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Fun, ces tricycles québécois!

Can-Am Spyder

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Trois roues, 998 cm3 et un look original: les points communs entre la belle et la bête.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 20.09.2012

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A gauche, la RS-S, à droite la RT-LTD.
Image: Philippe Clément
CAN-AM SPYDER RS-S

Prix de base: 19'900 francs
Cylindrée: 998 cm3.
Puissance: 106 ch à 8500 tr/min.
Couple: 104,3 Nm à 6250 tr/min
Transmission: à la roue AR.
Boîte: man. 5 ou séquentielle 5 rapports.
Dimensions (Lxlxh): 2,67 x 1,51 x 1,15 m. Empattement: 1,73 m.
Hauteur de la selle: 0,74 m.
Coffre: 44 l.
Poids: 317 kg.
BIEN VU

SUSPENSIONS AU TOP
La différence entre le RS et le RS-S? Des suspensions Fox «de course». On a essayé les deux, rien à voir!
(Image: Philippe Clément)
MAL VU

DRIFT!
Le Spyder est bardé d’assistants électroniques. Mais face à la puissance de feu du RS-S, la roue arrière patine quand même!
(Image: Philippe Clément)
LE DÉTAIL

Comme un phare dans la nuit

A l’avant du RS-S, deux petites LED surmontent les garde-boue. Gadget? Vu la largeur de la bête, ces diodes servent de repères, de nuit, pour savoir où on est! (Image: Philippe Clément)
CAN-AM SPYDER RT-LTD

Prix de base: 25'490 francs
Cylindrée: 998 cm3.
Puissance: 100 ch à 7500 tr/min.
Couple: 104 Nm à 500 tr/min
Transmission: à la roue AR.
Boîte: man. 5 ou séquentielle 5 rapports.
Dimensions (Lxlxh): 2,67 x 1,58 x 1,514 m.
Empattement: 1,73 m.
Hauteur de la selle: 0,77 m
Coffre: 58 l (av), 26 l+26 l (lat), 43 l (ar).
Poids: 421 kg.
BIEN VU

La selle du RT-L est un vrai fauteuil. Avec dossier, accoudoirs et haut-parleurs à l’arrière. Les passagers adorent…
(Image: Philippe Clément)
MAL VU

Pour activer la marche arrière du Spyder? Presser en même temps le «-» de la boîte et le bouton du haut… Aïe! (Image: Philippe Clément)
LE DÉTAIL

Un déluge de luxe intégral

La version «Limited» est bardée d’options «luxe». Comme une suspension réglable en roulant.
(Image: Philippe Clément)
L'AUTRE DÉTAIL

Du luxe, encore

Toujours sur la version «Limited», les poignées arrière pour le passager sont chauffantes.
(Image: Philippe Clément)

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Le souci de la qualité sert la nouvelle Hyundai i30 Wagon

Production

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Coréenne, la nouvelle i30 Wagon? D’origine, seulement, car son design et sa conception proviennent de Rüsselsheim en Allemagne et sa production de République tchèque.
Par Gil Egger. Mis à jour le 09.09.2012 2 Commentaires

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Le break Hyundai i30 Wagon, n’est pas le seul modèle fabriqué à Nosovice. La ligne de production peut en assembler quatre différents.
Image: DR
Fiche technique

Hyundai i30 Wagon

Dimensions (L x l x H) 4,48 x 1,78 x 1,50 m
Empattement 2,65 m
Places 5
Coffre 528 l (1642 dossiers arrière rabattus)
Poids 1578 kg
Prix 31 390 fr.

Moteur

Cylindres 4
Cylindrée 1591 cm3
Boîte 6 manuelle
Chevaux (kW) 135 (99)
Couple maxi 164,3 Nm

Aides à la conduite

ABS et répartition électronique EBD,
ESP contrôle de stabilité.
Direction à trois niveaux d’assistance.

Performances

Vitesse max. 185 km/h
0-100 km/h 12’’1

Consommation

Mixte normalisée 4,4 l/100 km
Emissions de CO2 115 g/km
Etiquette énergie A

Autres versions

1,4 l essence dès 18 240 fr.,
1,6 l diesel dès 22 240 fr.

