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Schiavone offre le 1er point à l'Italie en finale de la Fed Cup
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© ap
7S7 mise à jour Francesca Schiavone, fer de lance de l'Italie, a mis son pays sur la bonne voie pour conserver son titre en remportant le premier point de la finale de Fed Cup contre les Etats-Unis avec une victoire 6-2, 6-4 sur la jeune Coco Vandeweghe, samedi à San Diego.
Schiavone, N.7 mondiale, n'a pas eu à s'employer pour dominer la 114e joueuse du monde, qui n'avait jamais joué en Fed Cup mais que la capitaine américaine Mary Joe Fernandez avait titularisée en pensant que son jeu à plat et son service puissant pourraient gêner la gagnante de Roland-Garros. Mais l'effet de surprise n'a pas fonctionné et Schiavone s'est parfaitement adaptée, parvenant à varier le jeu et à faire courir son adversaire, qui a en plus accumulé les fautes directes (36, bien: 36), parfois sur des coups anodins.
Devant la grande Américaine de 18 ans (1,85 m), Schiavone n'a en fait été en danger qu'en fin de seconde manche, lorsque Vandeweghe, qui venait d'enchaîner deux jeux de service blancs, a débreaké pour égaliser à 4 jeux partout. La rébellion de l'Américaine a été de courte durée puisque l'Italienne a pris le service adverse au jeu suivant puis servi pour le match. Vandeweghe avait entamé la rencontre par un ace puis un service gagnant, avant de concéder ce premier jeu sur deux doubles fautes consécutives...
"Je n'avais jamais joué contre Francesca, a indiqué Vandeweghe. Elle n'est pas dans le Top 10 mondial pour rien. Elle a un grand répertoire de coups et joue beaucoup en variations. Je suis un peu déçu d'avoir laissé tombé l'équipe". "Je n'ai pas réussi à trouver le rythme en retour de service dans le premier set et elle en a bien profité. C'est vrai que j'étais un peu nerveuse au début. Dans le deuxième set, j'ai trouvé un peu le rythme et j'étais en confiance", a-t-elle ajouté. Dans le deuxième simple de samedi, Flavia Pennetta, 23e mondiale, rencontrait Bethanie Mattek-Sands, la meilleure carte américaine.
06/11/10 22h48
Une star du rugby en plein acte sexuel avec un chien
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Une star australienne du rugby a crée la polémique après la diffusion d'une photo très explicite entre lui et... un chien.
Le cliché scandaleux a été posté sur Twitter ce mercredi. Sur l'image la star du rugby, Joel Monaghan est dénudé et simule un acte sexuel avec un chien.
Selon les médias australiens, la photo aurait été prise dans un bar. L'équipe au complet se trouvait sur les lieux et avait visiblement abusé de boissons alcoolisées.
Joel Monaghan a avoué les faits qui lui sont reprochés. Une enquête a été ouverte à l'encontre du rugbyman au comportement déplacé. (CB)
06/11/10 15h19
:fou:Vraiment tarééééééééé
Bordeaux et Lyon évitent le pire
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© afp
7S7 mise à jour Malmené et toujours en proie au doute, Lyon a tout de même réussi à ramener le point du match nul de Rennes (1-1), tout comme Bordeaux, qui s'est évité in extremis une grosse déprime face à Valenciennes (1-1) à domicile, samedi lors de la 12e journée de Ligue 1.
Les Lyonnais ont failli connaître une nouvelle désillusion mais peuvent remercier Bastos, dont la belle frappe sur coup franc en seconde période (54e) a effacé l'ouverture du score du jeune attaquant rennais Kembo-Ekoko (22 ans). Malgré ce sursaut d'orgueil, une série de 5 rencontres sans revers et une stabilisation au classement (10e), rien n'est pourtant réglé à l'OL, qui a encore montré des lacunes criantes dans le jeu, à l'image de la grossière erreur de Kallstrom sur le but rennais ou des maladresses inhabituelles de Gourcuff.
L'absence sur blessure de Lisandro n'aide pas non plus à rassurer une formation qui se cherche. Confirmé récemment dans ses fonctions, Claude Puel s'est offert un peu de répit mais sa marge de manoeuvre reste très étroite. Les Girondins, toujours 9e, ont eux aussi touché du doigt leurs limites actuelles. En l'absence de leur leader Alou Diarra, suspendu jusqu'au 27 novembre, les joueurs de Jean Tigana se sont sentis encore plus perdus que d'habitude, notamment les recrues (Ben Kalfallah, Modeste), décidément pas au niveau de leurs illustres prédécesseurs (Gourcuff, Chamakh).
Le technicien bordelais avait loué avant la rencontre les qualités du buteur valenciennois Grégory Pujol, mais c'est Ducourtioux qui a puni son équipe en première période avant l'égalisation en toute fin de match de Maazou (86e). Pour que ce sombre tableau girondin soit complet, Jussie a manqué un penalty, très litigieux, juste après la pause. Saint-Etienne a également vécu une triste soirée contre Lorient dans son Chaudron (défaite 2-1). Les Verts ont été les victimes d'un Gameiro en état de grâce et auteur d'un doublé. Le Lorientais, qui vient d'inscrire trois buts en l'espace d'une semaine (6 réalisations en L1), a choisi le timing idéal, juste avant la divulgation, mercredi, de la liste du sélectionneur Laurent Blanc pour le match amical de l'équipe de France contre l'Angleterre, le 17 novembre à Wembley.
Les Stéphanois, désormais 5e, n'ont eux toujours pas digéré leur victoire sur les terres de l'ennemi lyonnais, le 25 septembre, et viennent d'enchaîner leur 5e match sans succès. Comme un symbole, Payet, révélation du début de saison, est muet depuis le 17 octobre et a vu le Caennais El Arabi le rejoindre en tête du classement des buteurs (8 buts). Mais les Normands (15e) se sont tout de même inclinés sans gloire chez la lanterne rouge, Arles-Avignon (3-2), qui a signé son premier succès sur un doublé du vétéran Kaba Diawara (35 ans le 16 décembre). Considéré comme un candidat naturel à la relégation après une entame catastrophique, le promu provençal fait de la résistance (1 seule défaite en 4 matches).
Il pourra prendre exemple sur Auxerre, qui a refait surface (11e) après des débuts chaotiques. Mais l'entraîneur de l'AJA Jean Fernandez doit regretter ce nul concédé dans les dernières minutes (82e) à Sochaux (1-1). Ce qui n'a pas empêché le petit Sammaritano (1,62 m), héros bourguignon contre l'Ajax Amsterdam (2-1) mercredi en Ligue des champions, de poursuivre son conte de fées en s'offrant son premier but pour sa toute première titularisation en L1. (afp)
06/11/10 22h41
Une star du rugby en plein acte sexuel avec un chien
:fou:Vraiment tarééééééééé
surtout si le chien mord :D:D:D
Stoner27
07/11/2010, 09h32
Une star du rugby en plein acte sexuel avec un chien
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/0/3/media_xl_3934038.jpg?20101106161849
Une star australienne du rugby a crée la polémique après la diffusion d'une photo très explicite entre lui et... un chien.
Le cliché scandaleux a été posté sur Twitter ce mercredi. Sur l'image la star du rugby, Joel Monaghan est dénudé et simule un acte sexuel avec un chien.
Selon les médias australiens, la photo aurait été prise dans un bar. L'équipe au complet se trouvait sur les lieux et avait visiblement abusé de boissons alcoolisées.
Joel Monaghan a avoué les faits qui lui sont reprochés. Une enquête a été ouverte à l'encontre du rugbyman au comportement déplacé. (CB)
06/11/10 15h19
:fou:Vraiment tarééééééééé
oui le gars était bien bourré, pas de quoi en faire un plat, il y en a qui font bien pire que ça!
L'incroyable Hülk !
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C'est assurément l'exploit de cette saison 2010. Nico Hülkenberg s'est offert la première pole position de sa carrière sur le circuit d'Interlagos, rendu piégeux par les conditions climatiques. Le pilote Williams a « collé » une seconde à tous les favoris pour le titre. Sebastian Vettel est deuxième, Mark Webber troisième. Hamilton est quatrième, Alonso cinquième.
Ils étaient jusqu'à maintenant deux, Fernando Alonso et Lewis Hamilton, à être venus à bout des Red Bull en qualifications. Il faudra désormais coucher... Nico Hülkenberg sur la liste des héros !
Le pilote Williams a construit son « succès » dans les toutes dernières minutes de la séance, avec des pneus pour piste sèche. Après un premier relais en pneus intermédiaires, les dix pilotes qualifiés en Q3 se sont tour à tour engouffrés dans les stands pour chausser des gommes slicks. Hülkenberg n'a pas fait dans la demi-mesure en améliorant par trois fois le meilleur temps. Son dernier effort lui permet de compter une seconde d'avance sur son plus proche adversaire. Du grand art !
L'Allemand a presque fait oublier la lutte pour le titre qu'il verra - tout du moins au départ - dans ses rétroviseurs. Les Red Bull de Vettel et Webber ont fait respecter la hiérarchie. Lewis Hamilton occupait la première place après le premier run en gommes intermédiaires mais le passage en slicks l'a desservi. Le leader du championnat Fernando Alonso Alonso n'a pu faire mieux que cinquième.
L'effervescence qui règne autour de Nico Hülkenberg ne doit pas faire oublier la performance de ' Rubinho ' Barrichello, sixième et premier pilote local sur la grille. Le Pauliste précède Robert Kubica, Michael Schumacher et Vitaly Petrov.
Le cinquième prétendant au titre, qui en est également le tenant, Jenson Button a continué de surfer sur la mauvaise vague, celle du Grand Prix de Corée. Le pilote McLaren a été sorti dès la Q2 et voit sa couronne glisser de plus en plus.
Nico Rosberg est l'autre « client » qui a été pris dans les mailles de la deuxième partie des qualifications. Le pilote Mercedes n'a pas montré une aussi belle aisance qu'à Yeongam.
La pluie a souri à Hülkenberg mais également, dans une moindre mesure, à Timo Glock qui précède les deux Lotus de Trulli et Kovalainen. Pour son premier Grand Prix du Brésil, Bruno Senna partira en dernière position sur la grille.
L'avenir de Nico Hülkenberg demain sera évidemment lié aux conditions météorologiques. Une piste humide le servirait, notamment dans la visibilité. En revanche, une piste sèche... et les Red Bull pourraient le dévorer.
Départ du Grand Prix du Brésil à 17h00 françaises.
C'est absolument super !!:yes:Il sauve sa place chez Williams pour l'an prochain c'est sûr:)
Button l'a échappé belle
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Jenson Button a été la cible d'une attaque à main armée samedi soir dans les rues de São Paulo alors qu'il regagnait son hôtel après les qualifications. Le champion du monde en titre et son entourage sont heureusement hors de danger.
Drôle de journée pour Jenson Button à Interlagos. Alors qu'il se remettait de sa décevante onzième place en qualifications, le Britannique a eu la désagréable surprise d'être visé par un groupe de malfaiteurs.
Son père John, son manager Richard Goddard et son physio Mike Collier étaient à ses côtés au moment de l'attaque.
« Samedi soir, sur le chemin du retour entre Interlagos et Morumbi, des assaillants prétendument armés ont tenté d'approcher la voiture qui ramenait Jenson Button. » a indiqué l'écurie McLaren Mercedes dans un communiqué.
« Ni Jenson ni les occupants du véhicule n'ont été blessés. »
« Vodafone McLaren Mercedes a mis à la disposition de Jenson et de son coéquipier Lewis Hamilton des véhicules blindés pilotés par des policiers, rompus aux techniques de fuite et armés. »
« Le policier de la voiture de Jenson a rapidement réagi, utilisé des techniques de fuite forcé le passage dans le trafic, mettant Jenson et les occupants de la voiture imméditament hors de danger en les ramenant à leur hôtel. »
La police de São Paulo a annoncé dans la foulée une sécurité renforcée lors du transfert du Britannique et des membres de l'écurie McLaren jusqu'au circuit d'Interlagos.
Alonso : « Reprendre des points à Webber »
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Fernando Alonso a terminé les qualifications du Grand Prix du Brésil derrière ses principaux rivaux pour le titre mondial mais est loin de baisser les bras. L'Espagnol compte sur son départ et surtout son rythme de course pour reprendre des points à son dauphin Mark Webber, troisième sur la grille.
Le double champion du monde ne pourra pas compter sur Felipe Massa. En délicatesse avec ses pneumatiques, le Brésilien ne s'élancera que neuvième sur la grille, lui qui restait sur une série de trois pole positions d'affilée à Interlagos.
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Fernando Alonso : 5e (+1''519''')
La cinquième place n'est pas la fin du monde. De nombreuses fois cette saison, les Red Bull ont été en tête et nous nous sommes battus avec la McLaren de Hamilton pour la troisième place. Aujourd'hui, la surprise est venue d'Hülkenberg, qui a été le seul à réaliser un tour clair en Q3 : tous les autres, dont moi, n'ont pas eu cette chance, mais aussi parce que la trajectoire sèche était très mince et il suffit de laisser échapper à l'extérieur dix centimètres des pneumatiques pour perdre veaucoup de temps. Il y a énormément à perdre dans ces conditions et peu à gagner : il n'aurait fallu qu'une seule mauvaise décision pour être ' out ' des qualificatoins bien avant la Q3. Demain en course, nous devrons essayer d'exploiter nos points forts, en particulier notre rythme de course. Si nous parvenons à gérer correctement les pneumatiques, nous pourrons peut-être avoir un avantage. Le départ sera également important : nous essaierons de gagner quelques places et garderons un œil sur nos rivaux parce que ce sera également un moment très important pour eux. D'un point de vue stratégique, la présence d'Hülkenberg en pole introduit un paramètre imprévu. Le principal objectif ce week-end est d'accroître mon avance sur Webber pour arriver à Abu Dhabi dans l'état d'esprit le plus calme possible. Si ce n'est pas possible, il faudra alors limiter les dégâts.
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Felipe Massa : 9e (+2''631''')
Les conditions n'étaient vraiment pas simples et la piste évoluait sans cesse. Sur le mouillé, en pneus intermédiaires, je suis parvenu à signer des temps raisonnablement bons mais lorsque nous sommes passés en tendres et que la piste était toujours mouillé, j'ai immédiatement senti une perte d'adhérence et ça a affecté ma performance. Toute la saison, j'ai eu des difficultés à faire monter mes pneus à température et une piste humide n'a évidemment pas aidé. C'est dommage car je n'ai pas pu me battre pour les premières places comme je l'espérais pour offrir aux supporters brésilien un bon résultat. C'est toujours excitant de piloter ici devant ces tribunes fantastiques. La course devrait se disputer sur le sec, la piste sera donc très différente de celle expérimentée cet après-midi. Hier, Fernando était très rapide avec beaucoup d'essence et je crois que nous pourrons gagner quelques places. Félicitations à Nico pour sa première pole : j'imagine qu'il doit être au septième ciel.
L'incroyable Hülk !
Départ du Grand Prix du Brésil à 17h00 françaises.
C'est absolument super !!:yes:Il sauve sa place chez Williams pour l'an prochain c'est sûr:)
c'est juste qu'il voulait beaucoup d'argent pour l'an prochain, mais c'est sur qu'il aura sa place sur la grille.
Sinon il a fait une qualifs de dingue, impressionnant les chronos, il met une seconde à tout le monde:fou::fou:
Button l'a échappé belle
et dire qu'il y aura la coupe du monde de foot et les JO là bas:langueŽ:
Automobilisme
La F1 se donne rendez-vous à Abu Dhabi
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Image © Keystone
Avec la victoire de Sebastian Vettel devant Mark Webber et Fernando Alonso, la situation au championnat s’est encore resserrée.
Luc Domenjoz - le 07 novembre 2010, 23h12
Le Matin
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GP du Brésil
Le Grand Prix d’Abu Dhabi promet d’être passionnant. Au cours de la manche brésilienne, hier, les quatre prétendants au championnat se sont classés aux quatre premières places, mais dans un ordre qui resserre les écarts en tête.
Ayant bousculé Nico Hulkenberg (qui était en pole position) dès le premier virage, Sebastian Vettel n’a jamais été menacé et a donc remporté son quatrième grand prix de la saison. Derrière lui, Mark Webber a tenté de limiter son retard, mais sans jamais remonter dans la même seconde que l’Allemand. «C’est le départ qui a tout décidé, comme d’habitude, philosophait Webber, l’Australien. L’an dernier, on pouvait encore jouer avec la stratégie pour doubler pendant la course, mais cette année, celui qui est devant au premier virage le reste. En plus, j’avais un problème de surchauffe du moteur, et j’ai dû en réduire la puissance.»
Mark Webber termine donc deuxième, devant Fernando Alonso, qui conserve huit points d’avance sur lui et quinze sur Sebastian Vettel.
Red Bull champion
Le jeune Allemand sait que ses chances restent faibles: pour remonter son retard face à l’Espagnol, il doit quasi espérer que ce dernier ne franchisse pas la ligne d’arrivée. «Je ne souhaite rien de mal à Fernando, admet Sebastian Vettel, mais disons que je ne serais pas mécontent si de la fumée blanche s’échappait de sa voiture. Moi, je n’ai qu’à gagner, le reste sera indépendant de ma volonté. Dans une semaine, nous serons fixés!»
En signant le doublé, hier, l’écurie Red Bull a remporté le championnat des constructeurs pour la première fois depuis ses débuts en formule 1, en 2005. Du beau travail qui confirme les qualités de la RB6. «C’est fantastique, se réjouissait Christian Horner, le patron de l’écurie. Il y a six ans, personne ne nous prenait au sérieux. Tout le monde pensait que nous étions une équipe où nous passions notre temps à faire la fête. Aujourd’hui, nous terminons devant des écuries prestigieuses, nettement plus expérimentées que nous.»
Titre des constructeurs en poche, l’équipe va maintenant espérer que Sebastian Vettel décroche le championnat des pilotes. Parce qu’elle ne semble guère motivée par un éventuel succès de Mark Webber: hier, à aucun moment, ses dirigeants n’ont demandé à l’Allemand de laisser passer l’Australien, pourtant nettement mieux placé au championnat.
INTERVIEW
SEBASTIAN VETTEL vainqueur du Grand Prix du Brésil
«Vous verrez bien»
Red Bull vient de remporter le championnat des constructeurs, et vous avez encore votre chance pour le titre des pilotes. Comment vous sentez-vous?
C’est une journée formidable, mais une course qui n’était pas facile… Tout s’est joué au départ: j’ai vu que Nico (Hulkenberg) a fait un peu trop patiner ses roues, et j’en ai profité. Ensuite, j’ai juste essayé de creuser un petit écart et d’amener la voiture à l’arrivée. Je ne sais pas quoi dire, nous vivons vraiment une saison difficile. Mais je pense que cette victoire est la bonne réponse à apporter après ce qui s’est passé en Corée: malgré l’abandon là-bas, nous restons concentrés sur notre objectif: la victoire!
Si la situation est la même à Abu Dhabi, et que vous êtes devant Mark Webber et Fernando Alonso, laisserez-vous votre coéquipier vous passer pour qu’il remporte le championnat?
Nous savons que nous aurons une voiture très compétitive à Abu Dhabi. Nous verrons bien où nous en serons après les qualifications. Tout peut changer très vite, comme ce fut le cas en Corée, quand j’avais course gagnée. Mais mon cas est très simple: tout ce que je dois faire, c’est viser la victoire. Le reste dépendra de la position de Mark et de Fernando. Nous savons tous les deux que nous ne devons pas répéter la même erreur qu’en Turquie (ndlr: les deux pilotes Red Bull s’étaient accrochés).
Très bien, mais vous n’avez pas répondu à la question: dans des circonstances similaires, allez-vous laisser passer Mark, oui ou non?
Vous verrez bien. C’est dans une semaine à peine. Quand j’étais petit, je n’aimais pas que mes parents me fassent attendre et ne répondent pas à mes questions. Maintenant, c’est moi qui suis dans la position de vous faire attendre… alors vous verrez bien.é L. D.
TENNIS
Roger Federer: «J’ai ressenti un feeling très spécial»
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C’est toujours un grand moment d’émotion pour Roger Federer de s’imposer sur ses terres. Et surtout sous les yeux de ses filles
Tombeur de Novak Djokovic en finale, Roger Federer a soulevé hier son quatrième trophée à Bâle, ému par la présence de ses deux filles dans les tribunes
Gaëlle Cajeux - le 07 novembre 2010, 22h28
Le Matin
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Swiss Indoors Bâle
Deux petites frimousses agitent leurs boucles brunes en tribune. Elles applaudissent, tentent d’escalader la barrière pour rejoindre, au centre du court, leur père. Roger Federer. Lui se lève pour recevoir son trophée, ému de voir apparaître sur écrans géants les bouilles de Myla et Charlene. «C’est une belle surprise. Je les ai vues avant le match, mais je n’ai jamais pensé que Mirka les prendrait avec elle sur le court central. J’en suis ravi, confie-t-il. Pouvoir lever ce trophée devant elles, et les voir ensuite toutes excitées de le toucher parce qu’il brille, c’est rigolo et sympa.»
Sous les yeux de ses jumelles de 15 mois, le Bâlois vient de remporter le 65e titre de sa carrière – un de plus que son idole d’enfance Pete Sampras. Et son quatrième chez lui, aux Swiss Indoors. Le tournoi qui, avec Wimbledon et l’US Open, lui vient directement à l’esprit lorsqu’on lui demande, en début de saison, où il aimerait triompher. «Ce tournoi me tient beaucoup à cœur. C’est ici à Bâle que tout a commencé pour moi. Et réussir à décrocher le titre après avoir perdu l’année passée, c’est magnifique. J’arrive à jouer mon meilleur tennis devant des spectateurs qui comptent beaucoup pour moi. Je vis des moments très forts ici, cette victoire est très émotionnelle.»
Cette seconde finale contre le Serbe Novak Djokovic s’est déroulée, cette fois-ci, «selon le plan» établi avec ses coaches, Séverin Lüthi et Paul Annacone. «Le scénario fut un peu similaire à celui de 2009, sauf que cette fois, j’ai bien joué à l’entame du 3e set», remarque Federer. Après la perte du second set, il s’est ainsi vite retrouvé à mener 6-4 3-6 5-1. «Et à un jeu de la victoire, j’ai ressenti un feeling très spécial. Je sentais les spectateurs derrière moi, qui me portaient. C’est magnifique de vivre ça. J’ai la chance de vivre beaucoup de moments très forts dans l’année, mais ici c’est particulier.»
Le champion dit et redit ses émotions. Car, rappelle-t-il, il ne faut pas oublier pourquoi il joue au tennis. «Parce que j’aime profondément ce sport. Je joue pour le plaisir, pour établir des records, pour affronter les meilleurs comme Novak Djokovic. Son jeu me rend encore meilleur.» Retour de gentleman. «Affronter Roger, le plus grand joueur de tous les temps, ou Rafa, sont des immenses challenges. Mais je les prends du bon côté. Ils me permettent de m’améliorer. Me motivent à travailler plus fort pour essayer de gagner», assure le Serbe qui reviendra avec plaisir à Bâle l’an prochain.
Nouveau pari à Bercy
Aujourd’hui, Novak Djokovic et Roger Federer mettent tous deux le cap sur Paris et le tournoi de Bercy. Où, étonnamment, le No 2 mondial n’a jamais fait mieux que les quarts de finale. Ce qui ne trahit pas un manque de motivation après sa semaine bâloise précise Federer. «J’ai été blessé deux ou trois fois en arrivant à Paris. Et puis j’ai toujours un peu de problème avec les dimensions du court central à Bercy. Derrière, le terrain monte et j’ai l’impression de ne pas pouvoir frapper vraiment. Mais c’est vrai que j’aurais dû aller plus loin qu’en quarts. J’espère changer ça cette année.»
En sets
Bâle. Davidoff Swiss Indoors. ATP 500 (indoor/1,7 million d’euros)
Finale: Federer (S/1) bat Djokovic (Ser/2) 6-4 3-6 6-1.
Roger Brennwald: «Nous sommes plus forts que jamais»
La perte de son sponsor principal et la réduction d’un million de francs de son budget pour 2011 n’altèrent pas les certitudes de Roger Brennwald. «Nous sommes plus forts que jamais, affirme le directeur des Davidoff Swiss Indoors. 2000 personnes sont concernées par l’organisation du tournoi. Près de 700 entreprises nous accompagnent, poursuit-il. Cette année, le budget se chiffre à 20 millions de francs. Je crois que nous avons atteint une certaine limite. Nous avons effectué ces dernières années les investissements que nous devions faire.» Il est donc temps pour Bâle de réduire quelque peu la voilure.
Roger Brennwald envisage de modifier son concept de sponsoring après le retrait forcé de Davidoff. «J’ai des idées. Je suis sûr qu’elles vont aboutir, lâche-t-il. La raison en est simple: il n’y pas de meilleur événement en Suisse que ce tournoi.»
Sur le plan sportif, Roger Brennwald se félicite bien sûr de la tenue, comme l’an dernier, de cette finale «idéale» entre Roger Federer, avec lequel il a un accord jusqu’en 2012, et Novak Djokovic. «Même si je n’aime pas vraiment le jeu des comparaisons, nous n’avons pas à rougir avec Valence, qui organise également cette semaine un tournoi 500. La finale est diffusée au total dans 180 pays pour être suivie par près de 100 millions de téléspectateurs.»
Roger Brennwald est, bien sûr, revenu sur la malheureuse absence de Stanislas Wawrinka. «Les Romands sont toujours les bienvenus à Bâle, glisse-t-il amusé. Mais j’ai une ligne de conduite. On se décide au mois de décembre ou au mois de janvier. Pas en juillet et en août quand tout est bouclé. Par ailleurs avec un prize money de 1,7 million d’euros, nous n’avons plus besoin d’offrir des garanties à tous les joueurs. Le label 500 se suffit à lui-même. Nous ne sommes pas le Challenger de Lugano!»
si
Rosset, 40 ans et de supersouvenirs
«Le tennis suisse est magnifiquement représenté aujourd’hui», soulignait Roger Brennwald avant le duel Federer - Djokovic. «Il y a Roger, de nouveau en finale chez lui, mais aussi deux autres champions, désormais consultants pour la TV, Heinz Günthardt et Marc Rosset. Marc fête aujourd’hui ses 40 ans, comme notre tournoi. Il mérite un hommage.»
Quelques minutes avant la finale, dans la lumière d’un central comble, le Genevois s’est donc vu remettre la médaille anniversaire des Swiss Indoors. «Je voulais surtout faire une petite fête.
Un truc assez intime. Donc à, ça va bien, il y a 9000 personnes…, a rigolé le grand blond.
J’ai de supersouvenirs de ce tournoi, avec un public fantastique. C’est ici que j’ai mis un terme à ma carrière, voilà cinq ans. Maintenant, je fête mes 40 ans, ça commence à faire une belle histoire.»
Et lorsqu’on lui fait remarquer que 2010 est également pour lui l’anniversaire de sa deuxième victoire sur Roger Federer, Marc Rosset rétorque, presque gêné: «Oui, mais il était très jeune… Je me souviens qu’il avait pleuré après cette finale à Marseille. A l’époque, je pensais qu’il gagnerait des tournois. Mais j’étais loin d’imaginer qu’il décrocherait seize Grands Chelems!»
:fou:Que dire de plus ?:content::content::content:
ESCRIME
Dans un décor de rêve
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Image © Keystone
C’est sous la verrière du Grand Palais, à quelques centaines de mètres du domicile de Sophie Lamon, que se déroulent les Mondiaux. Le lieu impressionne les athlètes.
Bernard Morel - le 07 novembre 2010, 20h53
Le Matin
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Mondiaux
Jamais encore les championnats du monde d’escrime n’avaient eu droit à un tel décor. En choisissant le Grand Palais comme théâtre des compétitions, sous la très impressionnante verrière, la Fédération française d’escrime a fait fort, très fort. Au point de faire exploser le budget des Mondiaux – on évalue à quelque 800 000 francs les seuls frais de chauffage pour la semaine. Au point aussi, peut-être, d’avoir mis une pression énorme sur les escrimeurs français. Après les épreuves de sabre (samedi) et de fleuret (dimanche), tant chez les hommes que chez les dames, les athlètes tricolores n’ont toujours pas remporté la moindre médaille.
Certes, établir une relation de cause à effet à propos des Français est peut-être aller un peu vite en besogne. «Le lieu est impressionnant, mais tous les athlètes sont à la même enseigne», fait remarquer Sophie Lamon. La Valaisanne installée à Paris est une de ceux qui connaissent le mieux l’endroit puisqu’elle habite au Champ-de-Mars, à quelques centaines de mètres du Grand Palais. Elle est heureuse de pouvoir pratiquer son sport dans un décor si majestueux. «C’est une magnifique vitrine pour l’escrime, continue-
t-elle. D’habitude, on évolue devant des tribunes à peu près vides. C’est la première fois qu’on a autant de monde pour un championnat du monde. On ne va surtout pas se plaindre.»
Ce matin, Sophie Lamon et Tiffany Géroudet devront faire abstraction du décor pour se concentrer sur l’essentiel: gagner leur premier duel. Pour la première, la tâche ne sera pas aisée face à la Roumaine Simona Alexandru. Avec la Canadienne Joanna Guy, la seconde aura une adversaire à sa portée. Côté masculin, Max Heinzer et Fabian Kauter ont aussi les moyens de franchir le premier tour.
Athlétisme
Surprise à New York
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Image © Keystone
Röthlin a abandonné, comme le favori Gebreselassie. Gebremariam s’impose.
le 07 novembre 2010, 20h51
LeMatin.ch & les agences
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Marathon New York
Le 41e Marathon de New York a déjoué les pronostics en consacrant deux athlètes de l’ombre, l’Ethiopien Gebre Gebremariam et la Kényane Edna Kiplagat. Le champion d’Europe en titre, l’Obwaldien Viktor Röthlin, et le recordman du monde Haile Gebreselassie (Eth) ont abandonné.
Röthlin, qui avait suivi une préparation écourtée, a jeté l’éponge vers le 15e km, après avoir été lâché vers le 10e. Gebreselassie devait pour sa part sortir vers le 25e, vaincu par la douleur. L’Ethiopien, qui avait semblé très à l’aise jusque-là, s’était plaint avant le départ d’une inflammation à un genou. C’est le premier gros coup dur subi par Röthlin en compétition depuis 2005. Depuis cette année-là, marquée par une 7e place sur ce même parcours new-yorkais, le recordman de Suisse avait répondu présent à tous ses grands rendez-vous (2e aux Européens 2006, 3e aux Mondiaux 2007, 6e aux JO en 2008, champion d’Europe 2010).
En tête, un Gebre en a remplacé un autre… Pendant que Gebreselassie abandonnait (son 4e abandon sur la distance pour 9 victoires), son compatriote Gebre-egziabher Gebremariam, 26 ans, s’en aller empocher les 130 000 dollars dévolus au vainqueur.
Chez les dames, la Kényane Edna Kiplagat a lâché ses rivales dans Central Park pour fêter son deuxième grand succès de l’année sur la distance, après Los Angeles.
Tigroon46
08/11/2010, 09h26
Auto - ILMC - Zhuhaï Montagny-Sarrazin s'imposent
Partie de la pole-position, la Peugeot 908 HDi-FAP de Stéphane Sarrazin et Franck Montagny a remporté dimanche les 1000 km de Zhuhaï, 3e et dernière manche de l'Intercontinental Le Mans Cup (ILMC). Les deux Français ont devancé de moins de cinq secondes, après 232 tours, l'Audi R15 TDI du Danois Tom Kristensen et de l'Ecossais Allan McNish. La deuxième Audi, celle de Dumas-Capello, a pris la troisième place, devant la deuxième Peugeot, pilotée par Bourdais et Pagenaud.
Cette victoire est cependant sujette à controverse, car la R15 de de Kristensen a été ralentie par la 908 de Bourdais alors que Sarrazin effectuait son dernier arrêt aux stands. Il est difficile de dire si la R15 aurait pu doubler la 908 si elle n'avait pas été ralentie, mais McNish n'a pas vraiment apprécié la manoeuvre : «C'est une pillule amère à avaler pour conclure une belle saison de compétition.»
Le classement
1. Sarrazin-Montagny (FRA/Peugeot 908 HDi-FAP) 232 tours
2. McNish-Kristensen (GBR-DEN/Audi R15 TDI) à 4"826
3. Dumas-Capello (FRA-ITA/Audi R15 TDI) 49"302
4. Bourdais-Pagenaud (FRA/Peugeot 908 HDi-FAP) 3 tours
5. Nicolet-Da Rocha-Lafargue (FRA/Pescarolo-Judd) 26 tours (1re LMP2)
6. Bergmeister-Long (GER-USA/Porsche GT3 Hybrid) 27 tours
7. Müller-Werner (GER/BMW M3) 30 tours
8. Lieb-Lietz (GER-AUT/Porsche 997) 30 tours
9. Zacchia-Zhang-Lee (SUI-CHN-TAI/Oreca FLM) 31 tours
10. Bruni-Vilander-Melo (ITA-FIN-BRA/Ferrari F430) 33 tours
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ah quelqu'un d'autre ici !! :)
Vettel remporte le Grand Prix du Brésil
Le pilote allemand s'est imposé à Interlagos, devant Mark Webber et Fernando Alonso. Les trois hommes se disputeront le titre à Abu Dhabi. Lewis Hamilton garde une infime chance.
Si Red Bull craignait le début du Grand Prix du Brésil en raison de la pole position de Nico Hülkenberg, les deux hommes de Milton Keynes n’ont pas été longtemps gênés par le jeune Allemand. En effet, dès les premiers virages de course, Hülkenberg a cédé devant Sebastian Vettel puis Mark Webber, permettant au duo de s’échapper.
En revanche, Fernando Alonso (Ferrari), quatrième derrière le champion 2009 de GP2, a dû patienter jusqu’au 7e tour pour passer son rival et se hisser au troisième rang. L’Espagnol, à ce stade de la course, avait déjà perdu dix secondes sur les deux pilotes Red Bull, qui ont solidement pris les commandes de la course.
Nico Hülkenberg ayant formé une procession durant les premiers tours, Jenson Button (McLaren) a alors tenté un premier arrêt très tôt, gagnant de nombreuses places à cette occasion. A l’issue de la salve de ‘ravitaillements’, le Britannique s’est replacé en cinquième position, derrière Lewis Hamilton (McLaren).
En revanche, les arrêts au stand des prétendants au titre de Champion du Monde n’ont pas bouleversé le classement de la course. Chaque pilote a repris sa place en pneus durs : Vettel devant Webber, Alonso à dix secondes de l’Australien, Hamilton à même distance d’Alonso et Button encore plus loin.
Tonio Liuzzi (Force India), en détruisant sa monoplace au 51e tour, a toutefois relancé le suspense de la course, en raison de l’entrée en piste de la voiture de sécurité. Les pilotes McLaren en ont profité pour tenter un pari, les deux hommes chaussant un train de pneus neufs : gommes dures pour Hamilton, super tendres pour Button.
Mais l’entrée en piste de la safety car n’a finalement pas modifié les positions en tête, les pilotes McLaren perdant rapidement du terrain sur Fernando Alonso. Quant à Sebastian Vettel, il a repris sa marche en avant, augmentant son avance sur Mark Webber à cinq secondes, à dix tours de l’arrivée.
Le pilote allemand s’est alors dirigé vers une victoire lui permettant de se replacer dans la course au titre. Sebastian Vettel, grâce aux 25 points de sa victoire, compte désormais 231 points et ne compte plus que 15 points de retard sur Fernando Alonso, toujours leader du Championnat du Monde de Formule 1. Mark Webber, deuxième, a huit points de retard sur Alonso et sept points d’avance sur Vettel. Lewis Hamilton, quatrième, compte 24 points de retard sur Alonso et reste, mathématiquement, en course pour le titre. Quant à Jenson Button, cinquième à 47 points d’Alonso, il est désormais éliminé de cette course au titre. Il ne conservera donc pas sa couronne acquise en 2009. Pour la première fois depuis cinq ans, les pilotes quittent Interlagos sans connaître l’identité du Champion du Monde.
En revanche, le titre de Champion du Monde des constructeurs est désormais assuré à Red Bull Racing. Le team de Milton Keynes, grâce à son quatrième doublé de la saison, s'est assuré la première place définitive de ce classement. C'est la première récompense mondiale pour l'équipe de la marque de boisson énergisante, qui avait échoué derrière Brawn GP en 2009.
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Les S de Senna avec Vettel déjà en tête, suivi de Hülkenberg.
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Le rookie Allemand sort large et Webber en profite !
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Le pilote Williams fait bouchon et derrière, Hamilton s'impatiente en compagnie d'Alonso !
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Plus loin, deux champions du monde au coude à coude, à l'avantage de Button.
Vettel : « Si la Ferrari pouvait fumer... »
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Le sort de Sebastian Vettel dans la course au titre reste étroitement lié aux performances de Fernando Alonso à Abu Dhabi mais le pilote Red Bull n'a pas abandonné tout espoir de coiffer sa première couronne mondiale.
Vettel est revenu à quinze longueurs du leader du championnat dimanche dernier grâce à sa victoire au Brésil et même s'il doit bénéficier de circonstances favorables, il y croit toujours.
« Je crois, oui. » a assuré l'Allemand lorsqu'on lui a demandé si un retournement de situation était envisageable. « Ce serait impossible avec 26 points, mais c'est possible avec 16. Je ne lui souhaite rien de mal mais ça ne me gênerait pas si de la fumée s'échappait de la Ferrari... »
« Mais blague à part, nous sommes tous là pour faire la course, nous sommes tous à la limite. Je dois me concentrer sur moi-même, comme je l'ai fait ici, en essayant de faire de mon mieux comme hier et aujourd'hui, nous devons essayer de remporter la course puis nous verrons où il [Alonso] termine. Dans une semaine, nous saurons. »
ça va être chaud bouillant dimacnhe !!!!
Alonso a assuré l’essentiel
Fernando Alonso a terminé derrière les deux Red Bull, perdant un minimum de points sur ses rivaux dans la course au titre.
Fernando Alonso, cinquième sur la grille de départ du Grand Prix du Brésil, peut se satisfaire de sa troisième place finale. L’Espagnol a rapidement pris la mesure de Lewis Hamilton (McLaren), avant de buter sur Nico Hülkenberg (Williams), vite dépassé par les pilotes Red Bull mais resté plusieurs tours en troisième position. Après avoir dépassé l’Allemand, Alonso s’est retrouvé à plus de dix secondes de Vettel et Webber. Sa troisième place finale lui permet de garder les deux hommes à distance au classement général du championnat, avant la dernière course.
« Tout bien considéré, je suis content de ce résultat. Je n’ai perdu que trois points sur mon plus proche rival. Etant donné comment les choses se sont déroulées en qualifications, j’aurais signé tout de suite pour un tel résultat ! », explique le natif d’Oviedo, qui a également une pensée pour ses adversaires. « Je souhaite féliciter Red Bull et Renault pour le titre des constructeurs. Atteindre le top niveau en seulement quelques années est une grande performance. »
S’il a terminé troisième, Alonso pense qu’il aurait pu avoir une opportunité de rattraper les pilotes Red Bull. « Quand la voiture de sécurité est entrée en piste, nous pensions que c’était une bonne occasion pour attaquer. Malheureusement, il y avait trop de retardataires entre Mark et moi et ça a été trop long de les passer. C’est dommage car, à ce moment là, la voiture était très compétitive. »
Hülkenberg a tout donné
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Nico Hülkenberg a tenté de défendre bec et ongles sa pole position signée la veille mais sa Williams ne lui a pas permis de résister bien longtemps face aux cadors du plateau.
L'Allemand a dégringolé en huitième position mais réalisé un résultat grosso modo conforme à ses attentes. Un résultat qui permet à Williams de chiper enfin la huitième place du classement constructeurs à Force India.
Nico Hülkenberg : 8e
Je suis heureux de ce résultat parce que j'ai tout donné aujourd'hui ; il ne me restait plus rien ! J'ai eu beaucoup de difficultés avec la voiture, elle n'était pas vraiment simple à piloter, mais je suis resté tout le long devant Kubica. L'équipe a réalisé de très bons arrêts et opté pour la bonne stratégie ; nous avions simplement besoin d'un peu plus de vitesse. Même si nous sommes partis en pole, je m'attendais à terminer entre la cinquième et la dixième place, c'est donc bien d'être huitième et nous sommes désormais sixièmes du championnat constructeurs.
Rubens Barrichello : 14e
Un de nos arrêts ravitaillement s'est mal déroulé et nous devrons analyser ça. J'étais néanmoins content de mon rythme. Malheureusement, suite à une manœuvre de dépassement sur Alguersuari, il m'est rentré dedans et a endommagé mon pneu avant, ce qui signifie que j'ai dû repasser par les stands. Je me suis arrêté trop de fois pour espérer marquer des points. Je suis désolé pour les Brésiliens qui étaient venus ici en espérant assister à une autre performance. Tout ce que je peux dire est que j'ai donné mon maximum jusqu'à la fin.
Bonne course de l'Allemand !;)
Renault, moteur Champion du Monde
Après Wiliams, Benetton et Renault, Red Bull est la quatrième écurie à triompher au Championnat du Monde des constructeurs avec un moteur Renault.
Renault, après huit titres mondiaux en tant que motoriste, a ajouté une neuvième ligne à son palmarès. Williams (1992, 93, 94, 96 et 97), Benetton (1995), Renault (2005, 06) avaient déjà triomphé avec le moteur de la firme au Losange, c’est désormais Red Bull Racing qui triomphe avec le bloc de Viry-Châtillon. En effet, grâce au doublé des Red Bull-Renault au Brésil, le titre mondial est assuré pour le team de Milton Keynes.
« C’est un jour historique pour Red Bull-Renault, confie Fabrice Lom, en charge de l’exploitation du moteur Renault chez Red Bull Racing. Nous remportons ce premier titre pour l’équipe, c’est une énorme récompense pour tout le travail effectué. Félicitations à tout le monde chez Red Bull, à l’usine Renault de Viry-Châtillon, et tout le monde chez Mecachrome, qui nous ont aidé à remporter le titre. »
« Félicitations à Red Bull Renault pour leur titre mondial, décroché aujourd’hui, et surtout à nos ingénieurs qui travaillent pour cette équipe, déclare de son côté Rémi Taffin, responsable d’exploitation moteur pour Renault F1 Team. Toute la base de Viry, y compris nos partenaires et sous-traitants, peuvent être une nouvelle fois fiers d’avoir démontré que nous sommes capables de concevoir et d’exploiter un moteur champion du monde. »
Renault aura l’occasion de remettre son titre en jeu puisque l’an prochain, trois écuries rouleront avec le moteur de la firme au Losange : Red Bull Racing et, quelque soit leur futur appellation, les actuelles Renault F1 Team et Lotus Racing. Six voitures seront propulsées en Grand Prix par le moteur de Viry, ce qui n’était plus arrivé depuis 1986, avec Lotus, Ligier et Tyrrell.
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Les tops et les flops d’Interlagos
A l’issue du Grand Prix du Brésil remporté par Sebastian Vettel, retrouvez les tops et les flops du week-end. Quels pilotes et équipes ont brillé dimanche ? Quels sont ceux qui n’ont pas été à la hauteur ?
Les tops
Red Bull Racing – Vettel
Si le titre de Champion du Monde des pilotes n’est pas encore assuré et que Fernando Alonso est idéalement placé pour l’emporter, Red Bull Racing a réalisé une course accomplie, ses deux voitures s’étant montrées les plus rapides. Le team de Milton Keynes a ainsi remporté son premier titre de Champion du Monde des constructeurs, pour sa sixième saison en F1. En outre, grâce à leur quatrième doublé de la saison, Sebastian Vettel et Mark Webber se rapprochent de Fernando Alonso au classement des pilotes. A Abu Dhabi, Red Bull-Renault aura l’opportunité d’aller décrocher un deuxième titre, par l’intermédiaire de Vettel ou Webber.
Renault
Le motoriste français s’est adjugé ce week-end sa neuvième récompense mondiale. Williams (1992, 93, 94, 96 et 97), Benetton (1995), Renault (2005, 06) avaient déjà triomphé avec le moteur de la firme au Losange, c’est désormais Red Bull Racing qui s’adjuge un titre avec des monoplaces propulsées par un bloc Renault.
Fernando Alonso
Parti cinquième, l’Espagnol n’a pas à rougir de sa performance. Il a rapidement pris le meilleur sur Lewis Hamilton, avant de s’attacher à doubler Nico Hülkenberg. Loin des Red Bull après avoir été retardé derrière l’Allemand, il n’a plus été distancé par la suite mais n’a jamais remis en cause la domination de Vettel et Webber. Grâce à ce nouveau podium, le septième en huit courses (dont quatre victoires), Alonso se rapproche d’un troisième titre mondial (voir différents cas de figure (http://www.autohebdo.fr/f1/f1/article-25-25-5463/081110-abu-dhabi-les-scenarii-possibles)). L’Espagnol a son destin entre les mains.
Mercedes
Malgré des qualifications décevantes, les pilotes Mercedes ont réalisé une très belle course. Nico Rosberg, qualifié treizième, a terminé à une excellente sixième place, derrière les cinq pilotes qui se sont battus pour le titre mondial. Michael Schumacher, septième, a terminé loin devant son plus proche poursuivant, étant le dernier pilote à finir dans le même tour que Sebastian Vettel.
Nico Hülkenberg
S’il n’a pas terminé aussi haut qu’il aurait pu l’espérer, l’Allemand a réalisé une excellente prestation d’ensemble au Brésil. Lors des qualifications, sur une piste allant en s’asséchant et armé d’une voiture chaussée de pneus ‘slicks’, le champion 2009 de GP2 Series a devancé tous les cadors du plateau, s’adjugeant sa première pole. Dimanche, il n’a pas pu résister longtemps à ces pilotes mais a tenu son rang, terminant huitième, premier des pilotes ne faisant partie d’aucune des quatre meilleures équipes (Red Bull, McLaren, Ferrari, Mercedes).
Les flops
Massa – Barrichello
Le Grand Prix du Brésil n’a pas réussi aux Brésiliens ! Felipe Massa, vainqueur à deux reprises à Interlagos, n’a pas connu la même réussite que les précédentes années. De fait, le pilote Ferrari a été incapable d’aider Fernando Alonso dans la course au titre, à cause notamment d’une mauvaise qualif et de deux passages au stand en début de course. Rubens Barrichello n’a pas connu plus de réussite, avec un premier arrêt au stand très long, puis une crevaison. Il est le Brésilien le mieux classé à Interlagos, 14e. Lucas di Grassi a abandonné, Bruno Senna a terminé 21e.
Red Bull Racing
A trop vouloir laisser sa chance à ses deux pilotes, Red Bull risque de laisser filer le titre de Champion du Monde des pilotes. Dans le paddock d’Interlagos, la direction de l’écurie, « piégée » par sa philosophie de course, semblait regretter de ne pas avoir avantagé Mark Webber pour lui donner davantage de chances d’être titré Champion du Monde à Abu Dhabi. Mais, pour la beauté du sport, aucun amateur de F1 désintéressé quant à l’issue du championnat ne peut regretter ce scénario.
Vitaly Petrov - Renault
Au Brésil, le Russe n’a marqué de point ni pour le classement du championnat, ni pour son maintien au sein du team d’Enstone. En essais libres, il a d’abord effectué une violente sortie de piste causant d’importants dégâts sur sa voiture. En qualifications, il a tout de même réussi à se hisser en Q3 mais, en course, il n’a jamais réussi à se placer dans le bon rythme. Ayant raté son départ, il est resté bloqué en milieu de peloton, terminant 16e. En outre, la 9e place de Robert Kubica n’est pas venue récompenser les bonnes dispositions affichées ce week-end par la Renault R30.
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Button a-t-il échappé à un enlèvement ?
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Cela ne semble pas émouvoir Bernie Ecclestone...
Ce week-end à São Paulo, Jenson Button a été victime d’une attaque à main armée, mais selon Jackie Stewart, il n’était absolument pas question de le tuer, mais plutôt de l’enlever.
"Les barons de la drogue ne tuent pas les gens, mais ils kidnappent ceux qui sont liés à de grandes multinationales. Dans le cas de Jenson, on sait qu’il est lié à Vodafone et Mobil," déclare le triple champion du monde écossais.
"C’était très étrange," raconte John Button, le père de Jenson qui se trouvait lui aussi dans la voiture. "Nous étions dans une petite Mercedes compacte et de l’extérieur, on ne pouvait pas voir l’intérieur de la voiture. C’est comme s’ils attendaient quelqu’un et c’est vraiment inquiétant."
D’autres équipes ou journalistes ont eu à déplorer des vols divers ce week-end à São Paulo. Lucas di Grassi s’est lui aussi fait braquer par un homme armé à qui il a dû donner sa montre... c’était vraiment très chaud ce week-end au Brésil.
Pourtant, tout cela ne semble pas émouvoir Bernie Ecclestone. "Cela fait 40 ans que je viens ici et je n’ai jamais eu le moindre problème." Le grand argentier de la F1 a par ailleurs affirmé qu’il n’était pas plus dangereux de se promener à São Paulo qu’à Oxford Street (Londres) ou à New York.
"Ils cherchent des victimes. Ils cherchent des personnes qui ont l’air un peu simple, mais ceux qui paraissent brillants, ils ne les ennuient jamais," ajoute Bernie Ecclestone. Voilà des propos dont on ne sait pas s’il faut en rire ou en pleurer...
Stoner27
08/11/2010, 12h34
Alonzo sera probablement champion du monde, et ce grace à des consignes d'écurie.
Red bull, fidèle à sa philosophie (ou à favoriser Vettel alors que Webber était premier au classement) n'en a pas donné à ses pilotes et cela leur coutera peut être le championnat pilote.
ESCRIME
Championnats du monde à Paris:
Un goût d’inachevé
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/escrime_10.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/escrime_10.jpg)
Image © Keystone
En seizièmes de finale, Sophie Lamon (de face) a battu l’Allemande Britta Heidemann, mais ce fut sa dernière victoire
Sur le web
Lisez l’interview de l’entraîneur de la Suisse, Angelo Mazzoni (http://www.lematin.ch/sports/divers/angelo-mazzoni-suisses-meilleurs-amateurs-monde-346008)
Sophie Lamon échoue en huitièmes de finale de l’épée féminine
Bernard Morel - le 08 novembre 2010, 22h37
Le Matin
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Championnats du monde à Paris
L’escrime est un sport impitoyable, qui ne tolère pas le moindre relâchement dans l’enchaînement d’une journée de compétition. Sophie Lamon l’a payé cash dans son match de huitième de finale face à la Française Maureen Nissima. Comme l’an dernier à Antalya, la Valaisanne a échoué dans le tableau de 16, alors qu’il y avait la possibilité de voir plus loin. «Le fait d’arriver deux années de suite dans le tableau 16 montre que je peux être dans le coup dans une grande compétition, lâche Sophie Lamon. Mais ce n’est pas suffisant, je sais.»
Dire que Sophie Lamon était déçue est un euphémisme. «C’est plus que cela, continue-t-elle. Aux Européens de Leipzig, j’avais battu Nissima. Je pouvais récidiver.» On comprend la plus parisienne des Valaisannes qui a réussi deux gros premiers matches contre la Roumaine Simona Alexandru – elle était menée 14-11 et a fini par s’imposer 15-14 – et l’Allemande Britta Heidenmann (13-12 en prolongation). On pouvait alors la croire partie pour une journée d’exception. Or elle n’est pas parvenue à se maintenir au même niveau. «En arrivant sur la piste, je me suis sentie moins lucide, relève-t-elle. Quand j’ai réagi, c’était trop tard.»
Physique et mental
Dans la trajectoire de Sophie Lamon, il y a comme un bégaiement de l’histoire. Comme si elle n’arrivait pas à franchir un certain stade. «C’est avant tout dans la tête, estime Angelo Mazzoni, l’entraîneur des Suisses. Techniquement, je n’ai rien à lui reprocher. Elle a réussi des coups magnifiques. Mais dès le début de l’assaut, j’ai senti qu’elle n’avait pas le même mental que lors des matches précédents.» Et l’Italien d’enchaîner: «Sophie n’a encore jamais remporté de tournoi de Coupe du monde alors que d’autres filles, moins fortes qu’elle, y sont parvenues. Ce n’est pas un hasard. Elle n’est pas assez sûre d’elle.»
Sophie Lamon admet que son mental y est pour quelque chose, mais pas seulement. Depuis son opération de la hanche droite il y a cinq ans, la Valaisanne a un problème physique réel. «A cause de ma hanche, j’ai dû adapter pas mal de choses dans mon jeu et ma position, explique-t-elle. Et j’atteins plus rapidement mes limites, surtout quand les assauts s’enchaînent comme c’était le cas entre mon deuxième et mon troisième match. J’ai eu très peu de temps pour me préparer.» Et d’ajouter: «Mais je ne cherche pas une excuse. C’était à moi de m’adapter.»
Résultats
Paris. Championnats du monde d’escrime
Epée. Messieurs. Classement final: 1. Novosjolov (Est). 2. Grumier (Fr). 3. Boczko (Hon) et Lucenay (Fr). Puis: 21. Heinzer. 45. Kauter. 99. Steffen. 102. Lamon.
Résultats des Suisses: Heinzer bat Lahtinen (Fin) 15-7, perd contre Won-Jin (CdS) 7-15. Kauter perd contre Novosjolov 11-15.
Dames. Classement final: 1. Nisima (Fr). 2. Szasz (Hon). 3. Moellhausen (It) et Logunova (Rus). Puis: 13. Lamon-Fernandez. 22. Géroudet. 65. Steffen. 93. Näf.
Résultats des Suissesses: Lamon-Fernandez bat Alexandru (Rum) 15-14, bat Heidemann (All) 13-12 à la mort subite, perd contre Nisima (Fr) 12-15. Géroudet bat Guy (Can) 15- 10, perd contre Hyo-Jung (CdS) 11-15.
football
Constantin va s’offrir une campagne de pub anti-arbitres
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/foot_195.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/foot_195.jpg)
Image © Keystone
Au second plan, l’arbitre Wermelinger semblait déjà craindre à Thoune la réaction de Constantin, un président pour le moins remonté.
Afin de mieux dénoncer les erreurs d’arbitrage répétées dont est victime son club, le patron du FC Sion va financer des spots TV diffusés sur les trois chaînes nationales. CC est très remonté et compte bien le faire savoir.
Nicolas Jacquier - le 08 novembre 2010, 22h21
Le Matin
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Super league
Sion
«Les arbitres sont une caste secrète composée de personnes qui se jugent entre elles et faussent le championnat.» L’étrange comportement de M. Daniel Wermelinger fait repartir Christian Constantin en croisade. A l’origine du nouveau coup de sang du patron du FC Sion: l’étonnante décision de l’arbitre d’accorder un penalty fantaisiste à Thoune en fin de partie après en avoir refusé un beaucoup plus évident aux visiteurs en première période. «La volonté des arbitres, c’est de nous tuer. Ils sont blanchis par la Commission d’arbitrage et bien notés quand ils nous font du tort. On a affaire à une véritable mafia.»
Première mondiale
Pour la combattre, le boss de Tourbillon a opté pour une tactique et un mode de faire révolutionnaire: il a choisi de dénoncer l’injustice dont est victime son club en se payant une campagne de publicité dans la lucarne (!) à l’échelle helvétique. Objectif recherché: décerner un carton rouge aux arbitres pour l’ensemble de leurs œuvres et des dommages déjà essuyés jusqu’ici. «Avec mes employés, confirme l’intéressé, je suis en train de préparer un spot TV qui sera bientôt diffusé sur les trois chaînes nationales (TSR, SF et RSI). Quand on est volé, il faut le montrer et le crier. L’injustice doit être démontrée en images. Puisque les arbitres ne veulent pas reconnaître leurs erreurs, je vais les (leur) montrer à une heure de grande écoute. Pour que tout le monde voie la réalité et puisse se faire une opinion. Les assureurs, les vendeurs de voitures ou de fromage font leur pub, je vais faire la mienne!» Au moment de passer à l’offensive, Constantin prévoit d’occuper le petit écran (pour ce qui est de la Suisse romande) avant l’émission des sports du dimanche soir, ainsi que juste avant le TJ en semaine. Pour ce qui s’apparente à une première mondiale – aucun club sportif n’a encore réagi de la sorte –, le Robin des Bois de Tourbillon devra y mettre le prix. La campagne télévisuelle du FC Sion pour dénoncer la prétendue incurie de l’arbitrage helvétique coûtera au bas mot 250 000 fr. «Ce n’est rien en comparaison de la douzaine de points que les arbitres nous ont déjà volés depuis le début de saison. (…) On est comme à l’époque des grandes dictatures, lorsqu’une poignée d’individus rançonnait les pauvres.» Si l’homme a choisi de dénoncer aujourd’hui publiquement les agissements des arbitres, c’est aussi en raison de l’opacité du système. «Les arbitres se couvrent entre eux. Alors que je réclame la transparence des notes depuis longtemps, les rapports des inspecteurs ne sont toujours pas rendus publics. Dans ce milieu, les arbitres sont obligés de plaire à ceux qui les font progresser.»
Diffusion ce mois-ci
Ce nouveau bras de fer entre Christian Constantin et la famille des arbitres tombe comme l’épisode supplémentaire – et en l’occurrence original – d’un feuilleton entamé depuis longtemps. Le 3 août dernier, Sion et NE Xamax, faisant front commun, avaient déjà conjointement écrit un courrier à la Commission d’arbitrage pour réclamer la désignation d’arbitres étrangers pour leurs matches – une requête aussitôt dégagée en touche par Urs Meier, le patron des arbitres. Deux jours plus tard, CC avait promis de retirer son équipe du terrain de Gersag, à Lucerne, si une nouvelle décision arbitrale lésait les intérêts valaisans.
Trois mois plus tard, rien n’ayant changé, le président du FC Sion passe cette fois à l’échelon supérieur. Par le biais d’un spot publicitaire dont le message sera de dénoncer l’injustice subie par son club. Quand, concrètement, Sion et ses amis en noir occuperont-ils l’écran? «On est dans l’urgence, répond CC. J’espère que tout sera prêt avant la fin du mois.» Pour ce faire, une agence de communication sera aussi mandatée.
Demain, Sion joue à Zurich contre GC. Pour un nouveau spot?
«Comme des élections truquées»
Dans sa croisade contre les arbitres, le plan de bataille de Constantin prévoit deux axes. Outre le fait de s’inviter dans tous les foyers suisses (spots TV), le Valaisan va attaquer la Ligue sur la régularité même de la compétition. «Compte tenu des décisions erronées des arbitres à l’encontre du FC Sion, la régularité même du championnat n’est plus garantie. Dans ces conditions, il est hors de question d’entériner les résultats.» S’il renonce – provisoirement – à réclamer des dommages et intérêts pour le préjudice subi compte tenu de la lenteur de la procédure, CC entend placer les membres de la Commission d’arbitrage devant leurs responsabilités. «C’est à l’intérieur de sa propre famille que le football doit faire le ménage. On est dans une situation comparable à la mafia couvrant ses criminels.» Dès lors, notre interlocuteur agira dans les délais afin que les résultats ne soient pas validés. «Il y a des matches faussés comme il y a des élections truquées. On se retrouve dans le même cas de figure que le procès de la Banque Cantonale de Genève (BCGe), avec un juge cherchant à trafiquer la composition des membres du jury. Le procès a été reporté.» De là à recommencer le championnat. L’offensive tous azimuts menée par CC ne justifie en rien la pauvreté du jeu présenté au Lachen. «On a trop voulu jouer contre nature. Le groupe manque aussi de caractère. Sans doute devrais-je apporter de nouvelles retouches…»é N. Jr
9 matches sur 13 faussés
La liste des injustices dont a été victime Sion depuis le début de saison est longue. Petit résumé des affaires et autres décisions suspectes. On s’aperçoit que toutes n’ont pas porté à conséquence au niveau du résultat brut.
24 juillet. Sion - Bâle (1-2, arbitre: M. Laperrière). But d’Obradovic annulé alors que le ballon a franchi la ligne. Simple avertissement à Costanzo (au lieu de l’expulsion) pour une faute de dernier recours.
31 juillet. Zurich - Sion (1-1. M. Busacca). Expulsion de Vanins pour une faute de dernier recours alors que deux défenseurs sont derrière lui.
8 août. Lucerne - Sion (2-3, M. Jaccottet). But lucernois validé malgré un hors-jeu flagrant. But annulé de Sio.
21 août. St-Gall - Sion (1-1, M. Zimmermann). Une réussite de Mrdja est annulée pour un hors-jeu fantaisiste.
29 août. Sion - YB (2-0, M. Circhetta). Penalty inexistant offert à YB, penalty manifeste non sifflé sur Mrdja.
3 octobre. Bâle - Sion (1-1, M. Hänni). Expulsion sévère d’Ogararu pour un deuxième carton jaune surréaliste.
23 octobre. Sion - Zurich (1-1, M. Busacca). Penalty oublié sur Mrdja (faute de Rochat non sifflée).
30 octobre. Sion - Lucerne (4-1, M. Graf). Deux nouveaux penalties évidents refusés aux Valaisans, l’un sur Mrdja (décidément…), l’autre sur Obradovic.
