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philguerin
27/08/2010, 06h50
le PSG s'est fait battre par les Israëlien 4-3....
Par contre AUXERRE est tombé dans un groupe de folie... Je crois qu'il y a BARCELONE, MILAN et MANCHESTER ou LIVERPOOL.... bref un groupe de la mort qui tue..... c'est le genre de truc ou finalement tu fais mieux de déclarer forfait à chaque match tu gagnes au moins les frais de transport et d'hotel....:D:D:D
FOOTBALL
LS joue les locomotives à Moscou
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Silvio (à dr.) a montré la voie aux Lausannois en inscrivant, de la tête, le 1-0 sur les terres du Lokomotiv Moscou.
Au terme d’un match bourré de suspense et de qualité, la troupe de Martin Rueda a éliminé le Lokomotiv Moscou. Des tirs au but furent nécessaires. Le LS aime l’Europe et va y voyager jusqu’à Noël.
Jacques Wullschleger - le 26 août 2010, 22h59
Le Matin
Au bout du bout d’un long suspense, insoutenable, le LS, équipe de 2e division suisse sur le papier, mais au-dessus de cette catégorie sur le terrain, s’est qualifié pour la phase de groupes – 6 matches jusqu’à Noël.
Soumis à une pression psychologique haut de gamme, le Lokomotiv ne pouvait pas, malgré un standing que le visiteur n’a pas, se qualifier. Lausanne, oui, car le succès ne quitte pas le club de la Pontaise depuis le début de la reprise – 11 matches sans défaite. Une confiance extraordinaire s’est installée dans ses rangs. Et l’état d’esprit y est exemplaire.
Fatigue extrême
«Vivre de telles émotions, c’est absolument fou! C’est aussi pour ça qu’on a choisi le métier de footballeur», raconta, au terme d’une sacrée soirée, le capitaine Celestini qui ne peut presque plus marcher, à l’image de la plupart de ses camarades. «Pour la ville, le club, c’est une immense publicité. Je viens de recevoir un SMS de Patrice Iseli, chef du Service des sports. C’est dire l’impact immédiat de l’histoire que nous venons d’écrire.»
Touché à une cuisse, Anthony Favre, auteur dans le premier quart d’heure, un peu fou, de quelques parades déterminantes, quitta le jeu avant les prolongations. Michael Castejon, formé à Auxerre et qui joua à Baulmes puis au Stade-Lausanne, le remplaça. Une première cette saison. «Si on est sur un nuage? Non, je dirai que notre travail paye, porte ses fruits», dit l’intéressé, tout simplement. Ces derniers jours, il avait rencontré au bureau Martin Rueda pour lui dire qu’il n’était pas content de sa situation personnelle – aucun temps de jeu jusqu’à hier. «Je l’ai rassuré, je lui ai répondu qu’il fallait qu’il soit patient, que son tour viendrait, qu’il était un joueur aussi important que n’importe quel autre de ses camarades», dit le coach, aux anges. «Le football écrit des histoires. Elles concernent ou consacrent souvent les stars. Ce soir, l’histoire le concerne. Je trouve ça extraordinaire. Et il le mérite.»
Lokomotiv sans vapeur
A l’heure de jeu, les Russes exercèrent une pression qui fit reculer le visiteur. Jusque-là, la troupe de Martin Rueda avait bien joué le coup, ouvert la marque, pour s’appuyer sur un portier en grande forme, autoritaire, toujours bien placé. Les prolongations auraient pu s’avérer inhumaines pour les Lausannois, usés jusqu’à la corde. Mais non! Michael Castejon ne fut jamais inquiété, sinon par quelques tirs de loin, balancés par un adversaire lui aussi fatigué et qui ne sut plus comment jouer.
Sa dégringolade se poursuit. Le LS, qualifié, n’en a cure. L’Europe, désormais, lui tend les bras, pour d’autres belles émotions.
Commentaire de Jacques Wullschleger
Du talent et des pleurs
C’était le vrai test grandeur. En face, il y avait un adversaire de calibre supérieur, au niveau humain et financier. Faisant fi de cet état, l’outrecuidant LS, bourré de talents, s’est débarrassé de lui logiquement, au vu des deux rendez-vous agendés.
L’équipe lausannoise est jeune mais de qualité. L’équilibre y est constant, la sérénité omniprésente et une confiance incroyable l’habite. C’est le lot des équipes qui gagnent. Mais tout ça ne disparaîtra pas quand le LS éprouvera des soucis. D’autres paramètres entreront alors en jeu, lesquels contrebalanceront ce qui n’ira pas ou fonctionnera moins bien. Le travail d’équipe des dirigeants est aussi récompensé. En pleurs, Alain Joseph, vice-président du club, réalisera sans doute plus tard, à l’image de la majorité des joueurs, ce qui s’est réellement passé hier au soir à Moscou. Le président Collet avait aussi les yeux rougis. Aujourd’hui, le LS est une famille. Il faudra beaucoup pour la désunir.
Pour la ville, cette qualification est importante. Ce pas en plus franchi par le LS est un autre coup de pub pour attirer de nouvelles personnes à s’intéresser à lui. Dimanche, ce sera Bienne au Stade olympique. Il faudra que les hommes de Rueda trouvent d’autres ressources pour passer l’obstacle. Car hier, ils ont abandonné dans le bonheur des milliers de calories au beau stade de Lokomotiv. Le LS va tirer des dividendes supplémentaires à force de montrer son acharnement à gagner. Les prochaines rencontres européennes auront lieu, sans doute, au Stade de Genève. A moins que l’UEFA, dans sa grande bonté et compte tenu du statut du LS, n’en décide autrement.:content::content::amoureux:
football
C’est jouable pour Bâle
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C’est le Néerlandais Wesley Sneijder (médaillon) qui a sorti le nom du FC Bâle, hier à Monaco.
Les Bâlois peuvent espérer passer dans un groupe avec le Bayern Munich, l’AS Rome et les Roumains de Cluj
le 26 août 2010, 21h44
LeMatin.ch & les agences
Le FC Bâle a hérité d’un groupe attractif lors du tirage au sort des groupes de la Ligue des champions, effectué à Monaco. Les Rhénans affronteront le Bayern Munich, l’AS Rome et les Roumains de Cluj.
La perspective de ce double duel contre le grand club bavarois, finaliste malheureux de l’épreuve en mai dernier, fait saliver les supporters, dirigeants et joueurs bâlois. Cela même si, sur le plan sportif, il s’agit évidemment d’un adversaire très difficile. Pour l’entraîneur du FCB Thorsten Fink, ancien joueur du Bayern (1997- 2003 dans le contingent de la première équipe), ces matches contiendront sans nul doute une grosse part d’émotion.
L’inconnue Cluj
L’éventuelle qualification pour les 8es de finale se décidera lors des rencontres face aux deux autres équipes du groupe E, à savoir l’AS Rome et Cluj. Les Bâlois avaient joué contre les Romains la saison dernière en Ligue Europa, s’imposant 2-0 au Parc Saint-Jacques avant de s’incliner 2-1 dans la capitale italienne.
En évoluant à son meilleur niveau, le FC Bâle peut inquiéter la Roma, qui ne semble en tout cas pas plus redoutable que l’an dernier.
Cluj représente une certaine inconnue dans ce groupe. Le double champion de Roumanie (2008 et 2010) est entraîné par l’Italien Andrea Mandorlini. A l’automne 2008, le CFR Cluj avait disputé la phase de groupes de la Ligue des champions dans le groupe A, dans lequel il avait terminé 4e avec 4 points, derrière l’AS Rome déjà, Chelsea et Bordeaux.
Les Roumains avaient créé la sensation en gagnant 2-1 à Rome, de même qu’en tenant Chelsea en échec 0-0.
Commentaire de Renaud Tschoumy
Le groupe idéal
Un grand d’Europe, qui plus est voisin allemand, avec le Bayern Munich. Un grand d’Italie avec l’AS Roma. Et une équipe à sa portée avec Cluj.
Le FC Bâle «tombe» dans ce qui pourrait s’appeler le groupe idéal. Financièrement d’abord, parce que le Bayern et l’AS Roma sont vecteurs de droits TV plus qu’intéressants. Sportivement ensuite, parce que – qui sait? – un exploit signé ici ou là pourrait lui laisser entrevoir des perspectives plus que souriantes. Il est évident que le FCB ne sera pas favori dans la lutte à l’une des deux premières places. Mais il ne l’était pas non plus en 2002, lorsqu’il avait éliminé Liverpool pour s’offrir le droit de traverser l’hiver dans la peau d’un Européen.
Le FC Bâle réussira-t-il à rééditer cet exploit? Le Bayern semble un morceau hors de sa portée. Reste donc à «viser» le club romain. On ne sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
Et, pendant ce temps-là, son compte en banque continuera à grossir, et grossir encore.
Le groupe de la mort: Milan, Real, Ajax et Auxerre
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7S7 mise à jour Le tirage de la Ligue des Champions a été effectué à Monaco. Il a, entre autres, été clément avec le Bayern Munich, le FC Barcelone et Arsenal. Comme toujours, il y a un "groupe de la mort": AC Milan, Real Madrid, Ajax et l'AJ Auxerre. Découvrez le tirage grâce à nos tableaux.
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Avec le Real Madrid, José Mourinho retournera à Milan pour y affronter l'AC.
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La première phase de la Ligue des champions de football sera dominée par le choc AC Milan - Real Madrid, selon le tirage au sort effectué jeudi à Monaco, également délicat pour le tenant du titre, l'Inter Milan, qui aura pour adversaires les Allemands de Brême et les Anglais de Tottenham et les Néerlandais de Twente désormais entraîné par Michel Preud'homme.
20 C1 dans le groupe G
Le groupe G, qui comprend l'AC Milan, le Real Madrid et l'Ajax d'Amsterdam sera le plus prestigieux. Les trois équipes totalisent 20 succès en C1 (Coupe des clubs champions ou Ligue des champions). Les Français d'Auxerre complètent le groupe.
Le Bayern épargné
En revanche, le tirage a été clément pour les Allemands du Bayern Munich, finalistes de l'édition 2010, qui auront pour seul véritable adversaire l'AS Rome. Les Suisses de Bâle et les Roumains de Cluj copmplètent ce groupe E. Les Anglais de Chelsea, Arsenal et Manchester United ont également été épargnés, comme les Français de Lyon et les espagnols du FC Barcelone.
La finale à Wembley
Les six journées de la première phase sont programmées entre le mardi 14 septembre et le mercredi 8 décembre. Les deux premiers de chaque groupe accèderont aux huitièmes de finale. Le 3e sera "reversé" en Europa League. La finale est prévue le samedi 28 mai à Londres (Wembley).(belga/chds)
Le tirage de la Ligue des Champions (groupe A à D)GROUPE AGROUPE BGROUPE CGROUPE DInter MilanOlympique LyonManchester UnitedFC BarceloneWerder BrêmeBenficaFC ValencePanathinaikosTottenhamSchalke 04Glasgow RangersFC CopenhagueTwenteHapoel Tel AvivBursasporRubin Kazan
Le tirage de la Ligue des Champions (groupe E à H)GROUPE EGROUPE FGROUPE GGROUPE HBayern MunichChelseaAC MilanArsenalAS RomeOlympique MarseilleReal MadridShakhtar DonetskFC BâleSpartak MoscouAjax AmsterdamSporting BragaCFR 1907 ClujZilinaAJ AuxerrePartizan Belgrade
26/08/10 18h57
Le tirage de la Ligue des Champions (groupe A à D)GROUPE AGROUPE BGROUPE CGROUPE DInter MilanOlympique LyonManchester UnitedFC BarceloneWerder BrêmeBenficaFC ValencePanathinaikosTottenhamSchalke 04Glasgow RangersFC CopenhagueTwenteHapoel Tel AvivBursasporRubin KazanLe tirage de la Ligue des Champions (groupe E à H)GROUPE EGROUPE FGROUPE GGROUPE HBayern MunichChelseaAC MilanArsenalAS RomeOlympique MarseilleReal MadridShakhtar DonetskFC BâleSpartak MoscouAjax AmsterdamSporting BragaCFR 1907 ClujZilinaAJ AuxerrePartizan Belgrade
Lyon à l'aise, c'est compliqué pour Marseille et Auxerre
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Lyon, opposé notamment à Benfica et à Schalke 04 (gr.B), a été épargné par le tirage au sort de la phase de poules de la Ligue des champions effectué jeudi alors que Marseille, opposé à Chelsea (gr.F), et Auxerre qui devra se défaire du Real Madrid et de l'AC Milan (gr.G), seront en grand danger.
L'OL, demi-finaliste de la C1 la saison dernière, a profité de son statut de tête de série pour éviter les gros bras. Si le Benfica Lisbonne, champion du Portugal en titre, et l'ambitieux Schalke 04, qui vient de recruter l'attaquant espagnol Raul, ne seront pas de simples faire-valoir, ils sont tout de même largement à la portée du club de Jean-Michel Aulas, désormais un vieil habitué des phases de poules.
Pour l'OM et Auxerre, la tâche s'annonce en revanche très compliquée. Le champion de France en titre devra se frotter aux Blues de Chelsea. Les supporteurs marseillais retrouveront avec plaisir leur ancienne gloire Didier Drogba mais l'Ivoirien, l'un des meilleurs attaquants de la planète et révélé à la face du monde au Vélodrome, ne leur fera sûrement aucun cadeau. Avec le Spartak Moscou, l'OM aura également des difficultés. Mais le pire tirage a été pour l'AJA, qui hérite du Real Madrid, de l'AC Milan et de l'Ajax Amsterdam, soit 20 C1 à eux trois.
Le seul exploit possible pour les Bourguignons serait une éventuelle 3e place, synonyme de qualification pour les 16e de finale de l'Europa League. Dans les autres groupes, le tenant du titre l'Inter Milan n'a pas été ménagé avec le Werder Brême d'Ozil et l'ambitieux Tottenham de Gallas, Keane, Crouch et Dyer. Le tirage a en revanche été plus aisé pour Manchester United et Le FC Barcelone.
automobilisme
5 pilotes pour 7 GP
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Ce week-end, en Belgique, les cinq prétendants (ici Mark Webber) au titre mondial entament la dernière ligne droite de la saison
Après un mois de pause, le championnat du monde reprend. Il reste sept épreuves pour les cinq candidats au titre
Luc Domenjoz - le 26 août 2010, 21h13
Le Matin
Grand Prix de Belgique Spa-Francorchamps
La saison 2010 apparaît comme terriblement indécise. Alors qu'il ne reste plus qu'un tiers du championnat à jouer, cinq pilotes se dégagent en tête du classement. Reposés et bronzés par les quatre semaines de vacances qu'ils ont pu s'offrir depuis le Grand Prix de Hongrie, tous affirment viser le titre mondial.
Webber veut savoir
C'est particulièrement vrai pour les deux pilotes de l'écurie Red Bull, Mark Webber et Sebastian Vettel. Tandis que le premier occupe la tête du championnat avec 161 points, son coéquipier ne lui en concède que dix. Avec le nouveau système, une victoire vaut 25 points, c'est dire qu'un rien sépare les deux équipiers de l'écurie anglo-autrichienne. «J'aimerais vraiment remporter le titre pour voir l'effet que ça fait, plaisante Mark Webber. Il paraît qu'on n'est plus le même homme après...» Sebastian Vettel, de son côté, explique qu'il ne pourra plus laisser échapper la moindre opportunité ainsi qu'il l'a fait en Hongrie, lorsqu'une faute d'inattention lui a coûté la victoire (il avait laissé trop d'écart avec la voiture qui le précédait pendant une neutralisation de la course). «C'est comme si le championnat débutait ici, analyse l'Allemand. Avec sept courses à disputer, il y a moins de marge pour les erreurs qu'au début de la saison...»
Classé entre les deux pilotes
Red Bull, Lewis Hamilton compte 157 points. Chez McLaren, on affirme vouloir travailler sur la voiture 2010 jusqu'au tout dernier Grand Prix pour laisser aux deux pilotes une chance de s'imposer - Jenson Button est quatrième avec 147 points.
Reste Fernando Alonso. Cinquième du championnat, l'Espagnol de Ferrari martèle que sa voiture a énormément progressé et qu'il va gagner le titre. Le suspense reste donc entier.
Schumi présente ses excuses
En Hongrie, l'affaire avait fait grand bruit: à quelques tours du drapeau en damier, Michael Schumacher, en pleine ligne droite, a littéralement poussé dans le mur son ex-coéquipier de l'époque Ferrari, Rubens Barrichello. Un accident dramatique a été évité à quelques centimètres, et le Brésilien avait accusé l'Allemand d'avoir agi délibérément. C'est hier seulement que ce dernier a présenté des excuses à Rubens Barrichello, par l'envoi d'un simple SMS à l'occasion des 300 Grands Prix que célèbre ce week-end le Brésilien de l'écurie Williams. «J'accepte ses excuses, a simplement déclaré Rubinho. Je lui ai répondu que je le remerciais et que je lui souhaitais un bon week-end. La vie continue...» Les pilotes deviendraient-ils philosophes avec l'âge?
Le Celtic s'écroule, Liverpool s'en sort bien et Lille continue
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Le Celtic a pris l'eau à Utrecht (4-0).
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Liverpool s'est fait peur à Trabzonspor (1-2).
Premiers résultats des barrages retour de l'Europa League de football disputés mardi et jeudi.
Mardi:
aller retour
Anorthosis Famagouste (Chy) - (+) CSKA Moscou (Rus) 0-4 1-2
Jeudi:
HJK Helsinki (Fin) - (+) Besiktas Istanbul (Tur) 0-2 0-4
Austria Vienne (Aut) - (+) Aris Salonique (Grè) 0-1 1-1
CS Maritimo (Por) - (+) FC BATE Borisov (Blr) 0-3 1-2
(+) PSV Eindhoven (P-B) - FC Sibir Novosibirsk (Rus) 0-1 5-0
Maccabi Tel-Aviv (Isr) - (+) Paris SG (Fra) 0-2 4-3
(+) Lille (Fra) - SC Vaslui (Rou) 0-0 2-0
Tavriya Simferopol (Ukr) - (+) Bayer Leverkusen (All) 0-3 1-3
Aston Villa (Ang) - (+) Rapid Vienne (Aut) 1-1 2-3
(+) VfB Stuttgart (All) - Slovan Bratislava (Svq) 1-0 2-2
(+) Metalist Kharkiv (Ukr) - AC Omonia (Chy) 1-0 2-2
(+) Levski Sofia (Bul) - AIK Solna (Suè) 0-0 2-1
(+) Lech Poznan (Pol) - FC Dnipro Dnipropetrovsk (Ukr) 1-0 0-0
The New Saints FC (PdG) - (+) CSKA Sofia (Bul) 0-3 2-2
Motherwell (Eco) - (+) Odense (Dan) 1-2 0-1
*** (+) La Gantoise (BEL) - Feyenoord (P-B) 0-1 2-0
Grasshopper (Sui) - (+) Steaua Bucarest (Rou) 0-1 1-0 a.p.
(3-4 aux t.a.b.)
Litex Lovech (Bul) - (+) Debrecen (Hon) 0-2 1-2
(+) Karpaty Lviv (Ukr) - Galatasaray (Tur) 2-2 1-1
Unirea Urziceni (Rou) - (+) Hajduk Split (Cro) 1-4 1-1
Maribor (Sln) - (+) Palerme (Ita) 0-3 3-2
*** Dinamo Minsk (Blr) - (+) FC Bruges (BEL) 1-2 2-3
Lokomotiv Moscou (Rus) - (+) FC Lausanne (Sui) 1-1 1-1 a.p.
(3-4 aux t.a.b.)
Trabzonspor (Tur) - (+) Liverpool (Ang) 0-1 1-2
(+) FC Utrecht (P-B) - Celtic Glasgow (Eco) 0-2 4-0
(+) Manchester City (Ang) - FC Timisoara (Rou) 1-0 1-0
APOEL Nicosie (Chy) - (+) Getafe (Esp) 0-1 1-1
FK Aktobe (Kaz) - (+) AZ Alkmaar (P-B) 0-2 2-1
(+) Juventus (Ita) - Sturm Graz (Aut) 2-1 1-0
IF Elfsborg (Suè) - (+) Naples (Ita) 0-1 0-2
(+) AEK Athènes (Grè) - Dundee United (Eco) 1-0 1-1
FK Qarabag (Aze) - (+) Borussia Dortmund (All) 0-4 0-1
Brondby IF (Dan) - (+) Sporting Portugal (Por) 2-0 0-3
Dnepr Mogilev (Blr) - (+) Villarreal (Esp) 0-5 1-2
NDLR: Les équipes précédées de (+) sont qualifiées pour la phase de poules dont le tirgae au sort sera effectué vendredi à 13h00 à Monaco.
Soderling, Djokovic ou Roddick sur la route de Federer
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La route d'une septième finale consécutive à l'US Open pour Roger Federer pourrait passer par deux gros morceaux: le Suédois Robin Soderling (N.5) en quart de finale et le Serbe Novak Djokovic (N.3) ou l'Américain Andy Roddick (N.9) en demi, selon le tirage au sort effectué jeudi. Roddick, demi-finaliste à Cincinnati, semble en effet de taille à mater le Russe Nikolay Davydenko en 8e de finale et Djokovic en quart, étant donné la forme actuelle relativement incertaine des deux derniers.
L'an passé, en marche vers sa finale perdue face à l'Argentin Juan Martin Del Potro, Federer (N.2) avait sorti Soderling en quart de finale et Djokovic en demi. L'histoire pourrait donc se répéter. Dans l'autre moitié de tableau, le N.1 mondial Rafael Nadal, qui n'a encore jamais gagné l'US Open, a un quart de tableau tout à fait à sa portée (Fernando Verdasco en adversaire théorique en quart de finale) mais devra digérer une possible demi-finale contre Andy Murray avant de penser à une finale. L'US Open, dernier levée du Grand Chelem, débute lundi à New York sans le tenant du titre, Del Potro, qui se remet d'une blessure.
Federer sort d'un bel été après sa déconvenue de Wimbledon: finaliste à Toronto (contre Murray), il vient de gagner à Cincinnati (contre l'Américain Mardy Fish) son 2e titre de la saison après l'Open d'Australie. Il peut légitimement viser une 17e couronne en Grand Chelem sur les courts new yorkais, dont il a fait son jardin depuis 2004 (cinq victoires consécutives puis une défaite en finale en 2009). Il ouvrira les débats contre l'Argentin Brian Dabul, 94e joueur mondial. Son rival Nadal, vainqueur à Roland-Garros et Wimbledon, va tenter de devenir le 7e joueur à réaliser le Grand Chelem en carrière.
L'Espagnol, guère en vue à Toronto et Cincinnati, reste sur deux demi-finales à New York. Sa campagne va commencer face au Russe Teymuraz Gabashvili, 98e mondial. Chez les dames, il y embouteillage de prétendantes dans le bas de tableau.
En l'absence de sa soeur Serena, Venus Williams (N.3) a une belle carte à jouer mais il lui faudra passer des filles du calibre des Italiennes Francesca Schiavone (N.6) et Flavia Pennetta (N.19), ou encore la Bélarusse Victoria Azarenka (N.10), pour s'offrir une demi-finale de gala face à la tenante du titre, la Belge Kim Clijsters (N.2).
Cette dernière devra auparavant avoir fait fi d'adversaires potentielles comme l'Australienne Samantha Stosur (N.5) ou la Russe Elena Dementieva (N.12). Les anciennes N.1 mondiales Dinara Safina et Ana Ivanovic, imprévisibles, sont également dans le quart de tableau de la tenante du titre.
Du coup, la tête de série N.1, la Danoise Caroline Wozniacki, va pouvoir tracer sa route plutôt tranquillement, avec la Russe Maria Sharapova (N.14) comme principal obstacle avant une demi-finale possible contre la Serbe Jelena Jankovic (N.4) ou plus probablement contre la Russe Vera Zvonareva (N.7).
Alonso le plus rapide à Spa-Francorchamps
L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) a signé vendredi matin le meilleur temps de la 1re séance d'essais libres pour le Grand Prix de Belgique de Formule 1, qui aura lieu dimanche sur le circuit de Spa-Francorchamps (7 km). Avec un chrono de 2 min 00 sec 797/1000, sur une piste mouillée, Alonso a devancé de 770/1000 le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) et affiché clairement son ambition de succéder à Kimi Räikkönen, vainqueur l'an dernier dans sa Ferrari.
La première Red Bull n'a fait que le 4e chrono de cette 1re séance bien arrosée, celle de l'Allemand Sebastian Vettel, derrière la Renault du Polonais Robert Kubica, 3e temps, et devant la surprenante Force India d'un autre Allemand, Adrian Sutil. Le leader du championnat du monde, l'Australien Mark Webber, s'est contenté du 7e temps, derrière le champion du monde en titre, Jenson Button (McLaren-Mercedes) et devant le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber-Ferrari).
Pour les premiers essais de son 300e Grand Prix, le Brésilien Rubens Barrichello (Williams) s'est contenté du 10e chrono, avec sept centièmes d'avance sur son ancien coéquipier Michael Schumacher (Mercedes), six fois vainqueur à Spa.
La plupart des pilotes ont très peu tourné pendant la première partie de la séance. Ils sont surtout sortis en fin de séance, quand le ciel des Ardennes belges a commencé un peu à se dégager. Alonso n'a fait que 17 tours en une heure et demie, soit 35 minutes d'essais.
Sur cette piste détrempée, le meilleur temps d'Alonso était à 15 secondes des meilleurs temps de Jarno Trulli (Toyota) et Giancarlo Fisichella (Force India) lors des qualifications de l'an dernier. Les prochaines séances d'essais libres permettront de se faire une idée plus précise sur les forces en présence.
Rédaction Sport365
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vendredi 27 août 2010 - 16h40
Le Tour d'Espagne 2010 commencera samedi 28 août par un contre-la-montre par équipe de nuit à Séville. En raison des absences des grands favoris, et d'un parcours plus montagneux, la Vuelta 2010 s'annonce extrêmement indécise.
Cette année, sur les routes espagnoles, les coureurs ne se disputeront pas le traditionnel maillot « de oro » mais un maillot rouge de leader. Avec le forfait de certains grands favoris, comme Alberto Contador et Samuel Sanchez, et la suspension pour dopage du tenant du titre Alejandro Valverde, Denis Menchov part favori de la Vuelta 2010. Le Russe reste cette saison sur une troisième place sur le Tour de France et il se verrait bien confirmer cette bonne prestation en Espagne, sur un tour qu'il a déjà remporté en 2005 et 2007. D'ailleurs, le coureur de la Rabobank, qui rejoindra Geox en 2011, sera le seul coureur inscrit à avoir déjà remporté la Vuelta.
Derrière Menchov, les outsiders sont nombreux et certains ont de bonnes cartes à jouer. C'est le cas des frères Schleck (Saxo Bank) et de Carlos Sastre (Cervélo) qui croit en ses chances : « Sans Contador, qui sait ce qui va se passer. Aucune équipe ne sera capable de contrôler la course. Sans lui, le décor change. Cela va être une Vuelta plus attractive ». Les organisateurs s'en frottent les mains et mettent tout en place pour entretenir le suspense. Le classement général ne sera communiqué que lors de l'avant-dernière étape, la veille de l'arrivée à Madrid. L'étape finale s'annonce épique. De plus, le parcours plus montagneux que d'habitude, a été pensé pour offrir plus de spectacle. « La course est très difficile cette année. Ce n'est pas une Vuelta habituelle. Il y a beaucoup plus de montées que d'habitude, et seuls les coureurs très endurants pourront garder la forme jusqu'à Madrid », a déclaré Bradley McGee, le directeur sportif de la SaxoBank.
De son côté, la France sera très bien représentée avec 29 coureurs, soit le deuxième contingent national derrière l'Espagne. Pour comparaison, 35 Français ont pris le départ du Tour de France cette année. Parmi ces tricolores, on attend beaucoup de David Moncoutié. Le coureur de Cofidis vise le classement de la montagne pour la troisième fois consécutive, ce qui serait un record pour un non-Espagnol. Moncoutié en a fait son objectif, et il se sent bien sur cette Vuelta plus « montagneuse ». Les Français sont nombreux mais, sans véritable favori, ils devront certainement se contenter de quelques victoires d'étapes au cours d'un tour spectaculaire en perspective , mais également épuisant pour les coureurs. À Séville, ville de départ du Tour d'Espagne 2010, les températures dépassaient déjà les 45°C vendredi.
LE PARCOURS DE LA VUELTA 2010 :
Samedi 28 août 2010
1ère étape : Séville - Séville (contre-la-montre par équipes de 13 km)
Dimanche 29 août 2010
2eme étape : Alcala de Guadaira - Marbella (173 km)
Lundi 30 août 2010
3eme étape : Marbella - Malaga (156 km)
Mardi 31 août 2010
4eme étape : Malaga - Valdepenas de Jaen (177 km)
Mercredi 1er septembre 2010
5eme étape : Guadix - Lorca (194 km)
Jeudi 2 septembre 2010
6eme étape : Caravaca de la Cruz - Murcie (144 km)
Vendredi 3 septembre 2010
7eme étape : Murcie - Orihuela (170 km)
Jeudi 4 septembre 2010
8eme étape : Villena - Xorret del Cati (188,8 km)
Dimanche 5 septembre 2010
9eme étape : Calpe - Alcoy (187 km)
Lundi 6 septembre 2010
Journée de repos
Mardi 7 septembre 2010
10eme étape : Tarragone - Vilanova i la Geltru (173,7 km)
Mercredi 8 septembre 2010
11eme étape : Vilanova i la Geltru - Andorre (Vallnord/secteur Pal, 208 km)
Jeudi 9 septembre 2010
12eme étape : Andorre-la-Vieille - Lleida (175 km)
Vendredi 10 septembre 2010
13eme étape : Rincon de Soto - Burgos (193,7 km)
Samedi 11 septembre 2010
14eme étape : Burgos - Pena Cabarga (178,8 km)
Dimanche 12 septembre 2010
15eme étape : Solares - Lagos de Covadonga (170 km)
Lundi 13 septembre 2010
16eme étape : Gijon - Cotobello (179,3 km)
Mardi 14 septembre 2010
Journée de repos
Mercredi 15 septembre 2010
17eme étape : Penafiel - Penafiel (contre-la-montre individuel de 46 km)
Jeudi 16 septembre 2010
18eme étape : Valladolid - Salamanque (153 km)
Vendredi 17 septembre 2010
19eme étape (vendredi 17) : Piedrahita - Tolède (200 km)
Samedi 18 septembre 2010
20eme étape : San Martin de Valdeiglesias - Bola del Mundo (168,8 km)
Dimanche 19 septembre 2010
21eme étape : San Sebastian de los Reyes - Madrid (100 km)
Retrouvez le tirage au sort de la phase de poules de la Ligue Europa. Dans le groupe C, Lille retrouve le Sporting Portugal, le Levski Sofia et La Gantoise. De son côté, le Paris Saint-Germain sera opposé au FC Séville, au Karpaty Lviv et au Borussia Dortmund (groupe J).
LIGUE EUROPA / PHASE DE POULES
Groupe A
Juventus Turin (ITA)
Manchester City (ANG)
FC Salzbourg (AUT)
Lech Poznan (POL)
Groupe B
Atletico Madrid (ESP)
Bayer Leverkusen (ALL)
Rosenborg (NOR)
Aris Salonique (GRE)
Groupe C
Sporting Portugal (POR)
Lille
Levski Sofia (BUL)
La Gantoise (BEL)
Groupe D
Villarreal (ESP)
FC Bruges (BEL)
Dinamo Zagreb (CRO)
PAOK Salonique (GRE)
Groupe E
AZ Alkmaar (PBS)
Dynamo Kiev (UKR)
FC BATE Borisov (BLR)
Sheriff Tiraspol (MOL)
Groupe F
CSKA Moscou (RUS)
Palerme (ITA)
Sparta Prague (RTC)
FC Lausanne (SUI)
Groupe G
Zenit Saint-Pétersbourg (RUS)
Anderlecht (BEL)
AEK Athènes (GRE)
Hajduk Split (CRO)
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Jean-François PATURAUD
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vendredi 27 août 2010 - 07h26
Dans un stade Mayol bouillant, Toulon et le Racing-Métro s'affronteront vendredi pour un duel d'équipes aux dents longues. Les Varois, battus à domicile lors de la 1ere journée, n'auront pas le droit à l'erreur face à des Parisiens revanchards. Vendredi, direct commenté à partir de 18h45, cliquez ici. (http://live.rugby365.fr/r365_directlive.shtml?/MATCH/top16-2010/journee_3/4620/)
http://www.rugby365.fr/mediastore2/rugby/logos_clubs/logo_toulon.jpg TOULON
Le groupe
Toulon pourra compter sur le retour de plusieurs cadres. Le demi de mêlée Pierre Mignoni, le troisième ligne argentin Juan Martin Fernandez Lobbe et le capitaine sud-africain Joe Van Niekerk figurent dans le groupe. Dean Schofield (côte) est forfait. Matt Henjak et Joe El Abd sont laissés au repos.
Les absents
Blessés : J-P.Genevois, Loamanu, Orioli, Schofield
Suspendu : Aucun
Enjeux et forme du moment
Après être tombé de haut dès la première journée en s'inclinant à Mayol face à Bayonne, le RCT a bien relevé la tête la semaine dernière. Les Varois sont allés gagner à Biarritz (3-13) en se montrant nettement plus compétitifs dans l'engagement et le combat. Les hommes de Philippe Saint-André entendent bien continuer sur cette lancée face à une autre grosse écurie du championnat. Une nouvelle défaite à domicile remettrait tout en cause avant de se rendre à La Rochelle quatre jours plus tard. Le 30 juillet dernier, les Toulonnais avaient largement dominé le Racing (39-10) en amical alors que la saison dernière, ils s'étaient également imposés (27-13) à domicile.
La phrase de...Sébastien Bruno
« Contre Biarritz, on a montré qu'on n'était pas une mauvaise équipe, qu'on pouvait encore compter sur nous cette année et que le match contre Bayonne était une erreur. J'espère que nous allons montrer notre vrai visage dans la continuité tout au long du championnat. L'an dernier, nous avions été assez réguliers et il faut qu'on le redevienne. » (Rugby365)
http://www.rugby365.fr/mediastore/logo_club/logo_Racing_Metro_50x50.png RACING-METRO
Le groupe
C'est un moment important de la saison du Racing-Métro. Absent lors des deux premières journées, Juan Martin Hernandez effectuera à Toulon ses grands débuts avec son nouveau club. Opéré des vertèbres lombaires en janvier, l'Argentin se sent prêt. « El Mago », qui a passé six années au Stade Français entre 2003 et 2009, va retrouver le Top 14. Il devrait rentrer en cours de partie, à la place de Jonathan Wisniewski, pour évoluer au côté de Jérôme Fillol, un autre ancien Stadiste. Nicolas Durand est en effet touché au dos. Forfait la semaine dernière, Benjamin Fall est rétabli. Il devrait être placé à l'arrière en l'absence de François Steyn, parti en Afrique du Sud pour jouer la fin du Tri-Nations avec les Boks. Grand retour du troisième ligne argentin Alvaro Galindo absent depuis de nombreux mois. Enfin, Lionel Nallet récupèrera le capitanat.
Les absents
Blessé : Durand
Sélection : Steyn
Suspendu : Aucun
Enjeux et forme du moment
Le Racing-Métro doit réagir. Bien entré dans le Top 14 grâce à sa victoire à Brive (23-18), le club francilien a lourdement chuté à Montpellier (36-19). Après avoir pris le score en début de match, les Racingmen ont encaissé quatre essais et livré une prestation décevante. Pour leur troisième déplacement en autant de journées, Sébastien Chabal et ses partenaires seront revanchards. Et ça tombe bien car le défi s'annonce corsé à Toulon pour un duel d'équipes aux dents longues. Quatre jours avant de retrouver Clermont qui les avaient éliminés en barrage la saison dernière, les hommes de Pierre Berbizier rêvent de frapper un grand coup sur la Rade.
La phrase de... Pierre Berbizier
« On a conscience d'avoir fait un mauvais match à Montpellier. Je me demande même si on a fait un match tout court. Cette semaine, on a tout simplement précisé aux joueurs ce qu'on attend quand on rentre sur terrain de rugby. » (Rugby365)
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jeudi 26 août 2010 - 12h42
Jacques Villeneuve attend la décision de la FIA pour savoir s'il pourra courir en F1 la saison prochaine. Le Québécois a en effet mis sur pied sa propre écurie en collaboration avec l'ancienne équipe de GP2 Durango.
Jacques Villeneuve au volant d'une monoplace de sa propre écurie ? C'est la FIA qui va décider. La réponse devrait tomber ce week-end lorsque la Fédération internationale rendra son verdict au sujet de l'attribution de la treizième et dernière place disponible sur la grille en vue de la saison 2011. Jacques Villeneuve a en effet posé sa candidature avec son projet « Villeneuve Racing ». « Tout s'est bien passé lors de notre présentation en Europe, récemment, devant le comité d'évaluation, a indiqué Villeneuve mercredi en conférence de presse. Tout le monde semblait content, mais c'est difficile de savoir ce qu'ils ont vraiment pensé ». L'heure est à l'optimisme pour l'ancien champion du monde de F1. Ce dernier s'est associé avec l'équipe italienne Durango, dirigée par Ivone Pinton. La collaboration a été rendue officielle en juillet sur le site du pilote canadien.
Au départ, les deux partenaires avaient fait cavalier seul mais la collaboration a vite pris forme. « Nous avions tous les deux des lettres d'intention de la part de nos partenaires et de nos financeurs, mais pas suffisamment pour soutenir un projet. Mais en mettant nos ressources en commun, nous avons pu emboîter les pièces du puzzle ensemble et cela nous a permis d'aborder l'avenir avec optimisme », déclare le propriétaire de la structure italienne. Un patron sûr de lui et un pilote optimiste donc. Pour l'instant rien n'a filtré sur ce fameux projet, tant sur le plan économique, les soutiens financiers ou sur la monoplace qui s'alignera sur la grille de départ. D'autre part le rôle de Jacques Villeneuve au sein de la probable nouvelle écurie n'est pas encore tout à fait déterminé. « En plus d'être pilote, il pourrait apporter de grandes choses à l'équipe », souligne Ivone Pinton. Co-directeur ? Simple image de marque ? Les zones d'ombre sont nombreuses et s'éclairciront dans les prochaines semaines. Une chose est sûre pour l'instant, Ivone Pinton apprécie l'ancien champion du monde. « Jacques est quelqu'un qui est volontaire et énergique. C'est un honneur pour Durango de travailler avec lui, un privilège. Nous parlons là du fils d'une légende et d'un ancien champion du monde de F1 ». Un bon début mais pour l'heure rien n'est joué.
La pression monte. D'autant que le dossier « Villeneuve Racing » n'est pas le seul sur le coup. Une dizaine d'écuries sont candidates pour obtenir le fameux Graal comme Epsilon ou le Cypher Group. « Soit ça fonctionne et c'est génial, soit on a une réponse négative et tout ce qu'on a mis en place tombe à l'eau. Il n'y a pas vraiment de porte de sortie ». Optimiste le Canadien, mais avant tout fataliste. Ce projet représente sûrement la dernière possibilité pour Villeneuve de revenir sur le devant de la scène en F1. Depuis son limogeage de l'écurie Sauber en 2006, le champion du monde 1997 n'a jamais cessé de rappeler son envie de reconduire une monoplace. A 37 ans l'occasion est belle. Pour l'instant Villeneuve s'éclate dans le championnat Nascar où il pilote une Toyota 32 de Braun Racing. « Si notre projet n'est pas retenu, je vais continuer en Nascar. J'aimerais y piloter toutes les semaines. J'adore la compétition et c'est ce que j'apprécie dans ces séries. » Ce week-end, le championnat de Nascar fait halte à Montréal. Et le pilote canadien préférerait que la FIA ne divulgue pas sa réponse pendant l'épreuve pour d'abord se concentrer sur sa course. Apprendre son retour en F1 tout près de ses terres natales serait pourtant un joli symbole pour le Québécois.
:content::content:Super j'aime bien Villeneuve
athlétisme
Gay reste roi du 100 m
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Image © Keystone
Tyson Gay s’est imposé avec la manière hier soir à Bruxelles.
L’Américain l’avait annoncé: le 100 mètres est son domaine cette année.
le 27 août 2010, 23h05
LeMatin.ch & les agences
Tyson Gay est le boss incontesté du 100 m cet été. L’Américain s’est imposé en 9’’79 au meeting de Bruxelles, dernière étape de la Ligue de diamant, préservant son invincibilité sur la ligne droite cette saison.
Le triple champion du monde 2007 a dû cravacher pour vaincre le Jamaïcain Nesta Carter, qui a mené la course jusqu’aux 70 m pour se classer 2e en 9’’85 (record personnel), devant un autre Jamaïcain, Yohan Blake (9’’91).
Gay remporte logiquement le trophée de la discipline et le chèque réservés au meilleur sur l’ensemble de la saison, une récompense de 50 000 dollars au total, et finit sa saison à toute vitesse pendant que ses rivaux jamaïcains Usain Bolt et Asafa Powell, blessés, tirent la langue depuis plusieurs semaines. Il courra encore à Zagreb le 9 septembre et ne désespère pas de battre son record personnel (9’’69) cette saison.
Les 47 000 spectateurs du Stade Roi Baudoin, qui affichait complet pour la 13e fois d’affilée, ont aussi applaudi les deux grandes dames de l’athlétisme cette saison: la Croate Blanka Vlasic et l’Américaine Allyson Felix. Vlasic est la seule athlète à avoir réussi le parcours parfait – 7 succès en 7 apparitions – cette année en Ligue de diamant. Les amateurs oublieront sa performance (2 m) pour retenir son rang.
Une vraie prouesse
Felix s’est imposée sur 200 m en 22’’61, décrochant son deuxième trophée en une semaine après celui obtenu sur 400 m. La triple championne du monde du demi-tour de piste est la seule athlète à avoir réalisé cette prouesse.
Le Français Mahiedine Mekhissi Benabbad, vice-champion olympique, a battu les Kényans sur 3000 m steeple pour gagner en 8’02’’52, échouant d’un peu plus d’une seconde contre le record d’Europe de son rival et compatriote Bouabdellah Tahri (8’01’’18).
COURSE à PIED
Kilian Jornet Burgada: «L’essentiel, c’est de rester calme»
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Image © Yvain Genevay
On se prépare au départ sur la place du Triangle-de-l’Amitié à Chamonix. Les conditions météo de la course étaient hier soir déjà très mauvaises.
Le départ de la 8e édition de l’Ultra Trail Mont-Blanc a été donné hier soir. Dans la pluie et le froid, l’Espagnol Kilian Jornet Burgada vise une troisième victoire d’affilée au terme de ces 166 km, ce qui constituerait une première.
Gaëlle Cajeux - le 27 août 2010, 21h49
Le Matin
L’accalmie était annoncée en début de soirée. A 17 h 30, elle est au rendez-vous. Le ciel, qui a tant pleuré jusque-là, s’éclaircit pour encourager les 3600 coureurs qui s’amassent sur la place du Triangle-de-l’Amitié, au cœur de Chamonix. Des athlètes prêts à prendre le départ, dans une heure, de l’Ultra Trail du Mont-Blanc, la référence mondiale des courses très longue distance en montagne. Prêts à relever le défi de courir 166 km (et 9500 m de dénivelé) autour du Mont-Blanc, en traversant trois pays (France, Italie et Suisse) et en franchissant dix cols à plus de 2000 m d’altitude.
18 h 30, top départ. Des gouttes réapparaissent. La majorité de ces sportifs sait qu’elle sera en route deux jours et deux nuits durant et ne rejoindra Chamonix que demain après-midi. Qu’il lui faudra affronter le froid, la pluie donc et même la neige. Pour les élites, la souffrance prendra fin cet après-midi (déjà), après 21 heures de course pour les meilleurs. Sauf accident, le recordman de l’épreuve, Kilian Jornet Burgada (20 h 56), devrait être de ceux-là. «Avec ces conditions, la course sera plus lente, on passera plus de temps dehors», remarque l’Espagnol de 22 ans, pas mécontent de ces conditions qui s’annoncent particulièrement difficiles. «Bien sûr, c’est dommage pour les spectateurs. Mais, nous, nous devons l’accepter, c’est la montagne. Il ne peut pas toujours faire beau et chaud. Et puis, ce seront les mêmes conditions pour tout le monde et ça mettra en avant ceux qui connaissent vraiment la montagne.»
Egalement parmi les favoris, le Français Antoine Guillon assure lui aussi: «La pluie ne me dérange pas, ça rend la course plus intéressante, ça met un peu plus de piment. Ces conditions promettent une course à surprises. C’est sûr qu’il va faire froid, que ça va glisser, ce qui induira une dépense énergétique supplémentaire. Il faudra donc manger davantage et être plus à l’écoute de soi. Kilian part avec un avantage car c’est vraiment un montagnard.»
Fils des Pyrénées
Enfant des Pyrénées – il a gravi son premier 4000 à l’âge de 3 ans –, Kilian Jornet Burgada aimerait bien, au pied du Mont-Blanc, réussir une première: remporter l’UTMB pour la troisième fois d’affilée. «C’est un rêve, mais il sera très difficile à atteindre. Il y a beaucoup de concurrence, avec les Français, les Américains, les Suisses et les Japonais, souligne le Catalan. Mais, sur ce terrain technique, je vais essayer de faire la différence dans les descentes. L’essentiel est de ne pas être impatient, de rester calme. Car la course va être très longue.»
L'Atletico Madrid remporte la Supercoupe en battant l'Inter
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L'Atletico Madrid, vainqueur de l'Europa League, a remporté la Supercoupe d'Europe en bousculant la logique et l'Inter Milan, vainqueur de la Ligue des champions battu 2 0 en seconde période d'un match qui a mis du temps à se décanter après l'heure de jeu.
Reyes ouvre, Agüero clôture
Pour noter les gardiens, il ne fallait pas compter sur la première période de ce match car aucun tir n'a été cadré pendant ce premier acte.... Puis Julio Cesar a réalisé un bon arrêt devant Reyes en deuxième période à l'heure jeu. Le gardien de l'Inter aurait du se méfier de ce joueur: c'est Reyes qui a ouvert le score à la 62e minute dans un angle fermé (1-0).
Agüero n'a eu qu'à marquer ensuite le but du KO à un Inter groggy après le premier but (2-0, 82e). Cauchemar absolu pour l'Inter: De Gea a détourné un penalty de Milito à la 90e minute!
Au delà du résultat, ce genre de match est souvent attendu pour les enseignements sur des joueurs clé avant le début de leur saison. Dans les rangs de l'Atletico, Agüero a montré qu'il était déjà en jambes. Son partenaire en attaque, Forlan, lui, est apparu un peu en manque de rythme. Mais peut être a-t-il été trop sollicité le jour du match, puisqu'il avait participé dans la matinée au tirage au sort de l'Europa League à Monaco. Peut-être a-t-il été aussi trop sollicité en général après son excellent Mondial avec l'Uruguay.
Sneijder pas encore à plein régime
Du côté de l'Inter, Eto'o s'est montré remuant, mais il a bien été pris, souvent par trois défenseurs madrilènes quand il a tenté de percer sur son côté gauche. Maicon s'est montré puissant et véloce, enchaînant les montées sur son flanc droit, mais a perdu un ballon très dangereux (59e).
Milito a été plutôt discret en première mi-temps, avant de se réveiller en seconde période, trop tard. Sneijder a parfois manqué de précision sur coup de pied arrêté et n'est pas encore à plein régime.
Plus généralement, les deux équipes, quand elles ont voulu produire du jeu, ont dû composer avec la mauvaise pelouse du stade Louis II.
Rien d'extraordinaire
Le début de match n'a pas été grandiose. Il a fallu attendre que la demi-heure de jeu approche pour voir les occasions se multiplier: tir d'Assunçao à côté (27e), corner de Sneijder et tête de Samuel à côté (29e), frappe lointaine de Garcia à côté (31e), tir rasant d'Eto'o à côté (32e), frappe sèche d'Agüero à côté (34e). Puis l'heure de jeu et les buts sont arrivés.
FORMULE 1
GP de Belgique: Mark Webber en pole position
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Image © Keystone
L'Australien Mark Webber (Red Bull), leader du championnat du monde, partira dimanche en pole position du Grand Prix de Belgique de Formule 1, 13e épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi à Spa-Francorchamps.
le 28 août 2010, 15h40
LeMatin.ch & les agences
L'Australien Mark Webber (Red Bull), leader du championnat du monde, partira dimanche en pole position du Grand Prix de Belgique de Formule 1, 13e épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi à Spa-Francorchamps.
Webber, auteur d'un chrono de 1 min 45 sec 778/1000, a devancé de justesse le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), crédité en toute fin de séance, alors que la pluie se remettait à tomber, d'un 1:45.863.
Hamilton accompagnera donc Webber, 34 ans vendredi, sur la 1re ligne de la grille de départ.
L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), qui a attendu la fin de la Q3 pour tenter de faire un bon chrono, se retrouve 10e de la séance et partira donc sur la 5e ligne, lui qui avait dominé les premiers essais libres et espérait gagner enfin à Spa cette année.
La 2e ligne sera occupée par le Polonais Robert Kubica, excellent 3e dans sa Renault équipée d'un F-Duct (diffuseur soufflé) très performant depuis le début du week-end, aux côtés d'un Sebastian Vettel (Red Bull) qui espérait sûrement mieux, lui qui a trusté les pole positions cette saison.
Le champion du monde en titre, le Britannique Jenson Button (McLaren), sera à côté du Brésilien Felipe Massa (Ferrari), sur la 3e ligne, et les 44 tours de course, dimanche, promettent d'être très animés, la météo semblant ne pas devoir devenir stable avant mardi.
philguerin
28/08/2010, 16h17
Bien content pour Mark WEBBER, j'aime bien ce pilote...
merci Norton..
Stoner27
28/08/2010, 16h51
Alonzo 10 et Webber 1, que demander de mieux!!!!!!!:content::content::content:
philguerin
28/08/2010, 21h05
Oui le père Alonzo il a tenté un coup de poker ... qui visiblement a foiré copieusement...
tant mieux pour le spectacle... J'ai pas vu mais si j'ai bien compris SCHUMACHER doit partir de la dernière place ou presque non?? avec sa pénalité de 10 places... il ne doit pas en être loin en tout cas...
Alonso n'y est pour rien c'est surtout la stratégie ridicule de Ferrari comme depuis le départ de Todt en 2007.
Ils ont 10minutes pour faire un chrono, ils attendent la dernière minute pour envoyer Alonso alors qu'à Spa tout le monde sait qu'il peut se mettre à pleuvoir n'importe quand et pas de chance pour le Fernand, la pluie arrive à 1 minute de la fin... Surtout que dans la première partie des qualifs, la pluie est arrivé d'un coup et que plusieurs gros pilotes s'en sont sorti limite.
Pour Schumacher il part 21ème après ses 10places de pénalité parès sa manoeuvre dangereuse sur Barrichello lors du précédent GP.
Mais s'il pleut demain, ce sera une course de dingue avec Schumi et Alonso.
COURSE à PIED CHAMONIX
Les organisateurs ont dû improviser
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Image © Yvain Genevay
L'Ultra Trail du Mont-Blanc a été annulé en raison de la mauvaise météo. Une course de repli a été organisée entre Courmayeur et Chamonix
Gaëlle Cajeux - le 28 août 2010, 23h06
Le Matin Dimanche
Lancée vendredi à 18h30 sur la place du Triangle de l'amitié à Chamonix, la 8e édition de l'Ultra Trail du Mont-Blanc a tourné court. Les organisateurs ayant décidé de neutraliser l'épreuve reine des ultra-marathons de montagne à la hauteur des Contamines, après seulement 31 km de course. «A cause d'une météo très difficile au col de la Seigne (pluie, froid et brouillard), des chutes de neiges prévues à 2500m et un débalisage sauvage rendent les conditions trop précaires, a expliqué dans la nuit la directrice de course Catherine Poletti. Nous préférons arrêter et ramener les 2300 participants à Chamonix en bonne santé.»
Stoppés net dans leur élan, beaucoup ont fondu en larmes. Difficile pour ces sportifs d'accepter une décision qui anéantit leur rêve de relever ce défi insensé: faire le tour du Mont-Blanc sur un tracé de 166km et 9500m de dénivelé positif. Alors, «dans une volonté ferme de proposer coûte que coûte une course à ces trailers désoeuvrés», les organisateurs ont annoncé une épreuve de repli, 98km entre Courmayeur (It) et Chamonix, avec départ à 10 h 15 hier matin. Informés par SMS à 5 h, nombre de coureurs n'ont pas vu l'information à temps. Ou, par barrière de la langue - 57 nationalités étaient représentées - ne l'ont pas comprise. Ils n'étaient donc que 1300 au départ.
Une partie de l'élite a décidé de ne pas s'aligner. Dont le recordman et favori de l'UTMB, Kilian Jornet Burgada. «Avec son plateau jamais vu, l'UTMB 2010 promettait beaucoup. Bien sûr, la météo s'annonçait dure: de la pluie, du froid en altitude. Et alors? C'est ça la montagne!» s'insurge l'Espagnol sur son blog. En déplorant que l'organisation n'ait pas prévu de «vrai plan B», le jeune Catalan ajoute: «La montagne, ce n'est pas que du soleil, des champs verts, des fleurs et des vaches. C'est aussi les rochers, les orages, la neige. Malheureusement, même si les compétitions sont qualifiées de «courses de montagne», on s'éloigne de plus en plus de cet esprit.»
Jez Bragg, lui, a hésité à prendre le deuxième départ. «Je me suis réveillé à 7 h et j'avais des SMS d'amis qui me disaient: «Alors, la course reprend tout à l'heure à Courmayeur!». Mais moi je me suis dit, non, je ne vais pas la faire, avoue le Britannique. J'ai pris mon petit-déjeuner, je suis resté relax à l'hôtel. Mais finalement, j'ai sauté dans la voiture, j'ai passé le tunnel du Mont-Blanc à 9h et à 10h, j'étais sur la ligne de départ.» Il a franchi celle d'arrivée en vainqueur, après 10h31 de course.
Jez Bragg (à gauche) a franchi la ligne d'arrivée en vainqueur après plus de 10 h de course. Durant le parcours, les 1300 concurrents ont dû affronter des conditions difficiles (brouillard, chemins glissants), notamment dans la descente du val Ferret.
automobilisme
Le retour patient de Schumacher
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Image © Keystone
Le retour de Michael Schumacher en F1 est décevant, mais le pilote allemand veut se tourner vers le futur, et espère briller en 2011 au volant d'une voiture qui conviendra à son style
Neuvième du championnat 2010, à 56 points de son coéquipier, le septuple champion du monde n'est plus que l'ombre de sa réputation. Et pourtant il n'a jamais semblé si confiant mais il s'est résolument tourné vers la saison 2011
Luc Domenjoz - le 28 août 2010, 22h27
Le Matin Dimanche
Vu des gradins d'un circuit, le retour de Michael Schumacher pourrait facilement être qualifié de raté. Après avoir accumulé sept titres mondiaux, soufflé 91 victoires, raflé 68 pole positions et empilé 154 podiums, l'Allemand a pris sa retraite, fin 2006, avant de décider de reprendre le volant cette saison, trois ans de vacances plus tard.
A l'enthousiasme suscité par son retour succède aujourd'hui une déception certaine, puisque le résident de Gland (VD) n'a pu réussir mieux que deux quatrièmes places au volant de sa Mercedes 2010.
Depuis ses débuts en Formule 1, qui remontent à 1991, il n'avait encore jamais connu d'aussi piètre saison. Et c'est surtout la première fois qu'il est devancé sur quasiment tous les tableaux par son coéquipier, en l'occurrence Nico Rosberg. Le jeune Allemand a marqué 56 points de plus que son illustre aîné, s'est qualifié dix fois sur treize devant lui et est monté deux fois sur le podium alors que l'on n'y a pas encore aperçu Michael Schumacher.
Bien peu s'attendaient à dresser un bilan aussi mitigé du retour de Schumi à l'heure où les deux tiers de la saison 2010 sont atteints. Et beaucoup en profitent pour régler leurs comptes avec celui qui les a parfois, voire souvent, agacés à l'époque de ses succès: «Il a besoin de temps», argumente Martin Brundle, commentateur de la télévision britannique. «Je savais que son talent serait un peu émoussé, mais je le voyais tout de même plus rapide. Au Canada, il a mené la pire course de sa carrière!» Un jugement un peu sec qu'il faut nuancer par le fait que Martin Brundle, lorsqu'il était coéquipier de Michael Schumacher, en 1992, a régulièrement été battu par l'Allemand qui n'était alors pourtant qu'un débutant.
«Michael a commis une énorme erreur, renchérit Eddie Jordan. Vous croyez que ça l'amuse d'être battu tous les dimanches par des gars qui ont 20 ans de moins que lui? Ce qu'il essaie de faire va à l'encontre des lois de la médecine...» Sévère, l'Irlandais n'a visiblement pas pardonné la fuite de Michael Schumacher chez Benetton juste après avoir disputé son premier Grand Prix ici même, à Spa-Francorchamps, au volant d'une Jordan.
«J'aurais préféré qu'il ne revienne pas, tonne Jackie Stewart. Pourquoi a-t-il fait une chose pareille? Il avait tout gagné, et désormais il ne peut que tout perdre.» Méchant, le triple champion du monde, en réalité, se montre cassant envers tout le monde, avec un systématisme qui laisse penser que l'Ecossais s'aigrit avec l'âge...
La voiture ne lui convient pas
L'intéressé, heureusement pour lui, n'a cure de ce feu roulant de critiques. Il savait que son retour serait rendu difficile par l'interdiction des essais privés, qui l'empêche de retrouver ses marques sur une F1 qui a beaucoup changé depuis 2006.
L'Allemand pilote aussi une Mercedes qui n'est pas de son goût, la faute à Jenson Button, son pilote en 2009, qui avait demandé une machine intrinsèquement sous-vireuse (c'est-à-dire qui glisse de l'avant). Entre-temps, le Britannique est parti chez McLaren et Michael Schumacher se retrouve au volant d'une voiture qu'il n'aime pas. «Evidemment, je n'avais pas imaginé que ce serait aussi difficile», admet aujourd'hui l'Allemand. «Mais je sais exactement ce qui ne va pas. Pour l'instant, la voiture que nous avons ne me convient pas, et par conséquent je ne suis pas au niveau de Nico (Rosberg, son coéquipier, ndlr). Chaque pilote a son style et doit y adapter sa voiture pour se sentir bien. J'y étais parvenu chez Ferrari, mais ça ne se fait pas d'un jour à l'autre. On y travaille, nous y arriverons. Et ce jour-là, je serai aussi rapide que Nico.»
Hier, c'était déjà le cas: Michael Schumacher s'est qualifié 11 millièmes de seconde devant son coéquipier. Mais cet après-midi, il ne partira que de la 21e place sur la grille de départ, en raison d'une pénalité infligée après le Grand Prix de Hongrie, où il a été accusé de manoeuvre dangereuse envers Rubens Barrichello.
Ce sera sa pire position de départ au cours de cette pire saison d'une carrière de 262 Grands Prix. L'écurie Mercedes ayant d'ores et déjà annoncé qu'elle ne travaille plus sur sa voiture actuelle pour se concentrer sur le modèle 2011, il ne faut guère attendre de progrès d'ici à la fin du championnat. Michael Schumacher le sait et en a pris son parti. «Je suis très confiant. Nous avons parfaitement compris les problèmes qui nous handicapent cette année, et nous savons comment les résoudre. Par conséquent, je sais que je peux atteindre mon but: remporter une nouvelle fois le titre mondial. Cela va prendre du temps, mais j'y arriverai.»
