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Norton
16/04/2008, 06h55
Snowscoot


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/snow_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/snow_zoom.jpg) Image © F. PetoucRecord du monde battu à Verbier.

- le 15 avril 2008
Le Matin Bleu





Dimanche, Yann Grandjean s'est attaqué à son propre record du monde de vitesse en snowscoot sur la célèbre piste du kilomètre lancé au glacier du Montfort. A son 2e essai, il a atteint la vitesse record de 141,268 km/h.

Norton
17/04/2008, 20h29
Tennis: Roger Federer franchit le 2e tour à Estoril
jeu. avr. 17, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-04-17T144542Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-ATP-ESTORIL-20080417.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-04-17T144542Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-ATP-ESTORIL-20080417.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif



LISBONNE (Reuters) - Roger Federer n'a pas été perturbé par la pluie jeudi pour se qualifier pour les quarts de finale du tournoi d'Estoril aux dépens du Roumain Victor Hanescu, battu 6-3 6-2.
Autres résultats du deuxième tour jeudi (le numéro de tête de série précède le nom)
Denis Gremelmayr (All) bat Teimuraz Gabashvili (Rus) 7-6(6) 6-1
Jiri Vanek (Tch) bat 8-Michael Berrer (All) 6-3 3-6 7-5
Version française Bertrand Boucey

:)Version Française ....:content:

Norton
18/04/2008, 07h52
Vidéo a posteriori pour l'Euro 2008

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/9/13/large_368008.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/7/11/art_large_368006.jpg Les actes violents qui auraient échappé au directeur de jeu ou à ses assistants pourront être réprimés après visionnage par la commission de discipline de l'UEFA.

Les consignes données aux arbitres de l'Euro 2008 (7-29 juin) ont classiquement appelé à la fermeté contre la violence, la contestation et la simulation, mais ont aussi insisté sur l'utilisation de la vidéo a posteriori pour sanctionner les mauvais gestes.

L'utilisation de la vidéo a posteriori n'est pas une nouveauté, mais l'International Board, gardien des lois du jeu, ayant récemment rappelé son opposition totale à l'assistance technique à l'arbitrage en cours de match, l'UEFA espère dissuader les tricheurs avec ce rappel insistant.

Elle avait réuni ses 12 sifflets de l'Euro, leurs assistants, leurs remplaçants et les quatrièmes arbitres, de lundi à jeudi à Regensdorf, dans la banlieue de Zurich, pour un stage préparatoire, Selon les instructions techniques, "les simulations visant à tromper l'arbitre seront sanctionnées par un carton jaune pour comportement antisportif". Celles "qui n'ont pas été constatées par l'arbitre durant le match peuvent être sanctionnées ultérieurement".

Les actes violents qui auraient échappé au directeur de jeu ou à ses assistants pourront également être réprimés après visionnage par la commission de discipline de l'UEFA.

"La 17e équipe"
Elle "pourra utiliser tous les éléments supplémentaires qu'elle jugera utiles pour prendre la décision qu'elle estime nécessaire", a insisté l'Espagnol Angel Maria Villar, président de la commission des arbitres, qui les présente comme "la 17e équipe de l'Euro".

L'ancien arbitre écossais Hugh Dallas, membre de la commission, a présenté quelques extraits de matches explicitant les consignes. Il a précisé que les hommes en noir iraient présenter ces vidéos aux 16 sélections avant le début de l'Euro, pour les sensibiliser. Il a montré des exemples de simulations ou de tacles épouvantables (semelle sur le tibia), mais également des contestations trop agressives ou une empoignade générale sans violence mais impliquant presque tous les joueurs.

"Nous ne voulons pas voir la crédibilité des arbitres attaquée, a martelé Hugh Dallas. Dans un tournoi comme l'Euro, les cartons jaunes s'accumulent et les joueurs peuvent vite être suspendus un match. Nous pouvons assurer qu'au moins un joueur impliqué (en cas de contestation générale) aura un carton jaune".

Conciliante, l'UEFA admet que "les arbitres peuvent accepter une réaction de frustration momentanée des joueurs, mais ils sanctionneront fermement ceux qui manifestent leur désapprobation vis-à-vis des arbitres par des actes ou des paroles". L'utilisation non autorisée des bras et des coudes et les accrochages dans la surface de réparation avant un corner ou un coup franc sont également dans le collimateur.

L'UEFA a choisi de payer 10.000 euros par match un arbitre central pour l'Euro 2008 (5000 euros pour l'assistant, 4000 euros pour le 4e arbitre et 3000 euros pour le remplaçant). Des sommes - les mêmes jusqu'à la finale - qui tiennent compte de la pression, de leur préparation, de leur responsabilité et de leur qualité", a expliqué le Suisse Yvan Cornu, responsable des arbitres à l'UEFA.

Norton
18/04/2008, 07h55
Une montre de 45 minutes pour les arbitres

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/6/12/large_368022.jpg Frank De Bleeckere, comme tous les arbitres désignés pour l'Euro 2008 (7-29 juin), en stage à Zurich, ont reçu chacun une montre réalisée spécialement pour la compétition: avec un cadran de 45 minutes, soit le temps d'une mi-temps.

Un mouvement d'horloge spécialement mis au point permet à l'aiguille de faire le tour du cadran en trois-quarts d'heure. Une grande aiguille terminée par une flèche rouge remplit cette fonction de chronomètre de football.

En plus petit, au coeur du cadran, une montre plus classique et deux aiguilles à vitesse normale permettent de lire l'heure.

:content:sup:D:Der plus que 6h de boulot..............

Slimdean
18/04/2008, 08h09
Auto - F1 - Essais de Catalogne - La pluie gâche la dernière journée
BARCELONE 17/04 (AFP) =

Un pluie persistante a gâché jeudi la quatrième et dernière journée des essais réalisés cette semaine par les écuries de Formule 1 sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone, empêchant les monoplaces de tourner normalement.
Les temps enregistrés par Kimi Räikkönen (Ferrari), Heikki Kovalainen (McLaren), Robert Kubica (BMW Sauber) ou encore Nelson Piquet Jr sur la Renault R28 modifiée, étaient supérieurs de 3 secondes ou plus à ceux enregistrés les trois premiers jours.
Seul Mark Webber (Red Bull) a réussi un temps correct, mais modeste, de 1 min 21 sec 953 le matin, avant que les averses ne s'abattent sur la piste.
Ces essais ont permis aux écuries, et notamment à Renault qui semble avoir fait des progrès, de tester de nouvelles configurations en vue du prochain et 4e Grand Prix de la saison à Montmelo le 27 avril, ainsi que les pneus "slicks" (lisses) prévus pour 2009.
Fernando Alonso, le pilote espagnol de Renault, s'est montré satisfait des modifications aérodynamiques et mécaniques apportées à la R28, qui lui ont permis de réaliser le meilleur temps des essais (et le 2e de la semaine derrière Ferrari) mercredi.
Il est toutefois resté prudent sur les perspectives pour la suite de la saison, estimant que Renault demeurait pour l'instant derrière les trois écuries de pointe (Ferrari, McLaren, BMW).
Après le mauvais départ de Renault cette année, Alonso a récemment menacé de quitter l'écurie française à la fin de la saison s'il n'obtenait pas une monoplace plus compétitive.


Les temps enregistrés jeudi:
1. Mark Webber (Aus/Red Bull) 1:21.953 (37 tours)
2. Heikki Kovalainen (Fin/McLaren) 1:23.589 (34)
3. Kimi Raikkonen (Fin/Ferrari) 1:23.619 (34)
4. Robert Kubica (Pol/BMW Sauber) 1:24.715 (32)
5. Jason Button (G-B/Honda) 1:24.873 (32)
6. Kazuki Nakajima (Jap/Williams) 1:24.927 (62)
7. Nelson Piquet Jr (Bré/Renault 1:26.100 (61)
8. Jarno Trulli (Ita/Toyota) 1:32.150 (18).

Norton
18/04/2008, 11h59
L’Inde tiraillée entre Chine et Tibet
http://c.liberation.fr/actualite/monde/_files/file_321899_64906.jpg Manifestation hier à New Dehli, à l'occasion du passage de la flamme olympique. (Reuters)

Refuge du dalaï-lama, New Delhi est contraint de ménager son grand voisin.
De notre correspondant à New Delhi PIERRE PRAKASH
QUOTIDIEN : vendredi 18 avril 2008

La flamme olympique était si étroitement encadrée, hier, pour son passage à New Delhi, que les Indiens ne l’ont vue qu’à la télé. Sous la pression de Pékin, le parcours avait été réduit de 9 kilomètres au départ à moins de 3, avec un policier posté tous les 20 mètres, et l’événement était interdit au public. Motif : la crainte d’attaques de la communauté tibétaine en exil, qui compte plus de 100 000 membres en Inde. Plusieurs centaines d’entre eux ont été arrêtés préventivement ces derniers jours. La paranoïa était telle que les officiels chinois avaient carrément demandé à leurs homologues indiens s’il était possible que les Tibétains visent la flamme depuis les airs, en mongolfière !


Mais si l’ingérence de leur voisin a agacé les autorités indiennes, celles-ci ont néanmoins obtempéré, déployant un dispositif sécuritaire d’ordinaire réservé aux chefs d’Etat. Tout en laissant, en revanche, les Tibétains manifester, mais ailleurs.
«Dehors». Quelque 2 000 personnes ont ainsi organisé un relais parallèle, avec une «flamme de la liberté», défilant dans le centre-ville aux cris de «Tibet libre !», «La Chine, dehors» ou encore «Hu Jintao, assassin !». Une attitude qui illustre parfaitement le grand écart indien en ce qui concerne la Chine : d’un côté, New Delhi souhaite développer le partenariat économique, et sait bien qu’il ne peut pas faire sans Pékin pour accéder au statut de grande puissance auquel il aspire tant ; mais de l’autre, il s’en méfie comme de la peste, et continue de narguer la Chine en accueillant sur son territoire le gouvernement tibétain en exil. Et le dalaï-lama, arrivé en 1959.
Historiquement, les deux géants d’Asie ont toujours entretenu des relations exécrables, incarnées par une série de litiges frontaliers qui ont débouché sur la guerre de 1962. Mais depuis quelques années, l’un et l’autre semblent vouloir aller de l’avant, bien conscients du potentiel économique que représenteraient des relations de bons voisinages. La Chine a ainsi reconnu la souveraineté indienne sur le Sikkim, un petit royaume himalayen que New Delhi avait annexé en 1975, l’Inde a officiellement reconnu en échange le Tibet comme partie intégrante de la Chine.
Le président Hu Jintao est venu en visite officielle l’an dernier, les deux pays ont participé en décembre à leur premier exercice militaire conjoint, et le Premier ministre indien, Manmohan Singh, s’est rendu à Pékin en janvier. Surtout, le commerce bilatéral a bondi de 56 % l’an dernier, pour atteindre 38,6 milliards de dollars .
Rivalité. De l’accès aux ressources énergétiques mondiales à leur volonté respective d’établir une zone d’influence en Asie du sud-est, les deux pays sont cependant en rivalité permanente. Résultat : «Le malaise est toujours bien présent, des deux côtés»,explique Udhay Bhaskar, ancien directeur d’un think tank gouvernemental sur les questions stratégiques. D’autant que l’Inde n’apprécie pas que la balance commerciale penche largement en faveur de son rival et, plus grave, accuse l’armée chinoise d’avoir procédé à plusieurs «incursions» sur son territoire l’an dernier. Pour ne rien arranger, Pékin a récemment refusé un visa à un officiel indien au motif qu’il était originaire d’une région qui est, à ses yeux, chinoise…
«A l’exception de notre relation économique, pas grand-chose n’a changé», affirme ainsi, sous couvert d’anonymat, un responsable du Congrès, le parti qui dirige la coalition au pouvoir depuis quatre ans. «Les Chinois ne nous prennent pas encore au sérieux, et restent les meilleurs alliés du Pakistan, à qui ils ont donné la bombe atomique.»
De son côté, Pékin voit d’un mauvais œil le rapprochement stratégique en cours entre New Delhi et Washington, notamment sur la question de la coopération dans le nucléaire civil. La Chine est ainsi la seule grande puissance nucléaire à ne pas avoir donné son feu vert pour que l’Inde puisse profiter d’une exception à la législation internationale et bénéficier de transferts de technologie dans ce domaine. Elle est aussi le seul membre permanent du Conseil de sécurité a n’avoir jamais officiellement soutenu la candidature indienne pour l’élargissement du Conseil. L’amitié sino-indienne est donc encore loin d’être sincère.

:langueŽ:Commence mal ces jeux.............................

Norton
18/04/2008, 19h45
Les marcheurs critiquent le parcours trop dur du Stade National de Pékin

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/3/10/large_368920.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/6/13/art_large_368923.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/5/12/art_large_368922.jpg
Les premiers athlètes à avoir foulé la piste du National Stadium, le coeur des jeux Olympiques de Pékin cet été (8-24 août), des marcheurs, ont majoritairement trouvé le parcours à l'extérieur du stade trop dur voire dangereux pour les organismes, vendredi.

Egalement connue sous le surnom de "Nid d'oiseau", l'enceinte qui a coûté 3,5 milliards de yuan (314 millions d'euros) sera le centre névralgique des Jeux de Pékin, puisqu'elle accueillera les cérémonies d'ouverture et de clôture, ainsi que les épreuves d'athlétisme. Mais la controverse a éclaté vendredi après un 20 km marche disputé par 50 athlètes, première compétition organisée ici et remportée pour l'anecdote par l'Australien Jared Tallent.

Tous les premiers concurrents à finir se sont plaints du parcours en béton, à l'extérieur du stade, y compris Tallent, 23 ans, alors qu'il venait de gagner pour la première fois dans un événement international. "C'est vraiment dur pour les jambes étant donné que c'est du béton," a-t-il dit, "ça cause des impacts beaucoup plus importants, spécialement pour le 50 km". "On n'est pas habitués à ça, parce que 90% du temps, on court sur de l'asphalte", a ajouté le vainqueur du jour, tout de même content "de gagner une première course dans un nouveau stade olympique".

"Quel frisson de courir dans le stade qui va accueillir les Jeux en août," a déclaré Wang, un des meilleurs marcheurs chinois, qui s'est toutefois également plaint du parcours: "nous n'avons jamais couru sur une surface aussi dure". "Je pense que ce parcours est très dur", a déclaré pour sa part Hatem Ghoula, 7e vendredi et médaillé de bronze des derniers mondiaux. Je pense que pour le 50 km, ce sera dangereux".

Les organisateurs ont souligné que cette compétition de marche organisée par l'IAAF n'est qu'un des douzaines de tests organisés pour anticiper d'éventuels problèmes avant les Jeux. "Nous allons répercuter toutes ces questions au responsable de la compétition en charge de ce stade. C'est à ça que sert un événement test", a déclaré Chen Shuxu, porte-parole pour le stade, qui ne sera en configuration olympique que le mois prochain, pour l'Open de Chine d'athlétisme (22-25 mai).

:boutons:Ben comme en GP ........ Changez de gommes:D

Norton
18/04/2008, 19h49
Tennis: Federer en demi-finales sur la terre battue d'Estoril
ven. avr. 18, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-04-18T160338Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-ATP-ESTORIL-20080418.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-04-18T160338Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-ATP-ESTORIL-20080418.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif

LISBONNE (Reuters) - Le numéro un mondial Roger Federer s'est assuré une place en demi-finale du tournoi d'Estoril avec une victoire 6-4 6-1 contre le Portugais Frederico Gil malgré deux interruptions dues à la pluie.
Le Suisse rencontrera dans le dernier carré le vainqueur du match entre l'Allemand Denis Gremelmayr et le Tchèque Jiri Vanek.
Le Français Marc Gicquel, tête de série numéro sept, va également tenter de se qualifier pour les demi-finales en affrontant vendredi le Russe Nikolay Davydenko, quatrième mondial.
Résultats des matches disputés vendredi (le numéro de tête de série précède le nom):
Quarts de finale
1-Roger Federer (Sui) bat Frederico Gil (Por) 6-4 6-1
Deuxième tour
Frederico Gil (Por) bat Joao Sousa (Por) 7-6(5) 6-2
Henrique Almeida, version française Bertrand Boucey:amoureux::content:

Norton
19/04/2008, 13h13
:diable:
Si l’équipe joue mal, vos tickets seront moins chers


http://static.m24.be/i/00/24/58.468.jpeg En cas de défaite, les supporters seront en partie remboursés.
ACTU - L’année prochaine, le Racing de Genk lancera un nouveau système : si l’équipe ne fait pas de bons résultats, les tickets d’entrée seront meilleur marché.



Vidéo: les supporters de Genk

(m24/corelio) – Dire que le Racing de Genk fait une mauvaise saison, c’est comme enfoncer une porte ouverte. Le Prédisent Jos Vaessen est déterminé à inverser cette tendance : « dans le but de faire mieux l’année prochaine, nous devons reconnaître que les choses n’ont pas été bonnes et donner des signaux de confiances afin de reconquérir la confiance des supporters. C’est pourquoi nous devons innover ».

Et ils innovent à Genk. À partir de la saison prochaine, le prix d’un ticket d’entrée sera déterminé sur base des performances de l’équipe. En bref : plus Genk joue mal, moins cher vous payerez pour une place dans la tribune du stade.

Initiative unique

Selon Jos Vaessen, ce nouveau système est unique en son genre pour un club de football et même pour l’ensemble du monde sportif, car adopter ce système comporte de risques majeurs. « Si nous perdons, nous dirons : vos tickets vous coûteront moins chers de quelques euros ».

Pour le match à domicile du 26 avril contre le FC Brussels, les supporters recevront un dossier dans lequel ils trouveront toutes les informations concernant le concept « no gain, no pay » (« pas de victoires, pas d’argent »).

;)Double tranchant...... Pas d'argent je joue pas......... L'idée est pas mauvaise mais là j'ai des doutes, en plus si les contrats sont béton..........:D

Norton
19/04/2008, 18h40
:content::content::content:
Roger Federer en finale à Estoril

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/10/13/large_369658.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/11/14/art_large_369659.jpg
Le N.1 mondial suisse Roger Federer s'est qualifié pour la finale du tournoi ATP d'Estoril en battant l'Allemand Denis Gremelmayr en trois sets 2-6, 7-5, 6-1, samedi en demi-finales.

Federer affrontera en finale le vainqueur de la deuxième demi-finale qui oppose le Russe Nikolay Davydenko, tête de série N.2, au Français Florent Serra.

Norton
19/04/2008, 18h45
Manifestations anti-françaises en Chine

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/7/2/large_369587.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/8/3/art_large_369588.jpg
Des manifestations anti-françaises ont éclaté samedi dans quatre villes de Chine, visant l'enseigne Carrefour, pour protester contre l'attitude de la France sur le Tibet et les jeux Olympiques.

Les mouvements ont eu lieu à Pékin, Hefei (est), Wuhan (centre) et Qingdao (est), a indiqué Chine Nouvelle, sans préciser le nombre des manifestants. Ces derniers se sont rassemblés devant des magasins Carrefour, appelant au boycott du distributeur très présent en Chine et entonnant des slogans hostiles à "l'indépendance du Tibet", a ajouté l'agence officielle.

Le plus gros rassemblement a eu lieu à Wuhan, ville industrielle du centre, de huit millions d'habitants, selon la police et des témoins. Des centaines de Chinois, voire des milliers, ont défilé devant des magasins Carrefour. Les manifestants se sont d'abord retrouvés devant un premier magasin avant de se diriger vers d'autres quartiers, a-t-on ajouté de même source.

"Il y avait plusieurs centaines de manifestants, calmes, en majorité des jeunes, ils ne sont pas restés longtemps, ils brandissaient des drapeaux chinois", a raconté à l'AFP au téléphone un autre témoin. Selon la police, ils étaient 300 au début, puis le cortège s'est vite étoffé. Une source informée, citant la police, a indiqué que le cortège vers midi (04h00 GMT) avait rassemblé jusqu'à 10.000 personnes, nombre que l'AFP n'a pu confirmer de manière indépendante. Selon cette source, les manifestants étaient "très bien organisés".

Des photos publiées sur des forums internet - où circulent activement depuis plusieurs jours des appels à boycotter les produits français - confirmaient la présence d'une large foule défilant à Wuhan. Des manifestants portaient un drapeau français maculé de croix gammées et traitant Jeanne d'Arc de "prostituée". La police et le gouvernement de Wuhan n'ont pas souhaité faire de commentaires.

A Hefei, la manifestation semble avoir rassemblé plusieurs centaines de personnes, selon les photos circulant sur l'internet. A Qingdao, un rassemblement a regroupé "50 à 100 personnes", a indiqué un témoin à l'AFP. La capitale chinoise a également été touchée. "Il y a eu des manifestations devant quatre des neuf magasins de Pékin (...) 50 à 100 personnes à chaque fois, avec des banderoles", a déclaré un responsable du groupe en Chine, sous couvert de l'anonymat. Dans la capitale, deux petites manifestations se sont aussi produites samedi, aux abords de l'ambassade de France et du Lycée français, ont constaté des témoins.

Une dizaine de voitures décorées de drapeaux chinois ont circulé autour de l'ambassade avant que le quartier ne soit bouclé par une centaine de policiers anti-émeute. Un peu plus tard, un petit groupe de Chinois s'est rassemblé dans le calme devant le Lycée français de Pékin, brandissant des pancartes.

Le fiasco du passage de la flamme olympique à Paris et les menaces de bouder la cérémonie d'ouverture des JO ont provoqué un sérieux coup de froid entre la France et la Chine. La presse française est aussi la cible des médias chinois, dénonçant sa couverture "biaisée" des événements du Tibet, interdit aux journalistes étrangers.

C'est d'un triste......alors que cela devrait être une fête...........:p
Salut les PEKINS.. Moi je boycotte

Norton
20/04/2008, 06h24
Le Bayern remporte la Coupe d'Allemagne

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/8/8/art_large_369758.jpg
Le Bayern Munich, leader du Championnat d'Allemagne de football, a remporté la Coupe d'Allemagne 2008 en battant en finale Dortmund (2-1), samedi à Berlin.

Les Bavarois, bien placés pour être prochainement sacrés champions d'Allemagne de la saison 2007/2008, ont ainsi remporté la 14e Coupe d'Allemagne de l'histoire du club, grâce à un doublé de l'attaquant italien Luca Toni (11e et 103e minute).