Garantie

5 ans kilométrage illimité, 5 ans dépannage Euroservice, 5 check-up de printemps gratuits.

La console centrale accueille le smart-phone, les connecteurs sont accessibles et on peut même laisser la clé quand on conduit… sans l’oublier en sortant! (Image: DR)
Des robots peignent l’extérieur, mais au préalable ce sont des hommes qui le font pour l’intérieur, les gestes sont plus compliqués à automatiser. (Image: Thomas Beck photo@beck-thom.as )
Le conducteur peut adopter trois modes d’assistance de la direction selon ses goûts et son usage, léger pour la ville, direct en sport et normal. (Image: DR)
Le coffre est non seulement le plus volumineux de la catégorie, il est aussi très pratique avec un compartiment caché sous son plancher. (Image: DR)



La région autour de la ville d’Ostrava en République tchèque peut se réjouir de l’implantation d’un constructeur automobile. Après la fin de l’exploitation du charbon, la chute de celle des hauts-fourneaux, accueillir une usine fournissant 3500 emplois était une aubaine. De la signature du contrat en 2006 jusqu’au début de l’exploitation en 2008, seuls dix-huit mois furent nécessaires. Le modèle qui nous intéresse, le break i30 Wagon, n’est pas le seul fabriqué à Nosovice, à une demi-heure de l’aéroport d’Ostrava.
La ligne de production peut en assembler quatre différents, en onze couleurs, avec une palette énorme de spécifications particulières selon le pays auquel ils sont destinés. Au total, 300 000 voitures sortent chaque année de République tchèque pour toute l’Europe, Russie et Turquie comprises. Inutile de dire que la logistique fait appel à une informatique et une gestion électronique extrêmement complexes. L’ouvrier qui installe les portières en voit huit arriver sur un chariot, placées dans le bon ordre en fonction des modèles qui défilent en continu.
Un contrôle serré
Sous la conduite éclairée de Petr Vanek, directeur des relations publiques, nous avons même mis la main à la pâte. Polissage d’un moule pour commencer: le moindre défaut pourrait affecter la forme d’un panneau de portière ou d’un capot, qu’une presse de 5400 tonnes va emboutir. Ensuite, pour bien nous convaincre du souci de qualité, nous sommes conviés à la sortie du monstre pour participer au contrôle exigeant: chaque vingtième forme passe sous les yeux et les doigts experts d’un contrôleur.
Prendre la place de celui qui visse les charnières suscite un léger stress, il ne faut pas lâcher le boulon, ni prendre trop de temps. Juste avant le long processus de galvanisation et de peinture, un bataillon de femmes et d’hommes au regard exercé finit de détecter et corriger la moindre trace sur la caisse. Notre petit coup de polissage n’a pas eu grand effet. Le sourire condescendant de ces professionnels montre qu’ils compatissent devant notre amateurisme approximatif!
Plus de 1300 voitures finies sortent chaque jour de ces installations qui fonctionnent du lundi à 6 heures au samedi à 6 heures sans interruption. Avec deux semaines de pause en été, une en hiver, mise à profit, comme les week-ends, pour l’entretien des machines, en particulier des 379 robots. Le temps total pour construire une automobile est de vingt heures, dont treize pour les différentes couches de peinture.
Hyundai vendra 40% de breaks
La nouvelle voiture du constructeur «coréen mais européen», la i30 Wagon, va prendre une place de choix dans son segment, celui des compactes. Elle possède le plus grand volume intérieur de la catégorie et une collection d’atouts de tous genres, dont une garantie de cinq ans rassurante en Suisse.
Avant de participer – davantage avec les yeux que les mains, il faut l’avouer – à son montage, nous avons pu l’essayer en Suisse. On mesure le chemin parcouru depuis une décennie où les matériaux, les formes et la qualité perçue ne laissaient qu’au prix bas le soin de convaincre. Désormais, le design manifeste un caractère certain, le souci du détail touche à la maniaquerie et l’impression générale fait penser à un véhicule d’un segment plus luxueux. Exactement l’effet recherché. Certes les motorisations sont parfois un peu limite, mais elles suffisent pour la grande majorité des usages. Comme pour le coupé Veloster, qui arrive avec un moteur turbo, rien n’est d’ailleurs exclu à l’avenir.
Pour un break, la ligne conserve une fluidité agréable à l’œil. Les aspects pratiques sont un seuil de chargement bas et un coffre d’un volume record comparé aux concurrentes, avec une surface toute plate quand les sièges arrière sont escamotés. Au volant, l’impression d’un choix judicieux des matériaux confirme les progrès de Hyundai. Le directeur pour la Suisse Diego Battiston décrit ainsi la philosophie: «Donner accès à des valeurs «premium» à un groupe plus large.» Car le prix reste compétitif. Le châssis tolère une conduite contrastée selon l’humeur. La boîte de vitesses possède des rapports assez longs favorisant l’économie de carburant. Le souci du détail va jusqu’à un discret éclairage à l’approche du conducteur, avant même qu’il ouvre sa portière.