A l'évidence, le septuple champion du monde a gardé la foi. Quant à sa motivation, elle semble plus gonflée que jamais. Il lui en faut, en effet, pour faire face au défi de ce difficile retour. Car comme il l'avoue, il aurait pu rester tranquillement chez lui, à 41?ans, et savourer le repos du guerrier plutôt que de mettre sa réputation en jeu. Ne serait-ce que pour ce courage, les censeurs devraient faire preuve d'indulgence avant de critiquer un retour qu'il est trop tôt pour qualifier de raté.
Gourcuff rate son entrée avec Lyon, Toulouse maintient le cap
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Pour sa première apparition sous ses nouvelles couleurs, Yoann Gourcuff s'est incliné avec Lyon à Lorient 2-0, samedi lors de la 4e journée de Ligue 1, alors que Toulouse, qui a enchaîné une 4e victoire à Nancy (2-0), a conservé sa place de leader. Les Lyonnais, auteurs d'un début de saison maussade, attendaient beaucoup de leur recrue star. Mais l'ancien meneur de jeu bordelais n'a pas empêché l'OL, désormais 12e, de concéder sa deuxième défaite en deux matches. Il s'agit de la pire entame de championnat du club depuis 2000-2001.
Entré en jeu plus rapidement que prévu en raison de la blessure de Delgado (30e), Gourcuff n'a pas réussi à inverser une tendance qui s'était dessinée dès la 9e minute avec le but de Gameiro sur penalty après une main de Toulalan. Si l'attaquant lorientais a ainsi dignement fêté sa première convocation en équipe de France pour les matches contre le Belarus (3 septembre) et la Bosnie (7 septembre), la galère se poursuit pour Toulalan, déjà sous le coup d'un match de suspension pour son implication dans la grève de l'entraînement durant le Mondial.
Reconverti défenseur, l'international français a été jugé "pas incontournable" à son nouveau poste par Laurent Blanc qui ne l'a pas retenu en bleu. Sa faute et le deuxième but inscrit par le Lorientais Kitambala vont donc immanquablement encore alimenter le débat sur son repositionnement et son avenir en sélection. L'entraîneur Claude Puel, à l'origine de ce choix tactique et toujours sans trophée avec Lyon, est également sous pression.
Loin des malheurs lyonnais, l'invincible Toulouse reste en première position après le succès arraché à Nancy. Braaten, intenable depuis le début de saison (3 buts), n'a pas marqué, les deux héros du jour étant Capoue et Tabanou. Maigre consolation: Nancy a enfin terminé un match à onze après les trois cartons rouges récoltés lors des trois premières journées. Rennes, qui a infligé sa quatrième défaite d'affilée à Arles-Avignon (1-0), bon dernier, est en embuscade (2e à quatre points) tout comme Montpellier (3e à quatre points du Téfécé), toujours compétitif malgré les départs de l'intersaison.
Les Héraultais se sont imposés à Valenciennes (1-0) grâce au premier but en L1 d'Olivier Giroud, l'ancien canonnier de L2. Saint-Etienne est en revanche méconnaissable. 17e en 2009-10, les Verts s'incrustent dans le Top 5 après leur succès contre Lens (3-1) sur un triplé de Payet, le nouveau meilleur buteur du championnat (4 buts).
Mondial de basket: la France se paie l'Espagne
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Arrivée en Turquie dans ses petits souliers, la France a réussi un énorme exploit en battant (72-66) l'Espagne, championne du monde en titre, en ouverture du Mondial de basket samedi à Izmir. Ils sont vraiment impayables ces Bleus ! Après avoir accumulé les déceptions alors qu'ils ambitionnaient, souvent légitimement, une médaille ou un titre ces dernières années, ils ont réussi leur plus beau match depuis cinq ans l'été où on les en pensait le moins capables, puisque privés d'une bonne demi-douzaine de leurs joueurs majeurs, dont Tony Parker.
Alors qu'on leur promettait l'enfer face à la meilleure équipe au monde de ces quatre dernières années, une punition d'au moins vingt points comme l'an dernier en quarts de finale du Championnat d'Europe, ils ont réussi à déjouer tous les pronostics en s'appuyant sur une défense héroïque qui a complètement anesthésié le pouvoir offensif des Espagnols. "J'avais dit qu'on n'avait pas de marge de manoeuvre si on n'était pas rigoureux. On l'a été ce soir. Défensivement on a été énormes", a constaté Ali Traoré.
Rapidement menés de douze points, les Bleus ont ainsi réussi à revenir à hauteur de leur adversaire juste avant la pause, s'accrocher dans leur sillage pendant un quart d'heure pour finalement leur passer devant dans les cinq dernières minutes. Comme un symbole, ce sont trois joueurs du si décrié Championnat de France, Andrew Albicy, Alain Koffi et Mickaël Gelabale qui ont été les acteurs décisifs de la victoire française, la première sur l'Espagne depuis cinq ans.
"On a fait un grand match, on est venu pour ça, et on l'a fait. Collectivement, on a joué ensemble, tout le monde était présent, on a fait ça ensemble ! C'est un exploit", a calmement expliqué Mickaël Gelabale, de retour en sélection après quatre ans d'absence et d'entrée décisif avec 16 points, meilleur marqueur français, 6 rebonds et des actions de pure classe.
Cette victoire est d'autant plus étonnante que Nando De Colo, le meneur titulaire en l'absence de Parker, n'a joué que huit minutes après être apparu en détresse en début de match. Andrew Albicy, jeune meneur du Paris-Levallois, étonnant de culot, l'a suppléé, avec 13 points, alors que Gelabale a fini meilleur marqueur français du match (16 points) et que Boris Diaw et Nicolas Batum ont été précieux tout le long d'un match qui va rester dans les mémoires. Car c'est au final une équipe de sans-grade qui a abattu l'armada espagnole, complètement paniquée en fin de match malgré tout leur métier face à l'inexpérience de la jeune équipe française.
Abordé avec les pires craintes, le Mondial ne pouvait donc pas mieux commencer pour les Français qui doivent désormais confirmer dès dimanche face au Liban dans un match où ils partiront cette fois nettement favoris. Leur exploit face à l'Espagne suffit à mettre en garde une équipe traditionnellement branchée sur courant alternatif et capable du meilleur comme du pire. Samedi, c'était beau. (afp/chds)
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28/08/10 23h16
Federer: "Une finale contre Nadal serait super"
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Roger Federer, N.2 mondial, se réjouit d'avance d'une possible finale à l'US Open contre Rafael Nadal (N.1), ce qui serait une première à New York. "Ce serait super de rencontrer Rafa en finale, nous avons joué l'un contre l'autre dans toutes les autres finales de Grand Chelem mais pas ici", a déclaré le Suisse samedi à New York, où le tournoi débute lundi. "J'espère qu'on va pouvoir le faire cette année, même si je pense qu'il y aura d'autres occasions, a-t-il ajouté. J'adorerais le retrouver, cela ne peut arriver qu'en finale. Mais avant, on a du pain sur la planche."
Federer, 29 ans, reste sur six finales consécutives à Flushing Meadows, la dernière perdue l'an passé face à l'Argentin Juan Martin Del Potro. Auparavant, il avait engrangé cinq titres d'affilée dans son jardin new yorkais. Nadal, 24 ans, connaît lui beaucoup moins de succès sur les courts en dur de New York. Il n'y a jamais gagné, même s'il reste sur deux demi-finales consécutives, et c'est le seul titre du Grand Chelem qui lui manque.
"Trois (sic) demi-finales d'affilée, c'est à mon sens un succès et si tu es capable d'aller en demi-finale, tu es capable d'aller en finale, fait toutefois remarquer Federer. Rafa est simplement tombé sur des joueurs très forts, meilleurs que lui ces jours-là. Andy Murray (en 2008) et Del Potro (en 2009) avaient joué un tennis fantastique contre lui." "Sur dur, c'est plus incertain, spécialement pour lui (par rapport à la terre battue, ndlr), car on a plus d'adversaires et en battre sept de suite, c'est difficile", explique le Bâlois, qui apprécie sa rivalité avec l'Espagnol.
"Cela fait cinq ans que ça dure et c'est une saine rivalité, assure Federer. On s'entend très bien, on discute pas mal dans les vestiaires, on passe un peu de temps ensemble parfois, on parle tactique. C'est vraiment bien d'avoir quelqu'un d'aussi respectueux que Rafa comme rival. Je l'ai aidé à devenir un meilleur joueur et lui aussi m'a aidé à devenir meilleur." "Les gens semble aimer ça, c'est une des plus grandes rivalités tous sports confondus et je suis content qu'elle se passe sur des bases saines. Cela serait un peu pénible si ce n'était pas le cas." Federer entamera le tournoi face à l'Argentin Brian Dabul alors que Rafael Nadal débutera contre le Russe Teymuraz Gabashvili. (afp/chds)
Championnat du monde de courses d'escargots à Cointe
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Des records du monde risquent de tomber, dimanche 29 août, à la place du Batty (Cointe). Les Petits Gris et les Bourgognes font figure de favoris mais rien n'empêchera les Demoiselles ou les Blonds des Flandres d'assumer pleinement leurs statuts d'outsiders lors de cette 5-ème édition du championnat du monde de courses d'escargots.
Les concurrents sont prêts à s'affronter dans une lutte intense. Des équipes en provenance du Guatemala, d'Allemagne et même du Kenya ont fait le déplacement pour participer à ce rendez-vous particulier. Le niveau du plateau s'annonce très relevé et pour Luc De Bruyne, propriétaire d'une écurie et organisateur du championnat, cela ne fait aucun doute: "le record du monde sera amélioré."
Les participants sont prêts à en baver tandis que leurs entraîneurs seront à la recherche d'une combinaison subtile de chou, de salade et de trèfle pour motiver leurs protégés. Cependant, pas question de recourir à des substances interdites, la compétition est officielle et des contrôles anti-dopages sont prévus. Marc Duez, pilote automobile belge, veillera au bon déroulement de la course. (belga)
;)Sur que Bernie Ecclestone est dans le coup....:D:D
;)J'ai mis la nouvelle dans les insolites en fait le sport c'est le sport....:)
Bonne journée le fofo.........
philguerin
29/08/2010, 06h59
J'espère qu'ils vont leur mettre des n° assez gros pour qu'on puisse les suivre facilement car à la vitesse où ils passent c'est pas facile de les reconnaître...:D
Etonnant ce qu'on fait les basketeurs français... le syndrome des footballeurs peut-être???:D
FORMULE 1
Lewis Hamilton remporte le GP de Belgique
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Image © Keystone
Lewis Hamilton (McLaren) a remporté de main de maître le Grand Prix de Belgique de Formule 1. Sous une pluie intermittente, le Britannique a devancé Mark Webber (Aus/Red Bull) et s’est emparé de la tête du Championnat du monde.
le 29 août 2010,
LeMatin.ch & les agences
Ces deux pilotes ont fait les bonnes affaires du week-end. Hamilton domine désormais l’Australien de trois unités au classement général, tandis que les trois autres hommes à la lutte pour le titre se sout loupés. Chez les constructeurs, Red Bull devance McLaren... d’un point.
Fernando Alonso (Esp/Ferrari), Jenson Button (GB/McLaren) et Sebastian Vettel (All/Red Bull) sont donc les grands perdants de l’épreuve disputée sur le circuit de Spa-Francorchamps. Le premier a quasiment fait tout faux et a dû abandonner à sept tours du but, tandis que Vettel a accroché Button et contraint le Britannique à l’abandon. Pour cette faute, l’Allemand, finalement quinzième, a été pénalisé d’un passage par les stands.
Touché par un adversaire au premier virage, Sébastien Buemi (S/ Toro Rosso) a lui aussi payé un lourd tribut à la folie du départ. Le Vaudois a dû passer à deux reprises par les box lors des trois premières rondes. Il en est ressorti en antépénultième position, avant de devoir cravacher tout au long du GP pour terminer à une modeste treizième place.
Après des qualifications calamiteuses (Kobayashi 17e et de la Rosa 22e), les Sauber se sont bien reprises en course. Le Japonais s’est fait l’auteur d’une remontée dont il a le secret et a décroché le huitième rang. Le vétéran Espagnol a pour sa part longtemps lutté pour les points avant de venir mourir à la douzième place.
Vuelta: Hutarovich bat Cavendish au sprint
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Le Biélorusse Yauheni Hutarovich (Française des Jeux) a surpris tout le monde dimanche sur la Vuelta, remportant au sprint à Marbella (sud) la 2e étape, qui semblait promise à Mark Cavendish.
Cavendish (HTC-Columbia), battu (2e) par le coureur de Minsk, conserve néanmoins le maillot rouge de leader après cette étape de 173,7 km, entre Alcala de Guadaira et Marbella. Hutarovich, 26 ans et professionnel depuis 2007, a également "maté" au sprint l'Américain Tyler Farrar, 3e, et l'Italien Alessandro Petacchi, 4e.
Objectif atteint
"Ca peut sembler être une surprise mais ce n'est pas le cas, c'est ma cinquième victoire de la saison", a assuré le coureur de la Française des Jeux. "Je venais avec l'intention de gagner une étape, l'objectif est donc atteint". "Quand j'ai vu que j'avais gagné, je n'y croyais pas", a-t-il toutefois confié. "Mais j'ai vu que Cavendish, le leader, avait quelques difficultés et j'ai su que c'était ma chance".
"Il ne me manque rien pour être au niveau des grands sprinteurs, juste un nom et le respect de tous les coureurs. Mais je crois que je suis en train de le gagner petit à petit", a lancé Hutarovich, le moral gonflé par sa victoire.
"Jamais entendu son nom"
"Le vainqueur m'a surpris, je ne le connais pas, je n'avais même jamais entendu son nom", a reconnu l'Espagnol Oscar Freire, triple champion du monde et à une époque irrésistible au sprint. "Mais il faudra le surveiller, car il vient de battre l'un des meilleurs sprinteurs actuellement, Cavendish".
Toujours dans une chaleur étouffante, la 2e étape de cette 65e Vuelta a été longtemps animée par une échappée de quatre coureurs. Javier Ramirez Abeja, Johnnie Walker, Mickaël Buffaz et Mickaël Delage sont partis après seulement six kilomètres de course et ont eu jusqu'à 6 minutes 50 d'avance sur le peloton.
Victime d'une chute avec une fracture de la clavicule, le Français Buffaz a été contraint à l'abandon au kilomètre 73. Ses trois compagnons d'échappée ont ensuite été rejoints par Marcos Garcia Fernandez puis par le peloton, emmené par HTC-Columbia et Lampre, à seulement 12 kilomètres de l'arrivée. La Vuelta continue lundi avec une étape assez courte (157,3 km) entre Marbella et Malaga (sud).
Paris sombre à Sochaux
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La situation du PSG (12e) n'est guère enviable. La défense parisienne, Sakho et Coupet en particulier, s'est effondrée à Sochaux (4e), portant à neuf le nombre de buts encaissés en une semaine (trois matches, toutes compétitions confondues).
Pendant ce temps, Toulouse, vainqueur à Nancy (2-0), enchaîne les succès (4 en quatre journées) et reste solidement accroché à sa première place. Avec quatre longueurs d'avance sur Rennes (2e), vainqueur chez la lanterne rouge Arles-Avignon (1-0), et Montpellier (3e), Toulouse possède déjà une marge intéressante.
A Montpellier, la saignée a été douloureuse à l'intersaison mais les recruteurs locaux ont bien fait les choses en enrôlant Olivier Giroud, ancien meilleur buteur de D2 qui a ouvert son compteur à Valenciennes (1-0).
Saint-Etienne (5e), vainqueur de Lens (3-1), reverdit de son côté après avoir navigué en bas de classement durant l'exercice 2009-10. Les Stéphanois peuvent dire un grand merci à Payet, auteur d'un triplé et nouveau meilleur buteur (4 réalisations).
Les clubs "européens" ont en revanche été en grande difficulté. L'exploit réussi mercredi face au Zenit St Pétersbourg et la qualification pour la phase de poules de la Ligue des champions n'ont pas réveillé les Auxerrois, avant-derniers et dominés à Monaco (2-0). Quant aux Lillois (10e), ils ont concédé un 4e match nul consécutif, cette fois contre Nice (8e) au Stadium Nord (1-1).
Le Kényan Rudisha bat encore son record du monde du 800 m
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Le Kényan David Rudisha a battu son record du 800 m en courant en 1 min 41 sec 01/100, dimanche à Rieti, une semaine après l'avoir déjà battu à Berlin.
Rudisha a nettement devancé son compatriote Boaz Lalang, et a surtout été bien emmené au premier tour de piste par un autre kenyan, son lièvre habituel Sammy Tangui, qui a donné le tempo (48 sec 20 aux 400 m).
Le coureur, âgé de 21 ans, avait promis de s'attaquer au vieux record du monde du Danois Wilson Kipketer - qui résistait depuis 13 ans - à Berlin et à Rieti. Il a tenu parole en Allemagne (1 min 41 sec 09/100) comme dans le Latium (centre).
Chronologie du record du monde du 800 m messieurs:
1:44.3: David Wottle (USA), 01/07/72 à Eugene (USA)
1:43.7: Marcello Fiasconaro (ITA), 27/06/73 à Milan (ITA)
1:43.5: Alberto Juantorena (CUB), 25/07/76 à Montréal (CAN) 1:43.40: Alberto Juantorena (CUB), 21/08/77 à Sofia
1:42.33: Sebastian Coe (GBR), 05/07/79 à Oslo
1:41:73: Sebastian Coe (GBR), 10/06/81 à Florence (ITA)
1:41:73: Wilson Kipketer (DEN), 07/07/97 à Stockholm 1:41:24: Wilson Kipketer (DEN), 13/08/97 à Zurich (SUI)
1:41.11: Wilson Kipketer (DEN), 24/08/97 à Cologne (GER)
1:41.09: David Lekuta Rudisha (KEN), 22/08/10 à Berlin
1:41.01: David Lekuta Rudisha (KEN), 29/08/10 à Rieti (ITA)
Fracture de la clavicule et abandon pour Buffaz au Tour d'Espagne
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Le Français Mickaël Buffaz (Cofidis), 4e du Championnat de France cette saison, a abandonné le Tour d'Espagne lors de la 2e étape après avoir chuté et s'être cassé une clavicule.
Buffaz, qui faisait partie d'un groupe de quatre coureurs échappés avec son compatriote Mickael Delage, l'Espagnol Javier Ramirez et l'Australien Johnnie Walker, est tombé au km 73 et n'a pu reprendre, ont d'abord indiqué les organisateurs. Ils ont ensuite précisé que le Français, victime d'une fracture à une clavicule, avait été évacué vers l'hôpital de Marbella (sud), ville d'arrivée de la 2e étape.
L'ex-footballeur Ihlan reconverti en patineur artistique
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L'ancien international turc Ilhan Mansiz, membre de l'équipe de Turquie 3e du Mondial-2002 de football, s'est lancé à 35 ans dans le patinage artistique dans l'espoir de représenter son pays aux prochains jeux Olympiques d'hiver, a-t-il déclaré au journal Welt am Sonntag.
Il veut participer à l'épreuve de couple des JO de Sotchi (Russie) en 2014 avec sa compagne, Olga Bestandigova, une patineuse slovaque ayant concouru aux JO-2OO2 de Salt Lake City.
"C'est une histoire folle", a expliqué l'ancien attaquant de Besiktas (2001-03), meilleur buteur du Championnat de Turquie 2001-02. "Nous croyons fermement que nous pouvons nous qualifier pour les JO", a poursuivi Mansiz qui a mis un terme à sa carrière en 2005 après de nombreuses blessures.
Il a découvert le patinage artistique en 2007 lors d'une émission de "télé réalité" turque où des célébrités s'entraînent avec des professionnels pour des représentations hebdomadaires et un couple est éliminé chaque semaine.
Vainqueur de cette émission, Mansiz, né en Allemagne de parents turcs, s'entraîne depuis mars avec sa partenaire à Oberstdorf (sud de l'Allemagne), et il vient de recruter un entraîneur allemand réputé, Alexander König. La première compétition officielle du couple est prévue en janvier 2012 pour les Championnats de Turquie, a indiqué Mansie.
;)Insolite...Non?:D
Mondial de basket: l'Espagne se relance, les USA cavalent
De Jacques KLOPP (AFP) – Il y a 10 heures
IZMIR — Surprise par la France en ouverture, l'Espagne s'est relancée dimanche en battant la Nouvelle-Zélande alors que les Etats-Unis continuent à se balader au Mondial de basket en Turquie.
Avec 22 points de Marc Gasol et 18 de Navarro, 11 passes de Rubio et 12 rebonds de Fernandez, le champion du monde en titre a ouvert son compteur à Izmir lors d'un match offensif et décousu (101-84).
Mais si l'Espagne a préservé l'essentiel face aux valeureux "Tall Blacks", elle doit encore confirmer ce succès mardi face à la Lituanie qui domine le groupe avec la France, même si les Baltes sont revenus de loin pour s'imposer de justesse (70-68) face au Canada.
Les hésitations espagnoles tranchent avec la quiétude absolue des Américains. Après sa victoire 106-78 sur la Croatie la veille, le Team USA a continué face à la Slovénie (99-77) son inspection des pays de l'Est pour confirmer qu'il n'était pas venu en Turquie pour bronzer.
Appliquée, presque studieuse, l'équipe de Mike Krzyzewski a déroulé son jeu basé sur une grosse pression défensive avec un Kevin Durant de nouveau efficace en peu de temps (22 points, 4 rebonds et 4 passes en 23 minutes).
Les Etats-Unis joueront la première place du groupe lundi face au Brésil avant deux matches sans danger contre l'Iran et la Tunisie où les compteurs pourraient s'affoler.
La principale surprise dimanche est venue de l'Allemagne qui, privée cette année encore de Nowitzki, a battu (82-81) la Serbie après deux prolongations. Avec 22 points et 9 rebonds, Jagla a fait très mal aux vice-champions d'Europe toujours privés de Krstic et Teodosic, suspendus.
L'Argentine, où Oberto n'a pas joué, a failli être la deuxième victime de marque dans le groupe A. Menacés jusqu'à la dernière possession par l'Australie, les champions olympiques de 2004 ont fini par s'imposer (74-72) avec 31 points de Scola.
La Grèce continue également à vaincre sans briller. Après avoir difficilement battu la Chine, les Grecs ont connu beaucoup de mal pour dominer Porto Rico, pourtant privé de Carlos Arroyo blessé, à l'issue d'une fin de math confuse (83-80). Spanoulis a été l'homme du match côté grec avec 28 points.
Quant au pays hôte, il déroule après son succès (65-56) sur la Russie qui place la Turquie sur la voie royale pour Istanbul et les huitièmes de finale.
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dimanche 29 août 2010 - 22h28
Alors qu'il s'élançait en pole position, Mark Webber a complètement raté son départ et a perdu le bénéfice de sa bonne qualification. Mais il a su être patient pour remonter progressivement et aller chercher une deuxième place qui lui convient.
Mark Webber a terminé deuxième du Grand Prix de Belgique dimanche. Parti en pole position, il a perdu le bénéfice de sa bonne qualification à cause d'une mise en action plus que moyenne. « Le départ a été catastrophique, ce n'était pas l'idéal de perdre tant de positions, mais heureusement ce n'est pas Monaco ou Barcelone où les positions ne changent pas souvent durant la course. J'ai été capable de doubler quelques pilotes dans les tours qui ont suivi. Je savais que la course était encore longue après cela et que terminer deuxième serait déjà bien. » Heureux malgré la perte de sa place de leader au championnat, il regrette seulement que son équipe ne ramène pas plus de points de Spa avec l'abandon de son compère Sebastian Vettel. « C'était un bon jour pour moi. C'est dommage pour l'équipe que nous ne prenons pas plus de points mais nous sommes toujours en tête du classement des constructeurs et nous ferons mieux à Monza. »
Cyclisme
Nino Schurter remporte la Coupe du monde!
28.08.2010 22:59 - mise à jour: 29.08.2010 11:06 http://www.tsr.ch/fe2/medias/images/keystone/2413147.image?w=480&h=270 Nino Schurter peut laisser éclater sa joie. [Keystone]
L'hégémonie helvétique aura marqué cette saison VTT. Emmenée par Nino Schurter, la sélection a multiplié les performances. La dernière étape à Windham (USA) a ainsi vu le sacre du Grison, 2e derrière Jaroslav Kulhavy.
Nino Schurter est le vainqueur de la Coupe du monde 2010 de cross-country. Le Grison, qui est âgé de 24 ans, a été sacré à la faveur de sa deuxième place lors de la finale à Windham, dans l'Etat de New York.
La victoire est revenue à Jaroslav Kulhavy. Le Tchèque s'est imposé devant une véritable armada helvétique puisqu'il a devancé Schurter, Florian Vogel, Christoph Sauser et Lukas Flückiger. Le Français Julien Absalon, Champion olympique en titre, a dû se contenter de la sixième place, un rang qui ne lui a pas permis de remporter pour la cinquième année consécutive la Coupe du monde.
Schurter vise désormais le titre mondial
Schurter succède au palmarès de la Coupe du monde à Christoph Sauser qui s'était imposé en 2005. Médaillé de bronze aux Jeux de Pékin en 2008 et Champion du monde en 2009, le coureur de Coire a enrichi dans l'Etat de New York son palmarès. Cette année, il a remporté deux des six manches de la Coupe du monde, à Dalby Forrest, en Grande-Bretagne et à Val di Sole, en Italie.
"Mon but était bien la victoire au classement final de la Coupe du monde. Ma saison s'est parfaitement déroulée, se félicitait Nino Schurter. Maintenant, j'entends conserver mon titre mondial la semaine prochaine". Les Championnats du monde se dérouleront au Mont-Sainte-Anne, au Québec.
Chez les dames, la Canadienne Catharine Pendrel s'est imposée lors de ces finales pour parachever son triomphe en Coupe du monde. La meilleure Suissesse, Esther Süss, a pris la septième place.:content::content::content:
skicross
Fanny Smith: «C'était vraiment chaud»
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/ski_65.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/ski_65.jpg)
Image © Jean-Guy Python
Fanny Smith a pris un mauvais départ et ce n'est que sur la fin qu'elle a pu faire la différence et laisser éclater son beau sourire
Au terme d'une course hyperserrée, Fanny Smith a été sacrée championne du monde juniors. La jeune skieuse de Villars vise désormais les Mondiaux «normaux»
Gaëlle Cajeux - le 29 août 2010, 22h53
Le Matin
Championnats du monde juniors cardrona (NZL)
Se gardant bien de crier victoire trop tôt, Fanny Smith partait néanmoins confiante aux Championnats du monde juniors de skicross. Peu avant de s'envoler pour la Nouvelle-Zélande, elle soulignait: «L'année passée, c'est en skiant là-bas et en Australie que j'ai eu le déclic.» Si bien que la skieuse vaudoise fut, à 17 ans, la révélation de la saison dernière - élue «rookie» of the year» - en grimpant du 45e au 6e rang au classement de la Coupe du monde et en décrochant la 7e place aux Jeux olympiques de Vancouver.
Samedi, sur la neige de Cardrona près de Wanaka (NZL), celle qui fait la fierté de Villars a vécu l'un des plus beaux jours de sa vie et inscrit un chapitre en or dans le livre de sa jeune carrière. La belle a été sacrée championne du monde juniors. «J'ai vu que les gens pensaient que ce serait facile pour moi de gagner. De l'extérieur, ils se disaient que c'était normal que je m'impose vu que j'ai déjà l'expérience de la Coupe du monde. Mais moi, je savais que ce ne serait pas le cas. Et ça a été tellement difficile!» commente-t-elle au bout du fil.
Dans l'ultime virage
Car, après avoir remporté toutes ses manches qualificatives, Fanny Smith a bien cru voir la médaille d'or lui échapper. «En finale, ça a été vraiment chaud. J'ai pris un très mauvais départ et je me suis retrouvée deuxième, derrière l'Autrichienne Katrin Ofner ( qui dispute également la Coupe du monde ). Durant toute la course, j'ai essayé de la doubler, à chaque virage. J'étais plus rapide, mais elle coupait les trajectoires et je n'arrivais pas à passer. Finalement, j'ai réussi dans l'ultime virage. On s'est touchées et à l'arrivée elle a un peu protesté, mais maintenant c'est tout bon», raconte la jeune femme qu'on entend sourire.
«C'est vraiment incroyable!» lance-t-elle en se remémorant ce saut qui a failli la faire chuter. «Le parcours était magnifique, mais il tuait les jambes. Dans ma tête, je me disais: «Même si tu es déséquilibrée, même si tu tombes, tu vas te relever, tu dois gagner.» Fanny Smith avoue également une source de motivation plutôt originale: «Je m'étais promis qu'en cas de victoire je m'offrirais un saut en parachute, parce que ce genre de sport est très développé en Nouvelle-Zélande. Et j'ai pensé à ça pendant la course.»
Travailler les départs
La Villardoue et son coach, Guillaume Nantermod, vont rester à Wanaka encore une dizaine de jours pour profiter de s'entraîner dans «ce bon snowpark, sur ce parcours vraiment génial». «Je vais travailler mes départs. Je dois vraiment me concentrer là dessus parce que je suis nulle!» rigole la championne.
Forte de cette brillante performance néo-zélandaise, Fanny Smith est impatiente de retrouver le circuit élite. «Avec cette médaille d'or, je vois qu'après la pause estivale je suis toujours dans le coup et j'espère que la saison se passera aussi bien qu'ici. En tout cas je suis hypermotivée. Maintenant, mon objectif c'est les Championnats du monde «normaux» en Amérique, le 4 février. Ça va être cool!» La fête qui s'annonce pour son retour à Villars aussi.:content::content::content::amoureux:
LE PODIUM
1. Fanny Smith (Sui)
2. Katrin Ofner (Aut)
3. Yulia Livinskaya (Rus)
philguerin
30/08/2010, 09h25
elle est rudement jolie Fanny...!
Merci Norton!
Stoner27
30/08/2010, 09h48
elle est rudement jolie Fanny...!
Merci Norton!
moi j'attendrais de la voir sans son casque....
Mais bon pour un vieux crouton comme toi, elle fera l'affaire:mrgreen::mrgreen:
philguerin
30/08/2010, 10h46
chez une femme je regarde toujours les yeux et la bouche... si çà c'est joli, c'est le principale... car honnêtement c'est tout de même ce que tu vois le plus tout au long de la journée et de la vie.. car si elle a un beau cul et une sale gueule... tu vois tout de même moins souvent son cul....Il faut être pragmatique, et çà s'acquière en vieillissant... jeune Padawan!!!!
chrisgaz
30/08/2010, 10h50
chez une femme je regarde toujours les yeux et la bouche... si çà c'est joli, c'est le principale... car honnêtement c'est tout de même ce que tu vois le plus tout au long de la journée et de la vie.. car si elle a un beau cul et une sale gueule... tu vois tout de même moins souvent son cul....Il faut être pragmatique, et çà s'acquière en vieillissant... jeune Padawan!!!!
On ne peut rien faire contre l experience, cecidit, elle peut toujours avoir de jolies yeux et une belle bouche, si elle a un cul de vache, je ne le verrais pas toute la journée, et encore moins toute la vie..:p:p
aie aie... pas taper.... aie aie.....
chez une femme je regarde toujours les yeux et la bouche... si çà c'est joli, c'est le principale... car honnêtement c'est tout de même ce que tu vois le plus tout au long de la journée et de la vie.. car si elle a un beau cul et une sale gueule... tu vois tout de même moins souvent son cul....Heu.....parles pour toi :p, ça dépend des activités des un et des autres ...:)
Stoner27
30/08/2010, 12h39
Heu.....parles pour toi :p, ça dépend des activités des un et des autres ...:)
:D:D +1
J'allais dire quelque chose mais ça risque d'être censuré et le terrain et déjà assez glissant:ange::)
Coup double pour Gilbert à la Vuelta
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/15/3/media_xl_3849393.jpg?20100830175810
Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté la 3e étape du Tour d'Espagne cycliste, disputée lundi sur 156 km entre Marbella et Malaga. Le Belge, qui s'est imposé avec quelques secondes d'avance sur l'Espagnol Joaquin Rodriguez, s'est emparé de la tête du classement général.
Cristiano Ronaldo est absent pendant trois semaines
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/8/5/media_xl_3849080.jpg?20100830152808
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/1/0/media_l_3849090.jpg?20100830152659
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/2/1/media_l_3849091.jpg?20100830152710
L'attaquant portugais Cristiano Ronaldo, touché à la cheville droite avec le Real Madrid dimanche, sera absent environ trois semaines et manquera donc les prochains matches des éliminatoires de l'Euro 2012 face à Chypre et la Norvège.
Cristiano Ronaldo, l'un des meilleurs joueurs du Real dimanche à Majorque (0-0), a reçu un coup sur la cheville droite et une IRM (imagerie par résonance magnétique) passée lundi matin a révélé "une contusion sur la malléole interne de la cheville droite avec un oedème", a indiqué un bulletin médical diffusé sur le site du Real. "Il sera indisponible pour une durée estimée à approximativement trois semaines", a ajouté le bulletin.
Le Portugal doit affronter Chypre le 3 septembre puis la Norvège le 7 dans le groupe H des éliminatoires de l'Euro 2012. Cristiano Ronaldo devrait au moins manquer les deux prochains matches de Liga avec le Real Madrid (11-12 septembre contre Osasuna et 18-19 à la Real San Sebastian) ainsi que la première journée de Ligue des champions face à l'Ajax Amsterdam (le 15 septembre
:diable:Il commence bien la saison.......
Blanc convoque Cabaye et Réveillère chez les Bleus
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Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a convoqué le milieu de terrain Lille Yohan Cabaye et le défenseur de Lyon Anthony Réveillère pour les deux matches des éliminatoires de l'Euro 2012 contre le Belarus (3 septembre) et la Bosnie (7 septembre), a annoncé lundi la FFF.
La Fédération a précisé que ces deux renforts s'expliquaient par "les incertitudes sur l'état de santé de Lassana Diarra, attendu à Clairefontaine". Les Bleus sont donc 23 pour le stage préparatoire qui doit débuter lundi.
Réveillère (6 sélections) faisait partie des 23 joueurs ayant participé à la Coupe du monde 2010, ce qui porte à 10 le nombre de mondialistes rappelés par Laurent Blanc. Quant à Cabaye, il avait effectué ses grands débuts en équipe de France, le 11 août en Norvège (défaite 2-1) lors de la "première" de Laurent Blanc, en entrant en fin de match.
La Belgique se qualifie pour l'Euro 2011 de basket
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/0/6/media_xl_3848001.jpg?20100829222142
La Belgique a décroché sa qualification pour l'Euro 2011 de basket messieurs à la suite de sa victoire 70-67 (mi-temps: 33-39) face à la Pologne dans le dernier match du groupe C des éliminatoires, dimanche soir à la Lotto Arena d'Anvers.
Rapidement menés au score (9-19 après 2 minutes), les Belges, obligés de s'imposer pour terminer à la 1e place du groupe C, ont couru derrière le score en 1e mi-temps. Le marquoir affichait en effet 15-23 après le 1e quart-temps, 33-39 à la mi-temps.
Les Belgian Lions égalisaient à 43-43 dans le 3e quart-temps et prenaient l'avance à 46-43, avant de terminer ce 3e quart avec 1 point d'avance (56-55). Les Polonais reprenaient les commandes du match (63-65) à 2 minutes du buzz, grâce à un panier à 3 points de Kelati, meilleur marqueur de la rencontre avec 20 points.
Les joueurs d'Eddy Casteels ne baissaient pas les bras. Jonathan Tabu rétablissait l'égalité au marquoir (67-67) et Christophe Beghin, meilleur artificier de l'équipe belge avec 16 points, réussissait le panier à 3 points qui propulsait les Lions en Lituanie.
Battue par la France en barrages de l'Euro 2009, la Belgique s'est qualifiée pour la phase finale de l'Euro pour la première fois depuis 1993. Les Belges avaient pris la 12e place (sur 16) de l'Euro 93, organisé en Allemagne. La phase finale de l'Euro 2011 aura lieu du 3 au 18 septembre 2011 en Lituanie. Les Belgian Lions y disputeront l'Euro pour la 14e fois de leur histoire.
US Open - 1er tour: Richard Gasquet sans problème face à Simon Greul
Richard Gasquet, 38e joueur mondial, s'est facilement qualifié pour le 2e tour de l'US Open en battant lundi l'Allemand Simon Greul, 6-3, 6-4, 6-2 après un match de moins de 2 heures.
AFP - le 30 août 2010, 19h36
Richard Gasquet, 38e joueur mondial, s'est facilement qualifié pour le 2e tour de l'US Open en battant lundi l'Allemand Simon Greul, 6-3, 6-4, 6-2 après un match de moins de 2 heures.
Au prochain tour, le Français rencontrera le Russe Nikolay Davydenko, tête de série N.6, qui a disposé de l'Américain Michael Russell en trois sets (6-4, 6-1, 6-3).
Les deux hommes se sont affrontés deux fois, il y a cinq ans sur terre battue, et comptent une victoire chacun.
Gasquet a été très sérieux au service, signant 10 aces et affichant 67% de premiers services réussis et 78% de points gagnés sur son premier service.
Soigné au dos à 3-3 dans la deuxième manche après avoir été débreaké (sa seule mise en jeu perdue), il a fait le break dans la foulée pour le gain du deuxième set. Le dernier set a été une formalité expédiée en 27 minutes.
Le Biterrois prend ainsi sa revanche d'Indian Wells, en mars, où l'Allemand Greul l'avait battu en deux sets au premier tour.
US Open: Schiavone, Oudin et Dementieva qualifiées pour le 2e tour
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Image © AFP
Francesca Schiavone, le 30 août 2010 à New York
L'Italienne Francesca Schiavone, tête de série N.6 et gagnante de Roland-Garros, s'est facilement qualifiée pour le 2e tour de l'US Open en battant lundi la Japonaise Ayumi Morita 6-1, 6-0.
AFP - le 30 août 2010, 19h35
Au prochain tour, l'Italienne rencontrera sa compatriote Maria Elena Camerin, issue des qualifications.
La Cendrillon de l'an passé, l'Américaine Melanie Oudin, qui avait atteint les quarts de finale en éliminant les Russes Elena Dementieva, Maria Sharapova et Nadia Petrova, a validé son ticket pour le 2e tour grâce à une victoire 6-3, 6-0 sur l'Ukrainienne Olga Savchuk, acquise en 56 minutes.
La jeune femme de 18 ans n'a même eu besoin que de 18 minutes pour enlever le deuxième set.
La Russe Elena Dementieva (N.12) a de son côté dominé la Bélarusse Olga Govortsova (6-1, 6-2) alors que sa compatriote Alisa Kleybanova RUS (N.28) s'est elle aussi qualifiée en deux sets. L'Ukrainienne Alona Bondarenko (N.29) a eu besoin de trois sets pour disposer de la Russe Vera Dushevina.
La Suisse toujours reine du tchoukball
30.08.2010 11:48 - mise à jour: 12:29 http://www.tsr.ch/419/medias/images/rts/2414419.image?w=480&h=270 Les "tchoukeuses" suisses ont le titre européen en poche depuis 2001! [RTS]
Berceau du tchoukball, la Suisse conserve la main en Europe. Les Suisses (hommes et femmes!) ont enlevé le titre européen à Hereford, en Grande-Bretagne. Les Suissesses n'ont d'ailleurs plus été battues depuis 2001!
La Suisse demeure la nation reine du tchoukball, en Europe du moins. Lors des Championnats d'Europe de Hereford, en Grande-Bretagne, ce week-end, le titre est revenu aux Helvètes, et ce tant chez les hommes que chez les dames!
Si la domination helvétique peut sembler outrageuse dans ce sport particulier, où toute obstruction, interception ou contact sont interdits, ce fut une nouvelle fois tout particulièrement le cas dans le tableau féminin. Les Suissesses ont en effet remporté tous leurs matches de qualifications avec un minimum de 13 points d'avance!
En tête du classement intermédiaire, elles ont ensuite affronté l'Allemagne, quatrième, en demi-finale. Là encore, il n'y a pas eu beaucoup de résistance, les Suissesses s'imposant avec 44 points d'avance! Puis, en finale, les représentantes helvétiques n'ont pas trop tremblé pour battre les Italiennes 42-31 et conserver un titre européen qui leur appartient depuis 2001, lors de la 1ère édition de ces Championnats d'Europe.
Le parcours des messieurs s'est pour sa part révélé moins facile, et notamment après la défaite d'entrée - pour trois points - face aux Anglais. Mais les Suisses se sont ensuite bien repris, battant l'Italie, l'équipe la plus forte après la Grande-Bretagne.
Finalement, grâce à un goal-average favorable, Suisses (+4) et Anglais (-1) se sont qualifiés pour la finale aux dépens des Italiens (-3). Les Helvètes ont constamment dominé la finale, s'imposant 50-45, pour conserver le titre remporté en République tchèque en 2008.
Un double titre européen qui permet de rêver, à un an des Mondiaux de Ferrara, en Italie.
Daniel Burkhalter
:fou:Elle est raide celle là, jamais entendu parler de ce sport.....Ben bravooooo:D:content::content:
Hockey
L'attaquant français Laurent Meunier (31 ans) revient à Genève-Servette. Contrat de deux mois
30.08.2010
Laurent Meunier (31 ans) est de retour à GE-Servette, annonce la "Tribune de Genève". L'attaquant français, qui a déjà évolué aux Vernets de 2006 à 2008, a signé un contrat de deux mois. Chris McSorley décidera ensuite s'il souhaite garder l'international dans ses rangs. Le capitaine des "Bleus" a disputé la dernière saison à Timra (D1 suédoise).
Roger Federer se qualifie en réussissant le coup du siècle
TENNIS - US OPEN | Roger Federer n’a pas raté son retour sur le central de Flushing Meadows. Lundi soir, sous les yeux de Thierry Henry (auteur la veille de son premier but sous les couleurs des New York Red Bulls) il n’a fait qu’une bouchée de l’Argentin Brian Dabul (ATP 94), écrasé 6-1 6-4 6-2 en 93 minutes.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/95754294.jpg © KEYSTONE | Roger Federer se rappelera surtout de ce premier tour pour un coup prodigieux sorti de sa manche à la fin du 2e set.
OLIVIER BREISACHER, NEW YORK | 31.08.2010 | 05:45
Roger Federer n’a pas raté son retour sur le central de Flushing Meadows. Lundi soir, sous les yeux de Thierry Henry (auteur la veille de son premier but sous les couleurs des New York Red Bulls) il n’a fait qu’une bouchée de l’Argentin Brian Dabul (ATP 94), écrasé 6-1 6-4 6-2 en 93 minutes.
Ceux qui s’attendaient à une entrée en matière aisée ont été servis: ce fut un authentique monologue qui a permis au quintuple vainqueur de l’US Open de débuter son tournoi sous forme d’un simple galop d’entraînement. Ses 18 aces, 46 points gagnants et 19 balles de break n’en sont que quelques exemples illustrant ce que fut sa performance, sans véritable contradicteur en face. Sans grande expérience, Dabul disputait son premier match à Flushing Meadows.
Pourtant, ce match marquera les esprits et déclenchera l’admiration sur la toile (à visionner sur YouTube), en raison d’un coup prodigieux sorti de la raquette du Bâlois à la fin du 2e set. Lobé par l’Argentin et se trouvant dos au court derrière la ligne de fond, Federer a glissé entre ses jambes un coup incroyable surprenant son rival. Un réflexe encore plus magique que celui accompli l’an dernier, déjà en night session de l’US Open, en demi-finale face à Novak Djokovic. «Je n’ai réussi que très rarement ce genre de trucs, rigolait après coup le Suisse. Et cela s’est produit deux fois au même endroit…
Au prochain tour, Roger Federer se mesurera pour la première fois de sa carrière à l’Allemand Andreas Beck (ATP 104), qui s’est défait de soncompatriote Michael Berrer en trois sets. Pas sûr non plus que l’on pourra tirer de véritables enseignements.
Roddick avance facilement, Soderling trime dur
Associated Press
New York
L'Américain Andy Roddick, neuvième tête de série, a célébré son 28e anniversaire de naissance en battant le Français Stéphane Robert 6-3, 6-2, 6-2 au premier tour des Internationaux des États-Unis, lundi.
De son côté, le double finaliste à Roland-Garros, le Suédois Robin Soderling, a eu besoin de cinq manches pour défaire le 214e joueur au monde. La cinquième tête de série du tournoi a battu l'Autrichien Andreas Haider-Maurer 7-5, 6-3, 6-7 (2), 5-7, 6-4.
Le Russe Nikolay Davydenko, sixième tête de série, a vaincu l'Américain Michael Russell 6-4, 6-1, 6-3.
La 11e tête de série, Marin Cilic, et Juan Carlos Ferrero (22e) ont aussi accédé au deuxième tour.
Le Chilien Fernando Gonzalez a été contraint à l'abandon lors de son match contre le Croatre Ivan Dodig.
Rugby
30 août 2010 22:44; Act: 30.08.2010 21:12 Print (javascript:window.print())
http://www.forum-motogp.com/dyft/8c83bb/F_.S44.W600.C3355443/Perpignan%20se%20voit%20d%E9j%E0%20au%20Camp%20Nou .pngPerpignan se voit déjà au Camp Nou
par Julien Caloz - Pour la première fois de sa longue histoire, le jardin du Barça devrait accueillir l’USAP pour un match du Top14.
Le président de Perpignan (USAP), Paul Goze, a rendez-vous avec son homologue du Barça, Alexandre Rosell, demain soir en marge de la rencontre entre l’USAP et Biarritz. L’entrevue, inédite, alimente la rumeur depuis plusieurs jours: Perpignan devrait en profiter pour régler les détails relatifs à son déplacement au Camp Nou, en avril prochain. Il y recevrait Toulouse en championnat de France (Top14).
Les coéquipiers de Candelon et leurs supporters pourraient passer la frontière l’an prochain. «Un match de Perpignan à Barcelone, c’est un vieux fantasme des Catalans français, mais il n’y a rien de concret pour le moment», modère Vincent Couture. La plume du rugby à L’Indépendant estime néanmoins que «la chose va se faire et que le Barça est favorable au projet». Le club de Perpignan confirme le rendez-vous entre les deux présidents ainsi que l’ambition de l’USAP. «Mais on n’a encore jamais délocalisé un match», souffle le porte-parole Benoît Brazef. «Or, lorsque les formations françaises délocalisent, elles le font souvent à 30 ou 40 km de chez elles (n.d.l.r.: Castres a évolué à 100 km de son stade le 21 août). Entre Perpignan et Barcelone, il y a 190 kilomètres! Comment transporter 12 000 abonnés aussi loin?»
Au-delà des tracasseries logistiques, le rendez-vous offrirait une recette généreuse à l’USAP, sept fois champion de France. «Lorsque le RC Toulon reçoit au stade Vélodrome (n.d.l.r.: où évolue l’Olympique de Marseille), il accueille autant de spectateurs que nous en huit matches à domicile», estime Benoît Brazef.
Tennis - US Open (H)
Mathieu, la libération
Après un match à rebondissements, Paul-Henri Mathieu a trouvé les ressources pour s'imposer (6-3, 6-4, 5-7, 4-6, 6-1) contre Lleyton Hewitt. Au deuxième tour, il affrontera Guillaume Rufin.
Jouer pour ne pas perdre ou jouer pour gagner. C'est un dilemme. Contre Lleyton Hewitt, Paul-Henri Mathieu a choisi. Il s'est lâché pour finir par gagner (6-3, 6-4, 5-7, 4-6, 6-1 en 3h39') et évacuer quelques vieux démons. En connaisseur, son ancien entraîneur, Mats Wilander, vient le féliciter au players lounge. Il connaît le combat intérieur de son ancien élève. «Ce soir, j'ai pris du plaisir. C'est difficile de ne pas prendre du plaisir : l'US Open, un grand court, le soir. Il y a du monde et on fait des beaux points, savoure le Strasbourgeois, qui affrontera Guillaume Rufin au deuxième tour. Mais rien ne remplace la victoire. Il y a tellement peu de moments de bonheur par rapport à tous les sacrifices qu'on fait. On essaie de les savourer, mais je trouve qu'il n'y en a pas beaucoup.»
Tous les ingrédients sont réunis lors de ce premier tour pour revivre un cauchemar. Il mène deux sets à zéro, pense avoir breaké à 4-4 puis la vidéo transforme le happy end en bad luck. La double faute de l'Australien se métamorphose en ace. Jusque-là, tout est pourtant parfait. Paul-Henri Mathieu applique à merveille sa tactique. «J'ai trouvé Paulo super bien pendant deux sets, il jouait très juste tactiquement. L'idée était d'empêcher Hewitt de jouer à hauteur de hanches où il est hyper dangereux. Paulo mettait un peu de volume avec son coup droit et tenait sa diagonale, analyse son entraîneur, Olivier Malcor. Dès qu'il arrivait à le sortir du court, on sentait Hewitt en difficulté.» Il montre grandeur nature tous les lacunes de Lleyton Hewitt. Le Français est trop puissant et décoche 72 coups gagnants. Il fait tout et l'Australien prend un sérieux coup de vieux. Puis la crispation guette, il se crispe, force et l'ancien numéro 1 mondial s'accroche.
philguerin
31/08/2010, 14h07
Laurent FIGNON est décédé à l'age de 50 ans d'un cancer de la gorge.... putain de saleté de merde!!
respect à ce champion que je n'appréciais pas forcément mais qui avait une sacré force de caractère. Paix à son âme et condoléance à sa famille...!
respect à ce champion que je n'appréciais pas forcément mais qui avait une sacré force de caractère. Paix à son âme et condoléance à sa famille...!
Comme toi phil mais suis revenu sur mon idée.Cela doit être un des premiers à dire qu'a son époque tout le monde prenait un peu de pharmacie. Je crois qu'il à écrit un ou deux livres sur le cyclisme.
J'ai eu de le voir passer pendant une étape du tour qui passait dans le Valais dans les années 80. Il était en jaune.
Condoléances
Tristesse
L'ancien champion cycliste Laurent Fignon est décédé
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/95773435.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/95773435.JPG)
Image © Keystone
Double vainqueur du Tour de France (1983, 1984), Laurent Fignon est décédé mardi des suites d'un cancer contre lequel il luttait depuis le printemps 2009.
le 31 août 2010,
LeMatin.ch & les agences
Laurent Fignon est décédé mardi, à l'âge de 50 ans. La nouvelle a été révélée par la chaîne de télévision France 2 lors de son journal de la mi-journée.
Laurent Fignon est le dernier vainqueur français de la Grande Boucle, qu'il a remportée deux fois, en 1983 et 1984. C'est paradoxalement le TdF qu'il perd en 1989 qui a le plus marqué les esprits. En tête avant la dernière étape, le Parisien est coiffé sur le fil par l'Américain Greg LeMond sur les Champs-Elysées et perd son maillot jaune pour 8 secondes seulement.
Outre ses deux victoires finales dans le Tour de France, Fignon, coureur professionnel de 1982 à 1993, a gagné également un Giro (1989) et plusieurs classiques dont Milan-San Remo à deux reprises (1988 et 1989).
Depuis plusieurs années, Fignon était consultant pour France 2 sur la plus grande course au monde. L'ancien vainqueur du Tour avait commenté la dernière édition de la grande boucle, en juillet, malgré un état de santé défaillant.
Début avril, la semaine précédant Paris-Roubaix, Fignon s'était rendu à New York, où Lance Armstrong lui avait obtenu des rendez-vous avec les spécialistes qui l’ont soigné en 1996. Depuis lors, Fignon, toujours soigné en France, suivait un nouveau protocole de soins.
Cyclisme
Fignon: un champion authentique
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Image © KEYSTONE
Durant toute sa carrière, Laurent Fignon a profondément marqué son époque.
Rarement champion aura connu plus de coups durs que Laurent Fignon, décédé mardi, après avoir côtoyé les sommets en gagnant à deux reprises le Tour de France à moins de 24 ans.
le 31 août 2010,
LeMatin.ch & les agences
Le Parisien, dernier grand coureur natif de la capitale, en est resté à deux victoires finales. Pour 8 secondes, il a raté un troisième succès dans une édition qui fut l'une des plus belles de l'histoire du Tour (1989), à coup sûr l'une des plus pathétiques à cause d'un suspense insoutenable dans le contre-la-montre final entre Versailles et les Champs-Elysées.
"On ne fait jamais son deuil d'un événement aussi violent; au mieux parvient-on à en domestiquer les conséquences psychologiques", a raconté ce champion authentique dans son autobiographie ("Nous étions jeunes et insouciants") parue en juin 2009, en évoquant aussi l'avantage technologique dont bénéficiait alors son rival américain Greg LeMond.
Magnifique puncher
Durant toute sa carrière, le Francilien, qui était né à Paris le 12 août 1960 et avait grandi en Seine-et-Marne, a profondément marqué son époque. Ses débuts victorieux en 1983 furent certes facilités par la blessure sur chute puis l'abandon du maillot jaune, le grimpeur champenois Pascal Simon. Mais sa domination totale dans l'édition suivante, agrémentée de cinq succès d'étape, montra l'étendue de sa classe.
Bernard Hinault, tout juste rétabli d'une opération à un genou, ne servit cette année-là que de faire-valoir, impuissant à remettre en cause la supériorité du Parisien aux lunettes d'étudiant. Il m'a fait rigoler, s'était exclamé en substance Fignon avec sa franchise coutumière, une sincérité qui lui fut longtemps reprochée.
Puncheur de grande dimension, offensif et réaliste, Fignon s'illustra sur tous les terrains, dans les classiques et dans les courses par étapes. A la fois battant et tacticien, il toucha au chef d'oeuvre en gagnant deux années de suite la "classicissima" Milan-Sanremo, en 1988 et 1989.
L'aveu
En Italie, l'autre théâtre de ses exploits, il finit par obtenir justice dans le Giro 1989, cinq ans après avoir été privé injustement de la victoire face au "local" Francesco Moser. Quelques semaines plus tard, il émouvait la France en s'effondrant sur le pavé des Champs-Elysées en conclusion d'un Tour mémorable.
"Si j'étais fait pour devenir un champion, je n'étais absolument pas fait pour devenir un homme public", estimait-il. Mais, en 2009, il avait pris son monde à contre-pied en choisissant la transparence maximale après la révélation de son cancer des voies digestives, en évoquant lui-même le lien hypothétique entre sa maladie et le dopage.
"Je ne vais pas dire que cela n'a pas joué. Je n'en sais absolument rien. C'est impossible de dire oui ou non. D'après les médecins, apparemment non", avait-il expliqué en reconnaissant avoir eu recours à des produits interdits dans un contexte très différent de l'époque récente. "Ce n'était pas la même mentalité, rappelait-il, même si, petit ou grand, le dopage sert à tricher".
Fort caractère
Parti courir en Italie en 1992, après une séparation tendue avec son mentor et associé Cyrille Guimard, cet homme de fort caractère, ombrageux et provocateur, sincère et attachant, avait raccroché le vélo en août 1993.
Dans sa reconversion, il avait organisé un temps Paris-Nice qu'il avait dû vendre ensuite en 2002 à ASO, l'organisateur du Tour de France, avant de racheter un hôtel dans les Pyrénées centrales servant de centre pour stages cyclistes.
Consultant dans les médias télévisuels (Eurosport puis France Télévisions), il avait tenu à être présent sur le Tour de France 2010 malgré les soins engagés contre le cancer qui a fini par avoir raison de lui.
Laurent Blanc veut recadrer les enfants gâtés du football français
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Image © AFP
Laurent Blanc, son adjoint Alain Boghossian et Fabien Barthez, le 30 août 2010 à Clairefontaine.
Après la désastreuse grève de l'entraînement à Knysna, Laurent Blanc et son staff ont remis au goût du jour leur rôle d'éducateur pour en finir avec l'image de joueurs rois. Premier visé, Franck Ribéry.
le 31 août 2010,
LeMatin.ch & les agences
Lors du Mondial sud-africain, Franck Ribéry avait fini par représenter l'archétype de l'enfant gâté, laissé libre de faire ce qu'il voulait. Alors que Raymond Domenech répétait que l'équipe de France n'appartenait à personne, le joueur du Bayern Munich avait multiplié les déclarations dans la presse pour jouer à gauche. Un poste qu'il avait finalement retrouvé, alors qu'il aurait dû faire profil bas quand s'accumulaient les ennuis avec la justice dans une affaire de moeurs.
Les choses n'avaient fait qu'empirer ensuite, jusqu'à un dimanche inoubliable, le 20 juin, où, à la surprise générale, il s'invitait en direct, et en claquettes, sur le plateau de Téléfoot - sous les yeux d'un Domenech hébété, seul invité prévu - pour présenter ses excuses à la France dans une sorte d'incroyable tranche de télé-réalité.
Mais quelques heures plus tard, le vice-capitaine Ribéry militait pour faire grève sur le terrain de Knysna. Ce double langage fut peu apprécié de la commission de discipline fédérale qui a infligé au joueur du Bayern trois matches de suspension en équipe de France.
Laurent Blanc, devant son poste de télé cet été, n'a pas non plus goûté la chose. "Il faudra qu'il change d'attitude, qu'il change de comportement et qu'il soit performant en équipe de France", a-t-il martelé dans la nuit de dimanche à lundi sur le plateau de 100% Foot, sur M6.
Et quand il fut demandé à Laurent Blanc lundi en conférence de presse à Clairefontaine si la France avait encore de "grands joueurs", il a d'abord répondu qu'il y avait "de bons joueurs", faisant ensuite référence à la génération dorée de 98 --dont Blanc faisait partie-- qui avait de "bons joueurs", un "grand joueur" (Zidane) mais surtout "un état d'esprit irréprochable".
Raymond Domenech avait promis avant le Mondial de chasser les "ego à coups de fusil". Mais il n'a pas vu un vestiaire en train d'imploser devant ses yeux. Laurent Blanc, lui, ne parle plus en général, mais, comme à 100% Foot, parle des cas individuels. Ribéry est prévenu.
Les changements de ton se voient aussi dans la vie au château de Clairefontaine, dans des petits détails qui, mis bout à bout, donnent un nouvel aperçu d'une reprise en main du staff de l'équipe de France.
Blanc a d'abord insisté sur la ponctualité. "J'ai accueilli les joueurs, aucun n'est arrivé en retard, je suis satisfait. J'avais donné un créneau large, d'une heure, une heure et demie, j'aurais mal accepté des retards", disait-il ainsi pour son premier jour à Clairefontaine le 9 août. Ce lundi, il s'est félicité de l'arrivée matinale (9h30) -"un exemple pour de jeunes joueurs"- de Florent Malouda, premier Bleu arrivé et, par ailleurs, auteur d'un excellent début de saison à Chelsea.
En arrivant sur la pelouse à Oslo, le 11 août, avant le match de rentrée en amical contre la Norvège, aucun joueur français n'arborait de casque audio, ces symboles de joueurs refermés sur eux-mêmes. Une image sans doute à mettre en rapport avec les propos de Blanc le 22 août sur Stade 2: "On a pris une direction qui est la mauvaise, on s'est mis dans une certaine bulle, on ne s'ouvre pas aux autres".