Norton
20/04/2008, 06h30
ESTORIL
Une finale pour Federer!

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/fed__article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/fed__zoom.jpg)
Image © Keystone
Un, c'est le nombre de set qu'a laissé échapper Roger Federer hier en demi-finaleRoger Federer a galvaudé le premier set avant de redresser la barre. Le Bâlois disputera aujourd'hui (16h30) sa première finale de l'année, contre le Russe Davydenko

- le 19 avril 2008,
Le Matin Dimanche



Roger Federer disputera à Estoril sa première finale de l'année. Difficile vainqueur (2-6 7-5 6-1) de l'Allemand Denis Gremelmayr (ATP 104), le numéro un mondial se mesurera au Russe Nikolay Davydenko (ATP 4).
«Je suis très satisfait de pouvoir jouer à nouveau une finale, lâchait le Bâlois à l'issue de sa demi-finale. Je me sens à l'aise cette semaine, notamment en ce qui concerne les glissades. J'ai souvent tremblé par le passé pour me hisser en finale. Parfois, tu te relâches complètement au moment d'aborder un tel match. J'espère que cela sera le cas et que je puisse conquérir le titre.»
Federer subira son premier véritable test de la semaine face à Davydenko, titré dans le Masters Series de Miami il y a deux semaines et facile vainqueur (6-2 6-2 en 1h11') du Français Florent Serra (ATP 101) dans la seconde demi-finale. Jusqu'ici, le joueur le mieux classé ayant défié le Bâlois à Estoril est Victor Hanescu, 68e du classement technique de l'ATP.
Statistiquement plus fort
Les statistiques plaident largement en faveur de Federer, victorieux des onze matches qu'il a livrés face à Davydenko. Le Bâlois a notamment dominé le Russe en trois sets (7-5 7-6 7-6) lors de leur plus récent duel joué sur terre battue, en demi-finale des Internationaux de France 2007.
«Je n'ai certes pas affronté de joueur figurant dans le top 50 du classement mondial cette semaine. Mais ce n'est pas ma faute, poursuivait Federer. J'ai emmagasiné suffisamment d'informations durant la semaine pour espérer battre Nikolay. J'ai parfois été chanceux face à lui, comme l'an dernier à Paris. Il est un grand joueur, et je peux être fier de mon bilan face à lui.»
Federer a souffert plus que de raison pour prendre la mesure de Gremelmayr. Le Bâlois a mis plus d'une demi-heure pour trouver ses marques. «Je pense que Denis a livré un grand match. Le fait qu'il soit gaucher m'a gêné au début», expliquait Federer, qui a par ailleurs annoncé que son nouveau coach José Higueras l'accompagnerait également à Monte-Carlo la semaine prochaine.
Tableau miné à Monte-Carlo
Roger Federer devra probablement sortir le grand jeu s'il entend atteindre pour la troisième année d'affilée la finale du Masters Series de Monte-Carlo, qui débute dimanche. Novak Djokovic (ATP 3) et David Nalbandian (ATP 7) figurent en effet dans sa moitié de tableau.
Exempté de 1er tour, le numéro un mondial devrait en revanche connaître une entrée en matière tranquille face à Gilles Simon (ATP 33) ou à un joueur issu des qualifications. La première tête de série pouvant se dresser sur sa route est Ivo Karlovic (ATP 22) au 3e tour. Le Bâlois pourrait ensuite retrouver Nalbandian en quart, puis Djokovic en demi-finale. Stanislas Wawrinka (ATP 30), qui entamera sa saison de terre battue sur le Rocher, n'aura quant à lui pas droit à un round d'observation. Présent dans le même quart de tableau que Federer, le Vaudois se frottera au 1er tour à un pur spécialiste de la terre ocre, l'Espagnol Tommy Robredo (ATP 18).

EN SETS
Estoril (Por). Tournois ATP (370 000 euros/terre battue) et WTA (145 000 dollars). Demi-finales. Simple messieurs: Federer (S/1) bat Gremelmayr (All) 2-6 7-5 6-1. Davydenko (Rus/2) bat Serra (Fr) 6-2 6-2.

Norton
20/04/2008, 06h32
Patrouille des glaciers
Victoire d'une équipe suisse

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/patrouille4_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/04/patrouille4_zoom.jpg)
Image © Keystone
Florent Troillet, Didier Moret et Alexander HugFlorent Troillet, Didier Moret et Hug Alexander s'imposent dans la Patrouille des Glaciers en 6h24', devant l'équipe de France 1. En remportant la 13e édition, Florent Troillet devient le troisième homme à gagner, la même année, les trois plus grandes courses de peau de phoque

Gaëlle Cajeux - le 19 avril 2008,
Le Matin Dimanche



«Aujourd'hui, j'étais superbien, vraiment nickel», explique tout simplement Florent Troillet, sur la ligne d'arrivée. L'homme est modeste et le reste, même dans l'exploit. Hier matin, avec ses coéquipiers Didier Moret et Hug Alexander, le Bagnard a remporté la treizième édition de la Patrouille des Glaciers, décrochant du même coup le titre de champion du monde de ski alpinisme longue distance. Cela faisait huit ans qu'une patrouille totalement helvétique ne s'était plus imposée dans cette épreuve mythique.
Malgré des conditions météo difficiles, il n'a fallu que 6h24 aux trois patrouilleurs du Swiss Team pour relier Zermatt à Verbier. Sans faire tomber le record, ils ont réalisé la course parfaite et laissé loin derrière les Français Florent Perrier, Patrick Blanc et Grégory Gachet - pourtant favoris sur le papier - et les Suisses Jean-Yves Rey, Pierre Marie Taramarcaz et Jean-Daniel Masserey. «C'est vrai qu'on pensait qu'il y aurait plus de bagarre, confie Florent Troillet. Mais comme on avait fait le maximum pour préparer cette course et qu'on a eu la chance de ne pas avoir de pépin, on a pu faire la différence.»
De la modestie, toujours. Et dans un magnifique sourire. «J'ai commencé la peau de phoque grâce à la Patrouille, c'était un rêve de la gagner!» Le public massé au centre de Verbier en rêvait lui aussi et n'a pas manqué de féliciter l'enfant de la région. Durant toute la journée, les «Bravo!», les bises et les poignées de main ont fusé, car, avec cette victoire, le garde-frontière de Lourtier est devenu le troisième alpiniste de l'histoire à s'imposer, en une saison, dans les trois courses majeures: La Pierra Menta, la Mezzalama et la PdG.
Enfant, lorsqu'il grimpait la petite pente derrière la maison familiale, il s'imaginait champion du monde et vainqueur de la PdG. A 27 ans, il a atteint ses buts. Alors, la saison prochaine, qu'est-ce qui fera encore courir Florent Troillet? «Je n'ai pas encore le titre de champion du monde en individuel...»
Les Suissesses pulvérisent le record
Rien, pas même le froid extrême, ne pouvait les arrêter. Gabrielle Magnenat, Séverine Pont et Nathalie Etzensperger sont parties de Zermatt la rage au ventre et sont arrivées à Verbier dans l'incroyable temps de 7h53. Abaissant le record établi il y a deux ans de plus de vingt minutes! Et reléguant la seconde patrouille féminine à près d'une demi-heure.
«Honnêtement, on ne se rend pas compte de ce que l'on vient de réussir», avouait la Vaudoise Gabrielle Magnenat une heure après avoir franchi la ligne d'arrivée. «On a été à fond tout le long, on n'a rien lâché. Mais pour moi, la course a été dure, j'ai serré les dents. Heureusement, les filles m'ont bien aidée. Finalement, descendre sous les huit heures, dans des conditions vraiment loin d'être optimales, c'est génial. On a fait quelque chose de grand!» A deux pas d'elle, Séverine Pont concluait: «Pendant deux semaines, j'ai rêvé de toutes les issues possibles. Là, c'est le bonheur!»
CLASSEMENTS
13e Patrouille des Glaciers (Verbier-Zermatt)
Messieurs
1. SAC-CAS Swiss Team gardes-frontière 1 (Troillet, Moret, Hug) en 6h24'32''.
2. Equipe de France 1 FFME (Perrier, Blanc, gachet) en 6h30'58''.
3. Team Sovalco (Rey, Taramarcaz, Masserey) en 6h36'54''.
Dames
1. SAC-CAS Swiss Team 1 (Etzensperger, Magnenat, Pont-Combe) en 7h53'25''.
2. Equipe de France dame (Roux, Bourillon, Favre) en 8h22'46''.
3. Team Dame Sion (Mabillard, Favre-Moretti, Crettenand-Moretti) en 8h32'17''.

Stoner27
20/04/2008, 08h06
Manifestations anti-françaises en Chine

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Des manifestations anti-françaises ont éclaté samedi dans quatre villes de Chine, visant l'enseigne Carrefour, pour protester contre l'attitude de la France sur le Tibet et les jeux Olympiques.

Les mouvements ont eu lieu à Pékin, Hefei (est), Wuhan (centre) et Qingdao (est), a indiqué Chine Nouvelle, sans préciser le nombre des manifestants. Ces derniers se sont rassemblés devant des magasins Carrefour, appelant au boycott du distributeur très présent en Chine et entonnant des slogans hostiles à "l'indépendance du Tibet", a ajouté l'agence officielle.

Le plus gros rassemblement a eu lieu à Wuhan, ville industrielle du centre, de huit millions d'habitants, selon la police et des témoins. Des centaines de Chinois, voire des milliers, ont défilé devant des magasins Carrefour. Les manifestants se sont d'abord retrouvés devant un premier magasin avant de se diriger vers d'autres quartiers, a-t-on ajouté de même source.

"Il y avait plusieurs centaines de manifestants, calmes, en majorité des jeunes, ils ne sont pas restés longtemps, ils brandissaient des drapeaux chinois", a raconté à l'AFP au téléphone un autre témoin. Selon la police, ils étaient 300 au début, puis le cortège s'est vite étoffé. Une source informée, citant la police, a indiqué que le cortège vers midi (04h00 GMT) avait rassemblé jusqu'à 10.000 personnes, nombre que l'AFP n'a pu confirmer de manière indépendante. Selon cette source, les manifestants étaient "très bien organisés".

Des photos publiées sur des forums internet - où circulent activement depuis plusieurs jours des appels à boycotter les produits français - confirmaient la présence d'une large foule défilant à Wuhan. Des manifestants portaient un drapeau français maculé de croix gammées et traitant Jeanne d'Arc de "prostituée". La police et le gouvernement de Wuhan n'ont pas souhaité faire de commentaires.

A Hefei, la manifestation semble avoir rassemblé plusieurs centaines de personnes, selon les photos circulant sur l'internet. A Qingdao, un rassemblement a regroupé "50 à 100 personnes", a indiqué un témoin à l'AFP. La capitale chinoise a également été touchée. "Il y a eu des manifestations devant quatre des neuf magasins de Pékin (...) 50 à 100 personnes à chaque fois, avec des banderoles", a déclaré un responsable du groupe en Chine, sous couvert de l'anonymat. Dans la capitale, deux petites manifestations se sont aussi produites samedi, aux abords de l'ambassade de France et du Lycée français, ont constaté des témoins.

Une dizaine de voitures décorées de drapeaux chinois ont circulé autour de l'ambassade avant que le quartier ne soit bouclé par une centaine de policiers anti-émeute. Un peu plus tard, un petit groupe de Chinois s'est rassemblé dans le calme devant le Lycée français de Pékin, brandissant des pancartes.

Le fiasco du passage de la flamme olympique à Paris et les menaces de bouder la cérémonie d'ouverture des JO ont provoqué un sérieux coup de froid entre la France et la Chine. La presse française est aussi la cible des médias chinois, dénonçant sa couverture "biaisée" des événements du Tibet, interdit aux journalistes étrangers.

C'est d'un triste......alors que cela devrait être une fête...........:p
Salut les PEKINS.. Moi je boycotte

faudra que je me trimbale avec un drapeau belge sur le front qd j'irai la bas!:)

Norton
20/04/2008, 19h32
Tennis - ATP - Estoril - Federer sans combattre

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La douzième rencontre entre Roger Federer (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_676.html) et Nikolay Davydenko (http://www.lequipe.fr/Tennis/TFJM_2705.html) s'est soldée comme les onze autres, sur une victoire du numéro un mondial. Mais le Suisse a bénéficié de l'abandon de son adversaire dans le second set pour gagner le titre pour sa première participation à Estoril.

La première manche fut pourtant très accrochée, et fut surtout le théâtre d'un tennis de très haut niveau entre le premier et le quatrième joueur mondial. Mieux entré dans la rencontre, le Suisse a réussi à se procurer cinq balles de break sur les trois premiers jeux de service du Russe, mais sans concrétiser. La rencontre s'est ensuite équilibrée et Davydenko a commencé à lâcher ses coups, ce qui a gêné son adversaire. Il a même eux deux balles de set, à 5-4 puis à 6-5, mais Federer a repoussé le danger à chaque fois. Le jeu décisif fut à l'image du premier set, serré. Le numéro un mondial a pourtant mené rapidement 5-1, mais Davydenko a sorti quelques coups droits de grande classe pour recoller à 5-5. Federer a alors répliqué avec un passing croisé incroyable, qui est venu mourir dans le coin du terrain, avant de conclure au service pour empocher la première manche.

Davydenko a été visiblement touché par ce coup du sort, au propre comme au figuré. Après dix minutes d'interruption où il est parti se faire soigner au vestiaire pour un mal inconnu, il est revenu sur le court mort de faim mais avec la prise de risques du joueur qui semble savoir qu'il n'ira pas jusqu'au bout. Même avec un break d'avance (2-0), son visage était très crispé et il avait la grimace des mauvais jours. Après la troisième jeu, alors qu'il menait 2-1 service à suivre, il a alors décidé de jeter l'éponge, touché apparemment à une jambe, offrant ainsi au Suisse son premier titre de la saison, le 54e de sa carrière.

Norton
20/04/2008, 19h36
Damiano Cunego remporte l'Amstel Gold Race

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Le coureur italien Damiano Cunego, de Lampre, a remporté ce dimanche l'Amstel Gold Race, la classique néerlandaise du ProTour, courue de Maestricht à Valkenburg sur la distance de 257,4 kilomètres.

Cunego, vigilant dans le final, a réglé un petit groupe de neuf coureurs qui s'est disputé la victoire au sommet du Cauberg, la colline qui surplombe Valkenburg. Le coureur italien a débordé à une centaine de mètres de l'arrivée le Luxembourgeois Frank Schleck. L'Espagnol Alejandro Valverde a pris la troisième place devant l'Italien Davide Rebellin et le Néerlandais Thomas Dekker.

Le groupe de tête s'est dégagé dans l'avant-dernière côte du parcours, le Keutenberg à 12 kilomètres de l'arrivée, où il a repris le Russe Serguei Ivanov et l'Autrichien Christian Pfannberger qui s'étaient échappés quelques instants plus tôt.

La course néerlandaise, courue sous le soleil, a été longtemps ouverte par une échappée de trois coureurs (Van de Walle, Krivtsov, Timmer) qui a compté jusqu'à près d'un quart d'heure d'avance avant le regroupement général intervenu à 36 kilomètres de l'arrivée.

Cunego, qui est âgé de 26 ans, a enlevé pour la première fois une des classiques majeures du printemps. Vainqueur du Giro 2004, celui qui est surnommé le "petit prince" de Vérone a déjà gagné à deux reprises le Tour de Lombardie.

"C'est une course où il faut rester toute la journée tranquille et être devant dans le final", a déclaré Cunego après l'arrivée. "C'est très nerveux. Je me suis fait mal dans la dernière ascension. J'ai attendu les 100 derniers mètres pour sortir".

Norton
20/04/2008, 19h39
:fou:
Totti opéré au genou, au moins 4 mois sur la touche

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L'attaquant et capitaine de l'AS Rome, Francesco Totti, dont la saison s'est achevée prématurément samedi en raison d'une blessure au genou droit, va être opéré ce dimanche après-midi à Rome, a annoncé le médecin du club de la capitale, Mario Brozzi. Sa convalescence pourrait durer quatre mois, a-t-il précisé.

"Le professeur (et chirurgien, ndlr) Pierpaolo Mariani, après avoir examiné le joueur, a confirmé le premier diagnostic: rupture partielle du ligament croisé du genou droit", a expliqué le docteur Brozzi dans un communiqué, assurant qu'il fallait désormais intervenir pour permettre la "reconstruction du ligament croisé antérieur".

Le joueur doit être opéré pendant une quarantaine de minutes à la clinique Villa Stuart de Rome.

"La Roma a déjà eu à composer avec ce genre de blessures, et nous maintenons que quatre mois peuvent suffire pour récupérer", a également affirmé le docteur Brozzi. Dans le meilleur des cas, le capitaine des Giallorossi pourrait donc être apte pour la reprise du prochain championnat, en septembre.

En fin de matinée, à son arrivée à la clinique, le champion du monde, 31 ans, avait assuré qu'en cas d'opération il reviendrait "sûrement encore plus fort qu'avant".

Norton
21/04/2008, 06h30
Danica Patrick, première femme à triompher en IndyCar

Danica Patrick a écrit une page d'histoire de l'IndyCar samedi sur le circuit de Motegi au Japon. L'Américaine de 26 ans est devenue la première femme à triompher dans cette série, où elle disputait sa 50e course.

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Elle n'occupait pourtant que la 8e place dans le 189e des 200 tours de circuit. Elle profitait des arrêts au stand effectués dans les cinq derniers tours par les hommes de tête (Scott Dixon, Dan Wheldon et Tony Kanaan) pour se rapprocher d'une première place dont elle s'emparait dans le 198e tour aux dépens du Brésilien Helio Castroneves. Elle devançait finalement le Brésilien de plus de 5''.


"C'était une course tactique sur le plan de la consommation d'essence. Mon équipe a parfaitement géré la situation. Je ne pouvais pas y croire lorsque j'ai dépassé Helio pour prendre la tête, C'est fabuleux", relevait la lauréate, qui était devenue la première femme à occuper la tête des 500 miles d'Indianapolis en 2005 où elle avait pris le 4e rang final.
:content:BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

FuryShoei
21/04/2008, 12h27
Cool !!! J'suis bien content que Danica ait enfin remporté sa 1ère victoire ! :content: J'espère qu'elle pourra en gagner d'autres !
Dommage qu'ABmoteurs ne diffuse pas les courses cette année.

nofoot
21/04/2008, 12h40
Vouilloz démarre sur le podium
06/04/2008 - 15:23 Par Yannick SAGORIN
De Sports.fr Nicolas Vouilloz commence la nouvelle saison IRC comme il a terminé la précédente édition: dans le sillage du leader du classement général. Ce week-end, le pilote Peugeot Belux s'est hissé sur la deuxième marche du podium du rallye d'Istanbul, en lever de rideau du championnat IRC (http://www.sports.fr/fr/cmc/auto_moto/20085/le-calendrier-irc-2008_164995.html), simplement devancé par la 207 de l'Italien Luca Rossetti. Une petite déception pour celui qui s'était imposé sur les rives du Bosphore en 2007. Mais une performance prometteuse au vu de la pugnacité dont a fait preuve l'intéressé pour accrocher ce résultat.

http://www.sports.fr/fr/images/200814/rossetti_207.jpgRossetti et sa 207 ont résisté jusqu'au bout à la charge de Vouilloz. (Maxppp)
Bien sûr, Nicolas Vouilloz ne manquera certainement pas de nourrir quelques regrets à l'issue de ce week-end de reprise turc. Le dernier nom au palmarès du rallye d'Istanbul n'est plus le sien. Elu du Bosphore l'an passé, le Niçois doit se contenter cette fois de la deuxième marche du podium. Pourtant, l'amertume de l'ancien champion du monde de VTT ne pèsera probablement pas bien lourd face au sentiment du devoir accompli qui devrait l'habiter au final.

Sur la piste stambouliote, Nicolas Vouilloz n'a pas hésité à pousser sa nouvelle monture. Et les enseignements plaident assurément en faveur de Kronos, en charge de bichonner les 207 du team Peugeot Belux. Sans cette maudite crevaison du cinquième chrono et ces 45 malheureuses secondes perdues au bénéfice de Luca Rossetti - le futur vainqueur - le pilote azuréen aurait probablement pu prétendre à meilleur dessein. Pour preuve, son quasi carton plein dans la deuxième étape du rallye, ce dimanche, avec pas moins de cinq temps scratches sur six à mettre son actif.

Solà joue de malchance

Tombé au quatrième rang à l'arrivée de la cinquième spéciale, Nicolas Vouilloz aura eu le mérite de ne jamais abdiquer, corrigeant notamment un retard de 51 secondes sur l'équipage de tête au terme de la journée de samedi pour n'accuser qu'un passif d'une quinzaine de secondes à l'amorce de la quinzième et dernière spéciale turque. Seulement sur les 13 derniers kilomètres du week-end, Luca Rossetti et sa 207 n'allait plus céder la moindre parcelle de terrain.


Face à ce duel de Lionnes, Abarth, attendu au tournant par Peugeot dans cette manche d'ouverture de l'IRC, se sera finalement contenté en Turquie de compléter le podium par le Finlandais Anton Alen, devant une deuxième Fiat: celle de Renato Travaglia. Bien représenté au cours de la première étape par Dani Solà, le constructeur italien, il est vrai, n'a pas été épargné non plus par le sort entre Europe et Asie. La seule expérience du pilote espagnol en atteste. Deuxième au général samedi soir, Dani Solà, d'abord victime d'un mauvais choix de pneumatiques, n'a pu défendre son rang en raison d'une crevaison dans la première spéciale dominicale. Gageons qu'Abarth saura néanmoins répondre au défi de Peugeot, dès le mois prochain, au Portugal.

Norton
26/04/2008, 05h55
Rafael Nadal en demi-finales à Monte-Carlo

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/7/13/large_375418.jpg L'Espagnol Rafael Nadal (ATP 2/N.2), triple tenant du titre, s'est qualifié pour les demi-finales du tournoi de Monte Carlo en battant vendredi son compatriote David Ferrer (ATP 5/N.5) en deux sets 6-1, 7-5.
En demi-finales, Nadal rencontrera le Russe Nikolay Davydenko (ATP 4/N.4), vainqueur plus tôt dans la journée de son compatriote Igor Andreev (ATP 32), par 6-3, 4-6 et 7-5.