6 novembre. Thoune - Sion (1-0, M. Wermelinger). But de Sio annulé pour un hors-jeu fictif (35e). Penalty refusé à Mrdja, averti pour simulation. Penalty accordé aux Bernois pour une simulation grossière du comédien Andrist, contre lequel une procédure disciplinaire pourrait être ouverte suite à son plongeon couronné de succès. Cela fait beaucoup.
:DMoi je l'aime bien le CONstantin
Formule 1
Course dans la course
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Image © DR
Véritable défi logistique, les écuries disposent d’un jour à peine pour acheminer dix tonnes de matériel et soixante personnes de São Paulo à Abu Dhabi.
Luc Domenjoz - le 08 novembre 2010, 22h20
Le Matin
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Dimanche soir, 22 h 30. Le Grand Prix du Brésil s’est terminé quelques heures plus tôt à peine, mais les garages des écuries sont déjà vides tandis que d’énormes containers d’avion sont entassés dans la voie des stands, emballés dans leurs filets et prêts à partir pour l’aéroport international de Garulhos. Jamais les mécaniciens n’avaient encore réussi à remballer leur matériel aussi rapidement.
Car lorsque les responsables de la logistique ont pris connaissance du calendrier 2010, ils ont sans doute eu un choc en constatant que les Grands Prix du Brésil et d’Abu Dhabi n’étaient séparés que par une semaine. Les courses dites «back to back», qui se succèdent d’un dimanche à l’autre, ont toujours été leur cauchemar. Mais jamais deux grands prix successifs n’avaient été distants de quelque 15 000 kilomètres!
Par avion et par bateau
Pourtant, le défi sera une fois de plus gagné. La FOM (la Formula One Management, la société qui détient les droits commerciaux de la formule 1) a affrété deux avions cargos pour transporter les dix tonnes de matériel auxquelles chaque écurie a droit – celles qui souhaitent en embarquer davantage doivent payer une surcharge. La FOM a aussi affrété un Airbus 380 de la compagnie Emirates pour transporter les membres des écuries et rallier São Paulo à Abu Dhabi. Le vol partait du Brésil dimanche soir à 23 heures pour se poser sans escale dans la capitale des Emirats, hier en début de soirée. «Nous n’avions pas assez de places dans cet avion pour acheminer toute l’équipe», explique Laurent Mékies, le team manager de l’écurie Toro Rosso, celle de Sébastien Buemi. «Les pilotes et la direction ont pris ce vol, mais la plupart des mécaniciens rallieront Abu Dhabi par des vols commerciaux, via Paris ou Francfort.» Si les monoplaces et une partie du matériel informatique ont pris place dans les charters de la FOM, les écuries ont aussi acheminé environ cinq tonnes de matériel par bateau: «En fait, nous avons quatre jeux d’équipement de stand (outillage, panneaux, bureaux, etc.) que nous envoyons sur place par bateau, poursuit Laurent Mékies. Pour cette fin de saison, nous avions l’un de ces jeux en Corée, un autre au Japon, le troisième au Brésil et le dernier à Abu Dhabi, qui est arrivé sur place la semaine dernière. De cette manière, nous sommes certains de tout avoir à disposition dès mardi matin.» Aujourd’hui, les mécaniciens déjà sur place s’attelleront à installer ce matériel arrivé par bateau et à déballer les containers en provenance de São Paulo, qui doivent être livrés dans le paddock à partir de 8 heures ce matin. Les écuries auront alors réussi leur course.
VOILE
Route du Rhum: proche de l'arrivée, Franck Cammas attendu en vainqueur
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Image © KEYSTONE
A la barre de Groupama, Franck Cammas était toujours en tête lundi après-midi de la Route du Rhum.
Franck Cammas était toujours en tête lundi après-midi de la Route du Rhum. Le Français faisait face à des vents de sud très instables qui devraient repousser à mardi son arrivée victorieuse à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe).
le 08 novembre 2010, 17h55
LeMatin.ch & les agences
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Derrière Cammas, qui était à 193,4 milles de l’arrivée au pointage de 16h00 (heure suisse), Thomas Coville (Sodebo) avait retrouvé brise et vitesse après être resté plusieurs heures dans une bulle sans vent. Mais son retard sur Cammas était de 263,5 milles, un handicap pratiquement impossible à remonter.
Plus au sud, Francis Joyon (IDEC) accusait 334 milles de retard sur Cammas et, à défaut de victoire, pouvait encore rêver à dépasser Coville.
Classements de la Route du Rhum lundi à 16h00: Classe Ultime (multicoques géants): 1. Franck Cammas (Fr/Groupama 3) à 193,4 milles de l’arrivée. 2. Thomas Coville (Fr/Sodebo) à 263,5 milles du premier. 3. Francis Joyon (Fr/IDEC) à 334. 4. Yann Guichard (Fr/ Gitana XI) à 588,5. 5. Philippe Monnet (Fr/La boîte à pizza) à 1092,7.
Classe IMOCA (monocoques de 60 pieds/18,28 m): 1. Roland Jourdain (Fr/Veolia Environnement) à 1036,1 milles de l’arrivée. 2. Armel Le Cleac’h (Fr/Brit Air) à 40,2 milles du premier. 3. Vincent Riou (Fr/ PRB) à 43,7. 4. Marc Guillemot (Fr/Safran) à 69,8. 5. Jean-Pierre Dick (Fr/Virbac Paprec) à 114,2.
Classe Multi 50 (trimarans de 50 pieds/15,24 m): 1. Yves Le Blevec (Fr/Actual) à 1182,4 milles de l’arrivée. 2. Franck-Yves Escoffier (Fr/Crêpes Whaou!) à 4,3 milles du premier. 3. Philippe Laperche (Fr/La mer révèle nos sens) à 85,7.
Classe 40 (monocoques de 40 pieds/12,18 m): 1. Thomas Ruyant (Fr/ Destination Dunkerque) à 1825,2 milles de l’arrivée. 2. Yvan Noblet (Fr/Appart City) à 86 milles du premier. 3. Samuel Manuard (Fr/ Vecteur Plus) à 100. Puis: 31. Bernard Stamm (S/Cheminées Poujalat) à 437,1.
Catégorie Rhum (bateaux de tailles et types différents): 1. Andrea Mura (It/Vento di Sardegna) à 2093,7 milles de l’arrivée. 2. Charlie Capelle (Fr/Acapella) à 83,4 milles du premier. 3. Pierre- Yves Guennec (Fr/Jeunes dirigeants-Lorans) à 131,6.
Une flotte de 85 solitaires a pris le départ de cette 9e Route du Rhum le 31 octobre à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
1 mille = 1,8 km.
VOILE - ROUTE DU RHUM
Victoire de Franck Cammas
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Image © AFP
Le navigateur français Franck Cammas, à la barre de son trimaran géant (31,50 mètres) Groupama 3, a remporté mardi à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) la 9e édition de la Route du Rhum, partie de Saint-Malo le 31 octobre, en 9 jours 3 h et 14 min.
le 09 novembre 2010, 16h26
LeMatin.ch & les agences
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Déjà détenteur cette année du Trophée Jules Verne (tour du monde en équipage et sans escale), Franck Cammas a réalisé dans cette 9e édition du Rhum -la transat de référence- une superbe performance avec un voilier surpuissant conçu pour un équipage d’une dizaine de personnes.
Cammas a intelligemment bâti sa victoire en choisissant -quitte à parcourir plus de milles- de contourner par le sud l’anticyclone des Açores, une vaste zone sans vent placée en travers de la route vers les Antilles. Il devrait être suivi à Pointe-à-Pitre par Francis Joyon (IDEC) et Thomas Coville (Sodebo), qui se livrent une lutte très serrée pour la deuxième place.
Au cours de cette régate de quelque 3540 milles (environ 6300 km), Cammas n’a pas rencontré de conditions météo très dures mais beaucoup de vents instables qui ont réclamé des manoeuvres fréquentes. Chaque virement de bord, empannage, réduction de voilure ou «matossage» (déplacement de poids à bord) est une épreuve physique et demande, outre une excellente condition athlétique, beaucoup d’anticipation.
Pour ce Rhum, Groupama 3 avait été équipé d’un mât plus court de quatre mètres pour pouvoir porter une grand voile un peu moins grande que celle utilisée en équipage. Le maxi trimaran a tout de même conservé une puissance exceptionnelle, pouvant envoyer jusqu’à 500 mètres carrés de voile au près.
FOOTBALL
Didier Drogba est atteint par la malaria
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Image © AFP
Didier Drogba est atteint par la malaria.
L'attaquant de Chelsea pensait être atteint par un simple virus, mais des tests sanguins ont révélé qu'il s'agissait de la maladie tropicale, a confié son entraîneur Carlo Ancelotti au «Daily Mail».
le 09 novembre 2010, 15h10
LeMatin.ch
«Nous avons appris la nouvelle la nuit dernière quand des tests sanguins ont révélé que Didier souffrait du paludisme», a déclaré Ancelotti. «Mais personne ne sait où il a pu attraper la maladie», a ajouté son coach.
Pourtant, Ancelotti se veut rassurant: «Il a perdu pas mal de sa condition physique. Mais il a eu un traitement et maintenant il va bien mieux. Il va revenir au plus vite dans les meilleures conditions.»
football
Après y avoir renoncé, les Bleus s'accrochent à leur prime
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/Evra_1.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/Evra_1.JPG)
Image © KEYSTONE
Patrice Evra, abattu après l'élimination des Bleus face au Mexique.
Contrairement à ce qu'avait affirmé Patrice Evra au soir de l'élimination de l’équipe de France du Mondial 2010, les Bleus veulent toucher leurs primes.
Rédaction online - le 09 novembre 2010, 10h43
LeMatin.ch
Les joueurs de l'équipe de France responsables de la débâcle sud-africaine continuent de faire parler d'eux. Après le fiasco des Bleus au Mondial 2010, Patrice Evra, alors capitaine de l'équipe de France, avait déclaré: "On n'acceptera pas un seul centime des sponsors et de tout ce qui va avec".
Mais, quatre mois après la Coupe du monde, les Bleus auraient l'intention de se partager le pactole (environ 2 millions d'euros), révèle l'Equipe.
Selon le quotidien français, les coéquipiers d'Evra auraient refusé de signer un texte qui formalise leur renoncement à cette prime. "Dans leur ensemble, les joueurs estiment n'avoir jamais voulu abandonner cette prime, considérant que Patrice Evra a parlé un peu vite et poussé le bouchon trop loin", écrit le journal.
Alou Diarra, qui doit représenter les joueurs dans cette affaire, va se rendre prochainement au siège de la FFF pour expliquer cette décision.
webamanu
09/11/2010, 16h33
«Nous avons appris la nouvelle la nuit dernière quand des tests sanguins ont révélé que Didier souffrait du paludisme», a déclaré Ancelotti. «Mais personne ne sait où il a pu attraper la maladie», a ajouté son coach.
Pourtant, Ancelotti se veut rassurant: «Il a perdu pas mal de sa condition physique. Mais il a eu un traitement et maintenant il va bien mieux. Il va revenir au plus vite dans les meilleures conditions.»
Sont vraiment très con, Drogba est Ivoirien, il l'a choppé la bas !
Cinquante
09/11/2010, 16h36
ou alors, c'est sexuellement transmissible ?
:D
:sors
PARoDIE
VIDÉO
Le retour de Raymond Domenech
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Dans cette publicité pour un site de paris en ligne, l'ex-sélectionneur des Bleus, grand amateur de poker, montre qu'il n'a pas perdu le sens de l'humour.
le 09 novembre 2010, 17h04
LeMatin.ch
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http://www.youtube.com/watch?v=3Ki5OEmkhMY&feature=player_embedded
PARoDIE
VIDÉO
Le retour de Raymond Domenech
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le 09 novembre 2010, 17h04
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Comment se faire encore plus détester, il est vraiment énorme ce type, il va en jouer pendant encore longtemps, en tournant le clip il doit penser à tout ceux devant leur écran qui vont être tout énerver de voir le Raymond prendre encore plein d'€€:D:D
PARoDIE
VIDÉO
Le retour de Raymond Domenech
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le 09 novembre 2010, 17h04
LeMatin.ch
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:mdr:
Quel grand acteur que ce Raymond !:D
Plus sérieusement soit il est maso, soit il est en grand manque de pognon parce que tourner une pub lorsqu'on est l'ennemi public n°1 en France, faut oser.:)
Bien joué pour la marque, ça va faire beaucoup de bruit;)
Philippe Gilbert visera le Tour des Flandres en 2011
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© photo news
Le meilleur coureur cycliste belge de la saison, Philippe Gilbert a confié qu'il entendait faire du Tour des Flandres un de ses principaux objectifs lors de la saison 2011, rapporte mercredi Het Laatste Nieuws.
Gilbert a souvent fait de Milan-Sanremo son principal objectif du début de la campagne des classiques mais le Remoucastrien reconnaît qu'il est difficile de s'imposer sur la Riviera italienne. "Vous pouvez être à cent pour cent de votre forme et pourtant terminer 20e. Cela n'arrive jamais au Tour des Flandres. Si vous êtes au sommet de votre condition, vous terminez au pire 5e." Il a terminé 3e du Ronde tant en 2009 qu'en 2010.
Philippe Gilbert s'est fixé comme objectif de terminer sa carrière en ayant remporté les six grandes classiques: Milan-Sanremo, Tour des Flandres, Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège, Paris-Tours et Tour de Lombardie. Il a déjà accroché les deux dernières à son palmarès Paris-Tours en 2008 et 2009 et le Tour de Lombardie en 2010.
"Six classiques c'est un rêve. Mais je prends les courses une par une. L'an prochain je viserai le Tour des Flandres. Je rêve naturellement aussi de Liège-Bastogne-Liège. Là encore si tu es en forme, tu ne termines jamais hors du Top-5." Ses meilleurs résultats sont une 4e place en 2009 et une 3e en 2010.
Contrairement à ces dernières années, Gilbert ne préparera plus la saison en disputant Paris-Nice. "C'est trop difficile à cette période de la saison". Il lui préférera Tirreno-Adriatico, la course des deux mers en Italie.
Affaire Contador: pas de décision avant deux mois
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© reuters
Le président de la Fédération espagnole de cyclisme (RFEC) Juan Carlos Castano a indiqué que le comité de compétition chargé de sanctionner ou non Alberto Contador ne prendrait pas de décision avant deux mois, a rapporté mercredi le journal AS.
La décision finale du comité de compétition de la RFEC "ne sera pas connue avant deux mois", bien que l'UCI (Union cycliste internationale) exige que la décision soit prise en moins d'un mois, a affirmé Juan Carlos Castano, dans des propos rapportés par le quotidien sportif espagnol.
La décision pourrait même prendre jusqu'à trois mois, selon AS. "Tout va dépendre des arguments que va présenter Contador et des vérifications que le Comité de Compétition demandera à des experts neutres pour examiner la véracité des preuves présentées", explique le journal. L'article 280 du règlement antidopage de l'UCI stipule pourtant que, sous peine d'amende, "la procédure devant l'instance d'audition de la fédération nationale du licencié doit être achevée dans un délai d'un mois à compter du délai fixé pour l'envoi de la convocation".
"Mais selon la loi antidopage espagnole, qui est celle qui va s'appliquer, la période autorisée est de trois mois", souligne As. Selon le règlement, une fois que la RFEC aura pris la décision de sanctionner ou non le coureur, il restera la possibilité, pour chaque partie, de recourir en cas de désaccord au Tribunal arbitral du sport (TAS). (
Federer: "Gasquet peut revenir dans le Top 10 mais.."
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© epa
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/0/7/media_l_3937897.jpg?20101109203300
Roger Federer a estimé que Richard Gasquet, son adversaire mercredi au deuxième tour de Paris-Bercy, avait "certainement le jeu pour revenir dans le Top 10" tout en laissant entendre que ce serait sans doute plus difficile qu'il y a trois ans.
"Il est en train de revenir, même si je ne connais même pas son classement pour être honnête, je ne sais pas s'il est trentième ou 'septantième'", a souligné le Suisse au sujet de son concurrent français, 28e mondial qui avait atteint son meilleur classement (7e) en 2007. "Il a certainement le jeu pour revenir dans les dix premiers", a continué le N.2 mondial avant de tempérer: "C'est juste qu'aujourd'hui c'est devenu très mental et physique, avant c'était un peu moins important. Aujourd'hui monter dans les dix vite fait bien fait devient difficile. En tous cas j'espère qu'il ne va pas commencer à faire ce chemin demain."
"Je me réjouis de rejouer contre lui, on s'entraîne parfois ensemble, j'aime bien son jeu, on verra", a conclu Federer qui mène 6-1 dans ses face-à-face avec Gasquet qu'il n'a plus rencontré depuis sa victoire en demi-finales de Wimbledon en 2007, lorsque le Français était à son plus haut. Federer s'est également dit prêt à rectifier le tir à Bercy où il n'a jamais dépassé les quarts de finale en sept participations et où il fut éliminé dès son entrée en lice par un autre Français, Julien Benneteau, l'année dernière.
"Je suis content de jouer et de me sentir aussi bien en ce moment. Je n'ai pas pensé une seconde à ne pas venir ici, alors que dans le passé, j'ai souvent envisagé la chose", a commenté le N.2 mondial qui arrive sur la lancée de deux titres à Stockholm et Bâle. "Ici j'ai toujours du mal à trouver mes marques, un peu comme à Roland-Garros, car le central est très grand et du coup j'ai l'impression que le court est tout petit et que je ne peux pas taper fort dans la balle parce que je vais rater, a expliqué le Suisse. Il me manque clairement des matches dans cette salle et contrairement à Roland-Garros j'arrive à chaque fois à la dernière minute à Bercy parce qu'il y a le tournoi de Bâle la semaine d'avant."
Anderlecht et le Club de Bruges éliminés en Coupe
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© belga
7S7 mise à jour Anderlecht a été battu (1-0) par Westerlo en 1/8e de finale de la Coupe de Belgique au terme d'une prestation peu glorieuse. Le Club de Bruges n'a pas résisté non plus au Germinal Beerschot (2-1). Menant 0-1 pendant plus de 80 minutes, les Brugeois se sont faits rejoindre puis dépasser par les Anversois dans les derniers instants de la partie. À noter aussi: la qualification surprise du White Star Woluwe, pensionnaire de D3, au dépens de Lokeren (score final: 1-0).
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Une fois n'est pas coutume, Kabananga était titulaire à Westerlo. © belga
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En l'absence de nombreux titulaires, Gillet était capitaine au Kuipje. © belga
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Blessé, Olivier Deschacht n'a pu que constater les dégâts depuis les tribunes. © photo news
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Custovic a offert la qualification au Germinal dans les arrêts de jeu.
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L'expulsion de Lestienne n'a pas joué en la faveurs des Brugeois, éliminés. © belga
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Le White Star Woluwe réalise l'exploit de la soirée en se qualifiant pour les 1/4. © belga
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Felice Mazzu a le sourire. L'ancien coach de Tubize a sorti le Lokeren de Peter Maes. © belga
Anderlecht a été sorti sans gloire de la Coupe de Belgique après sa défaite 1-0 à Westerlo. Privés de nombreux joueurs (onze!), les Mauves ont aligné une équipe expérimentale au Kuipje avec Kabananga, Badibanga, Rnic, Bernardez et Schollen au coup d'envoi.
La première mi-temps a été d'une qualité très faible. C'est Paulo Henrique qui a inscrit l'unique but de la rencontre pour les Campinois à la sortie des vestiaires (46e, 1-0). Les montées au jeu de Tom De Sutter (pour qui c'était la première apparition depuis sa blessure), Lukaku et Polak n'y ont rien changé. Anderlecht est éliminé de la Coupe de Belgique au stade des 1/8es de finale. Lors de la saison passée, les Mauves avaient été éliminés par le Cercle de Bruges en 1/4 de finale.
L'autre surprise de la soirée est venue du Germinal Beerschot qui a sorti le Club de Bruges 2-1. Menés 0-1 après un but de Kouemaha, les Anversois ont renversé la tendance en inscrivant deux buts dans les deux dernières minutes via Negrao et Custovic. Notons que les Brugeois ont été réduits à 10 lorsque c'était 0-1 suite à l'expulsion de Lestienne.
Lokeren lui aussi n'a pas survécu à ces huitièmes de finale. Les Waeslandiens ont fait les frais d'un club de D3 en s'inclinant 1-0 au White Star Woluwe.
Le FC Malines a battu Courtrai 1-2 dans le dernier quart d'heure grâce à des réalisations de Pandza et Geudens. Rossini a sauvé l'honneur en fin de match.
Le Cercle Bruges n'a eu lui aucune difficulté contre les sociétaires de D2 de Waasland-Beveren (3-1), comme le Lierse qui s'est imposé 4-1 devant Tournai.
Plus tôt dans la soirée, La Gantoise avait pris la mesure d'Eupen 3-1, alors que le Standard avait éliminé Genk mardi (2-1).
Le tirage au sort des quarts de finale (aller le 22/12, retour le 26/01) aura lieu le mercredi 24 novembre.
Les résultats complets:
Standard - Genk 2-1
Buts: Witsel (18e, 1-0), Leye (36e c.s.c., 1-1) Tchité (58e, 2-1)
La Gantoise - Eupen 3-1
Buts: Arbeitman (45e+2 et 59e, 1-0 et 2-0), Ljubijankic (86e, 3-0), Mombongo (60e, 3-1)
Courtrai - FC Malinois 1-2
Buts: Pandza (74e, 0-1), Geudens (77e, 0-2), Rossini (85e, 1-2)
White Star (D3) - Lokeren 1-0
But: Dessaer (42e, 1-0)
Westerlo - Anderlecht 1-0
But: Henrique (46e)
Cercle - Waasland (D2) 3-1
Buts: Cornelis (21e et 66e, 1-0 et 2-0), Reynaldo (50e, 3-0), Gommans (90e+3, 3-1)
Lierse - Tournai (D2) 4-1
Buts: Radzinski (19e, 1-0), (32e, 2-0), Kovacs (64e, 3-0), Elgabas (74e, 4-0), Duquesnoy (88e, 4-1)
G. Beerschot - FC Bruges 2-1
Buts: Kouemaha (42e, 0-1), Negrao (90e+1 sur pen., 1-1), Custovic (90e+3, 2-1).
Christophe Durant (avec belga)
Le PSG et l'OM en demi-finales de la Coupe de la Ligue
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Diego Forlan annoncé au...Real
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© afp
Diego Forlan, élu meilleur joueur de la dernière Coupe du monde, serait sur le départ. Lors du mercato estival, le buteur uruguayen était annoncé dans les plus grands clubs européens (Juventus, Tottenham) mais avait finalement choisi de rester à l'Atlético Madrid.
Ses relations houleuses avec le coach Quique Sanchez Flores et ses faibles statistiques depuis le début de saison (seulement trois buts) relancent les rumeurs de départ. Les vainqueurs de l'Europa League en titre seraient prêts à le céder au Real Madrid, le club rival de la ville. Le quotidien Marca soutient que le club ennemi des Colchoneros envisagerait d'acquérir Forlan contre une somme avoisinant les 18 millions d'euros.
Si l'information semble folle, l'Atletico Madrid aurait pourtant mandaté un agent pour négocier avec le Real. Une arrivée qui pousserait Karim Benzema vers la sortie? Ou bien servira-t-il de monnaie d'échange? Affaire à suivre.
FOOTBALL
Le Bayern Munich a sa Bible:
552 pages, 30 kilos et 2999 euros
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Philipp Lahm, Karl-Heinz Rummenigge et Bastian Schweinsteiger (de g. à dr.) présentent le nouvel ouvrage.
Le Bayern Munich a dévoilé mercredi sa chronique officielle, un livre de 552 pages d’un poids de 30 kilos au prix de 2999 euros (4000 francs) retraçant l’histoire du club le plus titré du football allemand créé il y a bientôt 111 ans.
le 10 novembre 2010, 16h56
LeMatin.ch & les agences
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L’ouvrage de tous les superlatifs - 70 cm de haut pour 50 cm de large, reliure en cuir faite main, couvertures en bouleau - sera tiré à 4.111 exemplaires.
"C’est un projet ambitieux qui correspond à l’image de notre club. C’est un livre luxueux et plutôt extraordinaire", s’est félicité le président du Bayern, Karl-Heinz Rummenigge. "Il n’y aura pas de réédition", a prévenu le dirigeant bavarois qui a reconnu avoir été inspiré par Manchester United.
Le livre intitulé "Quatre étoiles, 111 ans" sera accompagné d’un certificat d’authenticité signé par Karl-Heinz Rummenigge et Uli Hoeness, le deux présidents du géant bavarois. Le premier exemplaire sera offert à Franz Beckenbauer, le président d’honneur du Bayern et "la personne la plus importante dans l’histoire du club", a rappelé Rummenigge.
Le président a promis à ses joueurs, actuellement 9e du Championnat d’Allemagne, d’offrir un exemplaire à chacun d’entre eux "s’ils remportent la Ligue des champions". Le Bayern Munich, fondé le 27 février 1900, compte à son palmarès 22 titres de champion d’Allemagne, quinze éditions de la Coupe d’Allemagne et quatre sacres en C1, la compétition européenne la plus prestigieuse.
Tennis
Roger Federer nie toute implication dans une affaire de paris
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Image © KEYSTONE
Roger Federer
Le Bâlois a répété qu'il n'avait "rien à voir" avec une prétendue affaire de paris sportifs impliquant un haut responsable d'IMG, son agence. Il s'est exprimé en marge du tournoi de Paris-Bercy.
le 11 novembre 2010, 06h28
LeMatin.ch & les agences
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Roger Federer a réfuté mercredi soir son implication dans une affaire de paris. "J'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer il y a quelques semaines à Shanghai. Je suis attristé de voir que mon nom soit mêlé à cette histoire. Ce sont des choses que je ne contrôle pas. Je n'ai rien à voir avec tout ça", a déclaré le no 2 mondial lorsqu'il a été interrogé sur cette affaire.
Un dirigeant d'IMG, Ted Forstmann, fait l'objet d'une poursuite en justice devant un tribunal de Los Angeles par une compagnie du nom d'Agate Printing qui accuse Forstmann d'avoir parié de l'argent sur des rencontres sportives, dont quelques-unes impliquant Federer, sous contrat avec IMG.
Il est notamment accusé d'avoir parié sur la victoire du Bâlois en finale de Roland-Garros en 2006 face à Rafael Nadal, un match que Federer a perdu.
Federer, qui a rappelé que Forstmann n'était pas son agent, a expliqué qu'il ne lui avait pas parlé directement mais qu'il était "entré en contact" pour connaître tous les tenants et aboutissements de l'histoire.
"Tout ce que je peux faire est de m'assurer que mon équipe et moi-même ne font rien qui soit interdit. Je suis sûr que Ted Forstmann a pris une leçon à travers cette histoire", a conclu Federer.
;)Il serait idiot de temper dans ces histoires, pas besoin de cela pour vivre aisément......
http://www.lematin.ch/sports/football/video-gardien-degage-ballon-revient-filets-347310
FOOTBALL
VIDÉO Le gardien dégage mais le ballon revient dans ses filets
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Image © DR
Ce gardien de but évitera de se précipiter pour dégager son ballon la prochaine fois. La scène est brève, mais cocasse et intense. Un grand moment de football!
tennis
Federer déroule, Wawrinka trébuche
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Roger Federer a offert un nouveau récital aux 15 000 spectateurs de Bercy pour atteindre les quarts de finale du tournoi parisien.
Le Bâlois s’est qualifié sans problème pour les quarts de finale en battant Stepanek alors que le Vaudois s’est incliné contre un Söderling qui paraissait à sa portée.
le 11 novembre 2010, 22h53
Le Matin
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Masters 1000
Paris-Bercy
Cet automne 2010 sera peut-être celui de Roger Federer. Titré à Stockholm et à Bâle, le No 2 mondial a cueilli un onzième succès de rang pour se hisser en quarts de finale du Masters 1000 de Paris-Bercy.
Federer s’est imposé 6-4 6-3 devant Radek Stepanek (ATP 41) qu’il avait battu 6-3 6-2 huit jours plus tôt à la Halle Saint-Jacques. Sur une surface bien plus rapide qu’à Bâle et contre un adversaire qu’il savait vulnérable côté coup droit, Roger Federer a forcé la décision en signant deux breaks consécutifs, le premier pour remporter la manche initiale 6-4, le second pour mener 2-0 dans la deuxième. Dix minutes de grâce au cœur d’un nouveau récital qui a enchanté les 15 000 spectateurs de Bercy.
Vendredi, Roger Federer tentera, pour la première fois de sa carrière, de se hisser dans le dernier carré de ce Masters 1000 de Bercy. Il affrontera Jürgen Melzer (ATP 12) contre lequel il s’est déjà imposé cette année à Wimbledon et à l’US Open. Comme Federer, l’Autrichien a débarqué à Paris-Bercy après avoir enlevé le dernier tournoi qu’il a disputé. Il a remporté le titre à Vienne avant de déclarer forfait à Bale.
A noter que la grande victime du jour se nomme Djokovic (ATP 3). Le tenant du titre est tombé sous les enchaînements service-volée de Llodra (ATP 34).
Wawrinka coince
Stanislas Wawrinka (ATP 22) n’accompagnera pas, pour sa part, Roger Federer en quart de finale. Le Vaudois s’est incliné 7-6 6-3 devant Robin Soderling (ATP 5) pour mettre un point final à sa saison 2010.
Face au double finaliste de Roland-Garros, Wawrinka a essuyé une défaite bien regrettable. Il a, en effet, mené 4-1 30-0 sur son service avant de perdre le fil de son tennis. Il perdait ainsi la première manche malgré son double break d’avance, un véritable gâchis dans un match disputé en indoor.
Avec 36 victoires contre 19 défaites dont seulement quatre concédées contre des joueurs moins bien classés que lui, son quart de finale à l’US Open, où il fut le «bourreau» notamment de Murray, et la conquête au printemps à Casablanca du deuxième titre de sa carrière, Wawrinka présente un bilan qui peut se défendre pour son année 2010. Il n’a, toutefois, pas atteint l’un des objectifs qu’il s’était fixé: figurer de nouveau parmi les quinze meilleurs joueurs du monde.
BOXE
Champion et croque-mort
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Image © Laurent Crottet
Flavio Turelli est auxiliaire en pompes funèbres, à Montreux, mais samedi, c’est sur le ring du Casino qu’il sera
Samedi, Flavio Turelli affrontera Disarjot Gashi pour le titre de champion de Suisse des superwelter. Après ce combat, il retournera travailler dans l’entreprise de pompes funèbres qui l’emploie.
Jacques Wullschleger - le 11 novembre 2010, 21h19
Le Matin
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MEETING DE MONTREUX
Flavio Turelli était ramoneur, «Un métier noir mais qui me plaisait bien», souligne-t-il, mais un accident de ski l’a éloigné définitivement (T) des cheminées. «J’ai eu les ligaments salement touchés. Aujourd’hui, mes genoux craquent de partout», raconte Turelli, victime d’un aléa de la vie, grave, un de plus dans son parcours compliqué, comme si ses pieds reposaient sur une vie fragile.
Depuis le début du mois, il est croque-mort auxiliaire chez Jost Pompes Funèbres, à Montreux. «Il y a peu, j’avais effectué un stage ici dans le cadre du chômage», précise l’intéressé, boxeur professionnel au grand cœur. «Ma collègue est une femme, Sarah. Elle a le sens de la décoration florale. L’autre jour, à l’occasion d’un service, elle avait préparé quelque chose de joli. Cela m’a touché et beaucoup plu.»
Très jeune, Flavio Turelli a été confronté à la mort. Et il en a beaucoup souffert. «Ma maman, sa sœur et son frère se sont suicidés. En juin, le jour de mon dernier combat à Montreux – succès du Vaudois au terme d’un match d’une intensité rare –, j’ai reçu un coup de fil m’apprenant le suicide de ma tante. Je m’interroge: pourquoi? Jamais je n’arriverai à comprendre ce qui les a poussés vers cette extrémité. Le ciel peut attendre, non – c’est le titre d’un film. La fille de ma mère, qui était ma demi-sœur, s’est également donné la mort. Encore un drame qui m’a bouleversé.»
Un métier provisoire
En évoquant sa profession de croque-mort auxiliaire, il est catégorique. «C’est un métier provisoire, mais il me correspond en ce moment.» Il enchaîne: «Je ne pense pas pouvoir vivre de la mort. Néanmoins, je trouve que c’est une bonne chose de pouvoir accompagner les gens dans la douleur, de préparer cet au revoir dignement. Notre rôle, c’est d’être présent, tout en restant discret le plus possible, très respectueux. Tu amènes les fleurs, tu prépares le cercueil, tu le portes. Je suis chargé de la mise en bière.»
Il poursuit, parlant du service funèbre: «Ce sont des moments de recueillement fort. Il y a de l’énergie qui passe, il y a ce calme dont on a plus l’habitude. Un grand moment de partage s’installe. Parce que j’ai vécu à plusieurs reprises ce genre de situation, je me sens proche de ces gens dans la peine mais je ne le montre pas bien sûr. On ne se connaît pas, mais on se comprend, parce qu’il y a un échange qui se produit. Ça fait bizarre. De la sérénité, du respect, de l’humilité se dégagent dans ces moments-là. Au-delà de ces considérations, tout le monde est concerné par la mort. On y va tous et on n’aura pas de seconde chance. C’est la seule certitude qu’on a dans la vie.»
Samedi, au Casino de Montreux, Flavio Turelli affrontera le Tessinois Disarjot Gashi – 9 combats, 8 succès (7 par k.-o.), 1 nul –, pour le titre de champion de Suisse des poids superwelter (69,853 kg). En février dernier, ils n’avaient pu se départager. Le rendez-vous avait été âpre, d’une grande dureté. Sera-ce le dernier match du Vaudois? «Je n’en sais rien.» Il se laisse une porte ouverte. Il n’a pas envie d’anesthésier les émotions fortes à venir.
C'est chaud entre Van Bommel et Tymoschuk !
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Mark Van Bommel, guéri d'une blessure au genou, est de retour au Bayern Munich ! Le rugueux médian hollandais a fait savoir qu'il n'était pas revenu pour y faire de la figuration. Sa cible? Atatoliy Tymoschuk.
Ils ont été séparés par Schweinsteiger
Hier, les deux hommes n'ont pas arrêté de se chercher. Si Mark Van Bommel a d'abord pris l'affaire à la rigolade, ce n'était pas trop au goût de Atatoliy Tymoschuk. Ce dernier a montré son mécontentement et il a fallu l'intervention de Bastian Schweinsteiger pour éviter que les choses ne s'enveniment. (chds)
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Six mois d'indisponibilité pour Inzaghi
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La saison de Filippo Inzaghi est pratiquement terminée. L'attaquant de l'AC Milan, qui s'est blessé au genou mercredi contre Palerme (3-1), sera écarté des terrains pendant six mois.
Alors que le club milanais avait dans un premier temps diagnostiqué une entorse, il s'avère que le joueur de 37 ans s'est blessé au ménisque et aux ligaments croisés du genou gauche. Il devra se faire opérer.(belga/chds)
merdeeeeeeeeeeeee j'apprecie beaucoup ce joueur:fou:
automobilisme
La pression monte
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Les quatre candidats au titre mondial étaient réunis hier pour évoquer leur état d’esprit. Tous s’avouent sereins.
Luc Domenjoz - le 11 novembre 2010, 22h51
Le Matin
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Formule 1
C’est un sacré numéro d’intox auquel se sont livrés les quatre candidats au titre mondial. Assis côte à côte, ils s’avouent tous impatients d’en découdre!
Si la situation de Lewis Hamilton (avec ses 24 points de retard sur Fernando Alonso, soit quasiment l’équivalent d’une victoire) et de Sebastian Vettel (qui accuse 15 points de retard) semble assez claire, celles de Mark Webber et de Fernando Alonso sont plus complexes. «Pour moi, il n’y a aucune stratégie: je dois essayer de gagner à tout prix, admet Lewis Hamilton. On aborde donc ce Grand Prix comme les précédents, à fond absolu. Je n’ai rien à perdre, tandis que ces gars-là (il désigne Alonso et Webber) ont au contraire tout à perdre.»
Webber prudent
Sebastian Vettel tient à peu près le même discours: «Pour moi, c’est comme pour Lewis, analyse le jeune Allemand. Ma seule tactique, c’est de rouler à fond et de me retrouver dans la même situation qu’en Corée et qu’au Brésil: devant.»
Mark Webber se montre un peu plus prudent: «Je vais voir comment les qualifications se déroulent avant d’opter pour une tactique ou l’autre. Mais je me réjouis de la course. Ça devrait être pas trop mal pour nous, notre voiture est excellente dans les courbes rapides.»
Pour Fernando Alonso, en tête du classement, la situation s’avère à la fois la plus simple (il a 8 points d’avance sur l’Australien) et la plus complexe: «Je vais devoir adapter ma tactique à notre compétitivité… notre voiture n’est pas aussi performante que la Red Bull dans les courbes, et un peu moins rapide que la McLaren en vitesse de pointe. Mais c’était déjà le cas pendant toute la saison, et nous sommes pourtant toujours là. Alors nous verrons.»
L’Espagnol avoue toutefois que la déception serait grande s’il n’était pas couronné dimanche. «J’en serais triste, mais je n’aurais pourtant aucune raison d’être déçu par cette saison. Nous nous sommes bien battus contre deux Red Bull qui nous dominent en performance.»
:non::fute:Mon cul sereins...........:D:content::content::content:
SKI ALPIN
Croire au Père Noël
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En Finlande, Aline Bonjour veut se faire plaisir en allant vite.
Aline Bonjour, Lara Gut et les Suissesses disputent demain un slalom. Leur but en Laponie: passer en seconde manche.
Christian Maillard - le 11 novembre 2010, 21h10
Le Matin
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COUPE DU MONDE DAMES
LEVI (Fin)
Le cirque blanc est cette semaine dans le noir, à Levi, en Finlande. «Le jour est court et les journées très longues!» Aline Bonjour et les skieuses de la Coupe du monde se trouvent en effet en Laponie. «Il fait moins 17, moins 18. Quand on ne skie pas, on joue au volley, on lit ou on regarde des vidéos.»
Se refaire plaisir
Les slalomeuses suisses ont hâte de se mettre au show, demain (10 h et 13 h) sous les projecteurs. Avec des nouveaux entraîneurs (Mauro Pini et Lionel Finance) et une nouvelle marque de skis (Völkl), la Vaudoise, qui a dégringolé à la 38e place mondiale, ne se fixe aucun objectif. Elle compte simplement, comme ses coéquipières, sortir de la nuit noire dans laquelle les techniciennes sont plongées depuis l’hiver dernier. «J’aimerais juste reproduire mon ski d’il y a deux ans et me refaire plaisir en allant vite.» Son premier but est de se qualifier de nouveau pour une seconde manche, de remonter parmi les trente premières, avec Maria Riesch et les autres favorites de l’épreuve.
A Levi, Aline Bonjour partage la chambre de Lara Gut. «Les deux, on n’oublie jamais de rigoler», se marre la skieuse de Chailly. La Tessinoise, qui devrait s’élancer avec un dossard très élevé (50 ou 60) disputera le 2e slalom de sa carrière en Coupe du monde, après avoir remporté une sélection interne à Pontresina. «Même si elle a beaucoup progressé dans la discipline, il ne faudra pas s’attendre à des miracles», remarque son papa. En Laponie, les autres Suissesses Sandra Gini (qui opère aussi son retour), Denise Feierabend, Wendy Holdener et Esther Good aimeraient tant, elles aussi, croire au Père Noël!
Djokovic tombe en huitièmes et perd son titre à Paris-Bercy
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© ap
Le Serbe Novak Djokovic, N.3 mondial, a perdu son titre au Masters 1000 de Paris-Bercy jeudi, défait en huitièmes de finale par l'attaquant français Michaël Llodra (7-6, 6-2). "Djoko" ne sera donc pas le premier joueur à conserver son titre sous le toit de la salle de Bercy. La faute au 34e joueur mondial qui a réussi un bel exploit.
A trois semaines de la finale de Coupe Davis entre la Serbie et la France, Llodra, qui habite à un quart d'heure de Paris-Bercy, a certainement marqué des points pour une place de titulaire du 3 au 5 décembre même si la surface à Belgrade ne lui sera pas aussi favorable.
L'autre info du jour est la fin du suspense dans la course aux Masters. On connaît dorénavant les huit qualifiés pour Londres du 21 au 28 novembre, après la victoire de l'Américain Andy Roddick et la défaite de Fernando Verdasco.
Avant le début du tournoi, ils étaient encore trois à espérer venir se glisser dans le Top 8. Le Russe Mikhail Youzhny a abandonné d'entrée. L'Autrichien Jürgen Melzer a perdu toute chance ce jeudi après la victoire de Roddick sur le Letton Ernests Gulbis (6-3, 7-6).
Et Verdasco a clos les débats en s'inclinant 6-7, 7-6, 7-5 face au Français Gaël Monfils malgré deux balles de match.
La hiérarchie reste donc inchangée et Roddick, Tomas Berdych et David Ferrer disputeront le Masters en compagnie de Rafael Nadal, Roger Federer, Novak Djokovic, Andy Murray et Robin Soderling, déjà qualifiés
Sven Nys brave la tempête à Niel
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© belga
Le champion de Belgique Sven Nys (Landbouwkrediet-Colnago) a remporté jeudi la 48e édition du cyclo-cross de Niel, la deuxième des quatre épreuves du Fidea Cyclocross Classics.
Malgré la tempête, il s'est imposé en solitaire pour décrocher un 3ème succès consécutif, devançant Niels Albert de 24 secondes. Bart Wellens a terminé 3e à près d'1 minute 30 secondes devant Kevin Pauwelss, 4e à plus de deux minutes du vainqueur.
Jules Bianchi pilote d'essai chez Ferrari en 2011
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Le Français Jules Bianchi sera l'un des pilotes d'essais officiels de Ferrari la saison prochaine en F1, a annoncé jeudi l'écurie italienne à Abou Dhabi, où se court dimanche le dernier Grand Prix de la saison.
Issu du centre de formation des pilotes de Ferrari, Bianchi, âgé de 21 ans, est champion de F3 Euro Series en 2009 et est actuellement troisième en GP2 avant la manche finale de ce week-end.
ESCRIME
La Suisse perd d’une touche contre la France
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Image © AP
Après une première victoire facile contre la Colombie, l’équipe de Suisse féminine d’épée s’est inclinée à la mort subite face à la France en huitièmes de finale
le 12 novembre 2010, 10h25
LeMatin.ch
L’équipe de Suisse féminine d’épée ne disputera pas les quarts de finale des championnats du monde de Paris. Après avoir franchi facilement le cap des 16es de finale face à la Colombie, Sophie Lamon et ses camarades ont échoué contre les Françaises (31-32) en huitièmes, mais non sans avoir fait douter leurs adversaires.
Sophie Lamon, Tiffany Géroudet et Simone Näf ont disputé un excellent match face à l’équipe de Laura Flessel et Maureen Nisima, la championne du monde individuelle. Quelque peu distancées dans la première partie du match, les Suissesses sont magnifiquement revenues et le score était nul lorsque Simone Näf et Laura Flessel sont entrées sur la piste pour le dernier assaut.
La Bernoise est parvenue à prendre une touche d’avance, puis, une fois menée de deux touches, a eu le courage de remonter au score, obtenant ainsi le droit à une prolongation. Là, la grande expérience de Laura Flessel a parlé pour aller chercher le point décisif. La journée des Suissesses n’est pas terminée puisqu’elles vont jouer pour les places de 9 à 16.
ESCRIME
La Suisse perd d’une touche contre la France
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Image © AP
ma soeur y participe ...... en tant que bénévole :)
sont pauvres aussi la fédé d'escrime, autant que celle de gym ;)
ma soeur y participe ...... en tant que bénévole :)
sont pauvres aussi la fédé d'escrime, autant que celle de gym ;)
J'ai eu peur que se soit l'arbitre....:diable:Nan je rigole:D
FORMULE 1
GP d’Abou Dhabi: Vettel déjà le plus rapide
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Image © AFP
Sebastian Vettel
L’Allemand Sebastian Vettel (Red Bull-Renault) a réalisé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Abou Dhabi, 19e épreuve du Championnat du monde de Formule 1, vendredi sur le circuit Yas Marina.
le 12 novembre 2010, 14h03
LeMatin.ch & les agences
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Avec un chrono de 1 min 42 sec 760/1000, Vettel devance les deux Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button, sur McLaren, de respectivement 6/10e et 1 seconde. L’Australien Mark Webber, sur la deuxième Red Bull, est 4e.
Il précède le Polonais Robert Kubica (Renault, 5e) et le leader du Championnat, l’Espagnol Fernando Alonso (Ferrari, 6e). L’Allemand Michael Schumacher (Mercedes, 7e) finit devant le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber, 8e) et les Allemands Nico Rosberg (Mercedes, 9e) et Nick Heidfeld (Sauber, 10e).
Sans connaître la quantité d’essence précise embarquée ni les réglages ou pièces testés par les écuries, qui peuvent faire varier grandement les temps au tour, il est impossible de dire si ce classement reflète fidèlement la valeur des concurrents et s’il sera maintenu samedi en qualifications.
GP d'Abou Dhabi. 1re séance d’essais libres:
1. Sebastian Vettel (GER/Red Bull-Renault) 1:42.760
(moyenne: 194,574 km/h)
2. Lewis Hamilton (GBR/McLaren-Mercedes) 1:43.369
3. Jenson Button (GBR/McLaren-Mercedes) 1:43.785
4. Mark Webber (AUS/Red Bull-Renault) 1:43.840
5. Robert Kubica (POL/Renault) 1:44.080
6. Fernando Alonso (ESP/Ferrari) 1:44.121
7. Michael Schumacher (GER/Mercedes) 1:44.199
8. Kamui Kobayashi (JPN/Sauber-Ferrari) 1:44.604
9. Nico Rosberg (GER/Mercedes) 1:44.718
10. Nick Heidfeld (GER/Sauber-Ferrari) 1:44.737
11. Felipe Massa (BRA/Ferrari) 1:45.160
12. Vitaly Petrov (RUS/Renault) 1:45.445
13. Rubens Barrichello (BRA/Williams-Cosworth) 1:45.474
14. Adrian Sutil (GER/Force India-Mercedes) 1:45.552
15. Vitantonio Liuzzi (ITA/Force India-Mercedes) 1:45.585
16. Jaime Alguersuari (ESP/Toro Rosso-Ferrari) 1:46.003
17. Nico Hülkenberg (GER/Williams-Cosworth) 1:46.644
18. Sébastien Buemi (SUI/Toro Rosso-Ferrari) 1:47.105
19. Timo Glock (GER/Virgin-Cosworth) 1:48.450
20. Jarno Trulli (ITA/Lotus-Cosworth) 1:48.472
21. Lucas Di Grassi (BRA/Virgin-Cosworth) 1:49.375
22. Bruno Senna (BRA/Hispania-Cosworth) 1:49.590
23. Christian Klien (AUT/Hispania-Cosworth) 1:50.274
24. Fairuz Fauzy (MAS/Lotus-Cosworth) 1:51.705
grand prix d’abu dhabi
Hamilton fait monter la pression
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Même s’il ne compte qu’une chance théorique de remporter le championnat, Lewis Hamilton a démontré hier qu’il avait bien l’intention de jouer sa dernière carte à fond
Si le pilote britannique de l’écurie McLaren veut tenter sa chance, il doit absolument remporter ce dernier grand prix. Il s’est classé en tête de la première journée d’essais d’hier. Réelle performance ou intox?
Luc Domenjoz - le 12 novembre 2010, 21h58
Le Matin
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Chez Red Bull comme chez Ferrari, on essaie de donner le change. Dans les petites villas attribuées à chaque écurie, dans le paddock du circuit de Yas Marina, chacun vaque à ses occupations habituelles.
Pourtant, l’observateur qui s’y poste quelques minutes remarque rapidement un silence inhabituel. Depuis le début du week-end, au sein de ces deux écuries, personne n’a tendance à plaisanter ou à échanger les banalités habituelles. Chacun semble concentré sur sa tâche sans vouloir s’en distraire une seule seconde.
Chez McLaren, par contre, on donne dans l’excès inverse. Par flagornerie, ou simplement pour se moquer doucement de la tension qui anime ses deux rivales, l’écurie anglaise fait dans la bonne humeur ce week-end. Lewis Hamilton, il est vrai, ne compte qu’une chance théorique de remporter le championnat, ce qui permet à ses mécaniciens d’aborder la course dans la plus parfaite décontraction.
Techniquement, chacun comptait sur le premier jour d’essais, hier, pour passer en revue son programme de réglages. Ultime effort technique, les Red Bull et les McLaren se présentent ici avec un nouvel aileron arrière, spécialement modifié pour le tracé de Yas Marina tandis que chez Ferrari, la F10 est strictement identique au modèle aligné au Brésil, dimanche dernier.
Pluie inattendue
Malheureusement pour les équipes, le sort a compliqué le programme de la journée: alors qu’il ne pleut pratiquement jamais dans les Emirats, une averse improbable est venue inonder le circuit hier matin! Au moment de commencer les essais, le tracé était encore mouillé. Pas vraiment prévu pour évacuer la pluie, le revêtement ne s’est asséché que très progressivement.
Dans la soirée, pour la deuxième séance d’essais, la piste de Yas Marina était enfin sèche, et les chronos sont tombés de près de deux secondes par rapport à l’après-midi. Normalement, la McLaren, cette année, reste un cran au-dessous des Red Bull et des Ferrari. Hier pourtant, c’est Lewis Hamilton qui a signé le meilleur chrono de la journée, avec une avance d’un quart de seconde sur la Red Bull de Sebastian Vettel. «Je suis vraiment hypercontent de la voiture et de notre nouvel aileron arrière, se réjouissait Lewis Hamilton. Je crois que nous n’avons encore jamais été aussi compétitifs cette saison!»
Chez Red Bull, on ne s’inquiétait toutefois pas trop des commentaires enthousiastes du Britannique, qui comportaient probablement leur dose d’intox: le vendredi, la journée est considérée comme «libre», et tandis que la plupart des pilotes en profitent pour régler leur machine en vue de la course, certains roulent à vide d’essence dans le but d’impressionner leurs rivaux. «Je suis assez satisfait de la voiture, commentait Sebastian Vettel. Je pense que nous avons encore de la marge pour aller plus vite lors des qualifications…»
Petite angoisse chez Ferrari
Chez Ferrari, Stefano Domenicali, le patron de l’écurie, avouait par contre son angoisse: «Les McLaren semblent terriblement rapides… Mais nous devons garder la tête sur les épaules, parce que si l’on réagit avec trop d’émotion, les choses peuvent très vite mal tourner!»
Dans le contexte du week-end, l’hypothèse d’une petite intox de la part de l’écurie McLaren n’est pas exclue. Les véritables forces en présence ne se révéleront vraiment que cet après-midi, lors des qualifications, sur le coup de 14 heures.
Les chronos
F1. Grand Prix d’Abu Dhabi. Essais libres
1re séance: 1. Vettel (All), Red Bull-Renault, 1’42’’760 (194,573 km/h). 2. Hamilton (GB), McLaren-Mercedes, à 0’’609. 3. Button (GB), McLaren-Mercedes, à 1’’025. 4. Webber (Aus), Red Bull-Renault, à 1’’080. 5. Kubica (Pol), Renault, à 1’’320. 6. Alonso (Esp), Ferrari, à 1’’361. 7. Schumacher (All), Mercedes, à 1’’439. 8. Kobayashi (Jap), Sauber-Ferrari, à 1’’844. 9. Rosberg (All), Mercedes, à 1’’958. 10. Heidfeld (All), Sauber-Ferrari, à 1’’977. 11. Massa (Br), Ferrari, à 2’’400. 12. Petrov (Rus), Renault, à 2’’685. 13. Barrichello (Br), Williams-Cosworth, à 2’’714. 14. Sutil (All), Force India-Mercedes, à 2’’792. 15. Liuzzi (It), Force India-Mercedes, à 2’’825. 16. Alguersuari (Esp), Toro Rosso-Ferrari, à 3’’243. 17. Hülkenberg (All), Williams-Cosworth, à 3’’884. 18. Buemi (S), Toro Rosso-Ferrari, à 4’’345. 19. Glock (All), Virgin-Cosworth, à 5’’690. 20. Trulli (It), Lotus-Cosworth, à 5’’712. 21. di Grassi (Br), Virgin-Cosworth, à 6’’615. 22. Senna (Br), HRT-Cosworth, à 6’’830. 23. Klien (Aut), HRT-Cosworth, à 7’’514. 24. Fauzy (Mal), Lotus-Cosworth, à 8’’945. 24 pilotes en lice.
2e séance: 1. Hamilton 1’40’’888 (198,184 km/h). 2. Vettel à 0’’257. 3. Alonso à 0’’426. 4. Webber à 0’’427. 5. Kubica à 0’’688. 6. Massa à 0’’695. 7. Petrov à 1’’208. 8. Button à 1’’244. 9. Liuzzi à 1’’315. 10. Rosberg à 1’’334. 11. Schumacher à 1’’358. 12. Hülkenberg à 1’’561. 13. Sutil à 1’’647. 14. Kobayashi à 1’’880. 15. Barrichello à 2’’026. 16. Heidfeld à 2’’062. 17. Alguersuari à 2’’240. 18. Buemi à 2’’696. 19. Heikki Kovalainen (Fin), Lotus- Cosworth, à 4’’292. 20. Glock à 4’’371. 21. Trulli à 4’’724. 22. Di Grassi à 5’’165. 23. Klien à 6’’322. 24. Senna à 6’’546. 24 pilotes en lice.
Federer s'offre sa première demi-finale à Bercy
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Le Suisse Roger Federer, N.2 mondial, atteint le dernier carré du Masters 1000 de Paris-Bercy pour la première fois de sa carrière à Bercy en battant en quarts de finale l'Autrichien Jürgen Melzer, tête de série N.11, en deux manches 6-1, 7-6 (7/4) vendredi.
Le tournoi parisien plane comme une incongruité dans le palmarès du plus grand joueur de l'histoire puisque le Suisse devait jusqu'à cette édition 2010 se contenter de trois quarts de finale (2002, 2003 et 2008). Cette année pourrait enfin lui sourire tant la surface ultra-rapide semble idéale pour son jeu.
Et Melzer, déjà battu deux fois cette saison par son adversaire du jour, à Wimbledon et à l'US Open, ne dira pas le contraire. Le gaucher autrichien de 29 ans a dû patienter 18 minutes avant d'inscrire son premier jeu. Problème pour l'Autrichien, Federer en avait déjà marqué 5. Le monologue du Suisse totalement dominateur grâce à sa vitesse d'exécution et de déplacement s'est poursuivi avec un nouveau jeu blanc pour conclure la première manche en 19 minutes.
Finalement, Melzer décidait d'être acteur et non plus spectateur de ce quart de finale offrant une seconde manche plus intéressante. A 3 jeux partout, Melzer a sauvé une balle de break en s'appuyant sur son service, sa meilleure arme de la soirée. Federer, qui n'a concédé que 11 points sur sa mise en jeu, a finalement attendu le jeu décisif pour faire la différence. A 4 points partout, il a enchaîné trois points de rang pour se diriger vers le filet et serrer la main de son adversaire après 1 h 10 de match.
"Je suis très content de la façon dont j'ai joué. C'est normal de se sentir de mieux en mieux au fur et à mesure de la semaine. Je m'habitue à la surface", a expliqué l'ancien N.1 mondial à sa sortie du court. Pour une place en finale, Federer affrontera samedi le vainqueur de la rencontre opposant le Britannique Andy Murray (N.3) au Français Gaël Monfils (N.12).
L'autre demi-finale opposera samedi le Français Michaël Llodra, surprise de la semaine, après son succès (7-5, 6-1) sur le Russe Nikolay Davydenko, qui a suivi celui sur le Serbe Novak Djokovic au tour précédent, au Suédois Robin Söderling (N.4). Söderling a pris le meilleur sur l'Américain Andy Roddick (7-5, 6-4) et retrouvera un autre attaquant en la personne de Llodra. (afp)
Après Djokovic, Llodra se paie Davydenko
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Au lendemain de son exploit face à Novak Djokovic, le Français Michaël Llodra a enchaîné pour atteindre les demi-finales du Masters 1000 de Paris-Bercy, en battant le Russe Nikolay Davydenko, tête de série N.10, en deux sets 7-5, 6-1 vendredi.
C'est de loin le plus beau résultat de la carrière du Parisien de 30 ans et il tombe à pic à trois semaines de la finale de Coupe Davis face à la Serbie. Vainqueur 7-6, 6-2 du N.3 mondial la veille, Llodra, 34e à l'ATP, a battu son deuxième gros poisson de la semaine avec Davydenko, ancien vainqueur de Bercy en 2006 et N.11 mondial.
Après un début de match difficile, il a retourné la partie comme une crêpe pour se qualifier pour sa première demi-finale dans un Masters 1000 où il retrouvera samedi le Suédois Robin Soderling, N.5 mondial. Son entame a d'abord laissé croire à un lendemain de fête difficile. Moins précis que la veille, plus lent dans ses déplacements, il a été rapidement été mené 4-2, 0-15 par Davydenko. Le pire était à craindre. Mais il s'est alors réveillé d'un coup pour remporter 13 des 14 points suivants en jouant l'attaque à outrance.
Après avoir lui-même infligé un 6-0 tard la veille à Tomas Berdych, Davydenko a dès lors sombré à son tour. Poussé à la faute par un Llodra qui passait son après-midi au filet (33 montées pour 21 points!), le Russe n'a plus gagné que deux jeux pendant que LLodra en remportait onze, sous les yeux de sa famille et du capitaine de l'équipe de France Guy Forget. (afp/mb)
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Vettel devient le plus jeune champion du monde
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L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) a été sacré champion du monde de Formule 1 dimanche après avoir remporté le Grand Prix d'Abou Dhabi de Formule 1, 19e et dernière épreuve de la saison, devant les deux McLaren des Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button.
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Grâce aux 25 points de sa victoire, Vettel, en pleurs dans son cockpit pendant son tour d'honneur, compte 256 unités. Il devance de 4 longueurs l'Espagnol Fernando Alonso, surprenant 7e de la course.
Erreur fatale
Vettel, auteur d'une course irréprochable, a été grandement aidé par la monumentale erreur de stratégie de Ferrari, qui, à trop vouloir marquer Mark Webber - le dauphin au classement de l'Espagnol avant la course - à la culotte, a commis la même bourde que l'Australien.
Red Bull a en effet choisi de faire rentrer Webber précocement aux stands, dès le 12e tour, alors que la course avait déjà été précédemment neutralisée après une collision entre Michael Schumacher (Mercedes) et Vitantonio Liuzzi (Force India) dès la 1ère boucle.
L'Australien, après son changement de pneus, s'est retrouvé coincé quelques tours derrière l'Espagnol Jaime Alguersuari, alors 15e. Ce qui n'a pas dissuadé Ferrari de rappeler très vite Felipe Massa puis Fernando Alonso, les deux hommes se retrouvant à leur tour englués dans le peloton.
Pendant ce temps, Vettel menait l'épreuve tambour battant, à peine titillé par Lewis Hamilton, lui même suivi par son partenaire Jenson Button. Le champion déchu, auteur d'un excellent départ, avait déjà dépasser Alonso à l'entame. Les trois hommes termineront la course dans cet ordre.
Jeune surdoué
Sebastian Vettel, scruté comme un diamant brut dans le paddock, a justifié sa réputation de surdoué en étant sacré plus jeune champion du monde de l'histoire de la Formule 1 dimanche à Abou Dhabi pour sa troisième saison dans la discipline, malgré moults avaries mécaniques.
A 23 ans, 4 mois et 11 jours, l'Allemand dépasse le Britannique Lewis Hamilton, sacré en 2008 à l'âge de 23 ans, 10 mois et 26 jours, qui avait lui-même pris le record de l'Espagnol Fernando Alonso, couronné en 2005 à 24 ans, 1 mois et 27 jours.
Rien d'étonnant de la part d'un jeune homme né en 1987 à Heppenheim, près du circuit de F1 d'Hockenheim, qui a tout raflé plus tôt que ses adversaires. Après ses débuts tardifs en karting, à l'âge de huit ans contre 2 pour Fernando Alonso, Vettel n'a plus jamais été pris en défaut.
A 18 ans en formule 1
Troisième pour sa première saison de Formule BMW Allemagne (2003), il remporte 18 des 20 courses auxquelles il participe l'année suivante, montant sur le podium de toutes les manches et marquant 388 points sur 400 possible. "Il est le meilleur pilote ayant jamais roulé en Formule BMW, celui qui a connu le plus de succès", commente Mario Theissen, l'ex-patron de l'écurie BMW Sauber, qui l'a encadré dans ses jeunes années.
Vettel effectue un premier test en Formule 1 alors qu'il n'a que 18 ans. Nommé troisième pilote de BMW Sauber en 2006, il remplace l'année suivante Robert Kubica à Indianapolis, le Polonais s'étant blessé à Montréal, et devient le plus jeune pilote à inscrire un point pour son premier Grand Prix.