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Le TMax de Lazareth pointe à plus de 200 Km/h!

Exclusivité

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«Le Matin» a pu essayer le Big scooter Yamaha transformé par le génial constructeur-designer Ludovic Lazareth. Décoiffant!
Par Claude Bovey. Mis à jour il y a 37 minutes

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1/20





FICHE TECHNIQUE

MOTEUR Bicylindre en ligne, 4 T à refroidissement liquide, DOHC, 8 soupapes.

Cylindrée: 530 cm3

Puissance: environ 60 ch. à 9000 t/min; 0 à 100km/h en 5.4s; compresseur ROTREX C15-16; Dump valve tarée à 0.5 bars; échappement sur-mesure; boîte à air sur mesure en Aluminium; variateur Malossi MHR 5115246; boîtier électronique RAPID BIKE

CHÂSSIS Cadre en aluminium; transmission: automatique, par courroie; fourche: Yamaha R1;
étriers de frein avant 6 pistons ISR, pour Yamaha R1; disques de frein diamètre 320mm, pour Yamaha R1.

PRIX environ 28 000 fr. (pas calculé, mais on peut l’estimer au double de la version standard).

VidéoVidéo




Le T Max est un deux-roues à succès. Sportif jusqu’au bout des pneus, n’est-il pas le scooter le mieux vendu depuis plusieurs années en Italie, pays du scooter par excelleNce? L’engin fait aussi parfois parler de lui dans des circonstances particulières comme lorsqu’il s’agit d’évoquer «l’affaire Merah»… Upgradé depuis peu en 530 cm3, il attire regards et convoitises. Son look originel sportif a déjà fait de l’œil non seulement au grand public, mais aussi aux designers qui n’y voient que l’intérêt de le rendre encore plus beau et surtout plus spectaculaire.
Le Français d’Annecy, Ludovic Lazareth n’en est pas à son premier coup d’essai, lui qui transforme et crée des œuvres à deux, trois ou quatre roues. Sa collaboration avec Yamaha et ses variations sur le thème du V-Max font déjà référence…Pour Lazareth, il fallait créer un objet de désir utilisable par tout un chacun au quotidien, sans trop dénaturer l’original. L’homologation en Suisse n’est pas «gagnée», mais pas utopique! Le look du «TMax Hypermodified by Lazareth» tend vers des formes certes agressives, mais très harmonieuses, sans excès genre Manga. Le travail sur l’échappement rendu quasi invisible est de toute beauté. Le châssis du TMax a tout de même subi quelques modifications en adoptant une fourche de Yamaha R1 et un système de freinage radial à 6 pistons ISR. Et pour le spectacle, le 530 cm3 est boosté par un compresseur Rotrex, secondé par un variateur Malossi. Ainsi «gavé» d’air le super TMax de Lazareth atteint les 100 km/h en deux secondes de moins que le TMax standard et il dépasse aisément les 200 km/h!
Sur la piste d’atterrissage de l’aérodrome de Bourg en Bresse la vérification en a été faite… Dès l’instant où l’on tourne la poignée, le TMax interprète une version longue de «Highway To Hell»! Instantanément le scooter de chasse pousse, pousse, pour ne s’arrêter qu’en bout de piste.

