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Présentation de la saison MotoGP 2018

Enfin, c’est fini ! La trêve hivernale est terminée et ce week-end, c’est le retour des MotoGP pour le premier Grand Prix de la saison sur le circuit de Losail au Qatar.

Contrairement aux dernières années, les essais et les courses ne se disputeront pas de nuit, les essais commençant dès 12h50 heure locale pour se terminer à 19h50. Cela après une demande des pilotes qui se plaignaient de l’humidité tombante dans la nuit.

Marc Marquez remet son titre en jeu et sera le principal favori à sa propre succession. Le pilote Honda Repsol, quadruple champion du Monde en MotoGP sur les cinq dernières années a réalisé des essais plus que corrects, même s’il a été rarement en haut de la feuille des temps. Mais plutôt que de faire un gros chrono, Marquez s’est appliqué à travailler et à avoir un rythme intéressant, souvent le meilleur du plateau. Beaucoup disent que c’est le pilote le plus rapide sur la durée sur ces essais hivernaux. De plus en plus intelligent depuis deux ans, Marquez s’adapte à toutes les situations, qu’il pleuve, qu’il fasse beau, qu’il ait du mal avec ses pneus. C’est ça d’être bon !

Pour Dani Pedrosa, la saison n’a pas encore commencé qu’on parle déjà de son remplacement en fin de saison. Comme depuis plusieurs années, beaucoup critiquent le choix d’Honda de garder Pedrosa, mais comme depuis maintenant 12 ans, il sera encore en lice pour les victoires et les podiums. Car oui, même si on parle moins de lui que d’autres pilotes, Pedrosa a encore remporté deux courses l’an passé  et est monté sur neuf podiums. Derrière Marquez, c’est celui qui est monté le plus souvent sur la boite en fin de course. Même si ce sera difficile pour lui de remporter le titre, il est le pilote numéro 2 parfait pour une équipe. Il ne prend pas trop de place, mais marque les points qu’il faut pour un championnat constructeur.

Chez Yamaha factory, l’entre saison a été très difficile. Après une année 2017 moyenne, Maverick Vinales et Valentino Rossi se sont encore perdus pendant les essais. La moto 2017 n’était pas au point, celle de 2018 est pour le moment pas non plus la meilleure M1 que Rossi ait pu piloter. Vinales a déjà signé un contrat pour 2019, ce qui lui enlève une bonne épine du pied puisqu’on peut se demander s’il mérite d’avoir une moto usine. Même si son année 2017 a été correcte notamment grâce à ses trois victoires en début de saison, Vinales va devoir prouver qu’il est un grand pilote en trouvant des solutions pour améliorer la moto.

Pour Valentino Rossi, comme chaque année on risque d’entendre qu’il est fini et qu’il ne gagnera jamais son 10ème titre. Et pourtant, comme chaque année il sera sur les podiums et jouera les victoires et surement dès Losail. Rossi est une bête de course, et son âge avancé n’est pas un problème face aux petits jeunes qui ont 15 ans de moins que lui.

Le principal duo attendu pour cette année 2018 est celui de Ducati avec Andrea Dovizioso et Jorge Lorenzo. Après une année 2017 exceptionnelle, Andrea Dovizioso retente sa chance pour remporter le titre. Alors qu’il n’était pas attendu à la même période l’an passé, l’italien a jusqu’à la dernière course cru en son étoile et était le seul à pouvoir empêcher Marc Marquez de gagner son 4ème titre.

Avec six victoires dont quatre lors de la deuxième partie de saison, Dovi s’est révélé et a enfin réussi à maitriser la Ducati sur l’ensemble de la saison. Pour le premier GP de la saison, il sera un des favoris, la Desmocedici et son moteur pouvant être à l’aise à Losail, en atteste les 3 podiums consécutifs de Dovizioso sur cette piste lors des trois dernières années. Contrairement à la saison dernière, il sera surveillé dès la première course de l’année, et ses adversaires ne seront pas contents lorsqu’il gagnera une course.

