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Envoyé par webamanu
C'est exactement le type de commentaires que je trouve nul.
Comment voulez vous que les joueurs soient motivés si ils ne sont pas soutenu, même dans la défaite ou quand il joue mal ? Nous sommes peut-être la seule nation qui ne suis pas sont équipe national dans le sport qui est qu'ont le veuille ou non, le sport le plus populaire au monde. Même les suisses, qui ne sont pourtant un peuple de tradition foot on plus d'amour et de respect envers leur équipe national.
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mont-pèlerin
L'excès de sécurité des Bleus a tué l'esprit de fête de l'Euro
Image © DR
Les Bleus se cachent derrière les interdictions au Mont-Pèlerin et à Châtel-Saint-Denis
A force d'en faire trop, l'équipe de France a perdu bien des fans dans la région
Dominique Botti - le 16 juin 2008
Le Matin Bleu
Les Tricolores jouent leur dernière carte, ce soir contre les Italiens. Une défaite signifierait leur retour à la maison. Et, surtout, le retour au calme pour certains habitants du Mont-Pèlerin.
«J'aime les Français. Leur présence fait du bien à la région. Mais trop, c'est trop», s'énerve André Dupraz. Après dix jours d'Euro, l'épicier du village se plaint des mesures sécuritaires prises pour assurer la tranquillité de l'équipe.
Leur hôtel, le Mirador Kempinski, est transformé en «bunker». Les agents de sécurité privée y pullulent. Et les panneaux d'interdiction y fleurissent. Des policiers vaudois et fribourgeois complètent le dispositif à l'extérieur, lors de la sortie du car des Bleus. Les contrôles d'identité, les restrictions d'accès au village exaspèrent. «Au début, les enfants ne pouvaient plus accéder à une aire de jeu publique à l'entrée de l'hôtel», ajoute l'épicier.
A quelques kilomètres de là, à côté du terrain d'entraînement des Français à Châtel-Saint-Denis (FR), la population pensait aussi que l'Eurofoot était une fête. «J'en ai marre», se plaint Jean Genoud. Cet agriculteur a le malheur d'avoir ses champs à côté du stade. Certains, qui offrent une vue imprenable, sont interdits d'accès pour les préserver des paparazzi lors des séances à huis clos. «Le premier jour d'entraînement, j'ai cru que nous étions en guerre», conclut Jean Genoud. Et maintenant, ce qu'il veut, c'est la paix.