Toutes New sportives autres que la moto

[nofoot]

• l'Allemagne protégée ?

01/02/2007 - 23:19 Par WILLIAM MONTJEAN
De Sports.fr Consulter aussi:
Allemagne-France: Pas de quoi rougir...

Après la défaite sur le fil en demi-finale du Mondial (32-31) et ce but égalisateur inexplicablement refusé à Michael Guigou, les Bleus et leur entourage ne décolèraient pas, jeudi soir, à Cologne. En ligne de mire évidemment, le duo arbitral du match, les Suédois Patrick Hakansson et Maths Nilsson, accusés ni plus ni moins d'avoir faussé le championnat du monde en favorisant de façon outrancière les hôtes de la compétition lors des trois matches de la Mannschaft qu'ils ont arbitrés. Des accusations graves mais difficiles à contredire au regard des faits.

Omeyer semble réclamer une explication au coach allemand. En vain...
"On a su résister à 20 000 supporters mais pas à deux arbitres. C'était trop." Le verdict était tombé, la France était battue sur un coup du sort après une décision injuste, Claude Onesta était désabusé. Sûr que les Bleus auraient préféré une défaite indiscutable sur le parquet plutôt que celle-ci qui risque de leur laisser longtemps un goût amer dans la bouche. A la fin du match, les joueurs n'avaient d'ailleurs pas de mots assez durs pour expliquer leur colère et leur frustration.

Même Joël Abati, auteur d'un match énorme avec 88% de réussite au shoot (7 buts), le plus sage d'entre eux, surnommé le révérend en raison de sa foi, ne pouvait pas cacher son ressentiment. "Je crois que les décisions d'arbitres à la fin étaient très litigieuses. Je ne vois pas pourquoi on nous refuse ce but. L'Allemagne a bien joué certes, mais on avait l'occasion d'égaliser, on nous la refuse. On a tout donné même si on peut s'en vouloir de ne pas s'être imposé plus tôt pour se mettre à l'abri. Mais un but et un penalty refusé à la fin, on ne peut rien y faire."

Une décision scandaleuse

Le duo arbitral suédois, composé de Patrick Hakansson et Maths Nilsson, est clairement montré du doigt. Car les deux Scandinaves qui avaient déjà arbitré deux matches de l'Allemagne au cours de la compétition, face à la Slovénie, au tour préliminaire, et à l'Espagne, en quart de finale, n'avaient pas été exempts de tout reproche. Avant la demi-finale, Claude Onesta avait ainsi laissé entendre qu'il se méfiait de l'arbitrage. Il ne pensait sûrement pas que cela atteindrait de telles proportions. Car si, on peut passer l'éponge sur les délais très courts accordés aux Bleus avant que ne soient sifflés des refus de jeu, le penalty que Joël Abati a été contraint de retirer sans raison visible à un moment clé, peut soulever des interrogations légitimes. Quant à ce but injustement refusé à Michael Guigou à quelques secondes de la sirène, il s'agit purement et simplement d'une décision scandaleuse.

Peut-être vaut-il mieux en rire...
"On est écoeuré. J'aurais aimé que l'on soit aidé comme ça en 2001, on aurait été champion du monde plus facilement. Il avait été décidé que l'Allemagne devait aller en finale, c'est fait", lâchait ainsi Didier Dinart, le défenseur des Bleus qui résumait un sentiment partagé. "C'est le plus gros vol de l'histoire du handball international, peut-être même de l'histoire du sport. Il n'y avait rien à faire, il fallait que l'Allemagne soit championne du monde", renchérissait pour sa part Jérôme Fernandez.
Et de poursuivre : "On le savait mais on ne pensait pas que cela irait jusque-là. C'est dommage, mais c'est comme ça."

Olivier Girault était lui sévère avec les Allemands : "Ce seront des champions du monde qui ne seront respectés par personne, sauf chez eux", expliquait le capitaine des Bleus. Des Bleus qui devront, quoi qu'il en soit, digérer coûte que coûte cette terrible déception pour tenter de revenir au vrai sport afin de décrocher la médaille de bronze.

[Stoner27]

Tiens des français qui s'en prenne à l'arbitrage, ça faisait longtemps

N'empêche ai vu les images hier soir à Eurosport, j'ai pas compris non plus!

[nofoot]

y'a rien a comprendre y'a eu que du favoristime pro deutschland tout

simplement

[nofoot]

Des raisons d'y croire

02/02/2007 - 15:24 Par ALEXANDRE SARKISSIAN
De Sports.fr Après une première partie de Coupe du monde plutôt décevante, et malgré l'efficacité du relais féminin et deux victoires individuelles au compteur signées Sandrine Bailly et Raphaël Poirée, les biathlètes tricolores entendent se rattraper à l'occasion des Championnats du monde d'Anterselva. Et les derniers résultats obtenus notamment par les champions olympiques Vincent Defrasne et Florence Baverel-Robert sont autant de promesses pour briller en Italie. Début de la compétition samedi avec les épreuves de sprint.

