Round10 Le Mans/France [9-11 Octobre 2020]

[JML]

Analyses intéressantes mais qui ne résolvent pas totalement le problème (peut être insoluble) . Fabio pour revenir sur lui , incroyablement performant sur le sec , a probablement roulé sur des pistes mouillées avant de parvenir en Moto GP .

Même si , comme en auto, la hiérarchie est souvent bouleversée sur piste humide , de telles différences de performances sont-elles explicables seulement par le feeling des pilotes ou les qualités spécifiques des motos (on observera que les autres pilotes Yamaha n'étaient soit guère brillants, soit par terre ) jouent-elles un rôle important dans ces résultats ?

[criducati]

Envoyé par JML

Analyses intéressantes mais qui ne résolvent pas totalement le problème (peut être insoluble) . Fabio pour revenir sur lui , incroyablement performant sur le sec , a probablement roulé sur des pistes mouillées avant de parvenir en Moto GP .

Même si , comme en auto, la hiérarchie est souvent bouleversée sur piste humide , de telles différences de performances sont-elles explicables seulement par le feeling des pilotes ou les qualités spécifiques des motos (on observera que les autres pilotes Yamaha n'étaient soit guère brillants, soit par terre ) jouent-elles un rôle important dans ces résultats ?

Pour Fabio, oui surement vu qu'il a commencé en 2015 en grands prix. Mais la Moto Gp c'est différent de la Moto2 et encore plus de la Moto3.
Pour la grosse différence de perfs sur le mouillé, je pense que ça vient surtout du feeling des pilotes.
Le mouillé nivelle les perfs des motos même si ils peuvent choisir 2 types de gomme pour les pneus pluie.

[danlos]

Envoyé par JML

Analyses intéressantes mais qui ne résolvent pas totalement le problème (peut être insoluble) . Fabio pour revenir sur lui , incroyablement performant sur le sec , a probablement roulé sur des pistes mouillées avant de parvenir en Moto GP .

Même si , comme en auto, la hiérarchie est souvent bouleversée sur piste humide , de telles différences de performances sont-elles explicables seulement par le feeling des pilotes ou les qualités spécifiques des motos (on observera que les autres pilotes Yamaha n'étaient soit guère brillants, soit par terre ) jouent-elles un rôle important dans ces résultats ?

C'est surtout le pilote plus que la machine qui fait quelque chose. La preuve, on a vu un Smith qui est souvent dans les dernières positions arriver à être dans le top 10 au départ.
Le pilote peut bien entendu progresser, mais c'est comme tout, il faut de l'entrainement. Depuis l'an dernier, nous n'avons que peu d'essais ou courses sur le mouillé. Il faut aussi se remettre dans le bain.
Et j'ai envie de dire que même un pilote qui est à l'aise en temps normal quand il pleut, peut avoir du mal sur une course s'il n'a pas de feeling.

Et concernant Quartararo, comme il l'a dit, il pensait aussi au championnat.
Je n'ai pas mémoire de courses sous la pluie de sa part en Moto2 ou Moto3, mais en tout cas, cela ne m'avait pas marqué