Lundi, à la fin de la séance d'entraînement, Alain Boghossian, un des adjoints de Blanc, a demandé à Philippe Mexès --capitaine en Norvège-- d'aller avec d'autres ranger les buts. Et "Bogho" de lancer aux joueurs: "Eh, on ramasse les bouteilles d'eau, y a pas de boy pour le faire!". Et les joueurs de s'exécuter.
;)Je lui souhaite un bel avenir avec les bleus....
Eddy Merckx: "C'était un grand monsieur"
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Eddy Merckx a déclaré qu'avec la disparition de Laurent Fignon, double vainqueur du Tour de France (1983, 1984), décédé mardi à l'âge de 50 ans des suites d'un cancer, le cyclisme a perdu "un grand monsieur et un super champion".
"Je l'appréciais d'abord en tant que coureur. C'était un champion complet", a déclaré Eddy Merckx sur le site internet de RMC. "On ne peut pas remporter le Tour de France si on n'est pas un coureur complet. Et puis c'était aussi un homme d'une grande honnêteté. Il donnait toujours son opinion, il ne tournait pas autour du pot. C'était aussi quelqu'un de très intelligent, il avait toujours une très bonne analyse de la course. Malheureusement, il est parti beaucoup trop tôt. 50 ans, c'est bien trop jeune !", a commenté le quintuple vainqueur de la Grande Boucle.
Beenkens: "Un ami, timide, mais humainement fantastique"
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Avant d'être consultant pour France Télévision, Laurent Fignon, décédé mardi à l'âge de 50 ans des suites d'un cancer, fut aussi aux côtés de Rodrigo Beenkens, pour commenter les courses cyclistes sur la RTBF. Le commentateur belge décrit celui qui était "un ami, comme quelqu'un de timide, et humainement quelqu'un de fantastique."
"C'était un ami", explique Rodrigo Beenkens sur la RTBF. "Professionnellement, c'était quelqu'un d'exceptionnel car il anticipait tout. J'ai vécu un Tour de France à ses côtés et j'ai compris qu'il pouvait, lui, expliquer aux téléspectateurs pourquoi Armstrong attaquait ? pourquoi Ullrich n'attaquait pas à cet endroit ? Il avait la science de la course, une facilité de locution ainsi qu'une fameuse dose d'humour. Au début, je l'imaginais comme quelqu'un d'hautain, d'arrogant, de distant mais en fait, c'était un homme timide. Humainement, c'était quelqu'un de fantastique.
Cela peut paraître banal de dire cela mais c'est la vérité. Je l'ai connu à l'époque où il travaillait à Eurosport. Il était mort de rire à côté de moi dans la cabine lors du championnat du monde en 1994 en Sicile lorsqu'il m'a entendu parler d'un certain américain Horner qui s'était illustré et j'ai du dire une bêtise du style "aucun lien de parenté avec Yvette". Il avait beaucoup d'humour. Je me rappelle qu'après le Tour perdu en 89 face à Lemond, il avait dit: "Vous avez trouvé mon épitaphe: "8
Route du Rhum 2010 - De la nostalgie rétro à l'ultra modernisme
PARIS, 31 août 2010 | La huitième édition de la Route du Rhum, la course transatlantique à la voile en solitaire Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) - Pointe-à-Pitre, la deuxième "oblitérée" Banque Postale, alliera nostalgie et ultra modernisme.
AFP | 31.08.2010 | 15:56
La huitième édition de la Route du Rhum, la course transatlantique à la voile en solitaire Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) - Pointe-à-Pitre, la deuxième "oblitérée" Banque Postale, alliera nostalgie et ultra modernisme.
Sur la ligne de départ, le 31 octobre, il y aura dans la catégorie Ultime (les voiliers plus grands) l'ancien catamaran de Bruno Peyron, mené par la Malouine Servanne Escoffier (Saint Malo 2015), et l'ancien trimaran Côte d'Or d'Eric Tabarly, confié à Bertrand Quentin.
Dans cette même catégorie, seront présents les "monstres" du XXIe siècle, qui affichent 30 mètres et plus: Groupama 3 (103 pieds) de Franck Cammas, qui hissera les voiles avec une bicyclette, IDEC (98 pieds) de Francis Joyon et Sodeb'O (105 pieds) de Thomas Coville, tous équipés de foils. Oman Air Majan (105 pieds) de Sidney Gavignet, tout auréolé de son record du tour des îles Britanniques et d'Irlande, sera le seul grand multi à ne pas être doté de foils, des plans porteurs (dérives) qui soulagent les flotteurs à grande vitesse.
Toujours dans cette catégorie, le Gitana XI, victorieux et détenteur du record de la course (7 j, 17 h, 19 min, 06 sec - soit une moyenne de 19,11 noeuds) depuis la dernière édition, remportée en 2006 par Lionel Lemonchois. Rallongé de 60 à 70 pieds, Gitana XI allierait les avantages présumés contradictoires d'un petit (manoeuvrabilité et efforts physiques nécessaires à la manoeuvre) et d'un grand bateau (longueur à la flottaison, donc vitesse).
Les autres classes seront elles aussi captivantes à suivre: l'IMOCA (monocoques de 60 pieds/18,28 mètres) avec neuf skippeurs de haut calibre, les multis 50, avec Lionel Lemonchois (Prince de Bretagne) et Yves Le Blevec (Actual), qui tenteront de mettre fin à la suprématie de Franck-Yves Escoffier (Crêpes Whaou!). Lequel l'emporte à chaque fois aisément depuis l'édition de 1998 (trois victoires d'affilée).
Un total de 81 skippers seront au départ cette année, un record. En 2006, 74 marins avaient pris le départ de la Route du Rhum, devenue la transat de référence.
;)Je participerai bien avec Ducat comme pitaine - Pasky à la cuisine - Phil pour les medias -M'occcupe de la cave... - deux ou trois furies pour le ménage etc faut monter une équipe pour 2011:D
La route du rhum, le rêve quoi........:amoureux::amoureux:
webamanu
31/08/2010, 17h23
Tristesse
L'ancien champion cycliste Laurent Fignon est décédé
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/95773435.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/95773435.JPG)
Ah, au revoir monsieur Fignon !
Je me souviens du contre la montre ou il perd le tour pour 8 secondes, un grand moment. Aussi une fois alors qu'il était parti en solitaire, il avait gagné a Mulhouse et j'avais eu le plaisir de l'encouragé depuis mon balcon, c'est un des moment qui resteront a jamais gravé dans ma mémoire.
Laurent FIGNON est décédé à l'age de 50 ans d'un cancer de la gorge.... putain de saleté de merde!!
respect à ce champion que je n'appréciais pas forcément mais qui avait une sacré force de caractère. Paix à son âme et condoléance à sa famille...!
j'appreciais ses commentaires,surtout sur le dernier tour quand moreau attaque pour le maillot à pois:diable:......
c'est un grand qui s'en va,il n'avait pas de langue de bois..c'est rare à notre epoque
Je l'ai pas connu en tant que cycliste mais en tant que consultant et j'aimais bien, il disait ce qu'il pensait, lui ne voulait pas voir des courses d'attente, le plus fort devait gagner en partant tout seul. Sa carrière a toujours été spéciale, il n'était pas aimé en tant que cycliste pas les autres car il n'était pas dans le moule, mais au moins il donnait tout et ne se plaignait jamais. On l'a vu depuis 1 an avec sa maladie, il ne voulait pas que les gens ait de la compassion...
Courage à sa famille.
Un reportage de FR2, il y a quelques années
http://www.youtube.com/watch?v=VbPKMclFByY
http://www.youtube.com/watch?v=uOSh340PoHI&p=A4BFD263498BBFE1&playnext=1&index=3
Je l'ai pas connu en tant que cycliste mais en tant que consultant et j'aimais bien, il disait ce qu'il pensait, lui ne voulait pas voir des courses d'attente, le plus fort devait gagner en partant tout seul. Sa carrière a toujours été spéciale, il n'était pas aimé en tant que cycliste pas les autres car il n'était pas dans le moule, mais au moins il donnait tout et ne se plaignait jamais. On l'a vu depuis 1 an avec sa maladie, il ne voulait pas que les gens ait de la compassion...
Courage à sa famille.
Un reportage de FR2, il y a quelques années
http://www.youtube.com/watch?v=VbPKMclFByY
http://www.youtube.com/watch?v=uOSh340PoHI&p=A4BFD263498BBFE1&playnext=1&index=3
Tu connaissais pas Laurent Fignon :fou: .... 2 tours de France, un autre perdu le dernier jour de 8s. Le grand adversaire de Greg Lemond. Il ne rentrait pas dans le moule car c'était un mec franc, discret et pas trop showman,tout l'inverse d'un Hinault. Il a fait de très bon commentaires cette année ua tour malgré sa maladie. Marca mettait en une encore ce matin " Fignon est entrain de perdre son combat contre la maladie " Et quelques heures après on annonçait son décès. Un grand monsieur du cyclisme nous a quitté :bad:
Cristiano Ronaldo est absent pendant trois semaines
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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/1/0/media_l_3849090.jpg?20100830152659
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/2/1/media_l_3849091.jpg?20100830152710
L'attaquant portugais Cristiano Ronaldo, touché à la cheville droite avec le Real Madrid dimanche, sera absent environ trois semaines et manquera donc les prochains matches des éliminatoires de l'Euro 2012 face à Chypre et la Norvège.
Cristiano Ronaldo, l'un des meilleurs joueurs du Real dimanche à Majorque (0-0), a reçu un coup sur la cheville droite et une IRM (imagerie par résonance magnétique) passée lundi matin a révélé "une contusion sur la malléole interne de la cheville droite avec un oedème", a indiqué un bulletin médical diffusé sur le site du Real. "Il sera indisponible pour une durée estimée à approximativement trois semaines", a ajouté le bulletin.
Le Portugal doit affronter Chypre le 3 septembre puis la Norvège le 7 dans le groupe H des éliminatoires de l'Euro 2012. Cristiano Ronaldo devrait au moins manquer les deux prochains matches de Liga avec le Real Madrid (11-12 septembre contre Osasuna et 18-19 à la Real San Sebastian) ainsi que la première journée de Ligue des champions face à l'Ajax Amsterdam (le 15 septembre
:diable:Il commence bien la saison.......
Très mauvaise nouvelle pour le Real. c'est le 7ème blessé depuis la reprise de l'entrainement :langueŽ:
Tu connaissais pas Laurent Fignon :fou: ....
si si je le connaissais mais je ne l'ai jamais vu sur un vélo, je suis trop jeune, quand il a gagné ses tours je n'étais pas né et quand il a pris sa retraite je savais à peine parler:).
Pour dire je lisais son livre il y a deux semaines et aujourd'hui on apprend son décès...:bad::bad:
ce soir sur france3 apres le journal de 22h30 un documentaire de 30 minutes va etre consacrée a laurent fignon
philguerin
31/08/2010, 21h33
je vais regarder çà... bonne nuit à tous ...et à demain.. plus gai j'espère!!!
A+
Venus Williams signe un 200e succès en Grand Chelem
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Absente des courts depuis plus de deux mois et son élimination en quarts de finale à Wimbledon, l'Américaine Venus Williams, 4e mondiale et tête de série N.3, a réussi sa rentrée lundi à l'US Open. Elle a dominé l'Italienne Roberta Vinci (WTA-65) 6-4, 6-1. Elle a connu une petite baisse de régime dans le premier set. Menant 4-1, elle a vu son adversaire revenir à 4-4 avant de conclure la manche et de filer, ensuite sans douleur, vers son 200e match victorieux en Grand Chelem. Seules quatre autres joueuses dans l'histoire ont réalisé cette performance: Martina Navratilova, Chris Evert, Steffi Graf et Arantxa Sanchez-Vicario.
Si Kim Clijsters (WTA-3/N.2) a remporté son 26e succès consécutif au 1er tour d'un tournoi du Grand Chelem contre la Hongroise Greta Arn (6-0, 7-5), et si l'Italienne Francesca Schiavone (WTA-7/N.6) a balayé la Japonaise Ayumi Morita (WTA-84) 6-1, 6-0 (en 58 minutes), l'Australienne Samantha Stosur (WTA-6/N.5) a souffert. La finaliste de Roland-Garros a bataillé trois sets avant d'écarter au bout de 1h52 de match la Russe Elena Vesnina (WTA-39) 3-6, 7-6 (7/2) et 6-1.
Et que dire de la Russe Dinara Safina. L'ancienne N.1 mondiale, il y a douze mois à peine, désormais repoussée au 50e rang à la WTA, a été sortie 6-3 et 6-4 au bout d'une heure quarante-six de jeu par la Slovaque Daniela Hantuchova (WTA-26/N.24). Depuis sa blessure au dos survenue en janvier, Safina n'est plus que l'ombre d'elle-même.
Vuelta: Anton remporte la 4e étape, Gilbert reste leader
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Igor Anton (Euskaltel) a offert mardi à l'Espagne sa première victoire sur la 65e Vuelta, bondissant dans les derniers mètres pour remporter la 4e étape, 183,3 km de montées et descentes entre Malaga et Valdepenas de Jaen (sud).
Le Belge Philippe Gilbert (Omega Pharma) a formidablement résisté au gros effort du peloton dans les 20 derniers kilomètres pour revenir sur l'échappée du jour. Il a pris la 5e place à 5 secondes. Suffisant pour lui permettre de conserver la première place au classement général.
"L'étape a commencé sur un rythme très rapide, laissant partir le groupe (d'échappés) que nous contrôlions parfaitement. Au début de la (dernière) montée, j'étais un peu mal placé", a souligné Gilbert, qui a néanmoins fini dans le groupe de tête. Au classement général, il devance de 10 secondes Igor Anton et son compatriote Joaquin Rodriguez et de 12 secondes l'Italien Vincenzo Nibali.
Question d'expérience
Le vainqueur du jour, Igor Anton, 27 ans et appelé à devenir prochainement le successeur du leader Samuel Sanchez au sein d'Euskaltel, a su gérer au mieux une fin de parcours étroite et tortueuse. Il s'est imposé d'une seconde devant un trio composé de Nibali, l'un des favoris de cette Vuelta, du Slovaque Peter Velits et de Joaquin Rodriguez, 2e de l'étape lundi.
"C'est une arrivée qui me favorisait avec des pentes jusqu'à 23%", a affirmé Anton. "Le fait de connaître le tracé m'a aidé et l'expérience acquise sur la Flèche wallonne (terminée à la 4e place) a été très importante". Son compatriote, Joaquin Rodriguez, annoncé comme l'un des favoris pour cette 4e étape, était en revanche très mécontent: "L'organisation doit comprendre qu'il ne faut pas penser qu'au spectacle. Cela s'est très mal passé à l'arrivée. Et en plus, il y avait les motos...".
"C'était une étape très dure", a relevé Nibali, qui confirme être dans de bonnes dispositions. "Rodriguez était le favori. La victoire d'Igor Anton est pour moi une surprise. Je suis content de mon comportement sur la Vuelta. On verra au jour le jour".
Décrochage
Après Andy Schleck lundi, un autre grand nom du peloton a été décroché mardi, l'Espagnol Carlos Sastre, qui a néanmoins perdu beaucoup moins de temps que le Luxembourgeois. Le coureur de Cervélo a terminé à 1 min 34 du vainqueur alors que le plus jeune des frères Schleck avait perdu plus de 14 minutes lundi. Des principaux favoris sur le papier avant le coup d'envoi, sont toujours très bien placés, outre Nibali: Frank Schleck, Denis Menchov et David Arroyo.
Us open
Un premier tour pas de tout repos pour Nadal
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Nadal ne s'est jamais imposé à New York.
L’Espagnol a passé son premier obstacle à New York, le seul titre du Grand Chelem qui lui manque, en battant dans la nuit de mardi à mercredi le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets, dont deux jeux décisifs.
le 01 septembre 2010, 08h00
LeMatin.ch & les agences
Le No 1 mondial, qui s’est imposé 7-6 (7/4), 7-6 (7/4), 6-3 en près de trois heures face au 93e mondial, affrontera l’Ouzbek Denis Istomin au 2e tour.
Nadal, qui inaugurait une nouvelle tenue, toute noire avec une touche de jaune fluo, a mis plus d’une heure à remporter chacun des deux premiers sets, ne parvenant pas à faire le break (2 balles concrétisées sur 10).
Il a toutefois parfaitement géré les deux jeux décisifs, comme durant toute la saison (15 gagnés pour 6 perdus), faisant le mini break très rapidement.
Dans la dernière manche, il est enfin parvenu à faire le break à 3-3, à sa 8e balle de break, pour ensuite empocher les deux jeux suivants et le match.
"J’ai bien servi, s’est félicité le Majorquin. J’espère que ça va continuer comme ça. Le service n’est pas mon meilleur coup mais je sais que si je veux avoir une chance de gagner ce tournoi, il faudra que je serve bien."
Nadal a pris le temps de féliciter son adversaire, qui lui a offert une belle opposition (49 coups gagnants, contre 30 à Nadal) mais n’a pas toujours réussi à garder son sérieux sur les points importants.
"Aucun match n’est facile en Grand Chelem, la pression est là, a ajouté l’Espagnol. J’ai eu un match difficile mais j’ai bien joué. J’ai bien servi, mon coup droit marche bien et mon revers va mieux que ces dernières semaines. Je sers plus fort ici car les balles sont plus molles et comme mon +topspin+ ne marche pas aussi bien qu’ailleurs, je frappe plus à plat."
Avec une victoire à New York le 12 septembre, Nadal deviendrait le 7e joueur de l’histoire à accomplir le Grand Chelem en carrière et le plus jeune à le faire (24 ans).
L’Espagnol, vainqueur cette saison de Roland-Garros et de Wimbledon, reste sur deux demi-finales sur les courts en ciment de Flushing Meadows, face à Andy Murray (2008) et Juan Martin Del Potro (2009).
Les derniers transferts du football étranger en un clic
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Le transfert de Rafaël Van der Vaart vers Tottenham (11 millions) est en suspens en raison d'un problème administratif.
Comme toujours, le mercato a battu son plein jusqu'à la dernière seconde. De l'Angleterre à la France en passant par l'Italie et l'Espagne, voici les principaux transferts du football étranger.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/3/13/media_l_3851863.jpg?20100901102931
"Je veux gagner le Scudetto avec l'AC Milan", a déclaré Robinho.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/6/1/media_l_3851866.jpg?20100901103258
Markus Rosenberg doit remplacer Mémé Tchité à Santander.
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Marco Borriello débarque à l'AS Roma.
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Asamoah Gyan quitte Rennes pour Sunderland: 16 millions.
Angleterre
Qualifié pour la Ligue des Champions, Tottenham a transféré Rafaël Van der Vaart (arrivé au Real Madrid pour 13 millions d'euros). Les Spurs ont déboursé 11 millions pour le meneur de jeu hollandais. Mais son transfert est en suspens pour une drôle d'affaire administrative. Stipe Pletikosa (gardien du Spartak Moscou) est prêté pour une saison du côté de White Hart Lane.
Deux joueurs quittent Liverpool: Nabil El-Zhar pour le PAOK et Damien Plessis au Panathinaikos. Caicedo (Manchester City) est prêté à Levante. Idem pour Eidur Gudjonhsen à Stoke City. Joseph Yobo (ancien joueur du Standard) fait ses valises pour Fenerbahçe. Pour rappel, il jouait à Everton. Birmingham s'est montré très actif dans les dernières heures du mercato: Jean Beauséjour (ancien de la Gantoise), Alexander Hleb et Martin Jiranek arrivent tous les trois. Chelsea se sépare du jeune attaquant argentin Franco Di Santo (21 ans). Il file à Wigan.
Italie
Grâce à l'AC Milan, le marché des transferts a été très agité dans les dernières heures du mercato en Italie. Les Lombards ont enregistré les arrivées de Zlatan Ibrahimovic et de Robinho. Les Rossoneri se séparent de Marco Borriello (à l'AS Rome pour 10 millions d'euros) et de Kakha Kaladze (à la Genoa). Libre de tout contrat, Jonathan Zebina arrive à Brescia. Diego Perez quitte Monaco pour Bologne.
Espagne
Après avoir laissé filer Mémé Tchité au Standard, le Racing Santander a trouvé un remplaçant: Markus Rosenberg (Werder Brême). Il y arrive sous forme de prêt. Waldo Ponce, révélation du Mondial avec le Chili, portera aussi le maillot de Santander cette saison. Hercules Alicante, récent promu, a fait coup double avec les arrivées de David Trezeguet (Juventus) et Royston Drenthe (Real Madrid).
France
David Rozenal (ex-Club Bruges) débarque à Lille sous forme de prêt. Le LOSC a perdu Nicolas Plestan parti à Schalke 04. Siaka Tiéné est un nouveau joueur du PSG. Daisuke Matsui, international japonais, est prêté au FC Tom Tomsk (D1 russe) par Grenbole. Une ancienne connaissance brugeoise, Gaëtan Englebert, défendra le maillot du FC Metz (D2).
Asamoah Gyan, excellent avec le Ghana au Mondial, évoluera en Premier League à Sunderland (16 millions d'euros). Danijel Ljuboja a signé à Nice pour une saison. Paco Pavon (ex-Real Madrid) arrive à Arles-Avignon. Le promu a déjà fait signer quelques joueurs de renom: Charisteas, Basinas et Mejia. (chds)
Zidane: "Ca passe par la victoire"
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Zinédine Zidane, venu mercredi à Clairefontaine, a indiqué qu'il avait expliqué aux joueurs l'équipe de France de Laurent Blanc que le "plus important était de renouer avec la victoire", car "on construit une équipe à travers la victoire".
"Ca me fait bizarre d'être là, la dernière fois c'était en 2006, ça fait bizarre de remettre les équipements (il a participé à un tennis-ballon dans la matinée), j'étais là pour la bonne cause, Lolo (Laurent Blanc) m'a demandé de venir, de passer une journée avec cette nouvelle équipe, je suis content d'être là, de partager une journée avec eux, de partager mon sentiment sur l'équipe de France, ce que j'ai vécu", a raconté "Zizou".
"Je n'ai pas fait de discours, je n'étais pas là pour ça, j'ai passé une bonne journée avec eux, ça ne va pas leur faire du mal, on a regardé des images de 1998 (victoire en Coupe du monde) et 2000 (victoire en championnat d'Europe), j'ai parlé de renouveau, ça passera par des victoires", a ajouté l'ancien meneur de jeu.
"Je ne me suis pas entraîné avec eux, mais avec le staff, j'ai fait un petit tennis-ballon, on a déjeuné ensemble, puis on a eu une petite réunion. Je ne leur ai pas donné de conseil, le plus important c'était que je sois là, ce sont des joueurs de talent, ils méritent d'être là. Je ne leur ai pas parlé du maillot, c'est au sélectionneur de faire ça", a détaillé l'ancien joueur du Real Madrid.
"L'équipe va se refaire une santé, ça commence dès vendredi, j'espère qu'on retrouvera l'équipe de France gagnante, j'espère qu'ils puissent vivre les moments que j'ai vécu, je leur ai souhaité le meilleur", a-t-il encore confié devant la centaine de journalistes présents.
"Je suis ravi d'être le premier des anciens à passer ici, ça ne fera pas de mal, du bien je ne sais pas, mais personne n'était mécontent, après peut-être, que, comme vous dites, ça ne changera rien. Le plus important, c'est eux, c'est ce qu'ils vont montrer maintenant, ça commence dans deux jours, j'espère ils arriveront justement à faire quelque chose de sympa dès vendredi", a-t-il encore lancé.
"Ils ont un entraîneur qui est frais, qui a envie, qui les a bien motivés, qui sait de quoi il parle, ce qui est super important quand vous parlez de foot, il a un vécu", a-t-il conclu au sujet de Laurent Blanc.
La présence de Zidane avait été souhaitée par Blanc pour redonner de l'importance à l'équipe de France dans une carrière après le fiasco du Mondial. Zidane sera imité dans le futur par d'autres grands joueurs qui viendront parler aux joueurs à Clairefontaine. Les Bleus débutent les qualifications à l'Euro 2012 vendredi contre le Belarus au Stade de France. (afp/chds)
Farrar mate Cavendish
Mots clés : cyclisme (http://plus.lefigaro.fr/tag/cyclisme), vuelta (http://plus.lefigaro.fr/tag/vuelta), tyler farrar (http://plus.lefigaro.fr/tag/tyler-farrar), cavendish (http://plus.lefigaro.fr/tag/cavendish)
Romain Canault (Sport24.com)
01/09/2010 | Mise à jour : 19:01 Réagir (http://plus.lefigaro.fr/article/farrar-mate-cavendish-20100901-274343/commentaires)
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Farrar, devançant Cavendish et Koldo Fernandez, s'adjuge la 5e étape à Lorca. Crédits photo : Panoramic
L'Américain Tyler Farrar (Garmin) a remporté au sprint la 5e étape de la Vuelta, devançant Koldo Fernandez (Euskaltel) et Mark Cavendish (HTC). Le Britannique, encore battu, n'a toujours pas gagné. Gilbert reste leader.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif Au lendemain du décès de Laurent Fignon, le départ de la 5e étape entre Guadix et Lorca a rendu hommage au champion français en respectant une minute de silence. Après deux journées compliquées pour le peloton, c'est une étape dit de «transition» qui s'offrait ce mercredi aux équipes de sprinteurs. Une journée longue de 198 km affichant un parcours relativement tranquille mis à part un début d'étape disputé à plus de 1 000 m d'altitude. Avec 60 derniers kilomètres plus plats, un sprint massif était, sauf surprise, promis aux finisseurs de cette Vuelta.
Les Français à nouveau devant
Une fois l'émotion retombée, quatre hommes ont tenté de fausser compagnie au peloton. Une fois n'est pas coutume, c'est à nouveau deux Français, Pierre Rolland (BBox Bouygues Telecom) et Arnaud Labbe (Cofidis) qui se sont mis en évidence dans une échappée composée également des Espagnol David Gutierrez (Footon-Servetto) et de Jose Vicente Toribio (Andalucia). Quatre hommes lancés seuls devant, une aubaine pour les écuries de sprinteurs qui laissaient jusqu'à 5 minutes d'écart aux baroudeurs du jour. Certaines formations dont la Lampre, la Française des Jeux ou encore la Garmin, maintenaient un rythme régulier afin de garder à distance l'échappée. Une équipe Garmin-Transition qui annonçait dans la journée récupérer certains coureurs de la Cervélo, la formation suisse s'arrêtant en fin de saison. Après avoir officialisé la venue de Thor Hushovd mardi, c'est au tour d'Heinrich Haussler, Roger Hammond, Brett Lancaster, Daniel Lloyd, Gabriel Rasch et Andreas Klier de venir renforcer la formation du sprinter américain Tyler Farrar. Des renforts de poids pour ce dernier motivé à l'idée de gagner un deuxième succès d'étape sur la Vuelta après celle remportée l'année dernière.
Cavendish n'y arrive pas
A moins de 40 km de l'arrivée, le peloton commençait à grignoter du temps sur l'échappée et l'écart tombait sous la barre des 2 minutes. A mesure que l'on se rapprochait de l'arrivée, les secondes s'égrainaient et un sprint final paraissait inévitable. Après s'être fait surprendre par Yauheni Hutarovich (FDJ) lors de la 2e étape, Mark Cavendish espérait bien prendre sa revanche à l'arrivée sur le plateau de Murcie. Tout comme l'Italien Alessandro Petacchi (Lampre), l'Espagnol Oscar Freire (Rabobank) ou encore l'Argentin Juan José Haedo (Saxo Bank). L'échappée rejointe à 13 km de l'arrivée, le sprint tant attendu pouvait avoir lieu. Le train de la Team Columbia se mettait en route, Mark Cavendish, idéalement placé, tentait de partir de plus loin et surprendre ses rivaux. Mais en prenant la roue du Britannique, Tyler Farrar, a attendu le moment opportun pour ajuster Cavendish sur la ligne d'arrivée. Avec ce succès, l'Américain de la Garmin s'impose pour la 7ème fois cette année et répète ses gammes avant le rendez-vous des Mondiaux à Melbourne dans un mois (3 octobre). Battu une nouvelle fois lors d'un deuxième sprint, Mark Cavendish doit encore faire ses preuves sur cette Vuelta. Privé de son poisson pilote Bernhard Eisel, obligé d'abandonner mardi, Cavendish devra rapidement trouver une solution, et ce, dès demain pour un nouveau sprint.
Classement de la 5e étape :
1. Farrar (Eu, Garmin) en 5h3'36"
2. Koldo Fernandez (Esp, Euskaltel) tmt
3. Cavendish (Bri, HTC)
4. Tosatto (Ita, Quick Step)
5. Petacchi (Ita, Lampre)
6. Sy. Chavanel (Fra, Quick Step)
7. Forster (All, Milram)
8. Galimzyanov (Rus, Katusha)
9. Bos (Hol, Cervélo)
10. Van Avermaet (Bel, Omega)
Classement général :
1. Gilbert (Bel, Omega) en h'''
2. Anton (Esp, Euskaltel) à 10''
3. Joaquin Rodriguez (Esp, Katusha) à 10''
4. Nibali (Ita, Liquigas) à 12''
5. P. Velits (Slo, HTC) à 16''
6. Van Garderen (Eu, HTC) à 29''
7. Tondo Volpini (Esp, Cervelo) à 49''
8. F. Schleck (Lux, Saxo Bank) à 50''
9. Ruben Plaza (Esp, Caisse d'Epargne) à 54''
10. Mosquera (Esp, Cervelo) à 55''
Cyclisme
01 septembre 2010 16:20; Act: 01.09.2010 16:25 Print (javascript:window.print())
http://www.forum-motogp.com/dyft/0ab8ba/F_.S44.W600.C3355443/Johann%20Tschopp%20chez%20BMC.pngJohann Tschopp chez BMC
Johann Tschopp (28 ans), qui court cette saison chez BBox Bouygues Telecom, défendra en 2011 les couleurs de BMC.
Johann Tschopp est chez BBox Bouygues cette saison. (Photo: epa)
Le Valaisan fait partie des six transferts annoncés par l'équipe américano-suisse, aux côtés notamment du Belge Greg Van Avermaet (25 ans/ vainqueur du maillot à points de la Vuelta 2008) et de l'Italien Ivan Santaromita (26 ans).
BMC comptera aussi dans ses rangs le Français Amaël Moinard (28 ans), meilleur grimpeur de Paris - Nice cette année, l'Italien Manuel Quinziato (30 ans) et l'espoir belge Yannick Eijssen (21 ans).
VTT: première médaille d'or pour la Suisse
Cyclisme | Aux Championnats du monde de Mont Saint-Anne (Canada), le relais helvétique a devancé l'Allemagne et la République tchèque.
http://www.tdg.ch/files/imagecache/468x312/story/vttsuisse.JPG © KEYSTONE | De gauche à droite, Katrin Leumann, Ralph Naef, Roger Walder et Thomas Litscher.
SI | 01.09.2010 | 18:50
La Suisse a parfaitement réussi son entrée dans les Championnats du monde de Mont Saint-Anne (Can). Le relais helvétique a en effet devancé l'Allemagne et la République tchèque et s'est offert la première médaille d'or de la compétition.
Sur la ligne d'arrivée, le quatuor à croix-blanche formé de Thomas Litscher (M23), Roger Walder (junior), Katrin Leumann et Ralph Näf (tous les deux élites) a dominé les Allemands de 18 secondes. La France, privée du double Champion olympique et quadruple Champion du monde Julien Absalon, a dû se contenter de la quatrième place, juste devant l'Italie.
C'est la troisième fois que les Helvètes s'adjugent l'or dans la spécialité. Ils s'étaient déjà imposés à Rotorua en Nouvelle-Zélande en 2006 et à Fort William en Grande-Bretagne il y a trois ans.
:amoureux::content::content::content:
tennis
US Open: Azarenka s'effondre sur le court
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Image © Keystone
La Biélorusse Victoria Azarenka (no 10) a causé une sacrée frayeur au public de Flushing Meadows. Elle s'est effondrée au sol de tout son long après un échange, lors de son match du 2e tour de l'US Open contre l'Argentine Gisela Dulko.
le 01 septembre 2010, 18h51
LeMatin.ch & les agences
Azarenka a du coup été contrainte à l'abandon alors qu'elle était menée 5-1 dans la première manche après 34' de jeu. Toute vêtue de noire et probablement perturbée par la très forte chaleur new yorkaise, la Biélorusse s'est effondrée après un revers manqué près de sa ligne de fond de court, se tournant sur le ventre en tombant et ne bougeant plus.
Le corps médical s'est immédiatement porté à ses côtés, une secouriste prenant immédiatement son pouls. L'annonce de son abandon a rapidement suivi. La Bélarusse de 21 ans était une des joueuses en forme de l'été, avec une victoire à Stanford et une demi-finale à Montréal.
Tennis Messieurs
Nadal en mode "tie-break". Djokovic dans la douleur
01.09.2010 07:45 - mise à jour: 15:13 http://www.tsr.ch/3a0/medias/images/reuters/2433051.image?w=480&h=270 Rafael Nadal un no1 mondial en version "man in black". [Reuters]
Demi-finaliste en 2008 et 2009, Rafael Nadal a franchi le cap du 1er tour de l'US Open. Le no1 a toutefois dû passer à 2 reprises par la case "tie-break" pour éliminer en 3 sets le Russe Gabashvili. Etouffé par Troicki et la chaleur, Novak Djokovic passe dans la douleur.
Rafael Nadal a passé son premier obstacle à l'US Open, le seul titre du Grand Chelem qui lui manque, en battant le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets, dont deux jeux décisifs. Le no1 mondial, qui s'est imposé 7-6 (7/4) 7-6 (7/4) 6-3 en près de trois heures face au 93e mondial, affrontera l'Ouzbek Denis Istomin au 2e tour.
Le Majorquin satisfait de son service
Nadal, qui inaugurait une nouvelle tenue, toute noire, a mis plus d'une heure à remporter les deux premiers sets, ne parvenant pas à prendre le service adverse (2 balles de break concrétisées sur 10). Il a toutefois parfaitement géré les deux jeux décisifs, comme durant toute la saison (15 gagnés pour 6 perdus), faisant le mini break très rapidement. Dans la dernière manche, il est enfin parvenu à faire le break à 3-3, à sa 8e balle de break, pour ensuite empocher les deux jeux suivants et le match.
"J'ai bien servi, s'est félicité le Majorquin. J'espère que ça va continuer comme ça. Le service n'est pas mon meilleur coup mais je sais que si je veux avoir une chance de gagner ce tournoi, il faudra que je serve bien." Nadal a pris le temps de féliciter son adversaire, qui lui a offert une belle opposition (49 coups gagnants, contre 30 à Nadal) mais n'a pas toujours réussi à garder son sérieux sur les points importants.
"Aucun match n'est facile en Grand Chelem, la pression est là, a ajouté l'Espagnol. J'ai eu un match difficile mais j'ai bien joué. Mon coup droit marche bien et mon revers va mieux que ces dernières semaines." Avec une victoire en finale le 12 septembre, Nadal deviendrait le plus jeune joueur de l'histoire à avoir remporté les 4 tournois du Grand Chelem (24 ans).
Djokovic étouffé par Troicki et la chaleur
http://www.tsr.ch/3cb/medias/images/keystone/2433044.image?w=230&h=165 "Nole" aurait très bien pu perdre contre son ami Troicki. [Keystone] (http://www.tsr.ch/4bc/medias/images/keystone/2433044.image?w=418&h=300)Contrairement à Nadal et à la Danoise Caroline Wozniacki (WTA 2), qui n'a fait qu'une bouchée de l'inconnue Américaine Chelsey Gullickson, 6-1 6-1, les têtes d'affiche ont eu du mal mardi dans la fournaise de Flushing Meadows. Le Serbe Novak Djokovic (ATP 3) a battu son compatriote et ami Viktor Troicki, 47e mondial, en cinq sets (6-3 3-6 2-6 7-5 6-3) et au bout d'un marathon de près de 4 heures dans lequel il a beaucoup souffert de la chaleur (42 degrés Celsius sur le court central).
Djokovic s'est retrouvé mené 2 sets à 1 et balle de break pour 1-4 dans le quatrième mais est parvenu à se sortir de ce trou noir. "Quelqu'un dans les tribunes n'a pas arrêté de me dire +tiens bon, tiens le coup+ et c'est vraiment ce que j'ai réussi à faire, a affirmé Djokovic. Tout le mérite revient à Viktor. J'aurais très bien pu perdre ce match." Le Serbe a tellement souffert de la température qu'il a accueilli l'arrivée de l'ombre, au moment du cinquième set, avec un certain soulagement. "C'était une sensation comparable à celle de coucher avec ma petite amie", a-t-il osé.
Baghdatis prend la porte
L'Argentin David Nalbandian, tête de série no31, un des hommes en forme de l'été (victoire à Washington, quart de finale à Toronto), a bizarrement eu toutes les peines du monde à écarter (en cinq sets, avec un break de retard dans le dernier set) le modeste Sud-Africain Rik de Voest, issu des qualifications 3-6 6-4 6-7 (6/8) 6-4.
Autre joueur marquant de l'été (finale à Washington, demi-finale à Cincinnati avec un succès sur Nadal), le Chypriote Marcos Baghdatis (no16) a lui pris la porte dès le premier tour, battu par le surprenant trentenaire français Arnaud Clément en cinq sets étalés sur 3 h et 27 minutes: 6-3 2-6 1-6 6-4 7-5 "Je me suis senti lourd sur le court, a déclaré le Chypriote, je ne pouvais pas être agressif, j'étais trop défensif. J'étais peut-être un peu fatigué, ça fait deux mois que je joue à la suite. Je suis déçu mais c'est la vie."
L'INTERVIEW
Greg Norman: «Tiger Woods n'est pas fini pour le golf»
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Grande star de l'Omega European Masters, qui débute aujourd'hui, Greg Norman s'est confié au «Matin». Pour parler de sa passion, mais aussi de ses joies et de ses peines.
Laurent Guyot - le 01 septembre 2010, 22h35
Le Matin
Greg Norman, êtes-vous heureux d'être à Crans-Montana?
Je ne vais pas vous dire non. Surtout lorsque le ciel est aussi bleu et que le soleil a pris rendez-vous pour la semaine selon mes sources!
Mais alors pour quelles raisons êtes-vous content?
Parce que je me sens bien. Et que je vais savourer ces moments passés sur un parcours difficile. Ce qui ne m'empêche pas de penser que Crans, c'est le plus beau golf avec vue sur les Alpes.
Reprendre la compétition après une année d'absence (4-6 septembre 2009 à Walmart) dans un tel cadre est-il judicieux?
Il faut s'imposer des objectifs dans la vie. Mon épaule ne me fait plus souffrir. Mon jeu revient progressivement. Et respirer le bon air des Alpes suisses n'est pas désagréable.
Pour quelles raisons alors avez-vous attendu 15 ans avant de revenir sur le Haut-Plateau pour effacer le cut raté de 1995?
Oh, il y en a de nombreuses qui vont de mon engagement plus important au niveau de ma société Great White Shark, mais aussi d'un circuit américain où les tournois sont mieux dotés. Sans parler des contrats que je me dois de respecter.
Ce n'est donc pas parce que vous n'aimez pas la Suisse. Alors dites-nous à quoi notre pays vous fait penser?
Je ne serai pas très original. J'aime bien votre chocolat, vos montres et vos banques.
Mais connaissez-vous au moins une personnalité de Suisse?
Bien sûr! Je ne m'appellerais pas Greg Norman si je ne connaissais pas Roger Federer. Je l'ai souvent vu jouer à l'US Open, et nous nous sommes rencontrés l'une ou l'autre fois.
Avez-vous échangé des balles avec lui?
Non, cela ne s'est jamais produit. Comme je n'ai jamais joué au golf avec lui. Mais il n'est pas encore trop tard pour espérer le faire un jour.
Etes-vous un grand fan de tennis?
Pas spécialement car, même lors de mon adolescence, je n'ai jamais voulu disputer un tournoi. Mais j'apprécie ce sport et je m'y suis intéressé au moment de ma liaison avec Chris Evert.
Justement, à ce propos, comment vivez-vous ce second divorce?
Avec Chris, nous entretenons des relations amicales. Je vous rassure, ce n'est pas la guerre.
Est-il exact que votre nouvelle amie, Kirsten Kutner, a vécu longtemps à Zurich?
Je ne peux rien vous cacher. Mais elle est aussi passée par de nombreuses autres villes comme Sydney, New York et Los Angeles.
Pour revenir à votre passion, commencer le golf à 16 ans n'est-il pas trop tard pour percer?
Non, je ne vois pas de problème à ça. Bien sûr, il ne faut pas rester les bras ballants avant.
De quels sports avez-vous tâté avant de devenir le caddy de votre maman?
Je me suis essayé à beaucoup de disciplines comme le rugby, le football australien, la natation et même la pêche. Cela m'a donné un solide bagage.
Mais réussir à passer d'un premier handicap à scratch en deux ans n'est pas donné à tout le monde?
J'en conviens. Il faut travailler pour arriver. Je me suis souvent levé à 4 heures du matin pour aller en salle de musculation avant de passer toute la journée à taper des balles.
A 55 ans, est-ce toujours votre secret pour demeurer au contact des plus jeunes?
Je continue de m'entraîner et de jouer bien sûr. Mais je compense tout de même avec mon expérience.
Vous figurez toujours dans les meilleurs drivers du monde tant au niveau de la longueur que de la précision. Avez-vous perdu une partie de votre avantage en raison de l'avènement des clubs en matériau composite?
Je ne le pense pas. Il faut s'adapter aux nouvelles technologies. Et je m'en suis bien sorti de mon côté.
Les tourments connus par Tiger Woods ont-ils terni l'image du golf?
Je ne le pense pas. Cette histoire aurait très bien pu survenir dans un autre sport. Le golf ne souffre pas en raison des affaires extraconjugales du numéro un mondial.
A ce propos, croyez-vous encore aux chances de Tiger Woods de gagner des tournois majeurs?
Je vous rassure, Tiger Woods n'est pas fini pour le golf. Il va revenir à son meilleur niveau. A mon avis, sa première victoire n'est qu'une question de temps. Simplement, il ne suffit pas de claquer les doigts pour gagner.
Tiger Woods a beaucoup fait pour promouvoir le golf. Pensez-vous que le feu vert donné par le CIO au golf pour faire son entrée lors des JO 2016 de Rio de Janeiro est une bonne chose?
Ce n'est pas qu'une bonne chose. Le golf aux JO, c'est merveilleux! J'ai ressenti comme une victoire cette décision. J'ai espéré très longtemps participer aux Jeux. Ce ne sera pas mon cas, mais je me réjouis de savoir que d'autres joueurs de tous les horizons posséderont cette chance. Le golf est vraiment un sport universel. Il est joué par toutes les races sur tous les continents. Après le Japon, la Corée du Sud et la Chine connaissent un engouement incroyable.
Ce qui n'empêche pas que le golf connaisse des moments difficiles suite à la crise. Après avoir gagné plus de 15,5 millions de francs dans les tournois, comment acceptez-vous les baisses des primes?
Je peux m'en accommoder parfaitement. Dans des moments difficiles, tout le monde doit effectuer des sacrifices. Ne serait-ce que par respect pour tous les citoyens et contribuables qui souffrent durement.
Avez-vous encore du temps pour d'autres passions que le golf?
Je me réserve toujours quelques bons moments. J'adore les voitures, la vitesse et la pêche.
A ce propos, votre surnom est le «grand requin blanc». En avez-vous déjà pêché un?
Non, mais je me suis déjà retrouvé en face de lui. Il m'arrive de plonger et j'en ai rencontré au large des côtes de mon pays. Ce qui ne m'empêche pas d'être toujours en vie et d'être en face de vous.
foot
Entraînement des Bleus: Zidane en renfort
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Zinédine Zidane s'est présenté en short et haut de survêtement à l'entraînement de l'équipe de France mercredi matin à Clairefontaine, participant à un tennis-ballon avec Laurent Blanc, devant environ 300 personnes..
le 01 septembre 2010
LeMatin.ch & les agences
L'ancien meneur des Bleus, souriant, svelte, s'est entretenu durant l'échauffement des joueurs avec le nouveau sélectionneur, Laurent Blanc (qui fut son partenaire chez les Bleus), ses adjoints, dont Alain Boghossian, et Fabien Barthez, consultant de luxe en équipe de France pour les gardiens (pige commencée du temps de Raymond Domenech, l'ancien sélectionneur).
Puis "ZZ" a participé sous un beau soleil à un tennis-ballon dans un trio avec Philippe Mexès et Alain Boghossian, avec pour adversaires Fabien Barthez, Laurent Blanc et son adjoint Jean-Louis Gasset. Quelques "Zizou!" et "la bise à Fabien!" (Blanc embrassait le crâne de Barthez avant les matches en équipe de France) ont fusé du public.
Les autres joueurs de l'équipe de France ont aussi effectué des petits matches de tennis-ballon durant cette séance matinale, sans autre exercice.
Zidane a ensuite été signer des autographes devant le public agglutiné derrière une rambarde.
Zizou devait repartir dans l'après-midi en avion pour Madrid. La Poste devait, à l'occasion de cette journée, remettre un chèque de 150.000 euros, issus de la vente de timbres spéciaux, à ELA (Association européenne contre les leucodystrophies), dont Zidane est le parrain.
La venue de "Zizou" était souhaitée par le nouveau sélectionneur pour passer un message fort sur l'importance du maillot national.
"Ce sera intéressant pour tout le monde et pour Zinédine Zidane aussi, avait expliqué mardi Laurent Blanc. Il pourra intervenir sur le terrain. Ce sera une séance plus technique et ludique, Zinédine pourra participer dans la manière d'aborder la séance ou, s'il veut carrément participer à la séance, il pourra le faire".
D'autres figures du football devraient venir à Clairefontaine dans les mois prochains, tout au long des qualifications pour l'Euro-2012, pour porter la bonne parole auprès des jeunes générations.
"L'Allemagne, meilleure équipe du monde avec l'Espagne"
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"Analyser le jeu allemand est assez facile", assurait Georges Leekens mercredi après l'entraînement "tactique" au Stade Fallon, où les automatismes défensifs des Diables ont été particulièrement travaillés.
"L'Allemagne beaucoup plus forte"
"Etablir un plan pour ne pas le subir, et surtout l'appliquer avec succès est malheureusement moins aisé. Mais on va quand même essayer. On veut avoir le contrôle de cette partie, et gagner. L'Allemagne réunit d'impresionnantes qualités physiques, de mobilité, d'organisation, d'intelligence et de créativité, surtout dans le chef d'Ozil. C'est actuellement la meilleure équipe du monde avec l'Espagne. Elle ne sous-estime jamais son adversaire. Elle le connaît même sous toutes ses coutures. Bref elle est beaucoup plus forte que nous, et par conséquent favorite. Mais cela ne veut pas dire qu'elle va s'imposer."
"L'exploit possible si..."
"On ne se laissera pas faire en tout cas. Si on ne commet pas d'erreur et qu'on parvient à marquer, l'exploit sera possible. Quand j'étais joueur", conclut Leekens avec humour, "j'affrontais meilleur que moi chaque semaine. Cela ne m'empêchait pas de gagner assez souvent..."
De Bruyne out
Optimiste, il n'en a toutefois pas fini avec les problèmes de blessures, au point d'avoir déjà compulsé sa liste de joueurs susceptibles d'être rappelés comme Haroun. De Bruyne est en effet définitivement "out" pour vendredi, Vermaelen a mal au dos, Dembele souffre aux ischio-jambiers, et Gillet a reçu un coup de Fellaini sur la cheville gauche
Farrar remporte la 5e étape de la Vuelta, Gilbert reste en rouge
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Tyler Farrar (Garmin) a remporté la 5e étape du Tour d'Espagne, disputée mercredi sur 198,8 km entre Guadix et Lorca. Il a devancé à l'issue d'un sprint massif l'Espagnol Koldo Fernandez (Euskatel) et le Britannique Mark Cavendish (HTC Columbia).
Wouter Weylandt a terminé 1er Belge à la 4e place. Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a conservé le maillot rouge de leader du classement général.
Le Remoucastrien, leader à la suite de sa victoire dans la 3e étape lundi, compte touau classement général 10 secondes d'avance sur les Espagnols Igor Anton et Joaquin Rodriguez.
Jeudi la 6e étape conduira les coureurs sur 151 km entre Caravaca de la Cruz et Murcie.
Sébastien Chabal, parrain de luxe des 24 heures de rugby à Athenaz
INTERVIEW | La manifestation aura lieu ce week-end au centre communal.
JEAN-ANTOINE CALCIO | 02.09.2010 | 00:00
Après une longue période d’absence, les 24 heures de rugby reviennent sur le devant de la scène. Sous la présidence de Laurent Garrigues. Et de quelle manière! Des équipes venues d’Ecosse, de France, d’Italie et de Suisse vont s’affronter ce week-end au centre communal d’Athenaz.
Les profanes ou les passionnés de l’Ovalie y retrouveront également de grandes personnalités du rugby, comme l’ancien international Olivier Magne et l’actuel entraîneur du XV de France Marc Lièvremont. Enfin, signe de son retentissant renouveau, la manifestation est parrainée par l’ancien conseiller fédéral Adolf Ogi et l’international tricolore Sébastien Chabal.
Véritable icône du ballon ovale dans l’Hexagone, le Français demeure un homme affable et disponible, prêt à payer de sa personne pour le sport qu’il affectionne. Son implication évoque une belle histoire d’amitié. «En fait, c’est Alain Studer, l’un des membres du comité d’organisation, qui m’a contacté. Nous avons joué ensemble à Bourgoin-Jallieu dans le gotha français. Nous avons sympathisé et on se débrouille pour se voir de temps en temps. C’est lors de l’une de nos rencontres qu’il m’a parlé des 24 heures. J’ai accepté de les parrainer, car je considère que c’est ce genre d’initiative de promotion du rugby qu’il faut soutenir.»
Sébastien Chabal, serez-vous présent à Athenaz ce week-end?
Je le souhaite évidemment. Mais mon club, le Métro Racing Paris, doit disputer trois matches cette semaine. Je ne vais pas les jouer tous. Mais je ne connais pas encore la décision de notre entraîneur…
Un tel événement existe-t-il en France?
Pas à ma connaissance, mais je suis tellement occupé par mon rôle de joueur, que je ne connais naturellement pas tout de ce qui se passe dans le rugby de base en France.
Que pensez-vous du rugby suisse?
Je me contenterai de répondre qu’il me paraît plutôt discret.
Pourtant des cadets de l’entente Genève-Saint-Julien sont devenus champions de France au début des années 2000…
Je l’ignorais. Mais bravo, c’est un bon début… (rires)
Comment ressentez-vous votre célébrité?
D’abord, je crois que ça découle du nouveau statut qu’a acquis le rugby professionnel. Et de sa médiatisation au travers de très nombreux matches nationaux ou internationaux. Il est possible que mon look y soit aussi pour quelque chose. Je suis d’un naturel plutôt casanier et j’essaie de passer le plus de temps possible avec mon épouse et mes deux filles. Mais, à vrai dire, je vis ça assez bien. Je suis sollicité pour beaucoup d’événements et c’est bon pour l’image du rugby et du sport en général. La plupart du temps, les gens sont très sympas. Il faut juste éviter de tomber dans les excès du genre people.
Et votre carrière sportive?
Mon contrat avec le Métro Racing court jusqu’en juillet 2011. J’aurai 34 ans et demi à ce moment et je discuterai avec les dirigeants pour savoir si nous sommes d’accord pour le prolonger. En ce qui concerne le XV de France, j’espère conserver ma place dans le groupe et ainsi disputer la Coupe du monde en 2011 en Nouvelle-Zélande.
Et si on parlait justement du XV de France…
Je crois qu’il arrive peu à peu à maturation. Ce contingent de 35 joueurs est bon, solidaire et il défend les mêmes valeurs. Je pense que le message de l’entraîneur y est pour beaucoup. En tout cas, je le ressens bien personnellement. La dernière tournée d’automne avait constitué une douche froide, mais le Grand Chelem réalisé lors du dernier Tournoi des six nations a conforté notre confiance. Il reste une année avec tous les impondérables qui peuvent survenir. Mais je crois que nous possédons les moyens pour réussir un bon Mondial.
TENNIS
La vie interdite de Sania Mirza
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Sania Mirza est très entourée quand elle se déplace dans son pays. Elle ose des tenues légères, malgré les menaces d'extrémistes. Mais cette situation porte préjudice à son tennis.
Mariée à un Pakistanais, ouvertement effrontée, la jeune Indienne est persécutée par des autorités morales et politiques. Elle n'exclut pas d'arrêter sa carrière.
Christian Despont - le 02 septembre 2010, 11h07
Le Matin
US Open
Sania Mirza a cheminé jusqu'au court No 13 sans gardes du corps, nappée d'un ensemble fuchsia au calibrage chiche. Son entourage lui a conseillé d'en changer, à tout le moins de l'étoffer. Mais l'effronterie n'attend pas le nombre des années et, à 23 ans, la jeune mariée moule ses formes, sans penser au fond. «C'est ma vie, j'en ai assez que des intellectuels se l'approprient.»
Depuis cinq ans, la jeune Indienne est l'objet d'une fatwa, la deuxième dans l'histoire du sport après que, en 1984, un groupe islamiste a menacé l'athlète marocaine Nawal el-Moutawakel. Il y a bien longtemps, dans le tennis, que les joueuses ne portent plus les tricots boutonnés de Margaret Court, et qu'une oeillade n'est plus considérée comme un dérèglement moral. Mais «l'islam, lui, n'autorise pas une femme à porter des jupes, des shorts et des hauts sans manches», a expliqué l'ouléma sunnite Haseeb-ul-hasan Siddiqui, instigateur de la fatwa.
Sania Mirza, avec ses corsages serrés et sa langue bien pendue, ses pieds nus posés aux côtés d'un drapeau indien, son spot publicitaire dans une mosquée, ses débardeurs barrés de slogans égrillards («Les femmes bien élevées entrent rarement dans l'histoire», «Soit vous êtes d'accord avec moi, soit vous avez tort»), avec ses tenues ou, plus exactement, son manque de tenue, est devenue un renégat, une chipie, un tort moral.
Ce n'est pourtant pas une mauvaise fille. Son entourage la confirme pieuse, croyante pratiquante, élevée dans une famille bourgeoise et dans le respect des préceptes. Elle prie plusieurs fois par jour. Un peu menue (1,53 m), un peu ingénue, «elle est très déterminée, plus que la moyenne des gens ordinaires», assure son agent, le joueur de double Maesh Bupathi.
Mais Sania Mirza est aussi une fille de son âge, elle aime Bratt Pitt et Eminem, le cricket et la natation, les glaces et les frites, elle a des amis de tous horizons, même en Valais, avec le spécialiste du double Yves Allegro.
Elle a aggravé son cas le printemps dernier lorsque, dans un contexte politique extrêmement tendu, elle a épousé un Pakistanais, une star du cricket, au cours d'un mariage transfrontalier et fastueux. Le parti nationaliste extrémiste Shiv Sena la menace maintenant d'exclusion: «Sania Mirza ne montre aucun respect pour les femmes de ce pays. Elle n'est plus Indienne. Si elle l'avait été au fond de son coeur, elle n'aurait pas épousé un Pakistanais. Elle ne nous représentera pas aux Jeux olympiques de Londres.»
Elle n'est en paix nulle part
Le couple a diffusé un communiqué: «Nous nous sommes mariés. Ce n'est pas une déclaration politique, mais une information: nous nous sommes mariés.» La joueuse refuse de renforcer sa sécurité, lasse de répondre de tout, bien décidée à retrousser les manches, et jusqu'aux épaules, devant la pugnacité des autorités morales et politiques. Roger et Mirka Federer musardaient seuls sur Madison Avenue mardi soir, mais Sania Mirza, quand elle sort, n'est en paix nulle part. «Peut-être que oui, peut-être que non. Je n'ai pas envie de le savoir», répond-elle à une télévision anglaise.
Elle fut la première joueuse de son pays à remporter un tournoi WTA, puis à passer deux tours en Grand Chelem. Elle fut même un peu tout, première Indienne du Bottin mondain, figure iconique de l'émancipation féminine, curiosité physiologique du tennis moderne. Il a fallu entourer sa maison d'un cordon de police, pour contenir les admirateurs. Deux individus ont été arrêtés dans une rue adjacente, pour avoir envoyé des SMS obscènes.
Alors Sania Mirza a encore perdu, fatalement, au premier tour de l'US Open, balayée 6-2 6-4 par la Russe Pavlyuchenkova. La joueuse se vautre dans l'illusion que sa vie lui appartient encore, sourire aux lèvres et robe légère, tandis qu'elle est retombée à la 159e place mondiale, loin de tout, après avoir atteint le top 30 à seulement 18 ans.
;)Que l'on lui fiche la paix.............:langueŽ:Vraiment ces pays......
cyclisme
C'est quoi, ce maillot rouge?
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Tour d'Espagne Lorca Fabian Cancellara rêvait de l'endosser. De passer au rouge après le jaune et sans que cela le prive de... permis de conduire. Tard samedi passé, dans les rues de Séville, le champion olympique et triple champion du monde du contre-la montre.
Pour les 75 ans de la Vuelta, les patrons ont changé la couleur du maillot de leader.
Laurent Guyot
Le Matin
Tour d'Espagne
Lorca
Fabian Cancellara rêvait de l'endosser. De passer au rouge après le jaune et sans que cela le prive de... permis de conduire. Tard samedi passé, dans les rues de Séville, le champion olympique et triple champion du monde du contre-la-montre est passé à côté d'un nouveau maillot distinctif.
Un chrono par équipes remporté par les HTC-Columbia de Mark Cavendish, qui avaient déjà connu leur heure de gloire dans ce même genre d'exercice lors de l'étape inaugurale du Giro 2009 au Lido de Venise. Un premier maillot rouge donc, que Javier Guillen a remis au bad boy et meilleur sprinter de la planète. Une tunique qui doit marquer les esprits de tous les supporters pour les 75 bougies de ce troisième grand tour national juste derrière le Giro et bien sûr la Grande Boucle.
De l'orange à l'or
La Vuelta, qui avait trouvé sa place dans le calendrier international dès le printemps 1935 grâce à Clemente Lopez Doriga appuyé par Juan Pujol, patron du quotidien Informaciones. Pour ne pas reprendre le jaune et le rose déjà pris, respectivement, par le Tour de France et le Tour d'Italie, un maillot orange récompensera le Belge Gustaaf Deloor, vainqueur en 1935 et 1936, avant une première interruption due à la guerre civile. Par la suite, la couleur du maillot réservé au leader du classement général n'a pas cessé de changer, passant de l'orange au blanc après un blanc orné d'une bande horizontale rouge.
Ce n'est qu'en 1955 que la Vuelta ressuscitée choisit de jaunir sa tunique. La même que celle du Tour de France, dont la société ASO a acquis 49% du capital d'Unipublic, organisateur de l'épreuve. Un jaune qui passera même à l'or (jersey de oro) en 1998 pour l'unique sacre d'Abraham Olano. Avant que le nouveau directeur Javier Guillen souhaite innover avec ce maillot rouge. «Ce changement veut marquer les 75 ans d'existence, date symbolique, de la Vuelta.»
France: en jaune depuis 1919
Créé en 1903 par Henri Desgranges et le journal L'Auto, le Tour de France attendra une bonne quinzaine d'années avant d'inaugurer la mode des maillots distinctifs dans les épreuves par étapes. Il faudra même que les journalistes insistent auprès du fondateur pour voir la première tunique de chef de file voir le jour.
