 8e places ont été prises par des Allemands, respectivement Adrian Sutil (Force India), Nico Rosberg et Michael Schumacher (Mercedes). Le Russe Vitaly Petrov a à peine sauvé les meubles pour Renault en se classant 10e.
Au championnat, l'avance du leader Vettel (216 points) est légèrement rognée, de 80 à 77 points sur Webber, alors qu'Hamilton remonte 3e, à 82 points. Alonso est à 86 longueurs mais à 9 Grands Prix du terme, il n'a pas non plus l'intention de rendre les armes. Côté Constructeurs, Red Bull tient bon la barre avec 355 points contre 243 à McLaren et 192 à Ferrari.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
Un petit essai... pas pour prendre la place de Norton !
Formule 1 - Grand Prix d'Allemagne
"L'une des plus belles"
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Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes à l'issue de la 10e manche du Mondial 2011, dimanche à Nürburg.
Lewis Hamilton (McLaren, vainqueur) : "Chaque victoire est spéciale. Mais celle-ci l'est un peu plus après l'énergie que l'équipe a mise pour développer la voiture. On ne s'attendait vraiment pas à être si rapide ce week-end mais les gars ont fait un travail fantastique. Je me sens vraiment bien. C'est un sentiment spécial et c'est l'une des plus belles courses de ma carrière. Sans une bonne voiture, je n'aurais pas pu m'imposer, c'est sûr. Jour après jour, j'ai mieux compris le fonctionnement de la voiture; notamment au niveau des pneus. Au début, nous perdions du temps par rapport aux autres pilotes dans le premier secteur. Mais je me suis amélioré en plusieurs points du circuit, par exemple dans le virage 3 où mes pneus glissaient beaucoup. J'ai réussi à corriger ça. C'est pareil au virage 8, la chicane rapide, que je n'arrivais pas à prendre à fond. Mark me reprenait du temps dans cette portion. Je suis content d'avoir réussi à faire un pas en avant. Je suppose qu'il y a encore des parties où nous devons nous améliorer, en particulier avec le plein de carburant pour le début de course. Mais nous avons fait un pas en avant significatif. J'espère que nous allons continuer en ce sens avec l'équipe."
Jenson Button (McLaren, abandon au 24e tour, problème hydraulique) : "Mon premier tour a été terrible. J'ai patiné au départ et j'ai du me battre pour la 10e place. Je suis resté bloqué derrière Vitaly [Petrov] qui est très difficile à passer. Mais une fois que j'ai réussi, je me suis amusé à remonter le peloton. J'ai dépassé Nico [Rosberg] pour la 6e place mais ma direction assistée a commencé à se durcir. Peu après nous avons abandonné pour des questions de sécurité à cause d'un problème hydraulique."
Fernando Alonso (Ferrari, 2e) : "Lors de mon dernier relais, en pneus durs, je n'étais pas assez rapide pour revenir sur Lewis. On s'est juste concentré à maintenir un écart suffisant avec Mark [Webber] pour assurer la deuxième place. Pour nous, c'est une course fantastique. Samedi, nous avons un peu souffert en qualification avec la 4e place mais dimanche, la voiture possédait un rythme incroyable. Nous étions dans le rythme des meilleurs. Nous avons dépassé Sebastian [Vettel] en course et Mark [Webber] dans les stands. Après la 2e place à Valence et la victoire à Silverstone, ce résultat est bon dans l'optique du championnat. Nous aurons une nouvelle opportunité la semaine prochaine."
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Mark Webber (Red Bull, 3e) : "Je n'étais pas assez rapide. J'ai fait de mon mieux mais ces gars (Hamilton et Alonso, ndlr) possédaient une marge suffisante. Nous savons que nous devons continuer à nous améliorer. Je ne pouvais pas faire beaucoup mieux. Bien sûr, je suis déçu de ne pas m'être imposé. Mais nous nous sommes bien battus tous les trois. J'ai vraiment un sentiment mitigé. Pour obtenir un meilleur résultat, il faut être meilleur. Je le redis : nous devons nous améliorer."
Adrian Sutil (Force India, 6e) : "Nous méritons notre résultat. Notre voiture a été géniale tout le week-end et tout s'est bien déroulé. Les pneus avaient une bonne tenue et nous avons fait le bon choix en terme de stratégie, ce qui m'a permis de dépasser Nico [Rosberg] dans le dernier relais."