Celui qui joue gros est Jorge Lorenzo. Après une première année très moyenne sur Ducati, le majorquin se doit d’être souvent sur le podium et de battre son coéquipier. Sans victoire l’an passé, une première pour lui depuis 2008, Lorenzo a souffert de la comparaison avec Dovizioso. En plus d’un salaire plus que conséquent, les patrons de Ducati se posent des questions sur le futur à donner pour cette collaboration. Pour les essais de cet hiver, Lorenzo a été correct, mais n’a jamais été régulier en haut de la feuille des temps. Mais il ne faut pas oublier que sa deuxième partie de saison 2017 était bien meilleure que la première et qu’il aurait pu remporter une course, notamment à Sepang. Lorenzo est toujours rapide sur plusieurs tours, même s’il avait du mal à tenir la distance d’un GP, n’arrivant pas à garder ses pneus en bon état pour les derniers tours. Mais attention à la bête blessée.

L’équipe Tech3 a vécu une intersaison mouvementée. Après une année 2017 assez exceptionnelle pour l’équipe française, des grosses infos sont arrivées depuis deux mois. Tout d’abord, Jonas Folger, malade depuis la tournée outre-mer en Octobre dernier a décidé de mettre de côté sa carrière. Grosse surprise pour tout le monde, alors qu’on attendait l’allemand de retour en forme fin Janvier pour les premiers essais de Sepang. Alors on ne sait pas vraiment quelle est la raison de cette décision, si Folger est vraiment malade ou s’il faut mieux chercher les problèmes dans la tête. En tout cas, quel que soit la raison, c’est bien dommage de voir un pilote capable de se battre avec Marc Marquez au Sachsenring il y a huit mois, devoir mettre à terme à sa carrière. Car même s’il souhaite revenir, quelle équipe MotoGP retentera l’expérience Folger ?

Hervé Poncharal s’est creusé la tête de nombreux jours pour remplacer l’allemand. De nombreux pilotes ont appelé le patron français pour proposer leur service. Ce qui n’a pas toujours été bien accepté par le patron de l’IRTA. Comment le responsable des équipes peut voler un pilote à une autre équipe ? Yonny Hernandez, habitué de la MotoGP ces dernières saisons était le premier à viser la place et a pu se montrer en Malaisie. Mais au final, c’est le malaisien Hafizh Syarhin, soutenu par son pays et ses sponsors qui a remporté la mise. Le responsable du circuit de Sepang, patron de l’équipe Moto2 de Syarhin a discuté avec Hervé Poncharal et lui a soumis l’idée de son pilote. Banco ! Premier pilote malaisien de l’histoire en MotoGP, Syarhin a tout de suite impressionné les observateurs lors de ses premiers tours de roues à Buriram. A tout juste une seconde et demie du meilleur chrono, Syarhin est loin d’être ridicule et se retrouve même devant des pilotes bien plus expérimentés dans la catégorie. Idem lors des essais du Qatar. Même s’il ne faudra pas attendre le malaisien tout de suite dans le top 10, il peut viser les points dès Losail pour la première course de la saison.

La deuxième grosse info de l’hiver pour Tech3 est la fin de la collaboration entre Tech3 et Yamaha à la fin de cette année 2018. L’équipe française découvrira les KTM et aura le statut d’équipe junior de KTM mais avec un soutien quasi officiel. C’est-à-dire qu’ils auront les mêmes motos et évolutions que l’équipe KTM Red Bull. On ne sait pas si la nouvelle est bien bonne ou non pour le moment. C’est sûr que la Yamaha était la moto quasi parfaite, eux qui sont toujours au plus haut niveau depuis des années notamment grâce à Valentino Rossi et Jorge Lorenzo. Maintenant, il faudra que Tech3 fasse son année sans penser au futur.