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Voici les nouvelles normes vertes pour les voitures

Conseil fédéral

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Le gouvernement a mis en consultation sa stratégie pour sortir du nucléaire. Zoom sur les mesures touchant les voitures, les motocycles et les trains.
Par Arthur Grosjean. Mis à jour à 17h31 1 Commentaire

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Les voitures devront être à l'avenir toujours moins gourmande en carburant.
Image: Keystone



Le Conseil fédéral veut sortir du nucléaire mais aussi réduire la dépendance de la Suisse aux énergies fossiles. A cet égard, les transports représentent un morceau de choix. Ils absorbent un bon tiers de la consommation totale d'énergie et dégagent beaucoup de CO2. La part des énergies fossiles dans cette consommation: environ 96%.
Le Conseil fédéral estime donc que le potentiel d'économie est considérable. Grâce au développement de la mobilité électrique, il estime qu'on peut réduire jusqu'à 50% (!) la consommation de carburant.
Quelles sont les mesures pour y arriver? Voici une liste non exhaustive figurant dans le rapport gouvernemental mis en consultation jusqu'en janvier 2013.
Voitures moins polluantesA l'instar de l'évolution de la situation dans l'UE, la valeur cible pour les émissions de CO2 des voitures de tourisme neuves sera abaissée. L'UE l’a déjà fixée à 95 g CO2/km pour 2020. Par ailleurs, les efforts visent à diminuer successivement cette valeur d'ici 2050 (valeur de référence 35 g CO2/km en 2050).
Etiquette énergie pour les motocyclesIl s'agit d'améliorer les données sur les émissions de CO2 et la consommation. Les étiquettes doivent inciter les personnes achetant des véhicules utilitaires légers et des motocycles à opter pour des véhicules moins gourmands en énergie.
Des véhicules utilitaires légers moins polluantsA l'instar de l'UE, il est prévu d'introduire une valeur cible contraignante pour les émissions de CO2 des véhicules utilitaires légers, qui sera continuellement abaissée d'ici 2050. Le parc de véhicules nouvellement immatriculés de chaque importateur doit en moyenne atteindre la valeur cible définie, sous peine de sanctions. La valeur cible pour la part de CO2 rejetée par les véhicules utilitaires légers doit s'aligner sur les valeurs cibles décidées par l'UE (175 g CO2/km jusqu'en 2017 et 147 g CO2/km jusqu'en 2020). Une baisse à 75 g CO2/km d'ici 2050 est actuellement en discussion.
Mesures incitatives pour les transports publicsIl s'agit de prendre en compte le critère énergétique dans le calcul du prix du sillon. Il faut aussi que les nouveaux véhicules soient économes. Enfin, tous les transports publics doivent dispenser des cours de conduite pour économiser l'énergie.
Panneaux solaires sur les routesIl s'agirait de monter des installations photovoltaïques sur des murs antibruit le long des routes nationales. On pourrait aussi en construire au-dessus de certains tronçons routiers. Enfin, il faut utiliser les infrastructures des transports publics pour multiplier les panneaux solaires.
Eclairage LED sur les routesL’énergie requise par l’exploitation des routes nationales doit diminuer essentiellement grâce à l'introduction d’un éclairage LED et de surfaces claires à l'intérieur des tunnels.
Feux de circulation diurne LEDL'introduction de feux de circulation diurne LED peut entraîner une économie de quelque 65 millions de litres de carburant d'ici 2020.
Pas de bonus pour voitures vertesIl y a des mesures que le Conseil fédéral a préféré laisser tomber pour ne pas se faire désavouer par la suite. Il y a notamment l'idée du bonus financier en faveur de ceux qui achèteraient une voiture super écolo. Le problème? Ce bonus est financé par une augmentation généralisée de l'impôt sur les autos. On a vu ce week-end dans le canton de Berne que cette idée est rejetée par la population.
Pas de pénalisation des pendulairesAutre mesure impopulaire: la pénalisation des pendulaires. Elle consistait à diminuer les déductions des frais de déplacement dans la déclaration fiscale. Cela afin d'inciter les gens à habiter moins loin de leur lieu de travail. Cette idée avait provoqué une levée de boucliers des habitants des régions périphériques.

