Un vendredi soir, un homme rentre dans une pharmacie et achète une boite de 50 préservatifs.
Le lundi dès l'ouverture, il retourne à la pharmacie pour se plaindre car la boite ne contenait que 49 préservatifs.
Le pharmacien lui présente ses excuses et lui propose de le dédommager.
Et l'homme lui dit alors " et pour mon week-end foutu, qui va me dédommager ? "
Le gros myto !
"Le danger ne vient pas d'une vitesse qui ne correspond pas à la vitesse réglementaire, mais bien d'une vitesse inadaptée aux circonstances dans lesquelles le conducteur se trouve."
Il y a quelques jours alors que je quittais une réunion, j’ai réalisé que je n’avais pas mes clés d’auto.
Je me suis mise à les chercher. Elles n'étaient ni dans mes poches ni dans mon sac à main.
Une recherche rapide dans le local de réunion n'a rien révélé.
Soudain, j'ai réalisé que je devais les avoir laissées dans la voiture.
Frénétiquement, je me suis dirigée vers le stationnement.
Mon mari m'a grondée plusieurs fois par le passé, pour avoir laissé mes clés sur le contact.
Ma théorie est que le contact est le meilleur endroit pour ne pas les perdre.
Sa théorie est que la voiture est plus facile à voler.
Comme je me dirigeais vers le stationnement, j’en suis venue à une conclusion terrifiante.
Sa théorie était juste, le stationnement était vide.
J'ai immédiatement appelé la police. Je leur ai donné ma position, ai avoué que j'avais laissé mes clés dans la voiture et qu'elle avait été volée.
Puis j'ai fait l'appel le plus difficile de tous : "Chéri" ai-je balbutié, (je l'appelle toujours "chéri" dans ces moments-là), j'ai laissé mes clés dans la voiture et elle a été volée."
Il y a eu une période de silence.
Je pensais que la communication avait été coupée, mais ensuite j'ai entendu sa voix.
Il a aboyé : "C’est moi qui t’ai conduite ce matin à ta réunion !"
C'était à mon tour de me taire.
Embarrassée, j'ai dit : "Eh bien, viens me chercher."
Il a rétorqué : "J’étais en route pour le faire, mais je vais être retardé."
"Pourquoi ?" ai-je demandé.
"Parce que je viens d’être arrêté par la police et tu dois maintenant les convaincre que je n'ai pas volé notre voiture, parce que j'ai oublié les papiers à la maison."
"Même si cela ne se passe pas ici. Cela ne veut pas dire que cela ne se passe pas. "
Il y a quelques jours alors que je quittais une réunion, j’ai réalisé que je n’avais pas mes clés d’auto.
Je me suis mise à les chercher. Elles n'étaient ni dans mes poches ni dans mon sac à main.
Une recherche rapide dans le local de réunion n'a rien révélé.
Soudain, j'ai réalisé que je devais les avoir laissées dans la voiture.
Frénétiquement, je me suis dirigée vers le stationnement.
Mon mari m'a grondée plusieurs fois par le passé, pour avoir laissé mes clés sur le contact.
Ma théorie est que le contact est le meilleur endroit pour ne pas les perdre.
Sa théorie est que la voiture est plus facile à voler.
Comme je me dirigeais vers le stationnement, j’en suis venue à une conclusion terrifiante.
Sa théorie était juste, le stationnement était vide.
J'ai immédiatement appelé la police. Je leur ai donné ma position, ai avoué que j'avais laissé mes clés dans la voiture et qu'elle avait été volée.
Puis j'ai fait l'appel le plus difficile de tous : "Chéri" ai-je balbutié, (je l'appelle toujours "chéri" dans ces moments-là), j'ai laissé mes clés dans la voiture et elle a été volée."
Il y a eu une période de silence.
Je pensais que la communication avait été coupée, mais ensuite j'ai entendu sa voix.
Il a aboyé : "C’est moi qui t’ai conduite ce matin à ta réunion !"
C'était à mon tour de me taire.
Embarrassée, j'ai dit : "Eh bien, viens me chercher."
Il a rétorqué : "J’étais en route pour le faire, mais je vais être retardé."
"Pourquoi ?" ai-je demandé.
"Parce que je viens d’être arrêté par la police et tu dois maintenant les convaincre que je n'ai pas volé notre voiture, parce que j'ai oublié les papiers à la maison."
Si Vingt-Cinq et moi conduisions encore, ça pourrait bien nous arriver.
Evitez de prendre tout ce que j'écris au premier degré, sinon, vous allez mal me juger