Le patron de l'épreuve choisira, sans surprise, le jaune en référence à la couleur du papier sur lequel est imprimé L'Auto. Le 18 juillet 1919, l'événement se produit à Grenoble. Cet honneur revient à Eugène Christophe d'endosser le tout premier maillot jaune lors de la 11e étape menant du chef-lieu du département de l'Isère à... Genève sur 325 km! Un peu plus tard, le Belge Philippe Thys, vainqueur de la Grande Boucle en 1913, 1914 et 1920, révélera qu'en 1913 Henri Desgranges lui avait proposé de revêtir un maillot jaune. Faute de preuves mais aussi de témoins, cette affirmation restera une légende.
football
Domenech, ce serait lui la taupe!
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Raymond Domenech
Trois joueurs de l'équipe de France accusent l'ex-sélectionneur d'être celui qui a informé le journal «L'Équipe» des propos tenus à son égard par Nicolas Anelka, à la mi-temps de France - Mexique.
Rédaction online - le 02 septembre 2010
LeMatin.ch & les agences
Dans son édition de jeudi, l'hebdomadaire «Le Point» dévoile le contenu du rapport de la mission d'information de la Fédération française de football (FFF) qui était chargé de faire la lumière sur la grève de l'entraînement des Bleus lors du Mondial sud-africain, à Knysna.
Dans ce rapport, Raymond Domenech serait désigné par trois joueurs comme étant la taupe qui a révélé aux médias les propos de l'attaquant Nicolas Anelka à la mi-temps de France - Mexique.
Des accusations que l'ex-sélectionneur des Bleus a bien évidemment démenties devant la commission de discipline de la FFF.
:diable:Le rat certainement........
:)Une exeption pour NOFOOT
motocross
Bill en vedette genevoise
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C’était il y a cinq ans: pilote officiel KTM en MX3, Julien Bill s’était classé 3e du mondial. A Sézegnin, le week-end prochain, il rêve de triompher
La finale du championnat du monde MX3 se déroule ce week-end à Sézegnin. Et Julien Bill, pigiste de luxe, rêve d'y faire un cadeau à son papa
Jean-Claude Schertenleib
Le Matin
Genève et le motocross mondial, c'est une vieille et belle histoire. Avec ses stars - comme Jean-Michel Bayle, qui avait remporté au Bout-du-Monde son premier titre mondial en 1988 -, ses rêves, ses tensions. Ses joies et ses déceptions.
Finale en MX3
Genève et le cross mondial? Le prochain rendez-vous est programmé à samedi et dimanche, à l'occasion de la finale du championnat MX3 (les grosses cylindrées). Et la belle histoire du week-end, c'est Julien Bill qui veut l'écrire.
«Le team allemand KTM, pour lequel je termine le mondial MX1 (Bill a divorcé d'Aprilia en cours de saison, ndlr), va me confier une moto pour l'événement. Pour moi, ce sera un retour aux sources, puisque c'est en MX3 que j'ai connu mes plus beaux succès (troisième du mondial 2005). Et inutile de préciser que la motivation est décuplée, puisque je roulerai devant mon public», confie le Genevois.
Un rêve secret
Julien Bill ne cache pas ses ambitions: «Gagner le GP. Jamais un Suisse ne s'est imposé en mondial à Genève. Et puis j'aimerais tant offrir un joli cadeau à papa.»
Car Julien Bill sans Richard, ce n'est pas tout à fait la même chose. Et Richard a connu, ces dernières semaines, de sérieux soucis physiques, qui le tiennent désormais éloigné des terrains de cross. «Alors, oui, si je pouvais lui dire bonjour depuis la plus haute marche du podium, dimanche, ce serait formidable», reprend son rejeton.
Pigiste de luxe dans une catégorie qui va changer de statut l'an prochain (la classe MX3 deviendra amateur en 2011). C'est dire que le vainqueur, ce week-end, entrera forcément dans l'histoire!
en 1988 j'i etait pour le sacre de jean michel bayle sur ce circuit
US OPEN
John Isner, l'étalon de mesure
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Pour certains, John Isner et ses 2,06 m représentent l'avenir du tennis.
L'Américain dégingandé est le plus grand joueur du tournoi. Après l'avoir toisé avec hauteur, des experts le présentent comme le prototype du gabarit moderne.
Christian Despont - le 02 septembre 2010
Le Matin
New York
Il serre la main de l'arbitre sans lever le bras, ou à peine. Il culmine à 2,06 m et, pourtant, il ne manque pas d'air: «Mon horizon est sans limites.» Tel est John Isner, futur adversaire du Bâlois Marco Chiudinelli, héros du match le plus long de l'histoire (11h05).
A son intrusion sur le circuit, voix caverneuse échappée d'un quintal obscur, beaucoup l'ont toisé avec hauteur, comme un phénomène de foire. Cet Américain dégingandé, ATP 876, était sommairement équipé d'un tennis monosyllabique - pan! Il avait un problème de taille: sa corpulence ne lui servait à rien, sinon à servir. John Isner lui-même doutait tant de ses capacités que, à 18 ans, il a passé un diplôme en communication.
Attention au break
A la lumière de ses progrès fulgurants (ATP 18), des cénacles en viennent à reconsidérer leur position, non plus sous l'angle technique, mais physiologique: John Isner y est présenté comme le prototype du joueur moderne, taillé pour servir et entraîné à bondir. «Les géants d'aujourd'hui développent des aptitudes insoupçonnées. Leurs balles pèsent une tonne. Leurs corps se meuvent avec grâce. Le tennis est devenu leur terrain de jeu», observe Darren Cahill, ancien coach d'Andre Agassi, dans le New York Times.
Avec son double mètre, John Isner prend la mesure de ses adversaires, indifférent, ténébreux, avec la minutie d'un croque-mort. «Je déteste ce type de joueur, avoue Gaël Monfils. On ne voit jamais partir la balle, jusqu'au moment où elle vous explose à la figure. Si le mec monte au filet, il lui suffit de tendre le bras; aucune place pour passer. Le pire est que ces grands gaillards progressent. Contre Isner, à 0-30, tu es mal. Tu sais que si tu concèdes le break, c'est mort. Tu ne le récupéreras pas.»
Et subsiste cette impression d'opacité, d'autarcie, qui transpire de John Isner ou Ivo Karlovic (2,08 m). Jamais leur double mètre n'est plié en quatre. Jamais ils ne prennent une bière avec un rival - ils ne boivent pas après le service. De là-haut, au sommet de leur art peu accessible, ils soufflent le chaud et le froid. Vue imprenable sur le carré de service adverse: «Mais pourquoi ont-ils le droit de servir depuis un arbre», s'est étranglé Todd Martin.
John Isner possède un service canon et un surnom adéquat, «la Grosse Bertha», annoncé au son du clairon comme le péril jeune du circuit ATP. Est-il pour autant son avenir? «Je n'y crois pas du tout, affirme Stanislas Wawrinka. Voilà des années que des experts prédisent le retour du service-volée et pensent que les grands domineront le tennis. La réalité du terrain demeure très différente.»
Le joueur de tennis, comme le genre humain, a grandi, en moyenne, de 10 cm depuis les années 1960, où les champions mesuraient entre 175 et 183 cm. Les serveurs deviennent toujours plus forts, mais, implicitement, ils font progresser d'autant les retourneurs. Et les grands, souvent, cassent: Juan Martin del Potro (1,98 m), Ivo Karlovic sont forfaits à l'US Open, tandis que John Isner avoue souffrir d'une déchirure ligamentaire à une cheville.
Torsions violentes, répétition des efforts usante, les géants sont mis à mal. Et toujours dominés par Rafael Nadal, 1,85 m.
Tennis
US open: Roger Federer passe le 2e tour sans forcer
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Roger Federer inaugurait pour l’occasion sa tenue de jour (un polo bleu clair et un short gris-olive).
Roger Federer (no 2) a assuré l’essentiel jeudi à l’US Open: s’imposer en trois sets (6-3 6-4 6-3) au 2e tour face à Andreas Beck (ATP 104), sans trop s’attarder dans la fournaise du stade Arthur Ashe (101’ de jeu).
le 03 septembre 2010, 06h12
LeMatin.ch & les agences
Le Bâlois faisait forte impression en début de match, s’adjugeant les cinq premiers jeux en 14’ pour marquer son territoire. La suite était moins brillante pour le quintuple vainqueur du tournoi (2004- 2008), qui a éprouvé bien des difficultés à relancer le puissant service du gaucher allemand. Il n’avait cependant pas grand-chose à craindre d’un joueur qui avait fêté sa première victoire de l’année sur un court en dur au 1er tour face à Michael Berrer (ATP 49).
Roger Federer, qui inaugurait pour l’occasion sa tenue de jour (un polo bleu clair et un short gris-olive), ne concédait qu’une seule fois son engagement - à 5-1 dans le premier set - malgré un pourcentage de premières balles plutôt faible (54 %). Le principal atout du Bâlois, tout de même auteur de 15 aces, était bien sa régularité: il ne commettait que 18 fautes directes face à un joueur dont l’énorme prise de risques n’a pas vraiment payé.
La promenade de santé devrait se poursuivre au tour suivant pour l’homme aux 16 trophées du Grand Chelem, qui affrontera un Français: Paul-Henri Mathieu (ATP 109), qu’il a battu à quatre reprises en quatre face-à-face, ou l’invité Guillaume Rufun (ATP 206), qu’il n’a encore jamais affronté. Ancien no 12 mondial, Paul-Henri Mathieu s’était offert le scalp de Lleyton Hewitt (no 32) au 1er tour.
qualifications euro 2012
L'Angleterre a enfin un gardien
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Joe Hart réalise un début de saison tonitruant avec Manchester City.
Le portier de Manchester City, Joe Hart, tentera de faire oublier Robert Green ce soir à Wembley.
le 02 septembre 2010, 23h26
LeMatin.ch & les agences
Groupe G
L'Angleterre entame sa campagne de qualification de l'Euro 2012 en recevant la Bulgarie ce soir à Wembley, quatre jours avant d'affronter la Suisse à Bâle. Ces deux matches revêtent une énorme importance pour le sélectionneur Fabio Capello.
Sous pression après le retentissant couac de la Coupe du monde, l'Italien n'a pas le droit à l'erreur. Partie en Afrique du Sud avec de grosses ambitions, l'équipe d'Angleterre y a montré un visage très décevant. Fébrile en défense, peu créatrice à mi-terrain, inoffensive en attaque: en gros, rien n'a joué. Les vedettes anglaises, calcinées après une longue saison, ont traversé la compétition comme des ombres.
C'est dire que le sélectionneur italien des Three Lions ne manque pas de questions à résoudre. Heureusement pour lui, il semble avoir au moins trouvé une solution pour le poste de gardien, problématique depuis des années. Joe Hart, qui réalise un début de saison tonitruant à
Manchester City, sera désormais le titulaire.
Travailler sur la charnière centrale
La défense, et notamment la charnière centrale, constitue un autre chantier. Terry et Ferdinand, vieillissants et qui sont de plus en plus souvent blessés, ne seront pas là, tout comme d'ailleurs mardi prochain à Bâle contre la Suisse. Quel duo Capello choisira-t-il face aux Bulgares? Upson, Jagielka, Dawson et Cahill entrent en considération, les deux premiers partant avec un léger avantage. Formation offensive
L'animation offensive fait également débat. Cette fois, Lampard étant aussi forfait, Steven Gerrard aura seul les clés du jeu anglais. «Nous savons que nous sommes sous pression après notre échec à la Coupe du monde. Il faut donc repartir du bon pied cette fois et réaliser une bonne performance avant d'aller en Suisse», a expliqué le capitaine anglais.
Selon la presse, Capello pourrait aligner au coup d'envoi une formation résolument offensive disposée en 4-3-3, avec le trio Milner, Gerrard et Barry à mi-terrain. Rooney, en position d'avant-centre, aurait le soutien sur les côtés de Walcott - très en forme depuis sa non-convocation pour la Coupe du monde - et Adam Johnson, la révélation de Manchester City.
Les supporters anglais espèrent surtout que Wayne Rooney se rapprochera enfin de son meilleur niveau, après une Coupe du monde indigne de son talent. Crouch blessé, les alternatives ont pour nom Jermaine Defoe ou encore Darren Bent.
Groupe D: Laurent Blanc veut que les Bleus chantent la «Marseillaise»
Sans dévoiler la formation qui débutera contre la Biélorussie les éliminatoires de l'Euro 2012 ce soir à Saint-Denis, Laurent Blanc a révélé hier qu'il apprécie énormément Jérémy Menez, le milieu de terrain de l'AS Roma, qu'il entend mettre «de la taille» sur coups de pied arrêtés pour que la France redevienne efficace dans ces actions de jeu, et confirmé qu'il fera confiance à la charnière centrale Philippe Mexès- Adil Rami, alignée pour sa prise de fonction contre la Norvège le 11 août dernier.
S'il n'a toujours pas définitivement choisi son capitaine, Blanc a laissé entendre qu'il s'agira certainement d'un joueur au rôle défensif, qui par cette position a une vision globale du jeu. Quant à Karim Benzema, l'attaquant, qui souffre depuis lundi de la cheville droite, a encore été ménagé lors de l'entraînement d'hier.
«Il va mieux, on a passé des examens médicaux supplémentaires qui n'ont rien révélé de très grave, mais la douleur est encore là, avait précisé un peu plus tôt le sélectionneur Laurent Blanc.
A nous de faire un choix judicieux pour ne pas aggraver sa blessure. On prendra une décision demain matin pour savoir si on peut l'aligner ou l'inscrire sur la feuille de match.»
L'attaquant du Real Madrid avait été touché à la cheville droite lundi lors du premier entraînement effectué à Clairefontaine et est resté aux soins depuis cette date.
Laurent Blanc a aussi déclaré qu'il avait incité les joueurs à chanter la «Marseillaise» avant le coup d'envoi des matches des Bleus et leur avait distribué les paroles de l'hymne national. «Les gens sont très sensibles à ce sujet, a-t-il affirmé. Personnellement, j'ai incité les joueurs à chanter la «Marseillaise». Je leur ai donné les paroles parce que certains d'entre eux ne connaissaient pas les paroles et ne pouvaient pas la chanter. Après, chacun est libre de faire ce qu'il veut. Ils savent ma façon de penser: si on connaît l'hymne national de son pays, il est préférable de le chanter.»
FOOTBALL
Didier Ollé-Nicolle : «L’aspect humain a fait la décision»
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Le Français Didier Ollé-Nicolle (49 ans) a dirigé son premier entraînement à la tête de NE Xamax. Interview.
Renaud Tschoumy - le 02 septembre 2010, 23h19
LeMatin.c
Didier Ollé-Nicolle, vous venez de vous lier à NE Xamax jusqu’à la fin de la saison avec option pour une année supplémentaire. Pourquoi ce choix?
Après mon éviction de l’OGC Nice, au printemps dernier, je voulais prendre du recul, ne pas me précipiter et choisir le bon club. La proposition xamaxienne est survenue alors que j’étais en phase de réflexion, puisque d’autres clubs avaient pris langue avec moi (ndlr.: notamment le WAC Casablanca, Southampton et Grenoble). Mais j’ai été emballé par les contacts que j’ai eus avec le président Bernasconi au téléphone, puis avec le directeur sportif Paolo Urfer. A la fin, c’est l’aspect humain qui a fait la décision. De tous les clubs qui me courtisaient, Neuchâtel est celui qui me semble le plus adapté à ce que je recherche.
Votre nouvelle équipe est mal classée, votre président a annoncé qu’il ne prolongerait pas son mandat: le temps n’est pas au beau fixe du côté de Neuchâtel…
S’il l’avait été, on ne serait pas venu me chercher! Le challenge me séduit. Même si j’ai toujours travaillé en France, j’ai toujours eu un œil sur le championnat suisse.
Votre nouvelle équipe?
Je la connais un petit peu. Elle a connu un début de compétition un peu compliqué, mais avec de bonnes périodes dans chaque match. Et les scores étaient la plupart du temps très serrés. Mon objectif, mon premier message aux joueurs, a été: on repart à zéro, on repart en mission. Je leur demanderai beaucoup de travail, mais aussi beaucoup d’enthousiasme, pour inverser la spirale des résultats. Il y a de la qualité, et j’aurai un rôle d’observateur jusqu’à lundi, avant de mettre ma patte dans le travail.
Quelles sont vos idées?
Je suis un adepte de la défense de zone à quatre défenseurs. Le reste peut être à géométrie variable. Je vais devoir composer avec un groupe existant, et chercher à en tirer le meilleur. Avec moi, tous les compteurs sont remis à zéro. Aux joueurs de me montrer qu’ils méritent de jouer, de se remettre en cause et de se prendre en main. Le foot n’est beau que lorsqu’on est dans une dynamique de victoires, mais il ne faut pas croire que celles-ci tomberont du ciel. Je veux voir un vrai esprit de commando chez mes joueurs, à qui je ne ferai pas de cadeaux.
La montre de Nadal à 300.000€ volée
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/16/0/media_xl_3854715.jpg?20100902113155
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/5/6/media_l_3854721.jpg?20100902113436
Rafael Nadal a signé début mai un contrat de sponsoring avec Richard Mille, une société qui vend des montres pour le moins onéreuses. Le phénomène du tennis espagnol a reçu un exemplaire valant de 300.000 euros. Un bijou qu'il a montré à Roland-Garros et Wimbledon, notamment. Malheureusement, l'Espagnol a perdu son joyau après seulement trois mois. Lors du tournoi de Toronto (mi-août), quelqu'un lui a volé sa montre.
La "RM 027 Tourbillon" a spécialement été développée pour "Rafa". Seulement 50 exemplaires existent dans le monde. La montre en titane pèse moins de 20 grammes, l'une des plus légères jamais fabriquées. Nadal doit désormais s'en passer. Il n'a pas l'air de s'en porter plus mal puisqu'au premier tour de l'US Open, il a battu le Russe Teimuraz Gabashvili en trois sets: 7-6, 7-6, 6-4. (Ch.D.)
Yanina Wickmayer qualifiée pour le 3e tour de l'US Open
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/7/5/media_xl_3855845.jpg?20100603141742
Yanina Wickmayer a pris la mesure en deux sets de l'Allemande Julia Goerges au 2e tour de l'US Open de tennis, 4e et dernier tournoi du Grand Chelem de la saison, jeudi à New York. La joueuse belge, 18e mondiale et tête de série N.15, s'est imposée 6-4 et 7-5, devant une adversaire, classée 44ème mondiale, qu'elle avait déjà battue à deux reprises cette saison (Auckland et Indian Wells).
Après avoir mené 4-1 dans la manche d'ouverture, Wickmayer subissait la perte d'un jeu de service qui permettait à l'Allemande de revenir à 4 partout. Notre compatriote imposait toutefois sa domination en fin de set, breakant une 2e fois Goerges, pour empocher la manche 6-4 en 48 minutes.
Les deux joueuses remportaient ensuite chacune leurs jeux de service jusqu'à 6-5 en faveur de la Belge, qui gérait à nouveau mieux les moments importants pour clôturer sur le service de l'Allemande, après 50 minutes de jeu dans la 2e manche.
Au 3e tour, en seizièmes de finale, Wickmayer sera opposée à la Suissesse Patty Schnyder (WTA 53), tombeuse de Kirsten Flipkens au 1er tour, qui a dominé de son côté l'Espagnole Maria Jose Martinez Sanchez (WTA 24/N.22), par 7-6 (7/2) et 6-4.
Wickmayer, 20 ans, et Schnyder, 31 ans, ne se sont encore jamais rencontrées sur le circuit WTA.
http://www.youtube.com/watch?v=OgB-bMRK9K4&feature=player_embedded
On a atteint l'impensable au cours d'un match amical entre deux équipes de Karpathos (Grèce). Un joueur, après avoir pris son deuxième carton jaune, a craché au visage de sa victime avant de lui adresser un coup de pied dans le ventre. Le joueur a été transporté à l'hôpital avec une côte froissée. (Ch.D.):fou:
Stoner27
03/09/2010, 06h09
La montre de Nadal à 300.000€ volée
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/16/0/media_xl_3854715.jpg?20100902113155
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/5/6/media_l_3854721.jpg?20100902113436
Rafael Nadal a signé début mai un contrat de sponsoring avec Richard Mille, une société qui vend des montres pour le moins onéreuses. Le phénomène du tennis espagnol a reçu un exemplaire valant de 300.000 euros. Un bijou qu'il a montré à Roland-Garros et Wimbledon, notamment. Malheureusement, l'Espagnol a perdu son joyau après seulement trois mois. Lors du tournoi de Toronto (mi-août), quelqu'un lui a volé sa montre.
La "RM 027 Tourbillon" a spécialement été développée pour "Rafa". Seulement 50 exemplaires existent dans le monde. La montre en titane pèse moins de 20 grammes, l'une des plus légères jamais fabriquées. Nadal doit désormais s'en passer. Il n'a pas l'air de s'en porter plus mal puisqu'au premier tour de l'US Open, il a battu le Russe Teimuraz Gabashvili en trois sets: 7-6, 7-6, 6-4. (Ch.D.)
pfff elle est même pas belle sa montre:langueŽ::yes:
pfff elle est même pas belle sa montre:langueŽ::yes:
;)Ok mais combien de Ducati peux-tu t'offrir avec cette mochetée?:D:D
GOLF
Lundberg: un coup en or!
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/golf_20.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/golf_20.jpg)
Image © Keystone
Grâce à son coup parfait au trou No 3, Mikael Lundberg a remporté un trophée qu'il gardera précieusement.
Auteur d'un hole-in-one sur le trou No 3 long de 179 mètres, le Suédois de 37 ans a reçu un lingot d'or d'une valeur de 40'000 francs. Manassero génial.
Laurent Guyot - le 02 septembre 2010
Le Matiin
OMEGA European Masters
Crans-Montana
C'est le rêve de tous les golfeurs! Réussir à déposer sa balle dans le trou d'un seul coup trotte autant dans la tête des pros que dans celles de Mme et M. Tout-le-monde. Cet exploit, car s'en est un même s'il faut tout de même une part de chance, Mikael Lundberg s'en est fait l'auteur alors que le tournoi avait juste commencé. Sur le coup de 9h20, la clameur entendue loin à la ronde laissait augurer d'un fait marquant.
Modeste joueur du tour européen (11 cuts ratés lors des 20 tournois disputés à ce jour), le Suédois de 37 ans est allé rechercher sa balle dans le trou No 3 au terme de son premier coup. Un fer 6 et une balle qui vole plus de 170 m avant de rouler sur le green pour terminer dans un orifice d'un diamètre de 10 cm. A la clé: une belle récompense sous la forme du lingot d'or (valeur 40'000 francs) qui est offert au premier auteur de cette performance. Le Scandinave, auteur d'un départ de feu avec trois birdies (un coup en dessous du par) en plus de son hole-in-one sur les quatre premiers trous, est tout de même retombé de son petit nuage lors des neuf derniers trous (4 bogeys).
Ce qui ne l'a pas empêché de rendre une carte de 69 (-2) l'autorisant à envisager sa fin de semaine sur le Haut-Plateau. Observateur attentif de l'épreuve, Steve Rey, ancien pro devenu coach des jeunes pros helvétiques, s'est tout de même chargé de relativiser la portée de ce coup en un. «Lundberg ne prendra pas ce coup comme le sommet de sa carrière. Un hole-in-one, c'est un grand moment de bonheur qu'il faut absolument gérer de suite sous peine d'être sanctionné au prochain trou. Au moment de reprendre sa balle, il faut se dire que c'est fini.»
Chefs-d'oeuvre italiens
Cet éclair, le premier depuis 2007, dans le ciel bleu valaisan, a éclipsé en partie les chefs-d'oeuvre réussis tant par le jeune prodige italien de 17 ans Matteo Manassero (7 birdies) que par son aîné Edoardo Molinari (5 birdies). Un duo transalpin qui se méfiera quand même de l'Anglais Storm et du Finlandais Ilonen en embuscade.
Cyclisme
Hushovd en fin tacticien
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/cyclisme_32.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/cyclisme_32.jpg)
Image © Keystone
Thor Hushovd remporte la 6e étape à Murcie.
Le coureur de Cervélo est parvenu à décrocher les meilleurs sprinters pour s'imposer. Philippe Gilbert a attaqué sans succès. Il reste en tête du classement général.
le 02 septembre 2010, 22h21
LeMatin.ch & les agences
Tour d'Espagne
Murcie
Le Norvégien Thor Hushovd (Cervélo) a remporté au sprint la 6e?étape du Tour d'Espagne, entre Caravaca de la Cruz et Murcie (151 km). Cette levée reste sans incidence sur le classement général, le Belge Philippe Gilbert (Omega Pharma) restant leader de la course.
Cette nouvelle étape pour rouleurs avait pour seule difficulté l'ascension du col de 2e catégorie de la Cresta del Gallo, à 10 km de l'arrivée. Mais elle n'a pas permis de creuser des écarts entre les prétendants à la victoire finale, malgré une brève attaque sans conviction du leader au général, Philippe Gilbert.
Hushovd a devancé l'Italien Daniele Bennati et le Slovène Grega Bole sur la ligne, à l'issue d'un sprint massif du peloton. «Je connaissais cette montée et je savais que les meilleurs sprinters pouvaient être décrochés, donc j'ai gardé le contact avec les autres et, à la fin, l'équipe Cervélo a fait un supertravail pour moi. Je suis donc vraiment très, très content pour moi-même et l'équipe», a commenté le Norvégien.
Tout indique que l'étape très plate d'aujourd'hui, hormis un col de 3e?catégorie à 50?km de l'arrivée, entre Murcie et Orihuela (187,1 km), s'adjugera également au sprint.
Valérie Fignon : « Jusqu’au bout, Laurent n’a pas cru qu’il allait mourir »
PROPOS RECUEILLIS PAR LIONEL CHAMI | 03.09.2010, 07h00
Le moment est venu de dire un dernier adieu à Laurent Fignon, emporté mardi à 50 ans par le cancer (http://www.leparisien.fr/sports/cyclisme/laurent-fignon-un-champion-qui-avait-son-franc-parler-01-09-2010-1050511.php) qu’il combattait depuis un an et demi. Hier, Valérie Fignon, sa compagne depuis dix ans et sa femme depuis deux ans et demi, a reçu notre journal en toute simplicité dans leur maison des bords de Marne.
Là, quelques proches vont et viennent, prennent le temps d’un verre de vin ou de Coca. En jeans, Valérie, les yeux rougis mais le sourire facile, s’affaire aux préparatifs de la cérémonie d’aujourd’hui. A droite, à gauche, elle collecte des photos des exploits du champion, en maillot jaune ou rose, dont aucune ne figure évidemment à leur album personnel entamé en 2000.
Puis, le temps d’un bref aparté, Valérie accepte gentiment d’évoquer l’homme qu’elle aimait, la manière dont elle a perçu l’épreuve qu’ils ont traversée depuis le printemps (http://actualites.leparisien.fr/printemps.html) 2009. Simplement, courageusement et sans fard. Comme Laurent Fignon lui-même, fidèle à son poste de consultant de France (http://actualites.leparisien.fr/france.html) Télévisions sur les deux derniers Tours de France (http://actualites.leparisien.fr/france.html), avait décidé de montrer son cancer et d’en parler. Aujourd’hui à 13 heures, les obsèques du champion seront célébrées dans la plus stricte intimité au crématorium du cimetière du Père-Lachaise, à Paris (XXe).
A sa famille, « le Parisien » - « Aujourd’hui en France » présente ses condoléances les plus sincères.
Que s’est-il passé après le Tour de France ? La dégradation de l’état de Laurent était-elle prévisible ?
Valérie Fignon. Il s’agit d’une brusque dégradation. Le lendemain du Tour de France, il a fait un épanchement pleural. C’est de l’eau qui vient dans la poche de la plèvre. L’épanchement n’a pas pu être arrêté et les métastases se sont répandues très, très rapidement…
Laurent a donc été hospitalisé rapidement après le Tour…
Tout de suite. Il a subi des examens. Ensuite, Laurent est ressorti et nous sommes allés à Barcelone pour l’athlétisme.
Mais juste après, il a été réhospitalisé et il est resté trois semaines à l’hôpital.
Il a travaillé comme consultant sur les Tours 2009 et 2010 en étant malade. Qu’en pensiez-vous ?
Le premier a été éprouvant pour lui. Parce que, bizarrement, il était en moins bonne santé que cette année. C’était beaucoup de fatigue et de tension. Je pense que, quand vous êtes sous tension, la maladie se met en sommeil. Et après, elle revient au galop. Sur ce Tour-ci, il était en pleine forme. Il ne devait pas tout faire et il me disait au téléphone : « Je suis en pleine forme, pas la peine de rentrer, je continue ! » Et il était content de le faire. C’était une forme de thérapie. Il se sentait porté, il recevait énormément de messages d’affection et de soutien. Ça le portait.
Mais vous, vous ne craigniez pas que ça le fatigue au-delà du raisonnable ?
Si, si. Mais (grand sourire entendu)… Fort personnage. Il me disait de ne pas m’inquiéter.
Comment vous a-t-il appris la nouvelle de sa maladie au printemps 2009 et comment votre relation a-t-elle évolué à partir de là ?
Lui, il a été assez fataliste. Ça a été dur à encaisser. Pour moi aussi, qui ai eu beaucoup plus de mal que lui à m’en remettre. Mais il m’a dit : « On s’en sortira. Il y a plein de gens qui en guérissent. » Il avait l’espoir tout le temps, tout le temps, tout le temps. Cette année et demie où il a été malade, il y a eu des moments de tristesse, des moments de découragement, des moments de bonheur… J’ai maintenu mon emploi, même s’il y a eu une période difficile au tout début. Ça m’a fait du bien de sortir de la maison, de prendre l’air. Et lui pouvait se reposer. Mais ça a été très difficile. J’ai été très malheureuse. Lui a été courageux. Il y a cru jusqu’au bout.
Le fait de rendre publics son cancer et l’évolution de son état, c’était un choix délibéré de Laurent ou de vous deux ?
C’était un choix de sa part, parce qu’un cancer, ce n’est pas honteux. Et puis, de toute façon, comme nous l’avons su juste avant le Tour de France, il fallait bien prévenir les personnes avec lesquelles il travaillait. Il y a eu aussi la sortie de son livre. Tout est arrivé en même temps… Il y a eu une sorte de concours de circonstances et un tel déchaînement médiatique que Laurent a dit : « Je préfère expliquer plutôt que de subir. » C’est vrai que c’est surprenant de sa part, lui qui était si pudique. J’ai été surprise aussi, mais je pense que ça lui donnait une espèce de niaque pour lutter contre la maladie. Ça ne m’a pas gênée, mais je n’avais pas envie que ça aille trop loin. Je ne voulais que ça risque de choquer des gens. Au fond, il a bien fait parce que les gens sont mal à l’aise avec la maladie. Il y a tellement de malades qui travaillent, n’en parlent pas et souffrent en silence.
Ensemble, vous étiez-vous préparés à l’issue ?
Non, pas du tout. On l’envisage à l’annonce de la maladie, parce qu’on la sait mortelle. Mais on y croyait… Et il était tellement fort. Il se relevait de chaque problème. Si bien qu’on se disait : « Une tuile de plus, mais ça va aller… » Et puis là, non. Il a été complètement surpris.
Avez-vous eu le temps de vous dire au revoir ?
Non, parce que, jusqu’au bout, il n’a pas cru qu’il allait mourir. Ou alors, il le gardait pour lui. On a échangé plein de choses pendant cette année et demie. Ça a été très fort. Je me suis mise un peu entre parenthèses de mes amis et de ma famille pour me concentrer complètement sur lui. J’avais envie de passer du temps avec lui, même si c’était des moments silencieux. On a eu des moments de joie aussi, on a un peu voyagé.
Quelles vraies belles choses avez-vous partagées ces derniers temps ?
Noël ! Habituellement, ça se faisait plutôt dans ma famille et, là, on a décidé de réunir tout le monde chez nous à Paris. C’était un beau moment. Et puis, on a fait un beau petit voyage en Corse juste avant le Tour. La Provence aussi. On est allé aux Etats-Unis au printemps, à New York, mais c’était plus pour prendre un avis médical.
Vous avez partagé sa vie ces dix dernières années. Quel compagnon était-il ?
Je ne connaissais pas le champion. Je l’ai connu après. J’ai vraiment l’impression qu’il y a eu deux Laurent Fignon. Le coureur cycliste et celui de la vie d’après. Il était naturel, il était amoureux, généreux. Et puis râleur, tout le monde le sait. C’était un bon mari, quelqu’un sur qui on pouvait vraiment compter. J’ai passé de très, très bons moments avec lui. Il va me manquer.
La famille de Laurent Fignon souhaite qu’à la place des fleurs et des couronnes les personnes qui le désirent fassent un don à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière. Pour faire un don en ligne : www.icm-institute.org ou par chèque à l’ordre de ICM, CHU la Pitié-Salpêtrière, bâtiment Paul-Castaigne, 47-83, boulevard de l’Hôpital 75561 Paris Cedex 13.
;)Condoléances.
Golf
Le festival de Jimenez
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Image © Keystone
En rendant une carte de 61 (- 10), l’Espagnol a pris la tête du tournoi valaisan
Laurent Guyot - le 03 septembre 2010, 18h28
LeMatin.ch
Le chaud soleil de Crans-Montana a stimulé les ardeurs de Miguel-Angel Jimenez. Présent pour la 22e fois d’affilée sur le Haut-Plateau, l’Espagnol s’est payé le luxe de réussir deux eagles (2 coups en-dessous du par) en plus de six birdies pour prendre la tête du tournoi grâce à sa carte de 61. Tout simplement sur son nuage, l’homme au cigare a multiplié les coups d’éclat pour la plus grande joie des quelque 10 000 spectateurs venus suivre la compétition. Toujours placé mais jamais gagnant, cet épicurien de 46 ans disposera, avant les deux dernières rondes du week-end, d’un avantage de trois coups sur le duo italien composé du jeune prodige italien de 17 ans Matteo Manassero et d’Edoardo Molinari. Avec encore Mikko Illonen en embuscade, le spectacle méritera à lui seul le déplacement.
Tour d'Espagne
Vuelta: l'équipe britannique contaminée par un mystérieux virus
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/abc3a03.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/abc3a03.jpg)
Image © Lors de la deuxième étape de la Vuelta le 29 août 2010.
L'Espagnol Juan Antonio Flecha (Sky), hospitalisé dans la nuit de jeudi à vendredi en raison d'un virus qui affecte toute l'équipe britannique, a abandonné lors de la 7e étape de la Vuelta, a constaté l'AFP.
le 03 septembre 2010, 17h17
LeMatin.ch & les agences
Flecha a abandonné au km 126 de la 7e étape, entre Murcie et Orihuela, longue de 187 km.
Un porte-parole de Sky avait annoncé que Flecha serait bien au départ de la 7e étape malgré un séjour à l'hôpital dans la nuit de jeudi à vendredi.
"Le Catalan a été admis cette nuit dans un hôpital de Murcie (sud-est) et est resté en observation jusqu'à 03H00 du matin (01H00 GMT) en raison d'un virus dont souffre l'équipe Sky et qui a déjà contraint à l'abandon John Lee Augustyn et Ben Swift", a indiqué le porte-parole dans un communiqué.
"Les médecins ont recommandé à Flecha d'abandonner la course s'il avait toujours de la fièvre et des nausées", a-t-il ajouté.
L'équipe Sky a pour l'instant écarté la piste de l'intoxication alimentaire, précisant que l'un des membres de l'encadrement était toujours hospitalisé à Séville (sud), ville de départ de la 1re étape le samedi 28 août.
...on a atteint l'impensable au cours d'un match amical entre deux équipes de Karpathos (Grèce). Un joueur, après avoir pris son deuxième carton jaune, a craché au visage de sa victime avant de lui adresser un coup de pied dans le ventre. Le joueur a été transporté à l'hôpital avec une côte froissée. (Ch.D.):fou::boutons:
Vive le sport !!
Une défaite positive pour les Diables
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Bien servi par Müller, Klose a été sans pardon devant Bailly.
Si les Diables ont retrouvé une équipe, une âme, une organisation et de la confiance, ils ont également renoué avec la défaite (0-1, mi-temps: 0-0). L'Allemagne, pas encore à son vrai niveau (celui du Mondial 2010), a profité d'une erreur de Van Buyten (mauvaise relance devant Schweinsteiger) pour marquer via Klose (assist de Müller). Prochaine étape pour les hommes de Georges Leekens: en Turquie, mardi prochain.
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Simons a réussi son retour.
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Parfois trop individualiste, Hazard aura alterné le bon et le moins bon.
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Tout ça sous les yeux et le sourire de M. Keersmaecker.
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C'était la grosse ambiance au stade Roi Baudouin.
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Il manque encore quelque chose à Lukaku pour peser dans une telle rencontre.
Revivez le match phase par phase (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1153076/Belgique---Allemagne.dhtml)
Les meilleures photos (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1510/Football-Etranger/photoalbum/detail/8/1153307/875043/0/Belgique-Allemagne.dhtml)
Les Diables n'ont pas démérité
Ce n'est pas anodin: les deux premières occasions furent pour... les Diables (5e Fellaini et 8e Lukaku) ! Ce qui prouve que les hommes de Georges Leekens avaient laissé leurs complexes d'infériorité aux vestiaires contre l'Allemagne (3e du dernier Mondial). Costaud dans les duels, bien organisé et parfois bien inspiré en zone offensive (Dembélé aura démontré tout son talent), il n'aura pas manqué grand-chose à la Belgique pour réaliser l'exploit. Des regrets, des regrets, toujours des regrets !
Ozil, le plus dangereux
L'Allemagne, réputée pour ne jamais sous-estimer son adversaire, se réveillait. A deux reprises en trois minutes, Ozil manquait de lucidité devant Bailly. Deux grosses opportunités loupées qui mettaient Joachim Low en colère. La fin de la première période se terminait sur deux missiles: le premier signé Podolski (32e) et le second via Dembélé (42e). Mais un vent d'optimisme soufflait sur le stade Roi Baudouin plein à craquer. Et c'était déjà ça !
L'erreur de Van Buyten
A ce niveau, toutes les erreurs se payent cash. Irréprochable jusque-là, Van Buyten aura commis une grossière erreur en perdant le ballon dans son propre rectangle (bien pressé par Schweinsteiger). Sentence immédiate: Müller se retourne et isole parfaitement Klose. Le buteur du Bayern Munich ne pardonne pas devant Bailly. Du "Klose" tout craché ! (51e, 0-1).
La gestion allemande
N'offrir aucune occasion à l'adversaire et bien conserver le ballon dans ses rangs: l'Allemagne avait dessiné son scénario à l'avance dans la dernière demi-heure de jeu. Malgré les entrées au jeu de Benteke, Defour et Vossen, force est de constater que les Diables n'arrivèrent plus à se créer une vraie occasion digne de ce nom en fin de partie.
De bons signes
Kompany sobre et efficace, Vertonghen travailleur, Simons de retour, et Dembélé avec des gestes de classe: le tableau n'aura pas été si noir pour les Diables. Bien sûr, le constat est toujours le même pour la Belgique. Une défaite qui n'est pas sans nous rappeler celle contre l'Espagne en octobre 2008. Espérons qu'il ne faudra pas attendre deux ans pour revoir les Diables si conquérants.
Christophe Da Silva
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03/09/10 22h33
Les Bleus, Blanc, Rouge !!!
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Raymond Domenech est parti, Thierry Henry n'est plus un joueur de l'équipe de France et pourtant, rien n'a changé ! Les Bleus, en manque de réalisme, ont été piégés en fin de rencontre pour le premier match officiel de Laurent Blanc à la tête de l'équipe de France.
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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/2/9/media_l_3857574.jpg?20100903231709
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La reconstruction n'est pas un vain mot et elle sera très longue pour l'équipe de France, qui a perdu 1 à 0 contre le modeste Belarus, 78e mondial, pour ses débuts en éliminatoire de l'Euro 2012, alors que le Stade de France attendait tant des Bleus après le fiasco du Mondial. Laurent Blanc, nouveau sélectionneur commence donc son mandat par deux défaites, en amical en Norvège le 11 août (2-1) puis au Stade de France vendredi, sous les sifflets en fin de match.
C'est la même chanson
Le scénario est le même: Les Bleus ne concrétisent pas leurs occasions et flanchent en défense (1-0, 86e, but de Kislyak). Comme un goût de déjà vu du temps d'un certain Raymond Domenech... Le Belarus est considéré comme une des équipes les plus faibles du groupe D: Le match de vendredi est donc très inquiétant avant un déplacement à Sarajevo, mardi, contre une Bosnie qui a accompli d'énormes progrès ces dernières années.
La Roumanie arrive
Et en octobre, c'est la solide Roumanie qui viendra au Stade de France... Le succès devient un souvenir lointain pour les Bleus. La France n'a plus gagné depuis le 26 mai en amical (2-1 contre le Costa Rica à Lens) et depuis le 14 novembre en compétition (1-0 en barrage aller des éliminatoires du Mondial à Dublin contre l'Eire, le retour s'étant soldé par un nul).
Piètre spectacle
Les conditions étaient pourtant réunies vendredi soir pour une réconciliation entre l'équipe nationale et ses supporters. Le public, venu en nombre au Stade de France (plus de 76.000 personnes), avait décidé de tourner la page du Mondial: Laurent Blanc fut autant acclamé que Raymond Domenech était conspué, les joueurs furent tous ovationnés et les drapeaux tricolores tourbillonnèrent. Malheureusement, le spectacle sur la pelouse ne fut pas à la hauteur de cet enthousiasme. Face à un Belarus aux joueurs empesés, sans génie, les nouveaux Bleus n'arrivèrent pas à construire leur jeu et leur manque d'expérience internationale sauta aux yeux.
Malouda capitaine
La deuxième période fut toutefois plus animée que la première: frappe de Menez sur le portier (47e), Hoarau ratant ensuite l'immanquable sur une passe de Valbuena (47e), tir de Mvila sur le gardien (49e), belle reprise de Valbuena sur le gardien (71e). Il n'y avait d'ailleurs pas beaucoup de mal à faire mieux que dans les 45 premières minutes, où il avait fallu attendre les arrêts de jeu pour voir cette frappe puissante de Malouda, désigné logiquement capitaine, premier tir cadré...
Saha blessé après 10 minutes
Ce n'est pas ce que le public attendait de la France, 21e mondiale, face au 78e mondial. Et ce n'est pas ce type de prestation qui va faire oublier le fiasco du Mondial. Dans la colonne négatif on trouve Sagna, qui a manqué trop de centres, Menez qui n'a pas convaincu (sifflé lors de son remplacement par Saha à la 69e), et Hoarau qui n'a pas assez de "vice", de "métier". Et, pour couronner le tout, Rémy est sorti blessé aux adducteurs droits à la 32e minute, remplacé par Valbuena. Et que dire de Saha qui n'aura tenu que 10 minutes avant de sortir blessé! En Angleterre, il est surnommé "l'homme de ba lsa", nom d'un bois léger très cassant...
Mvila très bon
Une des rares satisfactions, avec un Valbuena remuant, est venue de Mvila, titularisé pour sa deuxième sélection à 20 ans, très combatif, en parfait pare-feu devant une charnière centrale où Rami n'a pas donné toutes les garanties. Peut-être les choses s'arrangeront-elles avec le retour de Gourcuff en octobre, quand il aura purgé sa suspension après son exclusion lors du dernier match du Mondial. Pour les Bleus et pour lui, il faudra alors rattraper le temps perdu. (afp/chds)
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03/09/10 22h54
L'Espagne se promène au Liechtenstein
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Bonne entrée en matière pour l'Espagne. Face à la modeste équipe du Liechtenstein, le champion du monde en titre n'aura pas fait dans le sentiment (0-4).
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Les champions du monde espagnols, également champions d'Europe en titre, ont débuté les qualifications de l'Euro 2012 en s'imposant facilement au Liechtenstein samedi (4-0) avec un doublé de Fernando Torres, qui s'est réveillé en sélection.
Très bien entrée dans la rencontre et très peu pressée par son adversaire, l'Espagne n'a pas mis longtemps à ouvrir le score, par Torres (18e), qui a parfaitement piqué son ballon après un une-deux rondement mené avec Iniesta.
David Villa a doublé la marque, d'une superbe frappe qui a fini sous la barre (26e), marquant au passage son 43e but en 66 sélections. Le nouvel attaquant du FC Barcelone n'est plus qu'à un but du record de Raul (44 buts en 102 sélections).
Fernando Torres, auteur du but victorieux en finale de l'Euro-2008 mais transparent en Afrique du Sud, a signé un doublé à la 55e minute sur un service de Fabregas, entré en jeu à la pause à la place de Xavi.
Deux minutes plus tôt, le Liechtenstein avait eu sa seule occasion du match: Frick partait seul face au but mais Casillas, sortait très loin de son but, taclait et lui enlevait le ballon des pieds. David Silva, entré à la place de Torres, a marqué le 4e but espagnol, à la 62e.
L'Espagne, qui devra également affronter dans ce groupe I la République tchèque, l'Ecosse et la Lituanie, disputera mardi un match amical face à l'Argentine post-Maradona. (afp/chds
L'Italie commence par une difficile victoire en Estonie
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L'Italie a péniblement battu l'Estonie (2-1), grâce à deux buts en trois minutes de Cassano et Bonucci, et signé sa première victoire d'une année marquée par un Mondial raté, pour bien commencer les qualifications vers l'Euro-2012, vendredi à Tallin. La reconstruction a eu chaud...
Menée 1-0 par la faible Estonie, l'Italie était en plein doute quand le prodige Antonio Cassano a égalisé d'une tête, sur un corner du capitaine Andrea Pirlo (60), trois minutes avant que le défenseur central Leonardo Bonucci ne brise le rêve balte en exploitant un ballon mal dégagé par la défense (63), et dévié du talon par Cassano, chanceux sur le coup.
Jusqu'alors, la Nazionale du nouveau sélectionneur Cesare Prandelli s'était cassé les dents sur la défense estonienne et avait même concédé un but de Sergei Zenjov (31), qui reprenait un coup franc puissant de Konstantin Vassiljev mal repoussé par Salvatore Sirigu, le gardien en l'absence de Buffon et Marchetti, blessés. L'Italie ne s'est pas vraiment rassurée dans le jeu mais a au moins signé sa première victoire en 2010, après quatre nuls et trois défaites.
Son dernier succès remontait à un amical le 18 novembre 2009 contre la Suède à Cesena (1-0). Parmi les expériences tentées par Prandelli, le duo offensif de la Sampdoria, Cassano-Giampaolo Pazzini, a tiré son épingle du jeu, mais Simone Pepe, le troisième attaquant, n'a pas pesé. La défense, où quatre joueurs sur cinq, en comptant Sirigu, disputaient leur premier match de compétition avec la Nazionale, n'a pas rassuré, se laissant inquiéter par l'inoffensive Estonie jusque dans le temps additionnel.
Pour continuer sur le chemin de la Renaissance italienne, l'équipe de Prandelli affronte un adversaire d'un niveau encore plus abordable mardi: les Îles Féroé, à Florence. (afp/chds)
La Turquie n'a laissé aucune chance au Kazakhstan
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La Turquie a entamé les qualifications de l'Euro 2012 de football (groupe A) par un large succès 0-3 sur le Kazakhstan, vendredi à Astana.
Les buts turcs ont été inscrits par Arda Turan (24e) et Hamit Altintop (26e) avant le repos et Nihat Kahveci (76e) en seconde période. Les hommes du Néerlandais Guus Hiddink accueilleront les Diables Rouges mardi prochain à Istanbul. (belga/chds)
03/09/10 20h20
football
Attention à Defoe!
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Image © Keystone
L’attaquant anglais a inscrit trois buts hier contre la Bulgarie. La Suisse est prévenue.
le 03 septembre 2010, 23h16
LeMatin.ch & les agences
Qualifications Euro 2012
Groupe G
En entamant les qualifications de l’Euro 2012 par un convaincant succès 4-0 contre la Bulgarie à Wembley grâce à un hat trick de Defoe (3e/61e/86e) et une réussite d’Adam Johnson (83e), l’Angleterre s’est rassurée après sa piteuse Coupe du monde. Elle a aussi enfin déniché un gardien de classe en la personne de Joe Hart.
Le portier de Manchester City n’a pas eu beaucoup de travail, surtout en première période, mais il s’est montré excellent dans ses interventions. Il a notamment réalisé deux parades décisives face à Yankov et Rangelov. C’est sans doute le principal point positif que Fabio Capello pourra tirer de cette rencontre, avec l’efficacité de Defoe et l’altruisme de Rooney, qui a donné trois passes décisives.
Ayant beaucoup de choses à se faire pardonner, les Three Lions entamaient leur opération rachat de la meilleure des manières, avec une rapide ouverture du score. Une action initiée par Rooney, puis poursuivie par Ashley Cole, permettait à Defoe de marquer dès la 3e. Idéal pour la confiance et les nerfs.
Certes, en face, les Bulgares constituaient des rivaux quasi inoffensifs.
Rooney, qui a beaucoup décroché, frôlait le 2-0 sur un tir lobé (50e). Deux minutes plus tard, Popov gâchait la première occasion bulgare en croisant trop son essai.
La décision tombait à la 61e, en l’espace de quelques secondes. Tout d’abord, Hart sauvait sur une reprise de Yankov. Puis, sur le contre, Defoe doublait la mise après un bon travail de Gerrard et Rooney. Le break était fait. En fin de match, profitant des espaces, les Anglais salaient l’addition.
FOOTBALL
la Suisse n’a rien résolu
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Image © Eric Lafarque
La Suisse aurait pu s’imposer si Alex Frei (à g.) n’avait pas trop enlevé son tir sur le penalty de la 60e minute.
L’équipe de Hitzfeld ne s’est pas franchement rassurée à quatre jours de son choc contre l’Angleterre. Ses attaquants n’ont pas marqué, et Frei a raté un penalty.
Renaud Tschoumy - le 03 septembre 2010, 23h12
Le Matin
Match amical Saint-Gall
SUISSE - AUSTRALIE
0-0
Ottmar Hitzfeld voulait être rassuré sur l’état de forme de son équipe? On n’est pas sûr qu’il le soit vraiment au lendemain de la rencontre (très) amicale d’hier contre l’Australie. Car toutes les questions en suspens restent en l’état. Du coup, au lieu de se redonner un grand bol d’air (au niveau moral surtout), les Suisses vont recevoir les Anglais sans savoir s’ils seront capables de tirer les premiers.
En panne de résultats positifs à domicile (désormais 3 défaites et 3 matches nuls en 6 matches de rang), la Suisse sera donc condamnée à… commencer une série face à l’Angleterre, mardi au Parc Saint-Jacques bâlois. Le problème, c’est que les Helvètes, s’ils ont peut-être mieux joué que face au Honduras en Afrique du Sud ou en Autriche à mi-août, éprouvent toujours la même difficulté à mettre les défenses adverses hors de position.
Il manque toujours un patron
Leur jeu stéréotypé, sans grande variété ni coups d’accélérateur, a fait le régal de la dernière ligne australienne, comme il pourrait faire celui de son homologue anglaise mardi. Il manque, encore, toujours, un véritable meneur de jeu dans ce onze suisse. Inler a bien commencé avant de totalement s’étioler. Bunjaku s’est beaucoup offert, d’abord à gauche, puis dans l’axe, mais sans grands résultats. Degen a été intermittent, Fernandes également.
C’est en fin de compte le Vaudois Margairaz (lire ci-contre) qui a été le plus en vue des hommes du milieu de terrain. Mais il a lui aussi manqué de décision en certains moments-clés, et notamment sur deux opportunités qui avaient le poids d’autant de buts (18e et 89e). Et lorsque le Romand a réussi sa reprise de volée, c’est Schwarzer qui a démontré la solidité de son poing sur sa ligne (47e).
Alex Frei sifflé
Et puis la plus grande inquiétude vient de cette incapacité presque chronique à faire trembler les filets adverses. Derdiyok a été transparent, et Frei n’a pas eu beaucoup plus d’occasions… sinon un penalty qu’il a tiré au-dessus. Comme si cela ne suffisait pas! Le public suisse – pas intelligent en l’occurrence – a copieusement sifflé le capitaine suisse.
Il y avait pas mal de questions ouvertes avant le match d’hier, eh bien, elles le sont toutes encore! En guise de réponses, Hitzfeld et ses joueurs n’ont que des interrogations en tête. Sauront-ils les balayer d’ici à mardi? C’est une question. Une de plus.
Margairaz a marqué… des points
Voyons, voyons… De tout ce que l’on souhaitait voir, qu’a-t-on réellement vu? Parmi les innombrables essais tentés hier soir par Ottmar Hitzfeld, certains étaient plus attendus que d’autres. Ainsi attendait-on avec impatience, au moment où la Suisse souffre d’un évident déficit de jouerie, ce que Xavier Margairaz pouvait lui apporter en termes de créativité. 31 mois après sa dernière apparition sous le maillot helvétique – contre l’Angleterre à Wembley avec Kuhn –, le Vaudois du FC Zurich savait qu’il jouait gros et que s’il voulait impressionner son nouveau sélectionneur, c’était cette fois ou jamais. «Je n’aurai pas 10 chances pour montrer ce que je suis capable de faire», nous avait-il confié la veille.
Comment juger le match du revenant? Au sein d’une équipe toujours aussi inefficace, Margairaz a fait, généralement bien, ce qu’il a pu. Sa maîtrise et son aisance technique ont offert des solutions intéressantes. Le papa de Noa a beaucoup couru et touché plus de 40 ballons, pour en faire souvent un bon usage. Généreux, il a tenté d’apporter quelques couleurs et des idées à un groupe qui en manque passablement. Impliqué dans la plupart des actions dangereuses, le Vaudois a même failli être décisif à la conclusion. Mais Schwarzer, d’une prodigieuse détente, lui a refusé de signer son retour par un deuxième but en sélection (47e). Doublonnant avec le toujours décevant Inler – à se demander si Hitzfeld a raison d’insister avec le sociétaire d’Udinese –, Margairaz a paru libéré dès la sortie du No 8. On l’a vu se montrer plus conquérant, tenter de prendre le jeu suisse au bout des pieds. Margairaz devait encore se créer l’ultime chance suisse de sauver les apparences, mais sa frappe fila au-dessus de la cage australienne.
Alors que Hitzfeld paraissait certain de ses choix pour mardi, Xavier Margairaz a-t-il réussi à semer le doute dans l’esprit du coach national? A défaut de gagner sa place de titulaire, le Vaudois a montré qu’il pouvait représenter une alternative plus que convenable. Il n’a en tout cas rien à envier à Inler, ombre du patron que l’on aimerait voir émerger sous le maillot national.
Un match annulé pour cause de sangliers
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Une rencontre de football prévue entre Dresde et Leipzig en 5e division allemande ne pourra pas avoir lieu en raison du passage d'une harde de sangliers sur le terrain de Dresde, a indiqué vendredi le club de Leipzig sur son site internet.
Le Dresdner Jägerplatz -un mot qui, ironie du sort, signifie en allemand "terrain de chasse"- aurait dû accueillir samedi la 4e journée du championnat entre le Borea Dresde et le Lokomotive Leipzig. Mais la pelouse n'a pas tenu le choc après le passage de sangliers, et la rencontre a dû être reportée à une date ultérieure.
Le club saxon semble frappé de malédiction: en août, les dirigeants avaient déjà dû reporter l'autre derby contre le FC Saxe Leipzig car des trombes d'eau avaient eu raison de la pelouse du Dresdner Jägerplatz.(belga/chds) :fou:Ils n'aiment pas le foot?:D:D:D
Cissé et sa Bentley victimes d'un accident
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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/9/0/media_l_3856425.jpg?20100903113326
Djibril Cissé a eu un accident de voiture en se rendant à l'entraînement du Panathinaikos, dans la banlieue d'Athènes. C'est ce que rapportent les médias grecs. La voiture du Français, une Bentley estimée à 300.000 euros, a été fortement endommagée. Cissé, lui, n'a pas subi de blessures graves. Il s'est d'ailleurs tout de suite rendu à son entraînement. (Ch.D.)
:)Pas terrible sa Bentley...........:D:D:D
;)Spécial Pechos.......
Tennis Messieurs
Nadal élimine Istomin et se hisse au 3e tour
04.09.2010 11:28 - mise à jour: 12:55 http://www.tsr.ch/68c/medias/images/keystone/2439527.image?w=480&h=270 Rafael Nadal a dû lutter durant près de trois heures. [Keystone]
Comme Federer, Rafael Nadal n'a pas encore lâché de set après ses deux premiers matches à l'US Open. L'Espagnol est finalement venu à bout du pugnace ouzbek Denis Istomin 6-2 7-6 7-5 après 2h44 de jeu.
Rafael Nadal s'est qualifié pour le 3e tour de l'US Open en battant vendredi Denis Istomin 6-2 7-6 (7/5) 7-5 à l'issue d'un match très disputé où l'Ouzbek a posé des problèmes à l'Espagnol. Au prochain tour du seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès, le no1 mondial affrontera le Français Gilles Simon, 42e mondial.
"Denis a vraiment très bien joué, il a fait un super tournoi à New Haven la semaine dernière (finaliste, ndlr), il est en confiance, a dit Nadal. J'ai eu un peu de chance dans le tie break mais mon service a bien marché. Je sens vraiment bien mon service depuis quelques jours", a-t-il ajouté. L'un de ses services a été chronométré à 215 km/h, une vitesse inhabituelle pour le Majorquin, qui privilégie d'ordinaire l'effet à la puissance. "C'est bizarre car je ne servais pas bien avant le tournoi, a poursuivi Nadal. J'ai un peu changé le grip, pour le moment ça marche bien."
Invaincu en trois jeux décisifs
Les chiffres de sa mise en jeu sont éloquents: 8 aces, 43% de services non retournés par Istomin, 83% de points gagnés sur premiers services, 72% sur deuxièmes services et http://www.tsr.ch/ddf/medias/images/keystone/2439528.image?w=230&h=165 Il y avait un trop grand écart entre Istomin et Nadal. [Keystone] (http://www.tsr.ch/7c1/medias/images/keystone/2439528.image?w=418&h=300)aucun break concédé malgré sept occasions pour Istomin. Nadal n'a joué que six sets en deux matches mais déjà trois jeux décisifs. Il en avait disputé deux contre le Russe Teymuraz Gabashvili au premier tour. Il a expédié la première manche en un peu plus de 30 minutes, après avoir fait un premier break à 2-2, mais a eu besoin de 2 heures 10 minutes pour boucler les deux autres, souvent bousculé par l'intensité de l'Ouzbek.
Il a toutefois réussi un sauvetage hors du commun, comme lui seul en a le secret. Mené 5-1 dans le jeu décisif alors qu'Istomin venait de faire un show défensif incroyable pour gagner un point "à la Nadal" sous les acclamations et une standing ovation du public de New York, l'Espagnol au mental d'airin est parvenu à inscrire six point consécutifs pour enlever le set...
Attention à Simon
Très solide jusqu'ici, Rafael Nadal se méfiera certainement de son adversaire du 3e tour, Gilles Simon (ATP 42), qui a fêté la naissance de son premier enfant en s'offrant 24 heures plus tard le scalp de Philipp Kohlschreiber (no 29). Il a remporté trois de leurs quatre face-à-face, mais avait subi la loi du Français sur ses propres terres en demi-finale du Masters 1000 de Madrid en 2008 (3-6 7-5 7-6). Gilles Simon avait atteint le 6e rang mondial quelques mois plus tard, mais a ensuite vu sa progression freinée par une grave blessure au genou droit.