Simple messieurs:
- Quarts de finale:
Nikolay Davydenko (Rus/N.4) bat Igor Andreev (Rus) 6-3, 4-6, 7-5
Roger Federer (Sui/N.1) bat David Nalbandian (Arg/N.6) 5-7, 6-2, 6-2
Rafael Nadal (Esp/N.2) bat David Ferrer (Esp/N.5) 6-1, 7-5

Norton
26/04/2008, 05h56
Federer domine Nalbandian à Monte Carlo

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/1/12/art_large_375327.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/0/11/art_large_375326.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/2/13/art_large_375328.jpg
Le Suisse Roger Federer s'est qualifié pour les demi-finales du tournoi de Monte Carlo en remportant vendredi une victoire encourageante sur l'Argentin David Nalbandian en trois sets 5-7, 6-2, 6-2.

C'est la première fois cette saison que le N.1 mondial bat un des acteurs majeurs du circuit, si on ne tient pas compte de son succès par abandon dimanche dernier en finale d'Estoril sur Nikolay Davydenko. Federer avait multiplié les contre-performances avec quatre défaites lors de ses quatre premiers tournois depuis le début de l'année et était passé à deux points de la défaite au premier tour de Monte Carlo, mercredi, contre un Espagnol inconnu.

Vendredi, il a semblé retrouver son tranchant du fond du court, notamment en coup droit, lors d'un match qui a souvent été de haut niveau, même si Nalbandian a un peu craqué sur la fin. L'Argentin est une des "bêtes noires" du Suisse. Les deux hommes étaient à égalité 8 victoires chacun avec leur quart de finale et surtout Nalbandian, 7e mondial, restait sur deux victoires cet automne à Madrid et à Bercy.

Federer, placé dans la partie la plus difficile du tableau, pourrait rencontrer en demi-finales le Serbe Novak Djokovic (ATP-3/N.3), qui affrontait vendredi l'Américain Sam Querrey (ATP-50).

Dans le premier quart de finale de la journée, Nikolay Davydenko s'est qualifié pour les demi-finales. Le n°4 mondial est venu à bout en 3 sets de son compatriote Igor Andreev sur le score de 6-3 4-6 7-5. Davydenko affrontera le vainqueur du match opposant Nadal à Ferrer.

Simple messieurs
Demi-finales:
Roger Federer (Sui/N.1) bat David Nalbandian (Arg/N.6) 5-7, 6-2, 6-2

Norton
26/04/2008, 05h59
Raikkonen encore le plus rapide dans les essais

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Le Finlandais Kimi Raikkonen (Ferrari) a dominé la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix d'Espagne, quatrième épreuve de la saison 2008 de Formule 1, vendredi sur le circuit de Catalunya près de Barcelone.

Avec un temps de 1 min 21 sec 935/1000e, Raikkonen a devancé les deux Renault de Nelsinho Piquet (à 84/1000e de seconde) et Fernando Alonso (à 97/1000e de seconde).

2e séance d'essais libres:
Kimi Räikkönen (Fin/Ferrari) 1:21.935
(moyenne: 204,528 km/h)
Nelson Piquet Jr (Bré/Renault) 1:22.019
Fernando Alonso (Esp/Renault) 1:22.032
Kazuki Nakajima (Jap/Williams-Toyota) 1:22.172
Felipe Massa (Bré/Ferrari) 1:22.229
Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 1:22.238
Nico Rosberg (All/Williams-Toyota) 1:22.266
David Coulthard (G-B/Red Bull-Renault) 1:22.289
Giancarlo Fisichella (Ita/Force India-Ferrari) 1:22.383
Adrian Sutil (All/Force India-Ferrari) 1:22.548
Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) 1:22.685
Robert Kubica (Pol/BMW-Sauber) 1:22.788
Nick Heidfeld (All/BMW-Sauber) 1:23.130
Jarno Trulli (Ita/Toyota) 1:23.224
Jenson Button (G-B/Honda) 1:23.263
Heikki Kovalainen (Fin/McLaren-Mercedes) 1:23.264
Rubens Barrichello (Bré/Honda) 1:23.415
Sebastian Vettel (All/Toro Rosso-Ferrari) 1:23.661
Sébastien Bourdais (Fra/Toro Rosso-Ferrari) 1:23.684
Timo Glock (All/Toyota) 1:23.883
Takuma Sato (Jap/Super Aguri-Honda) 1:25.110
Anthony Davidson (G-B/Super Aguri-Honda) 1:25.163

Norton
26/04/2008, 19h31
Federer rejoint Nadal en finale à Monte Carlo

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Le Suisse Roger Federer (ATP 1/N.1) s'est qualifié samedi pour la finale du tournoi de Monte Carlo en battant le Serbe Novak Djokovic par abandon alors qu'il menait 6-3, 3-2. En finale, il rencontrera dimanche le triple tenant du titre, l'Espagnol Rafael Nadal (ATP 2/N.2), vainqueur de son côté du Russe Nikolay Davydenko (ATP 4/N.4) en deux sets: 6-3, 6-2.

Résultats:
Simple messieurs
Demi-finales:
Rafael Nadal (Esp/N.2) bat Nikolay Davydenko (Rus/N.4) 6-3, 6-2
Roger Federer (Sui/N.1) bat Novak Djokovic (Ser/N.3) 6-3, 3-2 abandon
26/04/08 17h18 :content::content::content: le top:fou:

Norton
26/04/2008, 19h40
Raikkonen en pole pour le GP d'Espagne

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/8/12/large_375912.jpg Le Finlandais Kimi Raikkonen (Ferrari) occupera dimanche la pole position du Grand Prix d'Espagne de Formule 1, quatrième épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications samedi sur le circuit de Catalunya, près de Barcelone.

Raikkonen a subtilisé au tout dernier moment la position de pointe à un étonnant Fernando Alonso, qui avait placé sa Renault en haut de la feuille des temps pour le plus grand plaisir du public. A son tout dernier passage la Ferrari a finalement devancé la Renault de 91/1000e de seconde. L'autre Ferrari de Felipe Massa s'élancera en troisième position devant la BMW Sauber de Robert Kubica (4e) et les deux McLaren-Mercedes de Lewis Hamilton (5e) et Heikki Kovalainen (6e). Ls deux Williams ont été les principales déceptions de ces qualifications: Kazuki Nakajima n'a réalisé que le 12e temps et Nico Rosberg le 15e.

Norton
26/04/2008, 19h42
Loeb accidenté lors du rallye de Jordanie

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Dani Sordo a pris l'avantage.


Dani Sordo (Citroën C4) était le fragile leader du rallye de Jordanie, samedi à midi, avec respectivement 7/10 et 6 secondes d'avance sur les Finlandais Jari-Matti Latvala et Mikko Hirvonen (Ford Focus), suite à un accident ayant brutalement interrompu la course de Sébastien Loeb.

Le quadruple champion du monde a dû s'arrêter à la suite d'un choc frontal contre une C4 privée pilotée par le jeune Zimbabwéen Conrad Rautenbach, sur le parcours de liaison après l'arrivée de l'ES11. Rautenbach se rendait au départ de l'ES11, par la même route, et n'a pas vu arriver Loeb dans un virage aveugle. A ce moment-là, Loeb, meilleur temps dans les trois premières épreuves spéciales de la 2e journée (ES9 à ES11), était largement en tête du rallye, avec 34 secondes d'avance sur Sordo et Latvala qui se tenaient dans la même seconde.

Personne n'a été blessé mais le capot avant et surtout le radiateur de la C4 de Loeb ont été enfoncés, avec un gros risque de surchauffe pour le moteur. L'équipe française attendait de récupérer la C4 abîmée, qui devait être ramenée en dépanneuse au parc d'assistance, pour évaluer un peu mieux les réparations à effectuer. Loeb ne devrait pas repartir samedi après-midi pour le reste de cette 2e journée, a indiqué Citroën Sport à chaud. Il va donc perdre toutes ses chances de gagner le rallye, même s'il arrive à repartir dimanche matin pour marquer éventuellement quelques points au classement constructeurs.

Loeb était arrivé à Amman avec cinq points d'avance sur Hirvonen au classement du Championnat du monde. Les seuls espoirs de Citroën Sport reposent désormais sur les épaules de Sordo.

Norton
27/04/2008, 07h02
Rallye, Jordanie, Etape 2
Sordo sans le vouloir (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/sordo-sans-le-vouloir-143878/#)

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/auto-moto/rallye/actualites/sordo-sans-le-vouloir-143878/2622501-1-fre-FR/sordo-sans-le-vouloir_actus.jpg Dani Sordo aura le malheur d'ouvrir la route en Jordanie dimanche (Reuters) Quelques heures après l’abandon de Sébastien Loeb, Dani Sordo a fini la 2e journée du Rallye de Jordanie en première position. Une place qui, paradoxalement, devrait largement le pénaliser dimanche.
par Florian Egly, le 26-04-2008

«Ce serait parfait si je pouvais maintenir cet écart de deux à trois secondes parce que je ne veux surtout pas ouvrir la route dimanche donc je ne vais peut-être pas donner le maximum». Jari-Matti Latvala a tenu parole. A mi-parcours, le pilote finlandais était bien content de ne pas avoir à balayer les routes poussiéreuses de Jordanie. Il le sera encore plus dimanche puisque par un petit tour de malice, il a réussi à «arracher» la 2e place au terme de la 2e journée. Drôle de course ainsi où l’on se bat pour ne pas être premier. Débarrassé de Sébastien Loeb (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/terminus-pour-loeb-143808/), le pilote Ford avait pourtant entamé l’après-midi sur les chapeaux de roue, s’emparant des commandes dans l’ES 13 après son 2e temps au scratch derrière Mikko Hirvonen. Le dauphin du Français au classement pilotes conservait la tête… jusqu’à l’ES 16, la dernière spéciale du jour. Fort de 11 secondes d’avance sur Dani Sordo à ce moment-là, Latvala levait le pied, perdant près de 19 secondes, tout comme Hirvonen, pour se retrouver à la 2e place du général, comme prévu.
Sordo, leader par défaut
Stratégiquement bien joué. Sportivement, cela aurait mérité plus de panache. Mais le règlement est ainsi fait que Ford aura certainement plus de chances de s’imposer dimanche en s’élançant derrière. «Nous savions que partir en tête serait un handicap. Je n’ai donc pas été surpris de souffrir du balayage. Je n’avais aucun point de repère, aucune référence et dans certaines portions, je sentais que nous nettoyions énormément la chaussée pour les autres concurrents», confessait un Dani Sordo tout penaud, presque malheureux de se retrouver leader du Rallye. Egalement victime d’une crevaison dans l’ES 13, l’Espagnol s’élancera avec un pécule de 8 et 10 secondes dimanche sur Latvala et Hirvonen, qui risque de ne pas être suffisant pour faire oublier la mésaventure connue par Sébastien Loeb. Le Français n’a pas encore pris de décision quant à la possibilité de courir le dernier jour mais selon toute vraisemblance, il devrait économiser son moteur, à utiliser en Sardaigne dans un peu moins d’un mois.
Loeb s’explique
«C'est vraiment con pour nous, c'est le seul mot qu'on puisse dire, mais c'est comme ça. Le départ et l'arrivée de la spéciale sont au même endroit, donc la route pour y accéder est la même et les voitures de course se croisent... quand elles arrivent à se croiser. On n'a pas réussi. Il (Rautenbach) montait, il était un peu pressé et on s'est vu au dernier moment. Je n'étais pas super concentré non plus parce que je sortais de la spéciale. On a bloqué les roues tous les deux mais on a quand même tapé de face. La question n’est pas de blâmer qui que ce soit. Le fait est que nous avons perdu le rallye et sans doute beaucoup de points. La seule satisfaction est que la voiture fonctionnait à merveille, ce qui est bon signe pour le futur», commentait le champion du monde, sur le site du WRC, après son accident bête. Pas sûr toutefois que cela éponge totalement sa déception.
Le Rallye en images :
http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/media/images/jordanie-premiere_diaporama/2622586-1-fre-FR/jordanie-premiere_diaporama_medium.jpg (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/diaporamas/rallye-de-jordanie-2008/)




Classement de l’ES13 :
1. Hirvonen (Fin, Ford) en 8’15’’7
2. Latvala (Fin, Ford) à 1’’8
3. Sordo (Esp, Citroën) à 6’’4
4. P.Solberg (Nor, Subaru) à 7’’4
5. Galli (Ita, For) à 9’1
Classement de l’ES14 :
1. Galli (Ita, For) en 8’40’’8
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’5
3. Latvala (Fin, Ford) à 3’’0
4. P.Solberg (Nor, Subaru) à 7’’4
5. Sordo (Esp, Citroën) à 5’’5
Classement de l’ES15 :
1. Galli (Ita, For) en 11’57’’8
2. Latvala (Fin, Ford) à 2’’9
3. Atkinson (Aus, Subaru) à 4’’9
4. Hirvonen (Fin, Ford) à 5’’5
5. Sordo (Esp, Citroën) à 7’’6
Classement de l’ES16 :
1. Galli (Ita, For) en 6’41’’2
2. Sordo (Esp, Citroën) à 2’’9
3. H. Solberg (Nor, Ford) à 4’’9
4. Atkinson (Aus, Subaru) à 5’’5
5. Aava (Fin, Citroën) à 7’’6
Classement général :
1. Sordo (Esp, Citroën) en 2h29’02’’9
2. Latvala (Fin, Ford) à 8’’5
3. Hirvonen (Fin, Ford) en 10’’4
4. Atkinson (Aus, Subaru) à 2’02’’5
5. Aava (Fin, Citroën) à 3’07’’2

Norton
28/04/2008, 05h46
Kimi Raikkonen confirme son avance

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Le Finlandais Kimi Raikkonen (Ferrari) a remporté le Grand Prix d'Espagne, quatrième des 18 épreuves du Championnat du monde 2008 de Formule 1, dimanche sur le circuit de Catalunya, près de Barcelone. Raikkonen a conforté son avance en tête du Championnat du monde et devancé son coéquipier Felipe Massa pour le deuxième doublé consécutif de Ferrari.

La scuderia a quant à elle pris la tête du Championnat constructeurs. Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a pris la troisième place devant Robert Kubica (BMW Sauber) et Mark Webber (Red Bull). Jenson Button, sixième, a ramené les premiers points de Honda cette saison devant Kazuki Nakajima (Williams) et Jarno Trulli (Toyota). Fernando Alonso (Renault) a abandonné sur casse moteur.

Sortie violente
La course a surtout été marquée par la violente sortie de piste de Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes), victime de l'éclatement de son pneu avant gauche et qui a tapé violemment de face une pile de pneus. Evacué vers un hôpital voisin pour de plus amples examens, le Finlandais ne souffrait pas de blessures sérieuses a priori. Le Français Sébastien Bourdais a de son côté vécu une mauvaise après-midi. Il s'est accroché avec Nelsinho Piquet et a dû renoncer dès le cinquième tour.

Alonso, qualifié en première ligne, était passé dès le départ par Massa. Hamilton prenait aussi tous les risques et se faufilait pour prendre la quatrième place au premier virage. Mais quelques hectomètres plus loin Sutil partait en tête à queue et emmenait avec lui Vettel, ce qui occasionnait une première sortie de la voiture de sécurité. Au "restart" les Ferrari s'envolaient et Bourdais accrochait Piquet.

Comme attendu, Alonso ravitaillait le premier, au 16e tour, alors qu'il occupait la troisième place. Il repartait 11e. Une certaine confusion s'installait ensuite quand plusieurs des leaders ravitaillaient et que Kovalainen était victime d'une grosse sortie de piste. La voiture de sécurité entrait de nouveau en piste et évacuait le Finlandais, qui sur son brancard faisait un signe de la main pour rassurer les spectateurs.

Formalité
Dans le même temps Heidfeld était contraint de ravitailler pour éviter la panne d'essence alors que la voie des stands n'était pas encore ouverte. Il écopait d'une pénalité de 10 secondes qui ruinait ses chances. Lorsque la voiture de sécurité s'effaçait au 27e tour les Ferrari reprenaient leur marche en avant, contrairement à Alonso, qui devait garer sa Renault au 34e tour, moteur cassé.

Rosberg (Williams) l'imitait peu après et au 41e tour il n'y avait plus que 13 voitures en course. La fin de l'épreuve n'était ensuite qu'une formalité pour les deux voitures de la scuderia. Hamilton, jamais loin de Massa, n'était pas en mesure de l'attaquer et il retrouvait le podium après deux courses de disette.

Norton
28/04/2008, 05h47
Quatrième victoire d'affilée pour Nadal à Monte Carlo

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L'Espagnol Rafael Nadal, 2e joueur mondial, a remporté le tournoi de Monte Carlo, Masters Series de l'ATP doté de 2,27 millions d'euros, pour la quatrième fois d'affilée en battant dimanche en finale le Suisse Roger Federer, numéro 1 mondial, en deux sets: 7-5, 7-5. C'est la troisième année consécutive que Nadal domine le N.1 mondial en finale en Principauté.

Le Majorquin remporte son premier titre de la saison, neuf mois après son dernier succès, à Stuttgart, déjà sur terre battue. Son total est désormais de 24 titres, dont 19 sur sa surface préférée. Fidèle à la stratégie qu'il a toujours employée contre Federer, Nadal a pilonné le revers du Suisse avec son grand coup droit de gaucher lifté, lui faisant commettre de nombreuses fautes (44 contre 20).

Plus difficilement
Le N.1 mondial a aussi fait beaucoup d'erreurs non provoquées en tentant de déborder son grand rival du fond du court, pour terminer avec un ratio fautes/points gagnants très défavorable, surtout en coup droit (22 fautes pour 11 points).

Tactiquement, le match n'a pas été très différent des précédents affrontements entre les deux hommes sur terre battue (Nadal mène désormais 7 à 1), et notamment de la finale de l'an dernier, mais en revanche le déroulement n'a pas été du tout le même.

L'année dernière, Nadal n'avait jamais tremblé, cette fois-ci, Federer a eu le break à deux reprises dans le premier set, et dans le deuxième il a mené 4 à 0 avec deux services d'avance, avant de céder sept des huit derniers jeux. Dans cette remontée, Nadal a encore montré une force mentale exceptionnelle.

Direction Barcelone
"Gagner quatre fois ici, c'est quelque chose d'inimaginable", a dit Nadal, auteur d'un exploit inédit dans le tennis moderne (le précédent quadruplé à Monte Carlo datait d'avant la Première Guerre mondiale).

"C'est un tournoi très important pour moi. C'est une très bonne préparation pour Roland-Garros. Mais je ne pense pas encore à Paris. Ce n'était que mon premier tournoi sur terre de la saison. Pour le moment, je me concentre sur Barcelone", a dit le roi de la terre battue, qui enchaîne dès cette semaine dans la capitale catalane, où il est aussi triple tenant du titre (comme à Rome et à Roland-Garros).

Infatigable, l'Espagnol, qui a gagné 98 de ses 99 derniers matches sur terre battue, disputait aussi la finale du double avec son compatriote Tommy Robredo à la suite de son match contre Federer.

Pour le Suisse, l'équation Nadal sur terre battue reste insoluble, d'autant que cette fois il a tout tenté, y compris de monter au filet, mais Federer quitte quand même la Principauté sur un bilan positif. "Je suis content de ce tournoi. J'étais à deux points de perdre au premier tour (contre le 137e mondial), donc ce n'est pas mal d'être en finale. Je suis bien lancé pour la saison sur terre battue", a-t-il dit.

Norton
28/04/2008, 05h49
Hirvonen rafle la mise en Jordanie, Loeb 10e

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Le Finlandais Mikko Hirvonen (Ford Focus) a remporté le rallye de Jordanie, 5e manche (sur 15) du Championnat du monde WRC, dimanche à Amman, devant l'Espagnol Dani Sordo (Citroën C4), 2e à 1 minute 15 secondes, et l'Australien Chris Atkinson (Subaru Impreza), associé à Stéphane Prévot, 3e.

Dominé quasiment de bout en bout par les Citroën, qui ont signé plus de la moitié des temps scratch (13 sur 22), ce tout premier rallye de Jordanie inscrit au calendrier du WRC a finalement souri aux Ford: sept dans le Top 10 mais une seule sur le podium, sur la plus haute marche.

Hirvonen a bien profité de l'accident de Sébastien Loeb samedi, sur le parcours de liaison, de la position de Sordo samedi et dimanche, et enfin des ennuis de son coéquipier Jari-Matti Latvala, sur l'autre Focus officielle, leader après l'ES17 puis suspension cassée dans l'ES18.

Tête à queue
Obligé de balayer la route, car en tête samedi soir, Sordo a tout fait pour limiter les dégâts, jusqu'à un tête à queue dans la 22e et dernière spéciale, avec calage du moteur de sa C4 en prime, qui a mis fin à ses derniers espoirs. Le jeune Espagnol a ensuite assuré les huit points de la 2e place, pour lui et pour Citroën Sport.

"On a été au paradis, puis en enfer, et on finit au purgatoire", a résumé Olivier Quesnel, le chef des Rouges. "On est quand même ravis pour Dani. Quant à Seb, quadruple champion du monde, il a accepté de repartir dimanche pour marquer un point constructeur. Ca prouve que chez Citroën on est une vraie équipe: on gagne tous ensemble et on perd tous ensemble".

Loeb devant Ogier
Reparti dimanche matin à la 20e place, pour 135 km chronométrés, Loeb a signé encore trois temps scratch (ES18, ES19, ES21), pour le panache, et terminé le rallye à la 10e place, juste devant l'un des jeunes prétendants à sa succession, Sébastien Ogier (Citroën C2).

Victorieux pour la deuxième fois en Junior-WRC, en deux rallyes (Mexique et Jordanie), Ogier a encore fait le plein de points tout en apprenant son métier, histoire de justifier une fois de plus la confiance de la Fédération française du sport automobile (FFSA) qui engage sa petite C2 Super 1600.

Quant à Hirvonen, 27 ans, c'est déjà sa cinquième victoire dans un rallye WRC, après l'Australie en 2006, la Norvège, le Japon et la Grande-Bretagne en 2007. Grâce à cette victoire, il reprend la tête du championnat pilotes, devant Loeb, et Ford augmente son avance sur Citroën au classement constructeurs.