Passé chez Toro Rosso mi-2007, il bat un nouveau record de précocité au Japon, en étant le plus jeune à mener une course. Avant de s'accidenter dans Mark Webber, son actuel coéquipier chez Red Bull. En 2008, il s'adjuge la pole puis la victoire les plus précoces de l'histoire de la F1 au GP d'Italie.
"La rage des champions"
"C'est un gars qui veut gagner, rien d'autre. L'argent, la presse, le glamour ne l'intéressent pas. Il veut juste la victoire. Il a ça en lui, la rage des champions. C'est ce qui le rend différent", explique alors Eduard Castillo, un mécanicien de Toro Rosso au quotidien espagnol la Vanguardia.
En 2009, Vettel, surnommé Seb ou Vitello (le veau) dans la petite écurie italienne, part chez Red Bull, l'équipe-mère de Toro Rosso. Il met trois courses à remporter la première victoire de l'histoire de Red Bull. Mais termine 2e du Championnat derrière Jenson Button (Brawn GP).
Cette année, l'Allemand aux blondes boucles d'adolescent veut prendre sa revanche. Désigné favori du Championnat, il ne réalise pourtant "pas la saison la saison la plus simple", puisqu'enchaînant "les hauts" stratosphériques et "les bas" abyssaux, selon ses propres dires.
Il impressionne en qualifications, ravissant 10 pole positions en 19 courses. Mais sa Red Bull le lâche à plusieurs reprises. Et il part plusieurs fois à la faute, dont une dans son coéquipier Mark Webber (à Istanbul), avec qui les relations sont orageuses. La seule ombre à son tableau.
Décrit par Eduard Castillo comme quelqu'un de "simple", "humble comme ses parents, des gens modestes", de "très marrant", ce "spécialiste de l'avion manqué", dixit l'Espagnol, habitué à faire rire ses interlocuteurs, journalistes inclus, a ébréché son image dans sa rivalité avec l'Australien. Qu'importe. Vettel, à l'ambition désormais affirmée, est champion. Plus tôt que tout le monde. Et il ne compte pas s'arrêter là. (belga)
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:amoureux:Merci Vettel, j'ai gagné 100 balles pour un pari....:content::content::content:
Monfils bat Federer et s'offre une finale à Paris
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Si Michaël Llodra a raté trois balles de match face à Robin Soderling, Gaël Monfils en a sauvé cinq face à Roger Federer pour rejoindre le Suédois en finale du Masters 1000 de Paris-Bercy après une journée de folie pure samedi au POPB.
A rire, à pleurer, à s'en frotter les paupières, il y a eu de tout samedi pour un public qui ne savait plus où donner de la tête, complètement sonné en sortant de la salle après cinq heures de suspense et de drame. La simple lecture des scores indique qu'il a dû se passer quelque chose.
Exploit de taille!
Soderling qui bat Llodra 6-7, 7-5, 7-6 en 2h49 suivi de Monfils qui domine Federer 7-6, 6-7, 7-6 en 2h42: voilà ce qu'on appelle une journée bien remplie! Elle le fut de bout en bout avec deux demi-finales fantastiques où le niveau de jeu a seulement été dépassé par la dramaturgie.
Et au milieu de tout ça: un exploit gigantesque, celui de Gaël Monfils, 14e mondial, qui, après cinq défaites, a fini par avoir la peau du "maître" après une prestation héroïque. Monfils avait déjà battu Rafael Nadal lorsque celui-ci était déjà N.1 mondial. Il a même déjà été en finale à Bercy, l'année dernière. Mais ce qu'il a réussi samedi est du niveau au-dessus, par le fond comme par la forme.
Car s'il ne fait, au fond, que répéter son parcours de l'an dernier, abrégé par Novak Djokovic en finale, il fait en réalité nettement mieux. En 2009, il avait déjà été grand mais il n'avait pas battu des joueurs du calibre de Fernando Verdasco, N.9 mondial, Andy Murray, N.4, et Federer, N.2, une trilogie mythique qui demande maintenant d'être complétée face à Soderling, le N.5.
Bourdes de Federer
Monfils n'avait pas non plus défendu comme cette année sept balles de match, deux contre Verdasco jeudi et donc cinq face à Federer. En panne de première balle alors qu'il dégommait tout au premier set, Monfils les a défendues au courage et au bluff, mais aussi grâce aux bourdes de Federer en coup droit, répétées ensuite dans le tie-break final.
"J'ai été au bout de moi-même", a raconté le vainqueur dont on oublierait presque qu'il a également remonté un déficit de 4-1 dans le troisième set, alors qu'il semblait à l'agonie sur le plan physique. Mais au final c'est Federer qui est de nouveau resté sur le bord de la route à Bercy, où il ne deviendra pas cette année encore le premier joueur à avoir disputé la finale dans l'ensemble des neuf Masters 1000.
Reste la finale...
Monfils essayera dimanche de faire exactement ce que Soderling a réussi samedi contre Llodra: battre un adversaire contre qui il a perdu ses deux premières rencontres, dont la dernière 6-3, 6-2 à Valence la semaine dernière. "Avec le public on va faire en sorte que ça passe", a souligné Monfils, pressé de venger son camarade de Coupe Davis, passé tout près de son propre exploit pour avoir laissé passer trois balles de match à 6-5 au troisième set.
"Mon Dieu, que c'est frustrant le tennis, a réagi Llodra, mais je n'ai rien à me reprocher, j'ai tout donné, je ne suis pas loin et même si je suis déçu, il reste un bel objectif avec la finalede Coupe Davis" du 3 au 5 décembre à Belgrade face à la Serbie, un rendez-vous que le tennis français peut aborder en confiance après ses coups de folie à Bercy. (afp)
Que dire..... Bravo trop d'erreurs de Fed....;)
Carlos Moya de retour à la compétition
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L'ancien numéro 1 mondial Carlos Moya, 34 ans, annoncera son retour à la compétition mercredi lors d'une conférence de presse. Moya a atteint le sommet de la hiérarchie mondiale en mai 1999. Il a remporté 20 tournois, dont Roland Garros en 1998. Un an plus tôt il avait atteint la finale de l'Open d'Australie.
Son dernier match officiel remonte au tournoi de Madrid il y a 6 mois. L'Espagnol avait été battu 6-0 et 6-2 par l'Allemand Benjamin Becker. Il est actuellement toujours classé à la 511e place au classement ATP.
Fin de saison en queue de poisson pour Schumacher
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Le septuple champion du monde Michael Schumacher (Mercedes) a terminé le Grand Prix d'Abou Dhabi de Formule 1, dernière épreuve de l'année, sur un tête-à-queue, à l'image de sa saison 2010 ratée, qui l'a conduit à abandonner au 1er tour de course.
Parti devant son coéquipier Nico Rosberg, qui l'attaquait dès les premiers virages, Schumacher est vraisemblablement parti à la faute tout seul en essayant de lui résister.
Schumacher, 41 ans, pointe actuellement à la 9e place au classement général du Championnat du monde avec 72 points, un rang qu'il devrait garder au terme de la course.
Pour son retour en compétition, après trois années de retraite sportive, "Schumi", détenteur entre autres du record de victoires (91 Grands Prix), a eu pour meilleur résultat deux 4e places à Barcelone et Istanbul.
tennis
Soderling sort Monfils et remporte son premier Paris-Bercy
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Le Suédois Robin Soderling a remporté son premier tournoi de Paris-Bercy en battant le Français Gaël Monfils en deux sets 6-1, 7-6 (7/1) dimanche en finale.
le 14 novembre 2010, 17h02
LeMatin.ch & les agences
1 commentaire (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
C'est le sixième titre pour le N.5 mondial et c'est le plus beau puisqu'il s'impose pour la première fois dans un Masters 1000, la catégorie de tournois qui vient juste après ceux du Grand Chelem en ordre d'importance.
Battu en finale de Roland-Garros par Roger Federer en 2009 et Rafael Nadal cette année, Soderling, 26 ans, devient le premier Suédois à s'imposer à Bercy depuis Thomas Enqvist en 1996 et le premier à remporter un Masters 100O depuis le même Enqvist à Cincinnati il y a dix ans.
Il a vécu une semaine incroyable à Paris où il a notamment sauvé trois balles de match face à Michaël Llodra samedi en demi-finales. Gilles Simon, Stanislas Wawrinka et Andy Roddick ont été les autres victimes de Soderling qui ravira lundi la place de N.4 mondial à Andy Murray, son meilleur classement.
Monfils a lui aussi vécu une semaine complètement folle avant de s'arrêter, comme l'année dernière, en finale. Le Parisien a défendu la bagatelle de sept balles de matches, deux en huitièmes face à Fernando Verdasco, et cinq samedi contre Roger Federer, battant également Murray en quarts.
Mais il a calé en finale face à un adversaire qui ne lui convient pas et qui l'avait déjà battu 6-3, 6-2 la semaine dernière à Valence. Usé par ses exploits à répétition, le Français, 14e mondial, a également semblé manquer de jus et de ressort pour contrer l'énorme force de frappe du Suédois, notamment au service.
Il a été balayé dans la première manche où Soderling, en plus de servir le plomb, a dominé Monfils en puissance du fond du court. Moins percutant au service au deuxième set, le Suédois a continué à se régaler du fond du court avec des coups de fusil à hauteur de hanche.
Acculé en défense, Monfils n'a jamais réussi à trouver les trajectoires propres à sortir Soderling de son rythme et a fini par craquer logiquement dans le tie-break, sans avoir eu la moindre balle de break du match.
SKI ALPIN
Riesch assure, Schild en profite
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Marlies Schild a remporté le 22e?succès de sa carrière en slalom
Largement en tête après la première manche, Maria Riesch a pris trop de précautions dans la seconde. Marlies Schild n'en demandait pas tant
le 14 novembre 2010, 00h28
Le Matin Dimanche
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Maria Riesch a péché par trop de précautions lors du slalom de Coupe du monde de Levi (Fin). Largement en tête de la première manche, l'Allemande a dilapidé toute son avance au cours de son second passage, se faisant souffler la victoire par Marlies Schild pour trois centièmes.
Distancée de 0''81 le matin, l'Autrichienne n'en demandait pas tant pour fêter le 22e succès de sa carrière en slalom. Un total qui lui permet de devenir l'unique No 2 dans l'histoire de la discipline, désormais devant Erika Hess (21 victoires) mais toujours derrière Vreni Schneider (34).
«J'avais déjà connu de très bons moments ici en gagnant en 2006. L'an dernier, revenant de blessure, j'avais terminé 6e. Alors, oui, j'aime Levi», a reconnu la fiancée de Benjamin Raich. «En première manche, j'étais nerveuse. A l'issue de la seconde, je pensais être sur le podium mais non pas gagner car Maria (Riesch) avait beaucoup d'avance», a-t-elle ajouté.
Quant à Maria Riesch, son sourire forcé dans l'aire d'arrivée en disait long sur son amertume d'avoir laissé filer un succès qui lui était promis.
La revanche entre les deux meilleures slalomeuses des quatre dernières saisons (globes 2009 et 2010 pour Riesch, 2007 et 2008 pour Schild) promet déjà des étincelles, le 28 novembre à Aspen (EU). Feierabend sauve l'honneur.
BOXE
Turelli champion de Suisse
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Image © Sebastien Feval
Au terme d’une combat dur et d’une formidable intensité, le Montreusien s’est emparé de la ceinture de champion de Suisse des super-welters
le 14 novembre 2010, 09h18
LeMatin.ch
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Hier au soir, au Casino de Montreux, le Vaudois Flavio Turelli, 35 ans, est devenu champion de Suisse des superwelters en battant aux points - à l’unanimité des trois juges - le Tessinois d’origine albanaise Disarjot Gashi. La rencontre a été d’une intensité et d’une violence inouïe. Jusqu’à hier, Gashi en 9, combats n’avait pas encore connu la défaite (8 victoires dont 7 par k.o.).
«Je ne sais pas si je vais poursuivre ma carrière», dit Flavio Turelli à la fin du combat.» «La boxe demande énormément de sacrifices.» Disarjot Gashi, lui, a quitté Montreux amer, sûr d’avoir remporté le combat. Le verdict est pourtant logique, le Vaudois s’étant montré plus précis dans les coups.
Nan mais Ferrari:fou::fou:. Comment perdre un titre tout fait: demander aux "stratèges" chez les italiens. Depuis que Todt n'est plus là c'est d'un ridicule, ils ont voulu prendre que des italiens on voit le résultat.:bad::bad:
Mais sinon GP nul nul nul, circuit complètement pourri, pas de dépassement possible, pas de bacs à graviers, les pilotes peuvent faire des erreurs c'est pas grave derrière il y a des dégagements de 50 mètres:bad::bad:.
Enfin le titre est mérité sur l'ensemble de la saison pour Vettel, il a quand même eu 10 pôles, même s'il n'a été en tête qu'une seule fois de la saison, après ce GP:fou:. Dommage pour Webber, j'aurais bien aimé le voir champion, mais Alonso doit avoir des envies de meurtres ce soir.:)
Nan mais Ferrari:fou::fou:. Comment perdre un titre tout fait: demander aux "stratèges" chez les italiens. Depuis que Todt n'est plus là c'est d'un ridicule, ils ont voulu prendre que des italiens on voit le résultat.:bad::bad:
Mais sinon GP nul nul nul, circuit complètement pourri, pas de dépassement possible, pas de bacs à graviers, les pilotes peuvent faire des erreurs c'est pas grave derrière il y a des dégagements de 50 mètres:bad::bad:.
Enfin le titre est mérité sur l'ensemble de la saison pour Vettel, il a quand même eu 10 pôles, même s'il n'a été en tête qu'une seule fois de la saison, après ce GP:fou:. Dommage pour Webber, j'aurais bien aimé le voir champion, mais Alonso doit avoir des envies de meurtres ce soir.:)
;)Perso je pense que son titre et mérité....Ce n'est que mon avis Danlos
Ah moi je trouve ce tracé complétemnt pourri aussi ! Il ne s'est rien passé comme l'an dernier !
J'ai eu peur pour Schumi au début, la Force India n'est pas passé loin de sa tête !
Le titre est complètement mérité pour Vettel, même en faisant plein d'erreurs il est champion, c'est dire son talent ! Un peu déçu de Webber, je suis content qu'Alonso ne soit pas titré car c'ets aujourd'hui la victoire de l'équité sportive (Red Bull) sur la stratègie et les ordres (Ferrari) ! :)
Ah moi je trouve ce tracé complétemnt pourri aussi ! Il ne s'est rien passé comme l'an dernier !
J'ai eu peur pour Schumi au début, la Force India n'est pas passé loin de sa tête !
Le titre est complètement mérité pour Vettel, même en faisant plein d'erreurs il est champion, c'est dire son talent ! Un peu déçu de Webber, je suis content qu'Alonso ne soit pas titré car c'ets aujourd'hui la victoire de l'équité sportive (Red Bull) sur la stratègie et les ordres (Ferrari) ! :)c'est sur que c'est une victoire contre la stratégie de Ferrari
:):)
Après il a fait plein d'erreurs c'est vrai mais depuis le premier GP il est toujours en bagarre pour le podium. Après c'est rvai qu'il a fait beaucoup d"erreur pour un champion du monde, il aurait du remporter le titre depuis longtemps.
Et je ne le supporte pas quand il sort de la voiture avec son index, que quelqu'un lui coupe le doigt et je serais heureux:)
tennis
Söderling frappe fort
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/100194061.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/100194061.JPG)
Image © Keystone
Le puissant Suédois s’est imposé en finale face Gaël Monfils (6-1 7-6).
le 14 novembre 2010, 23h23
LeMatin.ch & les agences
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Masters 1000 Paris-Bercy
Robin Söderling a remporté son premier tournoi de Paris-Bercy en battant le Français Gaël Monfils en deux sets 6-1 7-6 (7/1) hier en finale.
C’est le sixième titre pour le No 5 mondial, mais le premier dans un Masters 1000. Söderling, 26 ans, devient le premier Suédois à s’imposer à Bercy depuis Thomas Enqvist en 1996 et le premier à remporter un Masters 1000 depuis le même Enqvist à Cincinnati il y a dix ans.
Il a vécu une semaine incroyable à Paris où il a notamment sauvé trois balles de match face à Michaël Llodra samedi en demi-finales. Gilles Simon, Stanislas Wawrinka et Andy Roddick ont été les autres victimes de Söderling qui ravira aujourd’hui la place de No 4 mondial à Andy Murray, son meilleur classement.
«Très heureux» d’avoir gagné, il a également félicité son adversaire. «Je sais que c’est difficile de perdre deux finales de suite dans cette ville mais Monfils a joué un tennis incroyable cette semaine. Il a battu Roger (Federer) hier et ça aussi je sais à quel point c’est difficile.»
Monfils a effectivement vécu une semaine complètement folle avant de s’arrêter, comme l’année dernière, en finale. Le Parisien a défendu un total de sept balles de matches, deux en huitièmes face à Verdasco, et cinq samedi contre Federer, battant Murray en quarts.
Mais il a calé en finale face à un adversaire qui ne lui convient pas et qui l’avait déjà battu 6-3 6-2 la semaine dernière à Valence. Usé par ses exploits à répétition, le Français, 14e mondial, a semblé manquer de jus et de ressort pour contrer l’énorme force de frappe du Suédois, notamment au service.
Coups de fusil
Il a été balayé dans la première manche, où Söderling, en plus de servir le plomb, a dominé Monfils en puissance du fond du court. Moins percutant au service au deuxième set, le Suédois a continué à se régaler du fond du court avec des coups de fusil à hauteur de hanche.
Acculé en défense, Monfils n’a jamais réussi à trouver les trajectoires propres à sortir Söderling de son rythme et a fini par craquer logiquement dans le tie-break, sans avoir eu la moindre balle de break du match.
«J’ai vécu une semaine pleine d’émotions, a-t-il déclaré. J’ai beaucoup appris, j’ai été au bout de moi-même, je suis très, très déçu d’être passé encore si près et d’avoir perdu aussi facilement cette finale. Mais, jamais deux sans trois, j’espère être de nouveau en finale l’année prochaine.»
L'AC Milan enfonce l'Inter dans le derby milanais
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© afp
L'AC Milan a gagné dimanche le derby contre une Inter qui n'avance plus (1-0) pour conserver la première place du championnat d'Italie devant la Lazio, relancée par sa victoire sur Naples (2-0), et avec une petite marge sur la Juventus Turin et l'AS Rome, dos à dos samedi (1-1).
La 12e journée, celle du triple affrontement direct entre les six premiers, a confirmé les tendances de l'automne. Le Milan devient peu à peu favori pour le titre. Il a logiquement battu une pâle Inter, grâce à un penalty de Zlatan Ibrahimovic (5), consécutif à une faute de Marco Materazzi sur l'attaquant suédois. Pour l'Inter, c'est la tendance à la baisse qui se confirme, après trois nuls en Serie A et la leçon reçue à Tottenham, en Ligue des champions.
La Lazio Rome elle a tendu à montrer qu'il faudrait compter avec elle toute la saison, après un trou noir de deux défaites. Face à Naples, qui reste 3e, elle a très bien joué (2-0). Dimanche après-midi, deux joueurs ont réalisé un triplé: Javier Pastore (Palerme) et Antonio Di Natale (Udinese).
Celui du prodige argentin permet à Palerme de remonter à la 7e place en battant Catane (3-1) dans un derby de Sicile pacifié, où les supporteurs adverses étaient de nouveaux admis, après les violences de février 2007 à Catane qui avaient entraîné la mort d'un policier. L'Udinese elle a écrasé Lecce (4-0) grâce au meilleur buteur de Serie A de la saison dernière et talonne les Rose de Palerme (8e). (belga/mb)
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FORMULE 1
VIDÉO Le grand huit Ferrari
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/alons_grand_8.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/alons_grand_8.JPG)
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Lors du grand prix F1 d'Abu Dhabi, finale du championnat 2010, les pilotes Ferrari (Felipe Massa et Fernando Alonso) ont essayé le grand huit du Ferrari World... Le plus rapide du monde!
le 15 novembre 2010, 15h35
LeMatin.ch
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On a beau être pilote de F1, on fait pas trop le fier dans un manège... n'est-ce pas Fernando?
http://fr.evilox.com/videos/fernando-alonso-et-felipe-massa-grand-essayent-grand-huit-ferrari-world-abu-dhabi
TENNIS
ATP: Söderling dépasse Murray
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/141634_119_1bcce370.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/141634_119_1bcce370.jpg)
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Robin Söderlin
Au lendemain de sa victoire en finale du Masters 1000 de Paris-Bercy, Robin Söderling accède à la 4e place mondiale. Il dépasse le Britannique Andy Murray et talonne désormais le Serbe Novak Djokovic. En tête, Rafael Nadal garde une avance confortable sur Roger Federer.
le 15 novembre 2010, 15h24
LeMatin.ch & les agences
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ATP. Le classement au 15 octobre:
1. (semaine précédente: 1.) Rafael Nadal (Esp) 11 450 (semaine précédente: 11 810). 2. (2.) Roger Federer (S) 7645 (7695). 3. (3.) Novak Djokovic (Ser) 5635 (6945). 4. (5.) Robin Söderling (Su) 5380 (4960). 5. (4.) Andy Murray (GB) 5360 (5670). 6. (6.) Tomas Berdych (Tch) 3755. 7. (7.) David Ferrer (Esp) 3735. 8. (8.) Andy Roddick (EU) 3665. 9. (9.) Fernando Verdasco (Esp) 3240. 10. (10.) Mikhail Youzhny (Rus) 2920.
11. (12.) Jürgen Melzer (Aut) 2785. 12. (14.) Gaël Monfils (Fr) 2485. 13. (13.) Jo-Wilfried Tsonga (Fr) 2345. 14. (15.) Marin Cilic (Cro) 2300. 15. (16.) Nicolas Almagro (Esp) 2160. 16. (18.) Mardy Fish (EU) 1991. 17. (17.) Ivan Ljubicic (Cro) 1965. 18. (20.) Sam Querry (EU) 1860. 19. (19.) John Isner (EU) 1850. 20. (21.) Marcos Baghdatis (Chy) 1785. 21. (22.) Stanislas Wawrinka (S) 1675. Puis: 118. (118.) Marco Chiudinelli 485. 120. (123.) Stéphane Bohli 460. 260. (261.) Michael Lammer 180.
ATHLéTISME
Gebreselassie renonce à prendre sa retraite
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/haile-gebreselassie-son-sourire-legendaire.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/haile-gebreselassie-son-sourire-legendaire.jpg)
Image © DR
Haile Gebreselassie
Le champion éthiopien Haile Gebreselassie, qui avait annoncé sa retraite il y a huit jours après avoir abandonné sur blessure au marathon de New York, entend finalement poursuivre sa carrière.
le 15 novembre 2010, 11h49
LeMatin.ch & les agences
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Son sentiment intime, le soutien de ses fans et de son entourage le poussent à continuer.
«Samedi, Haile s’est rendu à Wollega (Ethiopie) où se disputait une course, et il a déclaré que tant qu’il aurait la santé, il continuerait à courir», a déclaré à Reuters par téléphone son entraîneur, Woldemeskel Kostre.
Selon la télévision éthiopienne, Gebreselassie a indiqué qu’il comptait continuer la compétition jusqu’aux Jeux olympiques de Londres en 2012.
Il avait déja annoncé son retrait en 2004 après n’avoir pu obtenir de médaille aux Jeux d’Athènes et était rapidement revenu sur sa décision.
A 37 ans, le recordman du monde du marathon et double champion olympique du 10 000 m est considéré comme le plus grand athlète de tous les temps sur les courses de fond, en ayant battu pas moins de 27 records du monde.
«Tant qu’il a l’envie et la volonté de courir, il peut continuer jusqu’à 45 ans», a encore dit Kostre. «Les gens ici en Ethiopie l’ont supplié de poursuivre.»
Reste à savoir comment réagira à terme le corps de «Gebre». Une inflammation à un genou l’avait forcé à abandonner au marathon de New York, et du liquide avait dû être extrait de son articulation. Dans le même temps, les «jeunes loups» du marathon ne cessent de s’affirmer.
Son manager néerlandais Jos Hermens se rend cette semaine en Ethiopie pour discuter avec Gebreselassie. La semaine passée, le champion éthiopien avait déjà nuancé ses propos sur sa retraite en répétant qu’il «aimait toujours courir» et qu’il devait «encore réfléchir».
"Le Ballon d'Or se jouera entre Xavi et Iniesta"
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© afp
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© epa
Les noms "de Xavi et Iniesta circulent beaucoup" au sujet du Ballon d'Or, a commenté Lionel Messi, ajoutant que ses 2 équipiers au Barça le "méritaient", peut-on lire sur le site de la FIFA lundi.
Messi: "Deux grands joueurs"A la question Vos coéquipiers espagnols sont-ils favoris pour remporter le Ballon d'Or 2010?, Messi répond: "Il est certain que la dernière Coupe du monde pèsera lourd dans la décision finale. De ce point de vue, ils sont avantagés".
"Si ce n'est pas moi qui gagne le Ballon d'Or, alors j'espère que ce sera un de mes coéquipiers du Barça, poursuit l'Argentin. Les noms de Xavi et Iniesta circulent beaucoup. C'est normal. Ce sont 2 très grands joueurs et 2 personnes merveilleuses. Ils le méritent."
"Guardiola le meilleur"
Interrogé pour savoir à qui il donnerait le trophée du meilleur entraîneur, Messi explique qu'il resterait "fidèle à (ses) couleurs": "Je le donnerais à Pep Guardiola, non seulement parce que c'est un entraîneur qui gagne, mais aussi pour sa philosophie de jeu. Son arrivée au Barça a été le début d'une période fantastique".
"Ensuite, je n'oublie évidemment pas José Mourinho, explique Messi. Après son triplé avec l'Inter, il a commencé à donner un nouveau visage au Real. Mais comme je le disais, la Coupe du monde aura une importance décisive dans l'attribution du trophée. C'est pourquoi je pense que Vicente del Bosque ou Joachim Löw peuvent y prétendre.".
Le Ballon d'Or sera remis le 10 janvier
;)Je vote Iniesta
Zahia s'est trompée de Karim
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© photo news
La confrontation entre Zahia Dehar, Karim Benzema et Camélia (l'alibi de l'attaquant du Real Madrid) a été organisée. Avec quelques surprises à la clé...
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Le juge en charge de "l'affaire Zahia" a réuni "la prostituée des Bleus", Karim Benzema et Camélia le 4 novembre dernier. Si cette dernière, une ex-de l'attaquant du Real Madrid, affirme la présence de Zahia la nuit où ils ont couché ensemble, elle assure aussi que Zahia n'aurait pas couché avec Karim Benzema.
L'agent de Benzema s'appelle aussi Karim
"Elle a cité un Karim mais voilà, ce n'est pas le bon", a lâché Camélia au juge d'instruction selon France-Soir. Le "vrai" Karim serait Karim Djaziri, l'agente de Karim Benzema.
Elle s'est trompée d"hôtel
Camélia s'est également trompée d'hôtel face aux enquêteurs. Elle a cité le Mercure alors que les faits se sont déroulés au Méridien. "Je savais qu'il y avait un M dans le nom."
Toujours avec son bloc-notes
Camélia, face à la brigade de répression de proxénétisme, ne s'est jamais séparée de son bloc-notes. "J'ai rédigé les détails pour moi, pour me remémorer ces faits qui datent de deux ans", a-t-elle précisé. (chds)
Tant d'histoir pour nana:D
Les boires et les déboires de Paul Gascoigne
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La situation s'empire pour Paul Gascoigne (source: The Sun).
Rien ne va plus pour Paul Gascoigne ! L'ancienne vedette du football anglais, accro à l'alcool (NDLR: c'était déjà le cas quand il était footballeur pro), fait les choux gras de la presse britannique avec ses boires et ses déboires.
La descente aux enfers continue
Comme le prouve cette photo prise par The Sun, Paul Gascoigne n'est toujours pas guéri. En pleine autoroute anglaise à bord d'une MG, l'ex-joueur de Newcastle, Tottenham et la Lazio notamment a vomi.
;)Dommage il avait tout dans les pieds.....:)
"Si Alonso n'a pas gagné, ce n'est pas de sa faute"
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L'écurie Ferrari battait sa coulpe après son échec dans la course au titre de champion du monde pilote pour Fernando Alonso, le président Luca di Montezemolo assurant que "ce n'est pas de la faute de Fernando Alonso".
"Si Fernando Alonso Alonso n'a pas gagné, ce n'est pas de sa faute", a dit M. Montezemolo. "Je suis fier de Ferrari, nous avons perdu à la dernière course et pour peu de points (4). Nous étions peut-être convaincus de ne pas perdre, et ça fait encore plus mal..."
"Alonso extraordinaire"
"A un moment de la saison, aucun de vous ne s'attendait à ce que nous disputions le titre mondial jusqu'à la dernière course", a-t-il ajouté.
"Fernando a fait une saison extraordinaire, il a été magnifique, les gars ont fait une saison parfaite. Nous finissions la tête haute", a encore dit M. Montezemolo avant de lâcher: "J'attendais plus cette saison de Felipe (Massa, le second pilote), mais je suis sûr qu'il se rachètera".
"Les analyses au calme"
Andrea Stella, ingénieur de piste de Ferrari, a admis ses responsabilités au micro de Rai Sport: "Fernando méritait un meilleur soutien, il a conduit comme un grand pilote toute la saison. Nous n'avons pas répondu de la bonne manière" à l'arrêt au stand de l'autre Red Bull, celle de Mark Webber.
Le directeur sportif de l'écurie Ferrari, Stefano Domenicali, a parlé d'"une déception, bravo à celui qui a gagné. Les analyses, nous les ferons au calme, mais nous savons ce qui s'est passé"
Rallye - WRC - GBR
Loeb : «A la limite»
Vainqueur dimanche au pays de Galles, Sébastien Loeb avoue avoir pris de sacrés risques pour conclure en beauté la saison 2010. Il se tourne désormais vers 2011, un nouveau défi avec une nouvelle voiture.
Sébastien Loeb n'a pas fait ce qu'il a dit ce week-end en Grande-Bretagne. Avant le départ du rallye, il avait annoncé qu'il ne prendrait pas de risques inconsidérés pour s'imposer. Mais poussé par la vista de Petter Solberg, l'Alsacien a dû s'employer pour aller chercher les quelques secondes nécessaires à sa huitième victoire (sur 13 épreuves) de la saison.
«Je suis très heureux et très fier car ça a été une lutte difficile, très rapide et très impressionnante, a commenté le septuple champion du monde. Petter a attaqué très fort et je savais qu'il n'abandonnerait pas, j'ai donc attaqué jusqu'à la limite. J'ai eu quelques moments chauds mais nous devions prendre ces risques et je voulais réellement faire de mon mieux pour gagner, particulièrement ici pour la dernière course avec la C4. C'est quelque chose que je voulais vraiment faire et je l'ai réalisé. J'ai tant de souvenirs avec cette voiture. J'admire Petter derrière le volant, mais je l'admire aussi pour ce qu'il a fait avec son équipe et pour sa motivation à construire sa propre équipe. J'espère qu'il sera avec nous (l'année prochaine en WRC).»
«Beaucoup de choses à apprendre»
Après quatre années de très bons et loyaux services, la C4 a tiré sa révérence dimanche, et c'est désormais au volant d'une DS3 WRC que Loeb va piloter sur les routes du monde entier. «J'attends ça avec impatience, a-t-il confirmé. Je suis heureux de terminer par une victoire avec la C4, c'est désormais un nouveau défi et j'en suis heureux. Nous démarrons avec une nouvelle voiture, de nouvelles règles, et un nouveau style de conduite. Nous avons beaucoup de choses à apprendre et à améliorer. Il est certain que ça représente beaucoup de travail mais j'espère que c'est en bonne voie pour le Championnat. C'est une bonne voiture à piloter et nous devons nous battre un peu plus avec ça.»
Stoner27
16/11/2010, 06h58
Nan mais Ferrari:fou::fou:. Comment perdre un titre tout fait: demander aux "stratèges" chez les italiens. Depuis que Todt n'est plus là c'est d'un ridicule, ils ont voulu prendre que des italiens on voit le résultat.:bad::bad:
Mais sinon GP nul nul nul, circuit complètement pourri, pas de dépassement possible, pas de bacs à graviers, les pilotes peuvent faire des erreurs c'est pas grave derrière il y a des dégagements de 50 mètres:bad::bad:.
Enfin le titre est mérité sur l'ensemble de la saison pour Vettel, il a quand même eu 10 pôles, même s'il n'a été en tête qu'une seule fois de la saison, après ce GP:fou:. Dommage pour Webber, j'aurais bien aimé le voir champion, mais Alonso doit avoir des envies de meurtres ce soir.:)
clair que le circuit est pourri et le pire c'est qu'ils veulent y faire venir le MGP.
Enfin moi je suis ravi qu'Alonzo et Ferrari perdent le titre. Lepire c'est qu'il rale encore sur Petrov en fin de GP, minable!:bad:
automobilisme
L’irrésistible ascension
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Le GP d’Abu Dhabi a sacré Sebastian Vettel, un pilote au talent exceptionnel, mais aussi un travailleur acharné et un homme respectueux de son équipe. Un grand champion est né.
Luc Domenjoz - le 15 novembre 2010, 23h10
Le Matin
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Formule 1
Le titre de plus jeune champion du monde de l’histoire en dit long sur son talent, tandis que les dix pole positions décrochées cette année parlent d’elles-mêmes de son pilotage exceptionnel.
Talentueux, exceptionnel, Sebastian Vettel l’est sans aucun doute. Mais ceux qui le côtoient affirment qu’il est pétri de bien d’autres qualités encore parmi celles qui distinguent les grands champions des autres pilotes.
Son triomphe de dimanche vient pourtant couronner une carrière où tout n’a pas été simple. Né d’un père modeste charpentier à Heppenheim, entre Heidelberg et Francfort, le petit Sebastian reçoit un jour un kart pour Noël. Il dispute alors ses premières courses à l’âge de 8 ans, au moment où la schumimania commence à faire vibrer l’Allemagne.
Débuts difficiles
Au début, les moments difficiles se succèdent. Car chaque fois qu’il franchit un échelon dans la hiérarchie du sport automobile, le scénario est le même, Sebastian souffre avant de dompter les formules qu’il traverse. Son heure de gloire vient en formule BMW, ses premières monoplaces après sept ans de karting. Deuxième dès sa première saison, il se révèle éblouissant l’année suivante, en 2004, lorsqu’il empoche 388 points sur les 400 possibles.
Passé en formule 3, ses difficultés reprennent, il ne se classe que 6e. La saison suivante, il se retrouve dans la meilleure voiture du championnat, sans le remporter. A sa décharge, Red Bull, son employeur, l’épuise en l’alignant à la fois en formule 3 et en World Series, tout tenant le rôle de pilote essayeur en F1 chez BMW-Sauber.
En 2007, il débute en grand prix, aux Etats-Unis, en remplacement de Robert Kubica accidenté au Canada. Il termine huitième et devient le plus jeune pilote à marquer un point en F1, à 19 ans, 11 mois et 14 jours.
Les regrets de Sauber
Pourtant, les dirigeants de l’écurie BMW-Sauber ne sont pas convaincus par ses performances. Une nouvelle fois, Vettel a besoin de temps pour s’adapter à son nouveau milieu. L’équipe germano-suisse le relâche, et il termine sa saison chez Toro Rosso. Aujourd’hui encore, Peter Sauber s’en mord les doigts: «Laisser partir Sebastian a sans doute été la plus grosse erreur de ma carrière», admet-il.
Chez Toro Rosso, le nouveau venu peine une fois de plus à creuser son trou, jusqu’à Monza, où il remporte le GP d’Italie sous la pluie pour devenir le plus jeune vainqueur de la F1, à 21 ans, 2 mois et 12 jours.
Passé chez Red Bull, il ne tarde pas à prendre la mesure de Mark Webber, pourtant nettement plus expérimenté que lui. Cette année, l’Australien a été battu 12 fois par l’Allemand en qualification. Pour se sentir en confiance, pour donner le meilleur de lui-même, Vettel doit tout savoir, tout comprendre. «C’est un travailleur, reconnaît le Français Guillaume Rocquelin, son ingénieur chez Red Bull. Pendant les courses, il passe ses soirées avec nous, dans le camion, à étudier ses données de télémétrie, à comparer les chronos… A 22 heures, on est souvent obligés de lui dire d’aller se coucher…»
Sebastian Vettel sait qu’un pilote ne peut gagner seul, et il en a développé l’art de fédérer son équipe. Chez Toro Rosso, il a commencé par apprendre l’italien.... «Il passe beaucoup de temps avec nous, poursuit Rocquelin, il connaît tous ses mécaniciens, ce n’est pas fréquent chez les pilotes… »
A 23 ans, 4 mois et 11 jours, il est déjà champion du monde. Perfectionniste, il sait pourtant qu’il lui manque encore un peu d’expérience pour mieux régler sa voiture. Ce qui lui permettra sans doute de disputer bien d’autres titres mondiaux.
Equipe de Suisse
VIDÉO Alex Frei botte le "Blick" en touche
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Image © DR
Alex Frei déplace le micro du "Blick" devant les représentants des médias.
En vedette d'un point presse en marge du match Suisse-Ukraine de demain au Stade de Genève, Alex Frei a d'abord écarté le micro du "Blick" de la table de conférence avant de foudroyer du regard la journaliste du journal populaire zurichois. Rancunier, Sir Alex?
le 16 novembre 2010, 15h18
LeMatin.ch
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Alex Frei est apparu souriant et détendu ce matin au Stade de Genève, à l'occasion d'une conférence de presse en marge du match amical Suisse-Ukraine de demain. Oubliés les sifflets du public et les critiques des médias lors de ces dernières sorties? Pas sûr... Tout en plaisantant avec un membre du staff, l'attaquant controversé de l'équipe de Suisse a écarté le micro du "Blick" qui se trouvait devant lui, sur la table de conférence.
Une attaque ciblée contre le journal populaire zurichois, qui ne s'était pas montré très tendre avec le capitaine de la Nati, le poussant à plusieurs reprises vers la sortie. Rancunier Alex? Son regard noir lancé en direction de la journaliste du "Blick" venu remettre le micro en place en dis plus que n'importe quel mot.
http://www.lematin.ch/sports/football/video-alex-frei-botte-blick-touche-349567
:amoureux:Bien joué Frei............
TENNIS
Masters ATP à Londres: Federer se mesurera à Söderling, Murray et Ferrer
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Image © KEYSTONE-a
Roger Federer connaît depuis aujourd'hui les adversaires qu'il affrontera dans la poule initiale du Masters.
Roger Federer devra batailler avec Robin Söderling, Andy Murray et David Ferrer au Masters ATP qui débutera dimanche à Londres. Les deux premiers du groupe iront en demi-finale.
le 16 novembre 2010, 14h45
LeMatin.ch & les agences
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L'autre groupe réunira Rafael Nadal, Novak Djokovic, Tomas Berdych et Andy Roddick. La finale aura lieu le dimanche 28 novembre.
Présent chaque année au Masters depuis 2002, Federer s'est toujours qualifié pour les demi-finales à l'exception de 2008. Une défaite contre Andy Murray lui avait alors été fatale. Face à l'Ecossais qu'il retrouvera donc sur sa route à Londres, il affiche un bilan négatif de 5 victoires pour 8 défaites. Ses statistiques sont en revanche presque parfaites face à Söderling (14 victoires/1 défaite) et Ferrer (10/0), contre qui il débutera le tournoi dimanche à 21h.
Curiosité rare, les deux finalistes de l'an dernier ne sont pas présents dans la capitale britannique, leur campagne 2010 ayant été bien moins fructueuse que la précédente. Nikolay Davydenko, vainqueur 2009, ne pointe qu'au 22e rang à l'ATP alors que Juan Martin Del Potro n'a quasiment pas joué cette année en raison de blessures.
FOOTBALL
Frei: «Je ne suis pas une machine»
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Image © Michel Perret
Atteint par les sifflets qui ont accompagné sa sortie voici cinq semaines, le capitaine brise le silence. Il évoque sa condition de futur retraité tout en laissant la porte ouverte.
Propos recueillis par Nicolas Jacquier - le 16 novembre 2010, 22h23
Le Matin
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EQUIPE DE SUISSE
GENÈVE
Depuis le match et les sifflets du 12 octobre contre le Pays de Galles, Alex Frei ne s’était encore jamais exprimé, hormis par le biais d’un communiqué, tombé le 4 novembre, dans lequel le capitaine y annonçait sa future retraite de l’équipe nationale pour le terme de la saison, soit au milieu de la campagne de qualification pour l’Euro 2012. Hier, Frei a retrouvé la parole pour un match verbal de 27 minutes face aux médias, en attendant de s’exprimer ce soir balle au pied contre l’Ukraine, peut-être pour un 41e but attendu depuis 434 jours. Apparu d’abord tendu, terriblement crispé, le footballeur allait se dérider au fil de la discussion au point de laisser percer ses émotions d’homme.
Alex Frei, quel est votre état d’esprit après avoir dit «stop, j’arrête»? Libéré?
Cette question de savoir quand arrêter me hantait depuis un moment. Jusqu’où voulais-je continuer, voilà ce que je me suis demandé. J’ai écouté mes amis, ma famille, mes coéquipiers aussi, tant à Bâle qu’en équipe de Suisse. J’ai aussi analysé la situation avec moi-même. Au départ, je voulais arrêter tout de suite. Mais avec le recul, je me suis dit que je pouvais encore aider cette équipe, l’amener sur le bon chemin.
Mais pourquoi arrêter au milieu d’une campagne de qualification pour une compétition continentale?
Ça, c’est mon choix, il faut le respecter.
Est-ce une décision définitive ou deux victoires au printemps pourraient-elles vous faire changer d’avis et revenir en arrière?
Mon plan, c’est de rester à disposition. S’il y a des blessés, un, deux ou trois comme aujourd’hui, je viendrai aider pour dépanner. Si tout le monde est là, j’arrêterai pour de bon. A un moment donné, il faut savoir se regarder dans un miroir et voir la réalité.
Dans ce compte à rebours jusqu’en juin 2011, il vous reste théoriquement quatre matches avec la Suisse, dont celui d’aujourd’hui, coïncidant avec votre dernière apparition sur le sol helvétique…
A moi de profiter de ces instants-là. En décembre, je subirai une arthroscopie au pied qui me fait souffrir. Depuis ma blessure à la cheville droite survenue à Zurich, le jour même du départ pour la Coupe du monde en Afrique du Sud, je joue avec des médicaments. Ce n’est pas évident à gérer. Après chaque match, j’ai mal.
Dans quelle mesure ce qui s’est passé à Bâle le 12 octobre a-t-il influencé votre décision?
Ça m’a touché, forcément. Les sifflets m’ont atteint. Je ne suis pas une machine. Même si je peux comprendre la déception des gens. Je suis d’ailleurs le premier à admettre que mes performances ne sont pas à la hauteur de ce que l’on attend de moi. Je suis celui qui se demande le plus le pourquoi du comment, au point de ne plus dormir et de perdre le sommeil.
S’il n’y avait pas eu ces sifflets, auriez-vous pris la même décision?
Disons que cela a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
Dans quelle mesure le fait de n’avoir plus marqué avec la Suisse depuis le 9 septembre 2009 en Lettonie vous obsède-t-il?
Cela me travaille. Je me fais du souci pour moi-même. Il faut aussi voir les ballons que je reçois… quand j’en ai. Pourquoi n’y arrivais-je plus? A quoi cela tient-il? Pourquoi ce satané ballon ne veut-il pas entrer comme au Monténégro? Plus j’y pense, moins j’ai de réussite, semble-t-il. Donc… n’y pensons plus!
Genève, c’est la ville, le club qui vous a lancé au niveau international…
Je n’ai pas oublié tout ce que je dois à Servette. Je garde des souvenirs extraordinaires de ce que j’ai vécu ici. Chaque fois que je passe en voiture devant les anciennes Charmilles, je suis habité par la nostalgie. Du reste, j’aurais souhaité rester au Servette, mais j’avais dû partir en raison des problèmes financiers du club.
Redoutez-vous l’accueil que le public genevois vous réservera, de devoir peut-être faire face à de nouveaux sifflets?
Pas vraiment. Le public vient pour encourager l’équipe et non pour siffler son capitaine. De toute manière, je dois passer par-dessus tout ça.
Ne payez-vous pas aussi le fait d’être revenu jouer en Suisse, à Bâle? Vous ne subissiez pas le même traitement lorsque vous jouiez à l’étranger.
Avec Bâle, il n’y a pas qu’Alex Frei qui soit sifflé. On l’est tous quand on joue en Suisse. Quand vous êtes au Bayern, vous avez droit au même traitement partout en Allemagne. Seules les distances diffèrent. En Suisse, c’est 20 km, en Allemagne, c’est 800 km!
Dans trois jours, vous serez de nouveau à la Praille, avec Bâle cette fois. Pensez-vous être aligné contre Servette en Coupe?
Comme on n’est pas terribles ces temps-ci, je pense. On doit retrouver ce qui nous manque. Et comme Servette est plutôt une équipe de Super League que de Challenge League…
L’Ukraine éveille forcément de mauvais souvenirs, avec cette série de tirs au but mal négociée en huitième de finale du Mondial 2006, de surcroît sans vous…
Mais qu’est-ce que j’y peux, moi, si l’on m’a sorti à la 117e Comme si c’est moi qui avais ordonné le changement. Il y a des entraîneurs pour cela. Depuis ce 26 juin, il y a des tonnes de penalties qui ont été tirés. En 2006, on aurait dû faire la différence avant.
Et ce soir, en cas de penalty, irez-vous le tirer?
Je suis désigné par Hitzfeld pour le tirer au cas où. Normalement, c’est donc moi qui m’en chargerai. Maintenant, il faudra voir. Si c’est moi qui le provoque, peut-être serait-il mieux que je m’abstienne car ce n’est pas un bon signe.
De tous vos buts, quel est celui qui vous revient le plus souvent à l’esprit?
Je ne tiens pas une comptabilité où je les verrai défiler. Difficile d’en sortir un. J’ai marqué des buts qui n’ont eu aucune importance, d’autres qui ont compté, des jolis, des pas beaux du tout, etc.
Votre record de 40 buts sera-t-il battu un jour?
Peut-être. De jeunes attaquants arrivent. Moi-même j’entraîne une fois par semaine les espoirs à Bâle. Peut-être y a-t-il un nouvel Alex parmi les M16.
Et vous Alex Frei, qu’allez-vous devenir après le football?
Pour l’heure, j’apprends les rudiments du métier d’entraîneur, je prends des notes.
Et bifurquer vers le journalisme?
Peut-être serais-je pas mal comme attaché de presse! (Rires.)
;)Pas con le Frei.....:amoureux:
Govou sommé de s'expliquer sur une nouvelle nuit arrosée
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© photo news
Le Panathinaïkos a exigé mardi des explications écrites à Sidney Govou après une nouvelle sortie nocturne non autorisée de l'attaquant français samedi dernier, quelques heures seulement après le match nul (1-1) de son club face à Larissa en Championnat de Grèce.
Selon les médias grecs, Govou, déjà sanctionné à deux reprises de 25.000 euros d'amendes pour des faits identiques, aurait été vu à une heure tardive en état d'ébriété avancé.
En octobre et après un deuxième écart de conduite, le patron du club Nicholas Pateras aurait mis en garde le joueur et menacé de l'exclure de l'équipe en cas de récidive, selon le site sportif grec Sport.gr.
Toujours selon les médias grecs, le conseil d'administration du Pana envisagerait de mettre fin au contrat de Govou, transféré l'été dernier de Lyon en Grèce et lié au club de la capitale grecque pour deux saisons.
La carrière en France de Sidney Govou, 31 ans, avait déjà été marquée par des écarts de conduite. En décembre 2008, il avait interpellé pour conduite en état d'ébriété à Lyon, puis sanctionné par l'OL après une sortie nocturne en octobre 2009. Govou a également été entendu comme témoin par les enquêteurs dans la même affaire de proxénétisme que Franck Ribéry et Karim Benzema.
Les Bleus renoncent aux primes du Mondial
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© reuters
7S7 mise à jour Les 23 joueurs de l'équipe de France présents au Mondial 2010 ont accepté de renoncer aux primes de droit à l'image liées à leur participation à la compétition et aux matches de préparation de la Coupe du monde, a annoncé mardi lors d'une conférence de presse le président par intérim de la FFF Fernand Duchaussoy.
"Les joueurs confirment"
"De nombreuses informations imprécises et erronées ont été publiées concernant les primes de la Coupe du monde, a déclaré M. Duchaussoy. Hier soir (lundi), j'ai donc tenu à rencontrer les joueurs à Londres pour écarter définitivement tout malentendu. Les joueurs confirment l'engagement pris lors de la Coupe du monde de renoncer aux primes de quelle que nature que ce soit liées à la période des matches de préparation ainsi que la phase finale de la compétition en Afrique du Sud."
3 millions d'euros
"Les joueurs approuvent la démarche de la Fédération française de football, consistant à affecter ces primes, soit un montant global approximatif de de 3 millions d'euros au financement d'actions dans le football amateur", a ajouté M. Duchaussoy
Un défenseur de Monaco perd sa prothèse dentaire
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© afp
Petter Hansson, défenseur de l'AS Monaco, a eu un week-end particulièrement pénible. Le robuste Suédois a donné de sa personne dans le match contre Arles Avignon: c'est que le défenseur y a également laissé son dentier.
Après un duel aérien face au Sénégalais N'Diaye Déme, sa prothèse dentaire est tombée. Le joueur a donc du chercher sa dent perdue avant de pouvoir reprendre le match, qui s'est terminé sur le score de 0-0. (ca)
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Zoom (http://www.forum-motogp.com/images/2010/11/17/1153525_fb9f610c-f1d8-11df-9487-001517810df0.jpg)
MATCH AMICAL/ANGLETERRE - FRANCE.
Les Bleus misent sur l’attaque dans le temple du football
L’équipe de France se mesure ce soir à l’Angleterre dans le mythique stade de Wembley. Pour l’occasion, Blanc va tester une organisation de jeu très offensive.
DOMINIQUE SÉVÉRAC | 17.11.2010, 07h00
C’est un symbole, un retour aux sources et une métaphore de la nouvelle vie des Bleus. Devant leur faible vécu commun, qui s’élève au mieux à cinq matchs, se profile pour les hommes de Laurent Blanc (http://actualites.leparisien.fr/laurent+blanc.html) le mythique stade de Wembley peuplé de sa fière équipe nationale d’Angleterre. Wembley qui, malgré une reconstruction réussie sur le même site en 2007, est toujours considéré comme le temple du football (http://actualites.leparisien.fr/football.html).
C’est donc le théâtre idéal pour mettre en lumière le principal mérite du sélectionneur et de quelques-uns de ses affidés depuis le mois d’août : avoir remis le football au cœur de la sélection nationale.
Il s’agit une sorte d’exploit, cinq mois après un Mondial sportivement désastreux et l’image scandaleuse d’un groupe refusant de s’entraîner. Même la polémique sur les primes des joueurs n’aura pas suffi à détourner les amoureux de l’essentiel : ce soir, les Bleus vont disputer l’un des matchs les plus passionnants de ces derniers mois, dans un mélange d’excitation et de curiosité.
Blanc espère des révélations
On ne pensait pas si vite retrouver le grand frisson qui s’attache à ces rendez-vous prestigieux. Un double plaisir si l’on vit ce match comme un prélude à la réception du Brésil, le 9 février prochain. Au moins, on ne pourra plus critiquer les rendez-vous amicaux qui donnent aux Bleus deux adversaires classés parmi les dix meilleures sélections du monde par la Fédération (http://actualites.leparisien.fr/federation.html) internationale (Fifa).
L’excitation et la curiosité, donc. La première, on comprend. La curiosité, elle, naît des capacités encore un peu insondables des Tricolores. Que valent-ils vraiment? Même Laurent Blanc semble dans l’expectative. « Je me demande ce que peut donner l’équipe de France face à l’Angleterre, confie le sélectionneur. J’aimerais recevoir un signe fort de l’équipe, voir comment elle peut se tenir dans une telle ambiance. A travers le collectif, les performances individuelles seront analysées. J’espère que des gens confirmeront tout le bien qu’on pense d’eux et que d’autres pourront se révéler pour montrer à l’entraîneur qu’ils ont le niveau international. »
Il y a onze ans, Nicolas Anelka, auteur d’un magnifique doublé, s’était révélé à la face du monde. Ce soir, il a le droit de se trouver un héritier, avec seulement cette contrainte : éviter plus tard, la confiance venue, d’insulter son sélectionneur. Fin 2010, malgré les symboles et le retour aux sources, on en revient toujours un peu à cette Coupe du monde.
Vettel et Webber s'expliquent et évacuent les tensions
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/8/12/media_xl_3945402.jpg?20101116215217
Sebastian Vettel et Mark Webber se sont expliqués et ont dissipé les tensions existantes entre eux. C'est en tout cas ce que déclare le tout frais champion du monde de Formule 1. Selon Vettel, Webber et lui-même ont eu une bonne explication après le dernier Grand Prix de la saison à Abu Dhabi. "C'était quelque chose de positif pour tous les deux", a déclaré l'Allemand de 23 ans, mardi à Salzbourg.
Vettel et Webber étaient rivaux avant d'être équipiers cette saison. Les deux pilotes de l'écurie Red Bull étaient entrés en collision lors du Grand Prix de Turquie et s'étaient accusés mutuellement dans la presse. "Mais je pense que c'est normal. Quand tu prestes au même niveau, tu essayes de prendre l'avantage partout où c'est possible."
Selon Vettel, les tensions entre les deux hommes sont maintenant dissipées. "Nous nous sommes bien expliqués à ce sujet."
Stoner27
17/11/2010, 10h38
F1 : D’Ambrosio 10e aux essais d’Abou Dabi
Rédaction en ligne
mardi 16 novembre 2010, 19:04
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Jérôme D’Ambrosio sur Virgin a signé le 10e temps des 14 pilotes en piste. Daniel Ricciardo a été le plus rapide.
Jérôme d’Ambrosio (Photo De Coster)
L’Australien Daniel Ricciardo (Red Bull) s’est montré le plus rapide des jeunes pilotes à l’honneur mardi sur le circuit Yas Marina d’Abou Dhabi, où s’est clos dimanche le Championnat du monde de Formule 1.
Jérôme D’Ambrosio de son côté sur Virgin a signé le 10e temps des 14 pilotes en piste à un peu moins de 4 secondes de Ricciardo.
Ricciardo, pilote réserve de l’écurie championne du monde cette saison, a réalisé un exceptionnel temps de 1 min 39 sec 616/1000, à peine 222/1000 plus lent que la pole position signée par Sebastian Vettel samedi (1 : 39.394).
L’Australien a toutefois bénéficié d’une piste bien plus rapide que l’Allemand, car davantage recouverte de gomme et donc plus adhérente après le GP d’Abou Dhabi de F1, qui s’est tenu dimanche sur ce tracé.
Le champion de la série GP2, le Vénézuélien Pastor Maldonado, a roulé pour Hispania, où le Vénézuélien est pressenti en 2011. Ses concurrents du GP2, les Britanniques Sam Bird et Olivier Turvey, Jérôme d’Ambrosio et Rodolfo Gonzalez, un autre Vénézuélien, ont respectivement pris les commandes d’une Mercedes, d’une McLaren, d’une Virgin et d’une Lotus.
Le Français Jules Bianchi, nommé la semaine passée troisième pilote de Ferrari pour 2011, a tourné dans la F10 (monoplace 2010). « Nous avons travaillé exclusivement à mesurer différents paramètres, sans rechercher la performance. J’apprends beaucoup », s’est félicité Bianchi.
Le vainqueur de la série GP3, le Mexicain Estaban Gutierrez, pilote réserve de Sauber l’an prochain, a roulé pour l’écurie suisse. Le Français Jean-Eric Vergne, qui s’était imposé dans le Championnat de Formule 3 britannique, a essayé la Toro Rosso.
Le Britannique Dean Stoneman, vainqueur en Formule 2, a pris le volant de la Williams, tandis que le Russe Mikhail Aleshin, sacré dans le championnat World Series de Renault, est monté dans le baquet d’une Renault.
cyclisme
Affaire Contador: L’AMA ne croit pas le coureur
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Image © AP
L’Agence mondiale antidopage (AMA), se basant sur un rapport d’experts, ne croit pas à la thèse de la contamination alimentaire avancée par Alberto Contador pour expliquer un contrôle «anormal» dans le Tour de France 2010, affirme mercredi le journal El Pais.
le 17 novembre 2010, 15h11
LeMatin.ch & les agences
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Le rapport, auquel le quotidien espagnol a eu accès, révèle que l’AMA a envoyé des experts à Irun (nord de l’Espagne) pour analyser la viande incriminée par le coureur espagnol, vainqueur du Tour de France en juillet.
«Aucune trace de clenbutérol (bêta-stimulant qui stimule la fonction pulmonaire mais possède aussi des effets anabolisants, ndlr) n’a été trouvée dans les recherches et les analyses effectuées sur les échantillons de viande», écrit El Pais.
En outre, le rapport, que l’AMA aurait transmis à la Fédération espagnole (RFEC) par l’intermédiaire de l’Union cycliste internationale (UCI), fait référence à une étude de l’Union européenne menée en 2008 sur près de 300’000 analyses de viande.
«Dans seulement un cas (sur les 300’000) il existait la possibilité d’un recours au clenbutérol» pour augmenter la masse musculaire, souligne El Pais.
Des traces infimes de clenbutérol ont été trouvées dans les analyses de Contador lors d’un contrôle antidopage subi le 21 juillet à Pau pendant la seconde journée de repos du Tour de France qu’il allait finalement remporter.
L’UCI a annoncé le 8 novembre qu’elle demandait à la RFEC d’ouvrir une procédure sur ce résultat qualifié d’»anormal».
Dès la révélation de l’affaire, le 30 septembre, Contador a expliqué ces traces par une contamination alimentaire.
Vainqueur à trois reprises du Tour de France (2007, 2009 et 2010), l’Espagnol encourt notamment le risque de perdre le bénéfice de sa dernière victoire s’il n’est pas innocenté.
Football
«Ça fait du bien quand on t’applaudit»
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Image © Michel Perret
Doublé. Alexander Frei reprend à la volée le coup franc tiré par Hakan Yakin.
Auteur de deux buts, Alex Frei est sorti en recevant une belle et émouvante ovation. Du coup, il ne parle plus d’arrêter. Du moins pas maintenant.
Christian Maillard - le 17 novembre 2010, 23h19
Le Matin
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Match amical
Genève
Forcément, il y a eu quelques inévitables sifflets. D’ailleurs, il s’y attendait. Peut-être parce que ces pseudo-supporters étaient venus uniquement pour ça. A Bâle ou à Saint-Gall, il avait été atteint. Là, pas du tout. Des énergumènes ont même déployé une petite banderole où il était écrit: «On t’attend au foot golf!» Ce n’était pas bien méchant. Mais ce n’est pas encore d’actualité. Car le buteur n’est pas fini. On a aussi, surtout, entendu de chaleureux applaudissements, des encouragements, qui lui auront certainement réchauffé le cœur. «Alex, garde confiance, n’abandonne pas.» Alexander Frei, qui a pris de la valeur sous le maillot grenat, aime Genève. Cette ville est magique pour lui. Récit d’un retour remarquable où il a remarqué.
19 h 05 Le car de l’équipe de Suisse, qui est resté bloqué dans les bouchons de l’aéroport, arrive enfin au Stade de Genève. Alex Frei, qui était assis à l’arrière, sera le dernier à sortir du bus, en compagnie de Hakan Yakin, son ami, son compère de l’attaque. Un duo qui valait 60 buts en équipe nationale avant ce rendez-vous.
20 h 02 Le capitaine de l’équipe nationale est accueilli sur la pelouse de la Praille par les deux mascottes ukrainiennes de l’Euro 2012. Les reverra-t-il dans deux ans du côté de Kiev?
20 h 06 Le speaker du Stade de Genève vient de prononcer, à l’heure de la présentation des deux formations, le nom d’Alexander Frei. Dans le public, certains ont sifflé, mais c’est surtout les vivats qui ont pris le dessus.
20 h 11 Il est le premier à sortir du tunnel.
20 h 17 Poignée de main avec Anatoliy Tymoschuk, le capitaine ukrainien du Bayern Munich. Il va bientôt le recroiser, avec le FC Bâle.
20 h 19 Premier coup franc, côté gauche, pour les Helvètes. Alex se contente d’une passe en retrait pour Reto Ziegler.
20 h 26 Premier coup de coin. C’est également lui qui le tire de la gauche. C’est devenu une habitude. Mais contrairement à ses dernières sorties, le Bâlois ne recule pas. Il demeure un poison en pointe de l’attaque.
20 h 56 Pirmin Schwegler obtient un bon coup franc sur la gauche. C’est pour lui, il le sait. Cette 40e minute sera la bonne, son 41e but en équipe nationale. Cela faisait depuis le 9.9.09, depuis exactement un an, deux mois et huit jours qu’il attendait ce moment-là. Cette fois le public genevois ne se trompe pas. Il n’y a plus de sifflet.