Neuf Espagnols au 3e tour!
Nadal, qui jouait en session nocturne, a parachevé une journée triomphale pour l'Espagne. Outre Nadal, six Espagnols (Fernando Verdasco, David Ferrer, Nicolas Almagro), Feliciano Lopez, Tommy Robredo et Daniel Gimeno-Traver) ont accédé au 3e tour vendredi, sachant que deux autres (Albert Montanes et Juan-Carlos Ferrero) les y attendaient déjà.
agences/ggol
:)Oui j'ai de la mémoire....................
Championnat du monde - 8es de finale
L'Espagne domine la Grèce
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Les Ibères retrouveront la Serbie en quart de finale
le 04 septembre 2010, 23h15
LeMatin.ch & les agences
Tenante du titre, l'Espagne s'est qualifiée pour les quarts de finale du Championnat du monde en battant 80-72 la Grèce, dans un remake de la dernière finale. Les Ibères, emmenés par un Juan Carlos Navarro en verve (22 points), en découdront avec leurs adversaires malheureux de la finale de l'Euro 2009, la Serbie.
Les Serbes ont dû se retrousser les manches pour se défaire 73-72, au terme d'un final haletant, de leurs rivaux et voisins croates. Les vice-champions d'Europe, menés jusqu'à la mi-temps, ont fait la différence dans les deux derniers quarts, notamment sous l'impulsion de leur intérieur Nenad Krstic (16 points), coéquipier de Thabo Sefolosha au Thunder d'Oklahoma City.
vtt
Les Suisses passent à côté
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Tenant du titre et récent vainqueur du général de la Coupe du monde, Nino Schurter espérait sans doute mieux qu'une médaille en chocolat
Les vététistes helvétiques n'ont pas glané la moindre médaille en cross-country
le 04 septembre 2010, 23h09
LeMatin.ch & les agences
Une fois n'est pas coutume, les Suisses sont passés à côté de leur sujet lors d'un grand rendez-vous. Aux Mondiaux de Mont-Sainte-Anne (Can), les vététistes helvétiques n'ont pas glané la moindre médaille en cross-country, l'épreuve phare de ces joutes.
Tenant du titre et récent vainqueur du classement général de la Coupe du monde, Nino Schurter a échoué à la quatrième place. Le Grison a terminé à 2'03 du gagnant, l'Espagnol José Antonio Hermida, et à près d'une minute du podium. A sa décharge, le coureur de 24 ans a notamment connu un problème avec sa roue arrière, ce qui lui a coûté quelque 40 secondes.
Eux aussi pénalisés par des ennuis techniques, les compatriotes de Schurter se sont classés encore plus loin, à l'image de Florian Vogel (9e) et Ralph Näf (11e). Sacré en 2009 (avec Schurter) et en 2008 (Christoph Sauser), la Suisse n'a donc pas réussi la passe de trois. Cette défaite est d'autant plus amère que les Mondiaux avaient bien commencé pour la sélection nationale, avec l'or du relais et un triplé dans la course M23.
Suissesses au-delà du top 10
La déception est aussi de mise dans le camp français. Double champion olympique et quadruple champion du monde, Julien Absalon a terminé juste derrière Schurter, à la 5e place. Quant à Hermida, il a enlevé à 32 ans son premier sacre mondial. Le Tchèque Jaroslav Kulhavy a pris l'argent, le bronze allant au Sud-Africain Burry Stander.
Dans l'épreuve cross-country dames, la Polonaise Maja Wloszczowska s'est imposée. Les Suissesses ont réussi un tir groupé, mais au-delà du top 10 avec Nathalie Schneitter (11e), Marielle Saner-Guinchard (12e) et Katrin Leumann (14e).
ATHLÉTISME
La foudre a fait sauter la banque
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Engager Usain Bolt coûte cher, mais sa valeur médiatique représente plusieurs centaines de millions de francs.
Usain Bolt a signé le plus important partenariat de sponsoring dans l'histoire de sa discipline. Entre 15 et 24 millions de dollars: le nouveau contrat passé entre le Jamaïcain et son équipementier fait tourner la boule des spéculations. Décryptage des intérêts en jeu.
Thomas Dayer - le 04 septembre 2010, 21h15
Le Matin Dimanche
A cette stratosphère-là, on ne plane plus à quelques millions près. Usain Bolt a perpétué son hymen avec la marque Puma. Le business ne tolère que peu de noces éternelles, ainsi l'athlète jamaïcain et l'équipementier allemand se sont-ils engagés pour trois ans.
Le ban de leurs nouvelles fiançailles a fait tourner la boule aux témoins. Auparavant, selon le logiciel de référence TWSM (The World Sponsorship Monitor), Usain Bolt percevait 1,5 million de francs suisses par année. C'est du passé. Plusieurs sources ont emboîté le pas au site internet «Sport Business» pour désormais évoquer une somme de 24,5 millions de francs sur trois ans. Les avocats de cette estimation se justifient: l'accord serait dans les cordes de celui signé par le footballeur Cristiano Ronaldo avec Nike, soit 33 millions de francs sur quatre ans. D'autres voix sont plus mesurées. «Je ne peux pas vous assurer que le montant de 24 millions de dollars soit exagéré, mais il paraît énorme, tempère Arnaud Butticaz, rédacteur-en-chef de «Sport Stratégies». Si l'entente avoisine les 15 millions, c'est déjà quelque chose.»
L'athlétisme, moins récurrent
Sans doute les performances détermineront-elles l'ampleur des bonus. 24 millions de dollars? Responsable marketing de Puma France, Johann Bondu l'a assuré: «Cette somme est excessive, mais il s'agit quand même du plus gros contrat de sponsoring de toute l'histoire pour un athlète.»
N'empêche, les spéculations les plus gonflées ne permettront pas à Usain Bolt de tutoyer les revenus d'autres sportifs, dans des domaines tels que le football, le basket, voire le tennis (lire ci-dessous). Un phénomène qui ne surprend pas Arnaud Butticaz: «L'athlétisme présente des événements moins récurrents, sa médiatisation est moins forte. Et puis, durant les compétitions, le sportif n'affiche qu'un logo, celui de son équipementier. Du coup, il est plus difficile, dans cette discipline, de collectionner les contrats.»
Il est aimé
Reste que, pour Puma, les retombées après les Jeux olympiques de Pékin, en 2008, ont été «énormes, évaluées à 250 millions d'euros (330 millions de francs suisses)». Pour le CEO de la firme allemande Jochen Zeitz, Usain Bolt représente une valeur médiatique de «plusieurs centaines de millions de dollars».
L'immédiateté d'un bénéfice ne constitue pas toujours une l'exigence première. «Les entreprises cherchent aussi à façonner les perceptions des consommateurs pour influencer leurs décisions à long terme, souligne Simon Chadwick, professeur en stratégies du sport à l'Université de Coventry. En ce sens, la manière de procéder de Puma est particulièrement intéressante. Cette marque n'a pas les ressources d'Adidas ou de Nike. Elle s'est donc positionnée comme complice privilégiée de personnalités dans des pays plus exotiques. On le vérifie à travers les équipes nationales de football de Côte d'Ivoire ou du Ghana. Puma, ce sont les champions du sport afro-caribéen.»
À travers leurs investissements, les sociétés cherchent à s'approprier les qualités des champions. «Les attributs d'un athlète, comme la vitesse, l'excellence, se superposent à celles d'un produit pour stimuler sa popularité, explique Don Sexton, professeur de marketing à l'Université de Columbia, à New York. Mais il faut noter que si le sportif se heurte à des embûches, comme ce fut le cas de Tiger Woods, ce paramètre négatif peut aussi affecter ses partenaires.»
Pas de ça avec Usain Bolt. Décontracté, souriant, il s'amuse en permanence. Il se laisse aller à des grimaces, même sous pression, et à des danses, même sous les feux de la rampe. Il multiplie les gestes avenants, il aime le reggae. Il est divertissant, il est fantasque. Bref, il est aimé. «Il est l'homme le plus rapide du monde, il est puissant, lâche Simon Chadwick. Le but des sponsors est que ces qualités leur soient assimilées par un processus de transfert d'image.»
Hublot avec lui
En mai dernier, Hublot a intégré le cercle privilégié des parrains d'Usain Bolt. «Cette aventure a débuté bizarrement, sourit le patron des montres de luxe suisses Jean-Claude Biver. Quelqu'un m'a envoyé une photo pour me féliciter: sur ce cliché, Usain Bolt portait l'une de nos montres. Or, nous n'étions pas du tout liés! C'est de là qu'est venue l'idée de s'associer.»
Les droits acquis, Hublot peut utiliser l'image du sprinter dans ses publicités, ses catalogues, ses clips. «On a aussi le droit de le présenter sur des événements: on l'a déjà fait à Shanghai et à Nyon, on va encore le faire en Jamaïque, avant Noël.» Les intérêts financiers de telles opérations? «On n'a pas calculé, on avance au feeling, mais on sait que l'investissement a déjà été remboursé dix ou vingt fois, s'enflamme Jean-Claude Biver. À Nyon, il y avait les chaînes CNBC, CNN, Bloomberg, Fox... Le retour est colossal, colossal!»
Puma, de son côté, est allé jusqu'à lancer la «Collection Bolt» - gravée d'un logo caractéristique qui rappelle la flèche tendue par le Jamaïcain au moment de célébrer ses exploits. «J'adore cet esprit, lance Luciano Gerber, de l'agence de communication Franz&René, à Berne. C'est dans la continuité de leur logo de base, tout en silhouette. Et puis c'est une position culte désormais, qui trahit les codes de l'éclair, de la foudre. La combinaison est parfaitement identitaire: qui de mieux qu'Usain Bolt comme égérie de la marque flanquée du symbole d'un animal rapide?»
Depuis le début
L'alliance entre le Caribéen et son fournisseur s'est engagée en 2003, alors qu'il n'avait que 16 ans. «Il est à mes côtés depuis le début, m'a soutenu lorsque j'étais relativement peu connu, même pendant mes premières blessures», se souvient l'athlète, reconnaissant. Il détient désormais les records du 100 mètres, du 200 mètres et du 4 x 100 mètres. Au-delà des revenus de ses titres et de ses primes de départ (estimées entre 200'000 et 300'000 francs suisses), il trône aujourd'hui, même blessé, sur les sommets du sponsoring de l'athlétisme.
Chez lui, Usain Bolt est la deuxième icône de la nation - après Bob Marley. Et à ceux qui osent prétendre que Puma exploite la culture et les athlètes jamaïcains, il tire une flèche pour clouer le bec.
Kim Clijsters face à Ivanovic ce dimanche dès 17h00
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Kim Clijsters disputera son 8e de finale contre Ana Ivanovic dimanche dès 17h00 sur le Central de Flushing Meadows (stade Arthur Ashe). Principaux matches au programme lors de la 7e journée de l'US Open, sur les deux principaux courts dimanche à New York (début 17H00 belge).
Arthur-Ashe Stadium
Ana Ivanovic (Ser) - Kim Clijsters (Bel/N.2)
Shahar Peer (Isr/N.16) - Venus Williams (N.3)
Rafael Nadal (Esp/N.1) - Gilles Simon (Fra)
(A partir de 01h00 belge lundi)
Mikhail Youzhny (Rus/N.12) - John Isner (USA/N.18)
Samantha Stosur (Aus/N.5) - Elena Dementieva (Rus/N.12)
Louis-Armstrong Stadium
Francesca Schiavone (Ita/N.6) - Anastasia Pavluychenkova (Rus/N.20)
(Pas avant 20h30)
Sam Querrey (Fra/N.20) - Nicolas Almagro (Esp)
Andy Murray (G-B/N.4) - Stanislas Wawrinka (Sui/N.25)
:fou:Fait peur cette nana...........:bad:
Michel Platini reprend du service
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Le président de l'UEFA et ancienne icône du football français Michel Platini, 55 ans, a rechaussé les crampons et revêtu son mythique numéro 10 samedi à Strasbourg, à l'occasion d'un match "privé" réunissant certains de ses anciens camarades de service militaire.
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Vêtu d'un maillot bleu, mais plus foncé qu'à l'époque de sa gloire sous les couleurs tricolores, "Platoche" a joué pendant une heure un match à 9 contre 9, au sein d'une équipe de vétérans, tous d'anciens footballeurs de haut niveau ayant servi sous les drapeaux en 1975 au bataillon de Joinville. Face à eux, une équipe du "Club Alsace", d'anciens footballeurs professionnels ayant évolué dans les clubs locaux. Moyenne d'âge des deux côtés: 55 ans.
Les anciens de Joinville, dont Platini, étaient venus à Strasbourg à l'invitation d'Albert Gemmrich, lui-même membre du groupe, ancien International français et actuel président de la Ligue d'Alsace de football. Le match, joué sur un petit terrain synthétique, sous le soleil et devant une centaine de curieux, s'est soldé par un nul 4 à 4.
Pressé de questions par les journalistes, Michel Platini s'est rapidement esquivé au coup de sifflet final, confiant simplement qu'il ne lui arrivait que très rarement de rechausser ainsi les crampons. Prochain rendez-vous: dans cinq ans pour la prochaine réunion des anciens de Joinville. (belga)
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04/09/10 20h53
Vuelta: Philippe Gilbert perd son maillot rouge
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Le Français David Moncoutié (Cofidis) a remporté en solitaire la 8e étape du Tour d'Espagne cycliste, longue de 190 km, samedi entre Villena à Xorret del Cati (190 km). Il remporte pour la 3e année consécutive une étape sur la Vuelta.
Moncoutié a devancé au terme de cette première étape au profil accidenté Serafin Martinez (Xacobeo Galicia) qui a gagné le sprint à trois pour la 2e place à 54 secondes devant le Suisse Johann Tschopp (BBox) et l'Espagnol Jose-Luis Arrieta (AG2R).
Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto), qui s'était emparé de la tunique rouge de leader du classement général lundi au terme de sa victoire dans la 3e étape à Malaga, a cédé son bien, perdant du terrain dans le col de 1e catégorie qui précédait de peu l'arrivée. Il a terminé à 3:35.
L'Espagnol Igor Anton (Euskaltel), 7e de l'étape à 1:29 de Moncoutié s'empare de la tête du classement général dans le même temps que son compatriote Joaquin Rodriguez (Katusha), 5e de l'étape lui aussi à 1:29. L'Italien Vicenzo Nibali (Liquigas), 6e de l'étape, est 3e du général à 2 secondes. Dimanche, la 9e étape conduira les coureurs de Calpe à Alcoi (187,7 km).
Tennis Messieurs
Federer ne force pas son talent contre Mathieu
04 septembre 2010 22:48 http://www.tsr.ch/c5d/medias/images/keystone/2440179.image?w=480&h=270 Roger Federer continue son bonhomme de chemin. [Keystone]
Trois petits sets ont suffi au Bâlois pour passer l'obstacle Paul-Henri Mathieu en 1/16 de finale à Flushing Meadows. Résultat: 6-4 6-3 6-3 en 1h39. L'invité surprise "Earl" n'a donc pas perturbé un Federer en bonne forme.
Roger Federer (no 2) a validé sans trembler son ticket pour les 8es de finale de l'US Open. Le Bâlois s'est imposé 6-4 6-3 6-3 face à Paul-Henri Mathieu (ATP 109) sous un soleil retrouvé, mais dans des conditions difficiles en raison du fort vent tourbillonnant qui balayait Flushing Meadows 24 heures après le passage de l'ouragan Earl.
Le numéro deux mondial n'a connu qu'une seule alerte majeure, lorsqu'il a du écarter une balle de break à 3-4 dans la première manche après avoir mal touché une volée amortie. Sa réaction était pour le moins impressionnante: il armait un service gagnant pour effacer cette balle de break, empochant 11 des 12 derniers points du premier set avant de signer un nouveau break dès le troisième jeu de la deuxième manche. Il tremblait ensuite quelque peu au moment de conclure, mais sauvait avec panache les trois balles de break successives que s'offrait Paul-Henri Mathieu dans l'ultime jeu.
Voie royale pour Roger
Vainqueur en 99 minutes, Roger Federer n'aura donc passé que 5h03' sur le court du stade Arthur Ashe dans ses trois premiers matches. De quoi aborder une deuxième semaine qui pourrait se conclure par la quête d'un 17e titre majeur avec le plein de confiance et d'énergie.
Le Bâlois devrait d'ailleurs encore être à l'abri d'une mauvaise surprise dans son 4e tour, où il affrontera Jürgen Melzer (AUT/13) ou Juan Carlos Ferrero (ESP/22).
Le quintuple vainqueur de l'US Open (2004-2008) a écrasé le gaucher autrichien de 29 ans 6-3 6-2 6-3 en 8e de finale du dernier Wimbledon pour leur unique face-à-face, alors qu'il n'était pourtant pas au sommet de sa forme physique durant la quinzaine londonienne.
Il reste sur sept succès d'affilée (bilan global: 9-3) face au droitier espagnol de 30 ans, qu'il n'a cependant plus affronté depuis un quart de finale joué à Wimbledon en 2007.
Tennis Messieurs
Nadal élimine Istomin et se hisse au 3e tour
04.09.2010 11:28 - mise à jour: 15:29 http://www.tsr.ch/68c/medias/images/keystone/2439527.image?w=480&h=270 Rafael Nadal a dû lutter durant près de trois heures. [Keystone]
Comme Federer, Rafael Nadal n'a pas encore lâché de set après ses deux premiers matches à l'US Open. L'Espagnol est finalement venu à bout du pugnace ouzbek Denis Istomin 6-2 7-6 7-5 après 2h44 de jeu.
Rafael Nadal s'est qualifié pour le 3e tour de l'US Open en battant vendredi Denis Istomin 6-2 7-6 (7/5) 7-5 à l'issue d'un match très disputé où l'Ouzbek a posé des problèmes à l'Espagnol. Au prochain tour du seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès, le no1 mondial affrontera le Français Gilles Simon, 42e mondial.
"Denis a vraiment très bien joué, il a fait un super tournoi à New Haven la semaine dernière (finaliste, ndlr), il est en confiance, a dit Nadal. J'ai eu un peu de chance dans le tie break mais mon service a bien marché. Je sens vraiment bien mon service depuis quelques jours", a-t-il ajouté. L'un de ses services a été chronométré à 215 km/h, une vitesse inhabituelle pour le Majorquin, qui privilégie d'ordinaire l'effet à la puissance. "C'est bizarre car je ne servais pas bien avant le tournoi, a poursuivi Nadal. J'ai un peu changé le grip, pour le moment ça marche bien."
Invaincu en trois jeux décisifs
Les chiffres de sa mise en jeu sont éloquents: 8 aces, 43% de services non retournés par Istomin, 83% de points gagnés sur premiers services, 72% sur deuxièmes services et http://www.tsr.ch/ddf/medias/images/keystone/2439528.image?w=230&h=165 Il y avait un trop grand écart entre Istomin et Nadal. [Keystone] (http://www.tsr.ch/7c1/medias/images/keystone/2439528.image?w=418&h=300)aucun break concédé malgré sept occasions pour Istomin. Nadal n'a joué que six sets en deux matches mais déjà trois jeux décisifs. Il en avait disputé deux contre le Russe Teymuraz Gabashvili au premier tour. Il a expédié la première manche en un peu plus de 30 minutes, après avoir fait un premier break à 2-2, mais a eu besoin de 2 heures 10 minutes pour boucler les deux autres, souvent bousculé par l'intensité de l'Ouzbek.
Il a toutefois réussi un sauvetage hors du commun, comme lui seul en a le secret. Mené 5-1 dans le jeu décisif alors qu'Istomin venait de faire un show défensif incroyable pour gagner un point "à la Nadal" sous les acclamations et une standing ovation du public de New York, l'Espagnol au mental d'airin est parvenu à inscrire six point consécutifs pour enlever le set...
Attention à Simon
Très solide jusqu'ici, Rafael Nadal se méfiera certainement de son adversaire du 3e tour, Gilles Simon (ATP 42), qui a fêté la naissance de son premier enfant en s'offrant 24 heures plus tard le scalp de Philipp Kohlschreiber (no 29). Il a remporté trois de leurs quatre face-à-face, mais avait subi la loi du Français sur ses propres terres en demi-finale du Masters 1000 de Madrid en 2008 (3-6 7-5 7-6). Gilles Simon avait atteint le 6e rang mondial quelques mois plus tard, mais a ensuite vu sa progression freinée par une grave blessure au genou droit.
Neuf Espagnols au 3e tour!
Nadal, qui jouait en session nocturne, a parachevé une journée triomphale pour l'Espagne. Outre Nadal, six Espagnols (Fernando Verdasco, David Ferrer, Nicolas Almagro), Feliciano Lopez, Tommy Robredo et Daniel Gimeno-Traver) ont accédé au 3e tour vendredi, sachant que deux autres (Albert Montanes et Juan-Carlos Ferrero) les y attendaient déjà.
agences/ggol
;)Tu es content Pechos?:)
US OPEN
Stanislas Wawrinka sort Andy Murray!
Impressionnant de maîtrise, le Vaudois élimine l’un des grands favoris du tournoi sur le score de 6-7 (3) 7-6 (4) 6-3 6-3. Il affrontera en huitième de finale le cogneur américain Sam Querrey, ATP 22.
Christian Despont, New York - le 06 septembre 2010, 01h33
LeMatin.ch
Stanislas Wawrinka a réussi à 25 ans le plus grand exploit de sa carrière, celui qui manquait à son CV pour valider une appartenance et des talents mésestimés. Sa victoire sur Andy Murray, après 3 h 56 de bonheur, est la première sensation du tournoi. Cinq milles spectateurs, dont très peu connaissaient l’identité de «l’autre Suisse», ont ovationnée la beauté du geste, dans une ville qui sait apprécier l’impudence.
Stanislas Wawrinka a commencé par un jeu blanc, et continué par un tennis haut en couleur. Rarement son jeu n’a transpiré une telle intelligence, dans la mixité, la perspicacité et la sécurité. Rarement son tennis n’a mélangé les genres avec une maîtrise aussi nette, avec une telle clarté sur la marche à suivre.
Andy Murray, irrémédiablement bougon, a vite compris que la journée serait longue, tout le laissait deviner. Il n’avait pas la possibilité de manœuvrer, encore moins d’exercer ses talents de contreur: l’adversaire, à sa grande surprise, était au moins aussi adroit dans la transition défense-attaque, la base de leur jeu respectif. Tous deux variaient les longueurs, les effets, et les angles, sans que le vent ne puisse les importuner. Tous deux jouaient les maîtres enquiquineurs avec défiance, en plaçant des offensives soudaines.
Mais à 5-3 dans le premier set, Stanislas Wawrinka butait sur des inhibitions tenaces, celles d’un joueur brave, têtu, mais effarouché à la lumière des projecteurs. Un peu plus timoré, un peu plus classique, un peu plus court, le Vaudois a reculé. Pis: une colère violente d’Andy Murray, pour un «allez!» hurlé en plein échange, l’a durablement intimidé au tie-break, et conduit à une double faute.
L’Ecossais sentait pourtant que la journée serait longue, tout l’indiquait, tout l’ennuyait. Par deux fois, au deuxième set, il a réussi le break. Par deux fois, il l’a reperdu. Stanislas Wawrinka, avec un service moins sûr (42% de premières balles), a remporté la manche au courage, avec une prise de risques savamment dosée.
Dès la suivante, coup de théâtre. Teint pâle, jambes cotonneuses, Murray n’était plus vraiment Murray, et Wawrinka, malgré une légère torsion à la cheville, n’était plus Wawrinka non plus, méconnaissable de maîtrise et de puissance. Le Vaudois était mené 0-1. Il a retourné la situation à 4-1 sans problème, sinon avec une facilité suspecte, sûr de ses coups et de ses perspectives nouvelles.
Une amortie à la Federer, des passings à la Nadal, des revers à la Gasquet, plus rien n’a pu arrêter ce Wawrinka transfiguré, d’où a émergé tant de qualités profondes. Ces talents sont-ils transposables contre le cogneur américain Sam Querrey (ATP 22), prochain adversaire en huitième de finale?
Golf
Jimenez remporte l'Omega European Masters de Crans-Montana
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/96019565.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/96019565.JPG)
Image © Keystone
Après 22 ans d’attente, le citoyen de Malaga a gagné l’Omega European Masters non sans avoir tremblé.
Laurent Guyot - le 05 septembre 2010, 23h20
LeMatin.ch
La dernière journée de l’Open de Suisse a tenu toutes ses promesses. Et si Miguel Angel Jimenez est parvenu à gagner pour la première fois le tournoi de Crans-Montana, le suspense s’est prolongé bien plus longtemps que prévu. La faute à Edoardo Molinari qui a tenu le choc jusqu’au trou No 15. Revenu à un coup du solide leader ibérique grâce à un eagle, l’Italien est retombé de haut dans la foulée. Un bogey concédé sur un par 3 lui a enlevé une bonne partie de ses illusions. Le futur vainqueur ne s’est alors pas gêné pour enfoncer le clou définitivement en réussissant un birdie au trou No 17. Avec trois coups d’avance, la messe était dite avant de parvenir à ce 18 qui fait l’histoire tous les premiers dimanches de septembre.
Toujours placé mais jamais gagnant, Miguel Angel Jimenez a terminé son parcours sous les ovations du très nombreux public tout acquis à sa cause. Sitôt le dernier coup joué, l’Espagnol s’est vu asperger de champagne par ses compatriotes et amis venu fêter le troisième succès de l’année du citoyen de Malaga. Avant de finir dans le petit étang qui borde le dernier green du parcours. Autant dire que ses yeux ont brillé plus que de raison au moment de revêtir la veste rouge réservée au vainqueur pour recevoir une coupe et un chèque de 460 000 francs.
Venus Williams domine Shahar Peer
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L'Américaine Venus Williams, 4e mondiale et tête de série N.3, s'est qualifiée dimanche pour les quarts de finale de l'US Open en dominant l'Israélienne Shahar Peer (WTA 19/N.16) 7-6 (7/3), 6-3.
En quart de finale, Venus Williams affrontera l'Italienne Francesca Schiavone (WTA 7/N.6). La gagnante de cette rencontre affrontera en demi-finale la gagnante du quart de finale qui opposera Kim Clijsters (WTA 3/N.2) à Samantha Stosur (Aus/WTA 6/N.5) ou Elena Dementieva (Rus/WTA 12/N.12).
Vlasic égale la meilleure performance mondiale
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La Croate Blanka Vlasic a égalé la meilleure performance mondiale (MPM) de la saison en franchissant 2,05 m au 1er essai, lors de la seconde journée de la Coupe continentale d'athlétisme dimanche à Split, sa ville.
Championne du monde et d'Europe, Vlasic a rejoint Chaunté Howard-Lowe qui avait franchi la même hauteur le 26 juin lors des Championnats des Etats-Unis à Des Moines (Iowa).
Vlasic, 26 ans, a ensuite échoué nettement ses trois tentatives à 2,10 m, soit un centimètre au-dessus du record du monde de la Bulgare Stefka Kostadionva (2,09 m), réalisé le 30 août 1987 à Rome lors de la 2e édition des Championnats du monde.
La grande Dalmate, qui a reçu plusieurs fois une ovation debout du public tout acquis à sa cause, a ensuite versé son trop plein d'émotions et, probablement des regrets d'un record historique manqué, dans les bras de son père Josko.
L'Espagnol Luis Leon Sanchez signe chez Rabobank
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L'Espagnol Luis Leon Sanchez (Caisse d'Epargne) a signé un contrat de deux ans avec Rabobank, annonce l'équipe néerlandaise du ProTour.
Professionnel depuis 2003 chez Once, Sanchez, 26 ans, a roulé ensuite chez Liberty Seguros (2004-2006) et Caisse d'Epargne (2007-2010).
Son palmarès compte une victoire dans Paris-Nice en 2009, deux victoires d'étapes dans le Tour de France (2008, 2009), et la Clasica San Sebastian, le mois dernier.
Sanchez est le 6e nouveau venu en vue de la saison prochaine après le Néerlandais Theo Bos (Cervélo), le l'équipe néerlandaise, le Danois Matti Breschel (Saxo Bank), Maarten Wynants (Quick Step) et les jeunes néerlandais issus de l'équipe espoirs Tom-Jelte Slagter et Coen Vermeltfoort.
David Lopez Garcia gagne la 9e étape du Tour d'Espagne
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L'Espagnol David Lopez Garcia (Caisse d'Epargne) a remporté la 9e étape du Tour d'Espagne, disputée dimanche sur 187,7 km entre Calpe et Alcoy. Il a devancé d'une poignée de secondes plusieurs de ses compagnons d'échappée, le Tchèque Roman Kreuziger terminant 2e à 6 secondes, devant l'Italien Giampaolo Caruso (à 13 secondes) et le Français David Moncoutié, vainqueur la veille de la 8e étape (à 20 secondes). Jelle Vanendert est le premier Belge à la 10e place.
En se classant 7e à 54 secondes, le Français Jean-Christophe Peraud (Omega Pharma), pointé en 37e position à 6:59 au départ de l'étape, a effectué une belle remontée au classement. Leader virtuel du général durant une bonne partie de l'étape, il rentre dans le top-10 du général.
L'Espagnol Igor Anton (Euskaltel), qui a terminé dans le peloton à 7:02 du vainqueur, a conservé son maillot rouge de leader.
Lundi, la 10 étape conduira les coureurs de Tarragone à Vilanova i la Geltru sur 175,7.
Abandon d'Alessandro Petacchi à la Vuelta
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L'Italien Alessandro Petacchi (Lampre) a quitté le peloton des coureurs lors de la 9e étape du Tour d'Espagne, disputée dimanche sur 187 km entre Calpe et Alcoy.
Le sprinter, victorieux vendredi de la 7e étape, avait été victime d'une chute samedi en compagnie de Philippe Gilbert. L'Italien, âgé de 36 ans, avait bien pris le départ dimanche à Calpe, mais a jeté l'éponge après 50 km.
:DMême au tennis.............:fou::D
http://www.youtube.com/watch?v=rPelP6HG7ig&feature=player_embedded
Llodra abandonne, Murray lâche
Mots clés : tennis (http://plus.lefigaro.fr/tag/tennis), us open (http://plus.lefigaro.fr/tag/us-open), andy murray (http://plus.lefigaro.fr/tag/andy-murray), michael llodra (http://plus.lefigaro.fr/tag/michael-llodra)
Nicolas Cerbelle (Sport24.com)
06/09/2010 | Mise à jour : 07:29 Réagir (http://plus.lefigaro.fr/article/llodra-abandonne-murray-lache-20100906-276969/commentaires)
http://www.lefigaro.fr/medias/2010/09/06/sport24_412484_7150160_3_fre-FR.jpg
Andy Murray a totalement craqué à l'US Open Crédits photo : Reuters
A l'US Open, la nuit a été marquée par l'abandon de Michaël Llodra et l'élimination d'Andy Murray, battu par un Stanislas Wawrinka pourtant blessé à la cuisse droite.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif Encore raté ! Andy Murray ne gagnera pas encore son premier tournoi du Grand Chelem cette année. Finaliste à Los Angeles, vainqueur à Toronto, l'Ecossais, toujours en quête d'un entraîneur, faisait pourtant figure de sérieux candidats au titre. Son incapacité à enchaîner les grandes performances lui a encore joué des tours, buttant sur un Stanislas Wawrinka courageux (6/7 7/6 6/3 6/3). En retard à l'allumage en début de match, la tête de série n°4 réussissait pourtant à combler son retard et empocher le premier set au tie-break (7 points à 3). Murray avait ensuite l'occasion d'enfoncer le clou lorsqu'il servait pour le gain de la deuxième manche à 5/3. Passant alors totalement au travers de son jeu, il relançait le Suisse, qui faisait de plus en plus mal avec son magnifique revers à une main.
Les affaires de Nadal
Contraint de laisser filer le deuxième tie-break (7 points à 4), Murray perdait confiance, reculant beaucoup trop et laissant l'initiative à son rival. Se fatiguant depuis sa ligne de fond, il permettait à Wawrinka de soulager une cuisse droite douloureuse. L'Helvète réussissait finalement à chiper le service du Britannique dans les troisième et quatrième manches et validait son billet pour les huitièmes de finale, où Sam Querrey l'attend. «J'ai eu des douleurs qui s'expliquent avec la longueur du match. J'avais mal au niveau du quadriceps et ensuite j'avais l'impression d'avoir des petites décharges autour de mon coude droit. Mais je bougeais toujours correctement. Peut-être que tout ça est dû à la fatigue, je ne sais pas, tentait de se justifier Murray. Je suis déçu d'avoir eu autant de mal physiquement car ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je pense que je sentais que ma chance de bien faire ici s'évaporait et ça m'a frustré.» Rafael Nadal voit par la même occasion sa partie de tableau nettement se dégager…
Des vertiges pour Llodra
Un peu plus tôt, Michaël Llodra, jusque-là auteur d'un parcours sans faute à l'US Open, a été contraint à l'abandon face à Tommy Robredo alors qu'il était mené deux sets à un (3/6 7/6 6/4 2/1 ab). «J'ai eu des vertiges depuis la fin du premier set, j'ai senti tout de suite que quelque chose n'allait pas. J'avais des douleurs dans la nuque, je voyais double. J'ai fait intervenir le kiné qui a essayé de me débloquer la nuque. Malheureusement, cela ne s'est pas amélioré. J'ai essayé de me battre tant bien que mal, mais cela n'a pas suffi», expliquait le Parisien en conférence de presse. Encore sonné après le match, ce dernier indiquait que son état pouvait être dû aux lourdes prises médicamenteuses (anti-inflammatoires) exigées par l'état de sa voûte plantaire gauche.
Résultats du troisième tour :
Ferrer (Esp, 10) - Gimeno-Traver 7/6 6/2 6/2
Verdasco (Esp, 8) - Nalbandian (Arg, 31) 6/2 3/6 6/3 6/2
Querrey (EU, 20) - Almagro (Esp, 14) 6/3 6/4 6/4
Lopez (Esp, 23) - Stakhovsky (Ukr) 6/3 4/0 ab.
Nadal (Esp, 1) - Simon (Fra) 6/4 6/4 6/2
Robredo (Esp) - Llodra (Fra) 3/6 7/6 6/4 2/1 ab.
Wawrinka (Sui, 24) - Murray (GB, 4) 6/7 7/6 6/3 6/3
Youzhny (Rus, 12) - Isner (EU, 18) 6/4 6/7 7/6 6/4
L'US Open en images :
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tennis
Federer bat Melzer et attend Söderling
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En quart de finale, le Bâlois sera opposé à Robin Söderling.
Devant un parquet de stars, le Bâlois a battu dans la nuit de lundi à mardi le gaucher autrichien Jürgen Melzer (6-3 7-6 6-3) en 2h03'. Mercredi en quarts, le quintuple vainqueur du tournoi retrouvera Robin Söderling.
le 07 septembre 2010, 06h27
LeMatin.ch & les agences
Roger Federer disputera son 26e quart de finale consécutif en Grand Chelem à l'US Open. Le Bâlois de 29 ans, qui a battu lundi le gaucher autrichien Jürgen Melzer (no 13) 6-3 7-6 (7/4) 6-3 en 2h03' dans une "night session" suivie par une constellation de stars (l'actrice Cameron Diaz, l'ancien basketteur Clyde Drexler ou encore le joueur de baseball Alex Rodriguez), retrouvera Robin Söderling (no 5) mercredi.
Le quintuple vainqueur du tournoi (2004-2008) a une revanche à prendre sur le Suédois de 26 ans, qui avait mis un terme à sa série de demi-finales jouées consécutivement en Grand Chelem (23) à Roland-Garros. Il s'était incliné 3-6 6-3 7-5 6-4 face au futur finaliste du "French Open", qui avait pourtant perdu leurs 12 premiers face-à-face.
Roger Federer se remémorera certainement avec plus de plaisir leur affrontement précédent, il y a un an en quart de finale à New York déjà. Il avait joué de son propre aveu un tennis de rêve pour s'imposer 6-0 6-3 6-7 7-6, ne concédant pas le moindre break mais passant tout de même à un point de la perte du quatrième set. Le Bâlois ne trouvera d'ailleurs certainement pas meilleur endroit que Flushing Meadows, où il a remporté 44 de ses 45 derniers matches, pour venger sa défaite parisienne.
Lundi, l'homme aux 16 trophées majeurs a augmenté un peu plus son capital confiance en s'imposant pour la quatrième fois en trois sets dans ce tournoi. Il peut cependant s'estimer heureux de s'en être sorti à si bon compte: il faisait la différence dans un jeu décisif crucial avec deux coups devenus gagnants grâce à l'aide du filet, dont un sur le seul "mini break" réussi à 4/4. Impressionnant à la relance, Jürgen Melzer aurait mérité un meilleur sort. Il ne convertissait cependant que de 2 de ses 12 opportunités à la relance, alors que Roger Federer terminait la partie avec 50 % de réussite sur ses balles de break (4/8).
ÉQUIPE DE FRANCE
Domenech a été licencié sans indemnité «pour faute grave»
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Il est notamment reproché à Domenech d'avoir refusé de serrer la main de Carlos Alberto Parreira, sélectionneur de l'Afrique du Sud, lors du dernier match des Bleus au Mondial-2010.
Le président intérimaire de la Fédération française de football (FFF) a indiqué lundi à Sarajevo qu'il avait envoyé une lettre de licenciement à l'ancien sélectionneur pour faute grave, donc sans indemnité, ni négociation d'indemnité.
le 06 septembre 2010, 18h18
LeMatin.ch & les agences
Le président intérimaire de la Fédération française de football (FFF) Fernand Duchaussoy a précisé les circonstances du licenciement de l'ancien sélectionneur des Bleus qui était toujours son employé.
"Sur ce dossier, c'est clair, Raymond Domenech a reçu vendredi sa lettre de licenciement, pour faute grave, sans négociation. S'il le veut, c'est son droit de contester devant les tribunaux. Mais donner des indemnités, ça aurait été choquant pour moi", a expliqué le dirigeant présent avec l'équipe de France à Sarajevo, où les Bleus jouent mardi en éliminatoires de l'Euro-2012.
M. Domenech peut contester ce licenciement devant les prud'hommes. A la question "ça pourrait donc se poursuivre en une sorte de feuilleton?", M. Duchaussoy a répondu: "Ca peut être effectivement un feuilleton, mais c'est vous les journalistes qui le faites. Pour moi, c'est fini. J'aurais préféré qu'il démissionne, oui. Moi j'ai commencé ma carrière par créer un club amateur, je ne me voyais pas licencier un jour Raymond Domenech, mais c'est comme ça."
M. Duchaussoy a ajouté que le caractère de "faute grave", qui ne donne pas droit à des indemnités, avait été retenu après consultation. Le dirigeant s'est dit serein dans les arguments juridiques retenus par les avocats de la Fédération contre Domenech.
Il est reproché à Domenech d'avoir refusé de serrer la main de Carlos Alberto Parreira, sélectionneur de l'Afrique du Sud, lors du dernier match des Bleus au Mondial-2010.
M. Duchaussoy en veut aussi à Domenech "de ne pas avoir averti le président (à l'époque Jean-Pierre Escalettes, démissionnaire depuis), présent sur place, des événements qui se sont passés à la mi-temps de France-Mexique".
Domenech avait lu devant les caméras du monde entier le communiqué des grévistes à Knysna le 20 juin. Une lecture qui lui est reprochée car ce texte était hostile à la FFF.
"Dans cette procédure, on ne peut retenir les faits que sur les deux derniers mois, donc on a retenu ces faits", a commenté M. Duchaussoy. Interrogé sur les différences entre "faute grave" et "faute lourde", M. Duchaussoy a dit: "pour retenir le terme de terme de faute lourde, il aurait fallu qu'il mette le feu à la Fédé!".
Et quand un journaliste a relancé: "mais c'est ce qu'il a fait non, il a mis le feu à la Fédé et au football français?", M. Duchaussoy a simplement rétorqué: "Là vous jouez sur les mots, dans le juridique, on ne joue pas sur les mots".
"Domenech, j'ai travaillé avec lui quand j'étais dans le foot amateur (M. Duchaussoy a été président des amateurs) et je n'avais jamais eu de problème avec lui, mais voilà, sur ce dossier (le Mondial-2010 et ses suites) j'ai signé sa lettre de licenciement", a conclu le président par intérim.
basketball
Les Etats-unis en démonstration
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L’équipe américaine n’a pas connu le moindre souci face à l’Angola. Elle retrouvera la Russie en quarts de finale.
le 06 septembre 2010, 23h09
LeMatin.ch & les agences
Championnats du monde Istanbul
Les Etats-Unis n’ont pas fait de détail pour obtenir leur billet pour les quarts de finale du Championnat du monde en Turquie. En huitième à Istanbul, les Américains ont écrasé l’Angola (121-66) et retrouveront au tour suivant la Russie, qui a dominé la Nouvelle-Zélande 78-56.
Les Américains ont été en démonstration, dans le sillage de Chauncey Billups (19 points et 4 passes décisives) et Kevin Durant (17 et 5 rebonds).
Les hommes de Mike Krzyzewski avaient déjà fait le plus dur après le premier quart-temps, en menant de vingt unités (33-13). «Coach K» a ainsi pu se permettre de faire tourner et d’économiser son effectif en vue du prochain tour. Billups n’a ainsi joué que 19 minutes, tout comme Durant.
Très altruistes
«On a été très altruistes comme le montrent nos trente passes décisives. En fait on a joué comme à l’entraînement, ce qui est toujours un plaisir pour un coach», a savouré l’entraîneur Mike Krzyzewski.
Le «Team USA», jusqu’ici impérial, passera son premier vrai test en quarts face aux Russes. Ces derniers n’ont jamais tremblé contre la Nouvelle-Zélande, équipe surprise de ce championnat, pour s’imposer largement au terme d’un dernier quart-temps prolifique (27-16). Le meilleur marqueur de la formation russe – très homogène – a été Vorontsevic (18 points).
chrisgaz
07/09/2010, 08h26
faut qu ils arretent de nous saouler avec ca... Domenech avait ses défaut, je n aime pas du tout ce mec, mais la, c est limite linchage... et aux vu du resultat de l équipe de france en bielorussie, finalement, il n y a pas que Domenech qui est incompetent... on verra ce soir, mais faut pas trop rever....
Je trouve cela nul de s acharner sur ce mec... qu on lui foute la paix un peu...
Djokovic rejoint Monfils en 1/4 de l'US Open
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Le Serbe Novak Djokovic, 3e joueur mondial et tête de série N.3, vainqueur de l'Américain Mardy Fish (ATP 21/N.19) 6-3, 6-4, 6-1, en 1h50, s'est qualifié lundi pour les quarts de finale de l'US Open de tennis. Djokovic disputera son 14e quart de finale dans une épreuve du Grand Chelem face au Français Gaël Monfils (ATP 19/N.17).
Yanina Wickmayer éliminée de l'US Open
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Yanina Wickmayer n'a pas réussi à suivre l'exemple de Kim Clijsters. Lundi, la Brabançonne flamande, 18e mondiale et tête de série N.15, a été éliminée en huitième de finale de l'US Open de tennis par l'Estonienne Kaia Kanepi (WTA 32/N.31) en trois manches: 0-6, 7-6 (7/2) et 6-1. La rencontre a duré 2h21.
Un bon début...
Tout avait pourtant si bien débuté. La joueuse belge n'a dû batailler que 12 minutes dans le premier set, le temps d'arracher le service de son adversaire dans le premier jeu. Elle a ensuite aligné les cinq jeux suivants (0-6 en 36 minutes).
Wickmayer crut avoir fait le plus dur quand elle mena 0-1 service à suivre, puis encore 2-4 dans la 2e manche. Kanepi en décida autrement. Elle devint la patronne sur le court, allongea, alourdit sa balle et aligna les jeux (5-4). Yanina, qui commit trop de fautes directes, sauva certes trois balles de set avant d'arracher le jeu décisif où elle fut surclassée (2/0, 5/1 et 7/2).
Dépassée
Wickmayer, 20 ans, demi-finaliste en 2009, perdit pied dans la troisième manche. Cédant son service d'entrée, elle se retrouva menée 4-0. Avec deux breaks contre elle, la tâche s'avérait trop difficile. Elle sauva l'honneur à 4-1 avant de s'avouer battue.
L'Estonienne mène désormais 3-1 dans leurs duels.
Kanepi rencontrera en quart de finale la gagnante du match qui oppose plus tard dans la journée l'Allemande d'origine bosniaque Andrea Petkovic (WTA 38) à la Russe Vera Zvonareva (WTA 8/N.7), finaliste cette année à Wimbledon
Usain Bolt veut devenir footballeur professionnel
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Le sprinter jamaïcain Usain Bolt pense déjà à la suite de sa carrière. Il a révélé vouloir devenir footballeur professionnel. Mais pas avant d'avoir porté le record du monde du 100 mètres à 9.40 secondes.
Interviewé lors de l'émission Sportweek de la BBC, Usain Bolt a révélé quels étaient ses objectifs pour l'avenir. D'abord porter le record du monde du 100 mètres à 9.4 secondes, "un temps qui ne sera probablement jamais battu", explique Bolt, âgé de 24 ans.
Ensuite, d'ici quatre ans, il a un projet plus surprenant: "Je suis certainement un bon footballeur, un milieu défensif ou offensif", explique le sprinter jamaïcain, supporter de Manchester United.
"Je regarde toujours ces gars jouer et je pense que je pourrais être un footballeur professionnel. J'aimerais bien jouer au football pendant deux ans. Peut-être que je pourrai jouer dans un club du top, ou alors dans un club de milieu de classement".
Bolt a également révélé qu'avant de se mettre à l'athlétisme il avait essayé un autre sport d'équipe: le cricket.:fou:Il va être dur à tenir--:D:D
football
Malgré tout, cela reste jouable
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Entraîneurs: Ottmar Hitzfeld (à gauche), 61 ans. Salaire annuel:2,4 mios et Fabio Capello (à droite), 64 ans. Salaire annuel:12,3 mios
Comparés aux Anglais, les Suisses ne pèsent pas lourd. Plusieurs facteurs pourraient toutefois faire pencher la balance de l'autre côté. «Le Matin» vous détaille lesquels
Nicolas Jacquier - le 06 septembre 2010,
Le Matin
Eliminatoires de l'Euro 2012 Bâle
Au moment où la Suisse entame ce soir à Bâle sa campagne pour l'Euro 2012 en accueillant l'Angleterre - favori et leader du groupe G après son facile succès obtenu à Wembley contre de faibles Bulgares -, les chiffres ne parlent pas en faveur de notre équipe nationale. Que ce soit en termes de salaire, de valeurs économiques ou de bilan des confrontations entre les deux pays, tout plaide pour les visiteurs. Si l'on additionne le poids financier des onze titulaires supposés (soit la valeur marchande de chacun d'entre eux), l'Angleterre pèse plus de 3,5 fois plus que la «petite» Suisse. Estimé à 3 millions de francs, Steve von Bergen ne fait ainsi pas le poids comparé au poids lourd Rooney, l'homme par qui le scandale arrive valant théoriquement... 25 fois la valeur du défenseur de Cesena! Heureusement, ce ne sont pas les chiffres qui jouent.
Un furtif coup d'oeil sur les statistiques n'incite guère davantage à l'optimisme. Avec un bilan chiffré penchant nettement en faveur des Three Lions (surnom de l'équipe d'Angleterre). En 24 matches, la Suisse a baissé pavillon à 17 reprises et obtenu 4 nuls. On ne dénombre que 3 exploits (succès) suisses, le dernier - signé 2-1 à Bâle le 30 mai 1981 - grâce à Sulser et à Scheiwiler. Heureusement là aussi, ce n'est pas le passé qui joue...
Chez les bookmakers également, l'Angleterre fait figure d'épouvantails. Les joueurs de Capello sont donnés gagnants à 1,9, tandis qu'une victoire suisse rapporterait 3,7 fois la mise initiale (un nul cote à 3,3).
Alors qu'un vent de fatalisme balaie le pays à mesure que l'échéance approche, cessons de pleurnicher et attardons-nous plutôt sur quelques signes porteurs d'exploit espéré. «Le Matin» a trouvé au moins trois raisons d'y croire:
1. Un rôle qui lui convient
La Suisse n'est pas favorite, et alors? Elle ne l'était pas davantage le 16 juin dernier, à Durban, avant d'affronter l'Espagne. Cela n'a pas empêché ses joueurs de signer la plus grosse surprise de la Coupe du monde en dominant les futurs maîtres de la planète foot. Quatre-vingt-trois jours plus tard, on se retrouve exactement dans la même configuration. La Suisse n'est jamais autant à l'aise que dans un rôle d'outsider qui lui convient à merveille. Dans des conditions climatiques qui promettent d'être très British (la pluie est annoncée), aux Helvètes de profiter de l'inévitable excès de confiance qui habituera les sujets de Sa Gracieuse Majesté. Hitzfeld avait su trouver la parade pour mettre échec et mat l'Espagne. Gageons que l'ancien mathématicien qu'il est saura faire tomber la reine en adoptant la meilleure - la même? - stratégie. Avant de se ruer à l'attaque en ordre désordonné, la Suisse veillera une nouvelle fois à bien défendre. Ce qu'elle sait faire de mieux.
2. La fin des séries
C'est un fait: la Suisse n'a plus gagné à domicile depuis beaucoup trop longtemps. Elle reste sur une série négative de 6 matches sans victoire. Il faut remonter au 5 septembre 2009, soit il y a plus d'une année, pour trouver trace de sa dernière victoire à la maison (2-0 devant la Grèce). La venue de l'Angleterre lui offre l'opportunité d'entamer une nouvelle série, positive celle-là. Et comme ses attaquants, muets depuis plus de 1000 minutes, vont bien finir par retrouver le chemin des filets, autant que cela soit dès ce soir! Devant son public, parions que Frei va se libérer. Derdiyok ou Streller auront aussi des occasions. Qu'il faudra cette fois convertir.
3. Le soutien du public
Face à une équipe privée, elle aussi, de plusieurs titulaires, la Suisse opposera son état d'esprit, sa volonté de faire corps collectivement. Elle devra pour cela pouvoir compter sur le soutien efficace de ses vrais fans. Après les sifflets saint-gallois de la honte, le public du Parc Saint-Jacques sera appelé à jouer son rôle si important de douzième homme. A lui de porter son équipe, de l'encourager dans les moments difficiles et de mettre aussi la pression sur M. Rizzoli, l'arbitre italien de la partie. Afin de réussir, tous ensemble, à inverser la tendance. Et de permettre à la Suisse de faire pencher la balance de l'autre côté! Du bon côté.
Commentaire de Nicolas Jacquier: Ottmar remet en jeu son crédit
C'est un avantage pour la Suisse: à condition d'y mettre la forme, personne ne pourra lui reprocher de s'incliner contre les Anglais. Même si tout le monde préférerait bien sûr encenser ses joueurs. Sur le coup de 22 h 30, qu'en sera-t-il?
Après un Mondial globalement raté - un gros exploit et puis plus rien -, l'équipe nationale se retrouve à la croisée des chemins. Compte tenu d'un réservoir limité, elle doit donner tort aux sceptiques qui doutent de ses réelles capacités et séduire ceux qui adhérent aux principes que son sélectionneur a mis en place. Ce n'est pas gagné d'avance mais possible. La Suisse a des valeurs, des arguments; qu'elle s'y accroche et s'en inspire!
Plus encore que ses joueurs, Ottmar Hitzfeld abattra une carte importante. L'homme a beau avoir tout gagné, tout connu dans sa carrière, c'est sa réputation même qu'il s'apprête à remettre en jeu. Le défi est à la hauteur du personnage. Au moment où le sélectionneur dissèque ses conseils avisés - promu homme de pub, Hitzfeld est la tête d'affiche de la nouvelle campagne de la banque partenaire du football suisse -, son crédit pourrait souffrir d'un mauvais placement. Où il est question, sur le rectangle vert aussi, d'investissement à court terme, de capital à renforcer. Et de risques mesurés à prendre.
Aie...:fou:Un gros morceau:)
Diables Rouges: "En Turquie pour gagner"
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Les Diables Rouges seront en quête de leurs premiers points ce soir contre la Turquie, dans le stade Sükrü Saracoglu. Coup d'envoi à 20h.
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Bonne nouvelle pour le deuxième match qualificatif des Diables à l'EURO 2012: Georges Leekens peut compter sur Vincent Kompany. "Mon mollet va bien, a déclaré lundi à Kompany. "J'ai dû mordre sur ma chique contre l'Allemagne, mais la Turquie est un match important. Je suis donc disponible."
"Le résultat contre la Turquie n'est pas déterminant pour le reste de la campagne, mais nous ne voulons pas être six points derrière l'Allemagne et la Turquie. Nous voulons des points maintenant, pas en octobre."
"Croire en nos qualités"
Kompany a donné une impression de confiance à la conférence de presse à Istanbul. "Nous sommes ici pour gagner, a déclaré le joueur de Manchester City. "Notre objectif est clair. Nous devons croire en nos qualités."
"Un match en Turquie est difficile pour tout le monde, même pour l'Allemagne. Nous respectons les Turcs, parce qu'ils ont beaucoup de qualités. Je m'attends à un match passionnant. Ce type de rencontre se joue toujours le couteau entre les dents." (Ch.D.)
Le Japonais Kobayashi prolonge d'un an chez Sauber
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Le pilote japonais Kamui Kobayashi a prolongé d'une saison, jusque fin 2011, son contrat avec Sauber, a annoncé l'écurie suisse de Formule 1 mardi dans un communiqué.
Kobayashi, 23 ans, occupe actuellement la 12e place du Championnat du monde, avec 21 points.
L'Espagnol Pedro de la Rosa est le 2e pilote chez Sauber, mais aucune décision n'est encore prise à son sujet concernant une reconduction éventuelle de son contrat. (belga)
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07/09/10 11h46
Un verre ça va, deux verres au revoir la Vuelta !
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Entre Andy Schleck et Bjarne Riis, ce n'est plus le grand amour.
Coup de tonnerre à la Vuelta ! Bjarne Riis, le manager de la Team Saxo Bank, a expulsé Andy Schleck et Stuart O'Grady de la Vuelta. Les deux coureurs ont enfreint les règles internes de l'équipe en consommant de l'alcool après les repas. C'est la raison pour laquelle Andy Schleck et Stuart O'Grady n'ont pas pris part au départ de la 10e étape à Vilanova.
"Après le repas du soir, j'ai été boire un verre. C'est pourquoi Bjarne Riis a décidé de me renvoyer de la Vuelta avec Stuart O'Grady", a précisé Andy Schleck à Cyclingnews. "Je suis responsable. Et bien que j'estime que la décision est sévère, je l'accepte. Bjarne est le patron. Il doit faire ce qu'il pense le mieux pour l'équipe. C'est dommage car je me sentais en forme est j'étais prêt à retrouver les montagnes avec mon frère Frank."
La relation entre Andy Schleck et Bjarne Riis n'est plus au beau fixe depuis que le coureur luxembourgeois a officialisé son départ. Désormais, Fränck Schleck (le nouveau leader) devra lutter sans son frère pour la victoire finale dans la Vuelta.
:DBoire ou conduire il faut choisir.......:D
Philippe Gilbert avec 4 équipiers au championnat du monde
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Chef de file de l'équipe belge pour le championnat du monde sur route, Philippe Gilbert pourra compter à ses côtés sur 4 de ses équipiers chez Omega Pharma-Lotto au sein de la sélection du coach national, Carlo Bomans: Mario Aerts, Jan Bakelants, Jürgen Roelandts et Greg Van Avermaet.
Stijn Devolder (Quick Step), Kevin De Weert (Quick Step), Bjorn Leukemans (Vacansoleil) et Frederik Willems (Liquigas) complètent la sélection de 9 coureurs communiquée mardi au siège de la Ligue vélocipédique belge (RLVB).
Le championnat du monde du route se disputera le 3 octobre à Geelong près de Melbourne en Australie.
Espagne ou France? Zidane décidera pour qui son fils jouera
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Alors que son fils aîné, Enzo, brille avec les cadets du Real Madrid, Zinédine Zidane a indiqué qu'il choisirait pour lui la sélection, Espagne ou France, si un jour il est convoqué.
"Quand ils le convoqueront, c'est à ce moment là que je déciderai", a déclaré Zidane à Madrid, lors de la présentation d'un tournoi de jeunes, et dont les propos sont publiés mardi dans le journal AS.
"Si l'Espagne l'appelle, ce sera bien, et si c'est la France, ce sera bien aussi", a ajouté l'ancien meneur de jeu du Real Madrid et de l'équipe de France.
"Pour l'instant il profite du foot avec le Real Madrid, c'est ce qui compte", a conclu "Zizou", alors qu'Enzo, 15 ans, pourrait être appelé pour jouer en sélection des moins de 16 ans.
Le journal sportif AS a récemment fait sa Une sur le jeune Zidane, soulignant qu'il était l'un des meilleurs de son équipe et qu'il rappelait beaucoup son père sur le terrain en multipliant les prouesses techniques.
Zidane, qui avait pris sa retraite après une dernière saison avec le Real et le Mondial 2006 avec les Bleus, vit toujours à Madrid avec sa famille.
Il est également conseiller spécial du président du Real, Florentino Perez.
EURO 2012 (QUALIFICATIONS)/BOSNIE - FRANCE.
Au pied du mur, les Bleus jouent déjà leur avenir
Battus au Stade de France par la Biélorussie, les Bleus ont une obligation de résultat ce soir face aux Bosniaques. La défaite est interdite. Ce soir, dès 21 heures.
HAROLD MARCHETTI | 07.09.2010, 07h00
Sortie en titubant de son baptême du feu face à la Biélorussie, l’équipe de France (http://actualites.leparisien.fr/france.html) se retrouve aux travaux forcés, ce soir à Sarajevo, dans une fin d’été étirant ses langueurs. Quatre jours ont passé. Un laps de temps insuffisant pour panser les plaies. L’orgueil en bandoulière, la jeune classe tricolore étale, avec candeur, son désir d’écrire une autre histoire.
A 21 heures, les Bleus seront seuls face à eux-mêmes. Face à la fière Bosnie, naturellement. Mais essentiellement face à eux-mêmes. C’est sûr, ils n’ont pas été si mauvais contre les Biélorusses. Mauvais dans l’efficacité, c’est entendu, mais pas nuls pour le reste.
Mais, à dire vrai, on ne sait pas encore ce que vaut cette équipe. Le spectre de ses insuffisances est large. Elle paye déjà l’absence d’une personnalité forte, d’une figure tutélaire capable de fédérer le groupe. En quête d’une identité de jeu, d’une ligne directrice et de ressources collectives, elle manque, en réalité, un peu de tout. Le haut niveau requiert de l’intelligence, un zeste de rouerie et des cadres pour saupoudrer le tout. « On est là pour faire prendre confiance aux joueurs. C’est ça, le gros problème, avoue Laurent Blanc (http://actualites.leparisien.fr/laurent+blanc.html). Contre la Bosnie, ils n’auront pas plus d’expérience que contre la Biélorussie. On s’efforce de leur faire prendre conscience qu’ils ont des qualités et qu’ils peuvent faire une bonne équipe. »
Ce soir, les Français devront d’abord songer à bien défendre. Blanc ne s’y est pas trompé. Il a choisi de privilégier un milieu à trois récupérateurs. Sous l’ère Jacquet, pareil système avait fait florès. « J’avais décidé avant de muscler mon équipe, quel que soit le score contre la Biélorussie, précise le sélectionneur. La Bosnie est la nation la plus solide du groupe, je crois. On va faire en sorte de ne pas perdre trop de points contre cette sélection, dotée d’un pouvoir offensif assez intéressant. On ne peut pas se permettre de dire : On va faire le jeu. On va essayer d’être solides, serrés. » Pas besoin de décryptage. L’opération séduction est différée. Il y a urgence. A l’aube d’une saison que l’on n’imagine pas achevée dès l’automne, ouvrant alors un vide abyssal de compétition, les Bleus s’avancent sur le fil du rasoir. L’échec du Stade de France (http://actualites.leparisien.fr/france.html) a déjà jeté une ombre sur les qualifications de l’Euro 2012. « S’il y a bien un bon moment pour prendre les Français, c’est en ce moment, a lancé Miralem Pjanic, le Bosniaque de Lyon. Il y a beaucoup d’absents, c’est notre chance. Et le stade sera plein à craquer. » Le décor est planté.