Paul di Resta (Force India, 13e) : "Une fois de plus, c'est frustrant parce que j'avais la possibilité de marquer des points. Mon départ était correct et je me battais avec Michael [Schumacher] au premier virage lorsque j'ai été touché à l'arrière. Je crois que c'était Nick [Heidfeld]. Il m'a envoyé en tête à queue et ça a compromis ma course. C'est dommage car notre package était bon et notre stratégie aussi. J'ai attaqué fort pour revenir mais je ne suis pas parvenu à rentrer dans les points."
Nico Rosberg (Mercedes, 7e) : "J'ai réalisé un bon départ pour me retrouver 5e à l'issue du premier tour. Mais mon set-up n'était pas le meilleur et la voiture ne fonctionnait pas aussi bien qu'en qualification. Je me suis bien battu avec Massa mais je ne suis pas parvenu à le garder derrière moi. La septième place est pas mal mais nous savons qu'il nous reste du travail pour optimiser nos dernières évolutions."
Michael Schumacher (Mercedes, 8e) : "La course était assez excitante avec pas mal d'actions. Mon tête à queue m'a surpris mais cet endroit est connu pour être piégeur quand c'est humide, même si les conditions n'étaient pas trop humides, dimanche. Ça m'a couté quelques places, c'est dommage. A la fin, la pluie aurait pu nous aider mais elle n'est pas venue."
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Kamui Kobayashi (Sauber, 9e) : "J'ai effectué un bon départ et j'ai réussi à gagner quelques positions dans les premiers virages. de 17e sur la grille, je suis remonté à la 12e place à l'issue du premier tour. Ensuite j'ai eu des difficultés car notre voiture n'était pas dans le rythme. Le fait que nous ayons marqué des points est du à une bonne stratégie aux stands."
Sergio Pérez (Sauber, 11e) : "Je ne suis pas content du tout. Etant donné notre position sur la grille, nous savions que ce serait difficile d'inscrire des points mais, comme l'a montré Kamui, c'était possible. Je suis en colère avec moi-même car j'ai commis une erreur dans le tour 8. Je suis passé dans l'herbe. C'est pourquoi j'ai du passer par les stands plus tôt que prévu. Je suis un peu revenu mais pas suffisamment pour les points."
Jaime Alguersuari (Toro Rosso, 12e) : "Cette course ne s'est pas trop mal déroulée et j'ai le sentiment d'avoir fait un bon travail, vu où nous étions sur la grille (16e, ndlr). Cependant, notre rythme n'était pas aussi bon qu'à Valence ou à Silverstone et j'ai souffert dans les phases de freinage. Côté positif, notre stratégie était bonne et les arrêts aux stands se sont bien passés. Au final, nous terminons devant une des Force India."
Sebastien Buemi (Toro Rosso, 15e) : "Malheureusement, ma voiture était réglée pour la pluie. Cette dernière n'est jamais venue. Je n'avais donc pas le bon set-up. Mon départ n'a pas été trop mal. J'ai dépassé plusieurs voitures. Malheureusement, après cela, Heidfeld m'est rentré dedans à la chicane et j'ai crevé à l'arrière droit. Je suis rentré aux stands, ce qui a compromis notre stratégie. C'est un week-end décevant."
Pastor Maldonado (Williams, 14e) : "Cette course a été compliquée. J'étais compétitif dans mon 2e relais avec les pneus tendres mais lorsque nous sommes passés avec les durs pour le dernier relais, nous avons perdu du temps. Notre rythme n'était pas bon et nous avons perdu des positions."
Rubens Barrichello (Williams, abandon au tour 16, fuite d'huile) : "Nous étions parti sur une stratégie à deux arrêts mais l'équipe m'a appelé pour une fuite d'huile. Je voulais continuer mais l'équipe m'a dit que ce n'était pas possible. C'était le bonne décision."
Heikki Kovalainen (Lotus, 16e) : "Cette course s'est bien déroulée. Nous progressons mais ça va prendre du temps pour nous battre avec les gars devant moi."
Karun Chandhok (Lotus, 20e) : "Nous avons complété la course et j'ai appris pleins de choses. Honnêtement, ce n'est pas la course que je souhaitais, j'ai fait quelques têtes à queue à haute vitesse. Je pense que j'ai besoin de temps pour m'habituer aux pneus."