"C'est un week-end à oublier. La seule chose qu'on retiendra, c'est que notre voiture était performante", a résumé Loeb avant de quitter la Mer Morte et de rentrer à la maison, au bord du Lac Léman, pour profiter de quelques jours de repos bien mérités. Sa prochaine sortie officielle est prévue en Sardaigne, à la mi-mai. Là encore, ce sera chaud.

Léo_messi
04/05/2008, 21h58
Après leur victoire 2 but à 1 sur la pelouse de Pampelune, le Real Madrid est sacré champion d'Espagne pour la 2ème année consécutive.

J'ai trop la haine car lors du clasico Real-Barca de la semaine prochaine, les joueurs de Barcelone devront faire une haie d'honneur aux joueurs du Real (c'est la tradition en Espagne) et quand on connait la rivalité entre les deux clubs, c'est quelque chose d'humiliant.:bad:

A noter quand même la victoire du Barca 6-0 contre Valence.:content:

mini.moi
05/05/2008, 19h52
Après leur victoire 2 but à 1 sur la pelouse de Pampelune, le Real Madrid est sacré champion d'Espagne pour la 2ème année consécutive.

J'ai trop la haine car lors du clasico Real-Barca de la semaine prochaine, les joueurs de Barcelone devront faire une haie d'honneur aux joueurs du Real (c'est la tradition en Espagne) et quand on connait la rivalité entre les deux clubs, c'est quelque chose d'humiliant.:bad:

A noter quand même la victoire du Barca 6-0 contre Valence.:content:
ouais dommage qu'ils aient attendu de tout perdre pour regagner à nouveau!!
arf la haine quand même!
m'enfin, si c'est la tradition!

nofoot
09/05/2008, 21h01
Coup de tonnerre dans le ciel romain ! Roger Federer (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/roger-federer.html) a subi la loi d'un Radek Stepanek (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/radek-stepanek.html) intraitable, vendredi en quarts de finale du Masters Series de Rome (http://www.sports.fr/fr/tennis/2008/atp/resultats/tournois/tms_campionati_bnl_ditaliaf.html). Subissant la loi du Tchèque, le numéro 1 mondial, fébrile, a dérapé en deux sets 7-6, 7-6. Une défaite d'autant plus surprenante que le Suisse semblait avoir repris le bon rythme depuis son début de saison sur terre battue après avoir remporté le tournoi d'Estoril et atteint la finale à Monte-Carlo. Auparavant, Stanislas Wawrinka (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/stanislas-wawrinka.html) avait sorti James Blake (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/james-blake.html) (6-7, 7-6, 6-1).
http://www.sports.fr/fr/images/200819/federer_estoril4_re.jpgNouvelle grosse désillusion pour Roger Federer (Reuters).
Nouveau coup de barre. Sous le chaud soleil de Rome, Roger Federer a de nouveau perdu pied. Battu l'an passé par l'Italien Filippo Volandri (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/filippo-volandri.html) (6-2, 6-4) dès les huitièmes de finale du Masters Series italien, le patron du circuit s'est de nouveau égaré dans l'antre du Foro Italico. Radek Stepanek ne constituait pourtant pas une réelle menace pour lui, ayant remporté jusqu'ici leur quatre dernières confrontations. Surtout, le Suisse affichait de nouveau un niveau de jeu bien plus conforme à son statut. Le moral au beau fixe depuis sa victoire à Estoril (un tournoi qu'il avait décidé de disputer pour reprendre confiance après avoir subi la loi de Roddick à Miami en quarts), Federer haussait le ton avec un bel esprit de revanche.

Sur sa lancée, il s'était ensuite hissé en finale du Masters Series de Monte-Carlo, butant sur un Rafael Nadal (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/rafael-nadal.html) intraitable. Bénéficiant à nouveau d'une bonne condition physique, en repoussant ses limites lors de solides séances d'entraînement, Roger Federer continuait de faire forte impression à Rome après avoir écarté de sa route son ancienne bête noire, Guillermo Canas (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/guillermo-canas.html) et le redoutable serveur Croate Ivo Karlovic (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/atp/ivo-karlovic.html) sans perdre le moindre set. Sous les yeux de sa compagne Mirka Vavrinec, l'Helvète ne donnait d'ailleurs pas de signes de fébrilité apparente, ce vendredi, face à Radek Stepanek dans les premiers jeux du match. Enchaînant les jeux blancs sur son service, l'homme aux douze titres du Grand Chelem ne parvenait toutefois pas à breaker. Dès lors, le sort du premier set allait se jouer au jeu décisif.

Stepanek sans complexe

Jouant crânement sa chance, frappant dans la balle de tout son coeur, le 27e mondial se détachait 6 points à 4. Un ace rageur lui offrait la première manche (7-4). Survolté, l'ancien partenaire de Martina Hingis (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/wta/martina-hingis.html) exultait en se dirigeant vers sa chaise. Imposant son rythme à un Federer souvent apathique, le Tchèque, sur sa lancée, creusait l'écart grâce à un bois en revers de la star suisse. Mené en un rien de temps 3-0, puis 4-1, le quintuple vainqueur de Wimbledon était, une nouvelle fois méconnaissable. Certes, Stepanek jouait parfaitement le coup, flirtant avec les lignes et plaçant des accélérations fulgurantes, mais le défi n'était pas non plus insurmontable. L'ancien protégé de Tony Roche parvenait toutefois à débreaker à 4-2, mais dans le jeu suivant il cédait son engagement pour laisser Stepanek servir pour le match à 5-3. A 30-30, ce dernier n'était qu'à deux points de l'exploit, craquant finalement sous la pression de Federer.

Federer face à ses doutes

Serrant le poing, ce dernier, dos au mur, recollait au score (5-5). Remis en selle, le numéro 1 mondial se dirigeait tout droit vers un troisième set en menant par la suite 3 points à 0, puis 5-2 dans le jeu décisif. A 6-5, il se procurait même une balle de set. En vain... Stepanek, sur son nuage, sauvait sa peau pour s'offrir ensuite une première balle de match, effacée par le numéro 1 mondial. Mais la deuxième sera la bonne... (8 points à 7). A bientôt trente ans, le héros du jour s'offrait l'une des plus belles victoires de sa carrière, pour gagner le droit de disputer les demi-finales à Rome et faire le show devant le public romain.

Pour Federer, en revanche, l'heure était une nouvelle fois à la remise en question, lui qui a déjà subi six défaites cette saison en sept tournois disputés. A un peu plus de deux semaines de Roland-Garros, l'élève de José Higueras doit manifestement encore lutter contre ses doutes. A l'instar de Justine Henin (http://www.sports.fr/fr/tennis/joueurs/wta/justine-henin.html), battue jeudi par Safina à Berlin. Les temps sont durs pour les numéro 1 mondiaux en 2008.

Léo_messi
09/05/2008, 21h08
Football : National : Victoire de Laval 3-2 contre Villemomble:content: et en même temps défaite de Nîmes sur la pelouse de Pau.:content:

Du coup au classement ça donne :

1er Vannes 68pts
2ème Tours 64pts
3ème Nîmes 60pts
4ème Laval 58pts

Les 3 premiers montent en Ligue 2.
Prochain et dernier match de la saison Nîmes - Laval.:boutons:
Pas le choix pour les joueurs lavallois, il faudra gagner à Nîmes pour remonté en Ligue 2. ça va être chaud.

FuryShoei
11/05/2008, 11h28
Le Top 16 pour les Bleus

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/autres-sports/hockey-nhl/actualites/le-top-16-pour-les-bleus-148034/2699038-2-fre-FR/le-top-16-pour-les-bleus_actus.jpg

Les Bleus n'ont pas temblé face à l'Italie (Panoramic)
L’Equipe de France se maintien parmi l’élite du hockey mondial après sa victoire contre l’Italie samedi à Québec (6-4). Elle a été imité par la Slovaquie, vainqueure de la Slovénie (4-3). Les deux équipes seront au Mondial 2009 en Suisse.

par Christophe Remise, le 11-05-2008


Cette fois c’est fait. Vainqueurs de l’Italie lors de la première manche des barrages maintien/relégation (3-2), les hommes de Dave Henderson ont remis ça samedi. Une victoire synonyme de maintien en première division pour les Bleus. Les choses avaient pourtant mal débutés pour eux avec l’ouverture du score des Italiens par Jason Cirone après seulement trois minutes de jeu. Cinq minutes plus tard, la France revenait au score par l’intermédiaire de Bordeleau. Yorick Treille s’est ensuite chargé de donner l’avantage à ses coéquipiers avant la fin du premier tiers-temps (2-1). Un avantage que les Français n’ont plus rendu à leur adversaires jusqu’à la fin de la partie. Malgré un bon début de deuxième quart, les Italiens ont tout de suite encaissé un nouveau but, œuvre de Jonathan Zwikel (3-1). C’était le moment que choisissait l’entraîneur de la Squadra, Michel Goulet, pour remplacer son gardien, Thomas Tragust, par Gunther Hell. L’Italie allait reprendre espoir après qu’Andre Signoretti ait marqué le deuxième but de son équipe à la 27e minute (3-2). Quand Julien Desrosiers donnait un nouvel avantage de deux buts au début du troisième tiers (4-2), on pouvait penser que l’affaire était pliée. Mais L’Italie démontrait encore une fois qu’elle avait des ressources par Pat Lannone (4-3). Le suspense n’aura toutefois pas duré longtemps puisqu’à peine une minute après, Yorick Treille redonnait deux buts d’avance à la France. Puis trois grâce à Bordeleau, à neuf minutes de la fin. Jonathan Tippis réduisait bien la marque à trois minutes du terme de la partie, mais cela n’a eu pour effet que de réjouir les spectateurs de la patinoire de Québec, sans doute satisfaits du spectacle.

France et Slovaquie maintenues
Du point de vue comptable, l’Italie est reléguée dans le groupe B du hockey mondial, elle qui est une habituée de l’élite. Une déception pour Chitarroni, écœuré par la performance de Gaëtan Huet dans les cages françaises. «C’est dur parce que nous nous étions bien préparés, regrette l’attaquant italien. Au final nous sommes tombés sur un gardien de but qui était trop fort pour nous.» Côté français en revanche, on pouvait avoir le sourire. Les Bleus n’avaient plus remporté un match en Coupe du Monde depuis 2000. C’était contre le Japon, déjà en poule de relégation (7-2). «C’est parfait, se réjouissait Bordeleau après la partie. Notre but est de rester dans le groupe mondial. La grande finale de samedi restera comme mon meilleur souvenir du tournoi.» Dans l’autre match qui concernait le maintien, la Slovaquie s’est une nouvelle fois imposée contre la Slovénie (4-3). Une deuxième victoire qui permet aux coéquipiers de Lubomir Visnovsky de remporter la série, et d’assurer leur maintien. «Nous n’avions rien à perdre, déclarait Juraj Kolnik après la rencontre. Je pense que la meilleure équipe a gagné. Nous avons déçu les gens qui nous ont soutenus. Nous devons oublier cela et tenter de faire mieux à l’avenir.» Une volonté que doit partager le groupe de Dave Henderson. Ils en auront l’occasion dès l’année prochaine lors des Championnats du Monde de Berne.

Barrages pour la relégation :
A Québec : France -Italie : 3-2
A Halifax : Slovaquie - Slovénie : 5-1
A Québec : France - Italie (samedi) 6-4 (La France remporte la série, 2-0)
A Halifax : Slovaquie - Slovénie 4-3 (La Slovaquie remporte la série, 2-0)

Groupe E (Québec)
Russie - Bélarus : 4-3 a. p.
République tchèque - Bélarus 3-2 ap
Russie - Suède 3-2
Danemark - Suisse (dimanche)
Suède - République tchèque (dimanche)

Le classement :
1. Russie 10 pts (+6)
2. République tchèque 9 (+8)
3. Suisse 6 (-2)
3. Suède 6 (+5)
5. Bélarus 2 (-4)
6. Danemark 0 (-13)

Groupe F (Halifax)
Finlande - Lettonie : 2-1
Canada - Allemagne 10-1
Norvège - Lettonie (dimanche)
Finlande - Etats-Unis (dimanche)

Le classement :
1. Canada 12 (+18)
2. Finlande 8 (+6)
2. Etats-Unis 6 (+5)
4. Norvège 4 (-1)
5. Allemagne 0 (-16)
6. Lettonie 0 (-12)



Trop content !!!! :content::content::content::content:
:content::content::content::content::content:

A noter une erreur dans l'article : le gardien français s'appelle Cristobal Huet, et non Gaëtan. C'est le seul joueur français à jouer en NHL (championnat nord américain), avec l'équipe de Washington.

Psyduck
11/05/2008, 11h46
P'tite news de GP2

Istanbul : des chiens sur la piste en GP2
La course a été perturbée...
11/05/08 11:28 http://fr.f1-live.com/f1/img/vide.gif


http://www.f1-live.com/f1/photos/imgactu/07/ambiance-test-z-wri-11_260107.jpg (http://javascript%3Cb%3E%3C/b%3E:openphoto%28)
http://fr.f1-live.com/f1/img/loupe.gif Zoom (http://javascript%3Cb%3E%3C/b%3E:openphoto%28)
Chose qui arrive...

La course "sprint" du GP2 séries disputée dimanche matin à Istanbul en lever de rideau du Grand Prix de Turquie de Formule 1 a été perturbée par un incident peu banal quand des chiens ont pénétré sur la piste et provoqué la sortie immédiate de la voiture de sécurité.

L'incident aurait pu être catastrophique puisque Bruno Senna, le neveu d'Ayrton, a percuté l'un de ces chiens errants à pleine vitesse avant la neutralisation. Le malchanceux Brésilien a explosé sa suspension avant-droite mais n'est pas sorti de la piste. Il a pu rentrer aux stands où il est sorti de sa voiture très en colère.

Des lapins perturbent parfois les courses automobiles mais la présence de chiens sur la piste stambouliote est assez inquiétante étant donné la vitesse et la fragilité des voitures.
Les historiens de la Formule 1 rappellent que le Suédois Stefan Johansson, alors sur McLaren, avait percuté une biche aux essais du Grand Prix d'Autriche en 1987 à Zeltweg.

Le Brésilien Cristiano Da Matta avait percuté un cerf lors d'une séance d'essais privés de ChampCar en 2006 - un grave accident à l'issue duquel il avait fait plusieurs jours de coma. Il n'a d'ailleurs toujours pas repris le volant à haut niveau.

Le départ du Grand Prix sera donné à 15h locales, 14h en France (12h GMT).

D'après AFP


http://fr.f1-live.com/f1/fr/infos/actualites/detail/080511112950.shtml

Norton
14/05/2008, 19h44
Justine confirme "la fin d'un rêve d'enfant"

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/14/8/art_large_389093.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/8/2/art_large_389087.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/2/11/art_large_389081.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/0/9/art_large_389079.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/6/3/art_large_389238.jpg Avec son père, José Henin.

7S7 mise à jour Justine Henin a décidé de mettre un terme à sa carrière sportive. La numéro un mondiale du tennis féminin l'a annoncé mercredi après-midi au cours d'une conférence de presse, à Limelette, dans
son centre de formation Justine N.1.

"Une délivrance, pas de tristesse"
"C'est un cheminement que s'est fait dans ma tête depuis quelques mois, depuis la fin 2007, bien avant Berlin. C'est la fin d'une merveilleuse aventure, un rêve d'enfant qui touche à sa fin. Mais je suis arrivé au bout de mon chemin, j'ai tout vécu, tout donné, et je pars la tête haute", a déclaré Justine Henin.

La meilleure joueuse belge de tous les temps, 26 ans le 1er juin
prochain, a ainsi mis fin aux rumeurs qui couraient depuis le week-end
dernier, au lendemain de sa quatrième défaite de l'année face à la Russe Dinara Safina au tournoi de Berlin.

"Je suis encore jeune mais dans la vie, il n'y a pas de règles", a poursuivi Justine. "J'ai investi énormément, sans regret, ce sont des émotions que je n'oublierai jamais. C'est une page qui se tourne, je ne ressens pas de tristesse mais plutôt une délivrance. Je cherche maintenant à me construire autrement que par le tennis."

Carlos rodriguez en larmes
En larmes, Carlos Rodriguez ne perd pas son sens de l'humour pour autant en commençant son intervention. "C'est difficile d'enchaîner après des mots pareils. Surtout pour moi, qui suis maintenant au chômage", a déclaré le coach. "C'est un moment très beau... si je ne l'avais pas eue à mes côtés, vous ne seriez pas là aujourd'hui à m'écouter. Aujourd'hui je crois que je suis devenu quelqu'un d'unique. grâce à quelqu'un d'unique. J'ai une chance inouïe d'avoir traversé tout ça avec elle. (...) On continuera à développer des choses, elle m'a donné l'honneur de continuer à ses côtés malgré le fait qu'elle ne fera plus rêver les gens."

Avec à son actif 41 victoires en tournoi, dont 7 Grands Chelems (4
Roland Garros, 2 US Open, 1 Open d'Australie) et la médaille d'or
olympique à Athènes en 2004, Henin a occupé jusqu'à présent le sommet de la hiérarchie du tennis féminin durant 117 semaines.

Depuis le début de l'année, la Famennoise, qui avait pourtant fait de
la reconduction de son titre olympique l'objectif de sa saison, était
apparue en difficultés. En avril à Miami, elle s'était inclinée, 6-2, 6-0,
contre l'Américaine Serena Williams. Une défaite qui l'avait marquée.

Après une saison 2007 qu'elle qualifiait elle-même d'"extraordinaire",
avec 10 titres glanés malgré sa séparation en début d'année avec son
ex-mari, elle avait affirmé vouloir encore continuer "deux, trois, voire
quatre ans". Mais l'influx nerveux, sur lequel elle s'était si souvent
appuyée pour construire ses plus beaux succès, lui a soudain fait défaut.

"Une page se tourne"
Au lendemain de sa dernière défaite face à Safina, Henin avait
également déclaré vouloir reprendre des études. "J'ai aussi envie de
voyager, loin de toute cette pression, et de faire des tas de choses que je ne peux jamais faire".

Exit donc un 5e sacre à Roland-Garros ou l'éventualité d'un premier
titre à Wimbledon, le seul qui lui manquait en Grand Chelem. Avec cette décision, c'est aussi la plus grande chance d'une médaille d'or belge aux Jeux Olympiques de Pékin qui s'envole.

Après l'arrêt de Kim Clijsters en mai 2007, ce sont les deux
meilleures joueuses belges de tous les temps qui ont tiré leur révérence en un an de temps. Clijsters, N.1 mondiale durant 19 semaines, avait remporté 34 titres sur le circuit WTA (dont 2 Masters et l'US Open) et avait contribué avec Henin à procurer au public belge des moments uniques de passion pour le tennis féminin.

Il faudra désormais lorgner vers la 99e place du classement WTA pour découvrir la nouvelle N.1 belge, Yanina Wickmayer, qui vient pour la première fois d'intégrer le top 100, après sa victoire dimanche dernier à l'ITF d'Indian Harbour.

;)Ben dommage pour nous et bravo Justine...........................:amoureux:

Norton
14/05/2008, 19h46
Tsonga éliminé à Hambourg

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/7/13/large_389188.jpg Le Français Jo-Wilfried Tsonga, finaliste de l'Open d'Australie 2008, a quitté le tournoi Masters Series d'Hambourg dès le deuxième tour après sa défaite contre le Suédois Robin Söderling mercredi.

Tsonga, 18e joueur mondial, s'est incliné en deux manches (6-2, 7-5) contre un adversaire qui pointe au 48e rang du classement ATP. A onze jours de Roland Garros (25 mai-8 juin), Tsonga, de retour d'une blessure à un genou, n'a disputé que trois matches sur terre battue, un à Rome la semaine dernière et deux à Hambourg.

La veille, son compatriote Richard Gasquet, N.1 français et 9e joueur mondial, avait été éliminé dès son entrée en lice à Hambourg par l'Italien Andreas Seppi.(afp/7sur7)

Norton
14/05/2008, 19h52
Tennis: Safin et Federer en huitièmes à Hambourg, Tsonga sorti
mer. mai 14, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-05-14T160337Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-ATP-HAMBOURG-20080514.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-05-14T160337Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-ATP-HAMBOURG-20080514.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif


HAMBOURG (Reuters) - Le Russe Marat Safin, 89e au classement ATP, s'est qualifié pour les huitièmes de finale du tournoi Masters Series de Hambourg grâce à une victoire en deux sets 7-5 6-4 sur le Tchèque Tomas Berdych, tête de série n°9.
Il a été rejoint par le numéro un mondial Roger Federer, qui s'est facilement débarrassé du Finlandais Jarkko Nieminen.
Le Français Jo-Wilfried Tsonga a été sorti en deux manches par le Suédois Robin Söderling. Gilles Simon a connu le même sort face au Britannique Andy Murray (n°15).
Rafael Nadal a été accroché par l'Italien Potito Starace avant de s'imposer 6-4 7-6(6).
Deux têtes de série, l'Américain James Blake (n°7) et l'Espagnol Tommy Robredo (n°13), ont été éliminées.
Résultats (le numéro de tête de série précède le nom).
Ivo Karlovic (Cro) bat 13-Tommy Robredo (Esp) 3-6 6-2 7-6(3)
Janko Tipsarevic (Ser) bat 7-James Blake (E-U) 4-6 6-3 6-3
Albert Montanes (Esp) bat Jose Acasuso (Arg) 7-6(3) 6-3
12-Juan Monaco (Arg) bat Simone Bolelli (Ita) 6-2 6-1

Norton
15/05/2008, 19h40
Roger Federer en quarts de finale à Hambourg

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/10/6/art_large_390126.jpg
Le N.1 mondial Roger Federer s'est facilement qualifié pour les quarts de finale du tournoi Masters Series d'Hambourg en battant le Suédois Robin Söderling en deux manches (6-3, 6-2) jeudi.

Au prochain tour, Federer qui est le tenant du titre, sera opposé à l'Espagnol Fernando Verdasco, vainqueur à la mi-journée de son compatriote David Ferrer, 5e joueur mondial (7-6 (7/4), 6-2 ).
Verdasco, éliminé en 8e de finale du Masters Series de Rome la semaine dernière, pointe au 28e rang mondial.