Objet de toute les attentions, et notamment en France, Johann Zarco est énormément attendu pour sa deuxième année MotoGP. Rookie of the Year en 2017 avec plusieurs performances de très haut niveau, Zarco se sait attendu. On parle déjà de lui pour l’année 2019, que différentes équipes, notamment officielles souhaiteraient l’embaucher. Avec trois podiums, dont deux lors des deux dernières courses, Zarco a surpris plus d’une personne. Tout d’abord en réalisant le hole shot et en menant les cinq premiers tours de son premier GP, puis en étant à plusieurs reprises en bagarre pour les podiums avec les principaux protagonistes de la catégorie. Maintenant il faudra confirmer. On dit souvent que le plus difficile est la deuxième saison, celle de la confirmation, et Zarco n’aura pas le droit à l’erreur s’il ne veut pas recevoir des critiques rapides. Mais il faut bien se souvenir qu’il a toujours une moto privée, qui a un an d’ancienneté, voir encore plus vu les problèmes rencontrés par Yamaha en 2016.

Les essais de Zarco cet hiver ont été très bons, il a encore prouvé qu’il faudra compter sur lui et qu’il est aujourd’hui un des 5 meilleurs pilotes de la catégorie.

Son début de saison sera déterminant pour son futur puisque aujourd’hui les contrats pour les saisons suivantes se signent très rapidement. Il a compris que ça n’allait pas être possible chez Yamaha dans le team officiel, Ducati n’est pour le moment pas intéressé. Il reste les options Honda Repsol si Pedrosa ne reste pas, Suzuki, KTM ou Aprilia. Maintenant, reste à voir quelle est la meilleure solution.

Ducati Pramac a réalisé une très bonne saison en 2017, notamment grâce à Danilo Petrucci qui est monté sur trois podiums et qui aurait pu s’imposer au Mugello ou à Saint Marin. L’italien a énormément progressé, lui qu’on ne connaissait que lorsqu’il pleuvait. Mais il a aussi été assez irrégulier notamment sur la deuxième partie de saison, étant à quelques reprises en dehors du top 10 pendant le week end entier. L’objectif de Petrucci qui sait déjà qu’il ne sera plus dans l’équipe pour 2019 et de viser une place usine. Lui se voit en remplaçant de Jorge Lorenzo ou d’Andrea Dovizioso, mais maintenant il devra faire mieux que trois podiums s’il veut cette place. On l’annonce aussi pilote d’usine chez Aprilia, ce qui n’est peut-être pas une si bonne nouvelle par rapport à sa GP 18…

Pour l’accompagner, ce sera Jack Miller qui vivra sa quatrième saison MotoGP. Après trois ans chez Honda, Miller, vainqueur du GP des Pays Bas 2016 tentera de donner un nouveau souffle à sa carrière suite à une année 2017 assez difficile. Après de bons essais et un bon début d’année, sa saison avait connu un sacré coup d’arrêt au Mans après une très grosse chute qui aurait pu être dramatique. L’australien a réalisé de très bons essais, se classant à quelques reprises dans le top 5. Miller pourrait bien être une bonne surprise lors de certains GP.

Chez Lucio Cecchinello, 2018 voit l’arrivée d’un deuxième pilote pour accompagner Cal Cruthclow. L’anglais a signé un contrat avec le HRC et sera cette année le troisième pilote de la marque, derrière les deux pilotes Repsol. Il va aussi aider Pedrosa et Marquez lors des essais de la marque japonaise. Crutchlow doit plus ou moins se racheter après une année 2017 assez difficile, lui qui visait bien plus haut après avoir remporté deux courses en 2016. Le pilote de Coventry a trop souvent été l’an passé dans la critique de ses adversaires et de sa moto, et doit un peu se calmer s’il ne veut pas voir sa sympathie s’échapper et aussi perdre de son crédit.

