[Pierre Kirool]

J’ai été surexcité toute la journée par au retour du roi Márquez, époustouflant, implacable, impitoyable.

J’ai suivi avec mon amour de fan inconditionnel de Ducati les tours de Zarco, Miller, Bagnaia, Martin, Bastianini et Marini, ainsi que de Quartararo.

Une journée incroyablement riche pour des essais libres.

Et puis Simon Paterson tweete en fin de journée qu’il a vu Valentino Rossi traverser la salle de presse de bout en bout sans être une seule fois arreté par un journaliste, il n’avait jamais vu ça.
La fin d’un monde.

Et depuis la lecture de ce message, ça me tourne dans la tête, même si je n’ai jamais été un supporter du GOAT, j’ai un petit goût amer dans la bouche que cette journée finalement.

Assister à la chute d’une idole, d’un monstre sacré, qui a écrasé et dominé cette catégorie si longtemps. La chute aussi dure qu’il n’est finalement pas si loin que ça si on regarde les temps.
C’est dur, l’indifférence.