Quatre femmes en quête d'or aux Championnats du monde.
L'Italie porte-bonheur ? C'est tout ce que souhaite le biathlon français. Un an après les JO de Turin, l'Italie accueille à nouveau un grand rendez-vous international: les Championnats du monde de biathlon. C'est donc dans la station d'Anterselva que les meilleurs spécialistes de la planète se retrouveront à partir de samedi pour en découdre. Sacrés champions olympiques dans la cité du Piémont, Vincent Defrasne et Florence Baverel-Robert espèrent ainsi que le sol transalpin leur portera à nouveau chance. Et si cette possibilité apparaît aujourd'hui tout à fait envisageable, au vu de leurs derniers résultats, leur début de saison ne laissait pas vraiment de grande place à l'optimisme.

Les lendemains de gloire sont souvent difficiles, Baverel et Defrasne en ont fait l'amère expérience. Il aura en effet fallu attendre le 12 janvier dernier pour que la compagne de Julien Robert monte pour la première fois dans cette Coupe du monde 2006-07 sur un podium individuel, et assume ainsi son nouveau statut de médaillée d'or olympique, avec une troisième place obtenue dans le sprint de Ruhpolding, remporté par Sandrine Bailly. La championne olympique du sprint enregistrera par la suite des résultats plus conformes à son potentiel (5e, 4e, 7e et 8e). Une régularité qui traduit évidemment une forme retrouvée, au bon moment puisqu'à l'approche de l'événement de l'année.

Defrasne à point nommé

Vincent Defrasne a lui aussi suivi cette trajectoire pour monter en puissance à quelques jours du début des Mondiaux. Troisième de la poursuite et deuxième de la Mass start de Pokljuka il y a une dizaine de jours, le biathlète de Pontarlier a fait le plein de confiance et de précision, comme en témoigne ce 20 sur 20 au tir réussi dans le départ en ligne. Les deux champions olympiques de Turin ne constituent pas les seuls espoirs tricolores en Italie. On n'a pas oublié évidemment Sandrine Bailly et Raphaël Poirée, les plus titrés des biathlètes français et naturellement bombardés chefs de file du groupe France en Italie.

Eux aussi ont vécu une première partie de saison délicate bien qu'ayant été les premiers à décrocher un premier succès tricolore dans cette Coupe du monde, écrasée chez les messieurs par l'ouragan Ole Einar Bjoerndalen. Vainqueur du sprint d'Hochfilzen à la mi-décembre, Poirée n'a pas pu ensuite profiter de l'élan pour enchaîner les victoires. Entre la suprématie de Bjoerndalen et sa présence auprès de sa femme, Liv-Grete, qui mettait au monde leur deuxième fille, Poirée n'avait peut-être pas trouvé la motivation supplémentaire.

Bailly et Poirée revanchards

Certainement, s'est-il aussi réservé pour Anterselva. "C'est la première fois que je ne vise pas le classement général de la Coupe du monde. J'ai tout concentré sur les Championnats du monde et j'ai fait beaucoup de sacrifices", confirme le biathlète de la Chapelle en Vercors, vainqueur à quatre reprises du grand globe de cristal (2000, 2001, 2002, 2004).

Frustré de ses JO ratés (aucun podium en individuel, ndlr), Raphaël Poirée veut évidement effacer ce mauvais souvenir en prenant sa revanche dans un endroit où il brilla jadis comme en témoignent les six victoires de Coupe du monde qu'il décrocha sur le site d'Antholz/Anterselva. Sandrine Bailly, une victoire à Ruhpolding cette saison et vainqueur de la Coupe du monde en 2005, espère elle aussi prendre sa revanche sur Turin où, à l'instar de Poirée, elle dut se contenter du bronze avec le relais.

Une discipline dans laquelle les Françaises visent le titre, fortes de leurs deux succès cet hiver avec le relais (le 17 décembre à Hochfilzen et Oberhof début janvier). Bref, le clan tricolore ne manque pas d'atouts dans sa manche pour réussir et l'orgueil de ses champions ne sera pas de trop

[Norton]

ouaip une belle équipe, en réponse a ton dernier article Nofoot.

bien des chances..............

[nofoot]

sa commence demain a 1OH30 sprint hommes

et a 14 heures sprint femmes en ,direct sur eurosport france

[Norton]

Merci

[Norton]

Valentino Rossi ne viendra sans doute plus en F1

VALENTINO Rossi a décidé de mettre en attente ses plans de venir en Formule 1 en s’engageant pour deux années supplémentaires en MotoGP, jusqu’à fin 2008.
"Cela permettra à Valentino de se concentrer librement et uniquement sur son travail actuel - remporter à nouveau le championnat du monde", déclare Lin Jarvis pour Yamaha.
De son côté, la star de la moto, 27 ans, ajoute : "Je suis très heureux d’avoir renouvelé mon contrat avec Yamaha jusqu’à fin 2008, je peux donc me concentrer sur la course cette saison."
Dans deux ans, avec des négociations qui traîneront de nouveau à n’en pas douter et une équipe Ferrari qui n’aura plus forcément envie de l’italien dans ses rangs, voir arriver ’The Doctor’ en F1 un jour semble désormais plutôt

[Norton]