Fini le SOLEX

[Pasky]

Envoyé par Norton

Fun, ces tricycles québécois!

Can-Am Spyder

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Trois roues, 998 cm3 et un look original: les points communs entre la belle et la bête.

Le point commun ? : un scandale pure et simple, ces deux machines se conduisent sans qu'il soit nécessaire d'avoir un permis gros cube, alors qu'il faudrait un permis spécifique, car le comportement est très particulier.
On essaye après ça de nous convaincre, que tout est fait pour la sécurité...........

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Envoyé par Pasky

Le point commun ? : un scandale pure et simple, ces deux machines se conduisent sans qu'il soit nécessaire d'avoir un permis gros cube, alors qu'il faudrait un permis spécifique, car le comportement est très particulier.
On essaye après ça de nous convaincre, que tout est fait pour la sécurité...........

Ouaip le chat, griffe pas ce n'est qu'un article perso je prendrai pascouché sale CATS

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malgré un parfum de crise
Mondial de l'automobile

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Le marché a beau s’afficher en baisse, Paris présente un feu d’artifice de nouveautés.
Par Gil Egger. Mis à jour le 29.09.2012

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Le concept du monospace de BMW se fonde pour la première fois sur la traction.
Image: DR
Des dollars pour Fisker

Henrik Fisker nous avoue n’avoir aucun nouveau modèle pour la manifestation parisienne. La marque atypique qui porte son nom annonce toutefois qu’elle vient de lever 100 millions de dollars de capital. De quoi assurer son développement, avec une future Atlantic, de la taille d’une Audi A5, plus utilisable au quotidien que la Karma, grand coupé sportif à quatre portes, électrique avec moteur à essence pour les trajets plus longs. Une enquête montre que 82% des clients des 1500 voitures vendues l’utilisent chaque jour, de préférence à l’«autre», la Mercedes ou la BMW, qui reste dès lors au garage. Et ils ont moins besoin que prévu du moteur thermique ajoutant 400 km aux 80 d’autonomie purement
électrique.
Les codes de la numéro 9

Déjà vue en Chine, la Numéro 9 de Citroën fait sa première apparition européenne à Paris. Frédéric Banzet, directeur général, souligne qu’il ne s’agit pas d’un exercice destiné à conforter une image. Ce concept est le porteur des futurs codes stylistiques de la marque aux chevrons, qui a toujours lorgné le haut de gamme. Or, grâce aux DS 3, 4 et 5, vendues à 250 000 exemplaires en deux ans, tous les autres modèles bénéficient d’une poussée vers le haut. Devant les difficultés du marché, trois recettes selon lui: la créativité pour poursuivre dans la voie ouverte par DS, l’internationalisation (un tiers des ventes hors Europe actuellement, la moitié avant 2020) et plus de technologie profitant aux clients.
La puissance de VW

Certains couloirs du métro parisien n’ont qu’un thème d’affiches publicitaires: la Golf VII. La recette d’un succès annoncé? Lors de la soirée privée précédant le Mondial, le patron Martin Winterkorn réplique: «Nous avons les bons véhicules, au bon moment et au bon endroit.» La morosité en Europe? Les douze marques du groupe, présentes sur cent cinquante marchés, ne la craignent pas, leur système modulaire permettant une extrême diversité. «Nous nous engageons à maintenir une Europe industrielle», a-t-il affirmé en rappelant les 390 000 emplois sur le Vieux-Continent et les 15 000 apprentis dans le monde. Les 7 milliards d’euros de recherche et de développement doivent faire rêver la concurrence.