Deux autres joueurs ont obtenu leur billet pour les quarts de finale et il s'agit de deux surprises: l'Italien Andreas Seppi, tombeur du Français Richard Gasquet au deuxième tour, a battu l'Argentin Juan Monaco, tête de série N.12 (6-0, 6-3) et l'Espagnol Albert Montanes a dominé le Serbe Janko Tipsarevic (6-2, 6-1).

Norton
15/05/2008, 19h42
Menaces d'Al-Qaïda contre l'Euro 2008

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/15/1/large_390046.jpg Le réseau Al-Qaïda menace d'organiser des attentats lors de l'Euro 2008 de football le mois prochain en Autriche et en Suisse, a déclaré un haut responsable de la police helvétique, dans une interview publiée jeudi par le quotidien suisse La Liberté.

"L'Eurofoot 2008 est une cible évoquée par le réseau terroriste islamiste. Nous suivons la situation de très près", a déclaré au journal Jürg Bühler, un responsable du service d'analyse et de prévention de la police fédérale suisse.

M. Bühler a évoqué des menaces d'attentats proférées ces dernières semaines sur des sites internet islamistes, comme cela avait été le cas en 2006 avant la Coupe du monde en Allemagne. "Nous nous sommes préparés à toute éventualité", a-t-il déclaré.

Norton
15/05/2008, 19h45
"Un plus grand impact que Merckx"

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/4/6/art_large_389661.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/0/2/art_large_389657.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/14/14/art_large_389654.jpg
Tous les quotidiens néerlandophones titrent jeudi sur Justine Henin, qui a annoncé mercredi la fin de sa carrière. Le ton général est au remerciement envers la plus grande sportive belge de tous les temps.

Het Nieuwsblad/De Standaard: "Un plus grand impact que Merckx"
Dans Het Nieuwsblad, Walter Wauters revient sur l'importance de Justine Henin dans le sport belge. "Elle n'a pas dominé son sport comme Eddy Merckx a cannibalisé le sien, mais vu la portée globale du tennis et la médiatisation accrue, son impact mondial est sans doute plus grand. Et l'importance de Justine va au-delà du cadre purement sportif. La petite Wallonne défendait avec fierté les couleurs belges. Henin a sans doute fait plus que bien des politiciens pour l'image de ce pays, salie par les scandales et les malversations. Hier, ce n'est pas seulement la numéro un mondiale qui a pris sa retraite, mais aussi une ambassadrice passionnée du royaume de Belgique. Merci, Justine".

Het Laatste Nieuws: "C'était beau"
Het Laatste Nieuws titre en une "Merci Justine" et "C'était beau" en première page de son supplément sports. "Dommage", écrit Filip Dewulf, ancien demi-finaliste à Roland Garros. "La haute conjoncture du tennis belge a connu une fin abrupte hier. A peine un an après Kim Clijsters, Justine Henin a fait ses adieux au tennis professionnel. Dommage, vraiment dommage. La Belgique ne connaîtra peut-être plus jamais une athlète de ce niveau. Quelqu'un qui a influencé son sport, qui a gagné la reconnaissance mondiale pour ses prestations et qui est devenu une star mondiale sur base de son talent".

Gazet Van Antwerpen/Het Belang Van Limburg: "Merci, Juju"
"Profitez de la vie, Justine", écrit Frank Van Roost dans Gazet Van Antwerpen et Het Belang Van Limburg. "Le départ de Juju est un coup dur pour le sport belge. Un an après les adieux de Kim Clijsters, c'est la fin du rêve tennistique pour la Belgique (...) Maintenant qu'elle a quitté la scène, Kim et Tia seront à l'avant-plan. Et de nouveaux talents devront émerger. Nous pouvons dire: Adieu et Merci, Justine! Et: Chapeau".


De Morgen: "Les adieux d'une reine du tennis"
Dans De Morgen, Hans Vandeweghe s'attarde sur la personnalité de Henin, et la perte en un an de temps des deux meilleures joueuses belges, en jugeant possible un éventuel retour de Justine Henin. "Justine Henin est lasse du tennis. Pour l'instant du moins. Nous pouvons attendre une conférence de presse où elle annonce qu'elle n'est plus lasse et qu'elle envisage un comeback".

Norton
15/05/2008, 19h47
Mondial hockey sur glace: le Canada et Russie en demis

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Le Canada croisera la crosse avec la Suède et la Russie tentera de prendre sa revanche sur la Finlande après sa défaite de l'an dernier, vendredi en demi-finales du Championnat du monde de hockey sur glace qui se déroule pour le première fois de l'histoire devant les supporters canadiens.

Le Canada a laminé la Norvège 8 à 2 mercredi en quart de finale, mais aura la vie beaucoup plus difficile dans sa demi-finale contre la Suède qui a triomphé de la République tchèque 3 à 2 sur un but chanceux en prolongation.

Les Canadiens avaient éliminé la Suède dans les demi-finales l'an dernier pour continuer leur ascension vers l'or. Le Canada veut accrocher cette année une 25e titre à son palmarès, devant ses fans. Le Canada n'a pas subi de défaite depuis le début du tournoi et sa formation ne compte que des joueurs du championnat nord-américain (LNH) avec en tête les francs-tireurs Rick Nash, Jason Spezza et Dany Heatley, meilleur marqueur depuis le début de la compétition.

"Nous avons une bonne équipe même si plusieurs de nos joueurs évoluent dans la ligue suédoise", s'est défendu l'attaquant suédois Anton Stralman, tout en reconnaissant que le Canada était un défi de taille pour les Scandinaves. "Nous devrons pratiquer un jeu très serré", a analysé l'entraîneur Bengt-Ake Gustafsson. Depuis le début de la compétition les succès de la Suède s'expliquent par une formation 1-4, un attaquant haut dans le territoire adverse et quatre joueurs bloquant la zone médiane, ainsi que par la forme du gardien Henrik Lunqvist, véritable forteresse sur patins.

Finlande-Russie
La Finlande a obtenu à l'arraché son billet pour les demi-finales avec une victoire 3 à 2 en prolongation contre les tenaces Américains. La Finlande menait 2 à 0 avec moins de cinq minutes à écouler mais Phil Kessel et Drew Stafford ont inscrit deux buts à 37 secondes d'intervalle imposant ainsi une période supplémentaire.

Sami Lepisto a finalement dénoué l'issue du match et permis aux Finlandais d'obtenir le dernier ticket disponible pour la demi-finale qui s'annonce ardue contre la Russie, seule équipe avec le Canada à ne pas avoir subi de défaite.

Les Russes ont écrasé les Suisses 6 à 0 en quarts de finale et leur jeu ne cesse de progresser après un début de compétition un brin chancelant. La Finlande avait éliminé la Russie en demi-finales l'an dernier à Moscou, un affront que les Alexander Ovechkin, Sergei Fedorov et Alexei Morozov veulent venger dès cette année.

"On veut changer l'histoire cette fois-ci", a déclaré l'entraîneur Vyacheslav Bykov à la tête de l'équipe nationale depuis l'été 2006 et ancien porte-drapeau de la Russie lors de sa dernière conquête de l'or, en 1993. "Ça fait deux ans que l'on veut former une équipe, ne pas jouer pour soi-même", a-t-il souligné, tout en précisant que le style russe, fondé sur des habilités techniques, devrait s'exprimer.

La Russie devra se passer de l'un de ses plus beaux joyaux, l'attaquant Ilya Kovalchuk suspendu pour le match de vendredi pour avoir écopé contre la Suisse d'une deuxième "inconduite de match" depuis le début du tournoi.

Norton
17/05/2008, 06h26
Rallye - WRC - Sardaigne - Loeb au rendez-vous

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Contraint de se relancer après ses déboires d'il y a trois semaines en Jordanie, et à ce titre très attendu par les observateurs comme par ses adversaires, Sébastien Loeb (Photo Reuters) a parfaitement entamé le rallye de Sardaigne, vendredi. Après la première journée, divisée en six spéciales, le quadruple champion du monde en titre, auteur de trois temps scratch, pointe en tête du classement. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, le pilote Citroën devance de 35 secondes son coéquipier espagnol Dani Sordo, de plus en plus à l'aise au volant de sa C4. Petter Solberg, sur sa Subaru, complète le podium provisoire, devant le pilote Ford Mikko Hirvonen qui pointe à déjà 58 secondes du Français.

Outre la grande forme de Sébastien Loeb, c'est là l'autre enseignement de la journée. Les Finlandais de Ford, qui mènent la vie dure au Français depuis le début de la saison, sont à la peine sur les routes de Sardaigne. Jari-Matti Latvala était pourtant parti en trombe en remportant de belle manière la première spéciale. Mais le plus jeune vainqueur d'un rallye de l'histoire du WRC est parti à la faute dès le deuxième secteur chronométré et perdant plus d'1'40'' dans la mésaventure. «Je suis sorti trop large d'un virage et j'ai heurté le talus, ce qui m'a fait déjanter. C'est entièrement de ma faute», assumait le Finlandais. Le voilà condamné à se lancer dans une remontée fantastique, tout en sachant que la victoire est désormais hors de portée.

Quant à Mikko Hirvonen, il n'est tout simplement pas dans le coup. Le leader du Championnat du monde a perdu du temps sur chaque spéciale, au point d'avoir quitté le podium en fin de journée. «C'était une journée étrange, je me sentais bien, la voiture marchait bien, je ne sais vraiment pas ce qui s'est passé, s'interrogeait le pilote Ford à son retour à Olbia. «Ce n'est pas à cause de ma position sur la route donc il doit y avoir autre chose, on va regarder les relevés de la télémétrie avec les ingénieurs». Trop tard, sans doute, pour rattraper un Sébastien Loeb lancé comme une fusée.

Norton
17/05/2008, 06h32
athletisme
Oscar Pistorius peut courir aux JO


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/athlet_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/athlet_zoom.jpg) Image © KeystoneLe sprinter sud-africain a gagné hier en appel devant le Tribunal arbitral du sport. Il doit maintenant réussir à se qualifier

- le 16 mai 2008,
Le Matin


Le sprinter amputé des deux jambes Oscar Pistorius a gagné en appel hier devant le Tribunal arbitral du sport et obtenu le droit de participer aux Jeux olympiques de Pékin.
Une audience de deux jours avait eu lieu devant une formation d'arbitres au siège du TAS le mois dernier. Le TAS a estimé que le Sud-africain de 21 ans était éligible pour les courses réservées aux athlètes valides.
Cette décision va à l'encontre d'une décision de l'IAAF (la fédération internationale d'athéltisme) qui avait jugé, le 14 janvier, que ses prothèses en fibre de carbone lui donnaient un avantage.
Le TAS a précisé que sa décision, prise à l'unanimité, prenait effet immédiatement.
«Comme vous pouvez l'imaginer, j'ai eu du mal à cacher mon sourire au cours de la dernière heure et demie», a réagi Pistorius devant la presse à Milan. «Je peux sans aucun doute dire que la vérité est sortie. Nous avons encore une fois la possibilité de poursuivre mon rêve de participer à des Jeux, si ce n'est pas en 2008 alors en 2012.» Pistorius doit encore réaliser les minima pour avoir le droit de s'aligner sur le 400 m individuel. Il peut cependant être retenu dans le relais sud-africain. Il détient le record du monde paralympique du 400 m en 46''56, mais ce chrono est au-dessus des minima olympiques, fixés à 45''55.
«Oscar sera le bienvenu partout où il souhaite concourir cet été», a déclaré dans un communiqué le président de l'IAAF, Lamine Diack.
Pas d'avantage
Pistorius a aussi l'intention de participer à Pékin aux Jeux paralympiques (6-17 septembre).
«Oscar Pistorius est un athlète déterminé et qui a du cran. Il ne fait aucun doute qu'il va désormais mettre toute son énergie pour atteindre les minima olympiques», a estimé le CIO dans un communiqué. «S'il réussit, (le CIO) sera ravi de l'accueillir.»
L'IAAF avait basé sa décision en se basant sur les études du professeur allemand Gert-Peter Brueggemann, qui estime que les prothèses de type «Cheetah» donnent un avantage à son utilisateur. Les avocats de Pistorius ont contré cet argument avec des tests réalisés au MIT, Hugh M. Herr, qui a affirmé que le sprinter n'était pas avantagé.
«La formation n'a pas été convaincue de l'existence d'un avantage», a jugé le TAS.
Pistorius est né sans péronés et avait seulement 11 mois quand il a été amputé des deux jambes sous le genou.

Norton
17/05/2008, 16h34
Une agence de pub exploite l'affaire des travestis de Ronaldo

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/10/12/art_large_391452.jpg "Ne prenez pas des vessies pour des lanternes. Seul un Bom Bril est un Bom Bril". Une nouvelle agence de pub s'amuse du scandale sexuel dont le footballeur Ronaldo a été victime.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/13/0/art_large_391455.jpg L'affaire Ronaldo avait déjà été détournée par la marque Varilux, fabriquant des verres de contact, sous le slogan "Pour ne pas emmener André au lieu d'Andrea, prenez Varilux".

Une agence de publicité tire profit avec humour de l'affaire du footballeur brésilien Ronaldo (AC Milan), compromis récemment avec des travestis à Rio, pour promouvoir les éponges en acier d'un fabricant de produits d'entretien, rapporte la presse ce vendredi.

La photo publicitaire de l'entreprise "Bom Bril" est diffusée par les principaux médias du Brésil accompagnée du slogan: "Ne prenez pas des vessies pour des lanternes. Seul un Bom Bril est un Bom Bril". L'image fait apparaître un acteur connu, qui réalise depuis 30 ans les spots publicitaires de Bom Bril, incarnant un Ronaldo affublé d'une perruque afro, encadré par deux hommes travestis en femmes. Les éponges en acier pour récurer les casseroles s'appellent au Brésil des "Bom Bril", du nom de la marque historique du fabricant qui détient plus de 60% des parts de ce marché dans le pays.

Ronaldo, officiellement toujours en convalescence après une opération d'un genou en février, a récemment fait l'objet d'un scandale après une longue nuit de fête qui s'était terminée à l'aube du 28 avril à Rio, quand croyant se retrouver avec des prostituées femmes, le footballeur a eu la mauvaise surprise de découvrir qu'il avait affaire à des travestis. Des travestis qui ont ensuite décidé, selon lui, de le faire chanter. Ronaldo a affirmé par la suite avoir porté plainte pour tentative d'extorsion après que la soi-disant prostituée, Andreia Albertine (en réalité André Luiz Ribeiro Albertino, un travesti de 21 ans), lui eût demandé 30.000 dollars pour étouffer le scandale.

L'affaire Ronaldo, dont la presse brésilienne et internationale a fait des gorges chaudes, avait déjà été détournée par la marque Varilux, fabriquant des verres de contact, sous le slogan :"Pour ne pas emmener André au lieu d'Andrea, prenez Varilux".

:D:D:DMister Pro..........

Norton
17/05/2008, 16h52
Larry Cols pourra rentrer chez lui ce samedi

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Le pilote de rallye Larry Cols travaille avec énergie à sa rééducation après le terrible accident survenu le 10 mars dernier lors d'essais. Cols a quitté ce jour-là la route et heurté violemment un arbre alors qu'il préparait l'East Belgian Rally. L'ingénieur de Volkswagen Hans Goudezeune, qui occupait le siège du co-pilote, est décédé dans l'accident. Cols a de son côté été plongé dans le coma pendant plusieurs semaines. Il a pu quitter l'hôpital au début du mois d'avril et pourrait rentrer chez lui pour la première fois ce samedi.

"Depuis deux semaines Larry travaille journellement à sa rééducation au Centre Neurologique de Fraiture", a expliqué ce vendredi son père Jean-Marie Cols. "Aujourd'hui il a pu pour la première fois faire des exercices de renforcement musculaire en piscine. Et demain il pourra rentrer pour la première fois chez lui. Cela s'effectuera dans un véhicule spécial. Larry reste assis dans une chaise spéciale. Il faut attendre comment il va supporter le transport en voiture. Peut-être devra-t-il encore rester au centre de revalidation. Si cela se passe bien ce sera son premier week-end sans kiné ou soins. Larry a encore des problèmes de vue. Cela est dû au fait que l'oedème cérébral n'est pas encore totalement résorbé. Il presse encore à certains endroits du cerveau, ce qui affecte la vue."

Larry Cols a appris il y a trois semaines ce qui s'est passé le 10 mars. "Nous lui avons tout expliqué et aussi que son ingénieur était mort", a raconté Jean-Marie Cols. "Il a bien réagi. J'ai littéralement dit à mon fils qu'il n'avait pas tué Hans, que c'était un accident, que Hans était à ses côtés. Ils auraient tout aussi bien pu être tués tous les deux ou sortir indemnes. C'était un accident. Larry a accepté l'explication. Il n'a pas de sentiment de culpabilité. Pas d'angoisse non plus. Larry ne se souvient plus du jour fatal, ni de l'accident. Il ne se souvient de choses que depuis le début avril, ce qui est normal, selon les médecins. Il continue à prendre des médicaments. La question est de savoir comment il réagira quand il ne prendra plus de médicament."

Selon Jean-Marie Cols, son fils a un bon moral. "Il est persuadé de pouvoir travailler au garage dans deux semaines. Il doit encore renforcer ses muscles pendant deux semaines et il essayera ensuite de faire ses premiers pas. Il fait des projets, parle même de refaire du rallye, mais seulement s'il retrouve son niveau. Parfois je crains que aille trop vite, trop bien. Nous verrons bien ce que sera l'avenir."

Norton
17/05/2008, 16h55
Roger Federer en finale du tournoi de Hambourg

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/10/1/art_large_391741.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/7/13/art_large_391738.jpg
Le Suisse Roger Federer, numéro 1 mondial, s'est qualifié pour la finale du tournoi de tennis sur terre battue de Hambourg (Allemagne), épreuve de l'ATP Masters Series dotée de 2,27 millions d'euros en battant ce samedi l'Italien Andreas Seppi 6-3, 6-1.

Comme depuis le début de la semaine, Federer a outrageusement dominé son adversaire, 43e au classement ATP, qui disputait sa première demi-finale d'un Masters Series. Le Suisse, tenant du titre et vainqueur à quatre reprises sur le terre battue de Hambourg, n'a perdu que 19 jeux en quatre matches.

En finale dimanche, il aura une tâche beaucoup plus compliquée, puisqu'il affrontera le vainqueur du match qui oppose l'Espagnol Rafael Nadal au Serbe Novak Djokovic.

:content::content:Le choc des TITANS....................

Norton
18/05/2008, 06h07
Rallye, Sardaigne, Etape 2 http://www.sport24.com/design/plain_site/images/picto_bulleinfo.png (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/latvala-sur-sa-lancee-149853/#alerte)
Latvala sur sa lancée (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/latvala-sur-sa-lancee-149853/#)

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/auto-moto/rallye/actualites/latvala-sur-sa-lancee-149853/2784937-1-fre-FR/latvala-sur-sa-lancee_actus.jpg Jari-Matti Latvala a survolé la deuxième journée en Sardaigne (Reuters) Jari-Matti Latvala a poursuivi sa belle journée sur les routes de Sardaigne. Le Finlandais est revenu à hauteur de Mikko Hirvonen. Deux hommes qui comptent moins de 30 secondes de retard sur Sébastien Loeb.
par Mathieu Idiart, le 17-05-2008

C’était la journée Latvala sur le Rallye de Sardaigne ! Le Finlandais a tout simplement fait le carton plein lors de la deuxième journée en remportant les six spéciales disputées. De quoi oublier son erreur de pilotage dès la deuxième spéciale. «Tout s’est bien passé. Quelques parties étaient très glissantes mais je suis content d’être revenu. Cela devient intéressant. Pourvu que cela continue», espère avec gourmandise un Latvala qui est désormais ex-aequo avec Mikko Hirvonen. La bataille pour la deuxième place promet d’être âpre dimanche. Tellement qu’elle pourrait amener les deux hommes à se découvrir des ambitions plus importantes. A force de se battre à coups de secondes, les deux pilotes finlandais ont grappillé leur retard sur Sébastien Loeb qui devra faire preuve d’une grande vigilance pour conserver sa première place et faire un nouveau pied de nez aux pontes de la Fédération internationale en se présentant sur le podium avec son look qui a beaucoup fait parler dernièrement.
Galli dépasse Sordo
Après avoir remporté les trois premières spéciales de la journée, Jari-Matti Latvala n’a pas été perturbé par la pause. Les trois suivantes étaient également à son goût. Des tracés qui ont aussi convenu à Gigi Galli. L’Italien a repris la quatrième place au général à Dani Sordo qui a vécu une très mauvaise journée notamment dans la matinée. «Je conduis actuellement à 101 % de mes possibilités et de celles de la voiture», a déclaré Galli à l’issue de la 11e spéciale qui lui a permis de passer l’Espagnol. Ce n’est pas le cas des Subaru qui souffrent d’un déficit de vitesse. «Nous avons un problème avec les nouveaux pneus durs. Quand les conditions sont fraîches comme ce matin, ces pneus sont en difficulté», regrette le directeur de Subaru, David Richards. La dernière journée comportera dimanche cinq spéciales dont une mini-spéciale de 2,69 km pour finir à Liscia Ruja. Auparavant, la décision se sera faite dans les contours de Monte Olia et aux abords de Sorlis.
Le rallye en images :

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/media/images/sordo-en-action/2783527-1-fre-FR/sordo-en-action_large.jpg (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/diaporamas/rallye-de-sardaigne-2008/une-partie-de-tennis-pour-matthew-wilson/#blocsDiaporama)




Le film des spéciales :
Classement de l’ES10 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 12’43’’3
2. Hirvonen (Fin, Ford) +6’’0
3. Galli (Ita, Ford) +8’’1
4. Loeb (Fra, Citroën) +12’’8
5. Sordo (Esp, Citroën) +20’’7
Classement de l’ES11 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 12’43’’3
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 4’’3
3. Galli (Ita, Ford) à 10’’5
4. Loeb (Fra, Citroën) à 12’’4
5. Sordo (Esp, Citroën) à 25’’8
Classement de l’ES12 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 12’25’’6
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 2’’8
3. Loeb (Fra, Citroën) à 3’’5
4. Galli (Ita, Ford) à 7’’5
5. P.Solberg (Nor, Subaru) à 17’’6
Classement général :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 2h59’21’’5
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 29’’4
3. Latvala (Fin, Ford) à 29’’4
4. Galli (Ita, Ford) à 1’17’’7
5. Sordo (Esp, Citroën) 1’31’’3

Norton
18/05/2008, 06h09
Nadal rejoint Federer en finale à Hambourg

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L'Espagnol Rafael Nadal affrontera le N.1 mondial Roger Federer dimanche en finale du tournoi Masters Series de Hambourg pour une réédition de la finale de l'édition 2007.