Daniel Ricciardo (Hispania, 19e) : "C'est bien de voir l'arrivée. Nous avons fait un pas en avant depuis Silverstone mais il y a encore un long chemin à parcourir. Je suis sur une pente ascendante et je pense l'avoir grimpée un peu ce week-end."
Vitantonio Liuzzi (Hispania, Abandon au tour 37, problème électrique) : "C'est dommage. Après quelques tours, j'ai commencé à avoir des problèmes avec les freins. Après mon arrêt aux stands, nous avons retrouve notre rythme mais un problème électrique m'a contraint à l'abandon."
Eurosport - H. H.
:p:DFormule 1 - Grand Prix d'Allemagne
Hamilton entretient l'espoir
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Persuadé d'être toujours dans la course au titre, Lewis Hamilton (McLaren) a remporté une victoire indispensable, dimanche à Nürburg. Il a pris des risques pour devancer Fernando Alonso (Ferrari) et Mark Webber (RBR). Fautif, Sebastian Vettel (RBR) a arraché la 4e place dans le dernier tour.
Le Nürburgring n’est pas le mieux configuré pour le spectacle, et les experts de la Fédération internationale de l'Automobile (FIA) s’étaient peut-être trompés en fixant la zone DRS avant la chicane. En dépit de ces handicaps, le circuit allemand a produit une nouvelle course haletante dimanche, grâce aux esprits compétiteurs de Lewis Hamilton (McLaren) et Fernando Alonso (Ferrari), premier et deuxième, et aux déboires de l’idole locale, Sebastian Vettel (Red bull), 4e sur le fil.
Cette saison, aux essais, une Red Bull a toujours su couvrir la défaillance de l’autre. Samedi, un Mark Webber des grands jours avait suppléé un Vettel en méforme depuis les premiers tours de vendredi pour maintenir la série autrichienne : dix pole positions en autant de meetings 2011. Malheureusement, l'Australien a poursuivi sa mauvaise habitude en étant incapable de fructifier sa position, comme précédemment cette année à Montmelo et à Silverstone. Le plus prompt à s'extraire de sa surprenante 2e place sur la grille, Hamilton a viré en tête pour entamer une belle chevauchée vers sa deuxième victoire annuelle, après celle acquise en Chine. Néanmoins, celle-ci s'est fait désirer car Webber l'a doublé au premier changement de pneus (tour 16/60). Il l'a repassé au deuxième arrêt (tour 32). Au passage suivant, le champion du monde 2008 a dû opérer une manœuvre sans concession au virage n°3 pour reprendre l'avantage sur Alonso, sorti juste devant lui de la pit lane. Il a ensuite montré un rythme supérieur au pilote rouge.
Alonso : "Bon dans l'optique du championnat"
Pas satisfait de son bolide vendredi, le Britannique de 26 ans a révélé sa montée en puissance à l'arrivée. "Jour après jour, j'ai mieux compris le fonctionnement de la voiture ; notamment au niveau des pneus", a-t-il indiqué. Par environ 14°C dans l'air et 20°C au sol, la montée en température des gommes aura été un épineux problème pendant trois jours. "Au début, nous perdions du temps par rapport aux autres pilotes dans le premier secteur", a repris l'Anglais, désormais à la tête de 16 victoires en Mondial. "Mais je me suis amélioré en plusieurs points du circuit, par exemple dans le virage 3 où mes pneus glissaient beaucoup. J'ai réussi à corriger ça. C'est pareil au virage 8, la chicane rapide, que je n'arrivais pas à prendre à fond. Mark me reprenait du temps dans cette portion. Je suis content d'avoir réussi à faire un pas en avant. Je suppose qu'il y a encore des parties où nous devons nous améliorer, en particulier avec le plein de carburant pour le début de course. Mais nous avons fait un pas en avant significatif. J'espère que nous allons continuer en ce sens avec l'équipe. Chaque victoire est spéciale. Mais celle-ci l'est un peu plus après l'énergie que l'équipe a mise pour développer la voiture", a-t-il ajouté. Sur la Nordschleife, Woking avait apporté six programmes de développement vendredi, pour validation immédiate ou évaluation.