Qu’importe la situation économique, les modèles phares des constructeurs présents au Mondial de l’Automobile de Paris, jusqu’au 14 octobre, ne doivent pas rater leur mue. Renault mise ainsi sur la Clio IV, en trois variantes, la cinq portes, le break «Estate» et la RS (Renault Sport). Le patron de l’alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, compte sur l’internationalisation de la production et des ventes pour conserver une rentabilité. Ce qui ne l’empêche pas de confier au Figaro qu’il n’est pas possible de s’engager à ne pas licencier si cela met l’entreprise en péril. Selon lui, sans Nissan, Renault serait dans une situation catastrophique.
Les promesses de la Golf
Deuxième étoile au firmament automobile, la 7e génération de la VW Golf, prévue en une multitude de versions: bientôt une BlueMotion consommant 3,2 l aux 100 km et une GTI de 210 ch. Dans le groupe Volkswagen, on n’évoque la crise que du bout des lèvres. Très international, il s’appuie sur ses 12 marques, toutes présentes à Paris (sauf les poids lourds Man et Scania): VW, VW utilitaires, Audi, Seat, Skoda, Lamborghini, Bentley, Bugatti, Porsche et les motos Ducati.
Greenpeace s’immisce dans la fête avec une banderole accusant les Allemands de «nous enfumer», cela tombe mal avec l’annonce de la compacte la plus écologique jamais construite et la promesse d’une future hybride encore plus raisonnable. Un credo qui peut s’appliquer à Toyota, dont la nouvelle Auris gagne en caractère, et installe la motorisation hybride sur tout ce qui roule! Sa marque de luxe Lexus fait de même.
Les codes explosent
Le Mondial de Paris dénote encore une fois une créativité omniprésente. Les tabous sont effacés. Voyez BMW, dont le concept de monospace se fonde, pour la première fois, sur la traction, presque un crime de lèse-majesté. Ou le magnifique nouveau Range Rover, allégé de plus de 400 kg et qui prépare une motorisation hybride diesel/électrique.
Le rêve britannique, porté par le propriétaire indien Tata, se dévoile avec la Jaguar F-Type, très sportive, à deux places et décapotable. Elle rappelle que l’automobile a toujours suscité les passions. Les constructeurs tentent de combiner cet élan avec les aspects pratiques et écologiques: Porsche propose un break Panamera. Très en vedette, les françaises jouent la séduction: Citroën DS3 découvrable, «comme la 2 CV», SUV compact Peugeot 2008.
Les stands des Coréens, plus modestes, respirent pourtant la santé. Des nouveautés comme le Kia Carens ou la Hyundai i30 alignent les ajouts. Il n’en va pas autrement pour des Européennes: la craquante Ford Fiesta, la pratique Panda 4×4. Tant pis pour la crise! L’émotion reste intacte devant les incroyables inventions

http://www.lematin.ch/auto-moto/pari...story/26063164

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Maserati sort le cabriolet quatre places ultra-sportif

Première mondiale

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La marque italienne aime les cabrios. Avec la «GrandCabrio MC», elle lance à Paris une version ultra-sportive de sa découvrable à quatre places. De quoi décoiffer la famille en 4,9 secondes, le temps de passer de 0 à 100.
Par Marc-Henri Jobin. Mis à jour le 26.09.2012

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1/4La nouvelle «GranCabrio MC» de Maserati fait ses débuts officiels au Salon de l'Auto de Paris 2012, qui s'ouvre le 27 septembre.
Maserati









Précurseur de la sportive à quatre places, Maserati vient proposer, dans le cadre du prochain Salon de l'Auto de Paris, une nouvelle évolution de son GrandCabrio, avec une version super-sportive «MC». Celle-ci n'est autre que la version décapotable de la «GranTurismo MC».
A l'extérieur, on retrouve le look ultra-sportif de la GranTourismo MC. Pour l'occasion, la marque au Trident a même repris la face avant de la «Maserati Trofeo MC World Series» de compétition, pour mieux marquer la filiation. Par rapport à la GranCabrio, lancée début 2010, la nouvelle «MC» est plus longue de 48 mm.
Sous le capot de la «GrandCabrio MC», Maserati a placé son V8 de 4,7 litres de 460 CV. Ce moteur, au couple respectable de 520 Nm, permet d'accélérer de 0 à 100 en moins de 5 secondes, contre 5,3 secondes pour la GrandCabrio d'origine. Ainsi équipée, la version «MC» peut atteindre la vitesse maximale de 289 km/h. «Avec la capote fermée», précise le communiqué.