Nadal, roi de la terre battue, a dominé le Serbe Novak Djokovic à l'issue d'une demi-finale palpitante (7-5, 2-6, 6-2) samedi. Le triple vainqueur de Roland Garros est assuré de conserver sa deuxième place au classement mondial que Djokovic, vainqueur du Masters Series de Rome dimache dernier, aurait atteint en cas d'accession à la finale.

Nadal retrouvera Federer pour une revanche de la finale 2007 remportée 2-6, 6-2, 6-0 par le N.1 mondial qui avait mis fin à la série de 81 victoires consécutives de l'Espagnol sur terre battue. Les deux joueurs se sont déjà affrontés à 15 reprises et Nadal mène par neuf victoires dont sept sur terre battue. Federer s'est facilement qualifié pour la finale en battant l'Italien Andreas Seppi 6-3, 6-1.

Comme depuis le début de la semaine, Federer a outrageusement dominé son adversaire, 43e au classement ATP, qui disputait sa première demi-finale d'un Masters Series. Le Suisse, tenant du titre et vainqueur à quatre reprises sur le terre battue de Hambourg, n'a perdu que 19 jeux en quatre matches

Résultats:
Simple messieurs (demi-finales):
Roger Federer (Sui/N.1) bat Andreas Seppi (Ita) 6-3, 6-1
Rafael Nadal (Esp/N.2) bat Novak Djokovic (Ser/N.3) 7-5, 2-6, 6-2

Norton
18/05/2008, 06h11
Lyon remporte son 7e titre de champion de France d'affilée

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Lyon a remporté son 7e titre de champion de France d'affilée, un record, après sa victoire à Auxerre (0-3), samedi lors de la 38e et dernière journée du Championnat.

Les Lyonnais, qui possédaient deux points d'avance sur leur dauphin bordelais et bénéficiaient, avant leur déplacement à Auxerre, d'une différence de buts largement favorable (+35 contre +27), n'avaient besoin que d'un point pour célébrer un nouveau sacre. Mais Benzema a tué tout suspense dès la 1re minute de jeu en ouvrant le score, imité 9 minutes plus tard par Fred puis en seconde période par Källstrom (53e). La réduction du score par F. Thomas (78) n'y fit rien.

L'OL boucle la saison avec quatre longueurs d'avance sur Bordeaux, tenu en échec à Lens (2-2). Avec 74 buts, les Rhodaniens battent également leur record de buts inscrits en une saison. Lyon, qui domine la D1 depuis 2002, a connu un championnat particulièrement mouvementé et une concurrence acharnée de la part de Nancy puis de Bordeaux. C'est la première fois depuis 2003-2004 que l'OL doit attendre la dernière journée pour fêter son titre.

Malgré l'émergence de Benzema, meilleur buteur de D1 (20 buts), et de Ben Arfa, Lyon ne s'est jamais vraiment remis des départs de trois de ses cadres, Florent Malouda (Chelsea), Eric Abidal (FC Barcelone) et Tiago (Juventus Turin). Les graves blessures de Coupet et de Cris ont également perturbé la première partie de saison des Lyonnais. Le nouvel entraîneur Alain Perrin, arrivé pour remplacer Gérard Houllier, n'a, lui, jamais réussi à faire l'unanimité au sein du vestiaire et a échoué comme son prédécesseur en 8e de finale de la Ligue des champions contre Manchester United.

Norton
18/05/2008, 18h10
:fou:
Nadal fait tomber Federer dans son jardin

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L'Espagnol Rafael Nadal a mis un terme à la domination de son grand rival Roger Federer, N.1 mondial, dans le Masters Series de Hambourg, épreuve de l'ATP dotée de 2,27 millions d'euros, en remportant dimanche l'édition 2008 au terme d'une finale palpitante. Nadal, N.2 mondial et triple vainqueur de Roland-Garros, s'est imposé en trois manches 7-5, 6-7 (3/7), 6-3, pour enlever à 21 ans son 26e titre sur le circuit ATP.

L'Espagnol, qui restait sur une piteuse élimination dès son entrée en lice à Rome la semaine dernière, a marqué les esprits à une semaine de Roland-Garros (25 mai-8 juin) en dominant tour à tour le Serbe Novak Djokovic, 3e joueur mondial, et Federer. Il a pris sa revanche sur Federer, qui l'avait battu l'an dernier à ce stade de la compétition et avait mis un terme à son impressionnante série de 81 victoires consécutives sur terre battue.

Cette fois, c'est Nadal qui met un terme à une belle série de Federer, qui était invaincu depuis 2004 à Hambourg, soit 21 victoires de rang sur sa terre battue fétiche.

Le Majorquin était pourtant en fâcheuse posture dans le premier set, où il était mené 1-5, avant de faire appel au médecin du tournoi pour une douleur au quadriceps de la cuisse droite. Cette pause lui a permis de se relancer tandis que Federer, quadruple vainqueur à Hambourg, est sorti de la rencontre: Nadal a remporté six jeux consécutifs pour empocher le premier set.

Dans la deuxième manche, Federer s'est d'abord échappé en menant 4-1, puis 5-3, avant de laisser Nadal revenir à 6-6, mais le Suisse, très agressif, n'a laissé aucune chance à son adversaire dans le jeu décisif enlevé 7 points à 3. Nadal prenait d'entrée les choses en mains dans la dernière manche pour mener 4-1, puis 5-2 et empocher le titre à 6-3.
:pleure:

Norton
18/05/2008, 18h13
40e victoire de Loeb en Sardaigne

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Le Français Sébastien Loeb et le Monégasque Daniel Elena (Citroën C4) ont remporté le rallye de Sardaigne, leur 40e victoire en Championnat du monde WRC, dimanche à Porto Cervo, devant les Finlandais Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala (Ford Focus).

Loeb, en tête depuis la 2e épreuve spéciale, a finalement devancé Hirvonen, auteur de deux temps scratch dimanche matin (ES13, ES16), de 10 secondes 6/10, et Latvala, dix temps scratch au total, de 15 secondes 3/10, après trois jours de suspense et plus de 350 km chronométrés en 17 épreuves spéciales.

Cette 40e victoire en WRC, dont trois en Sardaigne (2005, 2006, 2008), ne permet pas à Loeb de reprendre la tête du championnat pilotes, toujours occupée par Hirvonen avec 43 points. Hirvonen, moins rapide que Latvala mais très régulier aux places d'honneur, a toujours trois points d'avance sur Loeb qui a marqué 40 points pour quatre victoires cette saison, à Monte-Carlo, au Mexique, en Argentine et donc en Sardaigne.

La dernière épreuve spéciale, longue de 2,69 km, était tracée dans le maquis sarde, tout près de Porto Cervo. Loeb a été accueilli à l'arrivée de la spéciale, devant les caméras de TF1, par sa femme Séverine et sa fille Valentine, âgée de quelques mois. "On a gagné", a dit le jeune père de famille à sa petite fille posée sur ses genoux, dans le baquet de la Citroën C4. Puis Hirvonen et Latvala sont venus le féliciter chaleureusement à l'arrivée de la spéciale.

Quelques minutes plus tard, toute l'équipe Citroën Sport rejoignait Loeb sur un podium de carte postale, sur la place de la célèbre station balnéaire sarde. (afp)

:diable:Voilà qui devrait faire plaisir à...........................quelqu'un

Norton
18/05/2008, 18h15
L'Inter remporte son 16e titre de champion

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L'Inter de Milan a remporté dimanche le championnat d'Italie grâce sa victoire à Parme (0-2) lors de la 38e et dernière journée. Le club milanais, qui devait gagner pour être sûr de s'emparer du scudetto tandis que la Roma (2e) jouait à Catane, s'est imposé grâce à un doublé de Zlatan Ibrahimovic.


Sous une pluie battante, l'attaquant, entré en jeu au début de la seconde période à la place du Brésilien Cesar (51), a ouvert le score d'une frappe croisée à ras de terre (62) avant de doubler la mise d'une reprise de volée suite à un centre de Maicon (79). Touché à un genou, le Suédois n'avait pourtant plus joué depuis le 29 mars.

Il s'agit du 16e titre pour le club milanais, qui fêtait ses 100 ans en 2008, et le 3e consécutif (le scudetto 2006 a été attribué suite au déclassement de la Juve et de l'AC Milan impliqués dans le scandale des matches truqués).

Ce titre ponctue une saison au cours de laquelle l'Inter a pris seule la tête lors de la 6e journée, fin septembre, sans plus jamais l'abandonner ensuite. Mais, moins rayonnante que la saison passée où elle avait été sacrée à cinq journées de la fin, l'équipe lombarde a beaucoup souffert pour accrocher son 16e scudetto.

Si elle n'a concédé que trois défaites en 38 matches, elle a dû attendre l'ultime journée pour être sacrée, tout à la fois parce que la Roma ne lui a pas laissé de répit, revenant à un point après la 37e journée, et parce que la pression lui a fait commettre des erreurs (2-2 à domicile contre Sienne à l'avant-dernière journée après avoir mené deux fois au score) avant qu'elle ne s'impose finalement à Parme.

L'AS Roma, de son côté, n'a pas grand chose à regretter. Distancée de 11 points à la mi-février, elle a su revenir et mettre jusqu'au bout la pression sur son rivale. Elle a conclu son championnat en faisant match nul à Catane (1-1). L'équipe romaine aura toutefois l'occasion de prendre une petite revanche dès samedi au stade Olympique de Rome, où elle affrontera l'Inter en finale de la Coupe d'Italie pour la 4e année consécutive.

Norton
19/05/2008, 06h17
HOCKEY - MONDIAUX 2008 - CANADA - RUSSIE 4-5 ap
Slava Bykov offre l'or à la Russie


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/bykov_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/bykov_zoom.jpg) Image © Keystone

Porté en triomphe, Slava Bykov a permis à son équipe de célébrer son 24e sacre mondial en la façonnant à son image.Le sélectionneur «fribourgeois» des Russes a réussi là où tant de ses prédécesseurs avaient échoué. Kovalchuk obtient le but de la victoire dans la prolongation

Emmanuel Favre/Québec - le 18 mai 2008, 23h49
Le Matin



D'autres, derrière le banc russe, s'étaient systématiquement cassé les dents lors des grandes compétitions internationales. Mais, lui, Slava Bykov, ce technicien titulaire du passeport à croix blanche, cet ancien chasseur de points dans la tunique de FR Gottéron et de Lausanne, a effacé quinze ans de frustration dans son pays à sa deuxième tentative.
L'homme dont le tricot flanqué du No 90 veille sur la patinoire de Saint-Léonard, a permis à la Russie de célébrer un 24e sacre mondial (et ainsi de rejoindre le Canada dans le palmarès) parce qu'il a façonné une équipe à son image. Talentueuse, mais modeste. Rapide, mais structurée. Les 50% de son groupe n'étaient pas constitués de patineurs évoluant dans leur championnat national? Le Tsar ne s'était-il pas privé de quelques «money makers», comme Alex Kovalev, pour ne pas nuire au collectif qu'il voulait créer? N'avait-il pas assumé ses décisions sans chercher à se dérober?
Bykov avait tracé sa ligne. Les joueurs, qui ont de surcroît profité de l'apport du gardien Evgeny Nabokov pour chasser leurs vieux démons, l'ont suivi à la lettre. Ou presque. La trame de la finale résume à elle seule le changement qui s'est opéré au sein de la «Sbornaja». Il y a quelques années encore, si la Russie avait été menée de deux buts à quinze minutes du coup de klaxon, elle ne serait pas revenue au score.
Le Canada ou la malédiction du pays organisateur
Hier, elle l'a fait en profitant de la seule faiblesse du Canada: son organisation défensive. Et en tirant profit des nouvelles règles d'arbitrage: dans la prolongation, Ilja Kovalchuk (l'étoile qui avait été exclue contre la Suisse pour avoir asséné un coup de canne à Julien Vauclair) a enfilé le goal victorieux alors que Rick Nash était en prison pour avoir expédié le puck dans le public. Ce goal était le premier réussi par les Russes dans une prolongation d'un match éliminatoire des championnat du monde. Avant cela, les Russes avaient disputé quatre «quatrièmes tiers» et connu quatre désillusions.
Le Canada, lui, a été victime de la malédiction qui plane sur le pays organisateur des Mondiaux. Depuis 1986 (l'URSS à Moscou), aucune nation hôte ne s'est parée du plus beau des métaux.
CANADA - RUSSIE 4-5 ap (3-1 1-1 0-2)
Colisée, Québec. 13 339 spectateurs (à guichets fermés).
Arbitres: MM. Larking, Vinnerborg (Su)/Feola (EU), Fonselius (Fin).
Buts: 2e Semin (Ovechkin, Fedorov) 0-1. 4e Burns (Roy, Green) 1-1. 10e Kunitz 2-1. 15e Burns (St-Louis, Heatley/5 c 3) 3-1. 22e Semin (Korneyev, Andrei Markov/5 c 4) 3-2. 30e Heatley (Getzlaf) 4-2. 49e Tereshchenko (Semin, Tyutin) 4-3. 55e Kovalchuk (Proshkin, Radulov) 4-4. 63e Kovalchuk (Fedorov, Ovechkin/4 c 3) 4-5.
Canada: Ward; Jovanovski, Staios; Hamhuis, Bouwmeester; Keith, Burns; Green; Kunitz, Staal, St-Louis; Nash, Getzlaf, Heatley; Chimera, Spezza, Sharp; Roy, Toews, Doan; Mayers.
Russie: Nabokov; Nikulin, Andrei Markov; Korneyev, Grebeshkov; Proshkin, Tyutin; Daniil Markov, Kalinin; Morozov, Zinoviev, Kovalchuk; Semin, Fedorov, Ovechkin; Sushinskiy, Gorovikov, Zaripov; Afinogenov, Tereshchenko, Radulov.
Notes: Tir sur le poteau: St-Louis (7e). Temps-morts: Russie (14'51'), Canada (54'46'').
Pénalités: 4 x 2' contre le Canada; 6 x 2' contre la Russie.

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/hockey_______en_une.jpg

Dans la prolongation, Ilja Kovalchuk a enfilé le goal victorieux à Ward. Photo © Keystone

:content::content::diable: Match FANTASTIQUE

Belledenuit
19/05/2008, 09h00
40e victoire de Loeb en Sardaigne

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Le Français Sébastien Loeb et le Monégasque Daniel Elena (Citroën C4) ont remporté le rallye de Sardaigne, leur 40e victoire en Championnat du monde WRC, dimanche à Porto Cervo, devant les Finlandais Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala (Ford Focus).

Loeb, en tête depuis la 2e épreuve spéciale, a finalement devancé Hirvonen, auteur de deux temps scratch dimanche matin (ES13, ES16), de 10 secondes 6/10, et Latvala, dix temps scratch au total, de 15 secondes 3/10, après trois jours de suspense et plus de 350 km chronométrés en 17 épreuves spéciales.

Cette 40e victoire en WRC, dont trois en Sardaigne (2005, 2006, 2008), ne permet pas à Loeb de reprendre la tête du championnat pilotes, toujours occupée par Hirvonen avec 43 points. Hirvonen, moins rapide que Latvala mais très régulier aux places d'honneur, a toujours trois points d'avance sur Loeb qui a marqué 40 points pour quatre victoires cette saison, à Monte-Carlo, au Mexique, en Argentine et donc en Sardaigne.

La dernière épreuve spéciale, longue de 2,69 km, était tracée dans le maquis sarde, tout près de Porto Cervo. Loeb a été accueilli à l'arrivée de la spéciale, devant les caméras de TF1, par sa femme Séverine et sa fille Valentine, âgée de quelques mois. "On a gagné", a dit le jeune père de famille à sa petite fille posée sur ses genoux, dans le baquet de la Citroën C4. Puis Hirvonen et Latvala sont venus le féliciter chaleureusement à l'arrivée de la spéciale.

Quelques minutes plus tard, toute l'équipe Citroën Sport rejoignait Loeb sur un podium de carte postale, sur la place de la célèbre station balnéaire sarde. (afp)

:diable:Voilà qui devrait faire plaisir à...........................quelqu'un

YESSSSSSSSSSSSSSSS !!!!!!! C'est le meilleur :content::content::content::amoureux::amoureux::am oureux:

Norton
20/05/2008, 05h23
Maradona, grandeur et décadence d'une star du ballon rond

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/0/13/large_392938.jpg Héros du documentaire d'Emir Kusturica présenté mardi hors compétition à Cannes, Diego Maradona, dieu vivant en Argentine, est un génie du ballon rond à la gloire déchue, solitaire, un temps obèse, drogué et alcoolique, mais toujours adulé.

En dépit de tous ses excès, Diego Armando Maradona, né en 1960 à Buenos Aires, restera pour toujours le "diez", le numéro dix, capable de marquer les plus beaux buts de l'histoire du football à l'instar du roi Pelé, finalement son seul rival.

Ange ou démon?
Ange ou démon ? La polémique n'a jamais cessé. Sans doute est-il tout simplement un "gamin en or" ("Pibe de oro"), issu des quartiers pauvres, tombé dans le chaudron de la Bombonera, le stade du club Boca Juniors, quand il était petit, et qui n'a plus jamais voulu grandir.
Parmi les milliers de photos accompagnant la gloire puis la déchéance de Maradona, deux images résument sa vie.

La première remonte à 1986, un soir de finale de Coupe du Monde, dans le mythique stade Aztèque de Mexico, où Maradona n'est qu'un immense sourire en brandissant le trophée mondial. Il est au sommet de son art.

La main de Dieu
Son but inscrit de la main contre les Anglais en quarts de finale a fait hurler de joie tout un peuple qui a accepté l'explication improvisée et géniale de Maradona: "la main de Dieu". Mais, les fans de football se repasseront inlassablement son deuxième but contre ces mêmes Anglais, un chef-d'oeuvre d'intuition et de talent pur.

"J'avais envie de m'arrêter de jouer pour le regarder", avouera son équipier Jorge Valdano. Le second cliché date du 26 avril 1991. Beaucoup moins glorieux. Hirsute, bouffi, mal rasé, l'oeil éteint, Maradona sort de son domicile de Buenos Aires entouré de deux policiers venus l'arrêter pour détention et consommation de cocaïne. Il a perdu sa superbe.

C'est le début de la déchéance, des déclarations tapageuses, des outrances de tous ordres, des retours au premier plan soigneusement orchestrés par un entourage de requins. Les cures de désintoxication vont désormais alterner avec les rechutes.

Après avoir goûté à la drogue dans le barrio Chino de Barcelone au début des années 1980, son accoutumance n'a pas faibli pendant les années de gloire à Naples. Le football l'a fait roi, mais Maradona a payé cher cette gloire qu'il n'a jamais apprivoisée. Sali par les scandales, sous le coup d'une suspension de deux ans pour un nouveau contrôle positif, il quitte officiellement le monde du football, à 37 ans, le jour de son anniversaire.

Loin des stades, la déchéance va s'accélérer
En 2000, il est hospitalisé à Punta del Este, célèbre station balnéaire d'Uruguay, pour une crise cardiaque liée à la drogue.

Il s'en sort et part à Cuba en désintoxication. Quatre ans d'allers et retours entre l'Argentine et sa seconde patrie ne réussiront pas à le guérir durablement de sa dépendance à la cocaïne. En 2004, il frôle la mort après un accident cardio-vasculaire à l'issue duquel il repart à La Havane.

L'année suivante, il subit à Bogota une opération chirurgicale destinée à réduire la capacité d'absorption de son estomac, ce qui lui permet de perdre près de 50 kilos.

"La nuit du 10"
L'Argentine veut à nouveau y croire. Fin 2005, charmeur et en forme, il bat des records d'audience avec son émission télévisée "La nuit du 10" où il invite notamment son grand rival Pelé. Pourtant, Diego se met à boire, grossit, fume et rechute dans une crise hépathique qui le ramène à l'hôpital début 2007.

Une fois encore, il s'en sort. Depuis, il se mêle volontiers de politique, multipliant les déclarations anti-américaines et de soutien à Fidel Castro.

Norton
20/05/2008, 05h28
:diable:
GROGNE
Domenech fait chasser des commerçants de son hôtel


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/hotel_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/hotel_zoom.jpg)Image © Keystone

L'entraîneur des Bleus veut un hôtel sans commerçants pour préparer ses matches.

A part le fitness, les boutiques du Mirador, hébergeant les Bleus, seront en congé forcé

Raphaël pomey - le 19 mai 2008, 21h21
Le Matin Bleu

La période de l'Eurofoot ne profitera pas à tout le monde. Au Mirador Kempinski, l'hôtel au-dessus de Vevey (VD) où logeront les Bleus, les centres de wellness et les boutiques (coiffeur, habits) devront rester fermés tout le mois prochain: «Exigence de Raymond Domenech!» explique-t-on, désabusé, au centre Cambuzat, spécialisé dans la perte de poids. «Pour nous, c'est un gros manque à gagner, d'autant plus qu'aucun dédommagement n'est prévu. Et quelques-uns de nos clients sont très en colère. Certains suivent des soins qui exigent un suivi régulier.»
Comme eux, plusieurs enseignes de l'hôtel situé au-dessus de Vevey confirment qu'une longue traversée du désert les attend. Mais la plupart tiennent à garder l'anonymat, affirmant avoir reçu l'interdiction de parler à la presse. Seul le dentiste confie que des petits malins ont tenté de prendre rendez-vous chez lui pour pouvoir approcher les Henry, Benzema et autres stars du ballon rond durant leur repos. Sur ordre, il n'en dit pas plus. Du côté des responsables de l'hôtel, on ne lâche rien: «L'équipe de France a privatisé tout le site, explique Tania Winter, directrice vente et marketing. Nous n'en dirons pas davantage.»
Toutes les équipes sont-elles aussi tyranniques? Pas vraiment. Au Beau Rivage de Lausanne, les Hollandais cohabiteront avec les clients de l'hôtel et ne demandent aucun traitement de faveur. «Il est exclu de traiter différemment une équipe de foot de nos autres clients, explique Alessandra Hemmeler, porte-parole. Leur venue ne perturbera pas nos services. C'est une question de respect pour nos hôtes habituels.»