21 h 02 Il rejoint les vestiaires avec le sourire. Veut-il toujours prendre sa retraite?
21 h 36 On joue la 62e minute. Johan Djourou obtient un coup franc sur la droite. Il est tiré par Hakan Yakin. Il a vu, au deuxième poteau, son pote de toujours, qui ne manque pas l’occasion. En vieux renard, il inscrit son 42e but. Il a droit, cette fois-ci, à une ovation du public. On est peu de chose!
21 h 51 Alors que l’Ukraine vient d’égaliser, c’est le moment que choisit Ottmar Hitzfeld pour sortir son No 9. Alex Frei, remplacé par Nassim Ben Khalifa, a fait un triomphe. Ce n’est pas hier soir qu’il a passé le relais. Il a remis son brassard à Hakan Yakin, tout un symbole. Ce duo vaut désormais 62 buts.
22 h 22 C’est l’heure de l’interview d’un homme qui revit. Morceaux choisis. «Je ne doutais pas mais… je me posais des questions, oui! Plus maintenant. Ce n’est pas un moment particulier. Ça le sera peut-être quand j’arrêterai. Là, je n’y pense pas. Ce match, mes deux buts, ça m’a fait du bien. Ça fait aussi du bien quand le public t’applaudit. On ne va plus attendre 14 mois maintenant. J’ai joué au Servette et les gens savent que je suis attaché à la Suisse romande, que j’ai passé presque la moitié de ma vie en parlant français…»
Alex Frei sera de retour samedi au Stade de Genève. Avec Bâle, cette fois-ci, en Coupe contre Servette. Il y aura quelques sifflets. Forcément. Mais plus comme avant.
;)C'est un bon Frei même si beaucoup ne l'aime pas......
Lukaku et les Diables donnent la leçon à Dick Advocaat
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© belga
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Auteur d'une belle prestation, Lukaku a inscrit ses deux premiers buts avec les Diables. © belga
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Dick Advocaat serre François De Keersmaecker dans ses bras. La hache de guerre est enterrée. © belga
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Eden Hazard a répondu de la plus belle manière aux critiques: deux assists et un grand abattage. © belga
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Jean-François Gillet était titulaire dans les buts, avec la réussite qu'on connaît: la Belgique n'a pas pris de goal. © belga
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Titulaire en Russie, Steven Defour a marqué des points auprès de Leekens. © belga
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Après de multiples péripéties, le voyage en Russie en valait finalement la peine pour Leekens et les siens. Le capital confiance des Diables augmente encore. © belga
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Seul ombre au tableau de l'excellent match joué à Voronezh, la sortie en civière de Moussa Dembele. On ne connaît pas encore la gravité de sa blessure. © photo news
7S7 mise à jour Les Diables Rouges l'ont emporté 0-2 en Russie lors du match amical disputé à Voronezh contre l'équipe de l'ex-sélectionneur belge, Dick Advocaat. Les deux buts belges ont été inscrits par Romelu Lukaku (2e et 72e).
Zéro derrière
Satisfactions non-négligeables: les Diables Rouges ont tenu le zéro derrière - avec un bon Jean-François Gillet dans le but - après les quatre buts encaissés contre l'Autriche. Les Belges se sont créés plusieurs belles possibilités via Vertonghen, Fellaini, Hazard et Defour. À 0-2, les Russes se sont créés plusieurs occasions mais ils ne les ont pas concrétisées.
Bourde d'Akinfeev
Arrivés à Voronezh seulement quatre heures avant la rencontre, suite à des problèmes de transport, les Diables Rouges sont bien rentrés dans la partie. À l'inverse d'Akinfeev le gardien russe qui, après deux minutes, dégage le ballon dans les pieds de Hazard lequel trouve Lukaku qui conclue dans un but vide.
Gillet impeccable
Les Belges poursuivent sur leur lancée et ont une belle possibilité de doubler la mise mais Vertonghen trouve cette fois Akinfeev sur le chemin de sa reprise, à la 10e. Les Russes, via Arshavin tentent alors d'imposer leur jeu mais l'organisation défensive belge n'est pas mise à mal jusqu'au repos. Gillet est impeccable dans le but.
Hazard-Lukaku: 0-2
La Belgique n'est pas davantage mise en danger à la reprise. A la 60e, Hazard, esseulé, hérite même d'une belle possibilité de doubler la mise mais manque sa reprise sur le centre de Fellaini. Le Lillois se reprend à la 73e et trouve Lukaku en profondeur qui, au milieu de deux défenseurs, trouve encore le chemin des filets.
Deuxième victoire
Il s'agit de la seconde victoire de la Belgique en six rencontres depuis l'arrivée de Georges Leekens. Une victoire qui fait du bien au moral des Diables Rouges, dont le prochain match est programmé le 9 février 2011 contre la Finlande. La Belgique se déplacera en Autriche le 25 mars 2011 pour la suite des matches qualificatifs à l'EURO 2012.
À Voronezh - Central Stadium
Russie - Belgique: 0-2 (mi-temps: 0-1)
Les équipes:
Russie: Akinfeev - Shishkin, V. Berezutski (46e Vasin), Ignashevich (63e Semshov), Zhirkov - Zyryanov (63e Mamaev), Shirokov, Bilyaletdinov (74e Bukharov), Dzagoev - Arshavin, Pogrebnyak
Sélectionneur: Dick Advocaat
Belgique: Gillet - Ciman, Van Buyten, Kompany, Vertonghen - Simons, Defour, Fellaini - Hazard (91e Pocognoli), Dembele (89e Vadis Odjidja), Lukaku (75e Vossen).
Sélectionneur: Georges Leekens.
Les buts: Lukaku (2e, 72e)
Arbitre: M. Kazik (Est)
Cartes jaunes: Hazard (48e), Simons (85e)
Assistance: 30.000 spectateurs.
Christophe Durant (avec belga)
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Carlos Moya annonce sa retraite professionnelle
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L'Espagnol Carlos Moya, vainqueur de Roland-Garros en 1998, a annoncé mercredi à Madrid sa "retraite professionnelle" à la fin de la saison. "Je tiens à communiquer officiellement ma retraite professionnelle", a déclaré Carlos Moya, très ému, lors d'une conférence de presse dans la capitale espagnole.
Carlos Moya, 34 ans, n'a jamais réussi à se remettre totalement d'une blessure à un pied, qui lui a gâché les dernières années de sa carrière. "Il était difficile de continuer", a-t-il assuré.
"Maintenant je vais me reposer, passer du temps à la maison", a-t-il ajouté.
S'il le peut, Moya prendra sa retraite sur les courts, lors du Masters national de Séville, du 9 au 11 décembre. "L'idée est d'arrêter sur le court", a-t-il indiqué.
Professionnel depuis 1995, Carlos Moya, grand spécialiste de la terre battue, a remporté Roland-Garros en 1998 et a été N.1 mondial en mars 1999. Il a également remporté la Coupe Davis avec l'Espagne en 2004
Les Spirou dominent le Real Madrid en Euroleague
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© belga
Après quatre défaites face à ses quatre premiers adversaires du groupe B, Charleroi a signé son premier succès en Euroleague de basket mardi soir au Spiroudôme. Les champions de Belgique ont battu le prestigieux club espagnol du Real Madrid 67-49. Au repos, les Spirou menaient déjà 33-25.
Face à un adversaire qui n'avait perdu qu'un seul match dans cette compétition (le premier à l'Olympiakos 82-66) qui est entraîné par le prestigieux coach italien Ettore Messina, les hommes de Giovanni Bozzi ont remporté les quatre périodes (15-12, 18-13, 19-12, 15-12) démontrant qu'ils ont largement mérité ce succès.
La défense carolo a limité les Madrilènes à 29 pc de réussite, malgré une domination de ces derniers aux rebonds (35-43). A l'inverse, Charleroi a rentré 66 pc de ses tirs, Greene inscrivant 14 points, Wright et Mallet 11 chacun.
Charleroi jouera sa prochaine rencontre d'Euroleague le 25 novembre toujours à domicile contre Malaga. (belga)
Les Bleus terrassent le Lion anglais
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L'équipe de France de Laurent Blanc a passé avec brio son premier grand test et s'est offert un succès de référence en Angleterre (2-1), mercredi en amical, rééditant son exploit de 1999 dans la mythique enceinte de Wembley grâce à une maîtrise technique rarement entrevue ces dernières années.
Changement d'atmosphère
Après s'être fait la main face à des nations mineures du continent, les Bleus ont effectué une véritable démonstration contre leur vieux rival et marqué les esprits. 2010 avait débuté par une humiliation à domicile face aux futurs champions du monde espagnols (2-0) avant de se poursuivre par le cauchemar du Mondial. Mais l'arrivée de Blanc a changé l'atmosphère et c'est par un festival et un grand motif d'espoir que les Bleus ont mis fin à une année à oublier au plus vite.
Certes, cette victoire doit être relativisée, Fabio Capello ayant dû faire face aux forfaits de joueurs majeurs (Rooney, Lampard, Terry, Ashley Cole). Mais après des débuts en dents de scie, Laurent Blanc, qui enregistre son 4e succès d'affilée, se voit conforté dans ses choix et peut continuer à s'ateller sans pression à son travail de reconstruction avant de recevoir le Brésil, le 9 février.
Benzema ouvre le score
Comme un symbole, l'ouverture du score est venue des pieds de Karim Benzema, qui a ainsi marché sur les pas d'Anelka, le héros de 1999. En manque criant de temps de jeu, l'attaquant du Real Madrid a profité d'un une-deux avec Malouda pour tromper Foster et concrétiser la supériorité technique manifeste des Français (16e). Ce 11e but en 32 sélections n'a fait que confirmer le statut d'incontournable au sein de cette nouvelle équipe de France de Benzema, déjà buteur en Bosnie (2-0) et contre le Luxembourg (2-0) sous l'ère Blanc.
Le deuxième but, l'oeuvre de Valbuena après une belle action collective (55e), a ensuite parachevé la débâcle anglaise. Plus globalement, le sélectionneur a su gagner la bataille tactique alors que Capello devait se débattre avec une équipe bâtie de bric et de broc en raison des nombreuses défections ayant touché le camp anglais.
Avec un système résolument offensif (4-3-3), et un duo Nasri-Gourcuff à la manoeuvre, les Bleus ont fait courir une formation aux Trois Lions privée de ballon et obligée de réhabiliter le bon vieux kick and rush avec de longues transversales vers le géant Carroll. Contrairement à son prédécesseur, Blanc a toujours clamé son souci de monter une équipe capable de prendre le jeu à son compte et de dominer techniquement ses adversaires. Avec un Nasri percutant comme à Arsenal et un Gourcuff retrouvé, les Bleus ne pouvaient rien craindre des Anglais, mercredi.
Avenir plus serein
Autre satisfaction pour Blanc, le retour en grande forme de Malouda. Le Guyanais restait sur plusieurs matches sans saveur avec l'équipe de France. Grâce à une première période pleine, couronnée d'une passe décisive pour Benzema, le joueur de Chelsea a remis les pendules à l'heure. En tête de son groupe de qualification à l'Euro-2012, débarrassée du climat délétère ayant suivi le Mondial, la France peut désormais voir l'avenir avec plus de sérénité. La page de la Coupe du monde est bel et bien en train d'être tournée. (afp
Stoner27
18/11/2010, 09h55
Richard Branson en hôtesse de l'air à cause d'un pari perdu
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© reuters
L'écurie Virgin ayant terminé derrière Lotus au classement constructeurs du Championnat de F1, son propriétaire, le magnat Richard Branson, a perdu le pari qui l'opposait à Tony Fernandes, patron de Lotus, et devra donc réaliser un vol pour la compagnie aérienne de ce dernier habillé en hôtesse.
"Maintenant, il est temps pour Richard de se préparer pour un dur moment et la douleur des talons hauts. Nous nous sommes mis d'accord dimanche soir; nous ferons un vol de charité entre Kuala Lumpur et Londres" à cette occasion, a révélé Tony Fernandes lundi.
"Nous donnerons l'occasion aux fans et aux équipes d'être sur ce vol", a-t-il précisé, ajoutant que la date de l'évènement serait communiquée ultérieurement.
Ni Lotus ni Virgin F1, arrivée dans la discipline cette année, n'ont marqué de point cette saison. Mais le Finlandais Heikki Kovalainen a terminé 12e du GP du Japon pour Lotus ce qui permet à l'écurie malaisienne de terminer 10e du classement général, devant la structure britannique. (belga)
webamanu
18/11/2010, 15h33
Matches amicaux - Rouge de honte
Humiliée au Portugal (4-0), l'Espagne s'est réveillée jeudi avec la gueule de bois. Après la claque déjà subie en Argentine (4-1), la presse critique le manque d'envie de la Roja. Gagner un match amical est une question de prestige pour un champion, rappelle-t-elle. Del Bosque, lui, ne se cache pas.
L'Espagne, championne du monde et d'Europe en titre, n'aime rien d'autre que la compétition. Elle avait déjà perdu son dernier match amical en date, en Argentine (4-1) et arraché un match nul au Mexique dans les arrêts de jeu (1-1). Mercredi, elle s'est encore lourdement inclinée face au Portugal (4-0). Une humiliation face au voisin et rival lusitanien. "Le Portugal a douché la Roja", déplore jeudi matin El Mundo Deportivo. "Estocade ibérique", s'exclame en Une le quotidien As. Dans leur nouveau maillot, floqué de l'étoile des champions du monde, les Espagnols ont été méconnaissables. "C'était la Roja ?", se demande d'ailleurs Marca qui s'interroge : "Iniesta, Xavi, Casillas et compagnie jouaient ou c'étaient des sosies ?". "C'est la gueule de bois ou cela y ressemble. Après l'échec face à l'Argentine, cette fois la sélection a reçu un claque avec le pire match de l'Espagne depuis de nombreuses années", commente encore Marca. Enfin, le quotidien généraliste El Mundo estime ironiquement qu'il y avait sur le terrain mercredi soir à Lisbonne "beaucoup d'étoiles" mais "peu d'intensité.
De son côté, Vicente Del Bosque ne se cache pas. "L'Espagne a été inférieure au Portugal. Nous n'avons pas d'excuse car nous leur avons laissé trop d'espaces. Nous ne pouvons pas faire pire, a grogné le sélectionneur espagnol. Ils se sont sentis à l'aise et nous ont fait très mal en contre-attaque." Les Espagnols n'ont pas su se montrer dangereux et ont surtout manqué de vitesse, alors que les Portugais, à l'image de Nani et Cristiano Ronaldo, en avaient à revendre. "Je suis dégoûté car c'était un match important mais ça n'était pas notre jour", a-t-il ensuite regretté alors que la rencontre se disputait dans le cadre de la promotion de la candidature commune des deux pays pour le Mondial 2018. A l'image de Cesc Fabregas, les joueurs ont "demandé pardon aux supporters". "Ce n'est pas le moment pour les excuses ou pour défendre l'équipe, lui a répondu indirectement Del Bosque. Contre l'Argentine, j'avais dit que nous avions joué de manière digne. Mais, aujourd'hui, je dois dire que nous n'avons pas été bons, ni sur le terrain, ni sur le banc".
"Nous ne pouvons pas faire pire"
L'étoile de champions du monde est-elle trop lourde à porter ? L'Espagne, chambrée par le public du stade de Luz, est devenue l'équipe à battre, rappelle As. "Le champion ne joue pas des matches amicaux" mais "défend sa couronne", explique ce quotidien. Le quotidien El Pais rappelle lui aussi qu'il n'y a pas de match amical face à de récents champions du monde : "Gagner sur des champions est bien plus qu'un match amical". El Pais ajoute que les rouges étaient, mercredi soir, bien "trop pâles" face à cette même équipe portugaise qu'ils avaient éliminée en huitième de finale du Mondial d'Afrique du Sud (1-0). "Mauvais, mauvais, mauvais, on ne peut jouer au foot avec ce manque d'enthousiasme", critique encore AS : "L'Espagne a joué sans âme et sans envie".
Pour l'occasion, Vicente del Bosque avait pourtant choisi d'aligner tous les joueurs titulaires en finale du Mondial face aux Pays-Bas, excepté Pedro, remplacé par Silva. "Nous ne pouvons pas recréer le triomphe du Mondial", a rappel le sélectionneur. Les joueurs, pourtant auteurs d'un sans faute en éliminatoires de l'Euro 2012 (trois victoires en trois matches), devront donc montrer autre chose. Et ils le savent. "C'est une soirée à oublier, a ainsi estimé Fernando Llorente. Nous avons été désastreux dans tous les aspects. Nous avons été lâches et ça ne peut pas passer. Ça me fait mal à l'âme, il faut éviter ça". Car, comme le souligne El Mundo Deportivo, même s'il n'y avait mercredi soir "aucun point en jeu", c'est de "prestige" dont il s'agit, "et cela, quelquefois est beaucoup plus important".
A.P. (avec AFP) / Eurosport
Le plus dure reste a faire pour les espagnols, garder l'envie.
manu94600
18/11/2010, 16h16
:yes::yes::yes::yes: - :pleure:
cyclisme
Affaire Contador: L’AMA ne croit pas le coureur.Surprenant non ? :D
FOOTBALL
Pires a signé avec Aston Villa
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Image © Keystone
Robert Pires, 37 ans, a été confirmé à Aston Villa où il a signé un contrat qui porte jusqu’au terme de la saison.
le 18 novembre 2010, 21h30
LeMatin.ch & les agences
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Le milieu de terrain français Robert Pires s’est engagé avec Aston Villa jusqu’au terme de la saison. Le contrat, dont la signature avait été annoncée plus tôt cette semaine, porte sur une durée limitée. Âgé de 37 ans, le champion du monde de 1998 était sans club depuis son départ de Villareal en début d’année.
Golf
Tiger Woods, «plus heureux», vise toujours le record de Nicklaus
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Image © AFP
Tiger Woods, qui avoue se sentir «infiniment plus heureux» qu’avant la révélation de ses déboires conjugaux il y a presque un an, espère toujours battre le record de son compatriote Jack Nicklaus (18 tournois du Grand Chelem). Dans le même temps, il souhaite se rapprocher de ses supporters.
le 19 novembre 2010, 09h54
LeMatin.ch & les agences
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«Je voudrais toujours arriver à gagner 19 (tournois majeurs), mais je sais que je dois mieux jouer afin de rendre des cartes plus basses que 70 coups au tour», a affirmé Woods dans une interview à la station de radio ESPN quelques heures seulement après avoir posté un message à ses fans sur Twitter.
«En période de compétition, je dois faire des ajustements afin de trouver le geste juste. J’y travaille actuellement», a ajouté Woods, 31 ans, déjà vainqueur de 14 tournois majeurs et no 1 mondial pendant plus de cinq ans jusqu’au 1er novembre.
Revenant sur son accident de voiture devant son domicile conjugal, prélude à la révélation de ses relations extra-conjugales suivie du divorce avec son épouse Elin Nordegren après six ans de mariage, le «Tigre» a fait son mea culpa.
«Je suis infiniment plus heureux (maintenant), c’est très étonnant. Je vois plus clair sur ce que je veux faire. J’ai aussi une meilleure perspective. Je sais qui je suis, où je veux aller. Avant, j’étais perdu et en colère, je n’étais pas heureux de qui j’étais, je faisais des choses que la morale reprouve. Je savais que ce n’était pas bien», a également raconté Tiger Woods.
«Seul Dieu peut changer le passé. J’ai fait ce que j’ai fait et je dois affronter ces choses seul maintenant. Mon père m’avait dit qu’on peut donner de l’amour, mais que l’estime se mérite. J’ai fait du tort à beaucoup de gens et en particulier à mes proches. C’est la pire des choses que je puisse faire à ceux que j’aime tant», a conclu Woods en estimant qu’il était temps «de renouer les liens avec les fans qui se sont montrés d’une grande affection au cours de l’année écoulée».
Mercredi, sur Twitter, il a aussi posté un message à destination de ses supporters: «Yep, c’est moi. Je crois que j’aime bien ce truc là, Twitter. Vous, les gars, vous avez été géniaux. Merci pour pour tout cet amour.»
FOOTBALL
Les vers de terre attaquent la Gurzelen!
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Image © DR
Au moment d’accueillir le FC Lucerne pour le compte de la Coupe Suisse, l’état catastrophique de la pelouse bernoise, envahie par les lombrics, inquiète les dirigeants du FC Bienne.
Nicolas Jacquier - le 19 novembre 2010, 16h23
LeMatin.ch
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Les vers de terre porteront-ils chance au FC Bienne? A la Gurzelen, l’état du terrain inquiète Arturo Albanese. «Notre vieux terrain est envahi par des millions de vers de terre qui soulèvent des mottes. C’est mon plus grand souci avant de recevoir le leader de Super League. Il y en a des tonnes. Pour l’aération du sol, dans le monde agricole, c’est parfait. Mais pour la pratique du football, c’est catastrophique!» La ville et le club ont essayé, en vain jusqu’à ce jour, d’éradiquer les envahisseurs indésirables. «On a mis des produits, mais ça n’a fait qu’empirer. Avec les pluies de ces derniers jours, il n’y a en jamais eu autant. Seule la bise aurait pu nous aider. Hélas, elle n’a pas soufflé», se désole le directeur sportif du FCB.
L’état bosselé de la Gurzelen est un autre motif d’inquiétude. «Vu du haut des tribunes, explique M. Albanese, la pelouse ressemble à une pelouse. Mais dès que l’on s’aventure dessus, on s’enfonce, la terre colle aux chaussures.» Hier, le club a renoncé à rouler le terrain comme ses responsables l’avaient prévu. «Le tracteur s’enfonçait. On effectuera demain une nouvelle tentative.»
Avec l’appui des vers de terre et de la foule attendue - 1700 billets ont été vendus et la tribune principale affiche déjà complète -, Bienne espère créer demain la surprise de ces huitièmes de finale. «Au départ, il n’y a pas photo. Nos chances sont de 10%. Mais à mesure que le temps passera, ce pourcentage pourrait grossir...»
A la Gurzelen, Bienne n’a perdu que 2 de ses 22 derniers matches de championnat.
TENNIS
Masters de Londres: Federer en lice pour un cinquème titre
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Huit jours après une incroyable défaite à Paris-Bercy devant Gaël Monfils - cinq balles de match dans sa raquette! - Roger Federer entamera dimanche soir face à David Ferrer son parcours au Masters de Londres. Avec l’ambition de remporter un cinquième titre.
le 19 novembre 2010, 11h00
LeMatin.ch & les agences
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Titré en 2003 et 2004 à Houston, en 2006 et 2007 à Shanghaï, le Bâlois, s’il s’impose à Londres, égalerait le record d’Ivan Lendl et de Pete Sampras qui ont gagné tous deux à cinq reprises ce tournoi des «Maîtres». Roger Federer peut aborder cette ultime échéance de l’année avec un réel optimisme. Depuis l’US Open, il a gagné seize des dix-huit rencontres qu’il a disputées. Il apparaît particulièrement affûté en cet automne, beaucoup plus en tout cas que son grand rival Rafael Nadal.
Nadal dans l’inconnu
Le no 1 mondial n’a plus joué depuis sa défaite le 14 octobre à Shanghaï face à Jürgen Melzer. Il a fait l’impasse sur le rendez- vous de Paris-Bercy en raison de douleurs à l’épaule. Il revient à Londres où il avait touché le fond l’an dernier en se montrant incapable de gagner le moindre set lors de ses trois rencontres du round-robin contre Robin Soderling, Nikolay Davydenko et Novak Djokovic. Lors de ses deux premières participations à ce tournoi, il avait à chaque fois échoué en demi-finale face à Roger Federer.
Il est bien sûr très risqué de parier avant l’entame du tournoi sur une finale de rêve entre Rafel Nadal et Roger Federer. Les deux hommes n’ont été opposés qu’une seule fois cette année, au printemps à Madrid. Ensuite, Roger Federer a raté les trois rendez-vous que lui avait proposés Rafael Nadal, à Roland-Garros, à Wimbledon et à Flushing Meadows. A Londres, Rafael Nadal sera fixé très vite. Son premier match lundi soir contre Andy Roddick sera déjà un match couperet pour lui. Absent des courts depuis plus d’un mois, le Majorquin sera-t-il tout de suite dans le rythme pour contrer le service de l’Américain ?
10-0 contre Ferrer
Contrairement à Nadal, Roger Federer semble à l’abri de toute mauvaise surprise lors de son premier match contre Ferrer. Il n’a pas perdu une seule des dix rencontres qui l’ont opposé par le passé au Valencien. En indoor, on voit mal comment Ferrer pourrait inverser la tendance. S’il cueille un onzième succès contre Ferrer, Roger Federer affrontera mardi le vainqueur de la première rencontre de dimanche entre Robin Soderling et Andy Murray.
Seul joueur avec Rafael Nadal parmi les participants de ce Masters à présenter un bilan positif face à Roger Federer, Andy Murray représente une énigme. Eliminé en seizième de finale de l’US Open par Stanislas Wawrinka, il a survolé les débats à Shanghaï avant d’accuser deux contre-performances à Valence face à Juan Monaco et à Paris-Bercy devant Monfils. Comme l’an dernier, l’Ecossais risque de plier sous l’énorme pression qu’il endure par le fait d’évoluer à domicile.
Les deux finalistes 2009 absents
Ce Masters 2010 ne concernera pas les deux finalistes de la précédente édition, Nikolay Davydeno et Juan-Martin del Potro. L’an dernier, le Russe et l’Argentin avaient présenté un niveau de jeu exceptionnel. Tous deux diminués cette année par des blessures au poignet, ils laissent un vide certain que ne comblera pas un Ferrer, un Roddick ou un Tomas Berdych. L’opposition pour Roger Federer apparaît ainsi moins redoutable que l’an dernier où il avait éliminé en demi-finale par Davydenko après être passé à deux points de la victoire.
Le programme Dimanche 21 novembre. Groupe B.
15h00 Robin Soderling (Su/4) - Andy Murray (GB/5)
21h00 Roger Federer (S/2) - David Ferrer (Esp/7) Lundi 22 novembre. Groupe A.
15h00 Novak Djokovic (Ser/3) - Tomas Berdych (Tch/6)
21h00 Rafael Nadal (Esp/1) - Andy Roddick (EU/8)
Flash actualité -
Rugby : la France doit chasser samedi ses vieux démons face à l'Argentine
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19.11.2010, 17h10
Le XV de France (http://actualites.leparisien.fr/france.html) doit chasser ses vieux démons face à l'Argentine, samedi (20h45) à Montpellier dans le cadre des tournées d'automne, contre un adversaire qui reste sur sept victoires en neuf confrontations depuis 2002 dont la dernière (41-13), humiliante, en juin à Buenos Aires.
Aucun droit à l'erreur. Une semaine après un succès (34-12) sans grand enseignement face aux Fidji, sous la pluie battante de Nantes et avec une équipe profondément remaniée, les Français entrent dans le vif du sujet.
Habitué aux montagnes russes, avec un Grand Chelem dans le Tournoi des six nations au printemps (http://actualites.leparisien.fr/printemps.html) suivi de deux corrections estivales en Afrique du Sud (17-42) et en Argentine, le XV de France doit à présent faire oeuvre de constance à moins d'un an du Mondial-2011 puisque la vengeance, à en croire joueurs et entraîneurs, est mauvaise conseillère.
La déroute de Buenos Aires, plus large défaite en un demi-siècle de confrontations franco-argentines? "Evidemment qu'on y pense. On a été marqués par cette défaite mais on essaie de garder un maximum de lucidité pour jouer ce match parce que jouer sous le coup de la colère, ça ne sert pas à grand chose", a assuré le capitaine Thierry Dusautoir.
Les récents matches contre l'Argentine, hormis une pâle victoire (12-6) à Marseille en novembre 2008, sont là pour appuyer cette thèse. Notamment le match pour la troisième place du Mondial-2007 au Parc des Princes quand les Français, obnubilés par l'idée de revanche après le match d'ouverture perdu (12-17), avaient reçu une correction encore plus grande (10-34) de la part des Pumas.
Car l'Argentine, "c'est l'adversaire parfait pour nous faire déjouer. Ils nous connaissent bien, sont capables d'appuyer là où ça fait mal, de nous contrer sur les fondamentaux de ce jeu, être patients et disciplinés et profiter du moindre relâchement pour lancer des contre attaques. Même si on est prévenus, c'est un match difficile à appréhender et où il y a beaucoup à perdre", rappelle l'entraîneur Marc Lièvremont.
Face à un tel adversaire, les entraîneurs français ont fait un pari de poids. Exit les néo-capés de Nantes, place à la première ligne Mas-Servat-Domingo si à l'aise pendant le Tournoi et à un Sébastien Chabal replacé pour son plus grand bonheur au centre de la troisième ligne.
Derrière, la France présentera une charnière Parra-Traille première formule, un axe central de fort tonnage avec une paire de centres inédite Jauzion-Rougerie et une première sélection pour le robuste ailier Yoann Huget. A charge pour Alexis Palisson, aligné à l'arrière, de supporter le tir nourri des artilleurs argentins.
Les Pumas se présentent forts d'une première victoire (22-16) en Italie, rassurante à défaut d'être géniale. A la Mosson, ils compteront une nouvelle fois sur leur collectif d'expérience, avec sa première ligne "100% française" Scelzo-Ledesma-Roncero, son nouveau joyau du Stade Français Martin Rodriguez à l'arrière et son maître à jouer Felipe Contepomi, auteur de 31 points en juin face à la France.
"Nous nous attendons à un match très difficile face à une équipe qui tiendra à la victoire et est en train de mettre sur pied une très bonne équipe. Pour moi, c'est la meilleure équipe d'Europe. Il faudra rester concentrés et ne pas commettre d'erreurs", a averti le capitaine des Pumas.
Son entraîneur Santiago Phelan assure pour sa part que ce match "n'aura rien de comparable à ce qui s'est passé en juin" à Buenos Aires. Après le combat, possibles retrouvailles en quart de finale du Mondial-2011.
Dopage
19 novembre 2010 13:41; Act: 19.11.2010 13:50 Print (javascript:window.print())
Le recours de Valverde rejeté par le TF
Le Tribunal fédéral (TF) a rejeté un recours du cycliste espagnol qui lui aurait pu mettre fin à sa suspension pour dopage de deux ans, prononcée en Italie.e pour deux ans pour dopage, le coureur espagnol a perdu la bataille judiciaire pour mettre fin à cette sanction, selon un arrêt publié par le Tribunal fédéral suisse (TF).
Un autre recours, déposé par Valverde et touchant sa suspension au niveau mondial par le Tribunal arbitral du sport (TAS), jusqu'à fin 2011, est toujours en cours auprès du Tribunal fédéral suisse.
Les autorités italiennes avaient suspendu en 2009 le coureur espagnol estimant que Valverde était lié à une vaste affaire de dopage sanguin en Espagne («Operation Puerto»). Une décision confirmée par le TAS dont le siège se trouve en Suisse.
Valverde avait demandé au Tribunal fédéral helvétique (Cour suprême) d'annuler la décision du TAS, se fondant notamment sur un problème d'accès aux preuves dans l'«Opération Puerto».
L'arrêt a pris en compte le fait que, selon le TAS, du plasma contenu dans une poche «retrouvée dans le laboratoire du Dr Fuentes au cours d'une enquête pénale ouverte en 2004 en Espagne pour faits de dopage (»Opération Puerto«), correspondait à l'échantillon sanguin fourni par Alejandro Valverde.»
Dans son arrêt, le Tribunal fédéral souligne également qu'il «statue sur la base des faits établis par le TAS», et ne peut donc «rectifier ou compléter d'office les constatations des arbitres, même si les faits ont été établis de manière manifestement inexacte ou en violation du droit.»
Le Tribunal a précisé que les «frais judiciaires, arrêtés à 4000 francs suisses (2945 euros) sont mis à la charge du recourant.»
Une athlète paralympique marche à nouveau après un accident
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La sportive néerlandaise Monique van der Vorst, 26 ans, était condamnée à se déplacer en chaise roulante depuis ses 13 ans, suite à une opération manquée. Mais après avoir été victime d'un accident de la route en début d'année, elle a retrouvé ses sensations et peut à nouveau marcher, a annoncé vendredi le journal De Telegraaf.
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© moniquevandervorst.com
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Au printemps, Monique van der Vorst a été victime d'un accident de la route lors d'un camp d'entraînement. Suite à cet accident elle a commencé a ressentir des sensations dans ses genoux paralysés.
A suivre... chez les valides!
"Après une rééducation intensive, elle a décidé de maintenant concourir avec les sportifs valides", a affirmé André Cats, le chef de délégation de l'équipe paralympique néerlandaise en vue des Jeux de 2012.
Pas d'explication
"Personne n'a d'explications pour ce qui s'est passé", a pour sa part déclaré Menno Renes, de la Fondation Johan Cruyff, qui accompagne l'athlète.
Monique van der Vorst a réalisé d'excellentes performances ces dernières années dans les courses cyclistes et de triathlon pour athlètes handicapés. Lors des Jeux Paralympiques de Pékin en 2008, elle a remporté deux médailles d'argent en handbike. Elle est également plusieurs fois championne du monde et d'Europe. Elle a gagné en octobre dernier le légendaire triathlon d'Hawaii dans sa catégorie. Elle a été élue Sportive néerlandaise de l'année 2009 chez les moins valides
Amélie Rosseneu sacrée championne d'Europe espoirs
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Amélie Rosseneu (à droite), lors des Championnats de Belgique de judo (archives, 2008). © belga
Notre compatriote Amélie Rosseneu a décroché la médaille d'or en -48 kg lors de la 1re journée des championnats d'Europe espoirs de judo (-23 ans), vendredi, à Sarajevo en Bosnie. La judoka belge de 22 ans a battu en finale sur yuko la Néerlandaise Birgit Ente, qu'elle avait déjà dominée il y a quinze jours en finale de l'European Cup de Suède.
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© belga
Amélie Rosseneu, 16e judoka mondiale en seniores et dispensée du 1er tour, avait auparavant battu, chaque fois sur ippon, l'Italienne Ugon Ilaria, la Française Gabrielli Scarlett et la Portugaise Leandra Freitas.
De son côté, Hanne Van Bossele a conquis le bronze en -52 kg. Elle a battu successivement sur ippon la Luxembourgeoise Swetlana Breier, la Norvégienne Katrine Hofstad et la Russe Natalia Sinitsyna. Après avoir perdu sa demi-finale face à la Turque Tugba Zehir (ippon), elle s'est ensuite imposée dans son combat pour la 3e place face à l'Autrichienne Tina Zeltner (ippon).
Chez les messieurs, Jasper Lefevere a terminé 5e en -66 kg, alors que Joachim Bottieau (-81 kg) et Benjamin Harmegnies (+100 kg) doivent encore monter sur le tatami ce week-end.
Philippe Le Jeune reçoit le Trophée National du Mérite Sportif
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© afp
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Le jury du Trophée National du Mérite Sportif, réuni ce jeudi à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, a attribué le Trophée 2010 au cavalier Philippe Le Jeune. Le Bruxellois, 50 ans, a été sacré champion du monde de saut d'obstacles avec son cheval Vigo d'Arsouilles, début octobre lors des Jeux équestres mondiaux, à Lexington aux Etats-Unis.
Le Jeune a réussi à s'imposer dans le 'Final Four' de cette compétition, alignant les parcours sans pénalités jusqu'en finale, où il a aussi monté les trois autres chevaux de ses adversaires. Il a également fait partie du quatuor qui permit à la Belgique de remporter la médaille de bronze par équipes nationales, lors de ce même championnat.
Au palmarès du Trophée, Le Jeune succède au coureur cycliste Philippe Gilbert récompensé pour sa belle saison sportive en 2009.
Décerné depuis 1928, le Trophée National du Mérite Sportif, une des plus hautes et prestigieuses distinctions sportives en Belgique, ne peut être obtenu qu'une seule fois dans une carrière par un sportif ou une sportive.
ski alpin
Fracture du tibia-péroné pour Nadia Styger
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La Schwytzoise Nadia Styger s'est sérieusement blessée à l'entraînement au Canada et sera out pour la saison.
le 19 novembre 2010, 22h50
LeMatin.ch & les agences
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La saison 2010/2011 se déroulera sans Nadia Styger. La Schwytzoise a été victime d’une double fracture tibia-péroné à la jambe gauche lors d’un camp d’entraînement à Nakiska (Can). L’accident s’est produit lors d’une manche de géant. Styger a été déséquilibrée après avoir accroché une porte avec le bras. Victime d’une fracture ouverte, la malheureuse a été transportée à l’hôpital de Calgary pour y être opérée. «Avec une fracture ouverte, le risque d’infection est très important. C’est pourquoi nous ne pouvons pas attendre que Nadia soit en Suisse pour procéder à l’opération», a expliqué Walter Frey, le médecin de l’équipe de Suisse dames. Ce coup dur pourrait être synonyme de fin de carrière pour la Schwytzoise, elle qui fêtera ses 32 ans le 11 décembre.
Après Didier Défago (touché au genou), c’est la deuxième grosse perte de l’hiver pour l’équipe de Suisse. Quatre fois victorieuses dans sa carrière en Coupe du monde (3 super-G, 1 descente), la skieuse de Sattel représente depuis plusieurs hivers un des plus fiables atouts helvétiques. Elle avait bouclé l’exercice 2009/2010 en tant que No 3 mondiale en super-G et No 11 en descente.
FORMULE 1
Felipe Massa déjà à l'aise avec les gommes tendres de Pirelli
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Felipe Massa, pilote Ferrari
Le pilote Ferrari a conclu la première journée destinée aux essais des pneumatiques Pirelli en tête de la feuille des temps à Abu Dhabi. Le Brésilien a confié s'être senti très vite à l'aise avec les nouveaux pneus qui équiperont les F1 la saison prochaine.
le 19 novembre 2010, 18h44
LeMatin.ch & les agences
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Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) a réalisé le meilleur temps à l’occasion du premier jour d’essais des pneus Pirelli, qui équiperont la Formule 1 en 2011. Ces tests ont lieu sur le circuit Yas Marina d’Abu Dhabi, où s’est clos dimanche le dernier Championnat du monde.
«Je me suis senti à l’aise dès le début. Il n’y a pas eu de surprise désagréable», a commenté Massa, qui a qualifié ce premier jour de test de «début positif pour commencer à comprendre» ces pneus. «Nous avons essayé deux types de gommes et avons acquis beaucoup de données: il y a eu quelques difficultés lorsque nous avons réalisé un long relais avec les durs, alors que les tendres ont bien fonctionné, tant dans les tout premiers tours qu’après avoir beaucoup roulé avec», a poursuivi le Brésilien.
«Les gommes se sont bien comportées, mieux que nous le pensions vu le peu de temps qu’a eu Pirelli. Ils sont évidemment au milieu de leur développement.
Nous ne courrons pas avec les pneus que nous avons utilisés vendredi. Mais c’est un bon départ», a remarqué le champion 2010 Sebastian Vettel (Red Bull). «Nous rassemblons beaucoup d’informations utiles et de bonnes suggestions, en plus de commentaires encourageants. Pour l’instant, tout se passe comme prévu», a observé Paul Hembery, directeur du service compétition du fabricant italien.
Pirelli a été choisi par la Fédération internationale (FIA) fin juin comme fournisseur unique de pneus de la F1 pour 2011, 2012 et 2013, en remplacement du Japonais Bridgestone, qui a quitté la compétition en fin de saison. L’Allemand Nick Heifeld, avant son départ chez Sauber pour remplacer l’Espagnol Pedro de la Rosa, le Français Romain Grosjean puis l’Espagnol Pedro de la Rosa, une fois licencié de l’écurie suisse, ont participé au développement des gommes italiennes.
Les écuries auront encore la journée de samedi pour se familiariser avec ces nouveaux pneus.
Yas Marina (Abou Dhabi). Essais de pneus. Les temps: 1. Massa (Bré/Ferrari) 1’40’’170. 2. Vettel (All/Red Bull) 1’40’’500. 3. Paffett (GB/McLaren) 1’40’’874. 4. Kobayashi (Jap/Sauber) 1’40’’950. 5. Kubica (Pol/Renault) 1’41’’032. 6. Barrichello (Bré/Williams) 1’41’’425. 7. Di Resta (GB/Force India) 1’41’’615. 8. Rosberg (All/Mercedes) 1’41’’778. 9. Alguersuari (Esp/Toro Rosso) 1’42’’019. 10. Sutil (All/Force India) 1’42’’859. 11. Glock (All/ Virgin) 1’44’’124. 12. Kovalainen (Fin/Lotus) 1’44’’686. 13. Maldonado (Vén/Hispania) 1’45’’728.
Football
Platini suggère de changer le mode d'attribution de la Coupe du monde
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Le président de l'Union européenne de football (UEFA), Michel Platini, a suggéré samedi de changer le mode d'attribution de l'organisation de la Coupe du monde de football à la suite des soupçons de corruption pour l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022.
AFP - le 20 novembre 2010, 13h09
Le Matin
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Platini propose, dans une interview au "Tages Anzeiger", que le choix ne soit plus effectué seulement par la comité exécutif de la Fifa, qui compte 24 membres -dont il fait partie-, mais par un vote de l'ensemble des 208 fédérations membres de l'instance internationale.
"Il faudrait peut-être que ce soit l'ensemble du congrès qui décide. De cette façon, le poids pesant sur un individu ne serait plus le même qu'aujourd'hui", a-t-il expliqué.
"Mais c'est très compliqué", a-t-il poursuivi. "La Fifa compte 208 membres, l'Europe a 53 votes, l'Afrique en a 53, l'Amérique du Sud, en revanche, n'en a que 10, ils n'auraient jamais une Coupe du monde".
Michel Platini a souligné les enjeux économiques de plus en plus importants de la Coupe du monde. "Vous pouvez imaginez quelle sorte de pression un candidat à l'organisation peut exercer sur une personne qui dispose d'un vote. Une Coupe du monde peut rapporter de 7,4 à 15 milliards d'euros à un pays", a-t-il estimé.
La commission d'éthique de la Fifa a suspendu jeudi deux membres du comité exécutif, jugeant qu'ils avaient contrevenu au code d'éthique de l'organisation, après des soupçons de corruption dans l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 révélés par la presse. Le Nigérian Amos Adamu, suspendu trois ans, et le Tahitien Reynald Temarii, un an, vont faire appel.
La Fifa désignera le 2 décembre les pays organisateurs de Mondiaux 2018 et 2022.
L'Angleterre, la Russie, l'Espagne associée au Portugal et les Pays-Bas avec la Belgique sont candidats pour 2018. Le Qatar, l'Australie, les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud le sont pour 2022.
;)et si lui et Blatter sont mouillés......:D:D:fou:
Football
Raymond Domenech "se reconstruit" en entraînant des moins de 11 ans
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Raymond Domenech, nouvel entraîneur de l'équipe de football es moins de 11 ans, le 20 novembre 2010 à Suresnes, près de Boulogne-Billancourt
Raymond Domenech "se reconstruit" en endossant le nouveau rôle de coach de l'équipe des moins de 11 ans de l'Athletic club de Boulogne-Billancourt (ACBB), a-t-il dit à la presse samedi matin au stade Maurice-Hubert de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).
AFP - le 20 novembre 2010, 16h13
Le Matin
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L'ex-sélectionneur de l'équipe de France, licencié par la Fédération française de football pour faute grave en septembre, est apparu détendu et souriant devant la presse avant le match qui opposait les moins de 11 ans de l'ACBB aux joueurs de Suresnes.
"J'ai besoin de souffler, de me reconstruire. J'ai vécu six ans à un poste difficile", a expliqué Raymond Domenech, foulard beige au cou, jean et baskets, pour justifier sa nouvelle occupation.
"Une page a été tournée. j'ai envie de me faire plaisir", a-t-il ajouté. Raymond Domenech a commencé à entraîner les jeunes joueurs mercredi et s'est engagé jusqu'"à la fin de l'année", a-t-il dit à la presse.
"Ca fait longtemps que je n'ai pas pris autant de plaisir", a-t-il commenté, expliquant qu'à la différence des adultes, avec les enfants, "il n'y a pas cette exigence de résultats".
Le visage sérieux et l'air concentré, les jeunes joueurs se sont montrés plutôt discrets sur leur nouveau coach, refusant de répondre aux questions.
"Je pense qu'aujourd'hui, ils ont un peu la pression, avec les caméras..." commente Amel Temmouri, 32 ans, dont le fils Amine fait partie de l'équipe de Boulogne-Billancourt.
Appareil photo dans la poche, Mehdi Goucem a pris une demi-journée de congé pour accompagner son fils Yanis, 10 ans. "Il est très excité", confie-t-il. "Pour la première fois, il s'est couché à 20h30 hier soir. Pour lui, c'est très sérieux, il veut se donner à fond".
Pour les parents des joueurs, les polémiques sur le parcours des Bleus en Coupe du monde semblent bien loin: "je crois que chacun a besoin d'une seconde chance" estime, philosophe, Mme Temmouri.
;)Bravo si c'est sincère......
VOILE
Route du Rhum: Bernard Stamm termine dans les dix premiers
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Le marin de Saint-Prex a franchi la ligne d’arrivée ce samedi matin.
Thomas Dayer - le 20 novembre 2010, 13h04
LeMatin.ch
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Malgré une avarie de barre qui l’a forçé à une réparation aux Açores, Bernard Stamm a atteint son objectif, intégrer le top ten. Il a franchi la ligne d’arrivée à Pointe-à-Pitre ce samedi matin à 9h53 (heure de Paris). Il était 4h53 en Guadeloupe.
Il était reparti des Açores à la 31e place de sa catégorie des Class 40. Il termine neuvième. Une belle remontée pour celui qui avait connu un excellent départ, avant d’être contraint de se dérouter.
«Il faut être dessus tout le temps, lâchait-il à l’arrivée. C’était une transat compliquée, sans alizés, mais très intéressante, même si mon objectif, au départ de Saint-Malo, c’était la victoire.»
;)Mieux que dernier......:D:amoureux:
Les Masters, la dernière frontière de Rafael Nadal
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© reuters
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© reuters
Rafael Nadal s'attaque à partir de dimanche à Londres au seul grand titre qui manque à son palmarès, le Masters, sorte de dernière frontière pour un champion dont la carrière a atteint son apogée cette saison avec trois victoires en Grand Chelem et la place de N.1 mondial.
Si le défi est si redoutable pour l'Espagnol, c'est que le grand rendez-vous de clôture du circuit, qui rassemble les huit premiers au classement ATP, tous présents cette année, est disputé dans les conditions les moins favorables à son style de jeu, en salle et sur une surface synthétique rapide.
Un seul titre en indoor pour "Rafa"
Ainsi, sur 43 titres, Nadal n'en a remporté qu'un seul en indoor, un environnement qui favorise plutôt les gros serveurs. C'était à Madrid en 2006. En trois participations au Masters, il n'a jamais dépassé les demi-finales et sa dernière expérience, l'an passé, s'était soldée par un fiasco: trois matches, trois défaites et pas un seul set gagné.
S'il s'imposait, le Majorquin terminerait triomphalement une saison exceptionnelle, durant laquelle il a récupéré ses titres à Roland-Garros et à Wimbledon, ainsi que la première place à l'ATP, mais surtout bouclé son "Grand Chelem en carrière" en gagnant pour la première fois l'US Open en septembre.
Tendinite au bras gauche
L'une des clés de cette réussite est sa gestion plus rationnelle de ses efforts, illustrée ces dernières semaines par l'impasse faite sur le tournoi de Paris-Bercy, pour soigner un début de tendinite au bras gauche.
Alors que Djokovic pensera surtout à la finale de la Coupe Davis, qu'il doit disputer dans la foulée contre la France, les principaux rivaux de Nadal pourraient se trouver dans l'autre poule, à commencer par Roger Federer.
Roger en forme
Le Suisse finit fort, avec deux victoires récentes à Stockholm et à Bâle, une saison bien remplie mais décevante selon ses standards. Pour la huitième année d'affilée, il a inscrit son nom au palmarès d'un tournoi du Grand Chelem, en Australie, mais pour la première fois depuis 2003, ce fut sa seule finale majeure de l'année.
En remportant un cinquième Masters, trois ans après son dernier succès à Shanghai, Federer, 29 ans, repousserait une fois de plus le spectre du déclin. Il égalerait aussi le record de titres de Pete Sampras
FOOTBALL
Le Stade Brestois est l’équipe surprise de la Ligue 1
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Oscar Ewolo et ses coéquipiers brestois réussissent une belle saison, même si, hier soir, ils ont connu la défaite à Rennes
Hier soir, les joueurs bretons ont perdu la première place du classement de Ligue 1 en s’inclinant à Rennes sur le score de 2-1
Jérôme Beuchat - le 20 novembre 2010, 23h20
Le Matin Dimanche
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S’il est une équipe qui représente la grande curiosité du championnat de France, qui est en train de réaliser une saison époustouflante, c’est bien le Stade Brestois. Et cela, malgré la défaite d’hier soir à Rennes, qui lui a fait perdre la tête du championnat. Toujours invaincue à domicile après six rencontres, elle avait pris le commandement du championnat lors de la 11e journée. Petit tour d’horizon de cette formation qui a accédé cette saison à l’élite du football français.
Un petit budget
Le Stade Brestois compte le deuxième plus petit budget du championnat avec 24 millions d’euros de budget. «Le budget moyen d’un club de Super League est de 18 millions. Sans Bâle et Young Boys, c’est 12 millions», selon Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football league. Voilà pour la comparaison avec notre pays. Avec ce petit budget, le club aurait besoin de joueurs formés au club. Mais un petit problème se pose, l’actuel centre d’entraînement n’a qu’un seul terrain qui est, de plus, dans un piteux état et aucun projet d’un nouveau stade n’est en cours.
Des supporters bruyants
Malgré ce déficit, le club de Brest peut être fier d’avoir un public de vrais supporters. Remplissant le stade Francis-Le Blé qui peut contenir 16 000 personnes, les spectateurs, surtout ceux de la tribune latérale, savent toujours mettre une grande ambiance pour encourager leur formation favorite. «Rien qu’à les entendre hurler, ça me donne envie de marquer», explique Nolan Roux, meilleur buteur de son équipe avec quatre réussites. Pour preuve, la formation entraînée par Alex Dupont n’a pas encore concédé la moindre défaite à domicile cette saison, comptabilisant deux victoires, contre Valenciennes et Saint-Etienne, et quatre résultats nuls face à Auxerre, Lorient, Arles-Avignon et Sochaux.
Mais le club breton est également connu par, ou à cause, de son président Michel Guyot. Né à Brest, il est à l’opposé des présidents qui dirigent les clubs de Ligue 1. Lui, sa réussite, il l’a acquise dans la récupération de déchets. C’est à l’opposé d’autres présidents comme celui de Rennes qui est l’ex-PDG de TF1, de Lyon (Jean-Michel Aulas, fondateur et PDG de CEGID), ou encore celui du Paris SG (Robin Leproux, ancien PDG de nombreux médias français). Mais Michel Guyot est surtout connu pour avoir interdit les écouteurs aux joueurs de son équipe suite à la Coupe du monde désastreuse de l’équipe de France en Afrique du Sud ou encore d’avoir proposé un contrat à vie (!) à Alex Dupont suite à l’accession à la première place du championnat de Ligue 1.
A noter encore que ce n’était pas la première fois que le Stade Brestois atteignait la plus haute marche du podium. Lors de la saison 1986-1987, l’équipe avait touché le sommet après la troisième journée et avait finalement terminé au huitième rang, son meilleur résultat jusqu’à aujourd’hui. Seront-ils mieux classés le 29 mai 2011, date de la dernière ronde du championnat? Pour des dirigeants et des joueurs qui ont comme seul et unique objectif le maintien, on ne peut que le leur souhaiter.
football
A la loterie des tirs au but, la boule est tombée côté bâlois
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Image © Eric Lafargue
Le portier bâlois, Yann Sommer, arrête le tir au but de Nater et envoie le FCB en quarts
Les «grenat» ont fait mieux que se défendre face aux ogres rhénans. Le gardien bâlois, Yann Sommer, a fait la différence en détournant le dernier penalty des Genevois
Renaud Tschoumy - le 20 novembre 2010, 23h11
Le Matin Dimanche
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Il devait être écrit que la chance sourirait au grand. Que la boule, forcément, tomberait du côté bâlois. Hier au Stade de Genève, le FCB ne méritait pas forcément de gagner. Mais il s’en est reparti un billet de quart en poche, péniblement acquis aux tirs au but.
Une fois de plus, Thorsten Fink a joué au poker en laissant (notamment) Frei et Huggel sur le banc. Mais, à la différence du match d’Yverdon, il a failli y laisser toutes ses plumes. Car les Servettiens ont réussi à élever leur niveau de jeu pour dialoguer d’égal à égal et, même, prendre le match à leur compte. Cueillis à froid sur un penalty généreusement accordé par Massimo Busacca, ils ont égalisé sur un penalty tout aussi sympathique. Egalité parfaite jusque dans les largesses arbitrales, donc.
L’occasion de De Azevedo
Mais ensuite, ce sont les Servettiens qui ont cherché à désarçonner les Bâlois. Ceux-ci ont assez rapidement montré que des prolongations ne les dérangeaient pas. Almerares a certes visé la latte, mais cette action était par trop épisodique pour résumer ce que fut le match dès le moment où De Azevedo a égalisé.
Le même De Azevedo a d’ailleurs bien failli être le match-winner pour Servette: à la 110e, il a fallu que Yann Sommer se détende pour dévier en corner son coup franc travaillé de vingt-cinq mètres. Et, à la toute dernière seconde des prolongations, il s’est présenté seul face au gardien M21, qui a réussi à éviter le pire à ses couleurs. «Ça peut arriver, lâchait le joueur servettien. J’ai dû faire un choix en une seconde, j’ai fait le mauvais. Mais le gardien a vraiment bien fermé son angle.» Il a surtout réagi très vite dès le moment où le Brésilien a fait son crochet pour l’éliminer.
Les penalties? A l’instinct!
A l’entame de la séance de tirs au but, Sommer était donc chaud, comme on dit. Il allait le prouver sur le dernier penalty servettien, puisqu’il est parti du bon côté et qu’il a réussi à stopper le tir de Nater. «J’ai été décisif, mais tu ne sais jamais comment une telle loterie va se dérouler», expliquait le héros du jour.
Son entraîneur, le Jurassien Romain Crevoisier, ajoutait qu’il n’avait pas donné de consignes particulières à son poulain: «Les penalties, ça se joue à l’instinct. Je lui ai simplement rappelé de partir sur le côté, et non en avant. Après, c’était à lui de choisir.» Ce qu’il a fait, et plutôt bien.
L’entraîneur servettien João Alves pouvait en avoir gros sur le cœur, après le match. «Le foot, c’est comme ça, dira-t-il. La saison passée, on a parfois eu un peu de chance pour gagner certains de nos matches. Là, elle nous a fait défaut. Mais je suis très fier de mon équipe. Vraiment. Que ce soit défensivement ou offensivement, elle a joué comme elle le devait.»
Elle a fait mieux encore, puisqu’elle a réussi à parfois dominer le FCB. «Qu’on ait réussi à prendre le match à notre compte face à la meilleure équipe du pays, cela montre à quel point mon équipe a su se montrer à la hauteur, poursuivait le technicien portugais. Il ne faut pas oublier que Bâle peut encore se qualifier en Ligue des champions. C’est vraiment un bon exemple pour mes joueurs.»
Mais ce match demeurera malgré tout comme un mauvais souvenir dans leur esprit.
Manchester réussit là où Arsenal a échoué
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Tottenham a joué un mauvais tour à Arsenal. Les Gunners manquent l'occasion de rejoindre Chelsea en tête du classement. © ap
Arsenal, impérial en première période devant Tottenham son voisin honni, a sombré après la pause pour s'incliner (3-2) à l'Emirates Stadium samedi en ouverture de la 14e journée de Premier League et raté l'occasion de prendre la tête du classement. Manchester United lui a saisi l'aubaine, puisqu'en s'imposant face à Wigan, les Red Devils reviennent à égalité de points avec Chelsea, battu à Birgmingham, en tête de la Premier League.
Apres dix-sept années de disette, les supporters de Tottenham ont longtemps pensé devoir encore attendre pour voir leur équipe gagner un match à Arsenal. Depuis 1993, ils en avaient été incapables et samedi, en première période, ils en semblaient encore loin du compte. C'est la 3e défaite déjà à domicile cette saison pour Arsenal, qui n'a pris que 12 points sur 21 à l'Emirates. Mais surtout, cet incroyable scénario pourrait des répercussions bien plus graves sur le mental et la forme des Gunners sur le long terme.
Côté belge, Wolverhampton a, de nouveau, perdu 2-1 lors de son déplacement à Blackpool, une autre équipe promue, pour le compte de la 14e journée de Premier League. Jelle Van Damme n'était, cette fois-ci, même pas repris dans les 19 joueurs du côté des Wolves qui, suite à ce revers, restent derniers avec 9 points.
Dimanche
(14h30) Blackburn - Aston Villa
(17h00) Fulham - Manchester City
Lundi
(21h00) Sunderland - Everton
Classement: Pts J G N P bp bc dif
1. Chelsea 28 14 9 1 4 28 9 19
2. Manchester United 28 14 7 7 0 28 15 13
3. Arsenal 26 14 8 2 4 28 15 13
4. Bolton 22 14 5 7 2 26 20 6
5. Manchester City 22 13 6 4 3 15 10 5
6. Tottenham 22 14 6 4 4 21 19 2
7. Sunderland 19 13 4 7 2 15 13 2
8. Stoke City 19 14 6 1 7 18 18 0
9. Newcastle 18 14 5 3 6 22 21 1
10. Blackpool 18 14 5 3 6 21 27 -6
11. Aston Villa 17 13 4 5 4 15 18 -3
12. Birmingham 16 14 3 7 4 15 17 -2
13. Liverpool 16 13 4 4 5 13 17 -4
14. West Bromwich 16 14 4 4 6 16 25 -9
15. Everton 15 13 3 6 4 14 13 1
16. Blackburn 15 13 4 3 6 15 18 -3
17. Fulham 14 13 2 8 3 13 13 0
18. Wigan 14 14 3 5 6 10 23 -13
19. Wolverhampton 9 14 2 3 9 14 25 -11
20. West Ham 9 13 1 6 6 11 22 -11 .
Milan tient bon en tête du Calcio
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© ap
L'AC Milan restera leader de la Serie A au terme de la 13e journée. Les Rossoneri ont battu 1-0 la Fiorentina grâce à un exploit individuel de Zlatan Ibrahimovic, lequel s'est fabriqué tout seul un retourné juste avant la pause. Il s'agit de la quatrième victoire de suite pour Milan.
Samedi:
AS Rome - Udinese 2 - 0
AC Milan - Fiorentina 1 - 0
Dimanche
(12h30) Genoa - Juventus
(15h00) Chievo Vérone - Inter Milan
Brescia - Cagliari
Parme - Lazio Rome
Lecce - Sampdoria Gênes
Catane - Bari
Cesena - Palerme
(20h45) Naples - Bologne
Classement: Pts J G N P bp bc dif
1. AC Milan 29 13 9 2 2 22 11 11
2. Lazio Rome 25 12 8 1 3 15 9 6
3. AS Rome 22 13 6 4 3 17 15 2
4. Naples 21 12 6 3 3 18 13 5
5. Juventus 20 12 5 5 2 23 13 10
6. Inter Milan 20 12 5 5 2 13 7 6
7. Palerme 17 12 5 2 5 20 17 3
8. Udinese 17 13 5 2 6 13 14 -1
9. Genoa 17 12 5 2 5 10 11 -1
10. Sampdoria Gênes 16 12 3 7 2 11 9 2
11. Chievo Vérone 16 12 4 4 4 11 10 1
12. Fiorentina 15 13 4 3 6 13 14 -1
13. Catane 14 12 3 5 4 10 11 -1
14. Parme 14 12 3 5 4 8 10 -2
15. Bologne 14 12 3 5 4 11 15 -4
16. Lecce 12 12 3 3 6 8 22 -14
17. Cagliari 11 12 2 5 5 11 11 0
18. Brescia 11 12 3 2 7 10 15 -5
19. Cesena 11 12 3 2 7 8 15 -7
20. Bari 9 12 2 3 7 9 19 -10.
Le PSG prend la tête, l'OM au finish contre Toulouse
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© ap
Le PSG, vainqueur de Caen (2-1) au Parc des Princes, a à son tour pris provisoirement les commandes de la Ligue 1 samedi, profitant de la défaite de Brest à Rennes (2-1), alors que l'OM a longtemps buté sur la défense toulousaine avant de trouver la faille (1-0).
Dans une L1 au sein de laquelle les présumés "gros" peinent à trouver le bon rythme et où tout le monde semble se valoir à peu près, les leaders se suivent sans parvenir à se maintenir au sommet. Après Toulouse, Saint-Etienne et Rennes, c'est donc Brest qui abdique à son tour et cède le pouvoir au PSG. Montpellier, qui joue samedi soir à Nice, et Lille, qui reçoit Monaco dimanche, peuvent néanmoins déloger le PSG en cas de succès, lors des derniers matches de cette 14e journée. Mais comme on le pressentait depuis plusieurs semaines au fil des matches convaincants livrés en L1, en C3 et en Coupe de la Ligue, le PSG est bel et bien candidat au titre.