... Les deux coureurs ont enfreint les règles internes de l'équipe en consommant de l'alcool après les repas. C'est la raison pour laquelle Andy Schleck et Stuart O'Grady n'ont pas pris part au départ de la 10e étape à Vilanova.
Ils n'ont pas le droit de boire de l'alcool après le repas....mais ils peuvent rouler chargés avec plein de saloperie dans le sang....
On croit rêver :diable:
Ils n'ont pas le droit de boire de l'alcool après le repas....mais ils peuvent rouler chargés avec plein de saloperie dans le sang....
On croit rêver :diable:
Peut-être parce qu'il vaut mieux éviter les mélanges:D
ÉLIMINATOIRES EURO 2012 BÂLE
Un match et déjà dos au mur!
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Image © Laurent Crottet
A l'image de Streller, la Suisse a eu beaucoup de peine à inquiéter la défense anglaise
L'équipe de Hitzfeld rate son entrée en campagne européenne. Parfois dépassés par des Anglais plus forts, les Suisses n'ont de surcroît pas été aidés par l'arbitre
Renaud Tschoumy - le 07 septembre 2010, 23h54
Le Matin
SUISSE - ANGLETERRE1-3(0-1)
C'est mal parti. Battue hier par l'Angleterre dans un Parc Saint-Jacques plein à craquer, la Suisse de Hitzfeld se retrouve déjà dos au mur. Le Monténégro ayant de surcroît récolté son deuxième succès consécutif - comme l'Angleterre -, deux équipes se retrouvent déjà avec un total de six points après deux matches.
Inutile de souligner l'importance du rendez-vous du 8 octobre prochain, à Podgorica: au Monténégro, la Suisse sera tout simplement condamnée à la victoire, sous peine d'hypothéquer plus que sérieusement ses chances de qualification.
Rooney en forme
Les Suisses ont été pris à froid par Wayne Rooney, insaisissable en première mi-temps et dont les ennuis privés n'ont visiblement aucune prise sur son état de forme. Après dix minutes de jeu, c'est lui qui était à la réception d'un service de Glen Johnson. La Suisse voulait tenir le plus longtemps possible sans encaisser de but, elle se retrouvait déjà dans l'obligation de faire le jeu, une entreprise qui n'est pas sa marque de fabrique.
Parfois étouffés, les Suisses ont relevé la tête en fin de première mi-temps, et ils ont abordé la seconde avec des intentions un peu plus offensives. Mais la partie allait basculer en quatre minutes. Entre la 65e minute, moment choisi par l'arbitre italien Nicola Rizzoli pour adresser un deuxième avertissement plus que sévère à Lichtsteiner, et la 69e, lorsqu'Adam Johnson doubla la mise. Le but de Shaqiri, pour somptueux qu'il fut, ne servit qu'à réveiller le stade inutilement, puisque les Suisses allaient encore encaisser un troisième but.
Automne parfait à réaliser
Les statistiques ne mentent pas: la Suisse ne s'est jamais qualifiée pour une phase finale lorsqu'elle commençait sa campagne par une défaite. Doit-on désormais considérer qu'elle est d'ores et déjà larguée? Non, parce qu'elle a parfois - mais de manière trop intermittente - montré des choses intéressantes, ce qu'elle n'avait pas réussi à faire contre le Honduras au Mondial, par exemple.
Pour espérer voyager en Pologne et en Ukraine, dans un peu moins de deux ans, elle devra réussir un automne parfait. Cela passe par une victoire au Monténégro, puis une autre contre le Pays de Galles, à Bâle. On saura alors si elle est revenue dans la course à la qualification.
éliminatoires de l'euro 2012 - Sarajevo
Les Bleus retrouvent des couleurs
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Image © Keystone
L'équipe de France s'impose en Bosnie grâce notamment à Karim Benzema
le 07 septembre 2010, 23h48
LeMatin.ch & les agences
Bosnie-Herzégovine - France 0-2(0-0)
La France a peiné dans le groupe D des qualifications de l'Euro 2012, mais elle a fini par prendre la mesure de la Bosnie-Herzégovine (0-2). Les autres favoris ont également assuré, sauf le Portugal qui a une nouvelle fois trébuché (1-0 en Norvège).
Indisponible vendredi en raison d'une blessure, Karim Benzema a fait un retour remarqué à la pointe de l'attaque française. Le Madrilène a frappé le poteau (12e), avant d'envoyer un coup franc tout près de la lucarne de Kenan Hasagic (19e). Dans la foulée, Abou Diaby a galvaudé un duel avec le gardien bosniaque.
Dominateurs comme face à la Biélorussie (défaite 0-1), les Français ont de nouveau montré des lacunes dans les trente derniers mètres. Mais Benzema, d'un éclair de génie à vingt minutes du terme de la partie, a remis les Bleus sur les bons rails. Six minutes plus tard, Florent Malouda a assuré le succès tricolore qui sera, à n'en pas douter, une vraie bouffée d'air frais pour Laurent Blanc.
Portugal en danger
Les grandes équipes européennes avaient un menu plutôt frugal, mais ils l'ont tout de même englouti avec appétit. L'Italie (gr. C) a avalé les Iles Féroé sur le score de 5-0 (avec cinq buteurs différents), les Allemands (gr. A) n'ont fait qu'une bouchée de l'Azerbaïdjan (6-1/doublé de Klose), tandis que les Pays-Bas (gr. E) se sont contentés du régime minimal contre la Finlande (2-1). Le Portugal est à la dérive dans le groupe H. Incapables de se défaire de Chypre lors de leur entrée en lice (4-4), les hommes de Carlos Queiroz - suspendu six mois - se sont une nouvelle fois ratés en Norvège (1-0).
tennis
Nadal sans trembler contre Lopez
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/Nadal_1.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/Nadal_1.JPG)
Image © KEYSTONE
Rafael Nadal
Rafael Nadal a poursuivi son entreprise de démolition à l'US Open. L'Espagnol s'est qualifié pour les quarts de finale en dominant aisément son compatriote Feliciano Lopez 6-3 6-4 6-4 en 2h08'.
le 08 septembre 2010, 08h59
LeMatin.ch & les agences
En quart de finale, Rafael Nadal affrontera jeudi un autre compatriote, Fernando Verdasco.
Le vainqueur de Roland-Garros et Wimbledon 2010 n'a toujours pas concédé le moindre set, ni même le moindre jeu de service jusqu'ici dans ce tournoi ! Il n'a laissé aucune chance à Feliciano Lopez, qui n'inscrivait que 16 points à la relance. Son duel avec Fernando Verdasco sent en revanche la poudre. Les deux hommes avaient livré un match d'anthologie en demi-finale de l'Open d'Australie 2009, Rafael Nadal s'imposant 6-7 6-4 7-6 6-7 6-4 en 5h14' deux jours avant de conquérir le titre aux dépens de Roger Federer en finale.
Verdasco héroïque!
Une fois n'est pas coutume, c'est dans le Louis Armstrong Stadium que s'est déroulé le premier grand match de la quinzaine. Fernando Verdasco est revenu de nulle part mardi soir face à David Ferrer (no 10) dans l'autre choc 100% espagnol. Mené deux sets à rien puis 1-4 dans le tie-break décisif, il trouvait les ressources pour s'imposer 5-7 6-7 (8/10) 6-3 6-3 7-6 (7/4) en 4h23'. Le Madrilène électrisait les 10 000 spectateurs en concluant la partie sur un incroyable passing de coup droit armé du bout de la raquette après une volée amortie que David Ferrer croyait gagnante.
Clijsters toujours en course
Dans le tableau féminin, Kim Clijsters (no 2) poursuit sa quête d'un troisième trophée à Flushing Meadows. La Belge, titrée en 2005 et 2009 mais absente de 2006 à 2008, a fêté sa 19e victoire d'affilée mardi à New York. Elle s'est imposée 6-4 5-7 6-3 face à l'Australienne Samantha Stosur (no 5), qui a mené 3-2 service à suivre dans la manche décisive avant de s'écrouler. Elle affrontera en demi-finale Venus Williams (no 3), qui cherchera à venger l'incroyable défaite subie sur disqualification par sa soeur Serena face à la Flamande l'an passé en demi-finale.
0 sur 6 pour les Diables, la Turquie fait le plein
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Seconde défaite de suite pour les Diables: il y a du pain sur la planche.
L'Euro 2012 s'éloigne (déjà) pour les Diables. Même si Van Buyten s'est racheté grâce à un doublé ce soir à Istanbul, c'est bel et bien la défense de Georges Leekens qui a affiché toutes ses limites. Kompany a été exclu et les erreurs individuelles ont permis à la Turquie de s'imposer finalement (3-2, mi-temps: 0-1).
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Van Buyten avait ouvert la marque pour les Diables.
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Grosse déception pour Vertonghen.
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Hiddink, un coach heureux.
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Poussée par son public, la Turquie aura cru jusqu'au bout à ses chances.
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Lukaku a offert le second but à Van Buyten.
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Arda, le buteur décisif pour la Turquie.
Revivez le match phase par phase (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1154485/Turquie---Belgique.dhtml)
Les plus belles images (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1510/Football-Etranger/photoalbum/detail/8/1154721/876723/0/Turquie-Belgique.dhtml)
Van Buyten n'est plus la tête de Turc
Désigné logiquement comme LE coupable du revers essuyé par les Diables contre l'Allemagne (0-1 vendredi soir), Van Buyten s'est racheté. A la suite d'un corner tiré par Alderweireld, "Big Dan" devançait la sortie de Kivrak d'une tête rageuse (27e, 0-1). Les Diables pouvaient se mettre à rêver...
Alderweireld fautif sur l'égalisation
Comme ce fut le cas contre l'Allemagne, il a fallu attendre une erreur individuelle pour relancer les Turcs dans le match. Cette fois, c'est Alderweireld qui perdait inutilement le cuir. Kobyasi débordait sur son flanc gauche et, bien que Simons déviait le légèrement le cuir, Hamit Altintop récupérait le sésame. En deux temps après un premier bel arrêt de Bailly, le joueur du Bayern Munich fusillait le dernier rempart des Diables (51e, 1-1)
Exclusion de Kompany
Mirallas à peine monté au jeu (en lieu et place de Dembélé blessé), c'est un coup dur qui attendait les hommes de Georges Leekens avec l'exclusion de Kompany (deux cartons jaunes). Déjà averti pour un jeu dangereux en première période, le défenseur de Manchester City taclait fautivement H. Altintop après avoir perdu la balle.
Des erreurs individuelles intolérables
Alderweireld, Kompany, Van Buyten, Vermaelen et même Vertonghen replacé dans l'axe central après la sortie de Kompany: tous les défenseurs, sans exception, auront été coupables d'erreurs et/ou de pertes de balles inacceptables à ce niveau. Pour le coup, c'est Vertonghen qui se "trouait" littérallement. Du pain béni pour Sentürk seul devant Bailly. (66e, 2-1).
"Big Dan" remet le couvert
Sur un coup franc tiré par Mirallas, Lukaku (peu à son affaire) arrivait à rabattre le ballon vers Van Buyten. "Big Dan", pour la seconde fois de la soirée, marquait de la tête pour les Diables (68e, 2-2). Les Diables pensaient alors tenir le match nul.
Pas de bol pour les Diables
La chance avait également choisi le camp de la Turquie, plus réaliste en seconde période. Un tir d'Arda fut dévié malencontreusement par Fellaini et le cuir prenait Bailly à contre-pied (78e, 3-2). La messe était dite pour la Belgique.
L'Euro 2012, c'est mal barré !
Mais force est de constater qu'avec deux défaites en autant de rencontres, les Diables sont mal barrés pour l'Euro 2012. Il faudra quasiment un miracle pour que ces Diables-là arrivent à leurs fins.
L'Argentine étrille l'Espagne championne du monde
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Mardi au stade Monumental de Buenos Aires, l'Argentine a battu l'Espagne 4 à 1 (mi-temps: 3-0) en match amical. Messi (10e), Higuain (13e) et Tevez (34e) ont rapidement donné l'avance aux Argentins. Les champions du monde ont sauvé l'honneur par Llorente (84e) avant que la 4e vedette offensive argentine Agüero, monté au jeu en remplacement de Higuain, n'y aille de son but personnel (90e+1).
À Buenos Aires:
Argentine - Espagne 4 - 1 (mi-temps 3-0)
Les équipes:
Argentine: Romero - Zanetti, Demichelis, G. Milito, Heinze - Banega, Mascherano (cap), Cambiasso - Messi (D'Alessandro 89e), Higuain (Agüero 67e), Tevez (Di Maria 60e).
Sélectionneur: Sergio Batista
Espagne: Reina (Valdez 46e) - Arbeloa, Pique, Marchena, Monreal - Busquets, Xabi Alonso (Pedro 70e), Iniesta (Cazorla 46e), Fabregas (Xavi 56e) - Villa (Llorente 46e), Silva (Navas 46e).
Sélectionneur: Vicente del Bosque.
Les buts: Messi (10e), Higuain (13e), Tevez (34e), Llorente (84e), Agüero (90e+1).
Avertissements: Milito (11e), Cambiasso (19e), Heinze (63e), Di Maria (76e), Mascherano (87e), Arbeloa (22e) Fabregas (22e). (belga)
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08/09/10 07h50
Imanol Irviti gagne en solitaire la 10e étape de la Vuelta
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Joaquin Rodriguez, le nouveau leader de la Vuelta.
L'Espagnol Imanol Irviti (Caisse d'Épargne), 26 ans, a remporté en solitaire la 10e étape du Tour d'Espagne, disputée mardi sur 175,7 km entre Tarragone et Vilanova i la Geltru. Portant son attaque à 20 km de l'arrivée, dans la descente de l'Alto del Rat Penat, un col de 1ère catégorie, Irviti a résisté seul à huit poursuivants, où figuraient nos compatriotes Greg Van Avermaet et Romain Zingle.
Sur la ligne à Vilanova, Irviti, qui a déjà signé une victoire d'étape sur la Vuelta en 2008, a devancé de 37 secondes le groupe de huit, où Zingle prenait la 2e place devant Van Avermaet et l'Italien Mauro Finetto. Philippe Gilbert a pris la 12e place, terminant 3e du sprint du peloton pour la 10e place, à 1:38 du vainqueur.
L'Espagnol Joaquin Rodriguez a lui dépossédé son compatriote Igor Anton (Euskaltel) du maillot rouge de leader, après avoir engrangé deux secondes de bonification lors d'un sprint intermédiaire. Classé dans la même seconde au départ de l'étape, Rodriguez compte désormais deux secondes d'avance sur Anton. Gilbert est 13e au général, à 1:51 du leader.
Peut-être parce qu'il vaut mieux éviter les mélanges:D
+1000
On a toujours entendu qu'il ne faut pas boire d'alcool lorsque l'on est sous antibiotiques, alors quand on est sous EPO...:D:D:D
Margotte
08/09/2010, 12h09
j'suis contente pour l'Argentine :content:!!
par contre t'as pas oublié la France :diable:?
j'suis contente pour l'Argentine :content:!!
par contre t'as pas oublié la France :diable:?
:non::non:Margotte il y a un article sur la France...... tu roupilles?:):amoureux:
Cinquante
08/09/2010, 12h16
:non::non:Margotte il y a un article sur la France...... tu roupilles?:):amoureux:
Ben faut bien qu'elle se repose de sa journée de grève ! :fou:
;)SPECIAL MARGOTTE...........
Benzema et Malouda redonnent le sourire aux Bleus
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Enfin! L'équipe de France, si inquiétante lors de sa défaite contre le Belarus (1-0) vendredi, s'est relancée avec un succès précieux en Bosnie mardi (2-0) dans les qualifications de l'Euro 2012 (groupe D), grâce à des buts de Benzema et Malouda. La première victoire de Laurent Blanc, après deux défaites, va peut-être constituer le match référence qu'il fallait aux nouveaux Bleus pour tourner la page du Mondial.
C'est Benzema, non retenu pour le Mondial 2010, qui a ouvert le score avec son 9e but pour sa 29e sélection (1-0, 72e), imité ensuite par Malouda (2-0, 78e). Et la France en a ainsi fini avec une série de sept matches sans victoire: le dernier succès remontait au 26 mai à Lens contre le Costa Rica 2-1 en amical. Les buts des joueurs du Real Madrid et de Chelsea ont concrétisé un bon match des hommes de Laurent Blanc, sans comparaison avec la piètre prestation contre le Belarus vendredi dernier au Stade de France (défaite 1-0).
Dans le sillage d'un Diaby au volume de jeu monstrueux, plaque tournante du jeu, les Bleus ont d'abord bousculés les Bosniaques, les empêchant de construire, avant de trouver enfin la faille dans la défense bosniaque et de mettre un terme à un sempiternel manque de réalisme offensif.
Alors que bien des tourments leur étaient promis, les Français se sont ainsi créés les meilleures occasions tout de suite, avec Benzema (12e, 19e, 26e, 44e), Mvila (27e) ou ce diable de Diaby (28e). Tout ne fut pas parfait: les Français ont connu des défaillances individuelles, avec en première mi-temps un Sagna une nouvelle fois maladroit sur son côté droit, et un Malouda bien emprunté au début.
Mais "Flo" Malouda s'est réveillé quand il fallait dans le dernier quart d'heure. Les occasions des Bosniaques furent rares: il faut signaler ce coup franc de Pjanic bien détourné par Lloris (65e). A noter aussi la bonne assise défensive avec Rami et Diarra notamment. Des promesses en défense, une attaque qui revit: Enfin, des bonnes nouvelles. A suivre en octobre avec la suite des qualifications.
;)Voili - voilà...........
Ben faut bien qu'elle se repose de sa journée de grève ! :fou:
:D:DPauvre Margotte elle à du fêter ça..............
Margotte
08/09/2010, 13h35
:non::non:Margotte il y a un article sur la France...... tu roupilles?:):amoureux:
oui mais je le trouvais petit bénain mesquin frêle et sans saveur ... maintenant je suis satisfaite :) ... et dieu seul sait comment je suis exigeante :D!
COURSES AUTOMOBILES
Formule 1: il y aura 20 Grands Prix durant la saison 2011
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Image © KEYSTONE-a
La saison 2011 débutera par le GP de Bahreïn.
La saison 2011 de formule 1 comportera 20 Grands Prix, ce qui constitue un nouveau record. Pour la première fois, il y aura une course en Inde, a annoncé la Fédération internationale (FIA).
le 08 septembre 2010, 17h53
LeMatin.ch & les agences
La saison débutera le 13 mars à Bahreïn et prendra fin le 27 novembre au Brésil. Par ailleurs, aucune nouvelle écurie ne prendra part au championnat. "Un certain nombre de parties ont exprimé leur intérêt de participer aux saisons 2011 et 2012 du championnat du monde de F1. Mais aucun des candidats n'a satisfait les exigences pour se voir accorder l'inscription au Championnat", a fait savoir la FIA.
Mondial de basket
Basket: 38 ans après, les USA affrontent la Russie pour la grande revanche
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Trente-huit ans jour pour jour après l’un des matches les plus controversés de l’histoire, les Etats-Unis et la Russie se retrouvent jeudi en quarts de finale du Mondial de basket.
le 08 septembre 2010, 17h11
LeMatin.ch & les agences
La guerre froide est terminée depuis longtemps mais les retrouvailles entre les deux pays font replonger dans une époque où leurs relations étaient constamment au bord de l’implosion et cela également en basket.
Le 9 septembre 1972 aux Jeux de Munich, le monde a assisté à l’un des épisodes les plus marquants de cette rivalité lorsque les Russes ont infligé aux Américains leur première défaite olympique après sept médailles d’or consécutives, au terme d’une finale dramatique (51-50) et sulfureuse, marquée par trois dernières secondes de folie et de polémique.
Aujourd’hui encore les Américains, qui ont toujours refusé de recevoir la médaille d’argent, s’estiment volés et le match a inspiré plusieurs livres et films. Devant sa télévision à l’époque, le jeune David Blatt, 13 ans, pleurait.
"J’étais un énorme fan de basket américain et je ne savais même pas que le basket européen existait jusqu’à ce match", raconte Blatt, un Israélo-Américain qui n’imaginait alors évidemment pas qu’il allait un jour entraîner la Russie.
"Vous plaisantez! J’ai grandi à Framingham dans le Massachusetts avec l’idée du grand méchant Russe. Et voilà que je vais diriger l’équipe de Russie contre les USA en quarts de finale du Mondial. C’est vraiment bizarre. J’espère que les joueurs seront moins déboussolés que moi. C’est juste incroyable."
Incroyable et tellement pittoresque à l’image du parcours de cet entraîneur "globe-trotteur" qui est, à 51 ans, l’un des meilleurs d’Europe. Outre la sélection russe, qu’il a menée au titre de champion d’Europe en 2007, l’ancien arrière de l’université de Princeton a dirigé les clubs du Maccabi Tel-Aviv, Saint-Pétersbourg, Trévise, Efes Istanbul et Salonique.
Il quittera la sélection russe à la fin de ce Mondial et ira retrouver le banc du Maccabi dans sa deuxième patrie, en Israël, où il avait déjà terminé sa carrière de joueur.
Battre les USA, 38 ans après avoir pleuré à cause de leur défaite, lui permettrait de partir sur un contre-pied savoureux. "Non, non, j’ai tendance à être réaliste, ça va être compliqué car les Américains sont longs, agressifs, jouent dur et ont faim, dit-il. On devra faire plein de choses spéciales pour seulement rester dans le match. Je vais essayer de trouver quelques trucs mais je ne suis pas un magicien."
Sur le papier, les Russes, privés de Kirilenko et Holden et où Khryapa est toujours incertain, ont effectivement peu de chances. Mais pour Blatt ce sera beau quoiqu’il arrive.
"Avant le match je vais me regarder dans le miroir et me dire: quand même, quelle histoire! Quand j’y repense, ça me remue à chaque fois", dit-il avant d’ajouter, signe qu’il ne regrette surtout rien de ses cinq années à la tête de la sélection russe: "au fait, je déteste dire ça en tant qu’Américain, mais en 1972, ce sont les Russes qui avaient raison."
COURSES AUTOMOBILES
Formule 1: il y aura 20 Grands Prix durant la saison 2011
La saison débutera le 13 mars à Bahreïn et prendra fin le 27 novembre au Brésil.
Ya pas un truc qui choque. Commencer la saison le 13 mars et finir fin novembre c'est n'importe quoi. Il y a quelques années on commençait mi avril et terminait mi octobre.
Ya pas un truc qui choque. Commencer la saison le 13 mars et finir fin novembre c'est n'importe quoi. Il y a quelques années on commençait mi avril et terminait mi octobre.
moi perso je serai ok pour une saison motogp si longue :)
chrisgaz
08/09/2010, 20h25
moi perso je serai ok pour une saison motogp si longue :)
houaip, tout pareil, l intersaison est trop long...
Tennis
Federer écarte Söderling et tient sa revanche
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Image © KEYSTONE
Roger Federer
Sorti en quart de finale à Roland-Garros et Wimbledon, le Bâlois s'est qualifié pour les demi-finales de l'US Open en battant son "bourreau" parisien Robin Söderling 6-4 6-4 7-5.
le 09 septembre 2010, 06h27
LeMatin.ch & les agences
Roger Federer retrouve sa place dans le dernier carré d'un tournoi du Grand Chelem, après deux éliminations consécutives en quarts de finale à Paris et à Londres. Pour une place en finale, le Bâlois affrontera samedi Novak Djokovic, tombeur du Français Monfils.
Roger Federer a dompté à la perfection les éléments mercredi, dans une soirée gâchée par un vent omniprésent. Timide en début de partie, le Bâlois devait effacer trois balles de break dès son premier jeu de service. Mais sa maîtrise technique lui permettait de prendre rapidement le contrôle des opérations. Il signait ainsi le seul break de la première manche sur une merveille d'amortie de coup droit, jouant alors avec le vent qui la ramenait vers le filet.
Beaucoup plus gêné par le vent en raison d'un lancer de balle très aérien, Robin Söderling n'a pas su profiter des rares moments de faiblesse de Roger Federer. Le Suédois, auteur de 2 aces seulement (le premier intervenait sur son 13e jeu de service !), craquait ainsi complètement après avoir vu un smash pourtant armé après le rebond terminer sa course dans le filet à 4-6 2-2 40/0. Il perdait les huit points qui suivaient, laissant filer le deuxième set. Il manquait également sa chance dans la troisième manche, perdant les quatre derniers jeux alors qu'il avait servi pour le gain du set à 5-3.
Djokovic sur la route de Federer
Roger Federer, qui armait pour sa part 18 aces (dont 2 sur les deux derniers points du match), possède un ascendant psychologique certain sur son prochain adversaire. Il a remporté 10 des 15 duels livrés face à Novak Djokovic (23 ans), dont le plus récent en demi-finale du Masters 1000 de Toronto (6-1 3-6 7-5). Les deux hommes seront opposés pour la sixième fois en Grand Chelem. Roger Federer n'a concédé qu'une seule défaite dans un tournoi majeur, en demi-finale de l'Open d'Australie 2008. Le Bâlois a surtout dominé le Serbe lors des trois dernières éditions de l'US Open, en finale en 2007 puis en demi-finale les deux années suivantes.
Certes, Novak Djokovic tient la forme dans cette quinzaine new-yorkaise. Le vainqueur de l'Open d'Australie n'a pas concédé de set dans ce tournoi depuis son 1er tour remporté en cinq manches face à son compatriote Viktor Troicki (ATP 47), dominant notamment Gaël Monfils 7-6 6-1 6-2 mercredi. "Mon premier match m'a apporté énormément de confiance", soulignait ainsi le "Djoker", qui n'a cependant pas remporté le moindre match face à un membre du top 10 en 2010 !
:content::content::content::amoureux:
cyclisme
Anton leader
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Image © Keystone
Igor Anton reprend la tête du classement général. Mais il n’est pas «venu pour gagner cette Vuelta», dit-il.
L’Espagnol de chez Euskaltel remporte la 11e étape et récupère le maillot rouge.
le 08 septembre 2010, 22h33
LeMatin.ch & les agences
L’Espagnol Igor Anton (Euskaltel) a remporté la 11e étape du Tour d’Espagne, qui se terminait au col de Pal, à Andorre. Il a du même coup récupéré le maillot rouge de leader qu’il avait cédé la veille à Joaquin Rodriguez pour deux secondes.
Après le passage dans la ville d’Andorre, Anton a feint un mauvais jour dans l’ascension finale. Le Basque s’est d’abord laissé glisser dans le mou du peloton, laissant les leaders au général se surveiller aux avant-postes.
A environ quatre kilomètres de l’arrivée, le vétéran espagnol Ezequiel Mosquera a lancé une attaque violente, poursuivant son effort sans se retourner, lâchant peu à peu les cadors. Ressuscité, Anton a alors remonté tout le monde au train, y compris Mosquera, qu’il a à son tour déposé sur place par une attaque imparable, avant de s’envoler seul vers sa deuxième victoire d’étape (il avait remporté déjà la 4e), les bonifications et le maillot rouge.
L’occasion à ne pas rater
«Je suis sur un nuage, content comme un petit garçon, a confié à l’arrivée le grand vainqueur du jour. Il reste encore beaucoup de courses, et il faut avancer avec tranquillité, en comptant sur l’équipe et sans la faire travailler inutilement. Je ne suis pas venu pour gagner cette Vuelta, mais une bonne occasion se présente et je vais essayer de ne pas la laisser passer», a-t-il ajouté.
Interrogé sur son coup de bluff, Igor Anton a joué les innocents, assurant qu’il était «un peu juste» avant le final et qu’il n’avait pas voulu se mettre dans le rouge, préférant rouler à son rythme…
Mondiaux de basket
La Serbie crée la sensation en éliminant l'Espagne
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Image © KEYSTONE
Scène animée entre Serbes et Espagnols.
L'Espagne, tenante du titre, a été battue 92-89 par la Serbie en quarts de finale du Championnat du monde à Istanbul. Après un duel enlevé, mené presque de bout en bout par les Serbes, c'est Milos Teodosic qui a assommé le champion.
le 08 septembre 2010,
LeMatin.ch & les agences
Teodosic, le meneur de jeu serbe, a marqué le panier décisif à 3'' de la fin, avec un tir primé déclenché au-delà des neuf mètres.
Une conclusion énorme à un événement considérable puisque c'est la première fois depuis les Jeux d'Athènes en 2004 que les Espagnols échouent à se hisser en demi-finale d'un tournoi international.
Depuis leur quatrième place à l'Euro 2005, ils avaient même pris place au sommet avec deux titres, au Mondial 2006 et à l'Euro 2009, ainsi que deux médailles d'argent, à l'Euro 2007 et aux Jeux olympiques de Pékin en 2008.
Leur défaite devant la Serbie, qu'ils avaient battu de 22 points en finale du Championnat d'Europe l'an dernier, constitue dans ce sens une vraie surprise même si on pouvait en sentir les prémices lors des matches précédents.
Battus par la France et la Lituanie en phase de poules, les Espagnols, où l'absence de Pau Gasol s'est fortement fait ressentir, n'ont jamais fait preuve dans ce tournoi de cette force tranquille qui les animait depuis cinq ans.
Les Serbes affronteront en demi-finales le vainqueur de Slovénie - Turquie
Monfils n'aura tenu qu'un set face à Djokovic
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Gaël Monfils, tête de série N.17, n'a tenu qu'un seul set face au Serbe Novak Djokovic, qui s'est qualifié sans trembler pour les demi-finales de l'US Open pour la quatrième fois consécutive. Djokovic, vainqueur du Français 7-6 (7/2), 6-1, 6-2, rencontrera le Suisse Roger Federer (N.2) ou le Suédois Robin Soderling (N.5) pour une place en finale, un stade de la compétition qu'il avait atteint en 2007.
Timoré, le Français
Les conditions de jeu rendues difficiles par le vent n'ont pas donné un beau match, mais le Serbe s'est montré bien plus apte à gérer ce facteur. "Le premier set a été un tournant du match, j'avais un break de retard et je suis revenu au score, j'étais concentré quand j'en avais besoin, a déclaré le Serbe. Je suis tellement content de passer en trois sets dans de telles conditions. Je ne crois pas que le public se soit régalé, même s'il y a eu quelques acrobaties."
Monfils ne s'est guère montré entreprenant et a semblé timoré dans ses intentions, peut-être perplexe devant l'attitude à adopter par rapport au vent. Il n'a pas lâché ses coups (seulement 17 coups gagnants, dont 3 en coup droit) et n'a pu concrétiser que 2 de ses 13 occasions de break. Timoré dans la première manche, il a été catastrophique au service dans la deuxième (aucun jeu de service gagné) et n'a pas su profiter des énormes problèmes de 'Djoko' à la volée. Mais il a eu le mérite d'avancer, contrairement au Français.
Netteté du jeu
Dans ces conditions pénibles, ce fut à celui qui serait le plus propre. A ce jeu-là, le Serbe s'est montré meilleur (14 fautes directes, 37 au Français). Monfils a mieux démarré le match qu'un Djokovic gêné par les conditions de vent et qui a mis du temps à se régler. Le Français prenait le service adverse à 1-1 puis effaçait deux balles de débreak à 3-2 après une série d'erreurs du Serbe, qui ne pouvait contenir sa frustration (déjà 14 fautes directes).
Djokovic sauvait une balle de 3-5, qui aurait permis à Monfils de servir pour le set, et débreakait dans la foulée à sa quatrième occasion, après une amortie mal venue et mal exécutée du Français. Le Serbe respirait et enchaînait par un jeu blanc. Dans le tie-break, le Français ne tenait aucun de ses quatre points de service sur des erreurs et s'inclinait 7/2, devant un Serbe plus propre.
Trop affecté
Breaké au premier jeu du deuxième set et peut-être mentalement touché par la perte du premier, Monfils n'est pas parvenu à débreaker dans le jeu malgré deux occasions et les multiples erreurs de Djokovic à la volée. Le Français perdait ensuite son service sur jeu blanc. La seule chose qui maintenait Monfils dans le match était le catastrophique jeu au filet de Djokovic, qui ratait volée sur volée mais continuait à monter. "C'en est presque comique", remarquait même l'ancien joueur Brad Gilbert à la télévision américaine.
Le Français breakait pour réduire le score 3-1, mais il se montrait encore incapable de tenir son service, à deux reprises. Après deux jeux de service blanc pour entamer le dernier set, Djokovic a fait le break pour mener 4-1, puis 4-2 et concluait en 2 h 24 min.
Interrogé par la télévision américaine en début de troisième set, l'entraîneur de Monfils, Roger Rasheed, a souligné: "Gaël a fait ce qu'on avait dit de faire en début de match, mais sa concentration s'est envolée d'un coup et il s'est mis dans un trou. Il faut avoir de l'autorité, prendre les choses à son compte, tu ne peux laisser les conditions t'affecter dans un match comme ça."
Pas de sanction pour Ferrari
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La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a décidé mercredi de ne pas sanctionner Ferrari pour avoir transmis des consignes de course à Felipe Massa lors du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, a indiqué le président de la Fédération italienne Angelo Sticchi Damiani.
Le Brésilien avait été averti par radio que son coéquipier Fernando Alonso, mieux placé que lui au Championnat, était plus rapide en piste. Massa avait alors étrangement raté un changement de vitesses au 47e tour de l'épreuve, permettant à l'Espagnol de le dépasser puis de remporter la course.
La décision a été prise par le Conseil mondial de l'automobile, une entité de la FIA, qui s'est réuni au siège de la Fédération, place de la Concorde à Paris. Les consignes de course sont interdites en F1 depuis 2002.
Stoner27
09/09/2010, 08h49
Pas de sanction pour Ferrari
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La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a décidé mercredi de ne pas sanctionner Ferrari pour avoir transmis des consignes de course à Felipe Massa lors du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, a indiqué le président de la Fédération italienne Angelo Sticchi Damiani.
Le Brésilien avait été averti par radio que son coéquipier Fernando Alonso, mieux placé que lui au Championnat, était plus rapide en piste. Massa avait alors étrangement raté un changement de vitesses au 47e tour de l'épreuve, permettant à l'Espagnol de le dépasser puis de remporter la course.
La décision a été prise par le Conseil mondial de l'automobile, une entité de la FIA, qui s'est réuni au siège de la Fédération, place de la Concorde à Paris. Les consignes de course sont interdites en F1 depuis 2002.
avec jean todt au commande rien de surprenant. N'importe quoi!!:diable::bad::bad:
chrisgaz
09/09/2010, 08h53
avec jean todt au commande rien de surprenant. N'importe quoi!!:diable::bad::bad:
Je comprends plus ce sport.... ce n est qu une vitrine médiatique appuyée par la terchnologie... c est tout.... faut pas saquer les participants.... ils trichent, mais c est pas grave....:langueŽ::langueŽ:
Wozniacki rejoint Zvonareva en demi-finale
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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/3/9/media_l_3863814.jpg?20100909103239
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/2/8/media_l_3863813.jpg?20100909103223
La Danoise Caroline Wozniacki, N.2 mondiale et 1e tête de série, affrontera vendredi la Russe Vera Zvonareva, 8e joueuse mondiale tête de série N.7, pour décrocher une place en finale de l'US Open pour la deuxième année consécutive.
La Danoise de 20 ans, qui s'était inclinée il y a un an face à la revenante Kim Clijsters, a dominé la Slovaque Dominika Cibulkova, 45e mondiale, 6-2, 7-5 mercredi en quart de finale. La Russe Zvonareva, finaliste de Wimbledon, s'est elle qualifiée en battant 6-3, 7-5 l'Estonienne Kaia Kanepi (WTA 32/N.31) qui avait éliminé Yanina Wickmayer en huitième de finale.
L'autre demi-finale opposera vendredi Kim Clijsters, WTA 3 et tête de série N.2, à l'Américaine Venus Williams (WTA 4/N.3).
La Russe, qui a fêté ses 26 ans mardi, atteint le dernier carré du dernier tournoi du Grand Chelem de la saison sans avoir perdu un set. Exactement comme la Danoise, qui elle n'a même concédé que 17 jeux en cinq matches.
"J'ai eu l'impression de jouer dans un ouragan mais les conditions étaient les mêmes pour nous deux, a indiqué la Danoise. J'ai simplement essayé de courir après la balle et d'en renvoyer autant que possible."
Contre Kanepi, Zvonareva a elle aussi eu à faire avec le vent. "Ce n'était pas facile, a dit Zvonareva. Il fallait arriver à trouver l'équilibre entre être agressive et être patiente, c'est ce que j'ai réussi à faire."
:)Mignonne la petite Caroline:amoureux::D
Rafael Nadal en quart de finale contre Fernando Verdasco
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Rafael Nadal (ATP 1/N.1) s'est qualifié pour les quarts de finale de l'US Open de tennis en battant mardi son compatriote espagnol Feliciano Lopez (ATP 25/N.23) 6-3, 6-4, 6-4.
Le N.1 mondial affrontera en quart de finale un autre compatriote, Fernando Verdasco (ATP 8/N.8), contre lequel il n'a jamais perdu en dix affrontements. Verdasco a sorti un autre Espagnol David Ferrer (ATP 12/N.10) en cinq sets 5-7, 6-7 (8/10), 6-3, 6-3, 7-6 (7/4) et 4h20 de jeu.
Le match a été une formalité pour Nadal qui n'a passé que 2 h 08 min sur le court, a notamment été impressionnant de maîtrise au service, avec 90% de points gagnés sur premiers services (41% de premiers services non retournés par Lopez) et 9 aces. Il n'a eu que quatre balles de break à défendre, toutes dans le cinquième jeu de la première manche quand il menait 3-1, et a su limiter ses fautes directes au minimum (seulement 14, contre 41 à Lopez).
Le Majorquin n'a toujours pas perdu un set ni concédé son service à Flushing Meadows.
"Je suis en bonne santé, c'est important, j'espère que ça va continuer", a indiqué Nadal, qui reste sur deux demi-finales à l'US Open, seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès. Avec un succès en finale le 12 septembre, il deviendrait le quatrième joueur après Rod Laver, Andre Agassi et Roger Federer à gagner les quatre tournois du Grand Chelem dans l'ère Open.
;)Faut pas que je manque ça..........
Roy Sentjens suspendu pour dopage
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Le coureur naturalisé belge Roy Sentjens (Milram) a été informé ce mercredi qu'il était provisoirement suspendu pour dopage.
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Cette décision a été prise suite à la réception d'un rapport en provenance du Laboratoire - accrédité par l'AMA - de Cologne indiquant un résultat d'analyse anormal (présence d'EPO recombinante) dans un échantillon d'urine prélevé sur le coureur lors d'un contrôle hors compétition le 16 août 2010.
La suspension provisoire de Sentjens jusqu'à ce que la Royale Ligue Vélocipédique Belge (RLVB) détermine si celui-ci a effectivement commis une infraction au Règlement Antidopage de l'UCI. Sentjens a le droit de demander l'analyse de son échantillon B et d'y assister.
Anciennement Néerlandais, Sentjens, 29 ans, avait opté pour la nationalité belge en 2005. Sa principale victoire est la semi-classique Kuurne-Bruxelles-Kuurne en 2003
Le Luxembourg avec Frank mais sans Andy Schleck
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Franck et Andy Schleck (à droite).
La sélection luxembourgeoise pour les championnats du monde sur route (29 sep - 3 oct) à Geelong, en Australie, sera composée de trois coureurs seulement et emmenée par Frank Schleck, a annoncé la Fédération luxembourgeoise jeudi.
Son frère Andy Schleck, 2e du Tour de France en juillet, avait décidé depuis quelques semaines déjà de renoncer au long déplacement en Australie pour mieux préparer le Tour de Lombardie (16 octobre), son dernier objectif cette année.
Frank Schleck dispute actuellement le Tour d'Espagne dont il occupait la 10e place jeudi matin. Il sera entouré de Laurent Didier (Saxo Bank) et Ben Gastauer (AG2R La Mondiale).
Mark Cavendish gagne son 1er sprint à la Vuelta
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Le Britannique Mark Cavendish (HTC Columbia) a remporté son premier sprint sur la Vuelta 2010 en s'imposant lors de la 12e étape, courue jeudi sur 172,5 km entre Andorre la Vieille et Lleida. Il s'est imposé après un sprint massif devant l'Américain Tyler Farrar et son équipier australien Matthew Goss. Philippe Gilbert a terminé premier Belge à la 9e place.
Bien emmené par son équipier Goss, les deux coureurs de l'équipe HTC Columbia ont creusé un trou de plusieurs mètres à la sortie du dernier virage et n'ont même pas dû s'employer totalement pour devancer l'ensemble des autres sprinters du peloton.
Au classement général, Anton (Euskatel) reste lader et compte toujours 46 secondes d'avance sur l'Italien Vicenzo Nibali et 1:04 sur son compatriote Xavier Tondo.
La 13e étape conduira les coureurs vendredi de Rincon de Soto à Burgos, sur 196 km.
Stoner27
09/09/2010, 17h21
Wozniacki rejoint Zvonareva en demi-finale
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La Danoise Caroline Wozniacki, N.2 mondiale et 1e tête de série, affrontera vendredi la Russe Vera Zvonareva, 8e joueuse mondiale tête de série N.7, pour décrocher une place en finale de l'US Open pour la deuxième année consécutive.
La Danoise de 20 ans, qui s'était inclinée il y a un an face à la revenante Kim Clijsters, a dominé la Slovaque Dominika Cibulkova, 45e mondiale, 6-2, 7-5 mercredi en quart de finale. La Russe Zvonareva, finaliste de Wimbledon, s'est elle qualifiée en battant 6-3, 7-5 l'Estonienne Kaia Kanepi (WTA 32/N.31) qui avait éliminé Yanina Wickmayer en huitième de finale.
L'autre demi-finale opposera vendredi Kim Clijsters, WTA 3 et tête de série N.2, à l'Américaine Venus Williams (WTA 4/N.3).
La Russe, qui a fêté ses 26 ans mardi, atteint le dernier carré du dernier tournoi du Grand Chelem de la saison sans avoir perdu un set. Exactement comme la Danoise, qui elle n'a même concédé que 17 jeux en cinq matches.
"J'ai eu l'impression de jouer dans un ouragan mais les conditions étaient les mêmes pour nous deux, a indiqué la Danoise. J'ai simplement essayé de courir après la balle et d'en renvoyer autant que possible."
Contre Kanepi, Zvonareva a elle aussi eu à faire avec le vent. "Ce n'était pas facile, a dit Zvonareva. Il fallait arriver à trouver l'équilibre entre être agressive et être patiente, c'est ce que j'ai réussi à faire."
:)Mignonne la petite Caroline:amoureux::D
:amoureux::amoureux::amoureux:
Pas touche elle est pour moi, vous êtes trop vieux:p:p:p
Stoner27
10/09/2010, 06h59
Pas touche elle est pour moi, vous êtes trop vieux:p:p:p
on a de l'expérience nous:p:p:p:)
Huber et Bryan remporte le double mixte à l'US Open
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Les Américains Liezel Huber et Bob Bryan (N.1) ont remporté le titre du double mixte de l'US Open, 4-ème et dernière manche du Grand Chelem, jeudi à New York. En finale, le duo a en effet battu la paire composée de la Tchèque Kveta Peschke et du Pakistanais Aisam-Ul-Haq Qureshi 6-4, 6-4.
4e titre mondial pour Teddy Riner
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A seulement 21 ans, le Français Teddy Riner est devenu l'égal des trois plus grands poids lourds de l'histoire en s'offrant jeudi un troisième titre mondial consécutif en +100 kg, le quatrième au total, à Tokyo, là où est né le judo.
Devant près de 4000 Japonais, Riner s'est imposé sur ippon face à tous ses adversaires à l'exception de la finale, où face à l'Allemand Andreas Toelzer, il n'a pas été flamboyant, préférant limiter les risques. Quelques sifflets et peu d'applaudissements n'ont pas contrarié le jeune Français, qui n'a pas sauté de joie mais qui a lancé un joli sourire à l'assistance. Avant de brandir quatre doigts, symbolisant sa domination sur la planète kimono depuis 2007.
Athlète de superlatifs depuis son premier titre aux Championnats d'Europe en 2007, Riner a encore gravi un échelon au Japon où il a assumé de main de maître son statut d'ultra favori. Invaincu depuis deux ans et les jeux Olympiques de Pékin en 2008, où il avait dû se contenter du bronze, le Guadeloupéen n'a laissé personne lui "piquer son bifteck", selon le leitmotiv de son ancien entraîneur, Serge Diot.
Au-delà de la défense acharnée de son bien, il s'est ouvert une voie royale vers le panthéon des judokas en rejoignant son illustre aîné, David Douillet, les Japonais Naoya Ogawa et Yasuhiro Yamashita parmi les détenteurs de quatre titres mondiaux. "Je suis très content parce que je peux rejoindre un cercle fermé. Ca fait plaisir. Ca fait une petite bande de quatre et ça peut encore mieux se passer pour la suite", apprécie le champion, venu au Japon pour entrer dans la légende. Riner rêve désormais de devenir le premier judoka de tous les temps à aligner cinq titres mondiaux.
Chez les hommes, c'est encore inédit, toutes catégories confondues. Alors lundi, il retournera sur le tapis pour accomplir son destin, avec l'épreuve des "toutes catégories", où il fut sacré en 2008. Mais d'ici-là, il veut d'abord savourer cette troisième médaille d'or en +100 kg, gagnée l'année des 150 ans de Jigoro Kano, le fondateur du judo. "Le premier titre est toujours plus beau mais là il a une saveur particulière parce que c'est au Japon", se plaît-il à dire avec malice.
Devant les journalistes, Riner a présenté sa médaille: "C'est Jigoro Kano dessus. De là où il est, il nous voit !" Trois ans après son premier titre mondial, glané à 18 ans quand Douillet s'offrait le sien à 24 ans, Riner a fait parler son expérience et joué sur son ascendant psychologique sur l'adversaire pour s'imposer. "Il a une palette technique qui lui permet de travailler dans trois, voire quatre directions.
Aujourd'hui, il est plus posé au niveau de la maturité et ce qui est encourageant c'est qu'il y a encore des progrès à faire", se réjouit l'entraîneur national, Benoît Campargue. Sur le podium, Riner a côtoyé un autre Français. Matthieu Bataille, à 32 ans, a vécu une sorte de résurrection en décrochant le bronze pour son retour cette année dans la catégorie des +100 kg, après avoir connu la galère suite à une opération à un genou il y a deux ans.
"J'avais la gnac. J'avais envie d'aller la chercher cette médaille. J'ai eu un fils il y a quinze jours, je n'arrêtais pas d'y penser", a raconté ému Bataille. La première journée a également été marquée par une autre médaille de bronze, décrochée par Thierry Fabre (-100 kg) alors que les trois filles en lice (Céline Lebrun et Audrey Tcheuméo (-78 kg) et Stéphanie Possamai en +78 kg) ont terminé sur un zéro pointé.
Les Etats-Unis en demi-finale du mondial de basket
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Chahutés pendant un bon quart d'heure, les Etats-Unis ont, grâce à 33 points de Durant, gardé le dessus sur la Russie (89-79) pour atteindre le dernier carré du Mondial de basket-ball jeudi à Istanbul.
Les Américains ont longtemps été gênés par la taille et l'impact physique des Russes avant de finir par prendre l'ascendant dans le troisième quart-temps et avancer en demi-finale où ils affronteront l'Argentine ou la Lituanie. Agressés dans la raquette, leur point faible, par Mozgov et à l'extérieur par les tirs primés de leur adversaire, ils ont été menés 30-35 à la 16e minute lorsqu'ils ont haussé leur intensité en défense pour renverser la vapeur.
Ils se sont définitivement détachés après une quatrième faute injustifiée de Mozgov, qui venait de clouer Rose au panneau sur un contre énorme, vers la fin du troisième quart-temps (65-50) et remporter ce vieux classique du basket.
S'ils ne se sont pas envolés par la suite, ils n'ont plus jamais été menacés par un champion d'Europe 2007 volontaire mais limité par les absences de Holden, Kirilenko et Khryapa, qui n'a pas joué une minute dans ce Mondial.
C'est la quatrième victoire du Team USA sur la Russie post-soviétique dans un Mondial après deux succès en 1994, l'année de son dernier sacre, et en 2002, contre une défaite, en 1998, marquée par l'absence de tous les joueurs NBA.
Cette année, les Américains sont privés de leurs douze champions olympiques de Pékin mais ont emmené en Turquie une équipe qui reste très compétitive avec comme principaux joueurs Kevin Durant, meilleur marqueur de la dernière saison NBA, et l'expérimenté Chauncey Billups, ancien champion NBA avec Detroit. Les deux ont été déterminants jeudi.
Durant a terminé avec son meilleur total du tournoi avec 33 points, dont 19 en première période lorsque la Russie menaçait. Billups a réussi plusieurs paniers décisifs pour creuser l'écart et a terminé deuxième meilleur marqueur américain avec 15 points et 5 passes. Leur contribution devrait encore être cruciale en demi-finales, stade où les Américains avaient perdu face à la Grèce il y a quatre ans au Japon.
TENNIS
Stanislas Wawrinka quitte l’US Open en boitant, la tête haute
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Après quatre heures d’un nouveau morceau de bravoure, le Vaudois s’incline devant Mikhail Youzhny et échoue au seuil des demi finales: 3-6 7-6 (7) 3-6 6-3 6-3
Christian Despont, New York - le 10 septembre 2010, 01h58
LeMatin.ch
Le tennis suisse n’alignera pas un deuxième représentant dans le carré d’as de l’US Open, où Roger Federer affrontera samedi son rival Novak Djokovic. Il s’en est fallu de peu, voire de très peu, tant Stanislas Wawrinka a perpétué jeudi les vertus cardinales de son épopée new yorkaise: la perspicacité, le courage et la confiance en soi, une grande et surprenante confiance en soi.
Sous un vent fort et froid, Stanislas Wawrinka a encore brillé par son approche méthodique, basée sur une juste évaluation des risques. Proche de sa ligne, et toujours enclin à la franchir, ouvert à de nombreuses options, le Vaudois a rivalisé en intelligence, voire en malice, avec un adversaire étrangement calme, sans souffrir du faux rythme imprégné à la partie.
Le vent a moins affecté son service (treize aces, cinq doubles fautes) que celui de Mikhail Youzhny (deux aces, sept doubles fautes). Son revers à une main a répondu à celui du Russe, dans une noria de «slice» bas et cintrés. Ses deux cuisses momifiées, soignées à deux reprises au quatrième set, l’ont porté aussi loin que possible. Mais plus le match a avancé, moins Stanislas Wawrinka, lui, en a semblé capable.
A 5-3, peu après l’intervention du kiné, une amortie l’a pris à contrepied et cloué au sol. Un jet de raquette plus loin, le Vaudois a concédé le quatrième set, puis le break dès l’entame du cinquième. Mais sur un court Arthur Ashe où le vent n’a cessé de tourner, le duel a pris des orientations multiples, entre la soudaine nervosité de l’un (Youzhny) et la furieuse opiniâtreté, de moins en moins coordonnée, de l’autre (Wawrinka).
Au final, le Russe a patiemment attendu son heure, tandis que la nuit était tombée depuis longtemps sur New York. Stanislas Wawrinka, déçu, a compris qu’il avait manqué de peu un rendez-vous inespéré avec le firmament. Il a quitté l’arène en boitillant, mais debout, conscient d’avoir franchi un grand pas dans sa carrière.
;)Il manquait peu mais il manquait...............
tennis
Nadal étrille Verdasco en quart de finale
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Nadal n'est plus qu'à une victoire d'une première finale à l'US Open.
L'Espagnol, No 1 mondial, a imité Roger Federer en se qualifiant pour les demi-finales de l'US Open sans avoir égaré le moindre set en chemin.
si - le 10 septembre 2010, 06h38
LeMatin.ch & les agences
Vainqueur 7-5 6-3 6-4 en 2h22' du duel de gauchers espagnols qui l'opposait à Fernando Verdasco, le Majorquin affrontera samedi Mikhail Youzhny pour sa troisième demi-finale d'affilée à Flushing Meadows. Il semble en mesure d'atteindre enfin le stade ultime de la compétition à New York.
Impressionnant dans ses cinq premiers matches, Rafael Nadal abordera le dernier week-end du tournoi en pleine possession de ses moyens, ce qui n'était pas le cas les années précédentes. Il a remporté sept des onze duels livrés face à Mikhail Youzhny, mais avait subi la loi du Russe en quart de finale à New York en 2006. "Ce sera un match difficile, car Mikhail joue très bien. Je devrai évoluer à mon meilleur niveau", lâchait Rafa, qui affrontera toutefois un joueur sans doute fatigué par les efforts consentis jeudi pour venir à bout de Stanislas Wawrinka (no 25).
S'il a été nettement dominé, Fernando Verdasco a tout de même réussi un "exploit" sans précédent dans cet US Open 2010: s'emparer de la mise en jeu de Rafael Nadal. Le Madrilène signait même le premier break de la partie pour mener 2-1, exploitant ce qui allait demeurer son unique opportunité à la relance.
Rafael Nadal se montrait ensuite impressionnant sur son engagement, ne perdant que 16 points au total. Il ne commettait en outre que 16 fautes directes, alors que le vent était à nouveau très présent dans la cuvette du stade Arthur Ashe. "Avec le vent et le froid, il était important de bouger beaucoup et de rester extrêmement concentré pour garder le contrôle dans mes frappes", relevait l'Espagnol aux 8 titres du Grand Chelem.
Stoner27
10/09/2010, 09h22
Qualifications Euro 2012 - "Je me dis qu'il m'a manipulé"
Eurosport - jeu, 09 sept 22:03:00 2010
Buzzer !
Cette phrase, attribuée à Raymond Domenech (http://fr.sports.yahoo.com/football/raymond-domenech.html) au sujet de Nicolas Anelka (http://fr.sports.yahoo.com/football/nicolas-anelka.html), est l'un des temps forts du "Livre Noir des Bleus", ouvrage paru aujourd'hui sous la signature de Vincent Duluc. Un document qui apporte de nombreux éclairages et taille en pièce le mythe d'une grève décidée collégialement.
http://d.yimg.com/i//ng/sp/eurosport/20100909/25/25a42f9e4e5508444fac1b7aa71780df.jpg Plus d'infos
Pas de clémence pour Evra (http://fr.sports.yahoo.com/09092010/70/qualifications-euro-2012-pas-de-clemence-pour-evra.html)
Tous au pilori sauf Abidal (http://fr.sports.yahoo.com/17082010/70/qualifications-euro-2012-tous-au-pilori-sauf-abidal.html)
Quand Anelka insulte Domenech... (http://fr.sports.yahoo.com/19062010/70/coupe-du-monde-2010-quand-anelka-insulte-domenech.html)
Anelka se pose en victime (http://fr.sports.yahoo.com/05082010/70/coupe-du-monde-2010-anelka-se-pose-en-victime.html)
Domenech vers la porte (http://fr.sports.yahoo.com/05092010/70/qualifications-euro-2012-domenech-vers-la-porte.html)
Abidal charge Domenech (http://fr.sports.yahoo.com/05092010/70/qualifications-euro-2012-abidal-charge-domenech-et-bachelot.html)
LE ROMAN NOIR DES BLEUS, Vincent Duluc. Editions Robert Laffont. 267 pages, 19 euros.
A leur retour d'Afrique du Sud (http://fr.sports.yahoo.com/football/afrique-du-sud/index.html), certains joueurs de l'équipe de France (http://fr.sports.yahoo.com/football/equipe-de-france/index.html) ont prétendu que rien ne sortirait du "bus de la honte", ce véhicule immobilisé le 20 juin à l'heure du goûter à Knysna devant toutes les caméras du monde. Le document paru ce jeudi sous la signature du journaliste Vincent Duluc, "Le Livre noir des Bleus, chronique d'un désastre annoncé", va hélas leur prouver le contraire. Publié au moment même où la nouvelle équipe de France commence à balayer les premières cendres du champ de ruines - un calendrier que d'aucun trouveront discutable voire regrettable, mais qui correspond au temps nécessaire de l'enquête journalistique - cet ouvrage propose un récit à charge de la plus grande crise de l'histoire du football français. A charge contre les joueurs (ils "sont entrés dans une logique revendicatrice alors qu'ils n'en avaient pas les armes, ni collectives, ni intellectuelles, et que cette logique était en contradiction totale avec leur manière perpétuellement égoïste de vivre leur métier"), à charge contre Nicolas Anelka ("humainement, Anelka ne méritait pas de jouer autant, et sportivement encore moins"), entre autres.
Grand reporter à L'Equipe depuis 1994, chroniqueur des grandeurs et des décadences de l'équipe de France dans les colonnes du quotidien quasiment depuis cette date-là, Vincent Duluc apporte à ce dossier, en plus de sa plume et de sa profondeur d'analyse, pas mal d'éléments factuels nouveaux. On y trouve notamment une très longue confession de Robert Duverne, à la première personne, sur le différend qui l'a opposé à Patrice Evra (http://fr.sports.yahoo.com/football/patrice-evra.html) au départ de l'action et, plus largement, sur la façon dont il a vécu l'ensemble de cette journée du 20 juin. A ce jour, l'incongruité des événements échappe encore à l'ancien préparateur physique. Il ne comprend toujours pas comment les joueurs ont pu s'oublier dans de pareilles proportions. "Ils étaient maraboutés" a lâché à l'auteur du livre un témoin de la scène. Mais Duverne a l'honnêteté de reconnaître qu'il était raccord avec l'air du temps : "J'essaie de le convaincre. Je suis revenu sur moi. C'est égoïste de ma part. Je lui dis que j'ai fait beaucoup de sacrifices pour cette Coupe du monde."
Avant la grève : "C'est une connerie, mais tout le monde l'a décidé"
Duverne raconte aussi qu'il avait parlé du travail prévu à l'entraînement avec Florent Malouda (http://fr.sports.yahoo.com/football/florent-malouda.html) et que celui-ci a parfaitement joué l'acteur. "Il m'a dit oui. Il a fait comme si la séance allait se dérouler." Raymond Domenech, d'ailleurs, aurait eu l'intuition que quelque chose tournait mal en demandant à un joueur, en début d'après-midi : "Qu'est ce que vous préparez comme connerie encore ?" Il s'est vu répondre : "C'est une connerie mais tout le monde l'a décidée." Une phrase qui terrasse un autre mythe créé dans la foulée des événements, celui de joueurs dans leur cocon n'ayant pris connaissance de la portée de leur acte qu'une fois consultée leur messagerie...