Son coéquipier sera le japonais Takaaki Nakagami. Pas besoin d’aller chercher loin pour savoir que c’est Honda qui a décidé de placer son compatriote qui depuis quelques années était un pilote de haut de tableau en Moto2. Nakagami a souvent déçu ces dernières années, non pas car il était mal classé, mais seulement car chaque année en tests de pré saison, il était le plus rapide pour ensuite plus ou moins disparaitre et se classer seulement vers la 10ème place lors des courses. Encore une fois, ses essais cet hiver ont été très bons, en étant classé comme meilleur rookie. Si on ne connaissait pas le Nakagami des années précédentes, on l’attendrait avec impatience pour jouer le top 10 dès le Qatar. Malheureusement, trop souvent déçu de sa part, on espèrera le voir marquer régulièrement des points en début de saison.

Dans l’équipe de Davide Brivio, les essais de cet hiver ont été très concluants pour les deux pilotes que ce soit Alex Rins ou Andrea Iannone. Rins pour sa deuxième année en MotoGP tentera de continuer à progresser comme il l’a si bien fait sur la deuxième partie de saison avec notamment une quatrième place pour la dernière course à Valencia. N’oublions pas que sa première partie d’année 2017 avait été pourrie par une blessure. Les essais de cet hiver sont très bons et Rins s’est retrouvé à quelques reprises dans le top 5. Maintenant reste à savoir s’il sera capable de faire une course entière dans le top5 avec des chronos réguliers.

Pour Andrea Iannone, on ne sait pas trop quoi penser. Tout d’abord, le pilote capable de se battre aux avants postes à n’importe quel moment, celui qui claque un gros chrono, ou l’homme qui s’affiche sur les réseaux sociaux avec sa compagne, à faire le mannequin torse nu ou l’homme pas bien malin qui le soir d’une séance d’essais peut grimper sur le toit d’une voiture et sauter sans raison. Ou aussi celui qui décide de casser la vitre de sa voiture car il a oublié les clés à l’intérieur pour ensuite se couper la main avec le verre. Surement pas le pilote le plus intelligent du plateau, Iannone s’est presque grillé l’an passé avec son dilettantisme. Un pilote professionnel se doit de tout donner et de ne pas seulement se laisser vivre.  Si sa saison ressemble à celle de l’an passé, on peut douter de la suite de sa carrière. Mais on l’a vu lors des derniers essais au Qatar, il a réussi sur un tour à aller chercher le top 3. L’an passé au Qatar, il avait déjà réussi de très bonnes qualifs alors qu’on ne l’avait pas vu du week-end.

Pour l’équipe Marc VDS, gros changement en 2018 avec deux nouveaux pilotes qui arrivent de Moto2. On repart quasiment de zéro pour l’équipe de Michael Bartholemy avec les arrivées de Fanco Morbidelli et de Tom Luthi. Pour le moment, les essais de pré saison sont assez difficiles pour les deux pilotes et notamment pour Luthi qui a manqué les essais de fin d’année en Novembre suite à une blessure qui avait mis un terme à son année 2017 lors de l’avant dernière course Moto2 à Sepang.

L’objectif pour les deux pilotes sera de progresser et de marquer régulièrement des points, ce qu’avait du mal à réaliser l’an passé Tito Rabat et Jack Miller.
Tom Luthi après de longues années dans l’antichambre des GP arrive enfin à grimper dans la catégorie reine. Très régulier dans le top 5 Moto2 depuis cinq ans, Luthi méritait d’avoir sa chance en MotoGP, même si on peut se demander si le choix de Marc VDS n’est pas par défaut en attendant que des pilotes plus jeunes s’aguerrissent en Moto2 avant de prendre la place en MotoGP (notamment Alex Marquez).

Pour Franco Morbidelli, il est tout à fait logique de le voir arriver en MotoGP. En constante progression depuis trois saisons en Moto2, l’italo brésilien a remporté logiquement le titre l’an passé. Favori en début de saison, il n’a pas failli à sa mission et a remporté de nombreuses victoires, lui qui n’avait jamais gouté à la plus haute marche du podium jusqu’à présent. Morbidelli est attendu comme meilleur rookie de la saison, mais pour le moment, il semble un peu plus en retrait par rapport à Nakagami. Mais lorsque la course va arriver, on peut faire confiance au champion du Monde Moto2 pour remettre les pendules à l’heure.