Souvent incapables de bien négocier les matches susceptibles de les installer tout en haut et régulièrement hésitants au Parc des Princes, les Parisiens ont cette fois-ci fait le nécessaire. Comme contre l'OM lors du clasico, les deux attaquants Hoarau et Erding, parfois en difficulté cette saison, n'ont pas failli et ont marqué. Caen, qui n'a plus gagné depuis deux mois et se retrouve relégable, a pourtant bien résisté. El-Arabi, désormais seul meilleur buteur, a même marqué en fin de match son 10e but de la saison, face à Edel, finalement titularisé dans le but parisien après huit jours de flou autour de son traitement médical.
Leaders depuis la 11e journée, les Brestois, fragilisés après un nul et une défaite, ont donc dû rendre les armes. Ils regretteront peut-être surtout d'avoir dû le faire sur la pelouse de leur voisin breton Rennes (2-1), pour le premier derby entre les deux clubs depuis 1990. Les Rennais, avec Kembo-Ekoko buteur pour la 3e fois en trois matches, disposent de la meilleure défense du championnat et ne sont devancés qu'à la différence de but par le PSG. Marseille a de son côté eu bien du mal à faire céder les Toulousains (1-0). Gignac, de retour au Stadium, a beaucoup tenté mais n'a pas marqué, Taïwo a raté un penalty et c'est finalement Andre Ayew qui a sauvé l'OM sur un excellent centre d'Azpilicueta en fin de match.
L'équipe de Didier Deschamps (3e avec un match en retard contre Rennes) ne tourne toujours pas à plein régime, mais sa bonne deuxième mi-temps est encourageante à trois jours d'un déplacement décisif mardi à Moscou en Ligue des champions. Autre club engagé en C1, Auxerre a lui aussi pris un point, à Saint-Etienne (1-1). Avant un match à enjeu mardi à l'Abbé Deschamps contre l'AC Milan, les hommes de Jean Fernandez poursuivent donc leur belle série: les voilà désormais à huit matches sans défaite (six victoires et deux nuls). Pour son 300e match en L1, Pedretti est passeur décisif pour Mignot. Les Verts, eux, ne gagnent toujours pas depuis leur succès dans le derby contre Lyon (7e journée, 25 septembre).
Dans les autres matches, Nancy a bien réagi après l'injustice vécue la semaine dernière à Bordeaux (but de Wendel qui n'aurait pas dû être validé) en battant Valenciennes 2-0, alors que Sochaux, meilleure attaque à domicile, a facilement battu Lorient (2-0).
Dortmund poursuit sa marche en avant
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/14/9/media_xl_3949539.jpg?20101120190658
Tout roule pour Dortmund, solide leader du championnat. © epa
Le Borussia Mönchengladbach, qui recevait Mayence, le second du classement, dans le cadre de la 13e journée de Bundesliga (1re div. allemande), s'est incliné de justesse sur son terrain.
Après un score de 0-0 au repos, les visités ont mené 1-0, puis 2-1, mais ont ensuite concédé deux buts dans le dernier quart d'heure. Du coup, au classement, l'équipe de Filip Daems et Igor de Camargo - présents toute la rencontre - reste avant-dernière avec 13 points. À noter que Logan Bailly n'était de nouveau pas sur la feuille de match. Statut quo en tête du classement. Dortmund, solide leader de la Bundesliga, s'est imposé sur le terrain de Fribourg alors que dans le même temps.
Nuremberg, pour sa part, s'est aussi incliné à domicile, 1-3, face à Kaiserslautern, à la différence que là, le score était déjà de 0-3 au repos. Le Diable Rouge, Timmy Simons, a disputé l'intégralité des débats au milieu du jeu à Nuremberg, qui est désormais 10e. Le Bayern Munich a quant à lui obtenu le nul à Leverkusen (1-1).
Samedi:
Hanovre - Hambourg 3 - 2
Mönchengladbach - Mayence 2 - 3
Francfort - Hoffenheim 0 - 4
Nuremberg - Kaiserslautern 1 - 3
Schalke 04 - Werder Brême 4 - 0
Fribourg - Dortmund 1 - 2
Bayer Leverkusen - Bayern Munich 1-1
dimanche
(15h30) Stuttgart - Cologne
(17h30) St Pauli - Wolfsburg
Classement: Pts J G N P bp bc dif
1. Dortmund 34 13 11 1 1 31 8 23
2. Mayence 27 13 9 0 4 22 14 8
3. Bayer Leverkusen 25 13 7 3 2 23 16 7
4. Hanovre 22 13 7 1 5 17 22 -5
5. Hoffenheim 21 13 6 3 4 26 16 10
6. Fribourg 21 13 7 0 6 19 20 -1
7. Francfort 20 13 6 2 5 20 15 5
8. Bayern Munich 20 13 5 4 3 18 13 5
9. Hambourg 18 13 5 3 5 19 20 -1
10. Nuremberg 18 13 5 3 5 18 21 -3
11. Werder Brême 15 13 4 3 6 19 31 -12
12. Wolfsburg 14 12 4 2 6 20 21 -1
13. Kaiserslautern 14 13 4 2 7 20 25 -5
14. Schalke 04 13 13 3 4 6 19 19 0
15. St Pauli 13 12 4 1 7 12 19 -7
16. Stuttgart 11 12 3 2 7 25 22 3
17. Mönchengladbach 10 13 2 4 7 23 36 -13
18. Cologne 8 12 2 2 8 13 26 -13.
LORIS FALQUET
Loris Falquet: «Sur tes skis dans la poudre, tu as l’impression d’être un superhéros»
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/loris_0.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/loris_0.jpg)Image © Yvain Genevain
Loris Falquet a frisé la paralysie. «Après un accident, on se pose les bonnes questions. Est-ce que ça en vaut la peine?»
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Les frères Falquet présentent leur nouveau film alors que la pratique du freeride fait débat. Le cadet donne la réplique
Gaëlle Cajeux - le 20 novembre 2010, 22h57
Le Matin Dimanche
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Leur prochain tournage devrait débuter en janvier, dans la vallée du Trient. Pour l’heure, Nicolas et Loris Falquet, alias Huck & Chuck, n’ont pas encore mis les skis. Les deux inséparables frangins vaudois parcourent la Suisse romande pour présenter leur dernier film, «Nomads», tourné l’hiver dernier en Engadine, aux Marécottes et dans les Pyrénées.
«On a réalisé notre «émission de télé» pour le web, en présentant des clips régulièrement, explique Loris Falquet. Le but était de ne pas montrer seulement les belles actions, mais aussi l’envers du décor, nos galères.» A commencer par cette chute qui lui a fracturé deux vertèbres.
Montrer le danger derrière le rêve, ça détonne dans le monde du freeride. Positionnement sincère ou simple moyen de vous distinguer?
Nico et moi l’avons toujours, toujours fait. Jusqu’en 2005, nous n’avions jamais eu d’accident. Et la deuxième fois où nous sommes allés en Alaska, nous avons été pris dans deux avalanches successives, à trois heures d’intervalle. Nous avons eu de la chance… Mais la question s’est posée: doit-on montrer ce genre d’images ou pas? La réponse nous semblait évidente. Déjà, c’est superimpressionnant, donc ça refroidit les gens. Et puis, ça fait partie de la chose. Pareil quand je me suis cassé le dos. On n’avait pas le droit de passer à côté. Je ne dis pas que ça va freiner les ardeurs des petits jeunes qui veulent se lancer là-dedans, mais ça fait partie de notre rôle de montrer le risque dans nos projets. D’autres ne montrent pas cet aspect. Mais nous, nous voulons être clairs.
Vous sortez des pistes. N’est-ce pas montrer le mauvais exemple?
Cette question revient constamment. Mais, avec mon frère, nous faisons tout pour prôner un bon exemple. J’estime que nous véhiculons l’image de sportifs, du dépassement de soi. Nous dissuadons les jeunes de rester dans leur canapé. Et puis, nous mettons tous les atouts de notre côté. Vous ne verrez jamais une image de Nico et moi sans casque. Nous sommes les premiers à mettre en avant le fait de porter toutes les protections possibles. Que ce soit une protection dorsale, un Barryvox, et maintenant le sac à dos avec airbag.
Reste que tout freerider professionnel donne envie à un public peu averti de l’imiter. Et de mettre sa vie, et parfois celle des autres, en danger.
C’est peut-être gonflé de ma part, mais je ne me suis jamais senti responsable de ça. Justement parce que dès que j’ai l’occasion de mettre l’aspect sécuritaire en avant, je le fais. Après, je suis totalement contre le fait d’interdire le freeride chez les jeunes. Au contraire, il faudrait avoir les moyens de les accompagner et, ainsi, d’éviter qu’ils ne commettent nos erreurs. Avec Nico, on a fait des choses tellement bêtes au début… On avait 14 ans, nos parents possédaient un chalet à la montagne mais nous n’avions pas la culture de la montagne. On a commencé en suivant les traces des premiers films américains, de Dominique Perret. Maintenant, la prévention s’est développée – elle est même, malheureusement, devenue un petit business dans le milieu – mais à l’époque c’était les prémices de ce sport et il n’y avait pas assez de recul pour avoir de bonnes idées préventives. On est chanceux d’être encore là.
Le fait d’avoir frôlé la paralysie n’a-t-il rien remis en question?
Après un accident, on se pose les bonnes questions. Est-ce que ça en vaut la peine? Dans mon cas, je vis de ma passion.
Et vous êtes aussi père de famille.
Le fait d’avoir un enfant, et que le deuxième arrive, n’a quasi pas changé mon approche. Car je n’ai jamais voulu me blesser, me faire mal, et j’ai encore moins envie de me tuer. J’ai toujours tout fait pour l’éviter. Enfin, depuis que je suis conscient des risques.
Depuis quand en avez-vous conscience?
Au fil des ans. Mais c’est clair que l’avalanche en 2005 fut un électrochoc. Quand tu es pris là-dedans, tu comprends que tu n’es rien. Tu essaies d’enlever la neige de ta bouche et en même temps tu tournes dans tous les sens, c’est le cauchemar absolu.
Que recherche-t-on à travers la pratique du freeride?
Ça dépend à quel âge. Ado, tu as un peu un comportement ordalique, tu vas faire n’importe quoi, te jeter en bas des rochers pour dire je suis le plus fort. En tant que pros, on essaie désormais de rendre un travail à un partenaire, de faire de l’image, de communiquer sur du rêve. Plus personnellement, sur tes skis, dans la poudre, tu as un feeling incroyable, l’impression d’être un superhéros. Ce n’est pas que tu te sentes invincible, mais tu as une sensation de vitesse, de liberté. Mettre tes skis, c’est comme enfiler ta combinaison de superman. Mais un superman avec des limites. Je m’en mets de plus en plus.
Quelles sont ces limites?
Celles que mes craintes m’imposent. Avec le temps, j’arrive davantage à les écouter. Je relativise. Si j’ai peur, je me dis: est-ce que ça vaut la peine de me mettre en danger pour une image? Même si de temps en temps, il reste le syndrome Kodak. Quand l’appareil photo ou la caméra est braqué sur toi, tu pousses un peu plus. C’est ce que les jeunes ont de la peine à comprendre. Ils voient des images qui représentent 1% de notre saison. Durant les 99 autres, on skie pour le plaisir, tranquillement.
Trouvez-vous qu’il faille condamner pénalement les freeriders qui déclenchent des avalanches?
Je trouve qu’on fait beaucoup de bruit avec cette histoire, car les médias n’ont pas une grande actualité à se mettre sous la dent. Attendez que l’initiative UDC passe et plus personne ne parlera du hors-piste. Je n’arrive pas à imaginer une loi qui statuerait sur cette pratique, et l’interdirait. C’est ingérable. Avec tous les domaines skiables en Suisse, vous imaginez le nombre de policiers qu’il faudrait? Les Etats-Unis le font, mais ça ne marche pas. On est quand même libre d’aller se promener en montagne.
http://www.lematin.ch/sports/ski/loris-falquet-skis-poudre-impression-superheros-351620
TENNIS
Et dans un cri, ils ont tué le match
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Roger Federer, quand il se départit de son flegme, crie fort et en trois langues: allemand, français et anglais
Le hurlement est un mode d’expression universel chez les huit qualifiés du Masters, qui commence aujourd’hui à Londres. Avec les années, ce langage s’est démocratisé. Il ne veut pas tout dire
Christian Despont - le 20 novembre 2010, 22h45
Le Matin Dimanche
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Quand le tennisman est en danger, il crie. Quand il a tué le match, après la balle meurtrière, il crie aussi. Toutes et tous ont ramené la dialectique à sa dimension bestiale, appropriée par le langage universel: le «vamos» de Rafael Nadal est repris dans la vraie vie par ceux qui ne sauraient commander une paella en espagnol, le «c’me on» de Lleyton Hewitt donne une portée héroïque à quantité de victoires insignifiantes – un dépassement réussi, une femme levée après un gros effort, un meuble Ikea monté sans erreur.
Le cri du tennis est à nul autre semblable: il évoque des incantations à la gloire des plaisirs charnels ou, parfois, chez l’homme, un mauvais porno bulgare, sans trahir les instincts auxquels il obéit farouchement - la peur, la pugnacité, la ruse.
Il éveille les fantasmes: et si le cri qui tue était le secret le mieux gardé de la rixe sportive, une stimulation savante de la force, du courage, ou de la concentration? L’exemple du tennis, d’un point de vue mécanique, nous apprend-il que crier en soulevant son bac à lessive rend la tâche moins lourde, ou que crier en blâmant son collègue permet de prendre le dessus dans l’échange?
Comme une femme au lit
Darren Cahill, ancien coach d’Andre Agassi, explique que le cri permet de «régurgiter l’air après une frappe, notamment un geste technique de haute précision qui, parfois, nécessite de retenir sa respiration». Un rugissement permet de délivrer toute la puissance au moment de l’impact (le cri de libération) ou de puiser un surcroît d’énergie au fond des tripes (l’apnée).
Alain Solves, entraîneur national de la Fédération française, explique dans le Temps: «Il existe aussi des joueurs, et surtout des joueuses, qui crient pour se donner du courage, un peu comme quand on a peur du noir. Et puis, il y a l’intimidation. Le joueur crie comme le coq qui hérisse sa crête, le gorille qui grogne en cognant sa poitrine, ou certains animaux qui gonflent la gorge. «Je crie, donc je suis.» Nous pouvons également tirer un parallèle avec les cris d’une femme au lit: il y a ceux qui servent à simuler, ceux qui symbolisent la libération au moment du relâchement total du corps, et le halètement d’une personne qui peine.»
Beaucoup aimeraient les étouffer. Alan Mills, chef des arbitres à Wimbledon pendant plus de vingt ans, en fit sa volonté testamentaire: «Il y a sans doute plus de grognements aujourd’hui qu’il n’y en a jamais eu. De nombreux joueurs et joueuses sont énervées par cette pollution sonore. Les autorités morales devraient intervenir.»
L’effort surjoué ou le glapissement belliqueux, au paroxysme de leur intensité, atteignent 110 décibels. Monica Seles, la première, a démocratisé ce mode d’expression primitif qu’était le râle. La Yougoslave appelait Henri désespérément – «han hi». A l’entraînement, elle n’émettait qu’un sifflement ténu. Elle a inspiré une vaste symphonie de couinements.
«J’ai commencé à crier parce que Monica était mon idole, confesse Venus Williams. C’était il y a vingt ans et je n’ai pas arrêté.»
Comme le voleur pourchassé
Les académies se défendent d’enseigner la piaillerie. Pour Nick Bollettieri, prosaïquement, le joueur de tennis ahane comme le bûcheron harassé, le voleur pourchassé, ou le mammifère en rut.
Tous les observateurs ne l’entendent pas de cette oreille: «Certains coaches incitent clairement à hurler, avoue une joueuse du top 100. Certaines filles en viennent à croire que si elles ne crient pas, elles ne cogneront pas fort.» Telle est la question: crient-elles fort parce qu’elles cognent fort, ou inversement?
Un règlement sanctionne l’onomatopée excessive et intentionnelle – il est également interdit de réciter un poème sur le court. Mais comment démontrer l’intention?
Aucun joueur n’avouera jamais qu’il gémit pour déstabiliser l’adversaire – encore moins qu’il est lui-même déstabilisé par un adversaire. En tout état de cause, il est scientifiquement prouvé que le cri ne tue pas. Même pas un match.
Football
Championnat d'Italie: l'Inter Milan coule alors que ses rivaux avancent
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Le milieu de terrain de l'Inter Milan, Wesley Sneijder (D) lutte pour le ballon contre les joueurs du Chievo, le 21 novembre 2010 à Vérone
L'Inter Milan s'est enfoncé en perdant au Chievo Vérone (1-2), dimanche, quand tous ses concurrents pour le titre ont avancé, à commencer par l'AC Milan, toujours leader après sa victoire contre la Fiorentina (1-0), samedi, lors de la 13e journée du championnat d'Italie.
le 21 novembre 2010, 17h34
LeMatin.ch & les agences
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La Lazio Rome a ramené 1 point de Parme (1-1) et reste 2e à 3 points de l'AC Milan, la Juventus Turin (3e) a gagné au Genoa (2-0), et l'AS Rome (4e) avait battu l'Udinese (2-0) samedi. L'Inter se retrouve 6e, à 9 points déjà de l'AC Milan, qui l'avait battu la semaine dernière dans le derby (1-0). Naples (5e/21 pts)) reçoit Bologne ce soir en match de clôture de la journée
A l'Inter, rien ne va plus. Après trois nuls, elle vient de concéder deux défaites de rang. Le président Massimo Moratti avait dit qu'il gardait l'entraîneur Rafael Benitez même en cas de défaite à Vérone, mais comment enrayer la chute?
Le champion d'Europe s'est incliné sur un but de Sergio Pellissier (29), qui a sauté bien plus haut que Davide Santon pour marquer de la tête, avant de se faire surprendre en contre au plus fort de sa domination par Davide Moscardelli (82).
Benitez n'est plus sauvé par Samuel Eto'o comme lors des trois premiers mois de la saison (17 buts avec l'Inter). Le Camerounais a marqué un 18e but inutile (90+2), mais a perdu ses nerfs en assénant un coup de tête +façon Zidane-Materazzi+ à Bostjan Cesar (mais moins fort), sans rien encourir de l'arbitre (38)!
Les rivaux des quintuples tenant du titre ont pu eux compter sur leur homme providentiel ce week-end. L'AC Milan a signé sa quatrième victoire de rang grâce au magnifique but de Zlatan Ibrahimovic, son 7e en Serie A cette saison, sur un retourné qu'il s'est servi tout seul, alors que la Fiorentina l'avait bousculé dans le jeu.
La Juventus Turin doit beaucoup à Milos Krasic, qui revenait après avoir manqué quatre matches de Serie A (suspendu pour tricherie puis blessé). Il a marqué un but tout en finesse (23), son 4e en Serie A (plus 5 passes décisives), qui permet à la Juve de monter sur le podium, en attendant le match de Naples qui reçoit Bologne dans la soirée et peut la doubler.
L'AS Rome elle peut remercier son meneur de jeu français, Jérémy Ménez, auteur d'un but superbe et d'une passe décisive contre l'Udinese, pour la cinquième victoire de la Roma en sept matches.
L'Inter est même rejointe par Palerme (7e), qui a gagné à Cesena (2-1), et talonné à 1 point par la Sampdoria Gênes (8e) qui s'est imposée à deux minutes de la fin à Lecce (3-2) grâce à un triplé de Giampaolo Pazzini, après s'être laissé remonter de 2-0 à 2-2.
Enfin Roberto Donadoni, engagé cette semaine, a commencé sa mission sur le banc de Cagliari par une victoire à Brescia (2-1), un rival pour le mainti
Tennis
Andy Murray punit Söderling aux Masters de Londres
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L'Ecossais a frappé un grand coup d'entrée du Masters de Londres en assommant 6-2 6-4 Robin Söderling en seulement 1h20'.
si - le 21 novembre 2010, 17h12
LeMatin.ch & les agences
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Très incisif au service avec un total de 10 aces, Andy Murray a survolé les débats face au vainqueur de Paris-Bercy. Il n'a connu qu'une seule alerte lors de cette rencontre, une balle de 4-2 au second set qu'il effaçait en armant son huitième ace de l'après-midi.
Eliminé l'an dernier dans le Round Robin, Andy Murray a, avec cette victoire en deux sets, pris une option sur sa qualification pour les demi-finales. Son prochain adversaire sera mardi le vainqueur de la rencontre qui opposera en soirée Roger Federer à David Ferrer.
Sur une surface beaucoup plus lente qu'à Paris, Robin Soderling est apparu exrêmement vulnérable à la volée. Le Suédois fut une proie trop facile pour un Murray qui a multiplié les passings gagnants dans ce match à sens unique.
Sven Nys gagne la 4e manche du Superprestige
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Illustration. © belga
Le champion de Belgique Sven Nys (Landbouwkrediet-Colnago) a remporté dimanche à Asper-Gavere la 4e manche du Superprestige de cyclo-cross.
Il s'est imposé de justesse au sprint devant Kevin Pauwels. Il a ainsi privé ce dernier d'un doublé, Pauwels ayant remporté samedi à Hasselt la 3e manche du Trophée GvA. Niels Albert a terminé troisième.
Sven Nys, qui signe un 7e succès en dix ans sur ce circuit, augmente son avance au classement du Superprestige.
Le PSG prend la tête, l'OM au finish contre Toulouse
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Le PSG, vainqueur de Caen (2-1) au Parc des Princes, a à son tour pris provisoirement les commandes de la Ligue 1 samedi, profitant de la défaite de Brest à Rennes (2-1), alors que l'OM a longtemps buté sur la défense toulousaine avant de trouver la faille (1-0).
Dans une L1 au sein de laquelle les présumés "gros" peinent à trouver le bon rythme et où tout le monde semble se valoir à peu près, les leaders se suivent sans parvenir à se maintenir au sommet. Après Toulouse, Saint-Etienne et Rennes, c'est donc Brest qui abdique à son tour et cède le pouvoir au PSG. Montpellier, qui joue samedi soir à Nice, et Lille, qui reçoit Monaco dimanche, peuvent néanmoins déloger le PSG en cas de succès, lors des derniers matches de cette 14e journée. Mais comme on le pressentait depuis plusieurs semaines au fil des matches convaincants livrés en L1, en C3 et en Coupe de la Ligue, le PSG est bel et bien candidat au titre.
Souvent incapables de bien négocier les matches susceptibles de les installer tout en haut et régulièrement hésitants au Parc des Princes, les Parisiens ont cette fois-ci fait le nécessaire. Comme contre l'OM lors du clasico, les deux attaquants Hoarau et Erding, parfois en difficulté cette saison, n'ont pas failli et ont marqué. Caen, qui n'a plus gagné depuis deux mois et se retrouve relégable, a pourtant bien résisté. El-Arabi, désormais seul meilleur buteur, a même marqué en fin de match son 10e but de la saison, face à Edel, finalement titularisé dans le but parisien après huit jours de flou autour de son traitement médical.
Leaders depuis la 11e journée, les Brestois, fragilisés après un nul et une défaite, ont donc dû rendre les armes. Ils regretteront peut-être surtout d'avoir dû le faire sur la pelouse de leur voisin breton Rennes (2-1), pour le premier derby entre les deux clubs depuis 1990. Les Rennais, avec Kembo-Ekoko buteur pour la 3e fois en trois matches, disposent de la meilleure défense du championnat et ne sont devancés qu'à la différence de but par le PSG. Marseille a de son côté eu bien du mal à faire céder les Toulousains (1-0). Gignac, de retour au Stadium, a beaucoup tenté mais n'a pas marqué, Taïwo a raté un penalty et c'est finalement Andre Ayew qui a sauvé l'OM sur un excellent centre d'Azpilicueta en fin de match.
L'équipe de Didier Deschamps (3e avec un match en retard contre Rennes) ne tourne toujours pas à plein régime, mais sa bonne deuxième mi-temps est encourageante à trois jours d'un déplacement décisif mardi à Moscou en Ligue des champions. Autre club engagé en C1, Auxerre a lui aussi pris un point, à Saint-Etienne (1-1). Avant un match à enjeu mardi à l'Abbé Deschamps contre l'AC Milan, les hommes de Jean Fernandez poursuivent donc leur belle série: les voilà désormais à huit matches sans défaite (six victoires et deux nuls). Pour son 300e match en L1, Pedretti est passeur décisif pour Mignot. Les Verts, eux, ne gagnent toujours pas depuis leur succès dans le derby contre Lyon (7e journée, 25 septembre).
Dans les autres matches, Nancy a bien réagi après l'injustice vécue la semaine dernière à Bordeaux (but de Wendel qui n'aurait pas dû être validé) en battant Valenciennes 2-0, alors que Sochaux, meilleure attaque à domicile, a facilement battu Lorient (2-0).
Liverpool reçoit 540.000 € pour la blessure de Gerrard
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La fédération anglaise de football (FA) versera un demi-million de livres (540.000 euros) au club de Liverpool comme dédommagement pour la blessure survenue à Steven Gerrard mercredi dans le match contre la France. Liverpool s'était accordé avec la FA pour que Gerrard joue au maximum durant 60 minutes lors du match amical contre la France.
Mais le sélectionneur Fabio Capello a titularisé Gerrard et l'a laissé sur le terrain la dernière demi-heure de jeu. À cinq minutes de la fin du match, le capitaine de Liverpool est sorti du jeu à cause d'une blessure aux adducteurs. Il sera absent des terrains pendant au moins quatre semaines.
Dans un communiqué la fédération a reconnu que l'arrangement n'avait pas été respecté et que par conséquent un dédommagement allait être accordé aux Reds.:diable:Du n'importe quoi........:p
masters atp
David Ferrer, le soldat inconnu
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David Ferrer est ce que le jargon a coutume d'appeler un métronome, un guerrier, un sapeur de génie
Pour sa deuxième participation, l'Espagnol passe toujours aussi inaperçu. Roger Federer l'a renvoyé à son anonymat (6-1 6-4)
Christian Despont - le 21 novembre 2010, 23h13
Le Matin
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L'homme que Roger Federer a étrillé hier, en ouverture du Masters, porte un nom d'une ressemblance confondante et, pour un peu, le même matricule (ATP 7). Mais cet homme-là ne fédère pas. Il est à peine distinct sur l'affiche du tournoi, et le fut encore moins (6-1 6-4), le soir venu, sous les projecteurs du «millenium», où la foule endimanchée l'a ignoré souverainement.
David Ferrer est ce que le jargon a coutume d'appeler un métronome, un guerrier, un sapeur de génie. Il est le soldat inconnu de la rixe tennistique: il court, il lutte, il fusille du regard; il use ses semelles aussi sûrement que ses adversaires, renvoyés à des notions élémentaires de résilience et de pugnacité.
Hier encore, il fut un adversaire sérieux, très sérieux - trop sérieux, sans doute, n'était cette tignasse qui lui donne un air voleur de poules. Il n'est pas le plus extravagant des grands maîtres réunis à Londres mais, comme toujours, il est le plus mésestimé. On le dit en retrait, il prend les devants (certes maladroitement). On le dit ringard, il est anar: qui a autant bousculé la hiérarchie ces cinq dernières années (certes poliment)?
Discrétion maladive
David Ferrer, dit «Ferru», dit «Le Poux», ne trouve rien à redire, lui. Il joue au tennis et, quand bien même il serait tenu d'en rendre compte, il ne s'est jamais senti la verve dialectique. Son anglais ferait passer la vache espagnole pour une érudite. Son sourire, ce trait d'esprit qui fendille son visage, semble indiquer qu'il a subi une ablation de la gaieté. Sa vie ressemble à la vie: «Je suis très famille. Sur les tournois, je quitte peu ma chambre d'hôtel, voilà.»
Aucune tentation périphérique ne vient le distraire de ce centre d'intérêt, la famille, sinon un goût avéré pour la lecture - maman était institutrice. David Ferrer évite les contacts avec la presse (faute d'en avoir, essentiellement) mais, s'il n'avait pas le charisme d'un pylône électrique, il revendiquerait bien quelque notoriété. Or le monde moderne, monde cruel, aime la singularité davantage que la fiabilité.
David Ferrer a lui-même très peu d'estime pour son travail. Peur de l'ambition, culte de la déception inéluctable: «J'ai une confiance limitée en mes moyens. Par conséquent, je redouble d'efforts. Mes matches, je les joue à la bagarre. Il n'existe pas d'autres façons de les gagner et je le sais.»
Spécialiste de la brique pilée
A 17 ans, cette énergie du désespoir l'abandonna. Il quitta les courts, mais son mentor l'enferma dans un cagibi de deux mètres sur deux, avec du pain et de l'eau, pour méditer sur les privilèges de sa condition. Plus tard, il sortit en boîte, mais son père l'y remit: «Si tu veux de l'argent pour t'amuser, va sur les chantiers.» David Ferrer prit un emploi de maçon. Une semaine après, il redevint un ouvrier du tennis, spécialiste de la brique pilée.
L'homme confesse une profonde admiration pour Rafael Nadal: «Tout le rend heureux. Mentalement, il nous dépasse tous.» Pourtant, Ferrer «travaille autant, ou presque», témoigne Emilio Sanchez, ancien capitaine de l'équipe d'Espagne. Au programme cet hiver: 10 et 14 kilomètres de jogging quotidiens, entrecoupés de quelques coups de raquette, histoire de garder la main. «Mon jeu repose essentiellement sur la résistance, l'endurance.» Emilio Sanchez: «David est un brave. Il pourrait mourir sur le court.»
Las, le brave a l'héroïsme fragile et, hier, sous le regard désabusé de Diego Maradona, il a ruiné toutes ses velléités de révolte (six balles de break ratées). A son premier Masters, en 2007, il était convaincu que ce serait le dernier: il a atteint la finale. Le revoilà, jailli de nulle part, avec les semelles usées, sans avoir acquis une très haute opinion de lui-même. Tant mieux, après tout: plus on tombe de haut, plus ça fait mal.
Federer et Murray n'ont pas traîné
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Roger Federer et Andy Murray ont passé sans encombre leur première journée au Masters de tennis, dimanche à Londres. Dans le deuxième simple du groupe B, le Suisse, 2ème joueur mondial, a dominé en deux manches l'Espagnol David Ferrer (N.7), 6-1 et 6-4, après un peu moins d'une heure et trente minutes de jeu.
Avant lui, Andy Murray (N.5) avait également fait une entrée convaincante dans le Masters en balayant le récent vainqueur du tournoi de Paris-Bercy, le Suédois Robin Soderling (N.4), aussi en deux sets: 6-2, 6-4. Lundi, Dick Norman et son partenaire sud-africain Wesley Moodie, têtes de série N.8 du tournoi de double, feront leur entrée en lice. Il seront opposés pour leur premier match dans le groupe B au Canadien Daniel Nestor et au Serbe Nenad Zimonjic (N.2). (belga/mb)
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Lille prend la tête de la Ligue 1, un Hazard "exceptionnel"
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Avec des buts de Frau et d'Obraniak, Lille qui a fait le spectacle sur sa pelouse, s'est imposé devant Monaco (2-1) et pris la tête de la L1 à la faveur de sa meilleure différence de buts face à Montpellier, dimanche lors de la 14e journée.
Cette première place est la récompense de la bonne série actuelle des Lillois qui ont signé leur troisième succès de rang après Brest (3-1) et Caen (2-5). Mais elle est apparaît aussi comme anecdotique, d'autant plus que Rennes et Marseille, à un et deux points derrière, doivent s'affronter en match en retard. Cette position ne change pas les objectifs. Alors qu'il n'a que deux défaites au compteur à Lyon (3-1) et devant l'OM (1-3), les vrais prétendants dixit Rudi Garcia, Lille vise encore le top cinq.
Même si, dit le technicien, "il n'est pas interdit de rêver" à une consécration après 1954 et 1946. Plus que le classement, c'est le succès en tant que tel qui marque la nouvelle maturité des Lillois. Depuis son éphémère place de leader en août 2006, ils avaient eu des opportunités. Mais à chaque fois, ils avaient manqué la marche qu'ils ont grimpée et maintenant devront confirmer à Bordeaux. Pour Monaco, après la légère éclaircie du succès à Nancy (0-4), le ciel s'assombrit davantage.
Les nuls à domicile contre Bordeaux (2-2) et Arles-Avignon (0-0) étaient déjà insuffisants. Voilà, les Monégasques qui recevront Nice samedi pour un derby très chaud, à nouveau au bord du précipice. Pour éviter leur quatrième défaite de la saison, Lacombe avait pourtant mis en place un système en 4-1-4-1 avec six joueurs à vocation défensive. Un système que Lacombe a fait évoluer après la pause avec les entrées de Gakpe et Haruna soit un attaquant supplémentaire puisqu'Aubameyang était sorti. La force de Lille, c'est donc sa philosophie et son attaque, la meilleure du championnat.
Ce constat valable depuis la saison dernière s'est une nouvelle fois vérifiée, même si parfois, à l'image de Gervinho (12, 49, 61, 62), les Dogues ont manqué de précision dans le dernier geste. L'efficacité en revanche, c'est Frau qui l'a connue. Après une talonnade géniale de Hazard, il a controlé, dribblé et tiré du droit. Le ballon frappé entre la pointe et l'extérieur du pied a eu une curieuse trajectoire et pris Ruffier à contre-pied (1-0, 39). Hazard a été encore exceptionnel.
Le lutin belge, après un relais avec De Melo a adressé un centre en retrait à Obraniak. La reprise du gauche du remplaçant de Gervinho (72) a permis au LOSC d'asseoir une victoire (2-1, 78) qui, avec les échecs de Sow et Gervinho, se refusait à lui. Car Lille avait pour la 8e fois de suite encaissé un but. Et l'ASM, plus en jambes en deuxième période alors qu'elle avait été longtemps inoffensive, était revenue. Sur un coup-franc de la droite de Mangani, Frau a détourné et Adriano au deuxième poteau a placé une magnifique bicyclette (57). (afp/mb)
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Tigroon46
22/11/2010, 10h35
Présent sans interruption aux 24 Heures du Mans entre 2001 et 2009, Luc Alphand a décidé de raccrocher son casque.
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Une décision amère mais sage, que lui a largement recommandée le Docteur Saillant. L’an dernier, l’ancien skieur avait été victime d’un grave accident de moto qui avait failli lui coûter la vie. Touché mais pas abattu, le sportif souhaite maintenant se tourner vers un nouveau sport.
Après la vente des locaux du Technoparc à Oak Racing, l’avenir de son équipe semble aujourd’hui incertain. En dix participations, le groupe managé par Philippe Poincloux a décroché trois podiums aux 24 Heures du Mans (2006, 2009, 2010) et deux titres Le Mans Series (2008, 2009). Progressivement, la structure mancelle s’était immiscée parmi les meilleures, et la troisième place acquise au cœur du duel Corvette-Aston Martin en 2006 avait ouvert les portes d’un partenariat privilégié avec General Motors.
Lucho restera dans la mémoire collective des paddocks pour son invariable bonne humeur.
Julien Hergault (j.hergault@lemans.org)
(j.hergault@lemans.org)
:pleure::pleure:
(j.hergault@lemans.org)
TENNIS
Maman les accompagne sur le chemin des courts
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Roger Federer, Novak Djokovic et Andy Murray sont suivis à Londres par leurs mères respectives, comme d’habitude.
Christian Despont - le 22 novembre 2010, 22h10
Le Matin
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MASTERS ATP
Quand les certitudes vacillent, il existe dans le tennis une posture absolue, quasi hiératique: ne pas bousculer ses habitudes. La routine est le dernier allié des conquérants, «elle rassure», avoue Roger Federer, dont les journées suivent un protocole monomaniaque.
Mais quand les habitudes semblent intenables, quand les certitudes restent fragiles, il existe dans le tennis une valeur refuge, quasi ultime: maman. A Londres, comme presque partout ailleurs, Lynette Federer, Dijana Djokovic et Judy Murray ont retrouvé leur place, la première, dans la sphère intime des champions surentourés.
A l’époque, Björn Borg était le premier à voyager avec un coach, quand ses contemporains ne voyaient pas la nécessité de s’encombrer. Au Masters, l’entourage de Roger Federer compte une douzaine de personnes, dont les parents, Lynette et Robert, associés aux succès de manière implicite, comme les membres honoraires d’une filiation prospère.
Omniprésente Lynette
Le couple suit les matches à distance respectable car, dit-on, Robert est très nerveux, et ne supporte pas les commentaires de son épouse. Lynette, elle, est omniprésente. Elle accompagne son fils jusque dans ses pérégrinations mondaines, aux Laureus Awards, dans les banquets, aux matches du FC Bâle. Sans ingérence, elle offre une égide confortable, un rempart contre les interférences cartellaires (agents, sponsors, directeurs de tournoi).
Dans son besoin de stabilité, Roger Federer a toujours privilégié un management de proximité. Ses rivaux ne sont pas différents. Judy Murray, ancienne joueuse, exerce une influence inavouable sur les choix d’Andy, tandis que Dijana Djokovic est la caution jusqu’au-boutiste de Novak, avec une hardiesse caractéristique: c’est elle qui, après une victoire sur Federer, s’était écriée «le roi est mort».
Chaque défaite, en soi, est aussi la défaite des mères. Mais elle est la promesse que, à la fin, tout redeviendra comme avant.
JUDY MURRAY
Cette amatrice éclairée (grande photo) a tenté sa chance dans les années 1970, vite rattrapée par le mal du pays et quelques doutes existentiels. Aussi a-t-elle entrepris d’instruire ses deux fils, éperonnés avec semblable vigueur, éveillés à l’impérieuse complexité du tennis moderne. Andy, l’aîné, a surclassé Jamie. Pour beaucoup (à tout le moins pour certains), l’intelligence de son jeu est l’œuvre d’un cerveau fécond, celui d’une femme.
En 2005, à Wimbledon, Judy fut surprise à filmer le futur adversaire de son fils, George Bastl, et devint «the spy mum» (la mère espionne). Elle est désormais partout, rieuse
et teigneuse, mère poule ou maman ourse, forcément abusive, totalement mégacool. Quand Andy oublie d’emporter ses chaussures en Floride, elle prend l’avion aussitôt. En Angleterre, elle est devenue un exemple, un symbole, la figure suprême de la matrone. En bon français: une people.
DIJANA DJOKOVIC
La famille a grandi sur les hauteurs de Kopaonik, dans un restaurant de montagne où des promoteurs égarés, un matin, sont venus construire des courts. Dans cette rudesse pastorale, Novak Djokovic a esquivé la guerre et appris la combativité. Sa maman, Dijana, pense que le tennis les a sauvés: «Sans cette échappatoire, nous aurions passé nos journées dans la terreur, les yeux rivés vers le ciel, à écouter nos fenêtres trembler.»
Novak avait 12 ans quand il est entré dans une grande académie allemande. Depuis ses débuts professionnels, Dijana, poings serrés et mâchoire conquérante, s’érige en autorité bienveillante, farouchement patriarcale. En Australie, elle loge toute sa multitude dans le même appartement: «Quand nous sommes si loin de la maison, Novak est nostalgique. Très nostalgique. Nous devons lui offrir notre soutien, c’est notre volonté à tous.»
LYNETTE FEDERER
Dès les premières effervescences, Lynette a abandonné un poste de direction dans l’industrie pharmaceutique pour accompagner son fils, dont elle a assumé l’image et la bonne éducation: «Roger a grandi dans un environnement normal, avec deux parents qui travaillent. Nous lui avons enseigné de ne jamais oublier d’où il vient, de traiter tout le monde avec le même respect, de la star au garçon d’étage.»
Lynette et Robert ont soutenu les choix, sans les instiguer. Ils n’ont eu qu’un postulat de départ: «Fais ce que tu veux de ta vie, mais fais-le bien.» Aujourd’hui encore, Lynette s’émeut des dimanches soir où, à 14 ans, Roger reprenait le train pour Ecublens, à destination du centre d’entraînement. «Pour nous aussi, ces séparations étaient déchirantes.»
Profondément attaché aux racines sud-africaines de sa maman, Roger Federer a acquis un terrain à Knysna, ancien repaire des footballeurs français. Lynette, peu à peu, s’est rendue célèbre dans le monde entier, où elle signe des autographes et pose pour des touristes japonais. Avec la presse, selon le désir péremptoire de son fils, elle décline poliment les interviews: «Désolé, mais je vais encore passer mon tour.»
TENNIS
Masters: facile victoire de Djokovic sur Berdych
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Image © AFP
Le Serbe Novak Djokovic a facilement battu le Tchèque Tomas Berdych en deux sets 6-3, 6-3, pour son entrée en lice dans le Masters, lundi à Londres, lors de la deuxième journée.
le 22 novembre 2010, 17h08
LeMatin.ch & les agences
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Le No 3 mondial a pris d’entrée le service de son adversaire dans les deux manches et a tranquillement contrôlé la suite des événements grâce à sa solidité du fond du court.
Insuffisant au service (48% de premières balles), Berdych a commis trop de fautes en tentant de refaire son retard (28, dont 14 en coup droit).
C’était la troisième rencontre de l’année entre les deux hommes, le Tchèque ayant remporté la première en demi-finale de Wimbledon et le Serbe la deuxième en demi-finale de la Coupe Davis.
Le second match du groupe A opposera le No 1 mondial Rafael Nadal à l’Américain Andy Roddick dans la soirée.
Tennis Messieurs
Rafael Nadal revient de nulle part
23 novembre 2010 00:39 http://www.tsr.ch/66b/medias/images/keystone/2714216.image?w=480&h=270 Le Majorquin a dû faire preuve de ténacité pour obtenir un premier succès. - Kirsty Wigglesworth [Keystone]
Rafael Nadal a connu une entrée en matière délicate au Masters de Londres. Longtemps malmené par un très bon Andy Roddick, le no1 mondial s'est finalement imposé sur le fil 3-6 7-6 6-4 après plus de 2h30 de jeu.
Rafael Nadal est revenu de nulle part lors de son premier match au Masters 2010 de Londres. Le no 1 mondial a, en effet, accusé un set et un break de retard face à Andy Roddick avant de renverser le cours de la partie.
Rafael Nadal s'est imposé 3-6 7-6 (7/5) 6-4 pour ouvrir enfin son compteur au Dôme du millénaire après les trois défaites en deux sets qu'il avait concédées l'an dernier. Mais pendant plus d'une heure, le Majorquin a été bousculé par un Roddick très incisif. Seulement, l'Américain s'est finalement brisé devant les passings de son adversaire. Son pourcentage de réussite au filet fut, ainsi, tout juste supérieur à 50 % (17 points sur 33).
Roddick n'a pas su saisir ses opportunités
http://www.tsr.ch/77e/medias/images/keystone/2714355.image?w=230&h=165 Andy Roddick peut nourrir certains regrets après cette défaite face au no1 mondial. [Keystone] (http://www.tsr.ch/b54/medias/images/keystone/2714355.image?w=418&h=300)Le tournant de ce premier affrontement en indoor pour les deux hommes s'est situé au quatrième jeu du deuxième set. Roddick, qui venait de ravir le service de Nadal pour mener 2-1, commettait une double-faute à 30-30 avant de sortir un coup droit sur le point suivant. Au bord du gouffre quelques secondes plus tôt, Rafael Nadal retrouvait la vie avec le gain de ce premier break. Dans le jeu décisif, il a dû encore retourner une situation critique quand Roddick a mené 3-2 avec deux services à suivre.
Le troisième set fut plus paisible pour Rafael Nadal. Le no 1 mondial a signé le break au cinquième jeu pour s'imposer après 2h35' de match. Il affrontera mercredi Novak Djokovic alors que Roddick tentera de rester dans la course à la qualification pour les demi-finales en s'imposant contre Tomas Berdych.
Absent des courts pendant six semaines, Rafael Nadal est désormais "lancé". Il ne sera peut-être que plus dangereux alors qu'il n'avait pas pu masquer un certain désarroi en début de rencontre en raison de son absence de repères.. Mais sa grande force est de ne jamais renoncer même si tout se ligue contre lui: la valeur de l'adversaire et une surface qu'il n'affectionne guère avec un rebond trop bas.
si/alt
Ligue des champions
L'Inter pour se relancer, le Barça pour confirmer
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L'Inter Milan, mal barré en championnat, veut se refaire une santé avec la Ligue des champions.
L'Inter Milan doit battre mercredi Twente afin de se qualifier pour les 8es de finale et éloigner ses tourments actuels. Parallèlement, le FC Barcelone dispose de plusieurs cas de figure pour prendre son billet.
le 23 novembre 2010, 14h14
LeMatin.ch & les agences
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Groupe A:
Inter Milan - Twente: Les nuages s'accumulent dans le ciel de l'Inter et les Milanais auraient tout intérêt à empocher leur qualification dès mercredi soir. Le scénario est simple: une victoire et c'est gagné. Le billet pour les 8es de finale permettrait d'oublier les contre-performances qui s'enchaînent dans le Calcio, dont la dernière en date, une défaite peu reluisante contre le Chievo Vérone (2-1). Ce revers a par ailleurs été assorti d'un geste d'énervement d'Eto'o qui a asséné un coup de tête façon Zidane-Materazzi sur la poitrine de Cesar, défenseur du Chievo.
Tottenham - Werder Brême: Les Spurs vivraient une semaine de rêve s'ils se qualifiaient dès mercredi. Pour Tottenham, le calcul est simple: une victoire et c'est fait. Cette qualification pour les 8es surviendrait alors cinq jours après le succès contre le voisin londonien honni, Arsenal, battu 3-2 samedi.
Groupe B:
Schalke 04 - Lyon: Alors qu'il suffisait d'un nul lors de la précédente journée pour décrocher son billet pour les 8es, Lyon s'est incliné au Portugal face au Benfica 4-3 ! A la mi-temps, l'OL était mené 3-0 et a au moins eu le mérite de réagir. C'est bien là le problème de l'équipe de Claude Puel qui joue "à mi-temps" en ce moment, incapable d'évoluer au même rythme pendant 90 minutes. Si elle ne perd pas, l'équipe du président Aulas sera qualifiée. Même une défaite, conjuguée avec celle, improbable, de Benfica, débouchera sur la même issue. Attention dans tous les cas à Raul, qui vient de s'offrir un triplé ce week-end en Bundesliga contre le Werder Brême (4-0).
Hapoël Tel-Aviv - Benfica: L'enjeu du Benfica est simple: pour disputer une "finale" lors de la dernière journée dans leur stade de la Luz contre Schalke, les Portugais doivent ramener quelque chose d'Israël, chez une équipe définitivement éliminée. Ceci afin de rester à portée des Allemands quel que soit leur résultat.
Groupe C:
Glasgow Rangers - Manchester United: Un petit point enverrait MU en 8es de finale, alors que Glasgow a absolument besoin d'une victoire pour rester dans la course. L'attraction sera aussi le retour en C1 de Rooney, entré en jeu pour les 25 dernières minutes contre Wigan (2-0) samedi. "Il jouera contre les Rangers mercredi, c'est l'occasion idéale pour lui de pouvoir jouer 90 minutes", a dit son entraîneur, Alex Ferguson. Ca tombe bien, le pilier de la défense écossaise, Bougherra, est forfait.
Valence - Bursaspor: Les Espagnols prendront leur billet pour les 8es s'ils font mieux que les Rangers. Certains joueurs précédemment touchés se sont entraînés normalement lundi (Topal, Mata), contrairement à David Navarro et Miguel, incertains. Le club turc marquera-t-il le premier but et arrachera-t-il le premier point de son histoire dans la compétition ? Sur ses six derniers matches toutes compétitions confondues, Bursaspor ne l'a emporté qu'une fois...
Groupe D:
Rubin Kazan - Copenhague: Les Danois sont en position de force: ils se qualifieront en cas de victoire, mais aussi s'ils ne perdent pas et que dans le même temps le Panathinaikos ne bat pas le Barça. Les Russes doivent pour leur part décrocher leur première victoire dans la poule pour y croire encore. Pas évident pour une équipe actuellement abonnée aux nuls (huit sur ses dix derniers matches, toutes compétitions confondues).
Panathinaïkos - FC Barcelone: Plusieurs scénarios s'offrent au Barça pour se qualifier: une victoire, un nul à Athènes ou encore une défaite (qui n'annule pas le bénéfice du match aller remporté 5-1) couplée à une défaite ou un nul de Rubin Kazan. Le Barça pourra ainsi se préparer au clasico de lundi prochain avec la réception du Real Madrid. D'où l'objectif qualification, mais aussi zéro blessure. Pep Guardiola pourrait du coup faire tourner son effectif. Le Pana subira-t-il alors le feu catalan comme Almeria, fessé 8-0 à domicile en championnat ? Les Grecs, déjà battus 5-1 au Camp Nou, seront en outre privés de leur milieu Karagounis, suspendu.
SKI ALPIN
Didier Défago: «J’apprends la patience»
Deux mois après son opération du genou, le Valaisan tire un bilan très positif. Mais ne cache pas que l’intensité sportive lui manque.
Gaëlle Cajeux / Sion - le 23 novembre 2010, 13h31
LeMatin.ch
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Opéré il y a huit semaines pour reconstituer son ligament croisé antérieur, Didier Défago se dit aujourd’hui «très satisfait de la façon dont évolue mon genou». Le champion olympique de descente a pu poser «les cannes et l’attelle» et marche désormais sans boiter et, surtout, sans douleur. «J’ai pu recommencer à faire un peu de vélo et j’entame le travail proprioceptif (travail de l’équilibre)», explique-t-il. En avouant tout de même: «Au niveau sportif, il me manque l’intensité. Ce n’est pas évident lorsqu’on a l’habitude de vivre à un rythme effréné. J’apprends la patience.»
Entre les nombreuses sollicitations de ses sponsors, le Valaisan profite de sa convalescence pour passer un maximum de temps en famille. «J’ai de la chance, mon épouse est magnifique et me soutient beaucoup. Et je vois mes enfants grandir.»
Après des vacances à la mer en fin d’année, Didier Défago reprendra l’entraînement en janvier, «à 200 à l’heure». Son objectif: «Retrouver les membres de l’équipe nationale en mai 2011 pour la phase de condition physique, puis remettre les skis en juillet et être à leur niveau.»
Tennis
Coupe Davis: la France avec Monfils, Simon, Llodra, Gasquet et Clément
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Les grands espoirs de titre reposeront sur les épaules de Gaël Monfils (au centre).
L'équipe de France de Coupe Davis sera composée de Gaël Monfils, Gilles Simon, Michaël Llodra, Arnaud Clément et Richard Gasquet pour aller défier la Serbie en finale du 3 au 5 décembre à Belgrade.
le 23 novembre 2010, 11h32
LeMatin.ch & les agences
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C'est une sélection sans surprise dans la mesure où Jo-Wilfried Tsonga et Julien Benneteau sont tous deux forfaits sur blessure.
Cette formation n'est cependant pas encore définitive puisque le capitaine Guy Forget doit encore retrancher un nom de cette liste de cinq joueurs - quatre titulaires et un remplaçant - le jour du tirage au sort prévu à la veille de la finale, le jeudi 2 décembre à Belgrade.
webamanu
23/11/2010, 15h53
UFC 123 : la soirée de Rampage et Penn
Samedi 20 novembre 2010
http://i.usatoday.net/communitymanager/_photos/fighting-stances/2010/11/20/ufc123x-wide-community.jpg
Les yeux de Quinton "Rampage" Jackson sont devenus gros comme des balles de tennis de table quand Bruce Buffer a crié le nom du vainqueur du combat principal du UFC 123, samedi soir.
"On m’a botté le derrière ce soir! Je croyais que mes entraîneurs allaient me passer un savon", a avoué Jackson, qui venait pourtant d'apprendre qu'il avait battu Lyoto Machida par décision partagée dans un combat opposant deux anciens champions des mi-lourds.
Il est vrai que Rampage se relevait tout juste d'un mauvais quart d'heure quand l'arbitre Herb Dean a levé son bras pour confirmer sa victoire. Le troisième round était vieux d’une minute et demie quand une droite de Machida l’a mis dans le pétrin pour la première fois de la soirée. Le temps d’un battement de cil, Rampage avait le dos dans le grillage et encaissait successivement le tibia gauche et le genou droit du Brésilien au visage.
Jackson a trouvé l’énergie nécessaire pour lancer une contre-attaque, mais Machida a encaissé et a réussi une projection qui l’a éventuellement amené en montée complète. Malgré une tentative de clé de bras ratée quelques instants plus tard, le Dragon a regagné son coin avec la certitude qu’il avait gagné le troisième round, mais deux des trois juges ont décidé que Jackson avait dominé les deux premiers.
Le vainqueur a rapidement concédé que Machida méritait une revanche et la proposition n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Le Brésilien a émis le même souhait quelques instants plus tard.
Machida, qui semblait intouchable avant de rencontrer son compatriote Mauricio Rua sur son chemin l'an dernier. Celui qui a éventuellement perdu sa ceinture aux mains de "Shogun" a maintenant subi deux défaites de suite.
Jackson a gagné trois de ses quatre derniers combats. Sa défaite au cours de cette séquence est survenue contre Rashad Evans.
www.rds.ca (http://www.rds.ca)
http://www.sportsnewscaster.com/wp-content/uploads/2010/11/Rampage.jpg
LIGUE DES CHAMPIONS
Bâle peut y croire encore
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Federico Almerares (à g.) a ouvert le score pour Bâle à la 15e.
Le FC Bâle s'est imposé au Parc Saint Jacques 1 à 0 face au club roumain Cluj. Mais dans le même temps, la victoire de l'AS Rome à domicile face au Bayern Munich (3-2) complique sérieusement la tâche des joueurs de Thorsten Fink. Les Rhénans doivent gagner à Munich au prochain match, et espérer la défaite des Romains face à Cluj, s'ils veulent se qualifier pour les 8es de finale de la Ligue des champions.
le 23 novembre 2010, 21h22
LeMatin.ch
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Vainqueur 1-0 de Cluj lors de la 5e journée de la Ligue des champions, le FC Bâle a assuré l’essentiel, à savoir la troisième place du groupe E synonyme de 16es de finale de l’Europa League. La soirée aurait même pu être plus belle, si l’AS Rome, menée 2-0 par le Bayern, ne s’était pas finalement imposée 3-2.
La donne est simple: Bâle doit l’emporter à l’Allianz-Arena le 8 décembre et espérer un revers de la Roma à Cluj. Tel est le seul scénario qui offrirait aux Rhénans une première qualification pour le top 16 de la Ligue des champions, après deux tentatives infructueuses (2002/03 et 2008/09).
Ce succès, le FCB le doit avant tout à sa parfaite entame de match. En manque de résultats et au coeur d’un scandale en Roumanie, Cluj a été complètement étouffé par des Rhénans conquérants et nettement supérieurs athlétiquement. La preuve par les chiffres: 25 minutes de jeu, 70 % de possession de balle pour le champion de Suisse, 7 tirs à 0, un but.
Fiabilité
L’artificier se nomme Federico Almerares, normalement quatrième dans la hiérarchie des attaquants bâlois mais aligné d’entrée grâce aux blessures de Streller et Zoua, voire même de Chipperfield. Or l’Argentin, souvent à l’infirmerie, n’est pas homme à laisser passer sa chance, puisqu’il a marqué trois fois en quatre titularisations cette saison en Super League. L’ancien junior de River Plate s’est cette fois-ci montré le plus prompt à bondir sur un tir écrasé d’Inkoom pour prendre à défaut une défense roumaine bien trop passive (15e).
Malgré le forfait de dernière minute de Huggel (problèmes de dos), le champion de Suisse n’a pas eu à trembler, la paire Yapi- Cabral ayant livré une honnête prestation dans l’axe du milieu de terrain. Heureusement quand même que Culio, qui a confirmé, comme à l’aller, être le meilleur footballeur du CFR, s’est retrouvé trop isolé dans la formation de Sorin Cartu pour véritablement bousculer un FC Bâle qui a eu tendance par la suite à se satisfaire de ce score et à reculer. Et, c’est bien connu, personne n’est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise.
Comme un grand
D’autant que le champion de Suisse a eu plusieurs occasions de doubler la mise, manquant parfois de réussite, comme quand Piccolo a suppléé son gardien sur un essai de Frei (17e) ou quand sur la frappe de Tembo, légèrement déviée, le ballon a terminé sa course sur la transversale de Nuno Claro (60e). Frei a même cru avoir inscrit son 7e but de la campagne (dont 2 en qualifications) à la 73e, avant d’être justement sanctionné pour une position de hors-jeu de quelques centimètres.
La dernière journée de cette poule promet son lot d’émotions. Après la défaite à domicile contre la Roma, Valentin Stocker évoquait avec humour au micro de la TSR un «deal» avec le Bayern. En tenant compte de la fierté des Bavarois et de la rivalité germano- suisse, il y a peu de chances que cela se produise. Le FCB devra aller gagner sa place en 8es de finale tout seul, comme un grand. Sa courte et rageante défaite 2-1 face aux Bavarois en septembre a prouvé quelque chose: il en est capable. A Cluj après de faire le boulot.
Masters de Londres
Federer: «Murray n’était pas dans un grand jour»
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Royal comme à ses plus beaux jours, Roger Federer a signé sa victoire la plus éclatante sur Andy Murray. Au Dôme du millénaire dans le cadre du Round Robin du Masters de Londres, le Bâlois a littéralement déclassé l’Ecossais.
le 23 novembre 2010, 16h49
LeMatin.ch & les agences
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Roger Federer s’est imposé 6-4 6-2 en seulement 1h17’. Il a, ainsi, pris sa revanche sur un adversaire qui l’avait battu lors de leurs deux dernières confrontations, en finale des Masters 1000 de Toronto et de Shanghaï. Avec cette victoire, qui survient deux jours après celle obtenue devant David Ferrer (6-1 6-4), Roger Federer a fait un grand pas vers la qualification pour les demi-finales. Elle pouvait être officialisée en soirée si Ferrer gagnait un set face à Robin Soderling.
Dans le mur
Pourtant brillant dimanche contre Robin Soderling, Andy Murray a été totalement désarmé devant un adversaire très inspiré. Roger Federer a, ainsi, saisi la moindre ouverture pour faire claquer son coup droit. Son slice de revers lui a permis, par ailleurs, de neutraliser à la perfection un Murray qui a compris très vite qu’il allait dans le mur. «J’ai trop mal servi et trop mal retourné cet après-midi, avoue Murray. Le retour est pourtant mon meilleur coup. Il m’a complètement lâché».
Ce manque de réussite à la relance explique pourquoi l’Ecossais ne s’est pas procuré la moindre balle de break. Federer n’a perdu que huit points sur ses jeux de service, dont deux à 5-4 au premier set. Dans ce dixième jeu, Federer a été mené 0-30 avant d’aligner quatre points de rang avec un réalisme qui a dû faire froid dans le dos des fans de Murray.
Avec le premier set dans la poche et sans doute la conviction d’évoluer à son plus haut niveau, l’homme au seize titres du Grand Chelem n’avait plus rien à craindre. Il enfonçait le clou ensuite en enlevant les quatre premiers jeux du second set. Une nouvelle fois présent au stade, Diego Maradona ne finissait pas d’applaudir les coups du Bâlois dont il a fait - enfin - la connaissance après la rencontre. «Fais-moi rêver avec ton service!»
«Murray n’était pas dans un grand jour, c’est sûr, soulignait Roger Federer. Je suis tout de même surpris de la manière avec laquelle je l’ai battu. Mais malgré cette défaite, il demeure toujours en course. Le condamner serait une erreur».
La recette était tracée pour Roger Federer: réussir son début de match. «A Shanghaï, Murray m’avait cueilli à froid en signant le break d’entrée. Je ne voulais en aucun cas que cela se reproduise cet après-midi, explique-t-il. J’ai gagné le tirage au sort. J’ai choisi de recevoir. Je me suis dit, allez Andy, fais-moi rêver avec ton service ! Le coup n’est pas passé loin. J’ai eu une balle de break dans ce jeu».
Roger Federer s’est vraiment régalé sur cette surface beaucoup plus lente qu’à Bâle et Paris-Bercy qui a été conçue avant tout pour favoriser les desseins d’Andy Murray. «Elle exige une très grande intelligence de jeu. Elle «prend» parfaitement le slice, note Roger Federer. Comme j’adore jouer utiliser ce coup, je ne vais pas vraiment me plaindre».
Le Real lessive l'Ajax, l'AC Milan en huitièmes de finale
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© epa
Le Real Madrid n'a laissé aucune chance à l'Ajax mercredi soir à l'ArenA d'Amsterdam. Les Madrilènes ont gagné 0-4 grâce à des buts de Benzema, d'Arbeloa et un doublé de Ronaldo. Le Real est prêt pour le clasico. L'Ajax est lui éliminé de la Ligue des Champions puisque l'AC Milan a été l'emporter 0-2 à Auxerre. Les Rossoneri sont qualifiés pour les huitièmes de finale.
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Benzema a profité de la talonnade géniale d'Özil pour inscrire son premier but de la saison en C1. © reuters
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Le troisième but du Real, le premier de la soirée de CR7, avant le penaty.
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Faits marquants des cinq dernières minutes: les exclusions de Xabi Alonso et de Sergio Ramos.