Ce livre, dans un chapitre entier, ne laisse aucune chance de s'en sortir à l'auteur des insultes proférées à l'encontre de Raymond Domenech à la mi-temps de France - Mexique (http://fr.sports.yahoo.com/football/mexique/index.html) : Nicolas Anelka, l'étincelle qui allait tout embraser. Le joueur de Chelsea (http://fr.sports.yahoo.com/football/chelsea-fc/) - où il exerce son rôle d'attaquant de pointe avec plus de discipline - y apparaît comme un pyromane assumé, du début à la fin, jusqu'au mot d'adieu qui a embobiné les vingt-deux autres ("j'espère que vous allez faire quelque chose pour moi"). Quasiment comme un marionnettiste encore plus fort que Raymond Domenech dans l'art de jouer au lego avec les sentiments des autres. Vincent Duluc cite cette phrase "off" de l'ex-sélectionneur, sur laquelle il s'autorise une prescription. "A l'entraînement, il faisait exactement ce que je lui demandais. Il prenait la profondeur et tu te disais : 'ça y est, il a compris, au prochain match, il va nous amener ça'. Et au prochain match, il recommençait à décrocher... Parfois je me dis qu'il m'a manipulé."
Qui est à côté de qui dans le vestiaire
Sous la plume du journaliste de L'Equipe, enfin, les informations controversées du journal sont confirmées sur le fond et défendues dans la forme (sans que l'auteur du livre ait été le premier au courant de l'épisode ni l'auteur du papier le plus lu de l'année). Il décrit la scène du vestiaire de Polokwane, avec un sens du détail qui l'autorise à nommer qui était à côté de qui : "Tout le monde n'entend pas tout mais plusieurs entendent clairement : 'Va te faire enculer sale fils de pute'. Il y a aussi au milieu 'toi et ton système de merde'. On comprend vraiment que certains reprochent à L'Equipe d'avoir fait l'impasse sur ce passage dans sa fameuse une : c'est une délicatesse de plus qui manquait dans le décor." Le Livre Noir des Bleus se lit comme un roman psychologique, indissociable d'une unité de lieu et de temps oppressante, que n'atténuent guère les nombreux éclairages chronologiques proposés au lecteur médusé. C'est une thèse, sans aucun doute. Mais une thèse documentée et brillamment défendue, ce qui fait déjà beaucoup de différences avec celle des joueurs.
chrisgaz
10/09/2010, 11h41
On en fait un roman alors que ce n est que du foot... ce monde est dingue, ou c est moi qui le devient.....
football
Red Bulls: Thierry Henry transféré pour... 1 dollar!
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Thierry Henry n'a pas pesé lourd sur le marché des transferts cet été.
Thierry Henry aurait été transféré cet été du FC Barcelone aux New York Red Bulls pour la somme symbolique de 1 dollar, selon la presse espagnole. Un manque à gagner de 10 millions de francs pour le club catalan, qui ne comptait plus sur l'attaquant français.
le 10 septembre 2010
Le Matin
Combien pèse Thierry Henry sur le marché des transferts ? Réponse : 1 dollar ! C’est le montant dérisoire que les New York Red Bulls auraient versé au FC Barcelone pour le transfert de l’attaquant tricolore en juillet dernier, selon le quotidien sportif espagnol Mundo Deportivo.
Motif de cette somme symbolique ? Le club catalan, qui ne comptait plus sur son attaquant français malgré un contrat valable jusqu’en été 2011, aurait cherché à s’en débarrasser par tous les moyens pour alléger sa masse salariale. Le club new-yorkais, qui avait manifesté son vif intérêt pour s’attacher les services du meilleur buteur de l’équipe de France, aurait ainsi accepté de racheter la dernière année de contrat du joueur à condition de ne pas payer de frais de transferts.
Manque à gagner sur le marché des transferts pour le FC Barcelone, selon un audit interne : environ 8 millions d’euros (10,4 millions de francs). Soit l’équivalent du salaire que le joueur français aurait perçu au cours de sa dernière année de contrat en Catalogne.
;)Elle est grosse celle là......:fou:Ou alors Barcelone à vraiment des blèmes....
chrisgaz
10/09/2010, 15h54
;)Elle est grosse celle là......:fou:Ou alors Barcelone à vraiment des blèmes....
En fait, c est la plus part des clubs qui ont des problemes, tu ne peux pas sortir autant de millions... l argent des transfert, c est comme la bourse, c est illusoir... et bientot, ils vont se gauffrer... je crois que le club le plus endetté, c est Manchester United... a un moment donné, foot ou pas foot, les banques, sponsors et autres vont tournés les talons.... ca leur pend au nez... vivement qu ils se cassent la gueule avec autant de pognon.... perso, ca me fout les boules quand je vois les sommes engagées..
je crois que le club le plus endetté, c est Manchester United... a un moment donné, foot ou pas foot, les banques, sponsors et autres vont tournés les talons....
Pas sur du tout. Manchester était sponsorisé par AIG, qui a fait faillite avec la crise des subprimes et maintenant ils sont sponsorisés par AON, une autre société d'assurance...
En plus de plus en plus de clubs sont sponsorisés par des firmes du Moyen Orient (Fly Emirates...)
Le foot draine tellement d'argent qu'il y aura toujours quelqu'un pour payer des sommes énormes.
Nouvelle finale de l'US Open pour Kim Clijsters
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Tenante du titre et lauréate déjà en 2005, Kim Clijsters s'est qualifiée pour la finale de l'US Open de tennis, 4e et dernière épreuve du Grand Chelem, vendredi à New York grâce à sa victoire en demi-finale sur l'Américaine Venus Williams (N.3), 4e mondiale, 4-6, 7-6 (7/2) et 6-4 en 2 heures 23 minutes de jeu.
Kim Clijsters retrouvera en finale la Russe Vera Zvonareva (N.7), 8e mondiale, tombeuse de la finaliste de l'an dernier, la jeune Danoise Caroline Wozniacki (N.1), 2e mondiale, 6-4 et 6-3. Kim Clijsters et Venus Williams, double lauréate toutes les deux déjà à l'US Open, se sont livrées une grosse bataille.
Avec hargne
L'Américaine empochait la première manche en 35 minutes dans un set où l'Américaine convertissait la seule balle de break à disposition pour les deux joueuses: 6-4. C'est assez dire si le match était serré. Le 2e set voyait Kim Clijsters convertir aussi sa première balle de break pour mener 3 à 0 face à Venus Williams.
L'Américaine revenait pourtant à 3-2, mais sans confirmer cette fois le service pris à son adversaire. La Limbourgeoise reprenait ainsi ses distances (5-2). C'était sans compter sur la hargne de Venus Williams qui finissait par recoller à 5 partout. L'issue de ce 2e set devait se jouer au jeu décisif - pour la première fois entre les deux joueuses qui se sont rencontrées à 13 reprises déjà.
Jusqu'au bout
En s'y imposant aisément 7 points à 2 (avec 3 doubles fautes et un smash raté de Venus Williams), Kim Clijsters égalisait à une manche partout après 1 heure et 37 mn de jeu. Kim Clijsters réussissait le premier break (2-1) dans une 3e manche tout aussi âprement disputée et sur un court balayé par des rafales de vent.
La Limbourgeoise confirmait (3-1), mais Venus Williams rétablissait l'égalité à 4 partout. Qu'à cela ne tienne, la Belge reprenait le service de son adversaire pour ne plus lâcher la main et conclure sur son service (6-4). Kim Clijsters aligne ainsi une 20e victoire d'affilée à l'US Open.
"Je ne pensais jamais pouvoir revenir aussi à un tel niveau", avouait Kim Clijsters à chaud après sa rencontre. "Je suis très contente de me retrouver dans cette situation. J'ai essayé de concrétiser les occasions que j'ai eu sur le court. J'ai essayé de bien rentrer dans le terrain pour mettre de la pression sur Venus. C'était difficile, mais c'était un chouette match. Par moments, nous avons vraiment très bien joué. Ce sont pour des moments pareils que je suis très heureuse d'être revenue à la compétition."
Serena à l'abri
Victorieuse en 2005, ayant fait l'impasse en 2006, 2007 et 2008, elle revenait à New York l'an dernier pour l'emporter et jouera la finale de l'édition 2010 samedi. Kim Clijsters mène 5 victoires à 2 face à Vera Zvonareva, finaliste pour la seconde fois après sa finale à Wimbledon en juin dernier, mais la Russe a remporté les deux derniers duels entre les deux joueuses sur le circuit WTA, tous les deux en 2010 dont en quarts de finale à Wimbledon préciséement.
Zvonareva offre aussi à Serena Williams de conserver sa place de numéro 1 mondiale briguée par Caroline Wozniacki en cas de victoire à New York. La finale du simple dames aura lieu dans la nuit de samedi à dimanche à 1h00 du matin, heure belge. Il s'agira de la 7e finale de Grand Chelem pour Kim Clijsters et la 4e à l'US Open, un tournoi qu'elle a déjà remporté en 2005 et 2009. Ce sont d'ailleurs, ses deux seuls succès dans les tournois du Grand Chelem.
Sentjens reconnaît s'être dopé et met un terme à sa carrière
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Après avoir nié avoir eu recours au dopage lors de l'annonce de son contrôle positif à l'EPO mercredi, Roy Sentjens a reconnu vendredi sur son site internet s'être dopé et annonce mettre un terme immédiat à sa carrière. Le coureur de Milram, 29 ans, a disputé mercredi dernier sa dernière course lors de la 11e étape du Tour d'Espagne.
"Je n'ai pas demandé l'analyse de l'échantillon B, car je sais ce que cela contient", explique-t-il. "Je sais que j'ai blessé beaucoup de monde, et je veux m'excuser auprès de ce qui croyait en moi. J'ai commis des erreurs et j'en supporte les conséquences. J'ai commis la plus grosse erreur de ma carrière", raconte-t-il en détails.
Trop de pression
"Je me suis laissé submerger par la pression et les attentes que moi-même et d'autres ont placées en moi. Je voulais un contrat, j'ai une nouvelle maison, un fils, une voiture et je voulais démarrer une nouvelle vie. C'est là que j'ai fauté. En un éclair, j'ai pris la voiture, jusqu'à Barcelone. Je l'ai parquée dans le centre. J'étais prêt à faire plusieurs pharmacies où j'aurais pu trouver de l'EPO. Dès la deuxième, j'avais ce qu'il me fallait. Je suis rentré à la maison, je ne vous dis pas tout ce qui me passait par la tête. Le 16 août, j'ai eu ce contrôle. Je savais déjà que c'était foutu, mais je ne pouvais en parler à personne."
Milram a annoncé la fin de ses activités à la fin de la saison par manque de candidat repreneur après la fin du partenariat annoncé de Milram Nordmilch.
Résultat d'analyse anormal
D'origine néerlandaise né à Neerpelt et naturalisé belge en 2005, Roy Sentjens a été provisoirement suspendu mercredi suite à la réception d'un rapport en provenance du Laboratoire - accrédité par l'AMA - de Cologne indiquant un résultat d'analyse anormal (présence d'EPO recombinante) dans un échantillon d'urine prélevé lors d'un contrôle hors compétition le 16 août.
La suspension est provisoire jusqu'à ce que la Royale Ligue Vélocipédique Belge (RLVB) détermine si celui-ci a effectivement commis une infraction au Règlement Antidopage de l'UCI. En 9 années professionnelles au sein des formations Rabobank (2002-2006), Predictor-Lotto (2007), Silence-Lotto (2008), puis Milram, Roy Sentjens a décroché 4 victoires. Sa principale victoire est la semi-classique Kuurne-Bruxelles-Kuurne en 2003.
Doublé en deux jours pour Cavendish
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Mark Cavendish a pris goût à la victoire en Espagne: impressionnant vendredi à Burgos (nord), le sprinteur britannique a signé sa deuxième victoire consécutive sur la Vuelta lors de la 13e étape.
Après cette nouvelle arrivée au sprint, il n'y a pas eu de changement au classement général, l'Espagnol Igor Anton (Euskaltel) conservant le maillot rouge de leader, avec 45 secondes d'avance sur l'Italien Vincenzo Nibali et 1 min 04 sec sur l'Espagnol Xavier Tondo.
Malmené au sprint dans les premières étapes de cette 65e Vuelta, Cavendish s'est réveillé jeudi, s'adjugeant avec autorité la 12e étape. Vendredi il a remis ça, de nouveau bien lancé par un équipier. Impressionnant de facilité dans la dernière ligne droite, il a devancé le Norvégien Thor Hushovd et l'Italien Daniele Bennati.
Le Britannique s'est même permis de faire un petit saut de cabri avec son vélo au moment de franchir la ligne d'arrivée. "Tous les coureurs de l'équipe sont des passionnés, ils veulent gagner, ce n'est pas juste une question d'argent, c'est important pour eux", a souligné "Cav" à l'arrivée. "Ils veulent travailler ensemble pour franchir la ligne en tête. J'ai une place incroyable dans cette équipe et je suis très fier d'en faire partie".
"Protéger le maillot"
Après cette longue étape (196 km) entre Rincon de Soto et Burgos (nord), Anton, superbe vainqueur de la 11e étape en Andorre, reste en tête. "Tous les jours sont importants et il faut protéger le maillot", a relevé le coureur d'Euskaltel. "Par rapport aux trois étapes de montagne qui arrivent, il faudra voir au jour le jour, en espérant perdre des adversaires" en route, a-t-il souligné.
Après plus de la moitié du parcours, la Vuelta entre dans le dur. Trois étapes exigeantes vont se succéder: arrivées sur un col de première catégorie samedi (14e étape), hors catégorie dimanche (15e) et de première catégorie lundi (16e).
"Demain (samedi) commence la vraie Vuelta, il pourrait y avoir des écarts beaucoup plus importants", a avancé Xavier Tondo, en embuscade derrière Anton. Le leader cherchera dans la montagne à creuser l'écart en prévision du contre-la-montre individuel de mercredi (46 km à Peñafiel). "Si j'en suis capable j'essaierai de les distancer un peu plus mais ce ne sera pas simple", a assuré le maillot rouge.
Deuxième finale de Grand Chelem pour Zvonareva
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La Russe Vera Zvonareva, 8e joueuse mondiale, a surpris la Danoise Caroline Wozniacki, tête de série N.1, vendredi en demi-finale de l'US Open et s'est qualifiée pour sa deuxième finale de Grand Chelem consécutive après celle de Wimbledon perdue face à Serena Williams.
Zvonareva, qui s'est imposée 6-4, 6-3, doit rencontrer samedi en finale l'Américaine Venus Williams (N.3) ou la Belge Kim Clijsters (N.2). Wozniacki ne rééditera pas sa performance de l'an passé à New York, quand elle avait atteint sa première finale de Grand Chelem (défaite contre Clijsters). Serena Williams est du coup assurée de rester N.1 mondiale.
Patience
Zvonareva, qui a fêté ses 26 ans mardi, a très bien servi et a pris la Danoise à son propre jeu, couvrant parfaitement le terrain pour forcer l'adversaire à l'erreur (31 fautes directes de Wozniacki). Elle s'est aussi montrée résolument offensive, montant 13 fois au filet avec succès.
"C'était encore un peu dur avec le vent mais j'ai su être patiente et agressive, a déclaré la gagnante. Je suis satisfaite de ce que j'ai fait." "Ma première finale de Grand Chelem à Wimbledon était une grande expérience mais c'est déjà le passé, a-t-elle ajouté. Je suis dans le présent et pour l'instant, je savoure ma belle victoire. Je penserai à ma finale plus tard."
Erreurs inhabituelles
La Russe atteint la finale du dernier tournoi du Grand Chelem de la saison sans avoir perdu un set. Elle a pris le service adverse à 1-1 pour s'en aller remporter la première manche. La Danoise concédait son premier set du tournoi, elle qui n'avait concédé que 17 jeux en cinq matches, le plus faible total depuis les 14 jeux lâchés par Serena Williams pour arriver en demi-finale en 2002.
Wozniacki se montrait fébrile, commettant des erreurs inhabituelles dans les moments importants. Le vent était pourtant moins fort que les jours précédents. La Russe servait un jeu plein d'autorité pour s'adjuger le set et, dans la deuxième manche, prenait de nouveau le service de la Danoise à 1-1.
Soucis de raquette
Zvonareva, connue pour ses sautes d'humeur et de concentration, ratait toutefois une volée de coup droit très facile sur une balle de 3-1. Et Wozniacki faisait le break dans la foulée ! Mais ce n'était pas le jour de la Danoise, qui ne capitalisait pas sur ce débreak en perdant son service sur une faute directe de coup droit. A 4-2, Zvonareva cassait une corde pour la quatrième fois du match.
Après un moment de flottement, où elle a joué avec une vieille raquette que son coach avait avec lui, la Russe a dû se faire apporter des nouvelles raquettes sur le court. "Cela ne m'était jamais arrivée", a-t-elle assuré.
A la reprise après ce petit intermède, Wozniacki commettait sa 28e faute directe du match, elle qui n'en avait fait que 56 en cinq matches jusque-là, mais gardait son service. Zvonareva continuait à bien servir et enregistrait son 5e ace pour mener 5-3. Sur le jeu suivant, la Danoise concédait le match sur sa mise en jeu.
Button le plus rapide aux premiers essais à Monza
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Le Britannique Jenson Button (McLaren) a réalisé le meilleur temps de la 1re séance d'essais libres du Grand Prix d'Italie, 14e épreuve du Championnat du monde de Formule 1, vendredi matin, sur le circuit de Monza.
Avec un chrono de 1 min 23 sec 693/1000, le champion en titre a devancé de 97/1000 l'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) et son coéquipier chez McLaren, l'actuel leader du Championnat, son compatriote Lewis Hamilton.
Le Polonais Robert Kubica (Renault) a signé le 4e chrono de la matinée. Il précède son principal concurrent au Championnat, l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes, 5e), l'Australien Mark Webber (Red Bull, 6e) et l'Italien Vitantonio Liuzzi (Force India), 7e.
Les Ferrari, très ambitieuses à Monza, où elles se doivent de réaliser un bon résultat pour maintenir leurs chances de titres, se sont classées 8e et 9e, l'Espagnol Fernando Alonso devançant le Brésilien Felipe Massa. L'Allemand Michael Schumacher, sur la seconde Mercedes, est 10e.
Sans connaître les quantités d'essence précises embarquées ni les réglages testés par les écuries, qui peuvent faire varier grandement les temps au tour, il est impossible de dire si ce classement reflète exactement la valeur des concurrents et s'il sera maintenu samedi en qualifications. (belga/chds)
1e séance d'essais libres:
Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) 1:23.693
(moyenne: 249,182 km/h)
Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault) 1:23.790
Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) 1:23.967
Robert Kubica (Pol/Renault) 1:24.120
Nico Rosberg (All/Mercedes) 1:24.129
Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 1:24.446
Vitantonio Liuzzi (Ita/Force India-Mercedes) 1:24.512
Fernando Alonso (Esp/Ferrari) 1:24.543
Felipe Massa (Bré/Ferrari) 1:24.648
Michael Schumacher (All/Mercedes) 1:24.756
Nico Hülkenberg (All/Williams-Cosworth) 1:24.841
Paul di Resta (Eco/Force India-Mercedes) 1:24.923
Vitaly Petrov (Rus/Renault) 1:25.292
Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) 1:25.318
Pedro de la Rosa (Esp/Sauber-Ferrari) 1:25.320
Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) 1:25.334
Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso-Ferrari) 1:25.897
Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) 1:26.772
Jarno Trulli (Ita/Lotus-Cosworth) 1:26.898
Lucas Di Grassi (Bré/Virgin-Cosworth) 1:26.956
Heikki Kovalainen (Fin/Lotus-Cosworth) 1:27.374
Bruno Senna (Bré/Hispania-Cosworth) 1:28.256
Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth) 1:28.516
Sakon Yamamoto (Jap/Hispania-Cosworth) 1:29.870
Hamilton le plus rapide aux derniers essais libres à Monza
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Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren) a réalisé le meilleur temps de la 3-ème et dernière séance d'essais libres du Grand Prix d'Italie, 14-ème épreuve du Championnat du monde de Formule 1, samedi matin, sur le circuit de Monza.
Avec un chrono de 1 min 22 sec 498/1000, le champion 2008 et leader du classement devance Sebastian Vettel (Red Bull) et les deux Ferrari de l'Espagnol Fernando Alonso et du Brésilien Felipe Massa, trois pilotes pour lesquels le week-end italien s'annonce crucial dans l'optique du Championnat.
Le champion en titre Britannique Jenson Button (McLaren) est 5-ème. Il précède l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes, 6-ème) et l'actuel dauphin d'Hamilton, l'Australien Mark Webber, sur la seconde Red Bull (7-ème).
L'Allemand Nico Hülkenberg (Williams) a signé le 8-ème temps, le Polonais Robert Kubica (Renault) le 9-ème, et l'Allemand Adrian Sutil (Force India) le 10-ème.
La troisième session d'entraînement du samedi matin est traditionnellement bien plus révélatrice en terme de performance que les deux premières du vendredi, les écuries jouant davantage le jeu des chronos.
Rafaël Nadal en finale de l'US Open
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Rafael Nadal, N.1 mondial, s'est qualifié pour la première finale de l'US Open de sa carrière en battant facilement samedi en demi-finale le Russe Mikhail Youzhny (N.12) 6-2, 6-3, 6-4.
L'Espagnol affrontera dimanche en finale le Suisse Roger Federer (N.2) ou le Serbe Novak Djokovic (N.3).
"C'est un rêve pour moi, a-t-il réagi. Cela va être la première fois que je vais jouer la finale ici, sur le plus grand court central du monde. C'est le résultat de beaucoup de travail. Je remercie le public de New York, vous me faites me sentir comme à la maison !"
"Je sais que c'est un jour spécial aujourd'hui et je tiens à assurer les familles des victimes du 11 Septembre de tout mon soutien", a-t-il ajouté.
A 24 ans, Nadal compte huit titres du Grand Chelem mais n'a encore jamais joué le dernier match à Flushing Meadows, où il avait éliminé en demi-finales ces deux dernières années.
Il s'agira de sa troisième finale de Grand Chelem d'affilée après ses victoires à Roland-Garros et Wimbledon.
L'Espagnol devient le sixième joueur dans l'ère Open (depuis 1969) à atteindre la finale des quatre tournois du Grand Chelem (après Ivan Lendl, Stefan Edberg, Jim Courier, Andre Agassi et Federer) et le deuxième plus jeune à accomplir cet exploit (après Courier, qui avait 22 ans).
Nadal, avec un excellent deuxième service (70% de points gagnés), un grand réalisme sur ses balles de break (5 sur 8) et beaucoup de confiance en coup droit (11 gagnants), n'a quasiment jamais été en danger face à Youzhny.
"Je ne sais pas ce qui a fait la différence, a indiqué l'Espagnol. J'ai su être agressif et mon service m'a bien aidé, il marche vraiment bien depuis le début du tournoi. Mikhail était peut-être un peu plus fatigué que moi."
Le Russe a juste fendillé l'armure de Nadal dans le dernier set alors que l'Espagnol servait pour mener 5-3. Après deux heures de jeu, il se procurait sa deuxième balle de break du match et, d'un smash rageur, faisait la différence. Ce n'était que la deuxième fois du tournoi que Nadal perdait son service.
Mais Youzhny était incapable de capitaliser. Au contraire, il s'employait pour sauver une première balle de break. Après plusieurs balles de jeu, une vilaine volée de revers lui coûtait une deuxième balle de break. Nadal saisissait l'occasion pour servir pour le match et conclure en 2 h 13 min.
L'Espagnol, qui n'a pas encore gagné un titre sur dur cette saison, deviendrait le quatrième joueur de l'ère Open à réaliser le Grand Chelem (mais d'affilée) sur toute une carrière s'il gagnait l'US Open (après Rod Laver, Andre Agassi et Federer).
Vuelta: Rodriguez gagne la 14e étape, Anton abandonne
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La 14e étape de la Vuelta samedi a offert une fin dantesque: chute et abandon du leader Igor Anton, attaque irrésistible de Joaquin Rodriguez et maillot rouge pour Vincenzo Nibali, avec seulement 4 secondes d'avance sur le vainqueur de l'étape.
A moins de 6 kilomètres de l'arrivée, l'Espagnol Igor Anton (Euskaltel) est tombé assez durement au sol, en même temps que plusieurs autres coureurs. Les bras en sang, le short et le maillot rouge déchirés, il s'est relevé mais a dû se résoudre à abandonner, avec une fracture du coude droit.
Son équipier Egoi Martinez a lui aussi dû abandonner et a été évacué sur une civière. Journée noire pour l'équipe basque Euskaltel.
Pour le jour de la Catalogne, le Catalan Joaquin Rodriguez (Katusha) ne pouvait pas rester dans l'ombre. Porteur du maillot rouge pendant une étape (11e), Rodriguez est allé chercher la victoire d'étape en décollant à 2 km de l'arrivée, dans la dernière ascension de la journée.
"Triste pour Anton"
"C'est une très belle victoire, grâce au travail de toute l'équipe", a souligné le coureur de Katusha. "J'ai entendu qu'Igor Anton était tombé, c'est vraiment dommage qu'il ait dû abandonner, je ne le savais pas. Si je ne me trompe pas, c'était le plus fort".
L'Italien Vincenzo Nibali (Liquigas) a terminé à 20 secondes de Joaquin Rodriguez, sauvant le maillot rouge pour 4 secondes devant l'Espagnol.
"Le directeur d'équipe m'avait dit que le point difficile de l'étape se trouvait à 1,5 kilomètre de l'arrivée", a expliqué le nouveau maillot rouge de la Vuelta. "J'ai vu Rodriguez attaquer mais j'ai voulu continuer à mon rythme".
"Je suis très triste pour Anton. Je l'ai appris quand j'étais sur le podium, a poursuivi l'Italien. Je suis content de mon état de forme mais j'aurais préféré prendre le maillot d'une autre manière."
L'Espagnol Ezequiel Mosquera, 3e de l'étape à 22 secondes, est remonté à la 3e place au classement général, à 50 secondes de Nibali.
"C'était un jour difficile, j'ai gagné deux places mais j'en gagne une après la chute d'Anton, c'est malheureux".
Le Français David Moncoutié, meilleur grimpeur de la Vuelta, a pris la 4e place de l'étape.
La montagne est encore au programme dimanche avec l'ascension (12 km) de Lagos de Covadonga (nord) pour terminer la 15e étape.
Alonso partira en pole pour Ferrari à Monza
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L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), double champion du monde en 2005 et 2006, partira dimanche en pole position du Grand Prix d'Italie de Formule 1, 14-ème épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi sur le circuit de Monza.
C'est la première pôle de Ferrari depuis novembre 2008. Alonso a été le premier, et le seul pilote à passer sous la barre des 1:22 (1:21.962). Il avait dit cette semaine qu'il lui fallait absolument s'imposer à Monza pour conserver une chance d'être titré cette saison.
Le nouveau chouchou des tifosi, dominateur au volant d'une Ferrari extrêmement véloce, partagera la première ligne avec le champion en titre britannique Jenson Button (McLaren), qui a réussi à s'intercaler entre les deux pilotes de la Scuderia, Felipe Massa se classant 3ème.
Le Brésilien sera accompagné en deuxième ligne par l'Australien Mark Webber (Red Bull), alors que le leader du Championnat, le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), champion en 2008, s'élancera aux côtés de l'autre Red Bull pilotée par l'Allemand Sebastian Vettel.
La quatrième ligne sera entièrement allemande. Nico Rosberg (Mercedes) y bataillera avec Nico Hülkenberg (Williams). Le Polonais Robert Kubica (Renault), 9-ème temps du jour, a déçu. Il partira de la 5-ème ligne, avec le Brésilien Rubens Barrichello, sur la seconde Williams.
Michael Schumacher, compatriote et équipier de Nico Rosberg, lequel a encore une fois sauvé les meubles pour Mercedes avec son septième temps, n'a pour sa part pu faire mieux que douzième.
Grille de départ:
1ère ligne:
Fernando Alonso (Esp/Ferrari)
Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes)
2e ligne:
Felipe Massa (Bré/Ferrari)
Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault)
3e ligne:
Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes)
Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault)
4e ligne:
Nico Rosberg (All/Mercedes)
Nico Hülkenberg (All/Williams-Cosworth)
5e ligne:
Robert Kubica (Pol/Renault)
Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth)
6e ligne:
Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes)
Michael Schumacher (All/Mercedes)
7e ligne:
Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari)
Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari)
8e ligne:
Vitaly Petrov (Rus/Renault)
Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso-Ferrari)
9e ligne:
Pedro de la Rosa (Esp/Sauber-Ferrari)
Jarno Trulli (Ita/Lotus-Cosworth)
10e ligne:
Heikki Kovalainen (Fin/Lotus-Cosworth)
Vitantonio Liuzzi (Ita/Force India-Mercedes)
11e ligne:
Timo Glock (All/Virgin-Cosworth)
Lucas Di Grassi (Bré/Virgin-Cosworth)
12e ligne:
Bruno Senna (Bré/Hispania-Cosworth)
Sakon Yamamoto (Jap/Hispania-Cosworth).
US OPEN
Roger Federer : «J’ai pensé à la finale»
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Le Bâlois avoue qu’inconsciemment, il a eu peur de «se tuer» dans un long duel avec Novak Djokovic
Christian Despont, New York - le 12 septembre 2010, 02h30
LeMatin.ch
Roger Federer a commenté sa défaite avec beaucoup de calme, voire avec un certain fatalisme: «Le match aurait pu tourner en ma faveur. Est-ce de la malchance? N’ai-je pas joué juste à un moment précis, et lui oui ? Je n’en sais rien. C’est comme ça cette année, voilà. Honnêtement, je ne suis pas aussi déçu que si j’avais perdu en finale.»
Le Bâlois avoue que la perspective d’affronter Rafael Nadal dès le lendemain, après un effort intense, l’a un rien distrait de ses priorités immédiates: «J’ai pensé à cette finale. Peut-être qu’inconsciemment, j’ai eu peur de me «tuer». Ce n’est pas un avantage de jouer si tard le samedi.»
La déception, selon ses mots, reste «légère»: «Il n’y paraîtra plus rien après la douche. Je n’ai pas besoin de réconfort, j’ai passé l’âge.» Roger Federer ne suivra pas la finale à la télévision: «Mais j’espère que Rafa la remportera, et je pense qu’il y parviendra, d’autant que Novak (Djokovic) est exténué. Inscrire son nom au palmarès des quatre Grands Chelem, à son âge, serait fantastique. Je trouverais excitant pour l’histoire du tennis que lui et moi ayons accompli cet exploit à la même époque.»
En revanche, Roger Federer n’a pas voulu confirmer sa participation au barrage de Coupe Davis, cette semaine, au Kazakhstan. «J’aviserai dans deux ou trois jours.»
;)Quand je pense qu'il avait deux balles de match.....:fou:
AUTOMOBILISME
Six pilotes en 37 secondes: c'est chaud!
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Image © Keystone
Petter Solberg, sur les chemins de terre du Rallye du Japon: le Norvégien va devoir sortir le grand jeu aujourd'hui pour résister à ses poursuivants
Malgré une pénalité de 10 secondes, Petter Solberg conserve les commandes du Rallye du Japon
le 11 septembre 2010, 22h29
Le Matin Dimanche
Il a été puni pour un départ anticipé (dans l'ES 13), il a résisté aux assauts répétés des pilotes Ford, mais Petter Solberg (Nor/Citroën C4) a conservé hier les commandes du Rallye du Japon. Sébastien Loeb (Citroën C4), en quête d'un septième titre mondial d'affilée, n'a pas pu profiter de sa position sur la route pour retourner la situation.
17 secondes récupérées
Vainqueur au Japon en 2006, Loeb est quand même revenu à 37'' de Solberg, alors qu'il en comptait 54'' de retard en quittant Sapporo hier matin. Malgré le handicap d'ouvrir la route et donc de balayer la piste, dans sa C4 privée, Solberg a d'abord fait le meilleur temps dans l'ES11 (Nikara Short, 17 km) puis a traversé sans encombre majeur les deux suivantes, histoire de rentrer à Sapporo, pour la pause de midi, avec six secondes d'avance sur Latvala.
«Je suis très heureux, parce que ça glissait beaucoup», confiait Solberg au point stop de l'ES13. Ce qu'il ne savait pas, à ce moment-là, c'est qu'il avait anticipé de 10 secondes le départ de cette ES13. «On va voir s'il n'y a pas eu un problème électronique», disait alors le rusé Ken Rees, team manager du Petter Solberg World Rally Team.
Hirvonen dérape
Le Norvégien a profité aussi d'un tête-à-queue de Hirvonen, alors deuxième, dans l'ES11. Le Finlandais, qui reste sur deux victoires au Japon (2007, 2008), n'a pas perdu trop de temps, et seulement deux places au classement.
Le rôle de «poursuiteur» a d'abord été repris par Latvala, temps scratch dans l'ES12, la plus longue du rallye (Kamuycep, 33 km) et deuxième à midi, juste devant le Français Sébastien Ogier. Pour sa première participation au Japon, le champion du monde Junior WRC 2008 a encore une fois été le meilleur de Citroën Racing, devant Maître Loeb.
Retardé vendredi par une fuite d'huile de transmission, l'Espagnol Dani Sordo a signé le dernier temps scratch de la matinée, dans l'ES13 (Kina, 9 km), au volant de sa C4 du Junior Team, mais il est resté 5e, devant Loeb, puis a grimpé à la 4e place en signant un nouveau temps scratch dans l'ES15, alors que Latvala était retardé.
«Moi, pénalisé?»
A la pause de midi, Solberg a pris connaissance de sa pénalité de 10 secondes et il est reparti de Sapporo remonté comme une pendule norvégienne: trois temps scratch sur cinq (ES14, ES16, ES17) et retour à la première place, de quoi ravir ses fans japonais et marquer des points face à son seul rival blond crédible dans l'archipel: Kimi Räikkönen, l'ex-champion du monde de F1.
Du coup, après les deux superspéciales du Sapporo Dome, les six pilotes de pointe étaient regroupés en 37'' et il restait 50 km chronométrés dimanche, en huit spéciales aussi courtes qu'intenses, sans assistance. Tout restait donc possible, y compris une victoire finale de Solberg. Ce serait sa première depuis cinq ans et, franchement, elle serait méritée.
CLASSEMENTS
Sapporo. Championnat du monde WRC. Rallye du Japon 2e journée: 1. P. Solberg-Patterson (Nor-GB/Citroën C4) 2h28''46'1. 2. Hirvonen-Lehtinen (Fin/Ford Focus) à 3''7. 3. Ogier-Ingrassia (Fr/Citroën C4) à 5''4. 4. Sordo-Vallejo (Esp/Citroën C4) à 15''3. 5. Latvala-Anttila (Fin/Ford Focus) à 30''7. 6. Loeb-Elena (Fr-Mon/Citroën C4) à 37''9. 7. H. Solberg- Minor (Nor-Aut/Ford Focus) à 2'07''2. 8. Raikkönen-Lindström (Fin/Citroën C4) à 7'01''3.
Retardés: Wilson-Martin (GB/Ford Focus), sortie de route (ES11). Al Qassimi-Orr (EAU-GB/Ford Focus), sortie de route (ES3).
Meilleurs temps dans les épreuves spéciales: P. Solberg 7 (ES3, ES4, ES10, ES11, ES14, ES16, ES17), Hirvonen 3 (ES7, ES8, ES18), Ogier 2 (ES1, ES2), Latvala 2 (ES6, ES12), Sordo 2 (ES13, ES15), H. Solberg 1 (ES5), Loeb 1 (ES9).
CLASSEMENTS
Sapporo. Championnat du monde WRC. Rallye du Japon 2e journée: 1. P. Solberg-Patterson (Nor-GB/Citroën C4) 2h28''46'1. 2. Hirvonen-Lehtinen (Fin/Ford Focus) à 3''7. 3. Ogier-Ingrassia (Fr/Citroën C4) à 5''4. 4. Sordo-Vallejo (Esp/Citroën C4) à 15''3. 5. Latvala-Anttila (Fin/Ford Focus) à 30''7. 6. Loeb-Elena (Fr-Mon/Citroën C4) à 37''9. 7. H. Solberg- Minor (Nor-Aut/Ford Focus) à 2'07''2. 8. Raikkönen-Lindström (Fin/Citroën C4) à 7'01''3.
Retardés: Wilson-Martin (GB/Ford Focus), sortie de route (ES11). Al Qassimi-Orr (EAU-GB/Ford Focus), sortie de route (ES3).
Meilleurs temps dans les épreuves spéciales: P. Solberg 7 (ES3, ES4, ES10, ES11, ES14, ES16, ES17), Hirvonen 3 (ES7, ES8, ES18), Ogier 2 (ES1, ES2), Latvala 2 (ES6, ES12), Sordo 2 (ES13, ES15), H. Solberg 1 (ES5), Loeb 1 (ES9).
Stoner27
12/09/2010, 10h22
Et superbe victoire de Clijster qui à laminé sont adversaire!!!!!!!
Fernando Alonso remporte le GP d'Italie
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L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) a remporté le Grand Prix d'Italie de Formule 1, 14e épreuve de la saison, devant le Britannique Jenson Button (McLaren) et le Brésilien Felipe Massa, sur l'autre Ferrari, dimanche sur le circuit de Monza.
Auteur d'un départ moyen, qui a permis à Button de le dépasser dès la première chicane, Alonso, resté dans l'aileron arrière du Britannique pendant les deux premiers tiers de la course, l'a doublé à la faveur de leur unique arrêt respectif aux stands. L'Espagnol, qui a changé ses pneus au 38e tour, une boucle après Button, a fait preuve d'une superbe autorité au moment de revenir en piste, pour le repasser à l'endroit même où il avait dû lui céder la tête de course aux prémices du GP d'Italie.
La manoeuvre, superbe, du Prince des Asturies, tout en contrôle malgré un freinage extrême et une jolie glissade, a fait se lever la foule dans les travées de Monza, dont Alonso, qui remporte son premier GP d'Italie pour Ferrari, est sans doute aucun devenu la nouvelle idole. Son coéquipier Felipe Massa a lui aussi réalisé une jolie course, qu'il a terminée à son rang de départ: le 3e.
L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) se classe 4e, grâce à une stratégie audacieuse. Son compatriote Nico Rosberg (Mercedes) finit 5e, un résultat qu'il doit à son excellente mise en action. A l'inverse, Mark Webber (Red Bull) a pris un départ catastrophique. Quatrième temps des qualifications, l'Australien a refait une partie de son retard en course, pour finir 6e et prendre la tête du Championnat.
Lewis Hamilton est le grand perdant du jour. Le pilote McLaren, qui a cassé sa voiture en tentant de dépasser Massa dans le premier tour, a perdu la tête du Championnat, qu'il a rendue à Webber, pour 5 petits points.
Vuelta: Barredo remporte la 15e étape devant Sijmens
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L'Espagnol Carlos Barredo (Quick Step) a remporté dimanche la 15e étape de la Vuelta, longue de 173 km, entre Solares et Lagos de Covadonga (nord).
Barredo avait entamé la dernière montée avec une confortable avance qui lui a finalement permis de s'imposer devant Nico Sijmens. Le Slovaque Martin Velits a pris la 3e place. Trois Belges ont fini dans le top 10 avec Greg Van Avermaat, 4e et Olivier Kaisen, 6e.
L'Italien Vincenzo Nibali (Liquigas-Domo) conserve sa tunique rouge de leader au classement général, il possède 4 secondes d'avance sur l'Espagnol Joaquin Rodriguez.
Rallye du Japon: Ogier gagne encore, doublé Citroën
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Sébastien Ogier (Citroën C4) a remporté dimanche à Sapporo le rallye du Japon, sa deuxième victoire en Championnat du monde (WRC), devant la C4 du Norvégien Petter Solberg, alors que Sébastien Loeb, 5e, devra encore attendre pour assurer son 7e titre mondial.
Après les deux derniers passages dans la super-spéciale du Sapporo Dome (ES25, ES26), en pneus terre sur un tracé en asphalte, Ogier a terminé le rallye avec 15 secondes d'avance sur Solberg et 26 secondes d'avance sur le Finlandais Jari-Matti Latvala (Ford Focus).
Loeb, en retrait depuis le début du rallye, a signé trois temps scratch dimanche matin (ES19, ES21, ES24) mais n'a pas pu compléter le podium, alors que Mikko Hirvonen (Ford Focus), victime de problèmes de transmission, a rétrogradé de la 2e à la 6e place.
Solberg, champion du monde 2003 et vainqueur au Japon en 2004, menait encore au départ de l'ES20, dimanche en début de matinée, malgré une pénalité de 10 secondes samedi, puis son amortisseur avant gauche a cassé, rendant sa voiture inconduisible. Cela a permis à Ogier de passer en tête, puis de gagner.
Classement final officieux du rallye du Japon, 10e manche (sur 13) du Championnat du monde des rallyes (WRC), après la 26e et dernière épreuve spéciale disputée dimanche dans le Sapporo Dome, sous réserve de validation ultérieure par la direction de course:
1. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/Citroën C4) 3 h 10:26.4
2. Petter Solberg-Chris Patterson (NOR-GBR/Citroën C4) à 15.7
3. Jari-Matti Latvala-Mikka Anttila (FIN/Ford Focus) 26.0
4. Dani Sordo-Diego Vallejo (ESP/Citroën C4) 35.2
5. Sébastien Loeb-Daniel Elena (FRA-MON/Citroën C4) 53.3
6. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Ford Focus) 1:13.5
7. Henning Solberg-Ilka Minor (NOR-AUT/Ford Focus) 3:03.1
8. Federico Villagra-Jorge Perez-Companc (ARG/Ford Focus) 10:17
;)Special Mr DUCATI
TENNIS
Clijsters remporte l'US Open pour la troisième fois
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Image © Keystone
La Belge Kim Clijsters, tête de série N.2, s'est adjugé son troisième titre à l'US Open après ceux de 2005 et 2009 en battant facilement samedi en finale la Russe Vera Zvonareva (N.7) 6-2, 6-1.
le 12 septembre 2010, 10h21
LeMatin.ch & les agences
La Flamande de 27 ans a remporté en une heure sa 21e victoire consécutive à Flushing Meadows, ne laissant aucune chance à sa rivale.
Elle n'a plus perdu un match à New York depuis sa défaite en finale en 2003, face à sa compatriote Justine Hénin. Victorieuse en 2005 et 2009, elle était forfait sur blessure en 2004 et 2006 et "retraitée" en 2007 et 2008.
Après plus de deux ans de pause, Clijsters avait repris la compétition en août 2009 et s'était imposé à l'US Open un mois plus tard, battant en finale la Danoise Caroline Wozniacki.
La Belge est la première joueuse à défendre son titre avec succès à New York depuis 2001 et l'Américaine Venus Williams.
Sa victoire va toutefois la rétrograder de la 3e à la 5e place du classement mondial en raison des résultats de Zvonareva (qui va passer de la 8e à la 4e place) et de Venus Williams (qui va passer de la 4e à la 3e place).
Zvonareva, 8e joueuse mondiale, s'incline de son côté pour la deuxième fois consécutive en Grand Chelem après sa défaite à Serena Williams à Wimbledon.
:)En gras pour ne pas avoir de réclamation style Margotte qui ne voit pas les nouvelles que je pose sur l'équipe de France........:D:D
Bonne soirée Ducat..........
TENNIS
US Open: la finale Nadal-Djokovic reportée d'un jour à cause de la pluie
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Image © KEYSTONE
La pluie a contraint les organisateurs de l'US Open à reporter la finale masculine de l'US l'Open.
La finale de l'US Open entre Rafael Nadal (N.) et Novak Djokovic (N.3) a été reportée à lundi (pas avant 16H00 locales, 20H00 GMT) en raison de la pluie, ont annoncé dimanche les organisateurs.
le 13 septembre 2010, 06h11
LeMatin.ch & les agences
La finale entre l'Espagnol et le Serbe était initialement prévue pour débuter dimanche à 16H30 locales (20H00 GMT).
Mais la pluie, qui a commencé à tomber sur New York vers 14H00 locales dimanche (18H00 GMT), a interrompu la finale du double dames, alors que le score était de 6-2, 4-6, 5-4, 15-0 en faveur de la paire Liezel Huber-Nadia Petrova (USA/RUS/N.2) devant le duo Vania King-Yaroslava Shvedova (USA/KAZ/N.6), et a donc empêché la finale messieurs de commencer.
Je ne savais pas trop où le mettre, mais en feuilletant le Midi Libre, quelle ne fut pas ma surprise de voir une petite photo de Régis Laconi, qui s'est dégourdi les jambes en participant au Cycl'Aigoual une course cycliste passant par le Mont Aigoual.
Il a fini 32e en bouclant 110km en 3h35. Il s'entretient le bonhomme!:content:
Je ne savais pas trop où le mettre, mais en feuilletant le Midi Libre, quelle ne fut pas ma surprise de voir une petite photo de Régis Laconi, qui s'est dégourdi les jambes en participant au Cycl'Aigoual une course cycliste passant par le Mont Aigoual.
Il a fini 32e en bouclant 110km en 3h35. Il s'entretient le bonhomme!:content:
;)Tu poste ou tu veux Jaya, pas de blèmes, merci à toi:amoureux:
VOILE
Oracle dicte le jeu: la Coupe de l'America en 2013 sur des catamarans
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Image © KEYSTONE-a
Larry Ellison, propriétaire de BMW Racing Oracle, embrassant la Coupe de l'America remportée en février dernier.
La prochaine édition de la Coupe de l'America à la voile, la 34e, aura lieu en 2013 sur des catamarans dans un lieu restant à déterminer, a annoncé Russell Coutts, le patron du tenant du trophée, BMW Racing Oracle.
le 13 septembre 2010, 13h53
LeMatin.ch & les agences
La prochaine édition de la Coupe de l'America à la voile, la 34e, aura lieu en 2013 sur des catamarans dans un lieu restant à déterminer, a annoncé lundi à Valence (est) Russell Coutts, le patron du tenant du trophée, BMW Racing Oracle.
Le "defender" a annoncé lundi la création d'un nouveau modèle de bateau, un catamaran AC72 à "aile" (voile) rigide, et la mise en place de "World Series" à partir de 2011.
"Nous croyons que ce nouveau format et que ce nouveau bateau permettront à la Coupe de l'America de renouer avec les sommets de notre sport", a déclaré Russell Coutts.
La 33e édition, disputée en février à Valence après un litige interminable entre BMW Oracle et Alinghi, avait fait perdre beaucoup d'intérêt à l'épreuve, organisée avec succès en 2007, toujours à Valence.
"Ces changements donneront les mêmes chances à tous les concurrents", a ajouté Coutts.
Le lieu de la 34e édition sera annoncé avant la fin de l'année.
Surprise
Les Etats-Unis sont à nouveau champions du monde de basket
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Image © Keystone
Les Etats-Unis ont été sacrés champions du monde de basket-ball grâce à leur victoire 81 à 64 sur la Turquie en finale du Mondial dimanche à Istanbul.
AFP - le 13 septembre 2010
Le Matin
C'est la fin d'une longue attente pour les Américains qui n'avaient plus remporté de titre mondial depuis seize ans et leur victoire en 1994 à Toronto.
Il s'agit du quatrième titre de champion du monde pour les USA qui ont longtemps négligé la compétition et ne figurent qu'en deuxième position au palmarès des nations, à une longueur derrière l'ex-Yougoslavie devenue Serbie.
Ce titre confirme leur grand retour sur la scène internationale, deux ans après leur victoire aux Jeux de Pékin. Même privés de l'ensemble des douze champions olympiques de 2008, ils ont réussi à repousser la concurrence, européenne surtout, en s'appuyant sur un Kevin Durant fantastique.
Auteur de 38 points en demi-finale, l'ailier d'Oklahama City a encore été l'acteur décisif de la finale en marquant 28 points.
Malgré l'hostilité d'une salle déchaînée en début de match, les Etats-Unis ont rapidement pris une avance de dix points et pratiquement tué le match dès la reprise après deux paniers primés de Durant (50-32).
Ils ont ensuite contrôlé la fin de match pour succéder à l'Espagne et devenir la première équipe qualifiée pour les Jeux de Londres en 2012.
La Turquie, qui court toujours après son premier grand titre international, échoue en finale malgré l'appui inconditionnel de son bouillant public, comme c'était déjà le cas lors de l'Euro-2001 face à la Serbie-Monténégro.
L'équipe de Bogdan Tanjevic peut néanmoins être fière de son parcours et du vent d'enthousiasme qu'elle a soulevé dans le pays, notamment lors de la demi-finale extatique (83-82) samedi face à la Serbie.
Vuelta: Nieve s'adjuge l'étape reine, Rodriguez en rouge
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/3/4/media_xl_3870019.jpg?20100913173418
Mikel Nieve (Euskaltel) a remporté l'étape reine du Tour d'Espagne entre Gijon et Cotobello. Il a devancé Frank Schleck et le Belge Kevin De Weert. Joaquin Rodriguez s'empare du maillot rouge de leader au détriment de Nibali, qui a perdu de précieuses secondes dans l'ascension finale.
L'Espagnol Mikel Nieve (Euskaltel) a remporté lundi la 16e étape de la Vuelta, disputée principalement en altitude entre Gijon et Cotobello (nord) sur 181,4 km. Kevin De Weert a pris la 3e place juste derrière le Luxembourgeois Franck Schleck, 2e à 1 minute 05. Frederik Willems avait pu accompagner le bon groupe mais a du décrocher dans l'ascension finale.
Mikel Nieve, 26 ans, décroche la première grande victoire de sa carrière professionnelle. L'Espagnol Joachim Rodriguez (Katusha), 4e de l'étape à 1:22. en profite pour détrôner l'Italien Vincenzo Nibali, qui perd 1:59 sur Nieve et donc, 37 secondes sur Rodriguez qui endosse le maillot de leader au classement général. Mardi est un jour de repos sur la Vuelta.
Gautier et Offredo retenus pour la France avec Chavanel
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Les jeunes espoirs Cyril Gautier et Yoann Offredo (23 ans) ont été retenus à côté de Sylvain Chavanel, seul rescapé de l'an passé, dans l'équipe de France de cyclisme qui participera au Championnat du monde sur route le 3 octobre à Geelong (Australie).
Romain Feillu, William Bonnet, Anthony Geslin et Sébastien Hinault, au profil de routiers-sprinteurs, ont été également sélectionnés. La composition de l'équipe dirigée par Laurent Jalabert a été annoncée par la DTN Isabelle Gautheron. Sylvain Chavanel et le champion de France de la discipline Nicolas Vogondy sont les deux coureurs pour le contre-la-montre prévu le 30 septembre dans la ville australienne.
L'équipe de France élite (messieurs) à Geelong:
Course en ligne: Sylvain Chavanel (Quick Step), Romain Feillu (Vacansoleil), Yoann Offredo et Anthony Geslin (FDJ), William Bonnet et Cyril Gautier (Bbox), Sébastien Hinault (AG2R-La Mondiale).
Contre-la-montre: Sylvain Chavanel (Quick Step), Nicolas Vogondy (Bbox
Rafael Nadal entre par la grande porte dans l’histoire!
TENNIS - US OPEN | L’Espagnol s’impose en finale face à Novak Djokovic (6-4 5-7 6-4 6-2) et remporte son premier US Open. A 24 ans seulement, il a déjà triomphé au moins une fois dans tous les tournois du Grand Chelem. Impressionnant.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/Nadal_01.jpg © KEYSTONE | Rafael Nadal, roi de l'US Open, la dernière couronne qui manquait à son formidable palmarès
OLIVIER BREISACHER, NEW YORK | 14.09.2010 | 04:06
Il l’a donc fait! A 24 ans seulement, au terme d’une somptueuse finale, d’un niveau technique remarquable entre deux athlètes de fond de court, Rafael Nadal a écrit l’une des plus lumineuses pages de l’histoire du tennis, qui pourrait bien connaître d’autres chapitres encore plus impressionnants. Face à un Novak Djokovic pourtant au sommet de son art, le Numéro 1 mondial l’a prouvé: il est irrésistible et plus seul que jamais sur le Toit du Monde, lorsqu’il évolue avec la plénitude de ses moyens physiques, comme c’est le cas depuis ce printemps.
En s’imposant 6-4 5-7 6-4 6-2 en 3 heures et 42 minutes au terme d’une partie qui a été interrompue pendant deux heures par la pluie, Rafael Nadal n’a pas seulement remporté son premier US Open et son 9e titre du Grand Chelem (après 5 Roland Garros, 2 Wimbledon et 1 Open d’Australie). Il est surtout devenu le 7e homme de l’histoire (et le 3e seulement sur quatre surfaces différentes, après Agassi en 1999 et Federer en 2009) à glaner au moins une fois chaque tournoi du Grand Chelem.
Agé de 24 ans et 101 jours, Rafael Nadal est le plus jeune tennisman de l’ère Open à effectuer cet exploit. Roger Federer avait dû patienter jusqu’à 27 ans, Andre Agassi jusqu’à 29 ans pour réussir cette performance.
Reportée de 24 heures en raison de la pluie, le choc ultime de la quinzaine new-yorkaise devait offrir un bol d’oxygène à Novak Djokovic, qui avait tant sué pour écarter de son chemin Roger Federer en cinq sets, décrochant son billet pour la finale plus de six heures après Nadal. La partie a tenu ses promesses. Mais Rafael Nadal était simplement inaccessible. Comme il l’aurait selon toute vraisemblance été pour n’importe quel autre adversaire, Federer compris.
Le Majorquin marquait d’emblée son territoire en ravissant dès le premier jeu le service de Djokovic, qui peinait à entrer dans la partie. Le temps de fracasser sa raquette, de retrouver ses esprits et de subtiliser le service de Nadal (à 2-2), la finale était bien lancée. Mais le No 1 mondial refaisait le trou et remportait la 1re manche.
Novak Djokovic n’abdiquait et s’envolait dans le 2et pour mener 4-1, avant de voir le taureau de Manacor revenir sur lui à 4-4. La pluie tombait à point nommé pour permettre à «Nole» de récupérer. A la reprise, en «night session», il sortait son meilleur tennis et faisait perdre à l’Espagnol son premier set depuis le début du tournoi.
Le match s’enflammait ensuite, avec deux joueurs galvanisés par la foule et se livrant à une bataille de missiles en fond de court. Mais à ce petit jeu, Nadal conservait une petite longueur d’avance, n’offrant aucune balle de break à son rival et lui subtilisant à une reprise (en 11 essais) sa mise en jeu. Il remportait la 3e manche 6-4.
Contrairement à sa demi-finale face à Federer (où il fut aussi mené 1 manche à 2), Novak Djokovic marquait le coup, perdait dès le 3e jeu son service et laissait irrémédiablement et définitivement Rafael Nadal foncer vers son troisième titre consécutif de l’année en Grand Chelem, après Roland Garros et Wimbledon. Le monde lui appartient…:content::content::content::amoureux: super Nadal..........
La Coupe de l'America se disputera en 2013 sur des catamarans
Oracle dicte le jeu | La prochaine édition de la Coupe de l'America à la voile, la 34e, aura lieu en 2013 sur des catamarans dans un lieu restant à déterminer, a annoncé Russell Coutts, le patron du tenant du trophée, BMW Racing Oracle.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/america_0.jpg © KEYSTONE | Prenez l'aile d'Oracle (à droite) et installez là sur Alinghi et vous aurez le «cocktail» de la prochaine Coupe de l'America. Un cocktail à plusieurs millions...
AFP | 13.09.2010
La prochaine édition de la Coupe de l'America à la voile, la 34e, aura lieu en 2013 sur des catamarans dans un lieu restant à déterminer, a annoncé lundi à Valence (est) Russell Coutts, le patron du tenant du trophée, BMW Racing Oracle.
Le "defender" a annoncé lundi la création d'un nouveau modèle de bateau, un catamaran AC72 à "aile" (voile) rigide, et la mise en place de "World Series" à partir de 2011.
"Nous croyons que ce nouveau format et que ce nouveau bateau permettront à la Coupe de l'America de renouer avec les sommets de notre sport", a déclaré Russell Coutts.
La 33e édition, disputée en février à Valence après un litige interminable entre BMW Oracle et Alinghi, avait fait perdre beaucoup d'intérêt à l'épreuve, organisée avec succès en 2007, toujours à Valence.
"Ces changements donneront les mêmes chances à tous les concurrents", a ajouté Coutts.
Le lieu de la 34e édition sera annoncé avant la fin de l'année.
Vuelta: Nieve s'adjuge l'étape reine, Rodriguez en rouge
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7S7 mise à jour Mikel Nieve (Euskaltel) a remporté l'étape reine du Tour d'Espagne entre Gijon et Cotobello. Il a devancé Frank Schleck et le Belge Kevin De Weert. Joaquin Rodriguez s'empare du maillot rouge de leader au détriment de Nibali, qui a perdu de précieuses secondes dans l'ascension finale.
L'Espagnol Mikel Nieve (Euskaltel) a remporté lundi la 16e étape de la Vuelta, disputée principalement en altitude entre Gijon et Cotobello (nord) sur 181,4 km. Kevin De Weert a pris la 3e place juste derrière le Luxembourgeois Franck Schleck, 2e à 1 minute 05. Frederik Willems avait pu accompagner le bon groupe mais a du décrocher dans l'ascension finale.
Mikel Nieve, 26 ans, décroche la première grande victoire de sa carrière professionnelle. L'Espagnol Joachim Rodriguez (Katusha), 4e de l'étape à 1:22. en profite pour détrôner l'Italien Vincenzo Nibali, qui perd 1:59 sur Nieve et donc, 37 secondes sur Rodriguez qui endosse le maillot de leader au classement général. Mardi est un jour de repos sur la Vuelta.
Teddy Riner: "Je suis en colère, je me suis fait voler !"
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Le quadruple champion du monde français, Teddy Riner, battu en finale des toutes catégories des Mondiaux 2010 sur décision des arbitres par le Japonais Daiki Kamikawa, a crié sa colère après le match, estimant qu'il s'était "fait voler", lundi à Tokyo.
"J'ai fait tout le combat"
"Je suis en colère, je me suis fait voler! Je ne pensais pas que ça m'arriverait au Japon. Je fais tout le combat et c'est lui qui gagne", a lancé, très énervé, Riner. "Ce qu'il faut retenir c'est le match. Qui avait la garde, qui a attaqué le plus, qui a mis le plus en danger. C'est pas lui. Il devait prendre des pénalités! Le match je devais le gagner depuis longtemps!", a poursuivi le Français.
Pas de pénalités pour le Japonais
Riner a attaqué à plusieurs reprises lors des 5 premières minutes réglementaires et le Japonais a contré, sans attaquer, ce qui aurait pu le rendre passible de pénalités qu'il n'a pas reçues. A la fin des 5 minutes, le score était toujours nul et les deux judokas sont allés en prolongation de 3 minutes, à la fin desquelles Kamikawa a fait tomber Riner mais sans marquer au score.
Riner perd sa couronne
Le vainqueur a été désigné à l'issue de ces 3 minutes sur décision des trois arbitres. Deux d'entre eux ont estimé que le Japonais était victorieux. Riner a échoué à devenir le premier judoka de l'histoire à détenir cinq couronnes mondiales. Il était tenant du titre en toutes catégories et est triple champion du monde en titre en +100 kg.
automobilisme
Heidfeld remplace de la Rosa
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Image © Keystone
Nick Heidfeld retrouvera le volant d'une Sauber
L'Allemand pilotera une Sauber lors des cinq derniers GP de la saison
le 14 septembre 2010, 22h53
LeMatin.ch & les agences
L'Allemand Nick Heidfeld remplace l'Espagnol Pedro de la Rosa chez Sauber pour les cinq derniers grands prix. Il a été recruté avec effet immédiat par l'écurie suisse, qu'il avait quittée en 2009 à l'expiration de son contrat.