"Lors de mon dernier relais, en pneus durs, je n'étais pas assez rapide pour revenir sur Lewis", a reconnu Alonso. "On s'est juste concentré à maintenir un écart suffisant avec Mark [Webber] pour assurer la 2e place. Pour nous, c'est une course fantastique. Samedi, nous avons un peu souffert en qualification avec la 4e place mais là, la voiture possédait un rythme incroyable. Nous étions dans le rythme des meilleurs. Nous avons dépassé Sebastian [Vettel] en course et Mark [Webber] dans les stands. Après la 2e place à Valence et la victoire à Silverstone, ce résultat est bon dans l'optique du championnat."
Vettel n'a jamais trouvé les bons réglages
S'il a conservé sa place de n°2 mondial, Webber n'a pu cacher sa déception de n'avoir pu vaincre, pratiquement un an après sa dernière, en Hongrie (1er août 2010), prochain rendez-vous avant la trêve estivale, dès dimanche. "Je n'étais pas assez rapide. J'ai fait de mon mieux mais ces gars (Hamilton et Alonso, ndlr) possédaient une marge suffisante. J'ai vraiment un sentiment mitigé. Pour obtenir un meilleur résultat, il faut être meilleur. Je le redis : nous devons nous améliorer."
Quand à Vettel, il a limité les pertes en venant à bout de Massa à l'orée du dernier tour, au stand, où le Brésilien et lui s'étaient donné rendez-vous pour chausser des pneus "medium". Absent de la 1re ligne pour la première fois de la saison, le champion du monde aura fait pâle figure, n'ayant pu mettre le doigt sur le set-up idéal. Il avait toujours fini premier ou deuxième cette année, et sa 4e place ne correspond pas à ses standards. Les 6e, 7e et 8e places ont été prises par des Allemands, respectivement Adrian Sutil (Force India), Nico Rosberg et Michael Schumacher (Mercedes). Le Russe Vitaly Petrov a à peine sauvé les meubles pour Renault en se classant 10e.
Au championnat, l'avance du leader Vettel (216 points) est légèrement rognée, de 80 à 77 points sur Webber, alors qu'Hamilton remonte 3e, à 82 points. Alonso est à 86 longueurs mais à 9 Grands Prix du terme, il n'a pas non plus l'intention de rendre les armes. Côté Constructeurs, Red Bull tient bon la barre avec 355 points contre 243 à McLaren et 192 à Ferrari.
Eurosport - Stéphane VRIGNAUD
Un petit essai... pas pour prendre la place de Norton !
Bel essais, mais si tu te lèves a la même heure que Pasky:non:va pas la faire...........
Je me lève bien plus tard que Pasky !!!
Mais pour les résultats d'un GP qui se court l'après midi, ça va...
Je me lève bien plus tard que Pasky !!!
Mais pour les résultats d'un GP qui se court l'après midi, ça va...
ouaip faut des courses le soir là tu seras le meiileur:p
Bon vais envoyer des photos de Lôzanne pour vous et Psyduk:D
à plus mon ami;)
Cadel Evans, ce héros discret
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[URL="http://twitter.com/share?text=Cadel+Evans%2C+ce+h%C3%A9ros+discret&url=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/cadel-evans-ce-heros-discret"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/cadel-evans-ce-heros-discret&t=Cadel+Evans%2C+ce+h%C3%A9ros+discret)
24. juillet 2011, 18h01
LeMatin.ch & les agences
5 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/cyclisme/cadel-evans-ce-heros-discret#comments)
L'Australien Cadel Evans remporte pour la première fois le Tour de France. A 34 ans, c'est un champion atypique, discret et patient qui ne renonce jamais.
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/118044565_0.JPG Cadel Evans remporte le Tour de France après avoir été deux fois second © Keystone
La victoire de l’Australien Cadel Evans dans le Tour de France marque l’avènement à 34 ans d’un champion atypique, discret et patient, qui a bâti sa réussite sur sa persévérance au travail bien loin des clichés du héros flamboyant. Cadel Evans ne renonce jamais. Et son moteur est l’affectif.
Samedi, les yeux bleus pleins de larmes, il a dédié sa victoire à son ancien entraîneur Aldo Sassi, décédé d’une tumeur au cerveau en décembre dernier.