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Le Real est assuré de terminer 1er du groupe de la mort après sa victoire à Amsterdam. © epa
L'Ajax Amsterdam n'a pour ainsi dire pas existé mercredi soir face au Real Madrid, plus que jamais favori dans la compétition. Les Hollandais se sont créés une seule occasion franche sur toute la partie. Qui plus est sur coup-franc, via Jan Vertonghen, dont la frappe a poussé Iker Casillas à la parade. On jouait alors la 68e minute et c'était déjà 0-2.
Premier de Benzema
Madrid inscrit son premier but dans le troisième quart d'heure suite à une fantastique talonnade aérienne d'Özil dans le rectangle. Benzema est à la réception et place du plat du pied dans la lucarne de Stekelenburg (36e, 0-1).
Arbeloa fait le break
Les Espagnols font le break juste avant la pause après une tentative de Marcelo (38e). Le coup-franc de Ronaldo est contré par le mur hollandais. Le ballon revient dans les pieds d'Arbeloa dont la frappe à la trajectoire étrange surprend le gardien de l'Ajax (44e, 0-2). Le match est plié.
L'Ajax ne réagit pas
Dès la reprise, Ronaldo met un grand pont à Alderweireldt pour se présenter face à Stekelenburg, qui dévie la frappe du Portugais sur la barre transversale (46e). La réaction de l'Ajax ne vient pas. Di Maria, monté au jeu, récupère une mauvaise passe d'Emanuelson puis sert Ronaldo qui bat Stekelenburg pour la troisième fois (70e, 0-3).
Doublé de Ronaldo
Ronaldo inscrit un doublé sur penalty après une nouvelle erreur d'Emanuelson, dans le grand rectangle cette fois. Le joueur de l'Ajax accroche Özil. CR7 place au milieu du but (81e sur penalty, 0-4).
Le Real à 9!
Dans les cinq dernières minutes, on note les exclusions consécutives de Xabi Alonso (86e) et Sergio Ramos (90e) pour leur second carton jaune (volontaires?). Le Real termine à 9 mais gagne 0-4. Les Galactiques ont joué sur une autre planète.
Christophe Durant
5e journée de Ligue des Champions: résultatsAS RomeBayern Munich3-2BâleCluj1-0ChelseaZilina2-1Spartak MoscouMarseille0-3AjaxReal Madrid0-4AuxerreAC Milan0-2BragaArsenal2-0PartizanShaktar0-3
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Philippe Gilbert et Elisabeth Davin élus Mérites sportifs
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/14/8/media_xl_3952718.jpg?20101123220704 Romelu Lukaku et les relayeurs du 4x400 m également récompensés
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7S7 mise à jour Le coureur cycliste Philippe Gilbert, 27 ans, a été élu Mérite sportif masculin de la Communauté française de l'année 2010, lors de la cérémonie de remise des prix, mardi soir à Tournai. L'athlète Elisabeth Davin, 29 ans, a quant à elle été élue Mérite sportif féminin. Ils succèdent respectivement au pilote automobile Bertrand Baguette et à la judoka Charline Van Snick au palmarès de ce trophée créé en 2011. Le footballeur Romelu Lukaku, 17 ans, et la judoka Lola Mansour, 16 ans, ont été élus pour leur part Espoir masculin et Espoir féminin. Enfin, l'équipe du relais 4x400 m messieurs et l'équipe nationale de basket féminin des moins de 17 ans ont remporté les trophées dans les catégories Collectif masculin et Collectif féminin.
Philippe Gilbert, qui avait déjà reçu le prix du Meilleur espoir masculin de la Communauté française en 2003, a connu en 2010 sa meilleure saison: il a notamment remporté cette année l'Amstel Gold Race, deux étapes du Tour d'Espagne, le Tour du Piémont et le Tour de Lombardie.
Le Remoucastrien, qui a terminé l'année à la 3e place du classement mondial UCI, est également un des trois nominés pour le titre de Sportif belge de l'année (qui sera décerné le 19 décembre), avec le champion d'Europe du 400 m Kevin Borlée et le champion du monde de saut d'obstacles Philippe Le Jeune, lauréat la semaine dernière du Trophée national du mérite sportif, qui s'est lui consolé en décrochant le prix du coup de coeur masculin de la soirée.
Elisabeth Davin, sacrée championne de Belgique du 60 m haies indoor à Gand, a décroché cette année la médaille d'or du 100 m haies aux Jeux de la Francophonie et a atteint les demi-finales du 100 m haies l'été dernier aux championnats d'Europe d'athlétisme à Barcelone.
Soderling préserve ses chances en battant Ferrer
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Le Suédois Robin Soderling a préservé ses chances de qualification pour les demi-finales du Masters en battant l'Espagnol David Ferrer en deux sets 7-5, 7-5, lors de la 3e journée mardi à Londres.
Décevant contre Andy Murray dimanche, le finaliste de Roland-Garros a nettement dominé les débats grâce à son service (12 aces) et à son coup droit.
Il s'est tout de même fait une petite frayeur lorsqu'il a concédé un débreak à 7-5, 5-3, dans un jeu où il s'était trouvé à deux points du match. Mais il allait de nouveau faire la différence deux jeux plus tard pour mener 6-5.
Il existe maintenant de très nombreux scénarios pour l'accession au dernier carré.
Soderling, à égalité parfaite avec Murray (1 victoire, 1 défaite, 2 sets gagnés, 2 sets perdus), rencontrera dans son dernier match de poule Roger Federer, qui n'a besoin que d'un set pour passer.
Une victoire n'assurerait pas forcément la qualification du Scandinave, pas plus qu'une défaite ne l'éliminerait automatiquement.
Même Ferrer garde une chance, très mince, de passer après avoir perdu ses deux premiers matches en deux sets.
Marseille et l'AC Milan au paradis
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Marseille s'est qualifié pour les 8e de finale de la Ligue des champions avec son succès 3 à 0 sur la pelouse du Spartak Moscou, tandis que Ibrahimovic et Ronaldinho ont permis à l'AC Milan de se qualifier aux dépens d'Auxerre (2-0).
Marseille et l'AC Milan rejoignent les trois clubs qui étaient déjà qualifiés pour les 8e depuis la précédente journée, le Real Madrid, Chelsea et le Bayern Munich.
De son côté, le Bayern, qui retrouvait Ribéry en Ligue des champions, de retour de blessure, a bien commencé avec un doublé de Gomez mais s'est laissé remonter et dépasser au score par l'AS Rome, finalement vainqueur 3-2 dans le groupe E, tandis que Bâle se plaçait en 3e position en battant 1-0 Cluj. Mais un nul de l'AS Rome contre les Slovènes suffira à qualifier les Italiens lors de la dernière journée.
Dans le groupe F, outre le succès de Marseille, la petite victoire de Chelsea 1-0 face aux Slovaques de Zilina permet aux Anglais de conforter leur première place de la poule et d'appréhender dans une position privilégiée le tirage au sort du 17 décembre.
Le Real était déjà qualifié dans le groupe G et a logiquement consolidé sa première place de groupe en dominant l'Ajax 0-4.
Enfin dans le groupe H, notons la victoire 2-0 du Sporting Braga devant Arsenal et la défaite 0-3 du Partizan Belgrade des oeuvres du Shakhtar Donetsk (0-3).
Federer dégoûte Murray
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© afp
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7S7 mise à jour Roger Federer a balayé Andy Murray en deux sets 6-4, 6-2 et 1 h 16 min de jeu lors de la 3e journée du Masters, mardi à Londres. Le Suisse a évolué tout près de son meilleur tennis alors que le Britannique a paru inhibé, peut-être par le fait de jouer devant son public.
26 fautes pour Murray
Federer a fait rapidement le break dans les deux manches, au troisième jeu dans la première et d'entrée dans la seconde. Il a délivré des coups de grande classe du fond du court comme au filet (14 points sur 17 montées) avec un minimum de déchet (10 fautes directes). Murray a lui multiplié les erreurs (26) et n'a jamais touvé le rythme au service (40% de premières balles).
Federer en forme
Le champion helvétique restait pourtant sur deux défaites cette année contre l'Ecossais, la dernière très nette (6-3, 6-2) en finale de Shanghai mi-octobre. Déjà vainqueur de l'Espagnol David Ferrer en deux sets dimanche, Federer n'est pas loin d'avoir sa qualification pour les demi-finales en poche.
Pas fini pour Murray
Murray est toujours en course grâce à son succès sur le Suédois Robin Soderling le premier jour. Le second match de la journée devait opposer Ferrer à Soderling (21h00).
Un GRAND match:amoureux::content::content:
430 véhicules au départ du Dakar 2011
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© belga
Quatre-cent trente véhicules, soit 18% de plus que l'an passé, prendront le départ du Dakar-2011, qui démarrera le 1er janvier et se conclura le 15 à Buenos Aires, a annoncé mardi le directeur de la course, Etienne Lavigne.
Quelque 146 autos, 183 motos, 68 camions et 33 quads sont inscrits pour "le plus grand rallye du monde", a détaillé Etienne Lavigne, quand 362 véhicules étaient recensés en 2010. L'augmentation du nombre de participants Argentins ou venant d'autres pays d'Amérique latine explique cette croissance. Cinquante et une nationalités sont recensées.
Les véhicules venant d'Europe embarqueront mercredi et jeudi au port du Havre, où des vérifications techniques et de sécurité seront opérées. Le bateau à destination de l'Amérique du Sud lèvera l'ancre lundi, pour une arrivée prévue le 21 décembre.
Des contrôles ultérieurs se tiendront du 29 au 31 décembre à Buenos Aires, où démarrera et se conclura le Dakar 2011. L'épreuve, d'une durée de 14 jours, dont un de repos, passera par Victoria, Cordoba, San Miguel de Tucuman et San Salvador de Jujuy, avant de se déplacer au Chili (Calama, Iquique, Arica, Antofagasta, Copiapo), puis de revenir en Argentine (Chilecito, San Juan et à nouveau Cordoba).
Trois millions de spectateurs ont été recensés le long du parcours lors de l'édition précédente. Un million supplémentaire est attendu cette année, selon le ministère de l'Intérieur argentin.
Quickstep reçoit sa licence ProTour 2011
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© photo news
La formation cycliste belge QuickStep a reçu sa licence ProTour pour la saison 2011, a indiqué lundi l'Union cycliste internationale (UCI). Omega Pharma-Lotto, l'autre équipe belge ProTour, avait reçu sa licence le 2 novembre dernier, en compagnie des formations Garmin-Cervélo (USA), Rabobank (P-B) en Sky ProCycling (G-B).
Lundi, l'UCI a annoncé le nom des quatorze autres équipes ayant reçu une licence ProTour. Outre QuickStep, il s'agit d'AG2R (Fra), Katusha (Rus), Lampre-ISD (Ita), Saxo Bank SunGard (Dan), Team RadioShack (USA), BMC (Sui), Euskaltel (Esp), HTC-Highroad (USA), Liquigas-Cannondale (Ita), Luxembourg Pro Cycling Project (Lux), Movistar Team (Esp), Astana (Kaz) et Vacansoleil-DCM Pro Cycling Team (P-B).
En revanche, la formation espagnole Geox, qui compte le Russe Denis Menchov et l'Espagnol Carlos Sastre pour chefs de file, et la française Cofidis ont été intégrées à l'échelon Continental Pro (2e division).
Dix-huit équipes forment la première division 2011 avec, pour elles, qualification automatique et obligation de participation aux principales épreuves du calendrier. L'UCI communiquera le 10 décembre le nom de toutes les équipes Continentales Pro. Les Belges Landbouwkrediet et Topsport Vlaanderen - Mercator avaient déjà reçu leur licence Continentale Pro le 2 novembre.(
:diable:C'est tout pour l'instant.............:p:D
FORMULE 1
Petrov, victime de la colère des supporters de Ferrari
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Image © AFP
Le Russe Vitali Petrov a révélé dans la presse allemande avoir été pris pour cible sur internet de la colère des supporters de Ferrari et de Fernando Alonso qui lui reprochent d’avoir bloqué l’Espagnol lors du Grand Prix d’Abou Dhabi et permis ainsi le sacre de Sebastian Vettel.
le 24 novembre 2010, 12h39
LeMatin.ch & les agences
8 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
«Sur ma page facebook, beaucoup m’accusent d’avoir bloqué Alonso. C’est n’importe quoi, je n’ai rien fait de mal, mais c’est Ferrari qui a fait une erreur tactique», a expliqué le pilote Renault au quotidien Bild.
«J’ai contenu pendant 39 tours Alonso, personne ne m’a dit par radio qu’en faisant cela, j’allais offrir le titre à Sebastian», a-t- il ajouté.
Le Russe de 26 ans est revenu sur le geste de mauvaise humeur d’Alonso à son endroit une fois la ligne d’arrivée passée: «Il était complètement détruit, mais cela ne se fait pas, j’étais simplement plus rapide que lui», a-t-il insisté.
Alonso, leader du Championnat du monde avant la dernière course de la saison, a terminé à la 7e place du Grand Prix d’Abou Dhabi, derrière Petrov, 6e, tandis que l’Allemand Vettel remportait l’épreuve et le titre mondial.
TENNIS
En battant Roddick, Berdych reste en course pour les demi-finales du Masters
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Image © KEYSTONE
le Tchèque Thomas Berdych a remporté la première victoire de sa carrière dans un Masters.
Tomas Berdych s’est maintenu dans la course aux demi-finales du Masters en battant Andy Roddick en deux sets 7-5, 6-3, lors de la 4e journée, mercredi à Londres.
le 24 novembre 2010, 17h33
LeMatin.ch & les agences
0 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
Battu en deux sets dans son premier match par Novak Djokovic, le Tchèque a remporté la première victoire de sa carrière dans un Masters, une épreuve à laquelle il participe pour la première fois.
Berdych a décidé de prendre le jeu à son compte pour se débarrasser de la tension qui l’avait empêché de s’exprimer lundi. Il a ainsi fait la plupart des points gagnants (28 à 15), mais aussi des fautes (27 à 16).
Son efficacité sur les points importants (3 balles de break sur 4 converties contre 0 sur 2 pour l’Américain) a fait la différence.
Le Tchèque, âgé de 25 ans, jouera son dernier match du groupe B vendredi contre Rafael Nadal. Il s’agira de leur première rencontre depuis la finale de Wimbledon gagnée par l’Espagnol en juillet.
L'Inter et Tottenham qualifiés, Benitez sauve sa tête
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Cambiasso et Biabiany exultent, l'Inter a finalement obtenu ce qu'il mérite: une victoire, synonyme de qualification pour les huitièmes de finale. © afp
7S7 mise à jour L'Inter Milan s'est assuré d'une place en huitièmes de finale de la Ligue des champions en s'imposant méritoirement 1-0 contre Twente, qui n'a pas fait le poids face au tenant du titre. C'est Esteban Cambiasso qui a débloqué le verrou pour les Nerrazzuri en deuxième période. Tottenham, vainqueur 3-0 du Werder Brême, a également obtenu ton ticket pour les huitièmes.
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Bryan Ruiz n'a pas été à la fête ce soir. Le Costaricien a perdu beaucoup de ballons dans l'entrejeu. © ap
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Mention spéciale pour Javier Zanetti! L'Argentin a encore été exemplaire ce soir, avec comme coup d'éclat un raid solitaire splendide.
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Cambiasso fusille Mihajlov à bout portant, le retour de Ruiz n'y change rien. © ap
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Michel Preud'homme devra se contenter de l'Europa League. © ap
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Benitez peut respirer. Il n'avait pas droit à l'erreur ce soir. © ap
Cinquième en Serie A, et dans une situation sportive très délicate, l'Inter se trouvait face à une rencontre couperet en accueillant le Twente de Michel Preud'homme. L'ère post-Mourinho n'est évidemment pas une sinécure pour Benitez, sur un siège éjectable. Même si les Nerazzurri étaient orphelins d'une myriade de cadres (Milito, Chivu, Samuel, Maicon et Coutinho), ils n'avaient qu'une option: la victoire.
MPH: "On peut ennuyer l'Inter"
A l'aller, les protégés de MPH avaient bousculé l'équipe lombarde (2-2). Ce partage donnait de l'espoir à l'entraîneur belge. "Compte tenu de la mauvaise passe de l'Inter, je m'attends à une entame de match incisive des Italiens. Nous devrons être prudents, mais en même temps jouer notre jeu en possession de balle. L'Inter reste une grande équipe malgré ses absents. Nous pouvons les ennuyer", avait déclaré l'ex-coach du Standard.
Manque d'efficacité chez les Néerlandais
Comme on pouvait s'y attendre, l'Inter prenait d'emblée les devants et s'octroyait une première grosse occasion après 2 minutes de jeu via Wesley Sneijder. Le métronome de l'Inter faisait apprécier sa technique de frappe en brossant un coup franc sur la transversale. De l'autre côté, Twente jouait crânement sa chance, mais les essais de Janssen et Chadli échouaient de peu. Michel Preud'homme s'en arrachait les cheveux, car il sentait qu'il y avait un coup à jouer ce soir. Seulement, l'efficacité n'était pas au rendez-vous.
Cambiasso délivre l'Inter
Un peu à l'instar de la première période, les Italiens dominaient les débats. Aux alentours de la 55e minute, l'équipe de Benitez était méritoirement récompensée: Cambiasso était en embuscade d'un coup franc dévié de Sneijder (1-0). Quelques instants plus tard, l'international hollandais manquait d'un chouia le 2-0, Stankovic ne connaissait guère plus de réussite. Asphyxié, Twente n'en menait pas large en deuxième période. Seul Landzaat était en mesure d'inquiéter Castellazzi d'un lob astucieux qui effleurait l'équerre. Bryan Ruiz, quant à lui, ne connaissait pas un grand soir.
Tottenham et l'Inter qualifiés
Au final, la victoire de l'Inter ne souffre aucune contestation. Les hommes de Benitez n'ont jamais été contrariés par Twente, assuré de disputer l'Europa League compte tenu de la défaite du Werder Brême à Tottenham. Les Spurs et l'Inter (10 points) obtiennent donc leur tickets pour les huitièmes de finale.
Michaël Bouche
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Nadal domine Djokovic et se rapproche des demis
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Rafael Nadal a fait un grand pas vers les demi-finales du Masters en battant en deux sets 7-5, 6-2 Novak Djokovic, gêné par un problème de verre de contact, mercredi à Londres. Le Serbe s'est plaint de l'oeil pour la première fois au milieu de la première manche, avant de demander un temps mort pour pouvoir changer de lentille, puis de se faire examiner à la fin du set.
Il a continué à défendre ses chances, se créant même trois balles de débreak tout à la fin de la première manche, mais il n'a plus cessé de se frotter l'oeil entre les échanges. Si l'on ne peut guère savoir à quel point son jeu a été affecté par l'incident, sa concentration, elle, en a souffert sans aucun doute. Une fois la première manche bouclée, le Majorquin s'est envolé dans la deuxième face à un adversaire complètement sorti du match.
La 23e édition de ce grand classique de la décennie - pour comparaison il n'y a eu "que" 21 Federer-Nadal- se terminait, en queue de poisson, par une 16e victoire de l'Espagnol, la deuxième d'affilée après la finale de l'US Open en septembre. Nadal, déjà vainqueur de l'Américain Andy Roddick pour son entrée en lice, n'est pas encore assuré de jouer sa troisième demi-finale du Masters en quatre participations. Mais il faudrait une nette défaite contre Tomas Berdych vendredi assortie d'un concours de circonstances pour qu'il en soit privé.
16-7 pour Nadal
Avant l'épisode de l'oeil, les deux joueurs s'étaient livrés un gros combat, offrant aux 17.000 spectateurs de l'O2 Arena les plus beaux échanges depuis le début de la semaine. Chacun a eu de nombreuses occasions mais c'est finalement Nadal, impressionnant en coup droit, qui a su hausser le ton au bon moment pour réussir deux breaks contre un seul pour le Serbe.
Djokovic garde ses chances d'accéder au dernier carré, tout comme les deux protagonistes du premier match de la journée, Berdych et Roddick. Décevant lors de sa défaite en deux sets contre le Serbe, Berdych a bien réagi en battant l'Américain en deux sets 7-5, 6-3.
Débarrassé de la tension du novice, il a retrouvé son tennis de finaliste de Wimbledon et de demi-finaliste de Roland-Garros pour remporter avec la manière la première victoire de sa carrière dans un Masters
Très bonne saison pour Renault, qui vise "le Top 3" en 2011
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L'écurie de Formule 1 Renault, 5e du Championnat constructeurs en 2010 grâce notamment à trois podiums de Robert Kubica, huitième du classement final des pilotes, a réalisé une "très bonne saison", s'est félicité son président Gérard Lopez, qui vise le "top 3" pour 2011.
"Avant que la saison ne débute, nous étions à la ramasse complet. Lors des essais, on perdait deux secondes sur toutes les autres voitures, voire plus par rapport aux Red Bull", s'est souvenu M. Lopez, dans une interview au Quotidien du Luxembourg parue mercredi.
"Ce n'est pas une bonne saison, c'est une très bonne saison, s'est réjoui M. Lopez. D'un pilote connu, Robert Kubica, nous avons fait un pilote reconnu, tandis que Vitaly Petrov, que tout le monde décrivait uniquement comme un pilote payant, a tout de même réussi à prendre une 5e place" en Hongrie.
Erreurs catastrophiques
L'avenir du Russe n'est pourtant pas assuré chez Renault: "Nous devons peser toutes les bonnes et les mauvaises choses qu'il nous a faites. Nous venons d'investir une année sur lui et théoriquement, c'est lors de la deuxième saison qu'il doit démontrer ce qu'il est réellement capable de faire."
"A-t-il mûri lors des dernières semaines de la saison? Parce qu'il nous a coûté pas mal de points et donc d'argent", a observé Gérard Lopez, pour qui Petrov, "le plus rapide" des jeunes pilotes, manque de concentration et "se permet des erreurs catastrophiques" qui "laissent des voitures complètement détruites".
Heidfeld
Robert Kubica, qui pourrait avoir comme coéquipier l'an prochain l'Allemand Nick Heidfeld, un "copain" de M. Lopez, est selon ce dernier "le plus constant de tous" les pilotes, "l'un des deux plus rapides", "capable de se battre pour un titre de champion du monde. Et j'espère que ce sera avec nous."
Le Polonais devrait ainsi aider Renault à "viser le top 3" au classement des constructeurs, l'objectif du président de l'écurie. Quant aux rumeurs de vente de Renault F1, dont Genii capital, l'entreprise de Gérard Lopez, possède 75% des parts, "une chose est certaine: nous (Genii) resterons actionnaire majoritaire", a-t-il assuré.
Renault F1 est en discussion avec plusieurs groupes, dont Proton, propriétaire de Lotus, pour devenir partenaire principal de l'écurie. Le constructeur français pourrait céder les 25% des parts dont il dispose encore.
Philippe Gilbert remporte son 3e Vélo de Cristal
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Pour la troisième fois d'affilée, Philippe Gilbert a reçu le Vélo de Cristal récompensant le meilleur coureur de la saison à l'issue d'un referendum organisé pour la 19e fois à l'initiative du quotidien Het Laatste Nieuws, mercredi soir à Bruxelles.
Le Liégeois, déjà récompensé la veille du Trophée du Mérite Sportif de la Communauté française, a devancé son coéquipier chez Omega Pharma, Jurgen Van den Broeck. L'écart entre les deux coureurs dépasse les 200 points, 676 pour Gilbert et 456 pour Van den Broeck. Tom Boonen (204) est 3e.
Marc Sergeant, directeur sportif d'Omega Pharma Lotto, la formation de Philippe Gilbert, a été élu directeur sportif de l'année. Yannick Eijssen, stagiaire chez Omega Pharma Lotto et qui roulera pour BMC avec John Lelangue la saison prochaine, a reçu le prix d'Espoir de l'année. Mario Aerts, équipier de Gilbert et Van den Broeck, a reçu lui le titre d'équipier de l'année.
Philippe Gilbert a remporté cette année deux classiques, le Tour du Piémont et le Tour de Lombardie, et deux étapes du Tour d'Espagne.
Philippe Gilbert, qui a terminé l'année à la 3e place du classement mondial UCI, est également un des trois nominés pour le titre de Sportif belge de l'année, qui sera décerné le 19 décembre, avec le champion d'Europe du 400 m Kevin Borlée et le champion du monde de saut d'obstacles Philippe Lejeune, lauréat la semaine dernière du Trophée national du mérite sportif.
FOOTBALL
L’entraîneur de Cluj viré après l'incident contre Bâle
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L’entraîneur du club roumain de Cluj Sorin Cartu a été démis de ses fonctions après sa réaction violente lors du match contre le club suisse du FC Bâle en Ligue des champions de football mardi. Cartu avait cassé la vitre en plexiglas du banc de touche.
le 25 novembre 2010, 10h06
LeMatin.ch & les agences
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"Les valeurs et l’image du club CFR Cluj ne peuvent pas être associées avec le geste de l’entraîneur Sorin Cartu. C’est pour cela que nous avons décidé d’arrêter notre collaboration", explique le club dans un communiqué.
L’équipe roumaine présente ses excuses à l’UEFA, au FC Bâle et aux supporteurs. M. Cartu sera remplacé par Alin Minteuan, déjà membre de l’équipe d’entraîneurs du CFR Cluj.
Stoner27
25/11/2010, 11h44
FORMULE 1
Petrov, victime de la colère des supporters de Ferrari
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Le Russe Vitali Petrov a révélé dans la presse allemande avoir été pris pour cible sur internet de la colère des supporters de Ferrari et de Fernando Alonso qui lui reprochent d’avoir bloqué l’Espagnol lors du Grand Prix d’Abou Dhabi et permis ainsi le sacre de Sebastian Vettel.
le 24 novembre 2010, 12h39
LeMatin.ch & les agences
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«Sur ma page facebook, beaucoup m’accusent d’avoir bloqué Alonso. C’est n’importe quoi, je n’ai rien fait de mal, mais c’est Ferrari qui a fait une erreur tactique», a expliqué le pilote Renault au quotidien Bild.
«J’ai contenu pendant 39 tours Alonso, personne ne m’a dit par radio qu’en faisant cela, j’allais offrir le titre à Sebastian», a-t- il ajouté.
Le Russe de 26 ans est revenu sur le geste de mauvaise humeur d’Alonso à son endroit une fois la ligne d’arrivée passée: «Il était complètement détruit, mais cela ne se fait pas, j’étais simplement plus rapide que lui», a-t-il insisté.
Alonso, leader du Championnat du monde avant la dernière course de la saison, a terminé à la 7e place du Grand Prix d’Abou Dhabi, derrière Petrov, 6e, tandis que l’Allemand Vettel remportait l’épreuve et le titre mondial.
Alonzo n'avait qu'a dépasser Petrov lui même, et il n'a été en mesure de le faire qu'une fois, Petrov a logiquement fermé la porte.
Petrov faisait sa course, il n'avait en aucun cas à laisser passer Alonso, et même, l'espagnol aurait encore du dépasser Rosbergpar après!
Alonso ne méritait de tout façon pas le titre!
Boarf les supporters espagnols (donc d'Alonso) sont cons c'est pas nouveau, ils sont gentils, fair play, quand ils gagnent mais dès que ça va pas ils insultent... Il y avait déjà eu le coup à l'époque avec Hamilton lors des essais de pré saison à Jerez où les "supporters" d'Alonso s'étaient peint en noir et faisaient des cris de singes quand Hamilton passait devant eux, aujourd'hui c'est Petrov qui se fait insulter... On verra l'an prochain mais s'il ne gagne pas le titre ce sera de la faute de Vettel ou de Massa:)
:content::content::content:Vite fait bien fait Federer en demi finale:amoureux:
TENNIS
Masters: Federer reste invaincu avant les demi-finales
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Image © KEYSTONE
Roger Federer poursuit son parcours sans faute au Masters.
FLASH Roger Federer a gagné son troisième match du Round-Robin en battant le Suédois Robin Soderling. Le Bâlois s'est imposé en deux sets (7-6) (6-3).
FORMULE 1
Vettel vaut entre 2 et 5 millions d’euros
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Sebastian Vettel peut espérer signer des contrats de partenariat et de publicité en Allemagne d’un montant total compris entre 2 et 5 millions d’euros (2,6 à 6,5 mio de francs), selon un institut spécialisé.
le 25 novembre 2010, 15h14
LeMatin.ch & les agences
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Toutefois, Michael Schumacher, seulement 9e du championnat de F1 2010 remporté par Vettel, gagne «encore facilement le double», a rappelé la société Sport+Markt.
«Nous avons calculé une somme comprise entre deux et cinq millions d’euros de rentrées annuelles si on devait vendre son image en Allemagne. Il ferait déjà partie des sportifs de tout premier plan», a expliqué Marcel Cordes, président de Sport+Markt.
FOOTBALL
Enquête disciplinaire ouverte contre le Real Madrid
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José Mourinho
L’UEFA a annoncé l’ouverture d’une enquête disciplinaire à l’encontre du Real Madrid «pour mauvaise conduite» lors du match de Ligue des champions à Amsterdam mardi (victoire 4-0).
le 25 novembre 2010, 17h47
LeMatin.ch & les agences
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Les hommes dans le collimateur de l’instance sont José Mourinho, Xabi Alonso, Sergio Ramos, Iker Casillas et Jerzy Dudek.
«L’UEFA a confirmé qu’une enquête disciplinaire avait été ouverte à l’encontre du Real Madrid CF pour la mauvaise conduite de son entraîneur José Mourinho et des joueurs Xabi Alonso, Sergio Ramos, Iker Casillas et Jerzy Dudek», a indiqué la Fédération européenne sur son site internet.
Selon des médias espagnols, Xabi Alonso et Sergio Ramos, prévenus depuis le banc de touche du Real, se sont volontairement fait exclure contre l’Ajax pour arriver en 8e de finale avec un casier disciplinaire vierge, après un dernier match de poules sans enjeu contre Auxerre.
Alonso et Ramos ont été exclus en fin de match à Amsterdam, les deux après avoir reçu un second carton jaune pour avoir mis trop de temps à jouer un coup de pied arrêté.
Des images diffusées en Espagne ont montré plusieurs conversations entre joueurs du Real Madrid: d’abord entre l’entraîneur José Mourinho et le gardien remplaçant Jerzy Dudek, puis entre Dudek et le gardien Iker Casillas et, enfin, entre Casillas et Sergio Ramos.
L’UEFA a également décidé d’ouvrir une enquête disciplinaire à l’encontre du CFR Cluj pour «la mauvaise conduite» de son entraîneur Sorin Cârtu à Bâle, qui a valu au technicien le licenciement. «Les deux affaires seront examinées par l’Instance de contrôle et de discipline de l’UEFA le mardi 30 novembre», a précisé l’UEFA.
voile
Alinghi renonce à la 34e Coupe de l’America
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Alinghi a perdu son trophée en février 2010 à Valence.
On l’attendait, la nouvelle était dans l’air: Alinghi a annoncé hier qu’il ne participerait pas à la 34e Coupe de l’America en 2013.
le 25 novembre 2010, 23h15
Le Matin
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Deux fois vainqueur du prestigieux trophée, le team suisse ne se lancera pas à nouveau dans l’aventure, après sa défaite face à Oracle en février dernier. Après examen du protocole et des conditions posées par le défenseur américain, Alinghi a estimé que sa participation n’est pas possible. Le team annonce qu’il veut se concentrer sur l’Extreme Sailing Series, compétition de catamarans. L’équipe précise que la Coupe de l’America l’intéresse toujours à moyen terme, même si son futur immédiat la pousse vers d’autres objectifs de course.
saut à skis
Les dames prennent leur envol
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Bigna Windmüller est la seule Suissesse en mesure de sauter au plus haut niveau actuellement.
Le saut féminin aura bientôt sa Coupe du monde et a de bonnes chances d’être admis aux JO de Sotchi en 2014.
Bernard Morel - le 25 novembre 2010, 22h01
Le Matin
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S’il est un sport dans lequel la disparité entre hommes et femmes est encore très marquée, c’est bien le saut à skis. Mais le fossé se réduit. On se souvient du combat mené par Lindsay Van – première championne du monde de saut féminin en février 2009 à Liberec – et ses paires jusque devant un tribunal civil pour tenter de faire admettre leur discipline aux JO de Vancouver. Elle ont échoué, mais leur combat a permis de faire avancer leur cause.
Sitôt la décision du tribunal connue, Jacques Rogge, président du CIO, s’était empressé de dire que la porte du dialogue était ouverte pour les JO de 2014 à Sotchi. Cela s’est confirmé il y a un mois lors de la réunion de la commission exécutive du CIO à Acapulco. Elle s’est déclarée favorable à l’inscription d’une épreuve de saut à skis féminin en 2014. Dans cette perspective olympique, la Fédération internationale de ski (FIS) est sur le point de lancer une Coupe du monde de saut féminin dès la saison 2011-2012. Le conseil de la FIS doit encore donner son aval.
Peu pratiqué en Suisse
Le saut à skis féminin se fait donc petit à petit une place. «Il y a davantage de pratiquantes et de pays, relève Pipo Schödler, entraîneur des sauteuses suisses. Cette année, on a vu arriver des Roumaines, des Estoniennes et des Chinoises.» La hiérarchie y est certes très marquée. L’écart entre les meilleures et les plus faibles est considérable. «C’est vrai, on retrouve presque toujours les quatre mêmes devant, en particulier, l’Autrichienne Daniela Iraschko, incontestable No 1».
En Suisse, le saut est peu pratiqué du côté féminin. Seules deux filles font partie du cadre nationale de Swiss Ski, les sœurs Sabrina et Bigna Windmüller (23 et 19 ans). «Nous n’avons que 14 filles qui ont une licence, dont 4 ont plus que 16 ans, reprend Pipo Schödler. Et sur ces quatre, trois sont actuellement blessées. Seule Bigna Windmüller peut sauter actuellement. Sa sœur est absente encore un mois, Salomé Fuchs a un problème ligamentaire alors que la Vaudoise Malika Schupbach, qui a été plusieurs fois blessée ces dernières années, a décidé de faire un break cet hiver pour mieux récupérer. Avec Bigna, nous avons un petit espoir de médaille aux Mondiaux juniors. Pour ceux d’Oslo, une place dans les 10 serait magnifique.»
Masters de Londres: Murray qualifié
Tennis | Andy Murray a rejoint Roger Federer parmi les qualifiés pour les demi-finales du Masters de Londres.
http://www.tdg.ch/files/imagecache/468x312/story/andy6cc10.jpg © AFP | Andy Murray
Liens en relation avec l'article :
Masters de Londres: troisième victoire de Federer, qualifié pour les demi-finales (http://www.tdg.ch/node/282424)
ATS | 25.11.2010 | 23:03
Andy Murray a rejoint Roger Federer parmi les qualifiés pour les demi-finales du Masters de Londres. L’Ecossais devait gagner un set contre David Ferrer pour valider son ticket. Il a enlevé le premier 6-2 avant de remporter le second sur le même score.
Battu deux fois cette année par le Valencien, sur terre battue à Rome et à Madrid, Andy Murray a connu une entame de match laborieuse. Il a, en effet, cédé son service au deuxième jeu. Sa réaction fut cinglante: six jeux de rangs gagnés pour se hisser pour la deuxième fois de sa carrière dans le dernier carré du tournoi des Maîtres.
Murray rencontrera samedi le vainqueur du groupe A. Un vainqueur qui devrait se nommer en toute logique Rafael Nadal.
Ski nordique
Coupe du monde de fond: Cologna chute mais se relèvera sans peine
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Dario Cologna
Dario Cologna n’a pas pu défendre ses chances jusqu’au bout lors du sprint en style classique à Kuusamo, 2e étape de la Coupe du monde. Le Grison a chuté dans le dernier virage de son quart de finale et se classe 25e, un rang qui ne compromet pas cependant ses chances pour la suite de ce mini-Tour de Ski disputé sur trois jours en Finlande.
le 26 novembre 2010, 13h44
LeMatin.ch & les agences
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Le champion olympique est tombé sur une plaque de glace, alors qu’il avait viré en tête et semblait lancé vers une qualification pour les demi-finales. La victoire est revenue au Norvégien John Kristian Dahl, devant le Kazakh Alexeï Poltaranin et le Finlandais Sami Jauhojärvi.
Chacune des trois courses à Kuusamo (sprint, 10 km en classique samedi et poursuite sur 15 km style libre dimanche) donne droit à la moitié des points distribués sur une étape normale de Coupe du monde, soit 50 points pour la victoire. Le succès final à l’addition des temps des trois étapes vaudra 200 points, en plus de ceux glanés sur chaque tronçon. Soit un maximum possible de 350 points.
Spécialiste de ce genre d’épreuves sur plusieurs jours - il avait remporté le Tour de Ski et les finales de la Coupe du monde en 2009 - , Cologna n’a pas fait une trop mauvaise opération comptable malgré sa chute. Sa qualification pour les quarts de finale lui permettra d’aborder le 10 km de samedi en 25e position, à 52’’ de Dahl.
La plupart des autres candidats au général de la Coupe du monde ont fini assez loin, à l’image du Suédois Marcus Hellner, vainqueur en ouverture le week-passé à Gällivare, seulement 63e. Sami Jauhojärvi, 3e tout en étant à l’aise également dans les courses de distance, sera cependant à surveiller pour Cologna. «De très bonnes sensations»
«Une chute peut toujours arriver, je skie avec peu de carres», a relevé le fondeur du Val Müstair, dont la gamelle n’était pas sans rappeler celle survenue dans la dernière ligne droite du 50 km aux JO de Vancouver. «Dommage que je n’aie pas pu vraiment profiter de la défaillance des autres favoris de ce mini-Tour. Mais tout reste ouvert et je ne suis pas trop déçu, car j’avais de très bonnes sensations.»
Chez les dames, la Norvégienne Marit Björgen, triple championne olympique, s’est imposée de façon souveraine devant la Croate Petra Majdic et sa compatriote Astrid Jacobsen. La Scandinave de 30 ans avait déjà gagné sur 10 km le week-end passé à Gällivare.
La Fribourgeoise Doris Trachsel (41e) n’a pas passé le cap des qualifications, pas plus que ses collègues masculins Curdin Perl (45e), Remo Fischer (68e) et Toni Livers (111e).
Saut à skis
Dernière saison? Simon Ammann laisse planer le doute
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Le Suisse Simon Ammann, le 20 mars 2010 à Planica en Slovénie
Même s'il a conquis en 2010 deux médailles d'or olympiques, le globe de No1 mondial et un titre planétaire, le Suisse Simon Ammann ne sait pas trop où il en est avant la nouvelle saison qui s'ouvre samedi à Kuusamo (Finlande).
le 26 novembre 2010, 14h05
LeMatin.ch & les agences
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L'intersaison a été chargée pour "Simi": il s'est marié et est devenu en Suisse l'égal ou presque de Roger Federer.
Le quadruple champion olympique est ainsi devenu le visage --souriant bien sûr, comme il est en compétition-- d'une compagnie d'assurance, d'une banque et d'un voyagiste.
Comme en 2002 après son doublé à Salt Lake City, comme beaucoup d'autres avant lui, Ammann, 29 ans, a aussi eu l'impression d'"être tombé dans un trou" après les JO.
La motivation est revenue, mais des pépins physiques (douleurs au dos) ont perturbé sa préparation estivale et les changements dans le règlement (diminution de la longueur des skis) l'incitent à la plus grande prudence.
"Il ne faudra pas comparer mes résultats avec ceux de l'an dernier (...) Les premières compétitions doivent me servir à trouver les bons réglages et la constance", a-t-il prévenu dans la presse helvétique
Ammann sera surtout attendu au tournant de l'année lors de la prestigieuse tournée des Quatre tremplins, le seul titre qui manque encore à son palmarès.
"Je ne peux pas cacher que gagner la tournée aurait une sacrée signification pour moi", a-t-il admis alors qu'il s'était classé 5e en 2010.
Un succès pourrait peut-être même l'inciter à prendre sa retraite, d'autant qu'il bouclerait le mois suivant la boucle lors des Mondiaux d'Oslo, là où il avait signé en 2002 son premier succès en Coupe du monde.
"Peut-être que j'arrêterais en fin d'année", a-t-il ainsi déclaré au quotidien populaire Blick.
Depuis Vancouver où ils ont dû se "contenter" du titre par équipes, les Autrichiens fourbissent leur revanche à l'image de Gregor Schlierenzauer qui avait survolé la saison 2008-09.
Les Finlandais, entraînés désormais par Pekka Niemela qui a fait quelques miracles en France, ont enregistré le renfort d'Anssi Koivuranta, ancien N.1 mondial du combiné nordique, et comptent toujours sur l'inusable Janne Ahonen, quintuple vainqueur de la tournée des Quatre tremplins.
La Norvège et l'Allemagne doivent, elles, recoller au peloton de tête.
MASTERS ATP
Rafael Nadal fonce pas à pas
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Rafael Nadal travaille sans cesse pour évoluer. Il est même parvenu à dompter les surfaces rapides, lui dont la seule spécialité fut longtemps la terre battue
A l’opposé de Roger Federer, le numéro un mondial suit une démarche graduelle, rivée sur l’instant présent. Décryptage
Christian Despont - le 26 novembre 2010, 23h05
Le Matin
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Pour ce type de situations, la sémantique sportive foisonne de lieux communs: penser point après point, match après match, step by step. Tous les joueurs le répètent doctement mais un seul, en réalité, semble capable d’une telle insouciance, au plus haut degré de l’intensité émotionnelle: Rafael Nadal.
«Je crois que c’est ma qualité principale, évalue prudemment l’Espagnol. Je mets beaucoup d’intensité sur chaque point, sans calculer. Avec moi, le rythme est élevé car j’avance pas à pas.» Le voilà premier de son groupe, jamais inquiété, sur un revêtement dont il avait tout à craindre. Sans calculer.
«A quoi reconnaît-on un compétiteur», s’interroge un vieux professeur d’Oxford, cité par la BBC. Il y a bien sûr cette manière de crier «vamos», de plaquer un poing sur le front à la manière du Penseur de Rodin, sans la pensée. Mais il y a surtout cette manière d’avancer point par point, dans l’épanouissement personnel comme dans la conduite d’un match. «Perdre ou gagner n’est parfois qu’une question de circonstances. Je n’ai toujours pensé qu’à un seul objectif: progresser», explique Rafael Nadal.
Sans pensées parasitaires
En match, sa force de conviction reste circonscrite à l’instant présent, sans arrière-pensée liée au bilan comptable ou à l’enjeu existentiel. «Si Rafa est mené 5-0 et qu’il marque le point suivant, il s’estime en reconquête», sourit Alex Corretja, actuel conseiller d’Andy Murray.
La démarche est graduelle, totalement affranchie des notions de carrière, d’enjeu ou de sanction. Chaque point est vécu comme s’il était le dernier, à Roland-Garros comme à Estoril. Il n’y a pas de pensées parasitaires, uniquement un sentiment d’urgence. Il n’y a pas d’éléments perturbateurs – la pluie, les retards, les mauvais rebonds – mais que des points à jouer. «Le mental est une affaire d’éducation et d’envie de progresser, estime Toni Nadal. Le résultat importe moins que le processus.» Il n’y a pas de chemin vers le bonheur, le chemin est le bonheur (proverbe japonais enseigné à Oxford).
Des témoins ont vu Toni Nadal gronder son neveu, au retour des vestiaires, après un titre à Roland-Garros: «Tu as gagné, bravo, mais tu as joué n’importe comment.» Rafael Nadal n’en prend pas ombrage. A des aptitudes éternellement sous-estimées, il subordonne une curiosité, une soif d’apprendre, dont ne s’encombrent pas volontiers ses semblables, enclins à l’optimisation des compétences. Il était le meilleur de tous les temps sur terre battue, il a fait de Wimbledon une idée fixe. Il détenait le meilleur coup droit du monde, il a passé des mois à reproduire le revers slicé de Federer. Il était presque imbattable dans les rallyes, il a travaillé inlassablement son service, pour abréger les échanges.
Rafael Nadal n’est pas un laborieux, il est un enfant de bonne famille, issu d’un milieu aisé, élevé dans l’idée fondatrice du mérite. «Je ne lui ai jamais demandé de marquer l’histoire, ironise Toni. Chaque jour, Rafa devait juste être meilleur que la veille.»
Insensible au prestige
Dans la biographie «Le monde de Rafael Nadal», signée Luca Appina, le patriarche raconte qu’après une grande victoire il avait inscrit son neveu dans un tournoi de province, aux confins d’une terre poussiéreuse, pour que sa motivation ne soit jamais liée au prestige. «Tu dois disputer chaque balle avec une égale intensité.»
La démarche de Roger Federer est plus contemplative, elle analyse et met en perspective. Pour avoir tout gagné, le Bâlois n’envisage pas d’autres horizons que le firmament, pas d’autre transport que la course aux records. Rafael Nadal, lui, avance pas à pas – et n’en est pas moins un modèle de précocité. Quand un journaliste lui demande s’il convoite les seize Grand Chelem de son aîné, il s’empourpre et sourit confusément: «Je suis incapable de me projeter aussi loin, désolé. Cette question est absurde.»
ski alpin
Carlo Janka seulement 11e
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Carlo Janka trouve que «la piste est moins difficile que les autres» malgré tout
Les Suisses étaient à la peine lors de l’entraînement en vue de la descente de Lake Louise. Les Autrichiens sont devant
le 26 novembre 2010, 23h00
Le Matin
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Les Autrichiens ont dominé de la tête et des épaules, le dernier entraînement avant la descente d’aujourd’hui (19h30), à Lake Louise (Can). Carlo Janka, meilleur Suisse a réalisé le 11e temps juste devant Didier Cuche.
Malgré une visibilité médiocre, Klaus Kröll (Aut) a signé le meilleur temps (1’50’’43) devant ses compatriotes Michael Walchhofer et Mario Scheiber. En définitive, on trouve six Autrichiens dans les dix premières positions.
Albrecht progresse
Les Suisses Carlo Janka et Didier Cuche n’ont pas réussi à faire mieux qu’une onzième et douzième place, à plus d’une seconde et demie du leader. Vainqueur de l’épreuve la saison dernière, le Neuchâtelois a été surpris par une piste très rigide. «Je ne me souviens pas avoir skié sur un tracé aussi dur. Je ne parvenais pas à trouver mes appuis», a expliqué Cuche.
Auteur du 69e temps (1’54’’80), à égalité avec le Norvégien Espen Lysdahl, Daniel Albrecht monte dans les tours. Pour sa deuxième descente d’entraînement à Lake Louise, le Valaisan estime avoir réalisé ce qui était prévu au programme. «J’ai tout de même commis deux ou trois erreurs et il reste des réglages à faire», a révélé Albrecht.
Concernant l’épreuve, le Valaisan a expliqué que «la piste est bien moins difficile que d’autres». Toutefois, il n’est pas encore certain de participer à l’épreuve de ce samedi. La décision sera prise après avoir analysé ses performances avec son entraîneur.
Les chronos
Lake Louise, Alberta (Can)
Deuxième et dernier entraînement: 1. Kröll (Aut) 1’50’’43. 2. Walchhofer (Aut) 0’’42. 3. Scheiber (Aut) 0’’43. 4. Fill (It) 0’’98. 5. Svindal (Nor) 1’’24. 6. Streitberger (Aut) 1’’29. 7. Innerhofer (It) 1’’30. 8. Puchner (Aut) 1’’36. 9. Franz (Aut) 1’’38. 10. Guay (Can) 1’’42. 11. Janka (S) 1’’43. 12. Cuche (S) 1’’45.
Puis les autres Suisses: 30. Hoffmann 2’’70. 34. Küng 2’’85. 37. Grünenfelder 2’’92. 38. Zurbriggen 2’’96. 40. Viletta 3’’01. 60. Gisin 3’’90. 65. Spescha 4’’27. 69. Albrecht 4’’37. 70. Oreiller 4’’48. 85 athlètes classés.
Murray: "Je n'ai pas beaucoup de chances contre Nadal"
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Andy Murray ne se voit pas battre Rafael Nadal s'il devait tomber contre l'Espagnol en demi-finale du Masters. "Je vais essayer, mais je ne suis pas sûr d'avoir de grandes chances si je joue contre lui", a dit l'Ecossais, qui s'est qualifié jeudi dans le groupe B, avec Roger Federer, en s'imposant face à un autre Espagnol, David Ferrer.
Les quatre joueurs du groupe A, Rafael Nadal, Novak Djokovic, Tomas Berdych et Andy Roddick peuvent encore se qualifier vendredi lors de la dernière journée, mais Nadal, le N.1 mondial, vainqueur de ses deux premiers matches, est le mieux placé pour terminer en tête et donc affronter Murray en demie.
"C'est le meilleur joueur du monde. J'ai vu ses deux matches ici et il joue incroyablement bien. Il semble que je ne batte pas ces gars-là dans les grands matches. Il va falloir que je joue mon meilleur tennis si je veux gagner. Il faut que je le fasse dans un grand match, en demie. Il faut que je vois si je peux le faire ou pas", a dit Murray. "Donc vous n'êtes pas confiant? ", lui a alors demandé un journaliste. "Non, pas vraiment. Mais je vais tenter de gagner", a-t-il répondu. (belga/mb)
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Bernie Ecclestone agressé à Londres
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Bernie Ecclestone, le patron de la F1, a été agressé mercredi soir à proximité de ses bureaux londoniens de Formula One Holdings à Knightsbridge, a annoncé la police de la capitale anglaise vendredi.
Ecclestone, âgé de 80 ans, a été attaqué à coups de poing et de pied par quatre individus, alors qu'il se trouvait en compagnie de sa compagne Fabiana Flosi. Blessé légèrement à la tête, l'homme fort de la F1 a été admis à l'hôpital, pendant que ses agresseurs s'enfuyaient avec une montre et des bijoux d'une valeur de 240.000 euros.
philguerin
27/11/2010, 06h42
punaise ... 240000€ pour une montre et quelques bijoux... ben mon gaillard!! y rigole pas le père Eclestone quand il fait les courses... Quand je pense que ma femme gueule lorsque j'achète une montre à 180€ sur ebay... çà craint !!
il a déjà 80 balais ... impressionnant! ceci dit çà va bientôt faire comme la mère Bettencourt... on va le foutre sous tutelle aussi... il est temps qu'il se casse pour laisser la place à Prost... :yes:
Ils auraient pu taper plus fort:):).
80ans mais il n'a pas l'air si mal que ça le vieux.:)
FORMULE 1
Daniel Ricciardo, pilote de réserve chez Toro Rosso
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Daniel Ricciardo
L'Australien rejoint l'écurie de Sébastien Buemi en tant que troisième pilote. Comme Jaime Alguersuari (coéquipier du Vaudois), Ricciardo vient des World Series by Renault.
le 26 novembre 2010, 18h25
LeMatin.ch & les agences
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Sébastien Buemi et Jaime Alguersuari ont un nouveau camarade de jeu. L’écurie Toro Rosso a en effet annoncé avoir engagé le jeune Australien Daniel Ricciardo (21 ans) en tant que troisième pilote et remplaçant.
Ricciardo est lui aussi un pur produit de la filière Red Bull. En 2010, Le pilote de Perth a terminé deuxième du classement général des World Series by Renault avec quatre succès au compteur.
MASTERS
Les maîtres du monde
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Roger Federer (à droite) défiera Rafael Nadal au Dôme du millénaire pour la conquête d'un cinquième Masters.
La finale du Masters opposera Federer à Nadal (18h30). A nouveau éblouissant, le Bâlois est en course pour remporter son cinquième trophée.
Christian Despont - le 27 novembre 2010, 23h31
Le Matin Dimanche
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Quand une surface permet à tous les talents de s'exprimer, à la fin, elle favorise cyniquement ceux qui en possèdent le plus. Dans cette pure logique génétique, Roger Federer et Rafael Nadal seront opposés en finale, ce soir, à l'enseigne du tournoi des grands maîtres, dont ils restent les indéboulonnables caciques: le Bâlois a battu Novak Djokovic 6-1 6-4, tandis que son rival a bravement repoussé Andy Murray 7-6 (5) 3-6 7-6 (6).
En une semaine, Roger Federer aura atteint une perfection stylistique que des usures avaient un peu contrariée, avec une quiétude presque mystique. Il y avait une certaine virtuosité, à nouveau, dans cette façon de jouer sur plusieurs registres, à l'instinct, avec des tempos et des variations différents. Du lift au slice, du long au court, de gauche à droite, le maître a fait valser un bon Djokovic, auquel il n'a concédé qu'un break au début du deuxième set.
Combativité de Nadal
Une telle aisance paraîtrait choquante si elle ne venait de Lui, si elle ne venait d'ailleurs. Tour à tour, elle a réduit Andy Murray, Robin Söderling, et Novak Djokovic à quelques aptitudes mal dégrossies, en à peine plus de quatre heures. Mais cette même aisance, ce soir, sera soumise à d'autres velléités séditieuses. Elle retrouvera le seul contre-pouvoir qui l'ait jamais neutralisée: la combativité de Rafael Nadal.
Il ne reste plus beaucoup d'énergie à l'Espagnol pour enlever cette finale, mais seule une jambe cassée le dissuadera d'en courir le risque. Sa qualification, à elle seule, témoigne d'une faculté d'adaptation extraordinaire, dont personne n'a encore cerné les limites. «Ce joueur ne cesse d'élargir son champ d'action, il ne recule devant aucun préjugé», observe Boris Becker.
Rafael Nadal a toujours suscité un certain étonnement. Ce fut une petite surprise de le voir remporter Roland-Garros à 18 ans, une petite surprise de le découvrir en finale de Wimbledon, une petite surprise de le savoir compatible avec l'US Open, ce serait une petite surprise, encore, qu'il gagne le Masters, «parce que, dit-il lui-même, je ne suis pas très fort en indoor». Mais quand une surprise devient à ce point banale, la langue française oblige à reconnaître qu'elle n'en est plus une.
Pires conditions
«C'est vrai, je répète chaque jour que les conditions ici sont les pires pour moi, sourit le numéro un mondial. Pourtant, je dis la vérité. Mais je joue bien. Je crois même que je n'ai jamais aussi bien joué sur cette surface; un peu à ma surprise...»
Sur un revêtement qui absorbe le rebond et désamorce son lift, Rafael Nadal a su imposer d'autres qualités, tout aussi caractéristiques: la patience, la cadence, la résilience. Trois heures onze d'une empoigne superbe, hier, l'ont emmené au bout de ses forces et, parfois, au bord de la capitulation (cinq jeux perdus consécutivement au deuxième set) sans éveiller le moindre état d'âme.
Sa véhémence exerce sur ses semblables une fascination étrange, invariablement: aux portes de l'exploit, Andy Murray a hésité à appuyer sur la sonnette, et a fini par manquer son rendez-vous avec l'histoire. «J'ai peut-être perdu deux ou trois points au mauvais moment», relève l'Ecossais. «Il a commis deux erreurs à un moment où j'étais très fatigué», confirme l'écho. «Ce fut un duel superbe», disent-ils d'une même voix.
Pour la première fois, Rafael Nadal a poussé sa logique évolutive jusqu'en finale d'un Masters et, aujourd'hui encore, personne ne saurait dire jusqu'où il ira comme ça, le regard droit devant et ses certitudes en bandoulière.
Coupe du monde dames
Lara Gut est de retour
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Image © Keystone
Une agressivité retrouvée pour Lara Gut
La Tessinoise était sur la bonne voie au géant d’Aspen (EU) remporté par Tessa Worley
le 27 novembre 2010, 23h24
LeMatin.ch & les agences
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Il faudra encore attendre un peu pour retrouver Lara Gut au sommet. Prometteuse 9e de la première manche du géant d’Aspen (EU), la Tessinoise a rétrogradé au 13e rang final après son second passage, tandis que la victoire est revenue à la Française Tessa Worley. Sur une manche, Lara Gut a toutefois confirmé qu’elle était sur la bonne voie. Il y a cinq semaines à Sölden (Aut), pour son retour à la compétition après une saison blanche (luxation de la hanche), la skieuse de Comano s’était classée 25e. Outre sa progression au classement, la Tessinoise a montré une attitude diamétralement opposée entre son attentisme de Sölden et son agressivité retrouvée d’Aspen.
L’optimisme est moins de mise pour les autres Suissesses. Fabienne Suter a été éliminée en deuxième manche (17e de la première), tandis qu’Andrea Dettling, Esther Good et Nadja Vogel ont échoué dès le tracé initial.
Comme lors de l’édition 2008, Tessa Worley a triomphé sur la piste du Colorado. La fille du Grand Bornand, aux portes de Genève, s’est imposée avec un centième d’avance sur la championne olympique allemande Viktoria Rebensburg, en tête après la 1ère manche et victorieuse du géant inaugural de Sölden.
Après la victoire de Jean-Baptise Grange en slalom à Levi, il s’agit déjà de la deuxième victoire de la saison pour la France.
Federer-Nadal: la finale de rêve des Masters
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Le Suisse Roger Federer (N.2) n'a laissé aucune chance au Serbe Novak Djokovic (N.3) en demi-finale du Masters de tennis, samedi soir à Londres. Il s'est imposé en deux sets 6-1 et 6-4 en à peine 1h20.
Plus tôt dans la journée, le N.1 mondial Rafael Nadal avait mis 3h11 pour venir à bout du Britannique Andy Murray (N.5) en trois manches 7-6 (7/5), 3-6 et 7-6 (8/6) dans la première demi-finale.
Il s'agira de la 22e confrontation entre Nadal et Federer mais de la 2e à peine cette saison après la finale de Madrid remportée par l'Espagnol qui mène 14 à 7 dans leurs confrontations directes.(belga/chds)
L'AC Milan tenu en échec à la Sampdoria
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© epa
Résultat du match d'ouverture de la 14e journée du Championnat d'Italie de football disputé samedi.
Sampdoria Gênes - AC Milan 1-1
Buts
Sampdoria Gênes: Pazzini (59)
AC Milan: Robinho (43)
Juventus - Fiorentina (20h45)
Dimanche (15h00)
Inter Milan - Parme (12h30)
Bari - Cesena
Bologne - Chievo Vérone
Udinese - Naples
Cagliari - Lecce
Brescia - Genoa
Lazio Rome - Catane
Palerme - AS Rome (20h45)
La plus lourde défaite de l'histoire du XV de France
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© reuters
Le XV de France a subi la plus lourde défaite de son histoire (59-16) face à l'Australie, nettement supérieure dans tous les autres secteurs de jeu et auteur de 7 essais, samedi au Stade de France, qui place les Français dans un abîme d'incertitudes à dix mois du Mondial 2011.
Après deux victoires peu convaincantes contre les Fidji (34-12) et l'Argentine, les Français ont subi leur cinquième défaite consécutive contre les Wallabies. La plus large de l'ère Lièvremont ouverte en 2008. Les deux équipes étaient pourtant à égalité de points à la pause (13-13).
A un essai du centre australien Adam Ashley Cooper, transformé par James O'Connor, répondait un essai de pénalité pour les Français au terme d'une série de mêlées victorieuses qui valait une exclusion temporaire au pilier australien James Slipper. Morgan Parra et James O'Connor assuraient également chacun deux pénalités. Les Français prenaient l'avantage pour la première fois au retour des vestiaires grâce à une pénalité de Parra.
Mais les Australiens livraient une reprise tonitruante et ajoutaient deux essais par Ben Robinson et Will Genia, transformés par O'Connor, qui ajoutait une pénalité à l'heure de jeu (16-30, 60e). A court de solutions, dépassés, les Français encaissaient deux essais supplémentaires par l'ailier Drew Mitchell sous la bronca du du Stade de France, qui s'amplifiait après un essai de Rocky Elsom. (afp/chds
Le mental de champion de Dortmund
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Le Borussia Dortmund ne s'est pas affolé lorsque Mönchengladbach a ouvert la marque samedi lors de la 14e journée du Championnat d'Allemagne et a tranquillement repris le contrôle du match pour s'imposer 4-1 et conserver sept points d'avance sur Mayence.
Dortmund a enregistré sa 12e victoire de la saison, mais Gladbach lui a compliqué la tâche pendant 45 minutes. La lanterne rouge a en effet ouvert la marque contre le cours du jeu sur un nouvel exploit du jeune Marco Reus qui mystifia Roman Weidenfeller avec un tir de 30 m (33).
Le leader mit dix bonnes minutes pour s'en remettre, mais finit la première période tambour battant et égalisa par Neven Subotic de la tête sur corner juste avant de rejoindre les vestiaires.
Parti à la limite du hors-jeu sur une lumineuse ouverture du prodige Mario Götze, le Japonais Shinji Kagawa donna l'avantage à son équipe avec son 7e but de la saison (52), puis Kevin Grosskreutz (77) et Lucas Barrios (88) finirent le travail.
Même si son équipe compte 14 points d'avance (37-23) sur le Bayern Munich, 5e après son succès devant Francfort (4-1), et peut être sacrée championne d'automne à Nuremberg le week-end prochain, l'entraîneur Jürgen Klopp assure qu'il ne pense toujours pas au titre de champion d'Allemagne.(belga/chds)
Ski
Walchhofer le plus rapide au Canada
27.11.2010 21:18 - mise à jour: 28.11.2010 00:48 http://www.tsr.ch/2010/11/27/21/06/2734087.image?w=480&h=270 Walchhofer n'a pas gagné de descente depuis décembre 08. [Frank Gunn - Keystone]
Les Suisses se sont montrés présents pour la première descente de la saison. Alors que Silvan Zurbriggen finit au pied du podium, Janka, Cuche et Kueng entrent dans les 10 meilleurs. L'Autrichien Walchhofer remporte sa 12ème descente.