Malade Domenech:boutons:

nofoot
20/05/2008, 06h02
:diable:
GROGNE
Domenech fait chasser des commerçants de son hôtel



http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/hotel_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/05/hotel_zoom.jpg)Image © KeystoneL'entraîneur des Bleus veut un hôtel sans commerçants pour préparer ses matches.
A part le fitness, les boutiques du Mirador, hébergeant les Bleus, seront en congé forcé

Raphaël pomey - le 19 mai 2008, 21h21
Le Matin Bleu

La période de l'Eurofoot ne profitera pas à tout le monde. Au Mirador Kempinski, l'hôtel au-dessus de Vevey (VD) où logeront les Bleus, les centres de wellness et les boutiques (coiffeur, habits) devront rester fermés tout le mois prochain: «Exigence de Raymond Domenech!» explique-t-on, désabusé, au centre Cambuzat, spécialisé dans la perte de poids. «Pour nous, c'est un gros manque à gagner, d'autant plus qu'aucun dédommagement n'est prévu. Et quelques-uns de nos clients sont très en colère. Certains suivent des soins qui exigent un suivi régulier.»
Comme eux, plusieurs enseignes de l'hôtel situé au-dessus de Vevey confirment qu'une longue traversée du désert les attend. Mais la plupart tiennent à garder l'anonymat, affirmant avoir reçu l'interdiction de parler à la presse. Seul le dentiste confie que des petits malins ont tenté de prendre rendez-vous chez lui pour pouvoir approcher les Henry, Benzema et autres stars du ballon rond durant leur repos. Sur ordre, il n'en dit pas plus. Du côté des responsables de l'hôtel, on ne lâche rien: «L'équipe de France a privatisé tout le site, explique Tania Winter, directrice vente et marketing. Nous n'en dirons pas davantage.»
Toutes les équipes sont-elles aussi tyranniques? Pas vraiment. Au Beau Rivage de Lausanne, les Hollandais cohabiteront avec les clients de l'hôtel et ne demandent aucun traitement de faveur. «Il est exclu de traiter différemment une équipe de foot de nos autres clients, explique Alessandra Hemmeler, porte-parole. Leur venue ne perturbera pas nos services. C'est une question de respect pour nos hôtes habituels.»

Malade Domenech:boutons:


faut virer ce con de la tete de l'equipe de france qu'il retourne a ces pieces de theatre

Norton
21/05/2008, 14h10
Finale anglaise à Moscou entre Chelsea et Man U

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Ces poupées russes à l'effigie des finalistes anglais devraient se vendre comme des petits pains aujourd'hui. Si le budget "bière" des fans britanniques le permet...


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Neuf ans après le sacre inespéré de 1999, Alex Ferguson et Manchester United repartent à l'assaut de la Ligue des champions, mercredi à Moscou, au cours d'une finale 100% anglaise face à Chelsea dont le succès couronnerait enfin les investissements pharaoniques du milliardaire russe Roman Abramovitch.

Les deux équipes ont décidément pris l'habitude de ne pas se quitter cette saison. Adversaires directs pour le titre de champion d'Angleterre, elles vont désormais se livrer à une explication au sommet pour connaître l'identité du successeur de l'AC Milan et du nouveau roi de l'Europe. Entre Chelsea et Manchester United, c'est aussi une lutte d'égos, ceux d'Abramovitch et de Ferguson. Il y a deux ans, le manageur écossais de MU avait le spleen. Ses Red Devils n'avaient pas réussi à franchir le cap du 1er tour de la C1 et les Blues de Chelsea poursuivaient leur domination sur la Premier League entamée en 2005. Des rumeurs de départ étaient même évoquées au sujet de l'homme fort de MU depuis 1986.

Ferguson gonflé à bloc
Mais à 66 ans, Ferguson semble connaître une nouvelle jeunesse, étant plus que jamais décidé à reconquérir ce qui représente pour lui un véritable Graal: une nouvelle C1. Son 11e titre de champion d'Angleterre à la tête de Manchester United remporté il y a dix jours n'a pas suffi à le rassasier. C'est bien l'Europe qui obsède depuis des années ce technicien d'exception. Et pour parvenir à ses fins, Ferguson s'est donné les moyens de ses ambitions. Sa défense, autour du duo Ferdinand-Vidic, est redevenue de fer. Son milieu où brillent Carrick, Scholes et Hargreaves voit et joue juste. Et que dire d'une attaque qui peut compter sur ce qui se fait de mieux au monde en ce moment: Cristiano Ronaldo, aidé par les deux +pitt-bulls+, Rooney et Tevez.

Le N.7 mancunien est déchaîné depuis le début de la saison. 31 buts en championnat, meilleur buteur de la Ligue des champions (7 buts): juste avant de s'envoler en Suisse et en Autriche pour disputer l'Euro, le Portugais tient à s'emparer du premier grand trophée de sa carrière. Ronaldo a également une revanche à prendre après les critiques sur ses pâles prestations en demi-finales contre le FC Barcelone. Pour vaincre les Catalans (0-0 à l'aller, 1-0 au retour), MU avait mis de côté les élans offensifs pour se concentrer sur l'essentiel. Et à ce petit jeu, c'est Scholes qui avait volé la vedette au fier Portugais en inscrivant le but de la qualification.

Abrahamovitch veut la C1
Chelsea a aussi dû s'employer pour obtenir son billet pour la finale, ne s'imposant qu'en prolongation face aux coriaces Reds de Liverpool (1-1 à l'aller, 3-2 a.p. au retour) grâce à un doublé de Drogba. Mais les Blues sont presque condamnés à vaincre depuis la prise en main du club par Roman Abramovitch en 2003. Le richissime Russe a fait de la victoire en Ligue des champions une priorité absolue et ne souhaite pas se contenter des deux titres de champion d'Angleterre obtenus en 2005 et 2006. Après avoir dépensé plus de 400 millions d'euros dans l'achat de joueurs, il compte les jours qui le séparent de sa première couronne en C1 et de la consécration internationale. Il pourra toujours s'appuyer sur la fidélité et le sens de l'honneur de Drogba.

Donné partant depuis le départ de son mentor José Mourinho et son remplacement par Avram Grant, l'Ivoirien va peut-être disputer son dernier match avec les Blues. Lui aussi rêve d'un succès continental malgré une saison difficile, hachée par les blessures et la Coupe d'Afrique des nations. S'il a souffert sur le plan national (8 buts en championnat), l'Europe l'a particulièrement motivé puisqu'il arrive juste derrière Ronaldo au classement des buteurs de la C1 (6 buts). Un match à distance dont les deux attaquants vont écrire le dénouement à Moscou. :content::content::content:

Norton
21/05/2008, 14h12
Les outsiders veulent rafler la mise au GP de Monaco

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Dans le contexte toujours particulier du Grand Prix de Monaco de Formule 1, dimanche, les outsiders veulent pour une fois perturber l'ordre logique des choses et rafler la mise au détriment des McLaren-Mercedes et surtout des Ferrari, largement dominatrices en début de saison.

Sur les cinq premières courses, la scuderia en a remporté quatre (deux pour Kimi Raikkonen, deux pour Felipe Massa) et McLaren-Mercedes est parvenu à ramener également une victoire (grâce à Lewis Hamilton). Il est donc logique que leurs opposants, emmenés par des BMW Sauber toujours pressantes, piaffent d'impatience. Le circuit de Monaco et ses nombreux pièges est ainsi l'endroit idéal pour tenter de troubler l'ordre établi.

Un peu en retrait à Istanbul il y a deux semaines, les BMW Sauber courent toujours après un premier succès et le cadre prestigieux de Monaco serait l'endroit idéal pour une première. "J'attendais vraiment Monaco avec impatience, avoue ainsi Robert Kubica. J'y ai été très bien en 2007 et j'adore les circuits en ville, étroits, avec des barrières juste en bord de piste. Cette année sans antipatinage ce sera encore plus difficile de piloter là-bas. J'espère être au moins aussi performant que l'an dernier et j'attends un bon résultat."

Rebondissements
La suppression de l'antipatinage et des aides au pilotage pourrait en effet déboucher sur une course pleine de rebondissements puisque à Monaco il n'y a pas de vastes dégagements à la sortie des virages, comme sur les circuits précédents à Barcelone ou Istanbul. La moindre erreur se solde en général par un abandon. A ce titre, les Renault, en nets progrès, possèdent un atout maître en la personne de Fernando Alonso, très à l'aise en Principauté où il a remporté les deux derniers Grands Prix.

"Monaco est un circuit où tout peut arriver et où le pilote peut vraiment faire la différence, même si une bonne voiture sera toujours un avantage, rappelle l'Espagnol. Nous avons progressé mais nous sommes encore derrière Ferrari, McLaren et BMW. Nous essaierons malgré tout de tirer notre épingle du jeu et de saisir la moindre opportunité." Les Red Bull, dans les points lors des quatre dernières courses, ou les Toyota sont aussi candidats à la surprise. Jarno Trulli, pilote de pointe de l'équipe japonaise, a d'ailleurs remporté sa seule victoire en F1 dans les rues de la Principauté.

Cependant, les équipes de pointe ne vont bien sûr pas céder leur place facilement. "L'an dernier McLaren-Mercedes était très fort à Monaco mais on a beaucoup travaillé sur nos réglages depuis, indique ainsi Felipe Massa, victorieux en Turquie il y a deux semaines et troisième sur le Rocher l'an dernier. On espère être plus à l'aise que la saison dernière sur ce circuit tortueux."

Diamants
Kimi Raikkonen, actuellement en tête du championnat, veut quant à lui oublier le Grand Prix 2007: 16e sur la grille après une erreur en qualifications, il n'avait fini que huitième. Du côté des McLaren-Mercedes, on espère que le poids des diamants incrustés pour l'occasion dans les casques des deux pilotes ne sera pas trop pénalisant. Plus sérieusement, Lewis Hamilton se refuse à tout pronostic dans une épreuve si aléatoire.

"Monaco c'est ma course préférée, affirme le Britannique, deuxième l'an dernier et vainqueur de la course GP2 en 2006. Mais +imprévisible+ est le mot qui résume le mieux cette épreuve. En Turquie (2e) on a fait une grande course, on sait que la performance est là, mais à Monaco absolument tout peut arriver.

Thunderace59
21/05/2008, 22h41
:winner::winner::winner::winner:MANCHESTER UNITED !!!:winner::winner::winner::winner:

CHAMPION D'EUROPE POUR LA 3° FOIS DE LEUR HISTOIRE

:content::content::content::content::content::cont ent::content::content::content::content::content:: content::siryessir::siryessir::siryessir::siryessi r::siryessir::siryessir::siryessir::siryessir::sir yessir::siryessir::siryessir::siryessir::siryessir ::siryessir::siryessir::prie::prie::prie::prie::pr ie::prie::prie::prie::prie::prie::prie::prie::prie ::prie::prie:


MAN UNITED ....... MAN UNITED....... MAN UNITED

YES SIR ....

Norton
22/05/2008, 05h47
:winner::winner::winner::winner:MANCHESTER UNITED !!!:winner::winner::winner::winner:

CHAMPION D'EUROPE POUR LA 3° FOIS DE LEUR HISTOIRE

:content::content::content::content::content::cont ent::content::content::content::content::content:: content::siryessir::siryessir::siryessir::siryessi r::siryessir::siryessir::siryessir::siryessir::sir yessir::siryessir::siryessir::siryessir::siryessir ::siryessir::siryessir::prie::prie::prie::prie::pr ie::prie::prie::prie::prie::prie::prie::prie::prie ::prie::prie:


MAN UNITED ....... MAN UNITED....... MAN UNITED

YES SIR ....


Yes..........................:content::D

Norton
22/05/2008, 05h51
Manchester United remporte la Ligue des Champions

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/13/14/large_395399.jpg
Saison historique pour Manchester United qui réalise le doublé : championnat + coupe d'Europe.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/8/9/art_large_395394.jpg Après celle remportée avec l'Ajax en 1995, c'est la seconde Ligue des Champions pour Van der Sar.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/15/14/art_large_395384.jpg Scène de joie juste après le penalty loupé d'Anelka.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/10/9/art_large_395379.jpg Cech avait pourtant détourné le penalty de Cristiano Ronaldo.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/9/8/art_large_395378.jpg 42 buts toutes compétitions confondues pour Ronaldo.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/8/7/art_large_395377.jpg Carte rouge pour Drogba (115e).
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/7/6/art_large_395376.jpg Ferdinand, victime d'une crampe.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/4/3/art_large_395373.jpg Lampard n'a pas hésité à dédier son but à sa mère, décédée il y a quelques jours.

Les buts : 26e C. Ronaldo (1-0), 45e Lampard (1-1).
Manchester United: Van der Sar, Brown (122e Anderson), Vidic, Ferdinand, Evra, Scholes (88e Giggs), Carrick, Hargreaves, Ronaldo, Tevez, Rooney (101e Nani).
Chelsea: Cech, Essien, Carvalho, Terry, A. Cole, Makelele (122e Belletti), Lampard, Ballack, J.Cole (98e Anelka), Malouda (91e Kalou), Drogba.
Cartes jaunes: Scholes, Ferdinand, Makelele, Carvalho, Vidic, Tevez, Essien.
Carte rouge: 114e Drogba.
Arbitre: M. Michel.

C'est au bout d'une séance des penaltys insoutenable (1-1 et 6-5 aux tirs au but), sous une pluie diluvienne à Moscou, que Manchester United a remporté la Ligue des Champions contre Chelsea hier soir. Ronaldo avait ouvert la marque, Lampard égalisait avant la fin de la première période. Une saison historique pour les Mancuniens qui réalisent, par la même occasion, le doublé championnat-coupe d'Europe.

42e but pour Cristiano Ronaldo
Après un round d'observation d'une vingtaine de minutes, c'est en toute logique que Manchester United se détacha au score. Après un bel échange entre Scholes et Brown, ce dernier centra vers Cristiano Ronaldo. Libre de tout marquage (Essien n'a même pas sauté), l'international portugais trompa Cech d'une tête bien placée. (1-0) Les Mancuniens étaient sur le velours. Et pourtant¿

Chelsea, sans paniquer
Sans paniquer, malgré le forcing des Red Devils (Tevez loupa le 2-0 à deux reprises), Chelsea rentra doucement mais sûrement dans le vif du sujet. A la 33e minute, une tête de Ballack fut claquée en corner par Van der Sar. Si Tevez loupa encore une belle occasion, ce sont bien les Blues qui recollèrent à la marque. Un tir anodin d'Essien arriva dans les pieds de Lampard. (1-1)

Tir de Drogba sur le poteau
Moins bon qu'en première période, Manchester United recula dans le jeu et laissa Chelsea prendre les commandements des opérations. Les Londoniens se créèrent plusieurs opportunités (Ballack et Terry). Les statistiques parlèrent d'ailleurs en faveur de Chelsea (17 tirs contre 7 pour les Red Devils). A moins d'un quart d'heure du coup de sifflet final, Drogba, à l'entrée du rectangle, trouva le poteau d'un beau tir enveloppé. Le score n'évolua plus et les deux formations anglaises se dirigèrent vers les prolongations.

Giggs loupe le coche
Juste après que Kalou ait pris la place de Malouda, en début de prolongations, Chelsea passa à un cheveu du 1-2. Lampard, auteur du premier but, se retourna pour placer un essai du pied gauche sur le montant. Alerté par cette occasion, Manchester United pointa le bout de son nez. Evra centra en retrait pour Giggs dont le tir fut sauvé in-extremis par Terry.

Drogba voit rouge
Magré quelques tentatives dans les deux camps, sans grand danger, les acteurs profitèrent de chaque instant pour souffler. Terry, Ferdinand, Carvalho, Vidic furent tous victimes de crampes. Au bout de leurs forces, certains d'entre eux perdirent leur patience. A la 115e minute, Drogba gifla Vidic et M. Michel n'hésita pas à l'exclure.

Anelka, le héros malheureux
La séance des penaltys débutèrent sous une pluie diluvienne. Le premier à louper son penalty fut Cristiano Ronaldo. Terry, qui eut le ballon du succès au bout du pied, glissa et son tir heurta le poteau. Les Mancuniens ne tremblèrent pas, au contraire d'Anelka qui craqua sous la pression. Manchester United est champion d'Europe.

manu94600
22/05/2008, 08h38
Vive Cristiano Ronaldo :xcite: Anelka :fute::yes:

medol
22/05/2008, 16h35
j'suis content pour Manchester!:)

Norton
23/05/2008, 19h09
Federer épargné au tirage au sort de Roland Garros

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/7/7/large_396787.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/8/8/art_large_396788.jpg
Roger Federer a hérité d'un tableau nettement plus favorable que son grand rival Rafael Nadal, lequel trouve notamment Novak Djokovic dans sa partie de tableau, lors du tirage au sort de Roland-Garros effectué vendredi.

Le Suisse, toujours à la recherche d'une première victoire à Paris, évite également l'Argentin David Nalbandian, lui aussi placé dans l'autre moitié de tableau, et ne devrait pas connaître de problèmes lors de ses premiers tours, à commencer par son match d'ouverture face au serveur américain Sam Querrey. Avec l'Argentin Juan Monaco comme adversaire théorique en huitièmes, le Français Richard Gasquet en quarts et le Russe Nikolay Davydenko en demi-finales, le N.1 mondial ne peut vraiment pas se plaindre.

Nadal, en revanche, n'a pas été gâté par le tirage au sort. La principale question du jour était de savoir qui de lui ou de Federer allait potentiellement retrouver Djokovic, N.3 mondial, en demi-finales. C'est donc tombé sur le triple tenant du titre qui a également dans sa zone plusieurs joueurs espagnols et sud-américains, jamais bons à prendre sur terre battue, ainsi que des empêcheurs de tourner en rond potentiels de type Nieminen ou Youzhny. Au premier tour, il rencontrera un qualifié.

Kuerten-Mathieu
Ce ne sera pas une partie de plaisir non plus pour Djokovic. Si ses deux premiers tours, dont celui en apéritif face à l'Allemand Denis Gremelmayr, n'ont rien d'effrayant, il pourrait rencontrer par la suite des joueurs comme Guillermo Canas ou Carlos Moya. A noter enfin que pour ses adieux au public de Roland-Garros, l'ancien triple vainqueur Gustavo Kuerten affrontera le Français Paul-Henri Mathieu au premier tour.

Chez les dames, la finaliste sortante Ana Ivanovic, N.2 mondiale, n'a pas été vernie. Elle pourrait tomber sur la Tchèque Nicole Vaidisova dès les huitièmes et a hérité de Serena Williams dans son quart de tableau. Sa compatriote Jelena Jankovic (N.3) a eu un peu plus de chance avec un rendez-vous potentiel en quarts avec l'autre Williams, Venus. Après le départ en retraite de Justine Henin, c'est Maria Sharapova qui a hérité du rang de tête de série N.1. Son premier test devrait être lors des huitièmes de finale, face à sa compatriote Dinara Safina, vainqueur à Berlin cette année.

Norton
23/05/2008, 19h23
:content::content:Senna s’impose à Monaco !

ven 23 mai, 16h17



http://d.yimg.com/eur.yimg.com/ng/sp/chrono/20080523/14/1104632265.jpg


agrandir la photo (http://fr.sports.yahoo.com/23052008/6/photo/photo-1-senna-s-impose-monaco.html)

Le nom des Senna est étroitement lié au Grand Prix de Monaco. Ayrton l’a remporté à six reprises en F1.
Quinze ans après le dernier succès du champion brésilien dans les rues de la Principauté, son neveu Bruno vient d’inscrire son nom au palmarès de l’épreuve – dans la catégorie GP2 !
Né le 15 octobre 1983 à São Paulo, ce n’est qu’à l’âge de 21 ans qu’il a convaincu (soutenu par Gerhard Berger) sa mère Viviane – la sœur d’Ayrton – de le laisser marcher sur les traces de son illustre aîné.
Doué, travailleur et déterminé, Bruno Senna a vite gravit les échelons. Après de bons débuts en Formule BMW en 2004, il s’est classé 3ème du championnat d’Angleterre de F3 en 2006 (pour le compte de l’équipe co-dirigée par Kimi Raikkonen.)
Huitième du championnat GP2 Series l’an dernier – avec une victoire à la clé sur le circuit de Catalunya – Bruno a décroché son premier succès en 2008 à Monaco, et ainsi confirmé qu’il était l’un des principaux prétendants au titre.
Deuxième à l’issue des qualification, Senna s’est mieux élancé que le pole-man – Pastor Maldonado. Une fois installé à la première place, le Brésilien de l’équipe iSport a su contrer les quelques attaques lancées contre lui par son rival vénézuélien.
« C’est vraiment un sentiment merveilleux de revoir le nom d’un Senna sur la plus haute marche du podium ici » déclarait Bruno juste après l’arrivée. « J'envisage de recommencer le plus souvent possible, sur d'autres circuits comme ici. Il y a eu quelques critiques dans le passé qui disaient que je n’étais pas bon sur les circuits en ville – je pense que ce résultat leur a cloué le bec ! »
Grâce à sa victoire, Bruno Senna remonte à la deuxième place, à deux points du leader, l’Italien Giorgio Pantano.

:DBravoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo oo

Norton
24/05/2008, 06h28
L'Inter et la Roma ne se quittent plus

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/6/7/large_396667.jpg
Zanetti (en bleu), le capitaine de l'Inter, sera fidèle au poste.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/8/9/art_large_396669.jpg C'est la quatrième année consécutive que Totti et ses coéquipiers de l'AS Rome se frottent aux Milanais en finale de la coupe d'Italie.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/3/4/art_large_396664.jpg Cruz et Materazzi seront suspendus du côté de l'Inter de Milan.

Une semaine après s'être disputé le titre jusque dans les ultimes minutes de la dernière journée du championnat, l'Inter, toute auréolée de son 16e scudetto, et la Roma, sa dauphine, se retrouvent lors de la finale de la Coupe d'Italie, samedi (21h00) au stade Olympique de Rome.