L'Allemand a été entre-temps le troisième pilote de Mercedes, fonction qu'il avait quittée en août pour rejoindre le fabricant de pneumatiques Pirelli qui sera le fournisseur officiel des écuries de F1 à partir de la saison prochaine.
Passé par Prost (2000), Sauber (2001-2003), Jordan (2004), Williams (2005) et BMW (2006-2009), Heidfeld a disputé 167 grands prix dans sa carrière, montant à douze reprises sur le podium et réalisant une pole position.
En 2007, il avait terminé à la 5e place du Championnat du monde des pilotes, son meilleur résultat.
«Je suis motivé comme jamais», a souligné l'Allemand, qui fera son retour le 26 septembre à Singapour.
En remplaçant de la Rosa, qui n'a récolté que six points cette saison, Peter Sauber tire les conséquences des résultats décevants de l'Espagnol, largement inférieur à son coéquipier japonais Kamui Kobayashi (21 points). «Cette décision a été dure à prendre», a affirmé l'ingénieur zurichois.
«Je suis surpris, mais je respecte ce choix et je souhaite bonne chance à tout le monde», a indiqué de son côté de la Rosa. L'Espagnol (39 ans) a précisé qu'il avait bien l'intention de poursuivre sa carrière en F1 l'an prochain.
;)Ouaip....Pas terrible l'espagnol:fou:Oups je viens de me faire une ennemie:D:D;)
football
La perf de Twente
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/foot655.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/foot655.jpg)
Image © Keystone
Le club néerlandais a réussi l’exploit d’accrocher le tenant du titre, l’Inter.
le 14 septembre 2010, 23h07
Le Matin
Ligue des champions
Enschede
L’Inter Milan a débuté la défense de son titre en Ligue des champions par un nul 2-2 en déplacement chez le champion des Pays-Bas, Twente Enschede. Dans ce même groupe A, Werder Brême et Tottenham se sont séparés sur un score similaire. Apôtre d’un jeu basé sur une organisation défensive rigoureuse, Rafael Benitez n’a pas dû apprécier les 45 minutes initiales à Enschede, durant lesquelles chaque équipe a marqué deux fois. Les deux buts de Twente sont tombés sur des balles arrêtées, un coup franc de Janssen puis un autogoal de Milito sur un corner. Menés 2-1, les nerazzurri, qui avaient ouvert le score par Sneijder, ont rapidement égalisé par Eto’o, auteur de son 20e but en Ligue des champions. Rien n’a été marqué après la pause.
A Brême, Tottenham a pris un excellent départ en trouvant l’ouverture à deux reprises grâce à un autogoal de Pasanen (12e) et une tête du géant Crouch (18e), le bourreau des Young Boys en play-off. Le Werder reprenait espoir peu avant le repos grâce à Almeida. Les Allemands égalisaient par Marin dès la reprise (47e).
Groupe B. La saison tourne au cauchemar pour Schalke 04. Après trois défaites consécutives en Bundesliga, l’équipe de Felix Magath a aussi perdu pour son entrée en Europe, s’inclinant 1-0 à Lyon sur une réussite de Bastos (21e). Les Allemands, qui ont été nettement dominés, ont joué durant plus d’une mi-temps à dix après l’expulsion de Höwedes (38e). Benfica Lisbonne a pour sa part dominé les néophytes d’Hapoel Tel-Aviv 2-0 grâce à des buts de Luisao et de Cardozo.
Groupe C. Vainqueur 4-0 en Turquie contre Bursaspor, Valence a pris la tête du groupe C. L’autre match, le derby britannique entre Manchester United et les Glasgow Rangers, est resté nul 0-0, la défense écossaise renforcée tenant en échec une équipe mancunienne sans plusieurs titulaires laissés au repos, mais avec Rooney.
Groupe D. Barcelone a tremblé durant 20 minutes avant de s’amuser face au Panathinaïkos (5-1). Intenable, Messi a frappé à trois reprises et… raté un penalty. Le FC Barça a, ainsi, parfaitement lancé son opération «cap sur Wembley», où se jouera le 28 mai prochain la finale de la Ligue des champions et où il avait gagné sa première C1 en 1992.
Twente Enschede a su élever le niveau de son jeu pour tenir l’Inter en échec.
Entrée en matière réussie pour MPH et Twente
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Théo Janssen (tout à droite) a été le grand artisan des deux buts marqués par Twente.
Une propagande pour le football offensif. Voilà comment résumer la rencontre qui a opposé Twente à l'Inter Milan (2-2, mi-temps: 2-2). Découvrez également tous les résultats de la soirée dans le tableau ci-dessous.
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Eto'o, fidèle à lui-même.
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Involontairement, Milito a dévié un corner tiré par Janssen dans son but.
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La frappe chirurgicale de Janssen sur le premier but néerlandais.
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Julio Cesar a sauvé l'Inter à plusieurs reprises.
Revivez le match phase par phase (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1157433/Twente-Inter-Milan.dhtml)
Les plus belles images (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1767/Ligue-des-Champions/photoalbum/detail/8/1157582/880385/0/Twente-Inter-Milan.dhtml)
Twente sans complexe
Le discours de MPH a manifestement fait mouche. Car, sans sous-estimer son équipe de Twente, peu d'observateurs voyaient en eux les capacités à faire tomber l'Inter, tenante du titre. Sneijder, après un bon travail de Milito, se rappelait aux bons souvenirs de la saison 2009-2010 en ouvrant le score (13e, 0-1). Une manière comme une autre de rappeler que la lutte face aux joueurs espagnols (Xavi et Iniesta) pour le futur Ballon d'Or n'est pas terminée.
Magistral Théo Janssen
Ce but intériste, c'était un peu l'arbre qui cachait la forêt. Sur la pelouse d'Enschede, c'est bel et bien le FC Twente qui prenait les commandements des opérations. Trop attentistes et à force de reculer, les Italiens tombaient dans le piège de l'équipe hollandaise. Deux phases arrêtées tirées par Théo Janssen suffisaient au bonheur de Michel Preud'homme. L'une se logeait en pleine lucarne (19e, 1-1) et l'autre était détournée involontairement dan son but par Milito. (30e, 2-1). Pour peu, ce même Théo Janssen "claquait"un troisième pion si Julio Cesar n'avait pas décidé de sortir le grand jeu sur un énième coup franc (28e).
Eto'o sort ses griffes
Après une première alerte signée Cambiasso (déviation sur la latte à la 35e), l'Inter Milan sortait ses griffes. Peu avant la pause, un relais entre Eto'o et Pandev permettait au buteur camerounais de placer un tir victorieux au ras du sol (40e, 2-2). Tout était à refaire pour la seconde mi-temps...
Fatigue et peur de perdre
On devait s'en douter: la seconde période perdait en intensité et en rythme. Sans oublier la peur de perdre qui paralysait les 22 acteurs. Twente et l'Inter, tous les deux fatigués par les nombreux efforts consentis au cours des 45 premières minutes effrénées, peinaient à porter le danger devant le but. Le dernier geste manquait dans les deux camps. On retenait surtout un essai signé Mariga (74e).
Pas le même Inter de Mourinho
Au final, Michel Preud'homme et Twente partagent le même sentiment: une entrée en matière réussie pour leur première en Ligue des Champions. Prendre un point face à l'Inter n'est pas donné à tout le monde. Du côté lombard, même si la saison ne fait que commencer, quelque chose nous dit que les Intéristes ne vivront pas une saison aussi fantastique que celle réussie la saison passée. Allô, José Mourinho?
Christophe Da Silva
Les résultats de la Ligue des Champions (mardi)TwenteInter Milan2-2Werder BrêmeTottenham2-2BenficaHapoel Tel Aviv2-0LyonSchalke1-0BursasporValencia0-4Manchester UnitedGlasgow Rangers0-0FC BarcelonePanathinaikos5-1FC CopenhagueRubin Kazan1-0
Clijsters invite 10.000 enfants au Plopsaland
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Kim Clijsters invite 10.000 enfants à passer le dimanche 17 octobre au Plopsaland de La Panne, a annoncé le bureau de marketing sportif Golazo Sports mardi.
La moitié des enfants seront invités via l'association SOS Villages d'Enfants avec laquelle la toute fraîche lauréate de l'US Open collabore et d'autres associations soutenues par la Fondation BNP Paribas Fortis.
Les 5.000 autres bambins peuvent s'inscrire via le site www.kimsland.be (http://www.kimsland.info/).
Chaque enfant pourra être accompagné d'un parent ou d'un tuteur et profiter de toutes les attractions du parc ainsi que des animations tennistiques conçues pour l'occasion.
;)Beau geste
ManU tousse, Valence Benfica et le Barça respirent
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Un doublé pour Messi (il s'est même permis le luxe de louper un penalty) et une rose pour Villa.
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Luisao (Benfica) est le sosie officiel de Benny B.
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Nul décevant pour Sir Alex Ferguson et ManU.
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Crouch a loupé une occasion en or à la 88e avec Tottenham.
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Mathieu et Pablo Hernandez.
GROUPE A
Werder Brême (GER) - Tottenham Hotspurs (ENG) 2-2
Pour son retour sur la grande scène européenne, Tottenham est passé tout près d'un exploit en terre allemande. Le club anglais, qui n'avait plus participé à la C1 depuis 1962, a cru pouvoir déjouer les pièges d'un Werder particulièrement amoindri par le départ d'Ozil au Real Madrid et l'absence sur blessure de ses deux défenseurs centraux, Mertezacker et Naldo. Mais après avoir mené 2-0 grâce notamment à un Crouch incisif, les Spurs ont laissé échapper la partie pour se contenter d'un point.
Groupe B
Benfica Lisbonne (POR) - Hapoël Tel-Aviv (ISR) 2-0
Les Portugais ont assuré le service minimum sur deux buts de Luisao et Cardozo mais ils se sont surtout positionnés comme des candidats naturels pour l'une des deux premières places. Shalke 04, qui a coulé à Lyon, sait à quoi s'en tenir avant de recevoir Benfica, le 29 septembre.
Groupe C
Manchester United (ENG) - Glasgow Rangers (SCO) 0-0
Alex Ferguson a semble-t-il égaré la clé du succès en ce début de saison. Après avoir concédé deux buts et un nul à Everton dans les arrêts de jeu (3-3), samedi, les Red Devils n'ont pas su trouver l'ouverture face aux Rangers. Le sorcier écossais avait pourtant donné sa chance à Rooney, ménagé ce week-end après des révélations parues dans la presse au sujet de prétendues infidélités, et à Ferdinand, aligné pour la première fois depuis cette blessure au genou qui l'avait privé de Mondial. Deux retours qui n'ont pas redonné souffle à des Mancuniens bien ternes.
Bursaspor (TUR) - Valence (ESP) 0-4
Il faudra une autre opposition pour juger du réel niveau des Valencians, saignés cet été (départs de Villa et de Silva). Mais le club espagnol a frappé les esprits en faisant qu'une bouchée du surprenant champion turc avec notamment un but de l'ancien Montpelliérain Costa.
Groupe D
Barcelone (ESP) - Panathinaïkos (GRE) 5-1
Les Blaugranas se devaient d'effacer la claque reçue au Nou Camp, samedi face à Hercules Alicante (0-2). Un doublé de Messi, puis trois buts signés de la recrue Villa, du prodige Pedro et d'Alves ont fait l'affaire et permis au Barça de marquer son territoire dans un groupe où les Grecs étaient supposés être leurs principaux rivaux.
FC Copenhague (DEN) - Rubin Kazan (RUS) 1-0
Dans l'ombre du Barça et du Pana sur le papier, les Danois ont effectué une belle affaire en battant in extremis les Russes (but de N'Doye à la 87e) et pris date dans la lutte pour une éventuelle troisième place, qualificative pour les 16e de finale de l'Europa League.
Quatre millions de spectateurs attendus au Dakar 2011
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Quatre millions de spectateurs sont attendus sur les routes du rallye Dakar 2011 qui s'élancera de Buenos Aires le 1er janvier 2011, puis traversera le Chili et se terminera dans la capitale argentine, a annoncé lundi le ministre de l'Intérieur Florencio Randazzo.
"Nous avons calculé que le Dakar devrait attirer quatre millions de personnes et générer un bénéfice pour le pays de 178 millions de dollars (136 millions d'euros)", a estimé M. Randazzo lors d'une conférence de presse en présence de responsables d'Amaury Sport Organisation (ASO), propriétaire de l'épreuve.
Le Dakar 2011, pour la troisième fois consécutivement se disputera en Amérique du Sud. Il traversera le Nord de l'Argentine et du Chili pour se terminer le 16 janvier
RadioShack finalement invitée au Tour de Lombardie
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L'équipe américaine RadioShack a finalement été invitée au Tour de Lombardie (16 octobre), a annoncé mardi l'organisateur de la grande classique italienne (RCS Sport).
La société organisatrice a déclaré avoir obtenu le feu vert de la part des présidents de l'Union cycliste internationale (UCI), Pat McQuaid, et du Conseil de l'UCI ProTour (CUPT), Vittorio Adorni, pour porter à 26 équipes le nombre de formations en lice.
RadioShack avait annoncé vendredi dernier sa volonté de faire appel de son éviction devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).(belga/chds)
Les 26 équipes (de 8 coureurs maximum) invitées au Tour de Lombardie:
Italie: Acqua § Sapone, Androni, ISD, Lampre, Liquigas
France: AG2R-La Mondiale, Bbox, Cofidis, FDJ
Etats-Unis: BMC, Garmin, HTC-Columbia, RadioShack
Belgique: Omega Pharma, Quick Step
Espagne: Caisse d'Epargne, Euskaltel
Grande-Bretagne: Carmiooro, Sky
Allemagne: Milram
Danemark: Saxo Bank
Irlande: CSF
Kazakhstan: Astana
Pays-Bas: Rabobank
Russie: Katusha
Suisse: Cervélo
Djokovic prend la 2e place de Federer à l'ATP
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En remportant l'US Open lundi à New York, Rafael Nadal a conforté sa 1e place au classement mondial, publié par l'ATP à l'issue de la dernière épreuve du Grand Chelem de l'année. L'Espagnol compte plus de 4000 points d'avance sur son nouveau dauphin, Novak Djokovic, qu'il a battu en finale à Flushing Meadows pour s'adjuger le dernier tournoi majeur qui manquait à son palmarès. Le Serbe a ravi la 3e place au Suisse Roger Federer, qu'il a éliminé en demi-finales de l'US Open, empêchant le Bâlois de disputer une 7e finale d'affilée à New York.
Battu par Nadal en demi-finales, le Russe Mikhail Youzhny entre dans le top 10 en passant du 14e au 9e rang; une 9e place qui était occupée par l'Américain Andy Roddick, sorti au 2e tour à Flushing Meadows. Le Texan pointe désormais au 11e rang.
Côté belge, Xavier Malisse et Olivier Rochus, tous deux éliminés au 1er tour de l'US Open, sont en recul. Le Courtraisien glisse du 50e au 56e rang, l'Auvelaisien passant pour sa part de la 74e à la 79e position.
Absent à l'US Open, Steve Darcis, le numéro 3 belge, passe de la 105e à la 177e place.
Niels Desein, qui fait partie de l'équipe belge qui affrontera l'Australie en barrages du Groupe mondial de la Coupe Davis ce week-end, gagne 16 places et se retrouve 173e, devant Christophe Rochus (178e). Egalement sélectionné en Coupe Davis (avec Xavier Malisse et Olivier Rochus), Ruben Bemelmans est 191e (+4).
Margotte
15/09/2010, 08h16
ET LYON nan mais :p:p:D!!
ELLE M'ENERVE CETTE GAMINE....:diable::D
Ligue des champions: Lyon respire, l'Inter et Manchester toussent
(AFP) – Il y a 10 heures
PARIS — A la peine en L1, Lyon s'est offert une belle bouffée d'air frais en démarrant parfaitement sa campagne en Ligue des champions face à Schalke 04 (1-0), alors que l'Inter Milan, tenant du titre, et Manchester United ont connu mardi des débuts mitigés contre Twente (2-2) et les Glasgow Rangers (0-0).
Pour la première fois en Ligue des champions, il a été appliqué l'arbitrage à cinq arbitres.
Groupe A:
Twente (NED) - Inter Milan (ITA) 2-2: La succession de José Mourinho, parti au Real Madrid, n'est pas chose aisée pour Rafael Benitez. Le nouvel entraîneur des champions d'Europe, poussifs en Serie A (6e), a passé une nouvelle soirée pénible à Twente même si ses troupes ont sauvé l'essentiel avec le point du match nul rapporté des Pays-Bas.
Werder Brême (GER) - Tottenham Hotspurs (ENG) 2-2: Pour son retour sur la grande scène européenne, Tottenham est passé tout près d'un exploit en terre allemande. Le club anglais, qui n'avait plus participé à la C1 depuis 1962, a cru pouvoir déjouer les pièges d'un Werder particulièrement amoindri par le départ d'Ozil au Real Madrid et l'absence sur blessure de ses deux défenseurs centraux, Mertezacker et Naldo. Mais après avoir mené 2-0 grâce notamment à un Crouch incisif, les Spurs ont laissé échapper la partie pour se contenter d'un point.
Groupe B:
Lyon (FRA) - Schalke 04 (GER) 1-0: En difficulté en championnat (16e), Lyon a peut-être enfin lancé sa saison après son succès face au club de Gelsenkirchen. Sans être brillants, les Rhodaniens, en vieux routiers de la C1 (11e participation de suite à la phase de poules), ont surtout profité des largesses offertes par une formation allemande remodelée de A à Z à l'intersaison et qui reste sur trois défaites en trois journées de Bundesliga. L'exclusion de Howedes juste avant la pause (38e) et les ratés du duo Raul-Huntelaar ont également facilité la tâche de l'OL. Reste à désormais à confirmer ce renouveau, dimanche à Bordeaux en championnat.
Benfica Lisbonne (POR) - Hapoël Tel-Aviv (ISR) 2-0: Les Portugais ont assuré le service minimum sur deux buts de Luisao et Cardozo mais ils se sont surtout positionnés comme des candidats naturels pour l'une des deux premières places. Shalke 04, qui a coulé à Lyon, sait à quoi s'en tenir avant de recevoir Benfica, le 29 septembre.
Groupe C:
Manchester United (ENG) - Glasgow Rangers (SCO) 0-0: Alex Ferguson a semble-t-il égaré la clé du succès en ce début de saison. Après avoir concédé deux buts et un nul à Everton dans les arrêts de jeu (3-3), samedi, les Red Devils n'ont pas su trouver l'ouverture face aux Rangers. Le sorcier écossais avait pourtant donné sa chance à Rooney, ménagé ce week-end après des révélations parues dans la presse au sujet de prétendues infidélités, et à Ferdinand, aligné pour la première fois depuis cette blessure au genou qui l'avait privé de Mondial. Deux retours qui n'ont pas redonné souffle à des Mancuniens bien ternes.
Bursaspor (TUR) - Valence (ESP) 0-4: Il faudra une autre opposition pour juger du réel niveau des Valencians, saignés cet été (départs de Villa et de Silva). Mais le club espagnol a frappé les esprits en faisant qu'une bouchée du surprenant champion turc avec notamment un but de l'ancien Montpelliérain Costa.
Groupe D:
Barcelone (ESP) - Panathinaïkos (GRE) 5-1: Les Blaugranas se devaient d'effacer la claque reçue au Nou Camp, samedi face à Hercules Alicante (0-2). Un doublé de Messi, puis trois buts signés de la recrue Villa, du prodige Pedro et d'Alves ont fait l'affaire et permis au Barça de marquer son territoire dans un groupe où les Grecs étaient supposés être leurs principaux rivaux.
FC Copenhague (DEN) - Rubin Kazan (RUS) 1-0: Dans l'ombre du Barça et du Pana sur le papier, les Danois ont effectué une belle affaire en battant in extremis les Russes (but de N'Doye à la 87e) et pris date dans la lutte pour une éventuelle troisième place, qualificative pour les 16e de finale de l'Europa League.
Ca joue là Miss Margotte?:p:amoureux:
Margotte
15/09/2010, 12h41
biennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn :hihi:
biennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn :hihi:
Quand même........:diable::D
tennis
Coupe Davis: Federer n'ira pas au Kazakhstan
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Image © KEYSTONE
Roger Federer
L'équipe de Suisse de Coupe Davis disputera son match de barrage au Kazakhstan ce week-end sans le No 3 mondial.
le 15 septembre 2010, 12h01
LeMatin.ch & les agences
L'équipe de Suisse de Coupe Davis devra disputer son match de barrage contre la relégation ce week-end au Kazakstan sans Roger Federer. Le No 3 mondial se dit trop fatigué après sa campagne américaine.
Le Bâlois l'a annoncé sur son site web: il se sent trop fatigué pour aller jouer à Astana. Ainsi pour la première fois de sa carrière, il ne disputera aucun match de Coupe Davis en une année complète. Depuis 2005, l'ancien No un mondial avait toujours manqué le premier match au début de la saison mais il était toujours venu participer aux play-off pour la promotion ou contre la relégation plus tard dans l'année.
Stanislas Wawrinka, qui a retrouvé sa place dans le Top 20 du classement ATP, tiendra le rôle de leader au Kazakhstan. Le Vaudois est arrivé mercredi matin à Astan et devrait effectuer son premier entraînement dans l'après-midi avec le coach Severin Lüthi et Yves Allegro.
record
Usain Bolt vise 9 sec 40 au 100 m
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Image © Keystone
Le Jamaïquain Usain Bolt, triple champion du monde et olympique, a indiqué mercredi à Sydney qu’il voulait porter son record du monde du 100 m de 9 sec 58/100 à 9 secondes 40/100.
le 15 septembre 2010, 13h15
LeMatin.ch & les agences
"Cette marque ensuite ne pourra plus être battue. Mais ce n’est pas une obsession. J’ai déjà le record du monde", a déclaré l’athlète au journal Daily Telegraph de Sydney.
Bolt, présent à Sydney dans le cadre des célébrations du dixième anniversaire des jeux Olympiques de 2000, a indiqué d’autre part qu’il attendait avec impatience les JO de Londres en 2012.
"Londres sera pour moi un grand événement, un moment fort dans ma carrière, parce qu’il y a beaucoup de Jamaïquains dans cette ville. Ce sera quelque chose de différent", a expliqué Usain Bolt.
Le Jamaïquain a vu sa saison en plein air perturbée par des petites blessures: en juin, il avait été contraint de faire une pause de trois semaines en raison d’une lésion au tendon d’Achille gauche, avant de mettre début août fin prématurément à sa saison en se plaignant de problèmes de dos.
Football
Müller délivre le Bayern
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Image © Keystone
Thomas Müller a ouvert le score d’une superbe frappe du droit.
Dans leur fief de l’Allianz Arena, les Bavarois ont battu la Roma 2-0.
le 15 septembre 2010, 23h16
LeMatin.ch & les agences
Ligue des champions
Munich
Bayern munich - As Roma
2-0 (0-0)
Une petite merveille d’extérieur droit de Thomas Müller a permis au Bayern Munich d’entamer victorieusement sa campagne européenne.
Le meilleur buteur de la Coupe du monde a délivré ses couleurs à la 79e minute. Il a armé sa frappe après une remise de la tête de Van Buyten pour ouvrir le score. Trois minutes plus tard, Klose devançait la sortie de Julio Sergio pour assurer le succès des Bavarois qui étaient privés de Robben et de Ribéry. Ce succès ne souffre aucune discussion. Après une première mi-temps très terne, le Bayern a exercé une domination écrasante face à un adversaire déjà en crise et qui n’avait vraiment pas, à l’image de son capitaine, Totti, 90tminutes dans les jambes. A défaut d’avoir retrouvé son football et son physique, la Roma est revenue aux fondamentaux: bien défendre en premier lieu. La formation de Claudo Ranieri a même réussi un petit exploit lors de la première période: empêcher le Bayern de se créer la moindre occasion! Cette victoire place le Bayern dans une position idéale avant son déplacement à Bâle le 28 septembre. Au Parc Saint-Jacques, le retour de Ribéry, qui a purgé sa suspension, donnera une arme supplémentaire à Louis Van Gaal.
football
Cauchemar roumain pour les Bâlois
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Image © Keystone
Bâle a été surpris dès le début du match par ce but de la tête de Rada
Bâle est battu par Cluj 2 à 1 pour ses débuts européens. Il a encaissé deux buts dans le premier quart d'heure
le 15 septembre 2010, 23h14
Le Matin
Ligue des champions Cluj (Rou)
Cluj - Bâle 2-1 (2-1)
Comme en 2008 contre Donetsk, le FC Bâle a entamé sa campagne de Ligue des champions par une défaite mortifiante, battu 2- 1 à Cluj en livrant une prestation d'une indigence absolue. Ce revers compromet bien sûr ses chances de qualification pour les huitièmes de finale.
Difficile d'imaginer départ plus catastrophique pour les Bâlois. Les hommes de Thorsten Fink ont en effet été menés 2-0 après seulement 12 minutes de jeu, piégés sur des têtes de Rada et de Traoré. Les buteurs ont été servis à chaque fois par l'Argentin Juan Culio, largement dominateur de son duel avec un Samuel Inkoom méconnaissable. Pour Cluj, l'affaire était belle: deux tirs, deux buts, malgré 60% de possession de balle pour le FCB.
Groggy, assommé, désorienté et asphyxié, le Champion de Suisse est passé à côté de son sujet durant la presque totalité de la partie. Impossible de refaire surface quand, systématiquement, la troisième passe de chaque séquence sort directement en touche ou termine dans les pieds adverses. Il a fallu attendre la 36e minute pour voir une action digne de ce nom, conclue par une tête de Huggel après un centre d'Inkoom, qui a obligé le portier Nuno Claro à s'employer.
Une défense apathique multipliant les erreurs, un milieu brouillon et sans idée, une attaque jamais dans le bon timing sur ses appels de balle: même la réduction du score de Stocker - qui a repris un corner de Frei - juste avant la pause n'a pas réussi remettre de l'ordre dans une maison rhénane aux fondations bien fragiles. Et ce ne sont pas les quelques habituels rushs de fin de match (notamment Chipperfield et Streller) qui enlèvent de l'amertume au constat.
Il ne sera pas facile de digérer cette première rencontre qui l'opposait à une équipe certes invaincue chez elle en championnat depuis avril 2008 (40 matches), mais qui connaît une période agitée et qui n'est dirigée par Sorin Cartu que depuis lundi. Voici désormais le FCB dans l'obligation de réussir une très grande performance contre l'AS Rome ou Bayern Munich pour entretenir l'infime espoir d'une qualification pour les huitièmes de finale.
Sous haute tension
Une victoire au stade Constantin Radulescu aurait ainsi permis aux Champions de Suisse de recevoir avec beaucoup plus de décontraction, le 28 septembre, les Bavarois, grands favoris de la poule. En plus de l'événement que représente la venue en Suisse alémanique du Rekordmeister, la quasi interdiction de la défaite pour les Bâlois placera la partie sous très haute tension.
LA RENCONTRE
Stade Constantin Radulescu. 12 000 spectateurs. Arbitre: Kelly (Irl).
Buts: 9e Rada 1-0. 12e Traoré 2-0. 47e Stocker (photo) 2-1.
Cluj: Nuno Claro; Panin, Cadu, Alcantara, Rada; Hora (54e Koné), Muresan, Dica, Culio; L. Traoré (79e Sforzini), Bastos (54e De Zerbi).
Bâle: Costanzo; Inkoom, Abraham, Cagdas, Safari (73e Tembo); Shaqiri, Huggel, Yapi, Stocker (73e Chipperfield); Streller, Frei.
Notes: Cluj sans Bjelanovic et Y. Koné (blessés). Bâle sans Zoua et Kusunga (blessés).
Avertissements: 25e Panin. 55e Streller. 92e Rada.
Ski alpin
Coup d’arrêt pour Défago
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Image © Michel Perret
Une mauvaise chute hier: les ligaments du genou sont touchés. Didier Défago sera malheureusement absent des pistes cette saison.
Victime d’une déchirure des ligaments antérieur et latéral de son genou gauche, hier à l’entraînement en super-G, le champion olympique dit adieu à sa saison.
Laurent Guyot - le 15 septembre 2010, 22h52
Le Matin
Equipe de Suisse
Zermatt (VS)
Il parlait de globe de cristal en Coupe du monde. Rêvait aussi d’or lors des championnats du monde de Garmisch 2011. Travaillait d’arrache-pied en salle de force. Alignait des manches de feu en vitesse. Prêt à confirmer son titre olympique de descente, Didier Défago, la mort dans l’âme, doit oublier ses ambitions. La fatalité vient de lui jouer un mauvais tour. Comme elle s’en est mêlée par le passé pour les Schild, Aufdenblatten, Cuche et Cie. La faute aux ruptures du ligament croisé antérieur et du latéral interne de son genou gauche hier matin. Une chute lors d’un entraînement de super-G sur une piste du glacier du Petit-Cervin, à Zermatt, le prive d’une saison avant même son début.
Opération demain
L’accident est survenu à l’occasion du 3e stage consacré aux disciplines de vitesse depuis le retour prématuré d’Argentine. Ralph Krieger, son ami et agent de la société GPS Performance, évoque les circonstances de cette chute: «Une faute de carre et le ski intérieur qui mord dans la neige suffisent à vous envoyer au tapis. Là, le destin ne lui a pas laissé une chance de s’en tirer.»
La tête la première
Tombé la tête la première, le skieur de Morgins (32 ans) s’est vu être pris en charge par l’équipe médicale sur place. Après la pose d’une perfusion pour atténuer les douleurs, l’infortuné Valaisan a pris la direction de l’Hôpital de Sion par la voie des airs. Si les radios passées ont exclu une fracture, l’IRM s’est montrée moins réjouissante pour le malheureux. Sauf contre-indication médicale, Didier Défago subira une opération à la Clinique de La Tour, à Meyrin, demain. Le Dr Olivier Siegrist, le même chirurgien qui avait opéré Didier Cuche en janvier 2005, s’occupera de réparer les dégâts causés par cette chute. Avec six mois au moins de convalescence et rééducation à la clé, autant dire que Déf’ ne chaussera pas les skis au cours de la saison 2010-2011.
Le Real déroule malgré un festival d'occasions ratées
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Xabi Alonso a botté le coup de coin qui a permis au Real de prendre l'avance, Higuain était aux aguets.
Le Real Madrid n'a pas raté ses débuts en Ligue des champions. Maître absolu des débats, l'équipe de José Mourinho ne l'a emporté "que" sur le score de 2-0 contre l'Ajax Amsterdam, inexistante ce soir. Les Espagnols ont gratifié le public d'un festival d'opportunités gaspillées. Higuain, avec la complicité d'Anita, a ouvert la marque avant que l'Argentin ne scelle le sort des Néerlandais en deuxième période. Si Cristino Ronaldo s'est montré extrêmement maladroit devant le but, Ozil, lui, a éclaboussé Bernabeu de sa classe.
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Gonzalo Higuain a doublé la marque pour le Real Madrid.
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CR7 a multiplié les essais, sans succès. Le playboy lusitanien a même loupé l'immanquable en fin de partie. Ce n'était pas son soir!
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Rafael Nadal, de retour de Flushing Meadows, a assisté à la victoire madrilène.
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Sans Vertonghen et Luis Suarez, tous les deux suspendus, l'Ajax s'exportait au Real Madrid orphelin de deux joueurs-clé. Toby Alderweireld était titularisé dans l'axe de la défense ajaccide. Du côté madrilène, Sergio Ramos devait renoncer en dernière minute. Il était remplacé par Arbeloa au poste d'arrière droite.
CR7: "Encouragez-nous"
Malgré la récente victoire contre Osasuna en Liga, l'ambiance n'est pas au beau fixe dans la "Maison Blanche". C'est que la manière sous l'ère José Mourinho n'est pas encore au rendez-vous. "Au lieu de nous siffler, ils (les supporters du Real Madrid) pourraient utiliser cette énergie pour nous encourager", a déclaré Cristiano Ronaldo cette semaine.
Mourinho s'énerve
Dans une première mi-temps à sens unique qui voyait le Real surclasser son hôte batave, Higuain, taquiné par la presse ibérique pour ses "stats" insuffisantes en C1 (2 buts en 21 matchs), répondait de la meilleure des façons en ouvrant le score, avec la complicité d'Anita il est vrai. Marcelo, Di Maria, Cristiano Ronaldo et Higuain (sur la transversale), qui avaient loupé des occasions 3 étoiles, provoquaient l'ire de José Mourinho.
CR7 maudit
Toujours asphyxié en seconde mi-temps, l'Ajax évitait la correction grâce à l'extrême maladresse des attaquants ibériques. Malgré une multitude d'occasions gaspillées, Higuain doublait la mise pour les Merengue (2-0) à la suite d'un assist d'Ozil, l'un des meilleurs éléments espagnols ce soir. Cristiano Ronaldo, maudit ce soir devant le but, riait jaune...
Rafa à Bernabeu
Au final, les protégés de Mourinho n'ont jamais été inquiétés ce soir contre une équipe néerlandaise très timide, et qui n'a pu opposer la moindre résistance. L'apothéose de la soirée? L'ovation de Rafael Nadal, de retour de New York après son sacre à l'US Open...
Michaël Bouche
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15/09/10 22h30
Velits gagne le contre-la-montre, Nibali en rouge
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Le Slovaque Peter Velits (HTC Columbia) a remporté mercredi la 17e étape du Tour d'Espagne, courue sous la forme d'un contre-la-montre individuel autour de Penafiel, où l'Espagnol Joaquin Rodriguez (Katusha), à la dérive sur ce chrono (seulement 105e), a perdu son maillot rouge de leader au profit de l'Italien Vincenzo Nibali (Liquigas).
Sur ce tracé de 46 kilomètres, complètement plat, sans la moindre petite pente, Velits a devancé de 12 secondes le Russe Denis Menchov et de 37 secondes le Suisse Fabian Cancelarra, champion du monde en titre du contre-la-montre. Leif Hoste a terminé premier Belge à la 6e place (à 1:07) et Philippe Gilbert s'est classé 9e (à 1:24). Au classement général, Nibali compte désormais 39 secondes d'avance sur l'Espagnol Ezequiel Mosquera et 2:00 sur Velits
Le LS n’a qu’une idée, bousculer Moscou
FOOTBALL | Le défenseur Jérôme Sonnerat évoque la venue du CSKA Moscou, ce soir à la Pontaise (19 h), dans le cadre de l’Europa League.
http://www.24heures.ch/files/imagecache/468x312/story/ls_mosc.jpg © ARC | Jérôme Sonnerat et les joueurs lausannois entendent poursuivre l’aventure avec de bons résultats. A voir dès ce soir.
François Ruffieux | 16.09.2010 | 00:01
«Nous ne sommes pas là seulement pour participer. Lausanne doit être conquérant et avoir l’envie de bousculer ses adversaires. Ces matches d’Europa League, on les aborde pour les gagner.» Attablé à la pinte du LS, à la veille du premier match de groupe, face au CSKA Moscou, Jérôme Sonnerat (25 ans) ne fanfaronne pas. Il affirme plutôt cette confiance qui a grandi au fil des semaines et des bonnes performances.
A Moscou, où l’équipe vaudoise est allée chercher sa qualification face à Lokomotiv, le défenseur a vécu les plus belles émotions de son parcours personnel. «On voulait juste rester sur le terrain et que le temps s’arrête un peu, pour savourer. En 2010, avec les qualifications en Coupe de Suisse, à Berne ou à Saint-Gall, nous avons connu de bons moments, ceux qui rendent ce métier magnifique. Et on espère bien sûr en vivre d’autres.»
La patte du coach
Concrètement, Sonnerat devra pallier le double forfait de Meoli et Buntschu. Ainsi, le latéral gauche glissera dans l’axe afin d’épauler Katz. Une contrariété, une inquiétude peut-être? Pas vraiment, dans la mesure où Sonnerat est plutôt un arrière central de formation. «La position de latéral me permet d’assouvir un peu mieux mon appétit offensif. Et les repères sont bien sûr différents. Mais j’ai le bagage qu’il faut pour faire face à cette situation particulière. Et se frotter à de tels adversaires, c’est plutôt stimulant. Une affaire mentale avant tout. Je n’ai aucune appréhension.»
Samedi, à Wohlen, une mésentente avec Favre avait pourtant permis aux Argoviens d’ouvrir le score. «C’est vrai, et on en a parlé. D’ailleurs, pour ce match de reprise, toute l’équipe a pris conscience… de ce qu’il ne fallait pas faire. Avec 10% ou 20% de moins dans le rendement collectif, le résultat peut être complètement différent. Cela dit, cette défaite représente un bien pour un mal. On ne remet en tout cas rien en question de ce qui a fait notre force jusque-là.»
Cette force, justement, d’où vient-elle? «Un bon mélange des mentalités, la présence de Celestini, sur le terrain et dans le vestiaire, et la patte du coach, avec une confiance et ce nouvel état d’esprit qu’il a su nous insuffler», note Sonnerat. Et puis, ce soir, on aura l’appui d’un nombreux public. «Les gens reconnaissent notre travail. Voir ces files d’attente pour les billets, ça nous a touchés. L’équipe montre la voie et le public nous soutient, c’est tout simplement fabuleux!»
Egli: «J’ai toujours été un supporter du LS»
On ne s’attendait pas à le rencontrer dans les couloirs de la Pontaise. Hier matin, Andy Egli (52 ans) était pourtant bien là. Mais à quel titre? «Je suis consultant pour la chaîne privée alémanique 3 +, explique-t-il. Elle a acquis les droits pour les matches d’Europa League avec les formations de notre pays.»
Ancien défenseur central (Grasshopper, Dortmund; Xamax et Servette; et l’équipe de Suisse bien sûr, avec ses 77 sélections), Egli semblait visiblement ravi de revenir à Lausanne. «Entrer dans ce stade, c’est une bouffée de nostalgie. Les vrais footeux n’ont jamais aimé la piste autour du terrain. Mais moi, j’ai toujours été un supporter du LS. J’avais découvert les Seigneurs de la nuit au Letzigrund, en 1966 ou 1967. Et je leur avais immédiatement fait une place dans mon cœur. Imaginez un gamin de Thurgovie supporter du LS!»
Et comme joueur? «C’était toujours spécial de venir à Lausanne, se souvient Egli, Il y avait souvent la bise. Et, surtout, on gagnait rarement.» Lui qui fut coéquipier de Martin Rueda à GC, comment apprécie-t-il le LS actuel? «A juger du potentiel de cette équipe en début de saison, je ne pensais pas qu’elle obtiendrait pareils résultats, avoue-t-il. Mais on parle à nouveau du LS et c’est bien. En Suisse alémanique, Servette et le LS restent des clubs importants, respectés, et même appréciés.»
Et qu’adviendra-t-il ce soir, face au CSKA? «Lausanne a engrangé pas mal de confiance. Et je crois vraiment que tout peut arriver. Y compris la défaite, bien sûr, car c’est un sacré défi qui se présente.»
Un budget 40 fois supérieur à celui du LS
PLÉIADE DE STARS Avec dix championnats, dix coupes et une coupe de l’UEFA (2005), le CSKA Moscou est le troisième club le plus populaire de Russie, derrière Spartak Moscou et Zénith St-Pétersbourg. Il affiche un budget environ 40 fois supérieur à celui du LS (3,5 millions de francs). Le club de l’Armée rouge est composé d’une pléiade de stars internationales. Parmi lesquelles le gardien russe Akinfeev, les milieux de terrain Honda (Japon) et Gonzalez (Chili), très en vue lors de la dernière Coupe du monde, ou encore les attaquants Vagner Love (Brésil) ou Oliseh (Nigeria). Actuel troisième du championnat de Russie, CSKA sort d’une défaite, dimanche, face à Lokomotiv (1-0). La saison passée, le CSKA s’était hissé en quart de finale de la Ligue des champions, ne tombant que devant le futur vainqueur, l’Inter Milan.
JOUER VITE «Il faut y croire et livrer, une fois encore, un match parfait.» Coach du LS, Martin Rueda est persuadé que son équipe «peut faire mal au CSKA». Comment perçoit-il l’adversaire russe? «De grands gabarits en défenses forts dans les duels, mais pas toujours très mobiles. Il conviendra de multiplier les échanges au ras du sol, en essayant de jouer vite».
TÔT AU STADE En raison des mesures de sécurité particulières (fouille et passage des fameux tourniquets), le club recommande au public de venir suffisamment tôt. Il sera possible de franchir le périmètre de sécurité dès 16 heures, alors que le stade ouvrira ses portes à 17h30. L’utilisation des transports publics est également conseillée.
Par ailleurs, certains objets (casques, parapluies, etc.) ne pourront être introduits à l’intérieur du stade. Des consignes seront à disposition, l’une au nord et l’autre au sud.
SI / 2
Le Barça, une source d’inspiration
Alors que les premiers matches de la Ligue des champions viennent de lancer véritablement la saison européenne, Barcelone a réussi une démonstration qui, déjà, fait saliver les amateurs de beau jeu. Evoquez avec les joueurs du LS le spectacle présenté mardi par le Barça – un 5-1 contre Panathinaikos, qui aurait très bien pu être un 10-1 – et vous verrez leurs yeux briller. «Pfff, la classe! Quand on choisit de regarder un match du Barça, on sait qu’on a 80% de chances d’avoir beaucoup de plaisir», note Guillaume Katz. «Mardi, j’avais prévu de regarder Lyon. Mais je suis resté scotché devant le Barça, avoue de son côté Jérôme Sonnerat, Français d’Annecy. C’est juste fabuleux!»
Mais des footballeurs comme ceux du LS ont-ils quelque chose à retirer de pareille démonstration? «On prend exemple, à notre niveau bien sûr, assure Sonnerat. On capte de petites choses, chacun dans son secteur. Les Catalans essaient toujours de jouer. Et quand ils perdent la balle, ils tentent de la récupérer très vite et très haut. Cette saison, le LS s’inspire de cette philosophie: des passes courtes, du mouvement, et des ballons le plus propre possible».
«Gagner en proposant une qualité de jeu exceptionnelle, c’est le rêve, renchérit Katz. L’entraîneur nous en parle. Nous, on essaie de travailler un jeu simple, le plus direct possible, en multipliant les passes. Ainsi, l’adversaire doit courir, faire sans arrêt l’effort du replacement, et cela permet des décalages dont il faut ensuite profiter…»
:content:Vais y aller se soir............:content:
Margotte
16/09/2010, 08h04
bon ben Nortonnelet c'est po la peine de parler de la soirée d'hier soir hein :diable: ... :)
bon ben Nortonnelet c'est po la peine de parler de la soirée d'hier soir hein :diable: ... :)
tu me donnes des:boutons::D:D:fou:
cyclisme
Cavendish, encore lui
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/cyclew.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/cyclew.jpg)
Image © Keystone
Cavendish n’a pas fait de quartier dans la dernière ligne droite.
Le Britannique a remporté son troisième succès d’étape. Nibali toujours en rouge.
le 16 septembre 2010, 22h45
Le Matin
Tour d’Espagne
Salamanque
L’ogre du sprint mondial, le Britannique Mark Cavendish (HTC-Columbia), a accroché un nouveau trophée à son tableau de chasse en remportant la 18e étape du Tour d’Espagne. C’est son troisième succès d’étape depuis le début de la course.
Cavendish n’a pas fait de quartier dans la dernière ligne droite qu’il a attaquée en tête, toute en puissance, inexorablement. Le Britannique avait connu une première semaine de course difficile pour sa première participation au Tour d’Espagne. Avec cette troisième victoire, après celles des 12e et 13e étapes, on peut dire qu’il y est désormais dans son jardin, comme en France et en Italie.
L’Italien Vincenzo Nibali a conservé sans peine son maillot rouge de leader récupéré la veille lors du contre-la-montre, au terme de cette courte étape soporifique entre Valladolid et Salamanque (148,9 km).
Le Zénith est tombé sur la tête d'Anderlecht
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Le Zénith Saint-Pétersbourg a surclassé Anderlecht (1-3) lors de la première journée d'Europa League. Supérieurs techniquement et tactiquement, les Russes ont plié le match en 45 minutes. Le bourreau des Mauves se nomme Alexander Kerzhakov, l'auteur d'un hat-trick pour le Zénith. C'est Roland Juhasz qui a sauvé l'honneur des Bruxellois en seconde mi-temps.
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Kerzhakov, l'homme du match.
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Bernardez a laissé trop d'espace à Kerzhakov sur le premier but russe.
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Kerzhakov se joue de Rnic pour le 0-2. Même scénario pour le 0-3.
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Juhasz a redonné espoir aux Mauves, mais le Zénith était tout simplement plus fort.
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Lukaku n'a pas pu faire grand chose devant l'impressionnante domination russe.
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La montée de Legear a fait du bien en seconde mi-temps.
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Nicolas Lombaerts a joué un vilain tour aux Bruxellois.
Revivez le match (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Canal-Sports/livecoverage/detail/1158427/Anderlecht---Zenith.dhtml).
Les plus belles photos (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1746/Anderlecht/photoalbum/detail/8/1158548/881455/0/Anderlecht---Zenith.dhtml).
Anderlecht n'a pour ainsi dire pas existé en première mi-temps face au Zénith jeudi soir, lors de la première journée d'Europa League. Les Bruxellois ont été balayés par des joueurs russes maîtrisant l'art du contre à merveille.
Le festival Kerzhakov
Anderlecht commence pourtant bien la rencontre avec deux tentatives signées Gillet (5e) et Deschacht (7e). Mais la première incursion russe est déjà la bonne. À la 8e, Proto est fusillé sur une tête de Kerzhakov, laissé seul au petit rectangle par Bernardez (8e, 0-1).
Réaction anderlechtoise
Anderlecht réagit par Boussoufa (13e). Le tir du Marocain prend la direction du but mais la frappe est malencontreusement détournée par Gillet. Par la suite, le coup-franc de Biglia (20e) sollicite enfin le gardien russe, Zhevnov.
Erreurs de marquage
Le Zénith est tout près du break à la 14e sur un face-à-face Kerzhakov-Proto, puis sur une reprise de Lazovic (18e). Les Russes parviennent à leur fin à la demi-heure via Kerzhakov, qui se joue de Rnic avant d'armer une frappe qui termine dans les filets de Proto (32e, 0-2).
Le public mécontent
Anderlecht est dans les cordes. Les Mauves boivent le calice jusqu'à la lie à la 43e lorsque Kerzhakov, encore laissé seul par Rnic, place une frappe du droit magistrale dans la lucarne bruxelloise (43e, 0-3). La mi-temps est sifflée sur ce score, et les huées du public anderlechtois.
Legear remplace Rnic
En seconde mi-temps, Ariel Jacobs fait monter Jonathan Legear à la place de Nemanja Rnic. Anderlecht va logiquement dominer son adversaire, légèrement suffisant en seconde mi-temps. Les Bruxellois parviennent même à réduire l'écart sur un corner repris de la tête par Juhasz (66e, 1-3).
Manque d'efficacité
L'enthousiasme revient mais ni Suarez (69e), Lukaku (82e) ou la tête de Juhasz (82e) ne parviennent à marquer un deuxième but au Zénith. Lazovic (67e) et Danny rappelent d'ailleurs aux Bruxellois qui sont les patrons sur le terrain.
Défense en papier
1-3, score final. La défense anderlechtoise a commis beaucoup trop d'erreurs pour revendiquer plus face à un adversaire du calibre des Russes. Il faudra resserer les boulons défensivement et vite pour éviter de sombrer encore plus au niveau européen.
AEK - Split 3-1
Dans l'autre match du groupe, l'AEK Athènes a pris la mesure d'Hadjuk Split, 3-1. Lors de la prochaine journée (30 septembre), Anderlecht se rendra en Croatie (19h).
Fiche technique:
Anderlecht: Proto; Rnic (46e Legear), Bernardez, Juhasz, Deschacht; Gillet, Polak, Biglia, Boussoufa; Suarez et Lukaku
Entraîneur: Ariël Jacobs
Zenit Saint-Petersbourg: Zhevnov; Semak, Bruno Alves, Lombaerts, Lukovic; Shirokov (36e Fayzulin), Zyryanov, Denisov, Danny (90e Krizanac); Lazovic et Kerzhakov (79e Ionov)
Entraîneur: Luciano Spalletti (Ita).
Arbitre: Manuel Gräfe (All)
Cartes jaunes: Bruno Alves (19e), Lukovic (31e), Bernardez (78e)
Le buts: Kerzhakov (8e, 31e et 44e; 0-1, 0-2 et 0-3), Juhasz (66e; 1-3). (belga/chd)
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16/09/10 22h56
Scandale "gay" au Celtic Glasgow
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Darren O'Dea et Chris Killen - capture d'images: The Scottish Sun.
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Mélissa Cheung, la copine de Darren O'Dea.
Darren O'Dea et Chris Killen, deux joueurs appartenant au Celtic Glasgow, ont été filmés en train de s'embrasser langoureusement dans un casino de Glasgow. The Sun version écossaise est tombé sur la vidéo prise par les caméras de surveillance. Voilà qui ravira la copine de Darren O'Dea, la ravissante Melissa Cheung. Amour-passion entre "Bhoys" - le surnom des joueurs du Celtic - ou simple délire entre footballeurs bourrés? La seconde hypothèse prévaut quand même.
Brice Feillu rejoint l'équipe des frères Schleck
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Le grimpeur français Brice Feillu (Vacansoleil) va rejoindre la saison prochaine les rangs de la formation luxembourgeoise des frères Schleck, a indiqué jeudi l'intéressé.
"Je crois que ce sera la formation idéale pour m'épanouir. Je vais là-bas pour me relancer", a déclaré Brice Feillu, interrogé sur son avenir par le quotidien La Nouvelle République. Feillu, 25 ans, portait cette saison les couleurs de la formation néerlandaise Vacansoleil, comme son frère Romain, sprinter. Le coureur indique avoir "donné sa parole" à Kim Andersen, futur directeur sportif de l'équipe dont le nom et le sponsor n'ont pas encore été dévoilés.
Le Français aura pour chef de file Andy Schleck, 2e du Tour 2010, et son frère Franck, deux fois 5e de l'épreuve reine. Brice Feillu s'était révélé lors du Tour 2009 où il avait remporté la prestigieuse étape de montagne entre Andorre et Arcalis dans les Pyrénées.
Margotte
17/09/2010, 08h16
pas la peine nan plus de causer d'hier soir :diable::diable:... mirci :D!
Stoner27
17/09/2010, 11h20
pas la peine nan plus de causer d'hier soir :diable::diable:... mirci :D!
y avait quoi hier soir?
pas la peine nan plus de causer d'hier soir :diable::diable:... mirci :D!
:diable:je ne supporte plus.......:p:amoureux:
Paris crée la surprise
Mots clés : football (http://plus.lefigaro.fr/tag/football), ligue europa (http://plus.lefigaro.fr/tag/ligue-europa), paris sg (http://plus.lefigaro.fr/tag/paris-sg)
Aurélien Billot(Sport24.com)
16/09/2010 | Mise à jour : 23:40 Réagir (http://plus.lefigaro.fr/article/peut-etre-le-bon-moment-20100915-283834/commentaires)
http://www.lefigaro.fr/medias/2010/09/15/sport24_415087_7187976_13_fre-FR.jpg
Nêne a donné la victoire au Paris SG à Séville Crédits photo : Panoramic
Avec une équipe remaniée, le Paris SG s'est imposé sur la pelouse du FC Séville grâce à l'indispensable Nenê (0-1). Un succès qui met les Parisiens sur les bons rails dans cette Ligue Europa.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif FC Séville-Paris SG 0-1
Paris SG : Nenê (76e)
On leur annonçait l'enfer à Sanchez Pizjuan. Mais c'est presque tranquillement que les Parisiens ont battu le FC Séville pour leur entrée en lice en phase de groupes de la Ligue Europa (0-1). De l'enfer promis, on retiendra simplement le début de match où Capel (7e), Dabo (13e) et José Carlos (17e) auraient pu ouvrir le score, avant que Luis Fabiano, remplaçant depuis l'épisode de son vrai-faux départ à Marseille, ne rappelle à tout le monde qu'il est un attaquant de classe internationale en réussissant un enchaînement technique de toute beauté dans la surface (21e). Sauf qu'après avoir souffert pendant les vingt premières minutes, les Parisiens relevaient la tête. A tel point que ce sont eux qui se procuraient ensuite les meilleures occasions de la première période. Mais Chantôme (27e) et Erding (32e, 42e) manquaient de précisions. Le FC Séville, lui, n'était plus dangereux que sur coups de pied arrêtés comme ce corner rapidement joué qui aboutissait à un nouveau geste acrobatique de Luis Fabiano (34e) ou ce coup-franc de José Carlos bien repoussé par Edel (36e).
Mécontent de la copie brouillonne rendue par les siens, Antonio Alvarez frappait fort avec un double changement à la mi-temps. Mais le scénario ne variait guère. Ses joueurs avaient toujours la possession, mais ne se montraient guère dangereux. Tout juste pouvait-on signaler cette reprise timide de Capel sur un long centre de Konko (61e). Et comme lors du premier acte, Paris prenait confiance et frappait en contre. Et après un nouveau raté d'Erding (65e), c'est Nenê qui réussissait le coup parfait d'une frappe déviée par Caceres (0-1, 76e). Un coup de massue dont les Espagnols ne se relèveront pas. Au contraire. Hoarau (79e) et Makelele (84e), tous deux entrés en jeu, auraient même pu aggraver la marque. Qu'importe puisque c'est bien avec les trois points que Paris repart de l'enfer.
Le joueur du match
Barré par la paire Bodmer-Makelele, le duo Chantôme-Clément a montré qu'il était une alternative plus qu'intéressante dans l'entrejeu, en particulier le premier, qui, à l'heure actuelle, semble même être le meilleur des quatres.
Tactique et coaching
Comme souvent en Ligue Europa, Antoine Kombouaré avait fait tourner. Sakho, Hoarau, Makelele ont débuté sur le banc au profit de Maurice, Armand et Clément. Solides et appliqués, les Parisiens ont d'abord fait le dos rond. Avant de porter l'estocade en contre en fin de match. Un nul semblait pourtant satisfaire le Kanak, qui a sorti Erding pour faire entrer Makelele à l'heure de jeu. Dans le camp andalou, Antonio Alvarez a tout tenté pour réveiller ses hommes : double-changement à la pause (entrées de Kanouté et Guarente, sorties de Cigarini et José Carlos), puis un troisième dès l'heure de jeu (sortie de Capel pour Perotti), mais rien n'y a fait...
On n'a pas aimé
Muet depuis la première journée de championnat contre Saint-Etienne (3-1), Mevlut Erding traverse une mauvaise passe. Et ce ne sont pas ces trois occasions manquées mercredi soir qui vont l'aider à en sortir.
Résultats du groupe I :
Karpaty-Dortmund 3-4
Séville-Paris 0-1
Ligue Europa Ligue Europa-Gr. H: Getafe et Stuttgart prennent les devants
Le VfB Stuttgart (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/stuttgart-75.html) n'a pas souffert ce jeudi lors de la première journée de la Ligue Europa. Les Allemands se sont imposés à domicile face aux Young Boys de Berne, éliminés en tour de barrages de la Ligue des champions par Tottenham (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/tottenham-53.html). Cacau, Gentner et Tasci sont les trois buteur du VfB. Le club allemand prend la tête du groupe H devant Getafe (http://www.forum-motogp.com/football/equipes/getafe-344.html), vainqueur en toute fin de match des Danois d'Odense (2-1). La tâche des Espagnols a cependant été difficile, après le but contre son camp d'Arizmendi en première période, donnant l'avantage à Odense. Mais le même Arizmendi s'est rattrapé en égalisant avant que Pedro Rios (http://www.forum-motogp.com/football/joueurs/4/pedro-rios-27634.html) n'offre la victoire à Getafe à la 81e minute.
C'est trop sévère
17 septembre 2010 - CHRISTOPHE SPAHR - Aucun commentaire (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
LAUSANNE - CSKA MOSCOU 0-3Il n'y avait pas trois buts d'écart entre les deux équipes. Même si, question budget, elles ne jouent pas dans la même cour.
Que valent 3,5 «petits» millions face à un budget déclaré de 150 millions? Pas grand-chose, sur le papier. Et moins encore à la bourse du football européen, là où Lausanne est un quasi inconnu. Là où le CSKA Moscou, aussi, a presque l'étoffe d'un grand. Après tout, le club russe a remporté la coupe UEFA en 2005 avant de se hisser, au printemps dernier, en quart de finale de la Ligue des Champions. Voilà pour la réalité des chiffres que le terrain, malheureusement, n'a pas démentie. Lausanne était inférieur, certes. Mais il n'a pas non plus déroulé le tapis rouge à l'ex-club de l'Armée du même nom, autant titré en championnat qu'en coupe nationale: dix sacres partout.Si l'on excepte le premier quart d'heure, durant lequel Lausanne a été privé de ballons, les Vaudois n'ont pas affiché trop de complexe face à leur adversaire. Bien sûr, le Brésilien Vagner Love a constitué un danger permanent devant le but. Bien sûr, le Chilien Gonzalez a mis le feu sur son côté gauche. Deux internationaux à qui l'on doit, par ailleurs, l'ouverture du score. Il n'en reste pas moins que si les Russes vont vite, très vite en contre, ils n'ont pas non plus asphyxié les petits Suisses. Au final, le score est bien trop sévère pour une équipe qui s'est battue avec ses moyens sans oublier, pour autant, ses principes. Lausanne, le premier quart d'heure digéré, a souvent eu le contrôle du ballon. Il s'est employé à bien le faire circuler. «J'ai aimé cette volonté de jouer au foot malgré tout, malgré la renommée de notre adversaire», relève Martin Rueda, l'entraîneur vaudois. «Mes joueurs se sont battus sur chaque ballon. Ils ont juste affiché trop de respect durant vingt à vingt-cinq minutes. Quant aux défenseurs, ils n'ont pas serré d'assez près les attaquants russes.»
Les trois essais de Tosi
Le résultat n'est certes pas à la hauteur de la prestation des Vaudois. La faute au réalisme des Russes - une tête à bout portant d'Ignashevich - et au coup de main de l'arbitre, lequel a accordé un penalty très sévère au plus «nanti». Trois buts à rien, la sanction peut paraître sans appel. Elle l'est au tableau d'affichage, moins dans les faits. «Nous n'y avons pas assez cru en début de match», regrette encore Martin Rueda. «Cela étant, je n'ai qu'un reproche à faire à mes joueurs: celui de n'avoir pas été décisif devant le but. La différence est là. Le CSKA Moscou a concrétisé sa première occasion alors que nous n'avons pas su profiter de nos cinq ou six chances de but. Il ne fallait pas s'attendre à obtenir quinze occasions...»
L'entraîneur fait allusion aux trois tirs de Tosi, dont un seul a dû être détourné des poings par le gardien Akinfeev - encore un international. Ainsi qu'à la reprise à bout portant manquée par Silvio. C'était avant que le CSKA Moscou, sûr de son fait, convaincu qu'il ramènerait les trois points, ne fasse tourner son effectif en introduisant deux autres internationaux: Honda, l'un des meilleurs Japonais à la coupe du monde et le Nigérian Oliseh. Excusez du peu! «Le score est sévère. Mais à la fin, nous avons tout de même manqué de qualités à ce niveau», déplore Martin Rueda.
;)C'est vrai j'ai vu le match....:content:
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