«Il a toujours cru en moi, plus que je ne croyais en moi-même, a-t-il confié samedi avant d’éclater en sanglots. Je suis triste qu’il ne soit pas là. Il m’a dit l’année dernière: J’espère que tu vas gagner le Tour, tu en es capable. C’est la course la plus prestigieuse. Si tu gagnes, tu seras le coureur le plus complet de ta génération.»
Evans ne parle jamais de ses doutes. Pourtant, après avoir brillé en VTT dont il a remporté deux Coupes du monde (1998, 1999), sa deuxième carrière de cycliste sur route a été ardue et sinueuse. «Ma volonté de travail n’a jamais changé, elle est la même depuis mes 18 ans», assure l’Australien de sa voix aiguë.
Il a découvert le vélo très tôt, durant ses premières années dans une communauté aborigène du nord du pays puis dans une zone rurale de Nouvelle-Galles-du-Sud. Mais sa passion a bien failli s’arrêter net à huit ans à cause d’un coup de sabot d’un cheval en pleine tête qui l’a laissé dans le coma pendant une semaine. Une opération lourde au cerveau lui a laissé une grande cicatrice sur le crâne.
Pour réussir dans le cyclisme, il s’est exilé en Suisse à partir de 1998, dans le canton de Fribourg à Lugnorre puis dans le Tessin. Il a trouvé le salut dans le travail.
Souvent deuxième
Ses meilleurs résultats ont longtemps été des deuxièmes places: dans le Dauphiné 2007 et 2008, la Flèche Wallonne 2007 et surtout dans le Tour de France en 2007 et 2008. Beaucoup y ont vu la reconnaissance de son talent mais surtout de ses limites.
L’Australien a finalement vaincu les préjugés en 2009 avec son titre de champion du monde à Mendrisio, à quelques kilomètres de son domicile. Lui affirme que ce mois de septembre 2009 n’a pas constitué un déclic. Son palmarès s’est pourtant étoffé à partir de ce moment-là avec notamment des victoires dans la Flèche Wallonne en 2010, dans Tirreno-Adriatico et le Tour de Romandie en 2011.
Après des passages chez T-Mobile et dans l’équipe belge Silence (ex-Davitamon et Predictor), son arrivée dans la formation américano-suisse BMC, construite autour de lui et sa personnalité, a été capitale. Elle a enclenché chez lui un cercle vertueux de la confiance.
Evans n’est pas un champion sûr de lui et centré sur lui-même. Il a d’ailleurs épousé la cause du Tibet pour que «ce qui est arrivé à la culture aborigène ne se répète pas». «Il est facile à vivre par rapport à d’autres coureurs de son niveau. Il est toujours sympathique et prévenant avec ses équipiers, même à l’approche du Tour de France qui est un rendez-vous essentiel», estime Jacques Michaud, membre de l’encadrement. «Il ne laisse rien au hasard, il est très méticuleux», explique son équipier Amaël Moinard qui l’a découvert cette année.
L’Australien a préparé sa saison pour le Tour de France: il a limité ses jours de course, préféré se préparer par des courses à étapes, notamment le Dauphiné dont le contre-la-montre épousait le parcours de celui de la Grande Boucle. C’est là qu’il a atteint son but et laissé la déception du deuxième à Andy Schleck, qui lui succède à la place du malheureux depuis 2009.
:Det moi 1500 balles environ pour l'avoir donné gagnant dès le premier jour:D:DMerci Cadel...........:amoureux:
FORMULE 1
Lewis Hamilton remporte le Grand Prix d'Allemagne
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[URL="http://twitter.com/share?text=Lewis+Hamilton+remporte+le+Grand+Prix+d %27Allemagne&url=http://www.lematin.ch/sports/le-britannique-lewis-hamilton-remporte-le-grand-prix-dallemagne"] (http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.lematin.ch/sports/le-britannique-lewis-hamilton-remporte-le-grand-prix-dallemagne&t=Lewis+Hamilton+remporte+le+Grand+Prix+d%27Allema gne)
24. juillet 2011, 15h50
LeMatin.ch & les agences
2 commentaires (http://www.lematin.ch/sports/le-britannique-lewis-hamilton-remporte-le-grand-prix-dallemagne#comments)
Le Britannique Lewis Hamilton a remporté le Grand Prix d’Allemagne de Formule 1, dixième épreuve de la saison, devant l’Espagnol Fernando Alonso et l’Australien Mark Webber, dimanche au Nürburgring (Est).