Les autrichiens de KTM sont attendus pour leur deuxième année. Après une année 2017 mi-figue mi-raisin, mais avec des progressions tout au long de l’année, les oranges ont l’obligation de progresser cette année. Bradley Smith a été reconduit malgré son année 2017 très difficile et il devra dès le début de saison montrer qu’il mérite sa place car il faut bien avouer qu’il ne part pas avec les faveurs des pronostics pour conserver son guidon pour 2019.

On parle énormément de KTM depuis quelques semaines et notamment pour l’arrivée l’an prochain de Tech3. Maintenant, il ne faudrait pas que la marque autrichienne stagne aux alentours de la 15ème place comme ils ont pu le faire en début de saison dernière. Mais avec de nombreuses évolutions tout au long de l’année 2017, KTM avait réussi sur la fin d’année à terminer quelques fois dans le top 10 ce qui était encourageant. Cette année, le niveau semble encore plus resserré, mais KTM devra jouer le top 10 voir mieux sur la fin de saison.

Chez Aprilia, les deux pilotes de la saison seront Aleix Espargaro qui sera là pour la deuxième saison et Scott Redding qui quitte Pramac pour l’équipe officielle. L’anglais a obtenu le statut usine qu’il recherchait, mais pour le moment ses résultats sont aussi quelconques que sur la Ducati. Même s’il arrive chaque année à faire un ou deux coup d’éclat lors des courses sous la pluie, il devra se méfier s’il ne veut pas se retrouver à pied l’an prochain. Lui qui annonce souvent qu’il va briller n’a toujours pas été régulier en quatre saisons MotoGP. Faire le rebelle gangster sur Twitter et Instagram c’est bien, mais quand on est pilote, il faut aussi faire des résultats.

Pour Aleix Espargaro, l’objectif sera d’améliorer la RS GP par rapport à l’an passé. Il y a eu quelques bons résultats lors de certaines courses, mais aussi trop d’irrégularités. Si Albesiano et son équipe souhaitent progresser, ils devront compter sur le pilote espagnol qui a eu l’habitude ces dernières saisons avec Suzuki ou lors de sa période CRT à développer des motos.
Surtout Aprilia doit repartir de l’avant après l’année 2017 difficile, notamment avec Sam Lowes. Mais pour le moment, il faut bien reconnaitre que sur les six constructeurs engagés, Aprilia est à la traine.

Pour l’équipe Aspar, on garde les deux mêmes pilotes avec Karel Abraham et Alvaro Bautista. Les seuls changements notables dans l’équipe est le nom. Il faudra désormais parler du Angel Nieto Team et non plus Aspar Team. Un hommage pour le regretté 12+1 champion du Monde. Sinon, pas grand-chose à attendre de la part des pilotes par rapport à l’an passé. Ah si, Karel Abraham s’est lancé sur les réseaux sociaux avec une chaine Youtube, mais on lui a déjà fait comprendre du côté de la DORNA qu’il ne fallait pas tourner d’images dans l’enceinte d’un circuit, et Alvaro Bautista s’est marié.

Dans l’équipe Avintia, on change complètement de line up avec les départs de Loris Baz en WSBK et d’Hector Barbera en Moto2 pour les remplacer par Xavier Siméon et Tito Rabat. Il faut bien reconnaitre que si les deux pilotes sont là, c’est en grande partie grâce à leur sponsor. Rabat après deux années très difficiles chez Marc VDS semble plus ou moins revivre avec la Ducati GP16. Il a réalisé de bons essais, en tout cas mieux que ce qu’on voyait depuis deux ans de sa part. Pour Xavier Siméon, la saison risque d’être longue, très longue. Il était loin en Moto2, il ne faudra pas rêver, il sera loin en MotoGP. Mais contrairement à quasiment la majorité du plateau, il a déjà signé son contrat pour l’année 2019…

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