Top belle........

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La Type-F, nouveau bijou de la couronne Jaguar

Icône

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Une "gueule" superbe, des moteurs de choc, la propulsion à l'arrière, deux places et une capote en toile: le nouveau cabrio Jaguar va très vite devenir une icône.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 26.09.2012 3 Commentaires

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1/14DR / Jaguar









Plus de cinquante ans qu'on attendait ça! Jaguar va enfin donner une héritière à sa mythique "Type-E". Et le moins que l'on puisse écrire c'est que Monsieur Tata, le businessman indien désormais propriétaire des belles anglaises, a donné tous les moyens à ses concepteurs pour en faire une icône!
La recette? La... même que celle qui a fait de la "E" un mythe automobile indémodable, à l'instar de la Porsche 911: une silhouette pure et des performances à donner le tournis. À l'époque, la Type-E était la première voiture de série à être dotée de freins à disques. Et son design en faisait un véritable ovni. Pas autant de révolution technologique cette fois, Jaguar s'étant "contenté" de réunir le meilleur de ce qui se fait à l'heure actuelle. Mais une ligne absolument somptueuse, due au talent de Ian Callum, designer chef de la marque et ancien responsable du design chez Aston Martin.
«Nous voulions que le conducteur éprouve un vrai plaisir en s'asseyant dans la Type-F. Ce que nous avons fait, c'est de créer le sentiment que vous pouvez faire ce que vous avez décidé, plutôt que ce qui est attendu de vous. Plus le monde devient artificiel, plus un tel sentiment devient important! En bref: c'est LA voiture que nous avons toujours rêvé de faire.» Mission accomplie! Une fois glissé dans le semi-baquet, "cerné" par la planche de bord et les instruments qui vous entourent comme dans un cockpit, vous avez l'impression d'être "dans" la voiture. De faire corps avec elle. Et avec la route...
Pour tailler la route, justement, Jaguar a prévu trois motorisations: un V6 de 3.0 litres développant 340 chevaux dans la version "de base", le même V6 poussé à 380 chevaux dans la version S et un incroyable V8 de 495 chevaux dans la version V8 S. Des moteurs puissants, efficaces et offrant des performances de premier plan en termes de consommation et de rejet de polluants, vu les circonstances.
Sur les modèles S et V8S, un système d'échappement actif permet d'augmenter encore le plaisir, en ajoutant à l'expérience un "chant" particulièrement sportif dès qu'on franchit le cap des 3000 tr/min.
Rayon transmission, la voiture est équipée de la nouvelle boîte robotisée Quickshift à huit rapports, commandée par un tout nouveau joystick, ou par les palettes situées sur le volant. De surcroît, la version V6 est dotée d'un système de Dynamic Launch qui permet des démarrages imbattables sur circuit.
Pour réduire au maximum la consommation et offrir à la F un comportement aussi dynamique que possible, Jaguar a puisé dans son incomparable savoir-faire en matière de coque aluminium. Sa carrosserie monocoque en est exclusivement composée. Un alliage crash-crush a même été spécialement étudié pour augmenter radicalement la rigidité de l'ensemble, sans en alourdir la masse. Les portières sont en alliage léger et la capote est en toile, autant dans un souci de légèreté que de respect de la tradition.
Pour ce qui est du design et de la technologie, on a pu juger sur pièces. Pour les performances, on sera obligé de croire Jag' sur parole. Et, croyez-nous, on en a drôlement envie! Pourquoi? Jugez plutôt: grâce à un compresseur, le V6 est capable de propulser la Type-E à 260 km/h, de la faire passer de 0 à 100 en 5''3 tout en ne consommant que 9.0 l/100 km et en émettant 209 g de CO2 par km. Pour la V6 S, ces valeurs montent à 275 km/h, descendent à 3''1 et se situent à 9,1 l/100km et 213 g de CO2. Et, pour la fantastique V8 S, le plafond culmine à 297 km/h, et le 0-100 est couvert en 4''3 seulement! Et pourtant, elle se contente de 11,1 l/100km et ne rejette "que" 259 g de CO2/ km. À ce niveau de performances, c'est une vraie gageure!
Pendant ce temps, au cœur du "cerveau" électronique de la boîte Quickshift, le programme jongle constamment entre 25 algorythmes, pour ajouter le plus exactement possible la réponse de la transmission tant à votre style de pilotage qu'aux conditions de la chaussée. De quoi assurer à l'engin une tenue de route et un comportement sportif absolument éblouissants. Et, comme de bien entendu, les deux Type-F S sont dotées d'un différentiel autobloquant, mécanique sur la V6' et actif électronique sur la V8. De plus, un contrôle de stabilité, un contrôle de traction et l'ABS viennent compléter cet arsenal d'assistants qui veillent en tout temps sur votre sécurité.
Autre point fort des Jaguar de sport, le freinage a été étudié avec un soin tout particulier. Le Jaguar Performance veille sur la version de base, avec des disques de 355 mm à l'avant et 326 mm à l'arrière. La S est dotée du Jaguar Haute Performance avec disques de 355 à l'avant et à l'arrière. La V8 recevant, elle, le système Jaguar Super Performance, couplé aux plus grands disques jamais montés sur une Jag de série (380/376).
Et, puisqu'il n'y a pas de petites économies, tous les moteurs sont équipés de série d'un dispositif stop/start intelligent, permettant une diminution d'émissions de CO2 de l'ordre de 5%.
Reste une question. Celle qui, généralement, fâche: le prix. Nous n'en sommes qu'à l'heure des présentations. Et des rêves. Alors attendons encore un peu. De toute façon, il n'est pas encore fixé de façon définitive...
(Le Matin)