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/F1.JPG © KEYSTONE
Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren) a remporté le Grand Prix d’Allemagne de Formule 1, dixième épreuve de la saison, devant l’Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) et l’Australien Mark Webber (Red Bull), dimanche au Nürburgring (Est).
L’Allemand Sebastian Vettel, pour la première fois de la saison, ne termine pas 1er ni 2e. Quatrième, il perd également, pour la première fois après dix courses, des points sur son dauphin, Mark Webber, qu’il distance encore toutefois de 75 longueurs (214 points contre 139).
La victoire n’était pas acquise d’avance pour le champion 2008, qui est allé la chercher à la force du poignet, sur un très joli dépassement d’Alonso environ aux deux tiers de la course (36e tour).
Hamilton, qui, bluffant, se disait très lent vendredi, avant de s’affirmer surpris samedi en qualifications, où il avait manqué d’un souffle la pole, s’est imposé pour la deuxième fois de l’année, après le GP de Chine. Un succès lui permettant de dépasser Alonso au classement, où il devient 3e (134 pts).
Alonso, 2e dimanche, n’a pas grand chose à se reprocher. Sa Ferrari semblait plus lente que la McLaren. Webber non plus. Red Bull, en Allemagne, a paru plus lente que McLaren et Ferrari. Alonso a doublé Vettel en piste et Webber aux stands. Et Webber n’a pu soutenir le rythme d’Hamilton en fin de course.
J'suis bien content que ça soit Evans qui gagne.Il le méritait depuis quelques saisons, en plus j'aime pas trop Andy Schleck :boutons:
Mark Cavendish: "Je méritais ce vert depuis longtemps"
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© getty
"Il faut avouer, ce maillot vert je le méritais déjà depuis longtemps", a plaisanté Mark Cavendish après avoir enfin remporté le classement par points du maillot vert du Tour de France pour la première fois de sa carrière. "S'ils avaient appliqué ce règlement les années précédentes, ceci n'aurait pas été mon premier maillot vert".
"Les derniers jours étaient tendus, mais avec l'aide de mes équipiers nous avons réussi à survivre aux étapes dans les Alpes et à mettre les sprints dans nos mains. C'est donc un moment particulièrement émouvant pour moi."
"Cette cinquième victoire, la vingtième au total dans le Tour, est aussi le travail d'une équipe en acier, qui forme un véritable bloc. La clé était à nouveau un timing parfait. Avec le vent de face je ne pouvais pas prendre la tête trop rapidement. C'est pourquoi je n'ai commencé qu'à 150 mètres de la ligne.
Dès que j'ai vu Edvald Boasson Hagen arriver, j'ai accéléré une deuxième fois et l'affaire était faite. Je suis si fier de l'équipe qui m'a entouré ici. Leur travail ne peut pas être assez souligné. Et après après avoir insisté pendant trois ans, je tiens enfin ma victoire finale dans le classement par points"
Cavendish remporte le sprint final, Evans gagne le Tour
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7S7 mise à jour Cadel Evans (BMC) a remporté pour la première fois le Tour de France, dimanche sur les Champs-Elysées à Paris, au terme de la 20e étape gagnée au sprint par le Britannique Mark Cavendish (HTC).
Evans, 34 ans, est le premier Australien vainqueur du Tour depuis la création de l'épreuve en 1903.
Le doyen des lauréats (depuis les années 1920) a battu les Luxembourgeois Andy et Frank Schleck, deux frères qui sont présents pour la première fois ensemble sur le podium final.
Déjà deuxième en 2009 et 2010 derrière l'Espagnol Alberto Contador, Andy Schleck s'est incliné finalement de 1 min 34 sec au terme des 3430 kilomètres.
Vainqueur jeudi de l'étape du Galibier, la plus haute arrivée de l'histoire (2645 m) pour fêter le centenaire de la première ascension, le cadet des Schleck a dépossédé Thomas Voeckler du maillot jaune, le lendemain, à l'arrivée à l'Alpe d'Huez.
Mais Andy Schleck a été débordé samedi par Evans dans l'unique contre-la-montre de cette 98e édition, couru à Grenoble sur 42,5 kilomètres.
L'Australien a récupéré une tenue qu'il a porté en 2008 et en 2010. Cette fois, il a attendu l'avant-dernière journée de course pour s'en emparer en conclusion d'une course maîtrisée.