Les Suisses se sont trouvés un inattendu leader en descente à Lake Louise, au Canada. Quatrième d'une course remportée par Michael Walchhofer, le "slalomeur" Silvan Zurbriggen a signé son meilleur résultat en descente, volant la vedette à ses coéquipiers Carlo Janka (7e), Didier Cuche (9e) et Patrick Küng (10e).
Certes descendeur à ses débuts (2e aux Mondiaux juniors en 2001, 5e à Bormio en Coupe du monde en 2004), Zurbriggen n'avait plus brillé dans l'épreuve reine depuis plusieurs saisons. Autant dire que le coureur de Brigue a bluffé tout son monde, lui qui s'est élancé avec son dossard 31 et qui a échoué à seulement neuf centièmes du podium.
"C'est sensationnel. Après mes performances aux entraînements (réd: 43e et 38e), je n'avais pas imaginé un instant être si bien classé", a lâché le Valaisan, qui est en train de réussir un début de saison étincelant après sa 6e place en slalom à Levi (Finlande). "J'ai réussi une belle fin de parcours. Mais quand j'ai vu mon résultat, j'étais tellement surpris que j'ai cru qu'il y avait eu un problème!"
Une victoire que toute l'Autriche attendait
Avec trois autres Suisses dans le top 10, les hommes du coach Martin Rufener ont réussi un joli tir groupé. Et ce, même si Carlo Janka et Didier Cuche ont quelque peu déçu en regard de leurs exploits de l'hiver dernier dans l'épreuve reine.
Dominés par les Suisses lors de la saison 2009/2010, les Autrichiens ont, eux, remis les pendules à l'heure avec la victoire de Walchhofer et la deuxième place de Mario Scheiber (ex aequo avec Aksel Lund Svindal). Pour mémoire, les descendeurs autrichiens avaient terminé l'hiver précédent sans la moindre victoire dans l'épreuve reine, une première depuis 18 ans.
Seizième victoire pour le "vieux" Walchhofer
Cette disette avait été perçue comme une catastrophe au pays du ski roi. Et d'autant plus que son rival historique suisse avait fait main basse sur la descente (6 succès en 8 courses). Avec leur nouvel entraîneur Mathias Berthold (débauché chez les Allemandes), les Autrichiens n'ont donc pas tardé à reprendre leur étiquette de "Wunderteam" pour cette descente inaugurale.
Pour ce faire, ils ont pu compter sur leur indéboulonnable Walchhofer. A 35 ans et après avoir hésité à prendre sa retraite, le vétéran d'Altenmarkt a remporté la 16e victoire de sa carrière, la 12e en descente, sur la même piste où il s'était imposé la première fois en descente en 2003.
Courses Dames
La Française Tessa Worley triomphe à Aspen
27.11.2010 22:06 - mise à jour: 28.11.2010 00:49 http://www.tsr.ch/2010/11/27/21/57/2734115.image?w=480&h=270 Tessa Worley remporte le 3e géant de sa carrière en Coupe du monde. [Ralph Lauer - Keystone]
La Française Tessa Worley a remporté le slalom géant de Coupe du monde à Aspen pour la deuxième fois en trois saisons en devançant d'un souffle l'Allemande Rebensburg. Meilleure Suissesse, Lara Gut a pris la 13e place.
Il faudra encore attendre un peu pour retrouver Lara Gut au sommet. Prometteuse 9e de la première manche du géant d'Aspen (USA), la Tessinoise a rétrogradé au 13e rang final après son second passage, tandis que la victoire est revenue à la Française Tessa Worley.
http://www.tsr.ch/2010/11/27/22/20/2734165.image?w=230&h=165 Lara Gut a retrouvé du mordant dans le Colorado. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2010/11/27/22/20/2734165.image?w=418&h=300)Sur une manche, Lara Gut a toutefois confirmé qu'elle était sur la bonne voie. Il y a cinq semaines à Sölden, pour son retour à la compétition après une saison blanche (luxation de la hanche), la skieuse de Comano s'était classée 25e.
Changement d'attitude
Outre sa progression au classement, la Tessinoise a montré une attitude diamétralement opposée entre son attentisme de Sölden et son agressivité retrouvée d'Aspen. L'optimisme est moins de mise pour les autres Suissesses. Fabienne Suter a été éliminée en deuxième manche (17e de la première), tandis qu'Andrea Dettling, Esther Good et Nadja Vogel ont échoué dès le tracé initial.
Comme lors de l'édition 2008, Tessa Worley a triomphé sur la piste du Colorado. La fille du Grand Bornand, aux portes de Genève, s'est imposée avec un centième d'avance sur la championne olympique allemande Viktoria Rebensburg, en tête après la 1ère manche et victorieuse du géant inaugural de Sölden. Worley avait également remporté le slalom géant d'Are (SWE) en décembre 2009. Après la victoire de Jean-Baptise Grange en slalom à Levi, il s'agit déjà de la deuxième victoire de la saison pour la France.
Rebensburg fair-play
"C'était vraiment très très dur, cette piste est difficile mais je crois que c'est pour cela que je l'aime tant", a réagi Worley, qui doit la consonance anglaise de son nom de famille à son père, un Australien. "Je n'arrive pas y croire, c'était tellement serré. En deuxième manche, je n'ai pensé qu'à aller à fond, à aller le plus vite possible et à rien d'autre".
"J'ai gagné ma médaille d'or olympique d'un rien alors ça ne me dérange pas de perdre d'un rien", a déclaré Rebensburg, fair play. "Après ma victoire à Sölden, je confirme encore une fois que ma médaille (de Vancouver) n'était pas un coup de chance. J'ai fait une énorme erreur juste avant le plat, car c'est généralement ma force de faire la transition entre la pente et le plat".
Vonn toujours à la peine
A noter finalement que le calvaire du géant continue pour Lindsey Vonn. Déjà à la peine à Sölden (18e), la star américaine a été éliminée dès la première manche à Aspen. Tandis qu'un slalom est encore au menu dimanche dans le Colorado, la no 1 mondiale depuis 3 ans doit attendre avec impatience les premières épreuves de vitesse, la semaine prochaine à Lake Louise (Can).
si/lper
Ski
Dario Cologna étincelant à Kuusamo
27.11.2010 14:06 - mise à jour: 28.11.2010 06:31 http://www.tsr.ch/2010/11/27/14/47/2733726.image?w=480&h=270 Dario Cologna a émergé en vainqueur dans la "nuit" glaciale de Kuusamo. [Lehtikuva Lehtikuva - Reuters]
Victoire éclatante de Dario Cologna en Finlande! Le Grison s'est adjugé à Kuusamo sa première victoire de la saison, en remportant avec panache le 10km classique. Son dauphin, Alexander Legkov, a terminé la course à près de sept secondes.
Dario Cologna a triomphé dans le 10 km classique de Kuusamo, cadre de la deuxième étape de la Coupe du monde. Il semble en mesure d'empocher dimanche les 200 points promis au vainqueur du mini-Tour de Ski organisé dans la station finlandaise.
"Cette victoire signifie beaucoup pour moi. C'est génial de m'être imposé en style classique, qui plus est en Finlande. Je suis en forme, et je le savais", se félicitait le Grison de 24 ans, qui a devancé son dauphin Alexander Legkov (Rus) de 6''7 à l'issue d'une course disputée dans des conditions particulièrement difficiles (moins 20° environ !).
Cologna pointe au 3e rang du mini-Tour de Ski, malgré sa chute de la veille en quart de finale du sprint. Il s'élancera avec 9''7 de retard sur le leader provisoire Emil Jönsson (Su) dimanche dans le 15 km en style libre, discipline dont il détient tout simplement le titre olympique. "Mes chances de victoire sont très grandes. Je ferai tout pour m'imposer, mais rien n'est joué. Jönsson n'est pas à l'aise en skating, mais Legkov (5e à 14''6 de Cologna) ou Alex Teichmann (9e à 27''2 du Grison) seront dangereux."
De bon augure
Vainqueur du Tour de Ski 2008/2009 et de la finale de la Coupe du monde en mars 2009, Dario Cologna s'adjuge "seulement" sa quatrième victoire dans une course d'un jour. Ses trois premiers succès avaient en outre été obtenus dans le cadre des deux épreuves par étapes qu'il a remportées. La FIS ne les considère d'ailleurs pas officiellement comme des victoires en Coupe du monde.
http://www.tsr.ch/2010/11/27/15/06/2733732.image?w=230&h=165 Dario Cologna monte déjà pour la 2e fois sur le podium cet hiver. [Keystone] (http://www.tsr.ch/2010/11/27/15/06/2733732.image?w=418&h=300)Ce triomphe qui lui rapporte 50 points est de bon augure, d'autant plus que Dario Cologna avait également remporté le général de la Coupe du monde durant son remarquable hiver 2008/2009. Le prodige du Val Müstair pourrait d'ailleurs prendre dimanche le large en tête de la Coupe du monde en l'absence de son rival Petter Northug, malade depuis le début de la saison. "Il y a beaucoup de points en jeu ici. L'objectif est d'en amasser le maximum", concluait Dario Cologna, qui a pris la tête du général samedi.
Björgen: 3 sur 3
Marit Björgen est intouchable en ce début d'hiver. La quintuple médaillée des JO de Vancouver a fêté samedi sa troisième victoire en trois courses la 40e au total en individuel à ce niveau -, devançant d'un souffle (2''1) Justyna Kowalczyk à l'issue des 5 km en style classique. La Norvégienne accusait pourtant un retard de près de 5'' sur la Polonaise après 3,1 km !
Seule Suissesse engagée en Laponie, Doris Trachsel a échoué aux portes du top 30 samedi. La Singinoise a signé le 33e temps à 1'08''5 de Marit Björgen. Elle occupe également le 33e rang du miniTour de Ski avant le 10 km en style libre de dimanche, à moins de 10'' de la 30e place. La victoire finale semble promise à Marit Björgen, dont la marge sur sa dauphine provisoire Petra Majdic (Sln) est de plus de 25''.
18:30Tennis
Les Masters Finale Masters Londres
:content::content::content:;)Ne pas manquer Nadal - Federer:fou::content::content::content:
philguerin
28/11/2010, 09h23
Merci Norton,
les photos de ski que tu nous as mis sont magnifique surtout celle de tessa ... je ne savais même pas que c'était une française... c'est dire la communication de la fédération française de ski... mais bon c'est une autre histoire..
Par contre je ne sais pas si une chaine française retransmet le match Nadal-Federer??? c'est pas sûr du tout...
Merci Norton,
les photos de ski que tu nous as mis sont magnifique surtout celle de tessa ... je ne savais même pas que c'était une française... c'est dire la communication de la fédération française de ski... mais bon c'est une autre histoire..
Par contre je ne sais pas si une chaine française retransmet le match Nadal-Federer??? c'est pas sûr du tout...
Salut phil.....content de te lire je pense Eurosport.....
philguerin
28/11/2010, 09h29
ah oui ... ceci dit j'ai pas l'abonnement du coup... je vais voir si on trouve quelque chose sur internet...??? salut mon ami... caresse à ton nounours... çà doit être super quand tu rentres de promenade avec ses poils et la neige....!!
Par contre je ne sais pas si une chaine française retransmet le match Nadal-Federer??? c'est pas sûr du tout...
Nan la finale doit être diffusé sur Canal+ je pense.
Courses Dames
La Française Tessa Worley triomphe à Aspen
27.11.2010 22:06 - mise à jour: 28.11.2010 00:49 http://www.tsr.ch/2010/11/27/21/57/2734115.image?w=480&h=270 Tessa Worley remporte le 3e géant de sa carrière en Coupe du monde. [Ralph Lauer - Keystone]
La Française Tessa Worley a remporté le slalom géant de Coupe du monde à Aspen pour la deuxième fois en trois saisons en devançant d'un souffle l'Allemande Rebensburg. Meilleure Suissesse, Lara Gut a pris la 13e place.
:amoureux::amoureux::amoureux:Tessa:amoureux::amou reux::amoureux:
Sinon on parlait de Bernie qui s'est fait cassé la gueule.
http://hfr-rehost.net/http://i.dailymail.co.uk/i/pix/2010/11/27/article-1333608-0C41405C000005DC-576_468x521.jpg
Caramba, encore raté:):)
Texas Terror
28/11/2010, 10h39
Putain la peignée qu'on s'est pris hier soir contre l'australie :D
Moi qui vantait les merites de cette équipe australienne notamment les 3/4 a mes potes et collegues de boulot,je me suis régalé a les voir jouer,ça va vite,trop vite meme pour les pauvre français :),je crois qu'en terme de possession c'etait du 70/30,avec 13 franchissements pour les wallabies !!
Il est évident qu'en changeant de 3/4 comme de sous vetements on pouvait pas pretendre a une animation offensive digne de ce nom,idem pour les reperes défensifs.
81 joueurs testé en 3ans,presque l'équivalent de 6 equipes de rugby.
webamanu
28/11/2010, 10h48
Muller : "Le sentiment du travail bien fait"
http://i.eurosport.fr/2010/11/25/664306-8015339-317-238.jpg
De retour de Macao où il a décroché un 2e titre mondial en WTCC, le week-end dernier, Yvan Muller était de passage dans nos locaux, mardi. Souriant et bavard malgré la fatigue, l'Alsacien est revenu sur sa saison "accomplie" et a évoqué le futur.
Arrivé peu avant 16h au siège d'Eurosport en provenance de Macao, mardi, Yvan Muller apparait d'emblée à l'aise. Le nouveau Champion du monde WTCC, vêtu d'une chemise à carreau et d'un blouson en cuir noir, se prépare à enchainer les interventions sans montrer le moindre signe de lassitude. Pendant l'heure qu'il passe à Issy-les-Moulineaux, il répond d'abord aux questions des journalistes de l'antenne avant de nous consacrer de son temps. Malgré la fatigue née du décalage horaire avec Macao, Yvan se plonge avec enthousiasme dans l'exercice. Détendu, il revient sur sa saison, sans doute "la plus accomplie" de toute.
"J'ai le sentiment du travail bien fait, commence-t-il. Je dis ça parce lorsque je débute une saison, je ne me dis pas que je vais être Champion du monde mais que je vais essayer de faire mon travail du mieux possible. Voilà pourquoi je ressens cela." Cette sensation, Muller doit certainement la ressentir depuis plusieurs années. Double champion du monde 2008 et 2010, il a également terminé deuxième en 2007 et 2009. Des succès mais aussi des déceptions qui l'amènent à relativiser les bons comme les mauvais moments. "Je ne pense pas avoir fait quelque chose d'exceptionnel, estime-t-il. J'ai perdu plusieurs titres pour pas grand chose, notamment en 2007 où je casse dans le dernier tour à Macao. Du coup j'essaye de mettre les victoires et les défaites au même niveau."
Un projet avec Chevrolet pour Le Mans
Un discours empli de modestie, à l'image du personnage qui vient tout de même d'accomplir une de ses meilleures saisons. "C'est celle où j'ai commis le moins d'erreurs, tranche-t-il. Je n'ai pas grand chose à me reprocher. Je suis monté sur le podium quatorze fois et je suis entré dans les points à vingt reprises (sur 22 manches, ndlr). Je suis satisfait." Une régularité qui fait de lui le premier pilote titré sur deux marques différentes (Seat et Chevrolet). Il va désormais savourer cette nouvelle couronne avant de replonger très rapidement dans la préparation de la saison prochaine. De nombreux défis l'attendent déjà entre la défense de son titre et le développement de la nouvelle motorisation 1.6 litre turbo. Des épreuves qui ne l'effraient pas. "Je sens l'équipe forte, martèle-t-il. Ils sont professionnels et capables de relever le défi. D'ailleurs, nous allons multiplier les essais et ce, dès le mois de décembre. Deux séances sont programmées ainsi que d'autres en début d'année prochaine."
Loin d'être rassasié par les multiples roulages prévus, Yvan Muller est du genre à en vouloir toujours plus. Il a d'ailleurs disputé plusieurs épreuves dans d'autres disciplines en 2010. Et devrait poursuivre en 2011 ! "J'ai besoin d'avoir des 'récréations', confie-t-il. Ça me permet de revenir avec de la fraicheur sur les meetings WTCC." Contrairement à cette année, il ne disputera toutefois pas le Dakar début janvier : "Pas le temps avec les essais", balaie-t-il. Mais prévoit déjà de revenir sur le Rallye de France. Il pourrait même disputer une autre épreuve dans la Sarthe en juin prochain. "Je me suis régalé en Alsace, se souvient-il. Je vais me pencher dessus dès à présent pour le courir de nouveau. Concernant les 24 Heures du Mans, nous avons soumis l'idée avec Alain Menu et Rob Huff (ses équipiers en WTCC, ndlr) à Chevrolet. On travaille sur le projet pour se présenter au départ avec une Corvette aux couleurs des Cruze WTCC." "Ça pourrait être sympa", lui lance-t-on. "Sûr que ça le serait !", conclut-il avant de filer chez plusieurs de nos confrères pour poursuivre sa tournée médiatique.
Eurosport - Hadrien HIAULT
Putain la peignée qu'on s'est pris hier soir contre l'australie :D
Moi qui vantait les merites de cette équipe australienne notamment les 3/4 a mes potes et collegues de boulot,je me suis régalé a les voir jouer,ça va vite,trop vite meme pour les pauvre français :),je crois qu'en terme de possession c'etait du 70/30,avec 13 franchissements pour les wallabies !!
Il est évident qu'en changeant de 3/4 comme de sous vetements on pouvait pas pretendre a une animation offensive digne de ce nom,idem pour les reperes défensifs.
81 joueurs testé en 3ans,presque l'équivalent de 6 equipes de rugby.
Normal je vais dire. L'australie a une très bonne équipe avec beaucoup de jeunes, ils ont eu du mal après la coupe du monde 2007 mais ils ont reconstruit une équipe et depuis l'an passé ils ont une base. Alors que nous à un an de la coupe du monde on teste toujours des joueurs qui ont fait 2 bons matchs en championnat mais qui n'ont pas le niveau international. La ligne de 3/4 est ridicule, Ouedraogo après 3 ans en EDF est toujours pareil, Guirado, tu te demandes comment il a réussi à être en EDF... Il nous met Trinh Duc pendant 3 ans et aujourd'hui il voudrait mettre Traille et comme c'est parti on va l'avoir au Tournoi et on arrivera comme toujours en Coupe du monde sans ouvreur. Qu'ils remettent Clerc, Medard, Poitrenaud et tout ceux qui ont de l'expérience en club ET en équipe de France
Federer remporte son 5e Masters face à Nadal
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Le Suisse Roger Federer a remporté son 5e Masters de tennis, dimanche soir à Londres.
Le N.2 mondial a battu en finale son grand rival, le N.1 mondial l'Espagnol Rafael Nadal 6-3, 3-6 et 6-1 en 1h38 de jeu. Pour sa 9e participation au tournoi final de la saison, Federer disputait sa 6e finale. Ce 5e succès, après 2003, 2004, 2006 et 2007 lui permet à 29 ans de rejoindre au sommet du palmarès l'Américain Pete Sampras lui aussi vainqueur à cinq reprises.
Au sommet de son art, Federer a délivré un récital presque parfait face à Nadal contre qui il restait sur 6 défaites en 7 matches.
Résolument offensif, le champion helvétique a pris la direction de l'échange du fond du court en réussissant pratiquement un sans-faute dans la première manche, autant en coup droit qu'en revers.
Federer a connu une baisse de régime au début du deuxième set, où il a commis plus de fautes, permettant au Majorquin de faire le break (3-1) puis d'égaliser à une manche partout.
Le Suisse a su se ressaisir et reprendre l'initiative dans le dernier set. Il a réussi le break décisif pour mener 3-1 en agressant Nadal sur sa deuxième balle. Il a conclu sans trembler.
Nadal, qui était assuré de terminer la saison à la place de N.1 mondial, disputait sa première finale d'un Masters. Il mène 14 victoires à 8 dans ses duels avec Federer mais n'a toujours pas réussi à le battre en salle.
Iljo Keisse et Peter Schep remportent les Six Jours de Gand
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L'équipe belgo-néerlandaise composée de Iljo Keisse et Peter Schep a remporté dimanche la 70e édition des Six Jours cyclistes de Gand.
Ils ont totalisé 406 points et devancé l'équipe belgo-germanique formée par Kenny De Ketele et Leif Lampater (345). Les Allemands Robert Bartko et Danilo Hondo (275) sont montés sur la 3e marche du podium.
Deux équipes, Keisse/Schep et De Ketele/Lampater, ont entamé l'ultime course par équipes avec un tour d'avance sur le trio Rasmussen/Morkov (lauréats de l'épreuve en 2009), Bartko/Hondo et Stam/van Bon.
Kenny De Ketele et Leif Lampater ont tout tenté pour s'imposer. A un quart d'heure de la fin, Iljo Keisse et Peter Schep ont dû répondre à leur attaque. A 50 tours de l'arrivée Bartko/Hondo et Ramsussen/Morkov ont à leur tour tenté leur chance. Sans succès.
Keisse/Schep ont ainsi pu franchir en vainqueur la ligne d'arrivée. Il s'agit de la 4e victoire de Keisse dans cette épreuve après 2005 (avec Mathew Gilmore), 2007 et 2008 (chaque fois avec Robert Bartko).
Floyd Landis accable Contador et Armstrong
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L'Américain Floyd Landis, vainqueur déchu du Tour de France 2006, ne croit pas aux explications de l'Espagnol Alberto Contador pour justifier la présence de clenbutérol dans son organisme, a-t-il déclaré dimanche à la télévision allemande ARD où il a réitéré ses attaques contre l'UCI et Lance Armstrong.
"Je sais que des coureurs prennent du clenbutérol. Le risque d'être pris est plus élevé maintenant qu'avant, mais ce risque est quand même relativement réduit, car cette substance a généralement disparu au moment du contrôle", a déclaré Landis.
Contador a expliqué les traces infimes de clenbutérol (bêta-stimulant qui stimule la fonction pulmonaire mais possède aussi des effets anabolisants, ndlr) identifiés dans des échantillons prélevés pendant le Tour de France 2010 par une contamination alimentaire liée à la viande qu'il avait consommée peu avant.
Landis s'en est également pris à l'actuel président de l'Union cycliste internationale Pat McQuaid et à son prédécesseur Hein Verbrüggen: "Dans le peloton, tout le monde sait que Pat McQuaid, Hein Verbrüggen ou d'autres dirigeants de l'UCI ont protégé lors des 20 dernières années certains coureurs et pas d'autres. C'était leur façon de manipuler et de créer des stars", a-t-il accusé.
A propos d'Armstrong, septuple vainqueur du Tour de France qui n'a jamais fait l'objet d'un contrôle antidopage positif, Landis qui, par le passé, a assuré l'avoir vu se doper, a conseillé aux téléspectateurs de ne pas se faire d'illusions.
"Tous ceux, et je m'inclus dedans, qui ont pris part à des courses remportées par Lance l'ont fait", a-t-il indiqué.
L'Inter est repartie, l'AC Milan freiné
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L'Inter a repris sa marche en avant et 2 points à l'AC Milan en battant nettement Parme (5-2), après quatre matches sans victoire en championnat d'Italie, dimanche pour la 14-ème journée, au lendemain du nul du leader sur le terrain de la Sampdoria Gênes (1-1).
Seule équipe de tête à s'imposer, en attendant le match de l'AS Rome à Palerme, dimanche soir (20h45), l'Inter grignote aussi 2 points sur la Lazio Rome (2-ème), incapable de battre Catane (1-1), et la Juventus Turin (4-ème), tenue en échec par la Fiorentina samedi (1-1), et reprend 3 points à Naples, terrassé par un triplé d'Antonio Di Natale dimanche à Udine.
L'Inter a confirmé sa victoire de mercredi en Ligue des champions face à Twente (1-0), et l'entraîneur Rafael Benitez va retrouver un peu de sérénité après les quatre jours difficiles qui avaient suivi la défaite au Chievo Vérone.
Le champion en titre est revenu à la 5-ème place, à 7 points de l'AC Milan, grâce notamment à un triplé du Serbe Dejan Stankovic (18, 19, 75).
Eto'o suspendu
L'absence du serial buteur (18 buts pour son club cette saison) Samuel Eto'o, qui purgeait le premier de ses trois matches de suspension pour son coup de tête à Bostjan Cesar, n'a pas vraiment pesé... Stankovic a été suivi par Esteban Cambiasso (23), déjà auteur du but salvateur contre Twente, et Thiago Motta (72), contre deux buts d'Hernan Crespo (4, 36).
L'AC Milan restait lui sur quatre succès en Serie A et a connu un petit coup d'arrêt. Zlatan Ibrahimovic n'a cette fois pas marqué, mais il donné la passe décisive à Robinho, excellent.
A Turin, la Juventus n'a pas bu battre la Fiorentina et laisse l'Inter revenir à 1 point. La Vieille Dame n'est parvenue qu'une fois à enchaîner deux victoires cette saison (à Milan et contre Cesena), et n'avance qu'à petits pas.
La Lazio elle semble en difficulté. Après un début de saison de rêve, elle n'a pris que 4 points sur les quatre derniers matches. Naples, lui, a coulé sous les coups de Di Natale (16, 45, 57), meilleur buteur de l'an dernier, qui avec 8 buts talonne désormais Eto'o et le Napolitain Edinson Cavani (9 buts) au classement 2010-11.
Le Sarde Alessandro Matri rejoint Di Natale grâce à un doublé (6, 15) qui permet à son équipe de battre Lecce 3-2.
En bas de classement Jean-François Gillet et Bari, menés 0-1 sur penalty à la 62-ème, ont égalisé par Francesco Caputo 2 minutes plus tard. Enfin le match Bologne-Chievo Vérone a été repoussé à cause des fortes chutes de neige. (afp)
Tom Meeusen vainqueur de la 5e manche du Superprestige
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Tom Meeusen a remporté à Gieten la 5e manche du Superprestige de cyclo-cross, dimanche aux Pays-Bas, sa première victoire sur ce circuit de régularité chez les élites.
Le coureur de l'équipe Telenet-Fidea, qui avait lancé le sprint en tête face à son dernier adversaire Sven Nys, a profité d'un bris de pédale du champion de Belgique pour devancer le Tchèque Radomir Simunek et Sven Vanthourenhout. Nys, qui a du parcourir les 150 derniers mètres à pied, s'est classé finalement 4ème devant Kevin Pauwels, mais le Brabançon conserve néanmoins la tête du classement provisoire du circuit.
Le champion du monde tchèque Zdenek Stybar, grand battu du jour,
n'a lui terminé que 17ème, alors que Niels Albert, vainqueur samedi de la manche de Coupe du monde à Coxyde, a complètement manqué son départ et a abandonné aux trois quarts de l'épreuve. Au classement du Superstige, Nys, avec 68 points, devance Kevin
Pauwels (56 pts) et Stybar (51 pts).
La maîtresse de Wilshere
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Jack Wilshere (18 ans) est l'un des futurs talents du football anglais. Celui qui crève actuellement l'écran avec Arsenal (encore un but aujourd'hui contre Aston Villa) fait aussi parler son talent hors de terrains de football.
En couple depuis 3 ans avec Lauren Neal, le petit prodige du football anglais a dérapé. Les tabloïds anglais n'ont pas loupé l'affaire. L'heureuse élue s'appelle Jessica Jensen, spécialiste de lap dance à ses heures perdues.
Jack Wilshere a supplié sa maîtresse ne pas ébruiter l'affaire. Loupé ! Comme quoi, c'est le métier qui rentre... (chds)
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27/11/10 16h38
:content::content::content::amoureux:Il a du Goût:D
saut à skis
Simon Ammann est «bien là»
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Première course de Coupe du monde et premier podium pour Simmi, à côté de Thomas Morgenstern et d’Andreas Kofler
Le quadruple champion olympique a commencé la saison par un podium
le 28 novembre 2010, 23h54
LeMatin.ch & les agences
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«J’ai pu montrer à la concurrence que j’étais bien là.» Quadruple champion olympique, Simon Ammann avait entamé sa préparation avec deux mois de retard en raison de douleurs dans le bas du dos. Le Saint-Gallois a pris une belle 3e place sur le grand tremplin de Kuusamo. «Tout s’est déroulé de façon optimale pour moi, s’est-il réjoui. «Je suis positivement surpris, j’ai pu contrôler mes sauts et j’avais de bonnes sensations. Je suis dans une situation confortable.»
Le vainqueur du dernier Globe de cristal savait que son incroyable série victorieuse (8 succès d’affilée au plus haut niveau depuis les JO de Vancouver, dont 5 en Coupe du monde) allait prendre fin. Mais il ne s’attendait certainement pas à se retrouver à pareille fête en Finlande.
L’Helvète pointait déjà au 3e rang après un excellent premier saut (142,5 m) et prenait la tête provisoire après son deuxième envol (138 m). Le sauteur du Toggenburg ne pouvait pas empêcher un doublé d’Autrichiens en grande forme. Vainqueur de la dernière Tournée des Quatre-Tremplins, Andreas Kofler s’offrait un troisième succès individuel en Coupe du monde en atterrissant à 145,5 m et à 143,5 m. Thomas Morgenstern l’avait mis sous pression en se posant à 145,5 m en finale (142 m dans la première manche).
Küttel en plein doute
Andreas Küttel est, lui, bien loin de la forme qui lui avait permis de décrocher le titre mondial au grand tremplin en 2009. Déjà très en retrait la saison dernière, le Schwytzois a dû se contenter d’une manche (41e avec 113 m). Il aurait même pu suivre le concours depuis les tribunes, mais bénéficiait de la disqualification de Janne Ahonen – qui s’était élancé malgré un feu rouge – pour décrocher le 40e et dernier ticket distribué lors des qualifications.
L’apprentissage de Rémi Français se poursuit dans la douleur. Le Vaudois manquait nettement le coche dans les qualifications, organisées dimanche matin par un froid polaire. Le Vaudois terminait au 58e et avant-dernier rang après avoir atterri à 78 m. Marco Grigoli s’est, quant à lui, extirpé des qualifications, mais réalisait la 44e performance du premier saut (114,5 m).
ski alpin
Grünenfelder passe la première
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Tobias Grünenfelder avait hier, au Canada, de la Suisse dans ses idées
Un jour après son 33e anniversaire, le Glaronais s’est offert, en super-G, son premier succès en Coupe du monde. La Suisse s’est, elle, offert un doublé avec Carlo Janka. Didier Cuche est 5e
le 28 novembre 2010, 23h49
LeMatin.ch & les agences
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Devine qui vient gagner ce soir? Carlo Janka ou Didier Cuche? Non, vous n’y êtes pas. La première victoire suisse de la saison est venue de l’homme qu’on n’attendait pas. Vingt-quatre heures après avoir fêté ses 33 ans, Tobias Grünenfelder s’est permis, en effet, le luxe de coiffer son chef de file, l’immense Janka (2e à 7 centièmes), lors du super-G de Lake Louise (Can).
Il aura fallu 14 saisons et 180 courses pour que le Glaronais tienne enfin son jour de gloire. Jusqu’ici, le skieur d’Elm (le village de Vreni Schneider) avait dû se contenter d’accessits (4 fois 3e). Mais le plus souvent, c’est dans l’ombre de ses leaders qu’il alignait les courses.
Antistar par excellence de l’équipe de Suisse, il n’avait trouvé un sponsor «tête» (casque et bonnet) pour cet hiver que quelques jours avant de s’envoler pour le Canada.
D’un tempérament réservé, le frère des anciens coureurs Jürg et Corina n’avait pas non plus été aidé par la chance pour percer au grand jour. En descente à Bormio en 2005, il avait course gagnée avant de chuter dans le schuss d’arrivée, pour échouer au 3e rang en se déchirant les ligaments internes d’un genou.
«J’ai toujours cru que mon jour allait venir. J’ai dû attendre longtemps, mais mieux vaut tard que jamais!» a lâché Grünenfelder. «Après ma mauvaise descente de samedi ( réd: 28e) , je voulais absolument montrer autre chose. Avec ce succès, je peux maintenant fêter dignement mes 33 ans», a continué celui qui skie avec un matériel helvétique (Stöckli).
Zurbriggen enchaîne
Dans le sillage du duo Grünenfelder-Janka, les Suisses ont signé un véritable carton dans l’Alberta. En retrait la veille en descente (9e), Didier Cuche est monté en puissance en prenant le 5e rang, tandis que Patrick Küng s’est classé 10e.
Surprise suisse de la descente de samedi avec sa quatrième place, le «slalomeur» Silvan Zurbriggen a confirmé qu’il tenait la forme de sa vie en vitesse en se classant 9e du super-G. Egalement 6e mi-novembre en slalom à Levi, le Haut-Valaisan occupe la deuxième place au classement général de la Coupe du monde, juste derrière l’Autrichien Mario Scheiber (2e et 4e ce week-end).
Feuz et Hoffmann sont de retour au pays
Touché au ménisque gauche lors de la descente de samedi à Lake Louise, le Bernois Beat Feuz (18e) doit rentrer en Suisse pour se refaire une santé. Déjà forfait pour la descente, le Grison Ambrosi Hoffmann va aussi rentrer à la maison, lui qui souffre de la jambe gauche depuis une chute à l’entraînement en septembre. (si)
LE PODIUM
1. Grünenfelder (SUI)
2. Janka (SUI)
3. Baumann (AUT)
Ski alpin
La cadette prometteuse
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Wendy Holdener disputait sa troisième course de Coupe du monde
A 17 ans, la Schwytzoise Wendy Holdener se classe 18e et meilleure Suissesse
le 28 novembre 2010, 23h46
LeMatin.ch & les agences
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Coupe du monde dames Aspen (EU)
La Suédoise Maria Pietilä-Holmner a remporté son premier succès en Coupe du monde en dominant les deux manches du slalom d’Aspen (EU). Les Suissesses placent la très jeune Wendy Holdener (18e) et Denise Feierabend (21e) dans les points.
Devant Maria Riesch
Souvent placée en slalom et en géant mais jamais gagnante jusqu’à présent, Pietilä-Holmner s’est révélée au grand public en devançant de 0’’68 la grande dame du slalom Maria Riesch. L’Allemande, championne olympique, du monde et tenante du globe de la discipline, se console en ravissant à sa compatriote Monika Rebensburg la tête du général de la Coupe du monde. La 3e place revient à la Finlandaise Tanja Poutiainen.
Lara Gut à la recherche de sensations
Côté suisse, les résultats sont dans la lignée des dernières sorties. Mais la 18e place de Holdener, âgée de 17 ans seulement et qui disputait sa troisième course de Coupe du monde, est assez prometteuse. La cadette a fini trois rangs devant l’Obwaldienne Denise Feierabend.
Les autres Suissesses, à l’instar d’Aline Bonjour (34e), n’ont pas passé le «cut». Lara Gut, à la recherche de sensations dans la discipline, a été éliminée sur le premier tracé.
La manche initiale a fait une victime de marque en la personne de Marlies Schild, gagnante il y a quinze jours à Levi. Première à s’élancer, l’Autrichienne a enfourché la première porte!
Course des champions à Düsseldorf
Kovalainen détruit son Audi R8
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La Course des champions – dernière compétition de l’année qui réunit les meilleurs pilotes automobiles du moment – a connu, outre la victoire par équipes de Sebastian Vettel et Michael Schumacher pour l’Allemagne, un gros crash signé Heikki Kovalainen, pilote finlandais de l’écurie de F1 Lotus. Il est sorti indemne. Vidéo
le 28 novembre 2010, 23h12
Le Matin
http://www.lematin.ch/sports/formule-1/kovalainen-detruit-audi-r8-354917
philguerin
29/11/2010, 10h31
il a dû se marrer LOEB en voyant son pôtes s'éclater dans la rampe... en tout cas la caisse a bien morflée...
Tennis - Classement ATP
Nadal finit numéro 1
Malgré sa défaite en finale du Master de Londres,Rafael Nadal se console en terminant l'année en tête de la hiérarchie mondiale. Andy Murray prend la quatrième place aux dépens de Robin Soderling.
Défait par Roger Federer (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_676.html)en finale du Masters (http://www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20101128_202356_federer-reprend-la-main.html) de Londres dimanche, Rafael Nadal (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_2862.html) conserve cependant son fauteuil de numéro un mondial. Une place que l'Espagnol n'a pas volée puisqu'il compte plus de 3.000 points d'avance sur son dauphin suisse. Les deux hommes se disputent exclusivement la tête du classement, et ce sans interruption, depuis 2005. Statu quo pour Novak Djokovic : le Serbe reste sur la troisième marche du podium, un podium de fin d'année identique depuis 2007.
FOOTBALL
Barça-Madrid: Benzema titulaire en attaque à la place de Higuain
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C'est le grand soir pour Karim Benzema.
C'est la première surprise de ce classico. Suite à une blessure musculaire contractée mardi dernier contre l'Ajax d'Amsterdam, Gonzalo Higuain doit déclarer forfait pour ce soir. L'Argentin du Real Madrid sera remplacé par le Français Karim Benzema.
Julien Rouyer / Barcelone - le 29 novembre 2010, 16h13
LeMatin.ch
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Alors que Pep Guardiola et Jose Mourinho avaient annoncé hier pouvoir compter chacun sur leur onze de gala, le technicien du Real Madrid a du revoir ses plans en début d'après-midi. Blessé à Amsterdam en Ligue des Champions, Gonzalo Higuain, titulaire indiscutable à la pointe de l'attaque madrilène, a du déclarer forfait pour la rencontre de ce soir. Pour le remplacer, l'entraîneur portugais a choisi de faire confiance à Karim Benzema, en progression sur les derniers matchs après un début de saison difficile. Une chance en or pour le Français de montrer qu'il a sa place dans le club le plus titré de l'histoire du football espagnol.
Côté Catalan, la seule inconnue reste la titularisation d'Abidal au poste d'arrière gauche. La forme étincelante de Maxwell depuis le début de saison pourrait faire pencher la balance en faveur du Brésilien pour débuter le match. Pour le reste, Pep Guardiola peut compter sur ses titulaires habituels, dont 8 champions du monde en Afrique du Sud.
A quelques heures du choc au sommet entre le Barça et le Real Madrid, l’ambiance est montée d’un cran cet après-midi dans les environs du Camp Nou. Les derniers billets encore disponibles s’échangent à prix d’or au marché noir (jusqu’à 4000 francs pour un siège VIP !) et les échoppes d’accessoires aux couleurs blaugrana sont prises d’assaut par les supporters. Ce soir, ils seront près de 100 000 à encourager leur équipe, dans un stade plein à craquer. En tribunes, une mosaïque géante aux couleurs du club catalan et avec l’inscription « Barça, je t’estime » saluera l’entrée des joueurs sur la pelouse. Coup d’envoi du match : 21h.
football
Corruption à la FIFA: le «Tages-Anzeiger» donne trois noms
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La FIFA est au coeur d'un scandale sur la corruption de ses membres.
Le "Tages-Anzeiger" a dévoilé les noms de trois membres du Comité éxécutif de la FIFA qui auraient reçu des sommes d'argent via des adresses de boîtes postales de sociétés.
le 29 novembre 2010, 15h59
LeMatin.ch & les agences
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Le "Tages-Anzeiger" a dévoilé trois noms de membres de la FIFA visés par des affaires de corruption. Il s'agirait, selon le quotidien zurichois, du Brésilien Ricardo Teixeira, du Paraguayen Nicolas Leoz et du Camerounais Issa Hayatou.
Comme révélé dans son édition dominicale, la "SonntagsZeitung", ces trois personnes auraient perçu de l'argent via des "boîtes postales de sociétés" à hauteur de plusieurs millions de francs, par l'intermédiaire de l'agence ISL, basée à Zoug et qui avait obtenu, en 2001, la gestion des intérêts commerciaux de la FIFA, notamment en matière de droits TV lors des phases finales des Coupes du monde. Le "Tages-Anzeiger" s'appuie sur une liste de paiements tirée de la comptabilité d'ISL.
Le programme télévisé de la BBC "Panorama" a prévu ce lundi soir de faire lui aussi de nouvelles révélations concernant une présumée corruption au sein de la FIFA.
12 mio pour Teixeira
La personne la plus exposée par l'article du "Tages-Anzeiger" est Ricardo Teixeira, président de la Fédération brésilienne et un des six vice-présidents de la FIFA. Il aurait touché d'ISL, selon le journal, près de 12 millions de francs via une boîte postale au Liechtenstein.
Nicolas Leoz, président de la Fédération sud-américaine (Conmebol), aurait lui perçu un peu plus d'un million de francs, tandis qu'Issa Hayatou, président de la Confédération africaine (CAF) et adversaire de Sepp Blatter à l'élection au poste de président de la FIFA en 2002, aurait reçu 25 000 francs.
Ce nouveau scandale intervient à trois jours du vote qui doit attribuer les organisations des Coupes du monde 2018 et 2022. Ces cas n'ont toutefois aucun lien direct avec les événements de jeudi, puisqu'ils concernent des faits datant des années 1990.
Vote maintenu
Il n'empêche que cette affaire jette encore un peu plus le discrédit sur la FIFA, qui a déjà été contrainte mi-novembre de suspendre deux membres de son Comité exécutif, Amos Adamu (Nig) et Reynald Temarii (Tahiti). Ces derniers avaient été confondus par des médias anglais dans une affaire d'achat de voix en vue du vote de jeudi.
En dépit de ce nouvel épisode, il n'y a presque aucune chance de voir la FIFA repousser les désignations des pays hôtes des Coupes du monde 2018 et 2022. Les candidats pour 2018 sont l'Angleterre, la Russie et les duos Espagne/Portugal et Pays-Bas/Belgique. Pour 2022, le Qatar, l'Australie, les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud sont en lice.
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HOCKEY SUR GLACE
VIDÉO La précision de Sidney Crosby
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La star canadienne des Pittsburgh Penguins fait une démonstration de sa précision de tir pour son sponsor. Le dernier lancer est particulièrement impressionnant.
le 29 novembre 2010, 14h05
LeMatin.ch
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Football
Le Barça humilie le Real
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Xavi Hernandez bat Iker Casillas et ouvre le score à la 9e
Les Catalans de Guardiola surclassent les Madrilènes de Mourinho dans le jeu
Julien Rouyer - le 29 novembre 2010, 23h14
Le Matin
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LIGA
FC Barcelone - Real Madrid
5-0 (2-0)
Quelle démonstration! Le Real Madrid version Mourinho n’a pas pesé lourd hier soir dans le choc au sommet face au FC Barcelone. Défait pour la cinquième fois consécutive face à son rival catalan, le club de la capitale a pu mesurer le travail qu’il lui reste à accomplir pour rivaliser avec la meilleure équipe du moment en Espagne et probablement sur le continent.
Dans un Camp Nou chauffé à bleu (et grenat), il n’aura fallu que quelques minutes à Messi, Villa et Cie pour donner le tournis et surclasser des Merengue mis d’entrée de jeu hors de position. A la 3e minute déjà, Iniesta adressait une passe dans l’axe à Villa, interceptée de justesse par Pepe, un des meilleurs Madrilènes hier. Trois minutes plus tard, suite à un corner mal renvoyé, Messi trouvait le poteau extérieur de Casillas. Une première alerte, qui allait inaugurer 20 minutes de folie du Barça.
A la 9e minute, Iniesta décalé côté gauche adressait un petit ballon piqué au point de penalty pour Xavi, qui pouvait ajuster Casillas en deux temps: 1-0. Huit minutes plus tard, au terme d’une séquence de plus de 30 passes, Villa centrait fort pour Pedro, qui n’avait plus qu’à marquer à bout portant: 2-0.
Ronaldo pousse Guardiola
En face, rien. Ou si peu (un tir de Di Maria bloqué par Valdes à la 11e). Il aura fallu une échauffourée provoquée par Ronaldo pour remettre le Real dans le match à la demi-heure. Suite à une sortie de balle, l’ailier portugais bousculait Pep Guardiola, provocant une mêlée générale et la bronca du public catalan. Jamais aussi motivé que sous les sifflets, le portugais bottait un coup franc de peu à droite des buts de Valdez, offrant au Real sa meilleure occasion de la 1re mi-temps.
De retour des vestiaires, Messi – auteur de deux passes décisives – se frottait avec Carvalho et écopait d’un carton jaune pour simulation. La puce argentine serrée de près par Pepe et Carvalho, c’est des pieds de David Villa qu’a jailli la lumière en début de seconde période.
Le petit attaquant asturien crucifiait Casillas à deux reprises en 3 minutes. A 4-0, la messe était dite. Ce Barça-là était beaucoup trop fort pour un Real trop provocateur et brouillon pour rivaliser avec des Catalans au sommet de leur art. En fin de match, le jeune Jeffren salait encore l’addition alors que les Merengue perdaient leurs nerfs et terminaient la rencontre à 10 après l’expulsion de Sergio Ramos.
LA RENCONTRE
Camp Nou, 98 787 spectateurs. Arbitre: M. Iturralde Gonzalez.
Buts: 9e Xavi 1-0, 17e Pedro 2-0, 54e Villa 3-0, 57e Villa 4-0, 90e Jeffren 5-0.
FC Barcelone: Valdes, Piqué, Puyol, Abidal, Alves, Busquets, Xavi (86e Keita), Iniesta, Villa (75e Bojan), Messi, Pedro (87e Jeffren). Entraîneur: Guardiola.
Real Madrid: Casillas, Pepe, Carvalho, Sergio Ramos, Marcelo (60eArbeloa), Khedira, Xabi Alonso, DiMaria, Özil (46e Lass Diarra), Ronaldo, Higuain.
Notes: Barcelone sans Milito (blessé), Real Madrid sans Higuain, Kaka, Garay et Gago (blessés). Avertissements: Ronaldo et Valdes (30e, pour s’être accrochés), Villa (33e, pour une faute), Pepe (35e, pour avoir retenu), Messi (44e, pour simulation), Xabi Alonso (51e pour une faute), Carvalho (71e pour antijeu), Sergio Ramos (73e pour une faute), Khedira (74e pour une faute), Puyol (80e, pour une faute). Expulsion: Sergio Ramos (91e, pour avoir frappé).
:fou:La fessée:D:D
Stoner27
30/11/2010, 06h27
Football
Le Barça humilie le Real
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/foot5_1.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/foot5_1.jpg)
Image © Keystone
Xavi Hernandez bat Iker Casillas et ouvre le score à la 9e
Les Catalans de Guardiola surclassent les Madrilènes de Mourinho dans le jeu
Julien Rouyer - le 29 novembre 2010, 23h14
Le Matin
0 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
LIGA
FC Barcelone - Real Madrid
5-0 (2-0)
Quelle démonstration! Le Real Madrid version Mourinho n’a pas pesé lourd hier soir dans le choc au sommet face au FC Barcelone. Défait pour la cinquième fois consécutive face à son rival catalan, le club de la capitale a pu mesurer le travail qu’il lui reste à accomplir pour rivaliser avec la meilleure équipe du moment en Espagne et probablement sur le continent.
Dans un Camp Nou chauffé à bleu (et grenat), il n’aura fallu que quelques minutes à Messi, Villa et Cie pour donner le tournis et surclasser des Merengue mis d’entrée de jeu hors de position. A la 3e minute déjà, Iniesta adressait une passe dans l’axe à Villa, interceptée de justesse par Pepe, un des meilleurs Madrilènes hier. Trois minutes plus tard, suite à un corner mal renvoyé, Messi trouvait le poteau extérieur de Casillas. Une première alerte, qui allait inaugurer 20 minutes de folie du Barça.
A la 9e minute, Iniesta décalé côté gauche adressait un petit ballon piqué au point de penalty pour Xavi, qui pouvait ajuster Casillas en deux temps: 1-0. Huit minutes plus tard, au terme d’une séquence de plus de 30 passes, Villa centrait fort pour Pedro, qui n’avait plus qu’à marquer à bout portant: 2-0.
Ronaldo pousse Guardiola
En face, rien. Ou si peu (un tir de Di Maria bloqué par Valdes à la 11e). Il aura fallu une échauffourée provoquée par Ronaldo pour remettre le Real dans le match à la demi-heure. Suite à une sortie de balle, l’ailier portugais bousculait Pep Guardiola, provocant une mêlée générale et la bronca du public catalan. Jamais aussi motivé que sous les sifflets, le portugais bottait un coup franc de peu à droite des buts de Valdez, offrant au Real sa meilleure occasion de la 1re mi-temps.
De retour des vestiaires, Messi – auteur de deux passes décisives – se frottait avec Carvalho et écopait d’un carton jaune pour simulation. La puce argentine serrée de près par Pepe et Carvalho, c’est des pieds de David Villa qu’a jailli la lumière en début de seconde période.
Le petit attaquant asturien crucifiait Casillas à deux reprises en 3 minutes. A 4-0, la messe était dite. Ce Barça-là était beaucoup trop fort pour un Real trop provocateur et brouillon pour rivaliser avec des Catalans au sommet de leur art. En fin de match, le jeune Jeffren salait encore l’addition alors que les Merengue perdaient leurs nerfs et terminaient la rencontre à 10 après l’expulsion de Sergio Ramos.
LA RENCONTRE
Camp Nou, 98 787 spectateurs. Arbitre: M. Iturralde Gonzalez.
Buts: 9e Xavi 1-0, 17e Pedro 2-0, 54e Villa 3-0, 57e Villa 4-0, 90e Jeffren 5-0.
FC Barcelone: Valdes, Piqué, Puyol, Abidal, Alves, Busquets, Xavi (86e Keita), Iniesta, Villa (75e Bojan), Messi, Pedro (87e Jeffren). Entraîneur: Guardiola.
Real Madrid: Casillas, Pepe, Carvalho, Sergio Ramos, Marcelo (60eArbeloa), Khedira, Xabi Alonso, DiMaria, Özil (46e Lass Diarra), Ronaldo, Higuain.
Notes: Barcelone sans Milito (blessé), Real Madrid sans Higuain, Kaka, Garay et Gago (blessés). Avertissements: Ronaldo et Valdes (30e, pour s’être accrochés), Villa (33e, pour une faute), Pepe (35e, pour avoir retenu), Messi (44e, pour simulation), Xabi Alonso (51e pour une faute), Carvalho (71e pour antijeu), Sergio Ramos (73e pour une faute), Khedira (74e pour une faute), Puyol (80e, pour une faute). Expulsion: Sergio Ramos (91e, pour avoir frappé).
:fou:La fessée:D:D
Trop content pour le Barça, quelle déculotée pour un club Madrilen pourri par l'argent. Une équipe cela ne s'achète pas à coup de dollar mais ça se forme!
Football
Le Barça humilie le Real
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Xavi Hernandez bat Iker Casillas et ouvre le score à la 9e
Les Catalans de Guardiola surclassent les Madrilènes de Mourinho dans le jeu
Julien Rouyer - le 29 novembre 2010, 23h14
Le Matin
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LIGA
FC Barcelone - Real Madrid
5-0 (2-0)
Quelle démonstration! Le Real Madrid version Mourinho n’a pas pesé lourd hier soir dans le choc au sommet face au FC Barcelone. Défait pour la cinquième fois consécutive face à son rival catalan, le club de la capitale a pu mesurer le travail qu’il lui reste à accomplir pour rivaliser avec la meilleure équipe du moment en Espagne et probablement sur le continent.
Dans un Camp Nou chauffé à bleu (et grenat), il n’aura fallu que quelques minutes à Messi, Villa et Cie pour donner le tournis et surclasser des Merengue mis d’entrée de jeu hors de position. A la 3e minute déjà, Iniesta adressait une passe dans l’axe à Villa, interceptée de justesse par Pepe, un des meilleurs Madrilènes hier. Trois minutes plus tard, suite à un corner mal renvoyé, Messi trouvait le poteau extérieur de Casillas. Une première alerte, qui allait inaugurer 20 minutes de folie du Barça.
A la 9e minute, Iniesta décalé côté gauche adressait un petit ballon piqué au point de penalty pour Xavi, qui pouvait ajuster Casillas en deux temps: 1-0. Huit minutes plus tard, au terme d’une séquence de plus de 30 passes, Villa centrait fort pour Pedro, qui n’avait plus qu’à marquer à bout portant: 2-0.
Ronaldo pousse Guardiola
En face, rien. Ou si peu (un tir de Di Maria bloqué par Valdes à la 11e). Il aura fallu une échauffourée provoquée par Ronaldo pour remettre le Real dans le match à la demi-heure. Suite à une sortie de balle, l’ailier portugais bousculait Pep Guardiola, provocant une mêlée générale et la bronca du public catalan. Jamais aussi motivé que sous les sifflets, le portugais bottait un coup franc de peu à droite des buts de Valdez, offrant au Real sa meilleure occasion de la 1re mi-temps.
De retour des vestiaires, Messi – auteur de deux passes décisives – se frottait avec Carvalho et écopait d’un carton jaune pour simulation. La puce argentine serrée de près par Pepe et Carvalho, c’est des pieds de David Villa qu’a jailli la lumière en début de seconde période.
Le petit attaquant asturien crucifiait Casillas à deux reprises en 3 minutes. A 4-0, la messe était dite. Ce Barça-là était beaucoup trop fort pour un Real trop provocateur et brouillon pour rivaliser avec des Catalans au sommet de leur art. En fin de match, le jeune Jeffren salait encore l’addition alors que les Merengue perdaient leurs nerfs et terminaient la rencontre à 10 après l’expulsion de Sergio Ramos.
LA RENCONTRE
Camp Nou, 98 787 spectateurs. Arbitre: M. Iturralde Gonzalez.
Buts: 9e Xavi 1-0, 17e Pedro 2-0, 54e Villa 3-0, 57e Villa 4-0, 90e Jeffren 5-0.
FC Barcelone: Valdes, Piqué, Puyol, Abidal, Alves, Busquets, Xavi (86e Keita), Iniesta, Villa (75e Bojan), Messi, Pedro (87e Jeffren). Entraîneur: Guardiola.
Real Madrid: Casillas, Pepe, Carvalho, Sergio Ramos, Marcelo (60eArbeloa), Khedira, Xabi Alonso, DiMaria, Özil (46e Lass Diarra), Ronaldo, Higuain.
Notes: Barcelone sans Milito (blessé), Real Madrid sans Higuain, Kaka, Garay et Gago (blessés). Avertissements: Ronaldo et Valdes (30e, pour s’être accrochés), Villa (33e, pour une faute), Pepe (35e, pour avoir retenu), Messi (44e, pour simulation), Xabi Alonso (51e pour une faute), Carvalho (71e pour antijeu), Sergio Ramos (73e pour une faute), Khedira (74e pour une faute), Puyol (80e, pour une faute). Expulsion: Sergio Ramos (91e, pour avoir frappé).
:fou:La fessée:D:D
doit y avoir de la gueule de bois ce matin, des deux coté
philguerin
30/11/2010, 08h23
Ouaouh... quelle branlée.... ils vont s'en souvenir longtemps...
Ouaouh... quelle branlée.... ils vont s'en souvenir longtemps...
Si ça arrive à rendre moins arrogant des gens comme Mourinho ou Cristiano Ronaldo ce serait parfait:yes:
Si ça arrive à rendre moins arrogant des gens comme Mourinho ou Cristiano Ronaldo ce serait parfait:yes:
C'est là où ils sont très fort les 2, ils te font des déclarations toute l'année, tu as envie de leur mettre des claques et quand ils se prennent une grosse branlée, nous on est content et eux ils vont te faire "c'est pas grave si on gagne tout les autres matchs", "ce n'est qu'un match de foot, il y a plus grave dans la vie". On verra bien ces prochaines semaines mais ça ne me surprendrait pas qu'ils gagnent les prochains matchs comme si de rien n'était.
webamanu
30/11/2010, 11h33
Y'avait un match de foot ? :)
FOOTBALL
VIDÉO L'humiliation ultime pour les Madrilènes
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Une "peña", en Espagne, c'est un club de supporters. Celle-ci, qui défend ardemment les couleurs du Real Madrid, se voit contrainte, après avoir perdu un pari, d'entonner l'hymne du FC Barcelone.
le 30 novembre 2010, 12h04
LeMatin.ch & les agences
0 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
De son côté, la presse espagnole salue «la leçon» donnée par le FC Barcelone au Real Madrid lors du «Clasico» gagné 5-0 par les «blaugrana». Les quotidiens sont en revanche très sévères avec la formation madrilène.
«Superbe leçon» de football du Barça qui «démonte un Real impuissant» et qui, à l’occasion, «devient leader», souligne le quotidien El Pais. «Le Barça humilie le Real Madrid avec une démonstration de jeu», propose en Une le quotidien catalan La Vanguardia avec une grande photo de David Villa, les bras ouverts, exultant après son doublé.
Proche du Real et prompt à soutenir l’équipe de José Mourinho, Marca tire lui aussi son chapeau bas sous le titre: «Mémorable symphonie». Le premier journal sportif espagnol ajoute qu’il s’agit de la «plus grande déroute» de la carrière d’entraîneur de Mourinho. «Démonstration impressionnante de jeu, leçon de classe, d’intelligence et de précision», conclut le quotidien.
AS, tire lui aussi sa révérence pour cette «apothéose du tiqui-taca», le jeu à une touche de balle typique du FC Barcelone. Le quotidien critique aussi durement un Real «sans âme» incapable de «répondre» et de «presser» les Catalans.
Le journal sportif catalan Mundo Deportivo est lui dans l’extase: ce match «restera dans la légende pour la façon brillante» dont l’équipe du Barça a gagné, établissant «clairement qu’elle est la meilleure équipe du monde».
http://www.youtube.com/watch?v=71t7-VY--qU&feature=player_embedded
Sympa...........:D:content:
cyclisme
Cancellara signe avec l’équipe des frères Schleck
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/Tds_Fabian_Cancellara.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/Tds_Fabian_Cancellara.jpg)
Image © DR
Fabian Cancellara
Comme "LeMatin.ch" l'avait annoncé, Fabian Cancellara (29 ans) s'est officiellement engagé avec le team Pro Cycling Project, l’équipe des frères Schleck, en signant un contrat de trois ans.
le 30 novembre 2010, 14h18
LeMatin.ch & les agences
2 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
L’équipe des frères Schleck accueille ainsi le vélo d’Or 2010.
Cancellara était convoité par de nombreuses formations, notamment l’équipe suisse BMC, mais il a finalement dit «oui» à Bryan Nygaard, le manager général danois de l’équipe basée au Luxembourg. Celle-ci a décroché sa licence PRO Tour il y a quelques jours en obtenant la meilleure note du classement UCI.
Libéré de son contrat de la Saxo Bank après d’âpres négociations, le quadruple champion du monde et champion olympique du contre-la- montre a mis fin au feuilleton de son transfert. Sept fois champion de Suisse du chrono, Cancellara continuera donc de rouler avec les frères Schleck, dans une équipe bâtie pour gagner sur tous les terrains.
J'aurai parié:content::amoureux::amoureux::amoureux:
TENNIS
Coupe Davis: Le tennis au secours de l’image de la Serbie
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/291448_XDMV109_fd72ae8c.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/291448_XDMV109_fd72ae8c.jpg)
Image © AP
Janko Tipsarevic sera l'un des atouts de l'équipe serbe.
Les jeunes joueurs de tennis serbes, qui disputent leur première finale de Coupe Davis à partir de vendredi face à la France, ont contribué de façon sensible à améliorer l’image de leur pays, ternie par les sanglants conflits des années 1990 dans l’ex-Yougoslavie.
le 30 novembre 2010, 13h58
LeMatin.ch & les agences
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Au crépuscule de l’ex-Yougoslavie, le développement du tennis, sous l’impulsion de joueurs tels que Slobodan Zivojinovic chez les hommes et surtout Monica Seles chez les dames, augurait d’un avenir encourageant.
Suivait une génération talentueuse avec en tête de file Goran Ivanisevic.
Avec l’éclatement de l’Etat commun yougoslave, au début des années 90, les compteurs furent remis à zéro, surtout en Serbie. Un vide long de près d’une décennie s’installait, alors que la région sombrait dans la guerre.
Mais au tournant du millénaire, le monde a découvert une toute autre image de la Serbie, affectée par les conflits récents, avec l’apparition de Novak Djokovic, Jelena Jankovic et la très photogénique Ana Ivanovic.
Une nouvelle génération qui fait bonne figure
Souriants, bien élevés, à l’aise avec les médias et le public, talentueux surtout, ils ont imposé une nouvelle perception de la Serbie.
Pour l’ancien sélectionneur yougoslave Radmilo Armenulic, les joueurs serbes, par leur "talent et leur comportement", ont contribué à renouveler l’image de la Serbie, entachée par les guerres des années 90.
Leurs prestations laissent peu de monde indifférent. Jamie Murray, le frère aîné d’Andy en sait quelque chose tout autant que l’Espagnol Fernando Verdasco.
En 2007, Jamie remporte le double mixte à Wimbledon avec Jelena Jankovic et succombe, au passage au charme de la Serbe. Verdasco, lui côtoiera Ana Ivanovic, qui en 2008 remporte Roland Garros, et la présentera même à ses parents.