Quand vais-je gagné à la loterie?

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Présentation

Honda sort un deuxième scooter avec stop and start

Par Jérome Ducret. Mis à jour le 29.09.2012

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Le SH 125 reçoit un nouveau moteur très économe, qui s'éteint au feu et se rallume dès qu'on touche à la poignée des gaz.

Les roues de 16 pouces donnent une bonne stabilité quel que soit le revêtement.
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C'est l'un des scooters les plus vendus en Europe, avec ses roues hautes (16 pouces), gage de stabilité sur les rues dégradées des centres-villes, avec sa maniabilité exemplaire, sa ligne esthétique originale et son petit moteur plutôt brillant au démarrage. Le Honda SH 125, très prisé en Italie, figure dans le top 20 en Suisse avec son frère le SH 300. Dès le mois d'octobre, Honda en propose une nouvelle version qui en améliore encore la consommation.
Grâce à une refonte conséquente du moteur et d'autres composants, on dépasse à peine les 2 litres aux 100 km, selon les données du constructeur. L'adoption, comme sur le Honda PCX 125, de l'Idling Stop, n'y est pas étrangère. C'est l'équivalent, dans le monde du deux roues, du stop and start que l'on trouve sur certaines voitures. Autrement dit, quand l'arrêt au feu dépasse quelques secondes, le propulseur s'éteint. mais il redémarre sans la moindre hésitation dès que l'on tourne la poignée des gaz. Ce dispositif est très performant. Il est aussi déconnectable.
Les autres nouveautés de cette évolution concernent l'esthétique du SH, revue principalement sur la face avant, avec un nouveau design pour les phares, et la capacité d'emport. L'un des rares défauts de ce scooter était en effet son incapacité à renfermer n casque sous la selle. Grâce à un nouveau cadre, c'est désormais possible, même pour un casque intégral.
On peut le trouver en Suisse au prix de 4790 francs, le même que la version précédente, dans les couleurs argent, blanc ou noir.