Vainqueur au sommet de Mûr-de-Bretagne, au quatrième jour de course, Evans s'est classé à huit autres reprises dans les six premiers.
Au nombre de succès d'étapes, Cavendish s'est taillé la part du lion. Le Britannique de l'île de Man a enlevé cinq sprints massifs, le dernier sur les Champs-Elysées où il a devancé le Norvégien Edvald Boasson Hagen et l'Allemand Andre Greipel.
Dans cette dernière étape de 95 kilomètres, Cavendish a été emmené par son équipe pour ce troisième succès sur les Champs-Elysées (record du genre).
Agé de 26 ans, "Cav" a enlevé son 20e succès dans le Tour depuis 2008. Il a gagné pour la première fois de sa carrière le classement par points dont le lauréat est distingué par le port du maillot vert.
Les autres maillots distinctifs sont revenus à l'Espagnol Samuel Sanchez (montagne) et au Français Pierre Rolland
Des surprises pour l'édition 2012 du Tour de France
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Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, a promis "des surprises" pour l'édition 2012 qui sera présentée en octobre prochain.
"En 2012, nous serons entre des années marqués par le sceau de l'histoire du cyclisme", a déclaré le directeur du Tour. "En 2010, c'était le centenaire des Pyrénées, en 2011 celui du Galibier. En 2013, ce sera le centième Tour. Donc, pour 2012, nous aurons une édition avec... des surprises".
Christian Prudhomme s'est refusé à dévoiler des éléments du parcours, hormis ce qui a été annoncé durant l'hiver, à savoir un Grand départ à Liège, comme en 2004.
La course débutera le 30 juin 2012 par un prologue, sur le même parcours plat tracé au coeur de la ville qu'en 2004. La première étape, le lendemain, effectuera une boucle de quelque 180 kilomètres au sud de Liège pour se terminer à Seraing, dans les faubourgs de la cité wallonne.
Le 2 juillet, la deuxième
Les Champs-Elysées théâtre du sacre attendu d'Evans
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Le Tour de France parade sur les Champs-Elysées, ce dimanche, dans le final de la 21e étape de 95 km entre Créteil et Paris au lendemain d'un contre-la-montre de 42,5 km autour de Grenoble qui la vu l'Australien Cadel Evans (BMC) s'emparer du maillot jaune avant, selon toute vraisemblance, d'empocher la victoire finale à Paris.
Huit tours du circuit traditionnel de 6 kilomètres, le long des Tuileries et des Champs-Elysées, conduiront cet après-midi à l'arrivée, installée au bout d'une ligne droite de 400 mètres, à hauteur du Petit Palais et à faible distance de l'Elysée. A partir de Créteil, dont le club cycliste compte parmi ses licenciés le triple champion du monde de vitesse Grégory Baugé, le Tour dessine un "huit" dans le val de Marne et entre dans la capitale par sa porte est (Charenton-le-Pont), pour les 58 derniers kilomètres. La dernière étape de la Grande Boucle, qui se conclut sur les "Champs" depuis 1975, est quasiment réservée aux sprinteurs.
Depuis dix ans, un seul coureur, le Kazakh Alexandre Vinokourov, est parvenu à sortir avant le sprint que s'est adjugé lors des deux dernières arrivées le Britannique Mark Cavendish. Départ de Créteil à 14h30 (lancé à 14h50), arrivée à Paris Champs-Elysées vers 17h06 (prévision à 42 km/h de moyenne). Evans, premier Australien en passe de remporter la Grande Boucle, a détrôné samedi le Luxembourgeois Andy Schleck, désormais deuxième à 1 min 34 sec. Dans ce match entre deux coureurs habitués aux deuxièmes places dans le Tour (2007 et 2008 pour Evans, 2009 et 2010 pour A. Schleck), l'Australien a pris le dessus avant même le pointage intermédiaire du Km 27,5.
