«Oui, j'aime Fabienne!»

Keystone/Alessandro Della Valle
Thomas Lüthi et Fabienne Kropf: une petite partie de cache-cache du côté de Linden
Ils ne se sont pas rencontrés aux abords d'un circuit, encore moins sur un terrain d'équitation - la passion de Fabienne Kropf, ex-Miss Berne, troisième de Miss Suisse en 2005 et cavalière émérite -, mais bien à Davos, lors de la dernière Coupe Spengler de hockey sur glace
Jean-Claude Schertenleib - 12/05/2007
Le Matin Dimanche
Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont connus... et ils s'aiment: entre Thomas Lüthi, 20 ans, champion du monde motocycliste en 125 cm3 en 2005, et Fabienne Kropf, Miss Berne et troisième du concours de Miss Suisse la même année, la vie ressemble désormais à un conte de fées. Même s'il n'est pas toujours évident de vivre un tel amour lorsqu'on se trouve en permanence sous le feu des projecteurs...
Tom, vous n'aimez pas parler de votre vie privée. Mais là...
Oui, Fabienne est mon amie. Nous nous sommes rencontrés à la Coupe Spengler, à Davos, en décembre dernier et nous sommes désormais très souvent ensemble.
Vous envisagez déjà une vie commune?
Non.
Quand verra-t-on Fabienne à un GP?
Jusqu'à présent, nous n'avons pas trouvé l'occasion et nous n'avons pas de plan précis pour cela. Peut-être qu'elle viendra une fois cette année, peut-être pas. D'ailleurs, je ne pense pas que vous prenez votre femme tous les jours avec vous au travail... Ou je me trompe?
Vous êtes tous les deux connus. Comment faites-vous si vous désirez passer une soirée incognito dans une disco?
Cela fait quelques années que je connais ce genre de difficultés. Et quand je suis avec Fabienne, c'est un défi doublement passionnant!
Vous partagez la même passion des sports aquatiques?
Oui, nous apprécions tous les deux le wakeboard, mais jusqu'à présent, nous n'avons pas pu le pratiquer ensemble. J'espère que nous trouverons le temps cet été.
Le public, désormais connaît votre romance. Cela vous ennuie?
Disons que je préfère parler de mon sport que de ma vie privée. J'espère vraiment que les gens le comprennent et l'acceptent. Une saison commence en février, elle se termine en novembre... avant de nouveaux tests. Je dois donc profiter de chaque instant qui m'est donné pour pouvoir recharger mes batteries, réfléchir, me détendre. J'ai donc besoin, parfois, de pouvoir me retirer du devant de la scène.