Cette année là, le succès des Serbes à Paris leur vaut une caricature flatteuse dans un quotidien prestigieux qui "serbise" le nom du célèbre tournoi le nommant "Roland Garrotitch".
"Novak (Djokovic), Viktor (Troicki), Janko (Tipsarevic), Nenad (Zimonjic) Jelena (Jankovic) et Ana (Ivanovic), ont fait plus que n’importe quel homme politique", pour l’image de leur pays affirme Nebojsa Viskovic, spécialiste de tennis.
Et tous se sont formés et affirmés au niveau mondial sans bénéficier des facilités octroyées généralement aux sportifs de pays disposant de moyens, logistiques notamment, infiniment plus importants.
"Avant, lorsque j’allais assister à un tournoi, il fallait que j’explique de longues heures durant qui je suis, d’où je viens. Aujourd’hui, il suffit de dire que je suis Serbe et tout le monde lève le pouce en signe d’approbation", indique Viskovic.
"Ceux qui ne suivent pas le tennis ne sont pas conscients à quel point Novak, Ana, Jelena et les autres ont contribué à l’amélioration de l’image de ce pays", poursuit-il.
Et les Serbes sont tout à fait conscients de l’impact que revêtira la finale de la Coupe Davis, face à la France, de vendredi à dimanche à Belgrade. Il s’agit pour eux d’une occasion historique de s’emparer du célèbre saladier d’argent et les autorités sportives du pays s’activent pour faire en sorte que le week-end soit parfaitement réussi.
SKI ALPIN
Daniel Albrecht: «Je n’en peux plus d’attendre»
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/albrechtdaniel.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/albrechtdaniel.jpg)
Image © KEYSTONE
Daniel Albrecht avait déjà clamé à Lake Louise (Canada) sa volonté d’être au départ des premières épreuves de vitesse de la saison.
Le Suisse veut recourir «au plus vite» en Coupe du monde mais l’encadrement de l’équipe helvète préfère toujours freiner son ardeur, près de deux ans après sa violente chute à Kitzbühel qui lui a valu trois semaines de coma.
le 30 novembre 2010, 09h47
LeMatin.ch & les agences
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"Je n’en peux plus d’attendre", affirmait Daniel Albrecht lundi à Aspen après avoir servi d’ouvreur dans un géant de catégorie inférieure afin de se tester dans l’espoir de courir dimanche le géant de Coupe du monde de Beaver Creek (Colorado).
Le skieur haut-valaisan avait déjà clamé à Lake Louise (Canada) sa volonté d’être au départ des premières épreuves de vitesse de la saison mais avait dû se ranger à l’avis de l’encadrement, qui préfèrerait que son retour se fasse en géant.
Sa participation au géant de Beaver Creek ne semble néanmoins pas entrer dans les plans de l’encadrement suisse.
Lundi à Aspen, Albrecht a en effet chuté après avoir enfourché à cause d’un problème de visibilité alors qu’il ouvrait la première manche de la course.
"Ce n’est pas bon signe, ça prouve qu’il n’est pas prêt, il n’a pas encore atteint le niveau qu’on lui demande", tranche l’entraîneur Autrichien Sepp Brunner, qui dirige le groupe des coureurs polyvalents suisses.
Le 22 janvier 2009, une terrible chute dans le saut final de la Streif, à près de 140 km/h lors d’un entraînement de descente, avait laissé Albrecht avec un traumatisme crânien assorti d’une hémorragie cérébrale et d’un aplatissement du poumon. Après trois semaines de coma artificiel, il avait subi plusieurs mois de rééducation pour réapprendre à parler et à se mouvoir normalement.
"Son retour se fera en géant, pas en descente, assure Brunner. Mais lui donner sa chance en géant dès maintenant peut être prématuré car il a encore une marge de progression et sera plus fort en janvier. Si on lui donne le feu vert maintenant, on va peut-être le regretter dans deux mois..."
L’encadrement suisse, prudent et calculateur, veut protéger le statut de départ d’Albrecht. Près de deux ans après son accident, il fait en effet encore partie du petit lot de coureurs qui bénéficient des premiers dossards et donc profitent des meilleures conditions de course. La Suisse veut qu’Albrecht soit à même de défendre son statut dès ses premières courses pour ne pas le voir dégringoler dans les abysses des dossards élevés et pénalisants.
Le Valaisan, lui, voit les choses différemment: il veut (re)faire son métier, coûte que coûte, et savoir où il en est.
"Je veux prendre un départ en Coupe du monde au plus vite, j’ai envie de passer ce nouveau pallier, dit-il. Je ne sais pas vraiment si je suis prêt mais à un moment il faut arrêter de tergiverser. C’est certain que j’aurai beaucoup de problèmes à me qualifier pour la seconde manche lors de mon premier géant. Mais si on ne court pas, on ne sait pas où l’on se situe."
"En montrant ma volonté de prendre un départ, j’ai provoqué un débat avec les entraîneurs et maintenant on peut discuter de ce qu’il est judicieux de faire", analyse aussi le champion du monde 2007 du super-combiné.
"Je veux courir le géant de Beaver Creek, assure Albrecht, mais il faut savoir si cela a un sens et si les entraîneurs me font confiance."
Course des champions à Düsseldorf
Kovalainen détruit son Audi R8
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/F1_16.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/F1_16.jpg)
Image © Keystone
La Course des champions – dernière compétition de l’année qui réunit les meilleurs pilotes automobiles du moment – a connu, outre la victoire par équipes de Sebastian Vettel et Michael Schumacher pour l’Allemagne, un gros crash signé Heikki Kovalainen, pilote finlandais de l’écurie de F1 Lotus. Il est sorti indemne. Vidéo
le 28 novembre 2010, 23h12
Le Matin
http://www.lematin.ch/sports/formule-1/kovalainen-detruit-audi-r8-354917
Il s'est pas raté et il a bien recu:
Le Finlandais Heikki Kovalainen, accidenté dimanche passé au départ de la course des champions à Dusseldorf, souffre d’une forte commotion cérébrale et son médecin lui a demandé de rester alité quelques jours.
Après avoir écrasé son Audi R8 LMS contre les murs de béton bordant la piste, Heikki Kovalainen a perdu connaissance pendant environ 30 secondes.
Après avoir passé des tests médicaux supplémentaires cette semaine en Suisse, il lui a donc été ordonné de garder le lit pendant quelques jours, mais Kovalainen affirme sur sa page Twitter qu’il devra subir d’autres tests médicaux "car ma tête a subi un gros choc."
Sa petite amie Catherine Hyde qui était sa passagère au moment de l’accident, souffre aussi de quelques blessures, notamment une fêlure du bassin et de déchirures musculaires aux jambes.
"Nous sommes tous les deux au lit pour un bon moment," déclare-t-elle.
"Nous sommes tous les deux au lit pour un bon moment," déclare-t-elle.
sont au lit mais ils ne vont pas trop en profiter, par ce que le bassin toucher il va pas trop falloir la remuer la petite dame
cyclisme
Fabian Cancellara: «La meilleure variante»
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/301425_cbfd5d1.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/301425_cbfd5d1.jpg)
Image © Keystone
Fabian Cancellara
Il cherchait un changement. Dès lors, la solution du Luxembourg Cycling Project lui semblait la meilleure variante. Ainsi Fabian Cancellara justifie-t-il son transfert de l’équipe Saxo Bank à la nouvelle formation créée par les frères Schleck.
le 01 décembre 2010, 12h00
LeMatin.ch & les agences
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Lundi prochain, Fabian Cancellara retrouvera ses anciens et ses nouveaux collègues pour un premier camp d’entraînement à Crans- Montana. Il s’agira de commencer à se bâtir une condition pour la saison 2011. Le Bernois a laissé quelques forces dans les nombreuses sollications dont il a fait l’objet au courant du mois de novembre. «Je vais commencer doucement. Je m’entraînerai pleins gaz plus tard.»
- Fabian Cancellara, vous avez reçu plusieurs distinctions ces derniers jours. Quels sentiments vous inspirent ces récompenses ?
- C’est toujours très beau d’être le personnage central d’une cérémonie. Je pense qu’il ne s’agit pas seulement de couronner mes succès mais aussi une partie de ma personnalité. Ces marques d’honneur représentent une reconnaissance géante. Je n’ai jamais eu droit à autant d’honneurs que cette année. Mais avec le temps, de telles manifestations me coûtent pas mal d’énergie.
- C’est désormais officiel vous porterez les couleurs du Luxembourg Cycling Project pour les trois prochaines saisons.
- Pour moi, il était très important que j’évolue dans un environnement approprié. Je dois courir dans une équipe où je me sens bien. Je voulais changer parce que j’avais l’impression que je ne pouvais plus beaucoup me développer sous les ordres de Bjarne Riis. C’est pourquoi j’ai cherché quelque chose de nouveau. Le Luxembourg Cycling Project me semblait la meilleure variante. Il s’agit d’une équipe de niveau international. Le projet se serait fait même sans les frères Schleck ou moi-même. Ce nouveau défi me donne une nouvelle motivation. Je garde encore des ambitions.
- Comme se présentent ces ambitions ?
- Des objectifs j’en ai toujours. La question est seulement de savoir si et quand je peux les réaliser. Pour la saison prochaine avec les classiques du printemps, le Tour de France et le championnat du monde en ligne, il y a de quoi faire. Le programme exact n’est pas encore fixé. Il n’est pas sûr encore que je dispute les deux Monuments qui me manquent (réd: Liège - Bastogne - Liège et le Tour de Lombardie) déjà l’année prochaine. Cela dépend entre autres de ma forme et de ma santé.
- Rêvez-vous encore à un sacre au Tour de France ?
- La victoire au classement général du Tour de France restera un rêve. Je vais me concentrer sur d’autres objectifs, qui demanderont du temps pour être réalisés. Je vais d’abord me concentrer sur des buts qui sont réalisables. Je peux douter que je parvienne à gagner le classement général du Tour.
- Comment jugez-vous l’affaire du contrôle positif de Contador ?
- Sous cet angle, elle est à considérer comme un nouveau voile noir jeté sur le sport cycliste. Je ne veux pas savoir ce qui se cache derrière. Il me semble important que le cas soit réglé aussi vite que possible. En tout cas, mon départ de Saxo Bank n’a aucun lien avec l’engagement de Contador par Bjarne Riis. Je m’étais simplement imaginé un autre avenir. Je vais continuer à travailler dur pour accumuler d’autres succès.
Mourinho suspendu 2 matches dont un avec sursis
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Xabi Alonso et Sergio Ramos (photo) avaient volontairement provoqué leur exclusion, sur injonction de leur entraîneur.
L'entraîneur du Real Madrid José Mourinho a été suspendu mardi pour deux matches dont un avec sursis par l'UEFA pour sa "mauvaise conduite" lors du match de Ligue des champions contre l'Ajax Amsterdam le 23 novembre (4-0), les joueurs Xabi Alonso, Sergio Ramos, Iker Casillas et Jerzy Dudek recevant des amendes.
Selon des médias espagnols, Xabi Alonso et Sergio Ramos, prévenus depuis le banc de touche du Real, se sont volontairement fait exclure contre l'Ajax pour arriver en 8e de finale avec un casier disciplinaire vierge après un dernier match de poules sans enjeu contre Auxerre.
"José Mourinho a été suspendu d'activités d'entraîneur pour deux matches dans des compétitions de l'UEFA, le deuxième étant soumis à une période de sursis de trois ans. Il est également condamné à verser une amende de 40.000 euros", écrit l'UEFA dans un communiqué.(
:diable:Bien content trop gonflé ce Monsieur.........
L'ancien champion du monde Igor Astarloa suspendu 2 ans
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© afp
Le coureur cycliste espagnol et ancien champion du monde sur route en 2003 Igor Astarloa Askasibar a été suspendu deux ans pour violation du règlement antidopage par l'Union cycliste internationale (UCI) et condamné à 35.000 euros d'amende, a annoncé l'UCI mercredi.
"L'UCI communique que suite à sa demande d'ouverture d'une procédure à l'encontre du coureur espagnol Igor Astarloa Askasibar pour violation du règlement antidopage sur la base de son passeport biologique, la Commission Disciplinaire de la Fédération Cycliste Espagnole (RFEC) a décidé de sanctionner ce coureur de 2 ans de suspension à partir du 26 novembre 2010 et de 35.000 euros d'amende", a précisé la Fédération internationale.
Agé de 33 ans, Astarloa a remporté le titre mondial en 2003, sur le circuit de Hamilton (Canada) quelques mois après avoir enlevé la Flèche Wallonne.
Au centre des soupçons pour avoir été "ciblé" -le terme n'était pas utilisé à l'époque- par un contrôle antidopage supplémentaire (au résultat négatif) durant le week-end canadien, Astarloa était redevenu ensuite un coureur quasi anonyme.
Depuis 2004, l'Espagnol a porté les maillots de cinq équipes différentes sans retrouver l'habitude des podiums (trois victoires seulement).
L'ex-champion du monde, écarté par son équipe (Milram) l'année passée suite à un contrôle interne, a rejoint en début de saison la formation Amica Chips, une équipe de deuxième division immatriculée à Saint-Marin et en proie à de grosses difficultés financières.
SKI ALPIN
Accident en Suède: On craint le pire pour Locher
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Image © Keystone
Steve Locher
Selon des proches du Valaisan, en plus de sa fracture du bassin, Steve Locher pourrait avoir la nuque brisée. Actuellement aux soins intensifs dans un hôpital universitaire suédois, son entourage craint le pire.
le 01 décembre 2010, 17h46
LeMatin.ch
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La suite à lire demain dans l'édition du 2 décembre du "Matin".
boxe
Holyfield, 48 ans, remontera sur le ring en mars
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Image © DR
L’Américain Evander Holyfield, ancien champion du monde des lourds WBA, âgé de 48 ans, affrontera le 5 mars 2011 au Danemark le vétéran danois Brian Nielsen. Son dernier combat remonte à avril lorsqu’il avait battu le Sud-Africain François Botha par arrêt de l’arbitre à la 8e reprise, à Las Vegas.
le 01 décembre 2010, 17h35
LeMatin.ch & les agences
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Holyfield, actuellement à Copenhague, doit assister jeudi dans la capitale danoise à une présentation à la presse de ce combat en présence de son adversaire Brian Nielsen, 45 ans, a précisé Team Sauerland, l’organisateur allemand du combat.
Le lieu du combat avec Nielsen, qui avait annoncé son retour sur le ring en février dernier, n’a pas encore été déterminé.
Holyfield affiche à son palmarès 43 victoires (28 avant la limite), 10 défaites et 2 nuls.
Ancien champion du monde IBO et IBC, Brian Nielsen compte 64 victoires sur 66 combats professionnels. Il était monté la dernière fois sur le ring en avril 2002 après avoir été battu une année plus tôt par Mike Tyson à Copenhague.
swiss ski
Quatre entraîneurs suisses, dont Steve Locher, accidentés en Suède
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Image © Elisabet Rydell-Janson
Les quatre entraîneurs de Swiss-Ski Reto Nydegger, Curdin Fasser, Steve Locher et Werner Zurbuchen ont été victimes mercredi matin à Are (Su) d’un grave accident de la circulation. Ils ont été conduits à l’hôpital pour des examens.
le 01 décembre 2010, 11h34
LeMatin.ch & les agences
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Quatre entraîneurs de Swiss-Ski ont été victimes d'un accident de la route mercredi matin en Suède. Trois d'entre eux ont été blessés, dont deux grièvement.
Swiss-Ski n'avait pas donné de détails concernant les blessures en début d'après-midi mais selon le site internet skionline.ch, les deux hommes durement touchés sont Curdin Fasser et Steve Locher. Le premier, entraîneur de condition physique du groupe de Coupe d'Europe, souffrirait d'une fracture du fémur et d'une hémorragie cérébrale, et Locher d'une fracture du bassin et de contusions au thorax.
L'ancien champion valaisan, médaillé de bronze aux JO d'Albertville en combiné en 1992 et trois fois vainqueur en Coupe du monde, s'occupe actuellement en Scandinavie du groupe de techniciens en Coupe du monde dont font partie Marc Gini, Justin Murisier et Markus Vogel.
Les quatre entraîneurs avaient pris place dans un minibus qui est entré en collision avec un camion sur une route enneigée, avant de finir sa course dans un fossé. Le quatuor se rendait à une reconnaissance en vue des slaloms de Coupe d'Europe à Are. Reto Nydegger n'a été que légèrement touché et Werner Zurbuchen s'en sort indemne. Aucun athlète ne se trouvait dans le véhicule.
Selon des témoins de l'accident, un des entraîneurs aurait été éjecté du véhicule. Il a dû être transporté en hélicoptère à l'hôpital d'Umea. Un autre occupant a dû être désincarcéré avant d'être conduit à l'hôpital d'Östersund. Le responsable du sport d'élite à Swiss-Ski Dierk Beisel s'est immédiatement rendu en Suède.
Le premier slalom de Coupe d'Europe prévu mercredi à Are a été annulé en raison de l'accident. La question du maintien du deuxième slalom, jeudi, restait ouverte.
Un footballeur découpé en tranches au Guatemala
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Carlos Mercedes Vasquez a été victime d'un sordide règlement de compte. © reuters
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© afp
Carlos Mercedes Vasquez, le défenseur de Malacateco - une équipe de D1 au Guatemala -, a été victime d'un affreux règlement de compte. Le footballeur a été enlevé puis tué par des hommes armés. Son corps a été découpé et retrouvé en morceaux dans cinq sacs en plastique.
Enquête
La police soupçonne qu'une femme soit à l'origine du crime. Un message a été trouvé sur l'un des sacs: "Voilà ce qui arrive quand on déconne avec la femme d'un autre." Une enquête a été ouverte. (Ch.D.)
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© afp
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© epa
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© epa
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© reuters
Maldonado remplace Huelkenberg chez Williams
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pastormaldonado.com
Le Vénézuélien Pastor Maldonado, champion de GP2 Series cette saison, disputera le championnat du monde 2011 de Formule 1 au volant d'une Williams, a annoncé l'écurie britannique mercredi. Le pilote de 25 ans remplace l'Allemand Nico Huelkenberg, qui ne sera resté qu'une saison en F1. L'autre Williams sera toujours confiée au Brésilien Rubens Barrichello.
"Nous tenons Pastor à l'oeil depuis 2007", a déclaré Frank Williams.
"Depuis lors, il nous a souvent rappelé son immense talent, particulièrement cette saison en GP2, où il a signé un record de six victoires".
Pastor Maldonado est le premier Vénézuélien en F1 depuis Johnny Cecotto, qui avait disputé dix-huit Grand Prix en 1983 et 1984, année où il a été le coéquipier d'Ayrton Senna au sein de l'écurie Toleman.
Saut à skis
Ammann battu de justesse
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Simon Ammann a été devancé par les Finlandais qui ont plané à domicile lors de la 2e étape de la Coupe du monde de saut, à Kuopio.
LeMatin/agences - le 01 décembre 2010, 22h02
LeMatin.ch & les agences
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Le Saint-Gallois se classe 3e, comme trois jours plus tôt à Kuusamo, d’un concours très serré remporté par Ville Larinto.Avec deux podiums pour ses deux premières sorties de l’hiver, Ammann affiche des résultats pour lesquels il aurait sans doute signé avant de s’élancer pour cette saison, au vu de sa préparation écourtée. Mesuré à 128,5 et 128 m pour un total de 238,3 points, le quadruple champion olympique finit sur les talons des Finnois Larinto (240,9) et Matti Hautamäki (240,8). Il avait dominé la première manche et a un peu faibli dans la seconde. Ammann obtient son 54e podium mais recule à la 5e place du classement de la Coupe du monde, à 30 points seulement du leader Andreas Kofler (Aut), vainqueur en ouverture et 4e hier.
ski alpin
On a frôlé le pire!
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Image © Keystone
Les quatre entraîneurs de Swiss-Ski ont été sortis blessés de cette camionnette.
Un bus de Swiss-Ski percute un camion en Suède: quatre blessés, dont Steve Locher.
Christian Maillard avec les agences - le 01 décembre 2010, 22h34
Le Matin
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Coupe d’Europe Åre
C’est, forcément, un père choqué et anxieux qui répond. Au bout du fil, Albert Locher est, du côté de Salins, dans l’attente de nouvelles fraîches. «La route était, paraît-il, bien enneigée. Mais on ne sait pas vraiment ce qui s’est passé…» Un mercredi, selon ses termes, qui aura été «lugubre», avec cette insupportable incertitude. Son fils, Steve (43 ans), a été victime d’un grave accident de la route, hier matin, vers 7 h 10, du côté d’Åre, en Suède. L’ancien géantiste, victorieux de trois courses de Coupe du monde, se trouvait dans un bus en compagnie de Curdin Fasser, Reto Nydegger et Werner Zurbuchen. Avec ces trois autres entraîneurs de Swiss-Ski, ils se rendaient, en reconnaissance, sur une piste de slalom où devaient, en principe, se dérouler deux épreuves de Coupe d’Europe.
Le véhicule a heurté de plein fouet un camion sur l’autoroute, avant de se retrouver dans un fossé. «Il y a encore beaucoup d’incertitudes sur les circonstances de l’accident», a déclaré Niklas Carlsson, le directeur de la Fédération suédoise de ski au journal Expressen.
Selon des témoins de l’accident, une des victimes a été éjectée du véhicule lors de l’impact et un autre occupant a dû être désincarcéré. Qui conduisait? «On l’ignore, on attend le rapport de la police», lâche Diana Fäh, porte-parole de Swiss-Ski.
Steve Locher a été opéré de la nuque cette nuit
«On m’a dit qu’il souffrirait d’une fracture du bassin mais qu’il y aurait aussi des problèmes à la nuque, qu’on l’a transféré dans un hôtel universitaire pour l’opérer cette nuit car elle serait peut-être brisée. C’est difficile d’en savoir plus.»
Albert Locher a passé des heures d’angoisse avant de recevoir des nouvelles de Swiss-Ski plutôt encourageantes dans la soirée. L’ancien champion valaisan souffre, en effet, d’une fracture du bassin et d’une fracture d’une vertèbre cervicale, mais sans atteinte neurologique. Ouf, la moelle n’est pas touchée. On a craint le pire!
Le médaillé de bronze du combiné des JO d’Albertville en 1992 a été évacué par hélicoptère à Uppsala pour y être opéré dans une clinique spécialisée.
En piste aujourd’hui
Et les autres membres de l’encadrement? Entraîneur de condition physique du groupe de Coupe d’Europe, Curdin Fasser a été, pour sa part, victime d’un traumatisme crânien avec une petite hémorragie interne, d’une fracture du fémur gauche et de lésions aux poumons. Il a été acheminé l’Hôpital universitaire d’Umea.
Reto Nydegger souffre d’une commotion cérébrale et de contusions, tandis que Werner Zurbuchen s’en est sorti pratiquement indemne.
Le chef du sport d’élite de Swiss-Ski, Dierk Beisel, s’est immédiatement rendu sur place. Les quatre entraîneurs accidentés bénéficient aussi de l’appui psychologique du Dr Jörg Wetzel.
En Scandinavie, Steve Locher accompagnait un groupe de techniciens en Coupe du monde dont font partie Marc Gini, Markus Vogel et le jeune Valaisan Justin Murisier. Proche de Stevie, ce dernier, choqué, n’a pas voulu s’exprimer. Mais avec les autres slalomeurs helvétiques, ils ont décidé, après discussion avec les coaches, de s’aligner aujourd’hui dans le second slalom de Coupe d’Europe d’Åre. Ils seront soutenus sur la piste par les autres équipes. Le premier, prévu hier, a été annulé en raison des circonstances.
philguerin
02/12/2010, 06h17
Pas de bol ... juste au début de la saison... c'est couillon!! mais bon çà aurait pu être pire si on en croit les commentaires
FIFA
Mondial-2018: Poutine absent à Zurich, les chances de la Russie réduites
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Image © KEYSTONE
"La venue de Poutine à Zurich était attendue comme la manne céleste", selon un quotidien populaire russe.
La décision du premier ministre russe de ne pas se rendre à Zurich jeudi pour assister au vote de la FIFA qui va désigner l’organisateur du Mondial-2018 de football montre que les chances de la Russie sont réduites, estime la presse russe.
le 02 décembre 2010, 10h10
LeMatin.ch & les agences
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"La venue de Poutine à Zurich était attendue comme la manne céleste. Maintenant nous sommes sûr que Poutine ne va pas y aller... et que la Russie n’est plus favorite", écrit le quotidien populaire Moskovski Komsomolets à sa une.
Après avoir longtemps laissé planer le doute sur son intention ou non de se rendre à Zurich, M. Poutine, ardent promoteur de la candidature de la Russie à l’organisation du Mondial-2018, a annoncé mercredi qu’il ne s’y rendrait pas.
"Dans les conditions actuelles, je pense qu’il est mieux de s’abstenir pour donner la possibilité aux membres de la FIFA de prendre la décision tranquillement, sans pression extérieure", a expliqué M. Poutine, dénonçant une "concurrence déloyale", dans une allusion apparente à la Grande-Bretagne.
Le quotidien Kommersant rappelle que la présence de M. Poutine au Guatemala en 2007 pour défendre la candidature de son pays aux jeux Olympiques d’hiver en 2014 avait rapporté la victoire au pays.
"Ceux qui évaluent les chances des concurrents ne peuvent pas ne pas se rappeler que le bref voyage de Poutine au Guatemala avait, d’après de nombreux analystes, influencé le choix de la Russie pour les JO de 2014" qui auront lieu à Sotchi, souligne le quotidien.
De son côté, le journal Vremia Novosteï affirme qu’une importante délégation anglaise dirigée par le Premier ministre, David Cameron, accompagné notamment du prince Williams, s’est rendue à Zurich mercredi et a rencontré le président de la Fédération internationale de football (FIFA), Sepp Blatter.
Selon les bookmakers, la Russie était jusqu’à présent le favori devant l’Angleterre. L’Espagne associée au Portugal, et les Pays-Bas avec la Belgique sont aussi en lice.
Juventus éliminée, Manchester City et Eindhoven en 16e
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La Juventus Turin, tenue en échec en Pologne par Lech Poznam 1-1, a été éliminée de l'Europa League, mercredi, lors de la 5e et avant-dernière journée qui a vu, en revanche, la qualification de Manchester City et du PSV Eindhoven notamment.
Menés 1-0 depuis la 12e minute et le but de Rudnevs, les Turinois n'ont été sauvés de la défaite qu'à six minutes de la fin de la partie grâce à Iaquinta (84e). Déjà incapable de battre ces mêmes adversaires à l'aller, en Italie (3-3), la "Vieille dame" quitte donc la compétition européenne par la petite porte.
Avec huit points, soit trois de plus que la Juventus, les Polonais ont d'ores et déjà obtenu leur billet pour les 16e de finale grâce au plus grand nombre de buts marqués en déplacement face aux Italiens. Une victoire des Turinois devant Manchester City, déjà qualifié, avant leur déplacement lors de la dernière journée, le 16 décembre à Turin, associée à une défaite de Poznam, n'aura donc aucune incidence sur le classement du groupe A.
Autres groupes
Dans les autres groupes, quatre autres équipes ont décroché leur billet pour les 16e de finale. Vainqueur sans trembler de Salzbourg (3-0) grâce notamment à un doublé de Balotelli, Manchester City en fait partie.
Mauvaise soirée pour les clubs italiens, puisque dans le groupe I, la Sampdoria de Gênes a été battue 2-1 sur sa pelouse par le PSV Eindhoven, qui est qualifié. Les Italiens sont éliminés et ce sont les Ukrainiens de Kharkov, vainqueurs 2-1 face à Debrecen, qui accompagnent le PSV.
Les Suisses de Berne (GrH), vainqueurs 4-2 de Stuttgart, déjà qualifié, sur une pelouse enneigée, joueront aussi les 16e, comme le Bayer Leverkusen, qui est allé gagner 1-0 à Rosenborg (GrB).
Toujours dans le groupe B, l'Atletico Madrid, tenant du titre, est en fâcheuse posture après sa défaite à domicile face à Salonique (3-2). Une victoire des Grecs contre Rosenborg lors de la dernière journée éliminerait les Espagnols. Enfin le Sporting Portugal, vainqueur des Français de Lille 1 à 0 (GrC), a également gagné son billet pour la prochaine phase.
Athlétisme
Course de l'Escalade: les organisateurs craignent la météo
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Des ouvriers s'affairent à deblayer la neige sur le parcours de la 33e Course de l'Escalade.
A l'heure d'accueillir samedi - si tout va bien - le plus gros contingent de coureurs de l'histoire en Suisse (28 615 inscrits), les organisateurs de la Course de l'Escalade à Genève scrutent le ciel avec inquiétude.
le 02 décembre 2010, 13h58
LeMatin.ch & les agences
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A cause de la météo, les organisateurs de la Course de l'Escalade angoissent. C'est le branle-bas de combat pour tenter d'assurer, malgré la neige, la tenue de l'événement.
Une course à pied, en principe, a lieu par tous les temps. Les cas d'annulation, comme celui du dernier Ultra Trail du Mont-Blanc, sont rarissimes. Cela n'est jamais arrivé en 32 éditions de l'Escalade, mais la situation cette année est exceptionnelle, avec le manteau blanc qui recouvre Genève, les températures très basses et la chaussée archiglissante.
"C'est l'angoisse", confirme le président du comité d'organisation Jean-Louis Bottani. "Mais l'optimisme prévaut, nous nous donnons tous les moyens possibles pour maintenir la course. Nous avons cependant une grande responsabilité. Nous devons assurer une sécurité acceptable, à défaut de viser une sécurité totale."
Le standard explose
Les organisateurs, via le conseiller administratif Pierre Maudet, ont pris contact avec l'armée pour déblayer les 2500 m de la boucle autour du Parc des Bastions. La Ville et la Voirie apportent leur plein soutien, ainsi que des entreprises privées. La mobilisation est totale et sans réserve: "S'il le faut, nous casserons notre tire-lire. Nous avons pu mettre de l'argent de côté les années passées, justement en prévision de ce genre d'aléas", précise M. Bottani.
Le standard téléphonique du secrétariat explose, les coureurs veulent savoir. Beaucoup viennent d'assez loin (plus de 5000 étrangers), de France surtout mais aussi d'Angleterre où sont basés les favoris, le Kényan Mike Kigen et sa compatriote Linet Masai.
Le pire scénario serait qu'il se remette à neiger samedi matin une fois que tout a été déblayé. La météo annonce des précipitations pour vendredi, mais semble-t-il moins fortes que ces derniers jours. Le froid demeurera glacial. Le parcours, sinueux et en partie sur des pavés, est propice aux numéros d'acrobaties... Il y a deux ans, Kigen avait chuté avant de s'imposer. Seule la pluie était pourtant au rendez-vous. "Nous sommes positifs, mais la tâche reste énorme", résume Jean-Louis Bottani.
FOOTBALL
Coupe du monde: 2018 en Russie et 2022 au Qatar!
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Image © AFP
Sepp Blatter vient d'annoncer la nouvelle à Zurich où la FIFA est réunie en assemblée extraordinaire. La Russie organisera la Coupe du monde en 2018 et le Qatar en 2022.
le 02 décembre 2010, 15h10
LeMatin.ch
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Le Comité exécutif de la Fédération internationale de football (Fifa) a désigné jeudi à Zurich la Russie pour organiser le Mondial 2018, a annoncé le président de la Fifa Joseph Blatter.
Les autres candidats étaient le duo Pays-Bas/Belgique, le duo Espagne-Portugal et l’Angleterre, pourtant donnée grande favorite.
Le choix de la Russie est très politique, le pays ne présentant pas sur le papier des garanties très solides en terme d’infrastructures. Tout y est encore à construire: stades (seul le Luzhniki à Moscou est aux normes d’une phase finale), hôtels, réseau de transport.
Le Qatar en 2022
De son côté, le Qatar organisera le Mondial 2022.
Les autres pays candidats étaient les Etats-Unis (donnés grands favoris), le Japon, la Corée du Sud et l’Australie.
En choisissant ce minuscule pays du Moyen-Orient (11.427 km², 1,7 million d’habitants) devenu en quelques années un acteur majeur de la région dans le domaine du sport et de la culture, la Fifa a opté pour l’audace et continue à défricher de nouveaux territoires, après avoir ouvert la porte à l’Asie en 2002 (Japon-Corée du Sud) et à l’Afrique en 2010 (Afrique du Sud).
Etat pétrolier mais surtout le troisième producteur mondial de gaz naturel, l’émirat a tout misé sur sa puissance financière et son positionnement géographique, au centre d’un marché télévisuel qu’il estime à près de 3,2 milliards de téléspectateurs.
Tennis
Coupe Davis: la France de Monfils face à la Serbie de Djokovic
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Les deux équipes de Coupe Davis devant le trophée.
La finale de la Coupe Davis, dès vendredi à Belgrade, s'annonce explosive et indécise entre la Serbie qui tentera de conquérir son premier Saladier d'argent et la France.
le 02 décembre 2010, 14h49
LeMatin.ch & les agences
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Quelque 18 000 spectateurs garniront pendant trois jours la Belgrade Arena pour la finale de Coupe Davis entre la France et la Serbie.
En ouverture, le tirage au sort a réservé un affrontement entre Gaël Monfils et Janko Tipsarevic, suivi de Gilles Simon contre Novak Djokovic.
Pour le double de samedi, le capitaine français Guy Forget a désigné sans surprise la paire Michaël Llodra/Arnaud Clément alors que son homologue serbe Bogdan Obradovic a choisi d'associer Nenad Zimonjic à Viktor Troicki. Les deux sélectionneurs ont cependant la possibilité de changer leur équipe jusqu'à une heure avant le début de la rencontre.
La même chose vaut pour les deux derniers simples de dimanche qui opposeront d'abord les no 1 de chaque équipe, soit Monfils et Djokovic, puis les no 2, soit Simon et Tipsarevic.
Pour les matches de vendredi en revanche, les choix sont, sauf blessure ou cas de force majeure d'ici là, définitifs. Les titularisations de Monfils et de Djokovic ne faisaient aucun doute mais un petit suspense entourait encore l'identité des deux no 2. Côté français, Forget a décidé, comme cela en prenait le chemin, d'opter pour Simon au détriment de Llodra afin de préserver celui dans l'optique du double voire d'un simple décisif dimanche.
Djokovic grand favori
Simon, 42e mondial, est également avantagé par la surface, d'une vitesse intermédiaire, par rapport à Llodra, un pur attaquant. Il n'a cependant battu Djokovic qu'une fois en six rencontres et le Serbe, no 3 mondial, partira grand favori de leur partie qui sera jouée en deuxième vendredi. Monfils, no 12 mondial, aura la pression contre Tipsarevic (no 49) qu'il vient de battre à l'US Open.
Après avoir commencé sa carrière en Coupe Davis sur un flop magistral l'année dernière en barrage face aux Pays-Bas, Monfils a remporté ses trois simples à enjeu cette année dans cette compétition, s'affirmant comme le patron de l'équipe en l'absence de Jo-Wilfried Tsonga, blessé.
Richard Gasquet, lui, n'est que remplaçant.
Côté serbe, Bogdan Obradovic a préféré Tipsarevic à Viktor Troicki, mieux classé (no 30) et qui a obtenu les meilleurs résultats ces derniers temps mais qui n'a pas le même vécu en Coupe Davis que "Tipsy". Celui-ci a notamment été le héros de la demi-finale face à la République tchèque en remportant ses deux simples face à Berdych et Stepanek.
La France cherche à remporter le dixième Saladier d'argent de son histoire, le troisième de suite à l'extérieur, tandis que la Serbie, en cas de victoire, écrirait une des plus grandes pages de l'histoire sportive du pays.
philguerin
02/12/2010, 16h45
çà va pas être facile de se sortir de ce chaudron... l'ambiance va être "électrique"!!!
mais bon après Djokovic qui va donner le 3ème points... en double les français cartonnent généralement... on verra bien!!!
Boxe: victoire de Jean-Marc Mormeck
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Image © AFP
Jean-Marc Mormeck à Paris le 2 décembre 2010
Le Français Jean-Marc Mormeck a battu aux points l'Ouzbek Timur Ibragimov, s'adjugeant ainsi le titre NABA (nord-américain) à l'occasion de son troisième combat chez les poids lourds, jeudi à la Halle Carpentier, à Paris.
AFP - le 02 décembre 2010, 23h36
Plus imaginatif dans sa boxe, le Français a dominé son sujet remportant au moins la moitié des 12 reprises. Sur les trois juges, deux l'ont donné vainqueur 116/112, 116/111 mais le troisième a déclaré vainqueur 115/113 l'Ouzbek qui a démontré une puissance de frappe évidente mais une technique assez monocorde.
Avec cette troisième victoire en autant de défis en lourd depuis un an, Mormerck, ancien champion du monde des lourd-leger et promoteur de son propre combat, peut s'estimer challenger officiel pour un championnat du monde qui pourrait se tenir en 2011.
Stoner27
03/12/2010, 08h19
FOOTBALL
Coupe du monde: 2018 en Russie et 2022 au Qatar!
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Image © AFP
Sepp Blatter vient d'annoncer la nouvelle à Zurich où la FIFA est réunie en assemblée extraordinaire. La Russie organisera la Coupe du monde en 2018 et le Qatar en 2022.
le 02 décembre 2010, 15h10
LeMatin.ch
25 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
Le Comité exécutif de la Fédération internationale de football (Fifa) a désigné jeudi à Zurich la Russie pour organiser le Mondial 2018, a annoncé le président de la Fifa Joseph Blatter.
Les autres candidats étaient le duo Pays-Bas/Belgique, le duo Espagne-Portugal et l’Angleterre, pourtant donnée grande favorite.
Le choix de la Russie est très politique, le pays ne présentant pas sur le papier des garanties très solides en terme d’infrastructures. Tout y est encore à construire: stades (seul le Luzhniki à Moscou est aux normes d’une phase finale), hôtels, réseau de transport.
Le Qatar en 2022
De son côté, le Qatar organisera le Mondial 2022.
Les autres pays candidats étaient les Etats-Unis (donnés grands favoris), le Japon, la Corée du Sud et l’Australie.
En choisissant ce minuscule pays du Moyen-Orient (11.427 km², 1,7 million d’habitants) devenu en quelques années un acteur majeur de la région dans le domaine du sport et de la culture, la Fifa a opté pour l’audace et continue à défricher de nouveaux territoires, après avoir ouvert la porte à l’Asie en 2002 (Japon-Corée du Sud) et à l’Afrique en 2010 (Afrique du Sud).
Etat pétrolier mais surtout le troisième producteur mondial de gaz naturel, l’émirat a tout misé sur sa puissance financière et son positionnement géographique, au centre d’un marché télévisuel qu’il estime à près de 3,2 milliards de téléspectateurs.
encore une victoire de l'argent et de l'influence politique sur le sport.
La Russie était la plus mal cotée suivant le rapport de la FIA!!!
Et le Qatar, sans commentaire.....
Bon je suis content que la Belgique/pays bas ne l'ai pas reçue cette organisation!
ski alpin
Une attente interminable
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/ski_76.jpg (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/ski_76.jpg)
Image © Elisabet Rydell-Janson
C’est sur des routes très enneigées que les quatre entraîneurs de Swiss-Ski ont été victimes de ce terrible accident.
Opéré hier après-midi du bassin et d’une vertèbre cervicale, Steve Locher est resté de longues heures sur le billard. Curdin Fasser a été plongé dans un coma artificiel.
Christian Maillard et les agences - le 02 décembre 2010, 22h44
Le Matin
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«Il est toujours sur la table d’opération…» Un jour après le grave accident dont a été victime, à Åre, Steve Locher, les proches de l’ancien champion de ski n’ont pas eu d’autres nouvelles, tard hier soir. L’entraîneur des slalomeurs de Swiss-Ski, qui avait percuté, la veille, un camion, en compagnie de trois autres collègues, est passé dans longues heures, ce jeudi, entre les mains des chirurgiens suédois. Fracture du bassin et d’une vertèbre cervicale, l’opération a été délicate: le Salinsard n’a finalement pas été transporté à Uppsala. C’est à l’Hôpital universitaire d’Umea qu’il a été traité.
Curdin Fasser, quant à lui, qui souffre d’un traumatisme cranio-cérébral accompagné d’une hémorragie, d’une fracture du fémur de la jambe gauche et de contusions pulmonaires, il a été plongé dans un coma artificiel. Comme Daniel Albrecht, la mesure est habituelle pour que le patient récupère plus rapidement.
Les deux autres occupants du minibus, Reto Nydegger et Wener Zurbuchen, ont pu, pour leur part, retourner en Suisse.
«Malheureusement, nous ne parvenons pas à avoir plus d’informations, regrette Diana Fäh, porte-parole de Swiss-Ski. Même notre médecin, le Dr Christian Schlegel, ne peut pas en savoir plus.» Une loi en Suède stipule en effet que le diagnostic ne sera délivré qu’à la famille proche des patients ou à l’ambassade du pays. Depuis, Steve Locher est probablement sorti de la salle d’opération… Pour les proches et les fans de Steve Locher et de Curdin Fasser, cette attente est interminable.
Plus tôt dans la journée, Marc Gini avait rendu, de la plus belle des manières, hommage à ses entraîneurs: il s’est imposé dans le deuxième slalom de Coupe d’Europe – voir résultats en page 54 – prévu à Åre (le premier avait été annulé).
Concernant les circonstances de l’accident, une enquête est toujours en cours.
encore une victoire de l'argent et de l'influence politique sur le sport.
La Russie était la plus mal cotée suivant le rapport de la FIA!!!
Et le Qatar, sans commentaire.....
Bon je suis content que la Belgique/pays bas ne l'ai pas reçue cette organisation!
Cette fois c'est officiellement la fin du foot en tant que sport, jusqu'à maintenant il y avait encore un peu d'espoir même si avec l'organisation de l'Euro 2012 en Pologne et en Ukraine c'était déjà du n'importe quoi.
Encore pour la Russie même si le dossier était pourri, qu'il y a un gros problème de violence, qu'il y ait corruption, on peut se dire que c'est un pays sportif, ils ont à chaque JO des médailles dans plein de sport différents, ils ont une équipe et des clubs de foot, mais le Qatar franchement, c'est triste, ils vont naturaliser une 100aine de brésiliens d'ici quelques années et ils prendront les meilleurs pour faire leur équipe... Il y aura des stades vides, pas de supporters étrangers... Je crois que les dernières vraies compèt' de foot avec du public, une fête c'était la Coupe du Monde 2006 en Allemagne et l'Euro 2008 en Suisse-Autriche.
RIP football:)
:diable:A croire qu'il n'y a que le foot et le cyclisme qui sont pourri, regardez mieux la moto et autres............Je me marre......:D
Tennis
Grâce à Monfils, la France mène 1-0 contre la Serbie en Coupe Davis
http://www.lematin.ch/files/imagecache/230x180/stories/monfils.JPG (http://www.forum-motogp.com/files/imagecache/485x365/stories/monfils.JPG)
Image © KEYSTONE
Gaël Monfils a battu le Serbe Jarkko Tipsarevic en finale de la Coupe Davis.
Gaël Monfils a battu le Serbe Jarkko Tipsarevic en finale de la Coupe Davis. La France mène donc 1-0.
le 03 décembre 2010, 17h46
LeMatin.ch & les agences
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La France mène 1-0 face à la Serbie vendredi après-midi en finale de la Coupe Davis, grâce à la victoire de Gaël Monfils sur Jarkko Tipsarevic en trois sets 6-1, 7-5 (4), 6-0.
Face au public serbe, Monfils, 12e joueur mondial, a profité de la fébrilité manifeste de son adversaire pour s’adjuger le premier set 6-1 en moins d’une demi-heure. "J’ai tout de suite vu qu’il était très crispé, donc ça m’a aidé à vraiment me relâcher aussi", a-t-il déclaré sur France 3 à l’issue du match.
Le deuxième set était plus accroché, mais le Français a fini par s’imposer au jeu décisif 7-4, grâce notamment à un challenge favorable.
Démobilisé après ce jeu décisif perdu, Tipsarevic, 49e joueur mondial, s’est effondré ensuite lors du troisième set, expédié 6-0 par Monfils.
Le Français très satisfait
Gaël Monfils s'est exprimé à l'issue de la rencontre en se déclarant très satisfait de sa performance. "Je suis content parce que je préparais ce match depuis longtemps, j’étais vraiment stressé à l’idée de le jouer, et j’arrive à le gagner 6-1, 7-6, 6-0. Je me dis: Gaël bravo. J’ai réussi à gérer mes émotions, je suis vraiment très content."
"C’est évidemment un grande victoire dans ma carrière, on est en finale de Coupe Davis. Mais j’ai surtout fait un très bon match. J’étais très nerveux, même encore à 5-0 au troisième set. C’était fini mais on ne sait jamais. Ses deux double-fautes d’entrée m’ont beaucoup aidées, j’ai eu beaucoup de chance avec ça. Les trois quarts de la pression sont parties d’un coup.
"Ce n’était pas facile de rester dans ma bulle mais j’étais un peu préparé aux manifestations du public. C’est souvent comme ça en Coupe Davis, ça ne m’a pas gêné outre-mesure."
Jérôme D'Ambrosio en bonne place pour épauler Glock
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© photo news
"C'est sûr à 100 pc, je reste chez Virgin", déclare le coureur de formule 1 sur le site de l'écurie Virgin Racing (www.virginracing.com) vendredi. Le bruit a couru que l'Allemand, âgé de 28 ans, pourrait remplacer le jeune russe Vitaly Petrov chez Renault en 2011. Mais c'est de nouveau avec Virgin que Glock disputera la prochaine campagne.
"Oui je sais, il y a eu beaucoup de spéculations à mon sujet", admet-il. "Mais elles sont non fondées. Même si comme tout le monde, j'aimerais rouler pour Red Bull ou McLaren et viser la victoire".
Glock a signé pour Virgin, une nouvelle écurie, après le retrait de Toyota la saison dernière. Les débuts ont été difficiles: 0 point, 9 fois à l'arrivée avec comme meilleur résultat une 14e place décrochée à Suzuka.
"Mais on a beaucoup appris", prévient-il. "On ne pouvait pas espérer que tout se déroule à merveille d'entrée de jeu pour une nouvelle équipe qui partait d'une feuille blanche. On a perdu du temps parce que certaines choses de base ne fonctionnaient pas..."
En ce qui concerne le nom de son futur coéquipier, Glock, a indiqué qu'il pourrait être dévoilé "avant Noël". Jérôme d'Ambrosio, pilote de réserve pour Virgin lors de quatre des cinq dernières courses en 2010, est en bonne place pour succéder au Brésilien Lucas Di Grassi.
La Serbie égalise à un point partout. Le numéro trois mondial n'a pas faibli (6-3, 6-1, 7-5).
Le numéro 1 serbe n'a laissé aucune chance à Gilles Simon. La Serbie égalise en finale de Coupe Davis.
Gilles Simon n'aura pas fait le poids. Novak Djokovic dispose du Français, 42e joueur mondial, (6-3, 6-1, 7-5) dans le deuxième simple de la finale de la Coupe Davis (http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/actualite/sport/coupe-davis-les-neufs-titres-de-l-equipe-de-france_941085.html) à Belgrade.
La Serbie égalise à une manche partout après la victoire de Gaël Monfils (http://www.lexpress.fr/actualite/sport/coupe-davis-monfils-donne-l-avantage-a-la-france_942326.html) sur Janko Tipsarevic.
Faut pas rêver il est là Djoko:):):)
Malgré la neige, la course de l’Escalade est maintenue!
COMPÉTITION | La course de l’Escalade aura bel et bien lieu samedi. Le parcours est légèrement modifié.
http://www.tdg.ch/files/imagecache/468x312/story/course_de_l_escalade_q45.jpg © Edipresse |
Liens en relation avec l'article :
La neige tombe à nouveau, la course de l'Escalade annulée? (http://www.tdg.ch/geneve/actu-geneve/3-8-centimetres-neige-attendus-geneve-2010-12-03)
La protection civile réquisitionnée pour la course de l'Escalade (http://www.tdg.ch/geneve/actu-geneve/protection-civile-mobilisee-escalade-2010-12-03)
Anne-Elisabeth Celton | 03.12.2010 | 17:50Dernière mise à jour: 03.12.2010 | 19:23
Le comité organisateur a décidé vendredi à 17 heures de maintenir la course malgré les conditions hivernales. Toute la journée, la voirie et les hommes de la Protection civile, réquisitionnés pour l’occasion, ont déblayé le parcours. Armés de pelles et de pioches, ils ont enlevé la glace des rues afin qu’elles ne se transforment pas en patinoire dans la nuit. Désormais "des conditions acceptables de sécurité sont vraisemblablement garanties" annonce la Ville de Genève dans un communiqué.
Le parcours est cependant légèrement modifié. Le secteur autour de la Cathédrale ne pourra pas être emprunté et sera remplacé par les rues de l'Hôtel-de-Ville et du Puit-Saint-Pierre.
Par ailleurs, la Course de la Marmite (départ 18h30) ne passera pas par les rues Basses et suivra le même trajet que les autres catégories.
Dernière vérification samedi matin
Les organisateurs recommandent la plus grande prudence aux participants, particulièrement dans les secteurs pavés et en pente ainsi que sur la ligne de départ. "Evidemment il est souhaitable qu’ils s’habillent chaudement pour courir» précise Jean-Louis Bottani, président de la Course. "Nous leur recommandons la plus grande prudence".
Il est aussi demandé aux coureurs et spectateurs de rejoindre le secteur de la course à pieds en transports publics ou de se garer à une bonne distance du site.
En raison des températures annoncées cette nuit à Genève (-8°), la voirie poursuivra son action sur les pavés de la vieille-ville. Une dernière vérification sur le parcours sera effectuée demain matin à 9 heures afin de donner l'ultime feu vert.
Les horaires des courses sont identiques. La première débutera à 8h10 avec la catégorie Walking. Les poussins prendront le départ à 10h. A 13h les femmes seront sur la ligne, suivies une heure plus tard des hommes. Plus d’infos sur le site internet de la Course (http://www.escalade.ch/cms/).
coupe du monde dames
Riesch domine Vonn
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Image © Keystone
A l’arrivée, Maria Riesch était heureuse et surprise d’avoir battu sa rivale et amie Lindsey Vonn
L’Allemande a créé la surprise en devançant l’Américaine
le 03 décembre 2010, 23h11
Le Matin
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Maria Riesch a commis un crime de lèse-majesté à Lake Louise. L’Allemande a mis fin à l’invincibilité de Lindsey Vonn en descente sur la piste canadienne.
Victorieuse des cinq dernières descentes dans les Rocheuses, l’Américaine a été battue de 12 centièmes par sa meilleure rivale et amie. Sa dernière défaite remontait au 1er décembre 2006, lorsqu’elle avait dû se contenter du rôle de dauphine, déjà derrière Maria Riesch.
«Je pensais que Lindsey était imbattable sur cette montagne. Mais je m’y suis aussi toujours sentie à l’aise. Et aujourd’hui c’était moi la plus forte», a commenté la gagnante du jour.
Non contente d’avoir empiété sur le jardin de Vonn, la skieuse de Garmisch a confirmé qu’elle était l’incontestable No 1 de ce début de saison. Contrairement à l’Américaine, peu à l’aise lors des premières épreuves techniques, elle n’a pas attendu Lake Louise pour se distinguer (2e à Aspen et à Levi, 5e à Sölden).
Corollaire, Maria Riesch compte déjà 169 points d’avance sur Lindsey Vonn au classement général. Un écart qui n’a, évidemment, rien de définitif, mais qui laisse penser que l’Allemande de 26 ans n’a jamais été aussi menaçante pour la triple tenante de la Coupe du monde.
La grande blonde
Déjà reine du slalom depuis deux ans (2 globes de la spécialité, médailles d’or aux Mondiaux et aux JO), la grande blonde (1,80 m) semble également capable d’ébranler le trône de Vonn en descente. Une épreuve dans laquelle elle compte dorénavant cinq victoires, quinze toutes disciplines confondues.
Côté suisse, cette première descente de l’hiver était très attendue, histoire de redresser la barre après trois mornes week-ends dévolus à la technique. Mais il n’en a rien été, seule la Schwytzoise Fabienne Suter intégrant le top 10 (9e à 1’’74 de Riesch).
La déception est particulièrement nette pour Dominique Gisin. Meilleur temps du dernier entraînement, l’Obwaldienne a déchanté en course, subissant le tracé dès les premières courbes et échouant au 15e rang.
La contre-performance de Lara Gut était davantage attendue. Larguée tant aux entraînements que lors de son unique participation à Lake Louise en 2008 (24e), la Tessinoise a été éjectée hors du top 20. A sa décharge, la fille de Comano effectuait son retour en descente, après une saison blanche en 2009-2010. Egalement blessées en fin d’exercice précédent, Fränzi Aufdenblatten et Martina Schild ont aussi terminé au-delà du 20e rang.
A l’instar de Lindsey Vonn, les Suissesses auront l’occasion de prendre leur revanche lors de la deuxième descente d’aujourd’hui. Un super-G clôturera demain l’étape de Lake Louise.
Les vents violents ont eu raison de la descente de Beaver Creek
La descente masculine de Beaver Creek (EU) a été annulée. Après l’avoir repoussée plusieurs fois hier en raison des vents violents, les organisateurs ont fini par renoncer. Elle devrait être remplacée ultérieurement.
La station américaine doit mettre sur pied deux autres épreuves masculines ce week-end, le super-G aujourd’hui et le géant dimanche.
Par ailleurs, le directeur de la Coupe du monde de ski alpin messieurs Gunther Hujara a rappelé les coureurs à l’ordre après des critiques émises par certains d’entre eux mercredi lors du 2e entraînement à la descente.
Certains coureurs avaient critiqué la décision de faire courir cet entraînement, qui avait été interrompu longuement en raison d’un problème de gel de la neige sur les masques des coureurs puis avait repris avant d’être définitivement annulé après le dossard 45 (sur 79 concurrents).
M. Hujara a menacé jeudi lors de la réunion des chefs d’équipe d’utiliser un article des règlements de la FIS qui prévoit notamment, une disqualification, une suspension, un retrait d’accréditation ou encore une amende allant jusqu’à 100 000 francs en cas de critiques ou comportements «antisportifs».
«Il y a des choses dont il vaut mieux discuter dans un cadre interne que dans le cadre des médias, a indiqué la secrétaire générale de la FIS, Sarah Lewis. Vous les journalistes voulez bien sûr faire du sensationnel mais afin de promouvoir notre sport, c’est toujours mieux d’en donner une image positive.»
Coupe du monde à Beaver Creek
Daniel Albrecht: "Je serai au départ du géant dimanche"
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Image © Keystone (Archive)
Le Suisse Daniel Albrecht sera au départ du géant de Beaver Creek dimanche pour sa première course de Coupe du monde de ski alpin depuis sa chute en janvier 2009 à Kitzbühel, qui lui avait valu trois semaines de coma et de nombreuses blessures.
le 04 décembre 2010, 10h25
LeMatin.ch & les agences
5 commentaires (http://www.forum-motogp.com/forum/#comments)
"Je serai dimanche au départ", a affirmé Albrecht lors d’une conférence de presse. "Pourquoi maintenant ? Parce que j’ai de très bonnes sensations et que je veux absolument savoir où j’en suis, savoir comment ça va se passer et voir ce qu’il me reste à faire pour passer encore un pallier".
"Le but est d’être en situation de course, il ne sera absolument pas question de points ou de classement", a ajouté le champion du monde 2007 du super-combiné.
"C’est dur à expliquer mais je dois retrouver toutes ces sensations dont je ne me rappelle plus. Je n’ai plus aucune idée des sentiments que l’on éprouve le jour d’une course, de ce qu’on ressent dans le portillon de départ".
"Je veux savoir si ce sont de bonnes sensations et si tout ça en vaut la peine", a dit le Haut-Valaisan, qui le 22 janvier 2009 avait lourdement chuté dans le saut final de la Streif et avait été victime d’un traumatisme crânien assorti d’une hémorragie cérébrale et d’un aplatissement du poumon.
Après trois semaines de coma artificiel, il avait subi plusieurs mois de rééducation pour réapprendre à parler et à se mouvoir normalement.
Depuis la semaine dernière, le Suisse de 27 ans a répété à plusieurs reprises son souhait de reprendre un départ en Coupe du monde, ouvrant volontairement un débat avec le staff de l’équipe helvète, qui ne l’avait pas retenu pour les épreuves de vitesse de Lake Louise (Canada).
"Je n’en peux plus d’attendre", avait-il dit lundi à Aspen après avoir servi d’ouvreur dans un géant de catégorie inférieure, où il avait enfourché en première manche à cause d’un problème de visibilité.
"Sa volonté de recourir était tellement forte que nous ne pouvions que le soutenir", a admis Martin Rufener, le chef de l’équipe masculine suisse.
"Je ne sais pas ce que ça va donner, laissons-le courir et on verra", a-t-il poursuivi. "C’est dur de dire où il en est, il a du chemin à faire mais le simple fait qu’il soit là avec nous dimanche est déjà un miracle".
Le président de la fédération anglaise démissionne
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/11/3/media_xl_3966978.jpg?20101204160202 "Je ne veux plus rien avoir à faire avec ces gens"
Roger Burden a décidé vendredi soir de démissionner de son poste de président de la FA, la fédération anglaise de football où il avait été nommé en mai dernier. Une décision qui fait suite à l'échec de la candidature de l'Angleterre à l'organisation du Mondial 2018 finalement attribué jeudi à la Russie.
"Une grande partie de ma fonction résidait dans les relations avec la FIFA", a justifié Roger Burden, "et je ne veux plus rien avoir à faire avec ces gens. Je n'ai plus confiance. Je me retire."
Roger Burden gérera encore les affaires courantes jusqu'à la nomination de son successeur.
Domenech: "Là, j'ai trouvé du bonheur, je respire"
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© reuters
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© photo news
"Là, j'ai trouvé du bonheur, je respire", a expliqué Raymond Domenech, évoquant sa vie après l'équipe de France, partagée entre équipe de jeunes footballeurs et tournoi de poker, perdu en finale vendredi à Paris.
Q: Pour être brutal, on dirait que ce tournoi de poker, vous l'avez un peu perdu en finale aux tirs au but, comme en 2006...
R: "C'est le jeu. Je suis content d'avoir été au bout et de jouer le plus longtemps possible. Cela n'a rien à voire avec le foot si ce n'est la concentration qui se rapproche de celle du sport de haut niveau. On doit tout intérioriser et essayer de voir ce qui se passe. On ne voit pas passer le temps. C'est l'avantage. Le temps n'existe plus quand on joue au poker."
Q: Qu'est-ce-qui vous anime en ce moment?
R: "Dans ce genre d'opération, le film était un vrai moment de bonheur mais aussi les mercredis après-midi avec mes gamins à l'ACBB (Athletic club de Boulogne-Billancourt) sur le terrain. Là, c'est les yeux dans les yeux et je suis content de l'avoir fait, car j'aime vraiment la rencontre. Je suis parti sur autre chose, j'avais besoin de plaisir. Là, j'ai trouvé du bonheur, je respire. C'est ça l'essentiel. Quand on voit le sourire des gamins qui sont contents... Là aussi, les gens sont contents à la table, on se détend. On ne joue pas notre vie."
Q: Êtes-vous en train d'amorcer une carrière d'acteur?
R: "Si j'avais 40 ans, je me dirais que c'est une reconversion possible. J'aimerais, mais là, c'est compliqué. J'aime les ambiances de cinéma, de tournage. Ou alors, il me faut un rôle, bien maquillé, en costume. Je suis un autre personnage, sinon l'identification pose problème. Un peu comme certains acteurs qui sont connotés."
Q: Que répondez-vous à tous ceux qui imaginent que tout cela n'est qu'un 'plan com' pour redorer votre image?
R: "Je ne peux pas imaginer qu'on ne me croie pas capable de trucs purs et naturels, d'actes simples. Ca me touche, car c'est mettre en doute ce que je suis au fond de moi-même. J'ai été humilié par ceux qui pensent l'inverse. Je me suis demandé comment des gens pouvaient avoir l'esprit aussi tortueux."
Q: Où en sont vos affaires juridiques? Est-ce un moyen de vous changer les idées?
R: "Il n'y a pas d'affaires. J'ai coupé avec le reste. Ce n'est pas mon problème. Le mien, c'est le plaisir que je prends, car avant je n'avais pas le temps de faire tout ça."
Q: Vous le défenseur, voulez-vous 'faire payer' la Fédération? Etes-vous revanchard? Y'a-t-il un sentiment de vengeance?
R: "Non, ce sont tous vos mots. Moi, je ne dis rien et je ne le veux pas. Je ne suis pas stupide. J'ai un avocat qui s'occupe de ça. Moi, je veux respirer et prendre le temps."
Q: Vous tenez-vous au courant de l'actualité des Bleus? Vous avez suivi leurs matches ou vous ne le souhaitez pas?
R: "Je regarde. Je baigne dans le foot depuis l'age de 5 ans. Je suis content quand l'équipe de France gagne, car j'en suis toujours le premier supporteur."
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