Partant avec un handicap de 57 secondes, il a repoussé le cadet des Schleck à 2 min 31 sec au terme du parcours comportant deux montées, sur une route sèche pour les derniers concurrents, les mieux classés. "Je suis un peu déçu parce que je voulais gagner ce Tour. Je n'ai que 26 ans et je reviendrai pour gagner", a déclaré le Luxembourgeois. "Cadel a fait le chrono de sa vie". Evans a pris la deuxième place de l'étape gagnée par Tony Martin (HTC), à 7 secondes seulement du coureur allemand. Andy Schleck, 17e du contre-la-montre, a fait légèrement mieux que son frère aîné, Frank (20e), qui a abandonné trois secondes supplémentaires. "C'est pour l'année prochaine", a chuchoté Frank à son cadet après l'arrivée, dans une énorme bousculade. Deux frères devraient monter ensemble, pour la première fois de l'histoire, sur le podium du Tour installé sur les Champs-Elysées.
Frank Schleck, troisième à 2 min 30 sec d'Evans, avait pour meilleur résultat final une cinquième place en 2008 et 2009. "Il n'y a pas de tristesse. On a toujours dit qu'on voulait arriver à Paris sans avoir de regrets. Peu importe la place", a déclaré l'aîné des Schleck. Dans ce "chrono", Alberto Contador s'est classé troisième, à 1 min 06 sec. L'Espagnol, vainqueur sortant, a gagné une place au classement général (5e). Pour le gain de l'étape, Tony Martin a roulé à la moyenne de 45,9 km/h, tout près (à 6 secondes) de son temps réalisé le 8 juin dernier lors de sa victoire d'étape dans le Critérium du Dauphiné. Le spécialiste allemand, qui est âgé de 26 ans, a notamment gagné cette année Paris-Nice en début de saison. Dans le Tour, auquel il participe pour la troisième fois, ce solide gabarit (1,85 m pour 75 kg) avait cumulé jusqu'à présent les deuxièmes places, au Mont Ventoux en 2009, au prologue de Rotterdam et dans le contre-la-montre de Pauillan l'année passée.
Symbole de l'échec pour l'équipe des Schleck, le champion du monde du contre-la-montre, le Suisse Fabian Cancellara, a dû se contenter de la 8e place de l'étape. Pierre Rolland (24 ans), qui s'est surpassé à Grenoble pour ne céder que 2 min 50 sec à Martin, a préservé son maillot blanc de meilleur jeune. En revanche, il a laissé la dixième place du classement final à un autre Français, Jean-Christophe Péraud, qui découvrait le Tour cette année. Thomas Voeckler, 13e de l'étape, a sauvé pour sa part sa quatrième place au classement général. Contrairement à l'Italien Damiano Cunego qui a payé ses limites dans le contre-la-montre et a reculé de deux échelons derrière Contador et le Basque Samuel Sanchez. "C'est hier (vendredi à l'Alpe d'Huez) que j'ai perdu le podium du Tour, pas aujourd'hui", a estimé Voeckler, maillot jaune durant dix jours. Evans, qui a gagné la 4e étape à Mûr-de-Bretagne, a endossé pour la première fois la tenue de leader dans cette édition de la Grande Boucle.
Premier Australien champion du monde en 2009, il devrait aussi être le premier représentant de son pays à figurer au palmarès compte tenu de la formalité que représente la dernière étape. (afp)
Deux frères sur le podium, une "première"
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Pour la première fois depuis la création du Tour de France en 1903, deux frères, Andy et Frank Schleck, sont appelés à monter sur le podium final de la course, dimanche, sur les Champs-Elysées.
Par le passé, plusieurs fratries se sont distingués dans la course la plus célèbre du monde. Mais jamais deux frères n'ont pu accéder ensemble au podium, pas même Henri Pélissier (vainqueur en 1923) qui forma avec son frère Francis un duo-choc des années 1920.
Les Petterson, quatre frères suédois, gagnèrent trois titres mondiaux sur route, dans une épreuve aujourd'hui disparue (100 km contre-la-montre), et décrochèrent deux médailles aux JO, de bronze en 1964 et d'argent en 1968.
Tous quatre passèrent ensuite professionnels au sein de la même équipe. Gösta monta sur le podium du Tour 1970 (3e) et gagna le Giro l'année suivante.
Les frères Schleck ont déjà accédé ensemble sur les podiums internationaux. La dernière fois, à l'arrivée de Liège-Bastogne-Liège en avril dernier quand les Frank et Andy, dans cet ordre, s'étaient inclinés face au Belge Philippe Gilbert.
Andy Schleck occupe la deuxième place du Tour derrière l'Australien Cadel Evans et devant son frère aîné Frank. (belga/chds)
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:diable:Oublie Andy il te manque la moindre................
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