LE CASTELLET (AFP)

Le pilote canadien Jacques Villeneuve au volant de la Peugeot 908 HDI-FAP sur le circuit Paul Ricard, le 1er février 2007 au Castellet© AFP Boris Horvat Le Canadien Jacques Villeneuve, ancien champion du monde de Formule 1, a roulé pour la première fois cette semaine dans une Peugeot 908 à moteur V12 diesel HDi et filtre à particules qu'il pilotera aux 24 Heures du Mans (16-17 juin).
Ce petit événement a eu pour cadre le circuit Paul Ricard High Tech Test Track (HTTT), jeudi près de Marseille. Pour montrer son degré de motivation, le Québécois de 35 ans était arrivé la veille, avec son préparateur physique personnel. Comme en F1, jusqu'à ce qu'il quitte précipitamment l'écurie BMW-Sauber en plein milieu de l'été dernier.
Le diesel pour Villeneuve, jusqu'à 2007, c'était plutôt "dans des voitures de location, selon les pays". A partir de maintenant, c'est aussi sur la piste, dans la 908, et sur la route, dans le break 407 SW que Peugeot lui a attribué comme voiture de fonction. Pratique pour aller de la Suisse à Monaco avec sa femme et son petit garçon, né à la fin de l'année dernière.
Suprême ironie de l'histoire, c'est sur les terres de Bernie Ecclestone, sur le circuit rénové par le pape de cette F1 "robotisée" qu'il a quittée sans aucun regret -"Je n'avais plus envie de me prendre la tête"- que Villeneuve a fait démarrer sa 908 HDi. Il y a d'abord eu un nuage de fumée -ce sera interdit en juin au Mans- et un bruit de semi-remorque, puis tout est rentré dans l'ordre.
"C'est une vraie voiture de course, avec un moteur de course qui pousse bien", a dit Jacques, rassuré, après avoir bouclé quelques tours dans son prototype high-tech de 700 CV en carbone. Il avait déjà conduit un proto, au Japon, mais c'était en 1992, bien avant la F1 et son titre de champion du monde en 1997.
"C'était une grosse Toyota Groupe C à moteur turbo, j'étais avec (Tom) Kristensen et (Eddie) Irvine, mais il n'y avait pas beaucoup de voitures. Une fausse course mais une bonne expérience en sortant de la Formule 3, parce que ça allait vite. On a cassé la boîte de vitesses", se souvient Villeneuve.
Avec la 908, ce sera une autre histoire, et d'abord des séances d'essais pour préparer cette "course mythique" qu'il veut ajouter à son palmarès, à côté des 500 Miles d'Indianapolis: "Il y a du travail de réglage à faire, il faut qu'on fasse du kilométrage. J'ai repris l'entraînement physique, donc pas de problème", ajoute le jeune retraité de la F1.
Quant au côté "écolo" du diesel et du filtre à particules, le Canadien n'y est pas indifférent: "La préoccupation principale c'était Le Mans, dans des conditions pour gagner. Je n'ai pas signé parce que c'est écologique, mais c'est un bonus. Ca rend les choses plus intéressantes, parce que l'écologie c'est le futur. L'Amérique du Nord est moins avancée sur le sujet, pour l'instant, mais ça va venir".
En Amérique, il y a aussi la fameuse série NASCAR: des fous furieux au volant de berlines surpuissantes de toutes les couleurs, à moteur V8, des courses très animées dans lesquelles Villeneuve espère retrouver bientôt le Colombien Juan Pablo Montoya. "C'est différent, donc c'est excitant", confie le Québécois, tout sourire. Au fait, en NASCAR, on roule à l'essence, pas au gazole, et c'est tout sauf écolo.

[Norton]

Snowboard: Les Suisses brillent à Bardonnèche

BARDONNÈCHE (ATS)
L'équipe de Suisse alpine s'est une nouvelle fois illustrée en Coupe du monde. Roland Haldi et Fränzi Kohli se sont tous deux imposés vendredi lors du géant parallèle de Bardonnèche (It), alors que Heinz Inniger et Simon Schoch ont terminé respectivement 3e et 4e.
Haldi s'impose pour la première fois de sa carrière en Coupe du monde. Le Bernois de 28 ans, qui n'avait pas été retenu pour le géant parallèle des récents championnats du monde d'Arosa, a battu le Français Nicolas Huet de sept centièmes en finale après être venu à bout de Inniger en demi-finale. Il s'agit simplement du quatrième podium de sa carrière en Coupe du monde.
Simon Schoch s'est pour sa part rapproché un peu plus de la victoire finale en Coupe du monde de parallèle. Sorti par Huet en demi-finale, le champion du monde de slalom compte 210 points d'avance sur son dauphin Siegfried Grabner, 10e en Italie. Gilles Jaquet a pour sa part été éliminé dès les qualifications.
Médaillée de bronze dans la discipline à Arosa, Fränzi Kohli s'est offert à Bardonnèche le deuxième succès de sa carrière. Déjà victorieuse en ouverture de saison à Sölden, la Bernoise de 24 ans a dominé en finale la championne du monde de slalom Heidi Neururer.