En plus d'être déjà les meilleures équipes de Serie A depuis deux saisons, les deux formations ne se quittent plus en Coupe, où elles s'affrontent pour la 4e année consécutive en finale. Pour l'instant, l'avantage va à l'Inter avec deux succès (2005, 2006) à un (2007).
Samedi, les retrouvailles - désormais en une seule rencontre et non plus en matches aller et retour - s'annoncent pimentées.

D'abord parce que la Roma entend défendre son titre et ne pas tout abandonner à sa rivale. Ensuite parce que l'Inter doit se faire pardonner après la correction reçue l'an passé (défaite 6-2 à Rome à l'aller). "Nous allons à Rome pour y faire du mieux possible", a ainsi assuré le président Massimo Moratti, soulignant qu'il ne craignait pas un "relâchement" comme l'an passé.

Mais ce sont surtout les déclarations des Romains à la suite du sacre de l'Inter qui ont fait monter la sauce. Ainsi le milieu Daniele De Rossi a-t-il parlé dès dimanche de "7 ou 8 matches faussés" tandis que le gardien Doni a évoqué des "coups de pouce pour quelques matches".
"Les coups de pouce, cela s'appelle le caractère", a rétorqué le défenseur nerazzurro Walter Samuel, tandis que le président Moratti, sitôt passée une colère qui, selon les médias, l'a conduit à menacer d'envoyer l'équipe réserve, a voulu calmer les choses en assurant que les paroles des joueurs de la Roma étaient le fruit de la déception.

Materazzi et Cruz suspendus
"Je ne sais pas comment on peut réagir à la fin d'une rencontre au cours de laquelle on a pensé qu'on pouvait gagner le scudetto", a réagi de son côté Cristian Chivu, qui, la saison passée, jouait à la Roma.


"Peut-être faudrait-il abolir les interviews d'après match, parce que, le lendemain, à froid, quand on a eu le temps de réfléchir sur ce qui s'est passé, on ne dit pas les choses qu'on a dites à chaud", a continué le défenseur roumain.

A l'Inter, Chivu est encore incertain en raison d'une épaule douloureuse, tandis que sans le défenseur Marco Materazzi et l'attaquant Julio Cruz sont suspendus.

Du côté des supporteurs, ces ultimes polémiques ne sont pas forcément très apaisantes. Et si les autorités n'ont pas interdit le déplacement des tifosi nerazzurri à Rome, elles ont tout de même classé la rencontre avec un "niveau maximal de risque".

Près de 500 stewards seront ainsi mobilisés à l'intérieur du stade, tandis que 2.000 policiers veilleront à l'extérieur. "Les supporteurs devront être responsables, conscients de l'importance de l'événement, notamment pour l'image du pays dans le monde", a souligné le préfet de Rome Carlo Mosca.

"Je demande à nos tifosi de demeurer heureux, et de ne pas transformer leur joie en violence, a dit à ce sujet Massimo Moratti. Et aux tifosi romains, je redis que leur équipe à fait un championnat merveilleux, mais qu'on ne peut pas nous reprocher d'avoir gagné le scudetto".

:amoureux::amoureux::amoureux:FORZA ROMA..................................

Norton
24/05/2008, 07h00
L'équipe suisse
RSS (http://javascript<b></b>:void(0)) Müller fait faux bond à Lyon pour jouer ce soir avec la Suisse

FOOTBALL | 00h09 Le Genevois a pris sa décision hier matin. Contre la volonté de son club. Cela fait les affaires de Kuhn. Mais que risque le joueur?
http://www.tdg.ch/var/plain/storage/images/11137324-2/111373241_resize_crop320par220.jpg ©Allenspach Olivier | Patrick Mueller a rejoint le camp de l'équipe suisse.




DANIEL VISENTINI | 24 Mai 2008 | 00h09

Il aura donc fallu presque une semaine de doutes, d'interrogations et autres cas de conscience pour qu'un épilogue se dessine. Hier matin, Patrick Müller a pris sa décision, tout seul. Il a averti l'Olympique lyonnais et son entraîneur Alain Perrin qu'il ne prendrait pas le car en direction de Paris pour y préparer la finale de la Coupe de France contre le PSG (ce soir). Mais qu'il s'envolait direction Milan, puis Lugano pour rejoindre l'équipe de Suisse afin de jouer contre la Slovaquie.
Cela fait le bonheur de Köbi Kuhn, qui pourra donc tester sérieusement le Genevois en l'alignant ce soir.
Contacté hier alors qu'il rejoignait le Tessin en voiture, Müller s'explique.
Patrick, comment cette décision s'est-elle imposée à vous?
J'y pense depuis le début de la semaine. J'ai bien pesé le tout. Je savais que je ne jouerais pas la finale de la Coupe. Je sais aussi que je ne serai plus Lyonnais la saison prochaine. Et j'ai une chance de pouvoir peut-être disputer un Euro et de me mettre en valeur.
On devine que cette décision a été dure à prendre...
Oui, c'est le cas. Je ne voulais pas en arriver là. Alain Perrin souhaitait me garder jusqu'à vendredi soir et me libérer ensuite. C'était trop tard. Mais ce n'est pas facile de quitter Lyon comme cela, après tout ce que j'ai vécu avec cette équipe. Ça me travaille, j'y pense. J'espère bien sûr que Lyon remportera cette finale.
Savez-vous ce que vous risquez en quittant Lyon contre l'avis du club et de Perrin?
Non, c'est fait et c'est comme cela. Pour les éventuelles conséquences, on verra plus tard. En tout cas, on ne m'en a pas parlé.
Patrick Müller s'est donc entraîné hier soir avec la Suisse. Mais que risque-t-il pour avoir désobéi à Lyon?
Selon les règlements de la FIFA, un club est tenu de libérer un international 14 jours avant l'entrée en lice de la sélection nationale dans un grand tournoi (Mondial, Euro). Müller a quitté Lyon hier, soit exactement 15 jours avant le Suisse-République tchèque. Il pourrait donc être en faute.
Pour cela, il faudrait que Lyon porte l'affaire devant une juridiction française de la FFF (c'est le droit du travail qui s'applique). Mais après lui avoir promis une prolongation de contrat en décembre, s'être ravisé en avril et alors que Müller ne devait pas jouer ce soir à Paris, cela sera peu élégant. Enfin, selon un juriste spécialisé dans le domaine, Müller ne risque aucune suspension sportive de la part de la FIFA.
Il peut donc se concentrer désormais sur l'équipe de Suisse.

:content:;)Bonne décision pour ma part d'autant que l'OL na pas prolongé son contrat.............

Naàlya
24/05/2008, 23h29
Vivement l'euro:yes: En plus je vais pouvoir aller voir Suisse-Turquie à Bâle avec ma meilleure amie, grâce à mon papa qui a gagné des places avec les chips Zweifel:amoureux: Me réjouis trop...:)

Norton
25/05/2008, 18h04
Vivement l'euro:yes: En plus je vais pouvoir aller voir Suisse-Turquie à Bâle avec ma meilleure amie, grâce à mon papa qui a gagné des places avec les chips Zweifel:amoureux: Me réjouis trop...:)

Bravo VEINARDE;):content:

Norton
25/05/2008, 18h06
Lewis Hamilton s'impose dans les rues de Monaco

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/15/13/large_397798.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/0/0/art_large_397800.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/16/14/art_large_397799.jpg
Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a remporté le Grand Prix de Monaco, sixième des 18 épreuves du Championnat du monde 2008 de Formule 1, dimanche dans les rues de la Principauté.

Ce deuxième succès de la saison lui a également permis de reprendre la tête du championnat puisque Kimi Raikkonen (Ferrari) a commis plusieurs erreurs et fini hors des points (9e). A l'issue d'une course des plus mouvementées, largement perturbée par la pluie, Hamilton a devancé le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber) et le Brésilien Felipe Massa (Ferrari).

Mark Webber (Red Bull), quatrième, a fini pour la cinquième fois consécutive dans les points devant Sebastian Vettel, qui de son côté marque ses premières unités au championnat avec la nouvelle Toro Rosso. Les derniers points sont pour Rubens Barrichello, sixième sur sa Honda, Kazuki Nakajima (Williams), septième, et Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes), huitième.

Sorties diverses
Hamilton a surmonté un gros handicap puisqu'il avait commis une erreur en début de course et heurté un rail de sécurité. Il s'est arrêté aux stands pour changer un pneu crevé mais n'a pas perdu trop de temps. Il a ensuite comblé son retard grâce à une neutralisation et retardé au maximum son arrêt au stand pour prendre la tête. Après une matinée pluvieuse la pluie s'était arrêtée mais refaisait son apparition au moment de la mise en grille.

Les voitures s'élançaient en pneus pluie, sauf Kovalainen, qui calait avant le tour de chauffe et devait partir des stands. Son coéquipier Hamilton prenait le meilleur sur Raikkonen et franchissait le premier virage juste derrière le poleman Massa. Dans le peloton, Nico Rosberg (Williams), Jenson Button (Honda) et Timo Glock (Toyota) étaient victimes de touchettes, cassaient leur aileron avant et devaient rentrer aux stands réparer.

Même chose pour Hamilton, victime d'une touchette à l'arrière droit au cinquième tour. Le Britannique limitait la casse et repartait quatrième. La pluie redoublait, Fernando Alonso (Renault) embrassait à son tour le rail mais pouvait continuer après une brève réparation. David Coulthard (Red Bull) et Sébastien Bourdais (Toro Rosso) sortaient de la piste au même endroit que l'Espagnol mais devaient de leur côté abandonner. La voiture de sécurité entrait en piste pour deux tours.

Casses
Massa conservait la tête au restart tandis que Raikkonen était pénalisé d'un drive through pour avoir monté ses pneus trop tard sur la grille. Le champion du monde perdait deux places et repartait quatrième. Alonso tentait lui d'attaquer Heidfeld au Loews mais les deux voitures s'accrochaient. Les deux pilotes repartaient très loin après réparation. Au 15e tour, Massa tirait tout droit à Sainte-Dévote et cédait la tête de la course à Robert Kubica, pratiquement le seul à n'avoir commis aucune erreur.

Le Polonais ravitaillait au 25e tour et ressortait sous le nez de Raikkonen, qui à son tour visitait l'échappatoire de Sainte-Dévote et cassait son aileron avant. Le Finlandais rentrait ravitailler et ressortait sixième, derrière l'étonnant Adrian Sutil, excellent cinquième sur sa Force India. La pluie cessait, la piste s'asséchait et les choses se calmaient. Après tous ces incidents, seuls deux pilotes étaient hors course: Bourdais et Coulthard. Tous chaussaient bientôt les pneus slicks et Hamilton, qui retardait au maximum son arrêt, prenait la tête.

Nelsinho Piquet sortait à Sainte-Dévote et abandonnait. Plus tard, Rosberg était victime d'une violente sortie de piste à la piscine et provoquait une nouvelle sortie de la voiture de sécurité. Lorsque celle-ci s'écartait, Hamilton conservait aisément la tête devant Kubica et Massa. Mais Raikkonen, cinquième, perdait le contrôle de sa Ferrari à la sortie du tunnel et heurtait Sutil. Le Finlandais réparait son aileron avant et repartait neuvième mais il ruinait la course magnifique de Sutil, qui n'aura probablement plus la possibilité de marquer d'aussi beaux points de si tôt.

Norton
25/05/2008, 18h07
Djokovic, Nalbandian et Ivanovic qualifiés pour le deuxième tour

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/0/3/art_large_397698.jpg Ivanovic affrontera Safarova au second tour.

Le Serbe Novak Djokovic, tête de série N.3, s'est
qualifié pour le deuxième tour de Roland-Garros en battant dimanche
l'Allemand Denis Gremelmayr en quatre sets 4-6, 6-3, 7-5, 6-2.
Il rencontrera l'Espagnol Miguel Angel Lopez Jaen vainqueur de son
côté du Canadien Frank Dancevic 7-6 (8/6), 3-6, 7-5, 7-6 (7/2).

L'Argentin David Nalbandian, tête de série N.6, s'est qualifié dimanche pour le deuxième tour de Roland-Garros en battant son compatriote Carlos Berlocq en trois sets 6-2, 6-4, 6-1. Il affrontera au deuxième tour le Français Jérémy Chardy ou le Portugais Frederico Gil.

Ca passe pour Ivanovic
La Serbe Ana Ivanovic, tête de série N.2, s'est qualifiée dimanche pour le deuxième tour de Roland-Garros en battant la Suédoise Sofia Arvidsson en deux sets 6-2, 7-5.

Deuxième joueuse du monde, Ivanovic affrontera au deuxième tour la Tchèque Lucie Safarova, victorieuse de son côté de l'Allemande Sandra Kloesel sur un double 6-1.(afp/7sur7)


Résultats:
Simple messieurs
1er tour:
David Nalbandian (Arg/N.6) bat Carlos Berlocq (Arg) 6-2, 6-4, 6-1
Novak Djokovic (Ser/N.3) bat Denis Gremelmayr (All) 4-6, 6-3, 7-5,
6-2
Miguel Angel Lopez Jaen (Esp) bat Frank Dancevic (Can) 7-6 (8/6), 3-6,
7-5, 7-6 (7/2)

Simple dames
1er tour:
Ana Ivanovic (Ser/N.2) bat Sofia Arvidsson (Suè) 6-2, 7-5
Lucie Safarova (Tch) bat Sandra Kloesel (All) 6-1, 6-1

Norton
25/05/2008, 18h09
La longue échappée de Sella

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/16/0/large_397425.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/15/14/art_large_397424.jpg
Le grimpeur italien Emanuele Sella (CSF) a remporté en solitaire la 14e étape du Tour d'Italie cycliste, samedi, au sommet de l'Alpe de Pampeago (nord), après une très longue échappée au terme d'une étape de 195 km au départ de Vérone. Porteur du maillot du meilleur grimpeur, Sella avait déjà remporté une étape au Giro en 2004.

L'Italien Gabriele Bosisio (LPR) a pris la première place du classement général après la défaillance du porteur du maillot rose, le champion d'Italie Giovanni Visconti.

Sur la ligne, Sella a repoussé à plus de quatre minutes le Bélarusse Vasik Kiryienka et à plus de cinq minutes le champion d'Espagne Joaquim Rodriguez, deux de ses compagnons d'une échappée de treize coureurs lancée dès le 13e kilomètre de cette étape de 195 kilomètres.

Le grimpeur italien a attaqué à une cinquantaine de kilomètres de l'arrivée, dans le passo Manghen, pour aborder en tête la montée finale.

Les candidats au maillot rose ont attendu les 3,5 derniers kilomètres, la partie la plus raide de la montée finale, pour s'expliquer.
Les leaders de l'équipe Astana, l'Espagnol Alberto Contador et l'Allemand Andreas Klöden, ont fléchi sur les rudes pourcentages menant à l'altitude de 1740 mètres.

Le Russe Denis Menchov a pris du temps à ses adversaires, une dizaine de secondes sur les Italiens Riccardo Ricco et Franco Pellizotti et une quinzaine de secondes sur leur compatriote Gilberto Simoni.
Le vainqueur sortant du Giro, l'Italien Danilo Di Luca, a lâché une trentaine de secondes à Menchov et l'Espagnol Alberto Contador une quinzaine de secondes supplémentaires. Pour Klöden, le débours s'est élevé à plus d'une minute sur Menchov.

Malchanceux dans la 7e étape à Pescocostanzo, où il avait été privé de toute chance de victoire à cause d'une crevaison alors qu'il était dans le groupe d'échappés, Sella, 26 ans, a enlevé son deuxième succès dans le Giro, quatre ans après s'être imposé à Cesena.
Bosisio, 27 ans, vainqueur de l'étape de Pescocostanzo, a revêtu pour la première fois le maillot rose.

Tigroon46
26/05/2008, 10h06
Scott Dixon vient de conclure un mois quasiment parfait sur l'Indianapolis Motor Speedway en remportant la plus grosse victoire de sa carrière - la 92ème édition des 500 miles d'Indianapolis.


http://www.us-racing.com/Photos/2008/Indycar/INDY%20500%20Scott%20Dixon%20Victoire.jpg
© Chris Jone / IndyCar Series
http://www.us-racing.com/Images%20Site/Logo_News_I.jpg Plus tôt ce mois, Scott Dixon avait signé le meilleur temps des essais. Lors du Pole Day, il a été le plus rapide sur la série de quatre tours et hier à Indianapolis il a mené 115 des 200 tours de course dont les 29 derniers pour finalement s'imposer et rentrer dans l'histoire.

"Quelle journée !" a déclaré Dixon, nouveau leader du championnat, en sortant de sa monoplace.

"Je n'arrive pas y croire. Vous pensez toujours que quelque chose va mal tourner. Je dois remercier ma femme c'est certain. Elle a dû vivre avec mes changements d'humeur. Quelle journée. Nous avions une bonne voiture. Nous n'avions qu'à la garder sur la piste et rester à l'écart des autres au moment des restarts. Il y a eu tellement de drapeau jaune, c'était vraiment dur à rentrer dans le rythme."

En début de course, Dixon a dû se bagarrer avec son coéquipier de la Target Chip Ganassi Racing Dan Wheldon. Wheldon, vainqueur en 2005 de l'épreuve a pris l'avantage sur Dixon à trois reprises. A eux deux, les pilotes de la Chip Ganassi ont mené 145 tours.

http://www.us-racing.com/Photos/2008/Indycar/INDY%20500%20Scott%20Dixon%20Victoire%202.jpg
© Steve Snobby / IndyCar Series>
Après que la voiture de Wheldon ait rencontré des problèmes de stabilité à la mi course, Dixon a dû faire face aux attaques du jeune Marco Andretti et de Vitor Meira.

Andretti, qui avait terminé à la deuxième place en 2006, a mené à deux réprises pour un total de 15 tours. Meira a lui aussi pris la tête du peloton au 160ème tour en profitant d'un restart pour se glisser entre Dixon et Ed Carpenter à l'entrée du virage n°1. Meira a mené 11 tours avant que Dixon ne reprenne définitivement le contrôle de la course.

Meira a terminé la course deuxième devant Andretti. Helio Castroneves, double vainqueur des 500 miles d'Indianapolis a terminé quatrième devant Carpenter.

A noter que cette course a été ralentie par un total de six accidents dont celui de Danica Patrick (http://www.us-racing.com/Pilotes.php?PILID=42). Elle a percuté Ryan Briscoe en sortant des stands au 171ème tour. C'est la première fois de sa carrière qu'elle ne termine pas la course des 500 miles dans le tour du leader.

Norton
27/05/2008, 06h53
Roger Federer sans souci

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/9/10/large_398455.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/8/9/art_large_398454.jpg
Finaliste des deux dernières éditions, Roger Federer a réussi ses débuts à Roland-Garros face à l'Américain Sam Querrey (6-4, 6-4, 6-3), lundi.

"Je suis soulagé et content, il y a toujours beaucoup de pression dans
les premiers tours d'un Grand Chelem", a réagi le N.1 mondial qui peut
s'estimer verni par le tirage au sort cette année.

Vliegen au prochain tour?
Après Querrey, pas vraiment un spécialiste de la terre battue malgré
son quart de finale surprise à Monte-Carlo, le Suisse rencontrera l'Espagnol Albert Montanes ou Kristof Vliegen au deuxième tour.

L'annonce, peu avant sa victoire, du forfait de Richard Gasquet écarte
par ailleurs de son chemin la tête de série la plus élevée dans la partie
haute du tableau qui paraît plus dégagée que jamais.

Federer ne s'en plaindra pas, après une première moitié de saison
décevante pour ses standards. Diminué en début d'année par une
mononucléose, il en est déjà à sept défaites en 2008, soit plus qu'il ne
comptait à chacune des fins d'année 2004, 2005 et 2006.

Il n'a remporté qu'un seul titre cette année, à Estoril, et reste sur
deux finales dans les Masters Series de Monte-Carlo et Hambourg, perdues à chaque fois contre Rafael Nadal.

Accompagné depuis le début de la campagne sur terre battue par Jose
Higueras, il compte sur Roland-Garros, dernier tournoi du Grand Chelem qui lui manque, pour lancer une deuxième partie de saison plus spectaculaire.

Face à Querrey, 40e à l'ATP, connu notamment pour avoir servi dix aces d'affilée en 2007 à Indianapolis lors d'un match face à James Blake, le N.1 mondial a surtout fait le métier.

Federer se sent bien
"C'est vrai que ça n'a pas été trop dur mais il y a toujours beaucoup
de pression, surtout face à un joueur un peu différent comme lui, qui
possède un gros service et un gros coup droit. Bon, il ne gagnera sans
doute jamais Roland-Garros mais sur un jour on ne sait jamais."

Une méfiance récompensée par une victoire en trois sets, bonne à
prendre dans un souci d'économie, même si Federer a assuré qu'il n'avait pas peur des matches en cinq sets" tellement il est "bien préparé depuis tant d'années".

Norton
27/05/2008, 06h55
But de 60 mètres signé Beckham

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/15/7/large_398257.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/9/8/art_large_398183.jpg
David Beckham respire la grande forme avec les Los Angeles Galaxy. Après avoir gagné contre Kansas City Wizzards ce week-end (3-1), son équipe vient de décrocher la première place dans la conférence Ouest.

Pour couronner le tout, Beckham a marqué le troisième but (son cinquième de la saison) d'un tir de 60 mètres! Kansas City, qui jouait le tout pour le tout dans les arrêts de jeu, avait decidé de faire monter son gardien lors d'un corner. Beckham a récupéré le ballon, a fait plusieurs mètres balle au pied avant d'ajuster tranquillement son tir.

Norton
27/05/2008, 06h58
Un maillot de Luis Figo vendu 100.000 euros

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/8/8/large_398063.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/7/7/art_large_398062.jpg
Un maillot du Portugais Luis Figo a été vendu 100.000 euros aux enchères, dimanche soir à Bucarest, à l'occasion d'un gala précédant un match de charité entre une équipe roumaine composée notamment d'anciennes gloires et une sélection emmenée par Figo et ses amis.

Le maillot frappé du numéro 7, que Figo doit porter lors du match lundi soir dans la capitale roumaine, a été acheté par le patron du Steaua Bucarest, Gigi Becali. Les maillots de Gheorghe Hagi et Gheorghe Popescu, membres de la "génération en or" des années 90, ont été achetés pour respectivement 60.000 et 50.000 euros, celui de Pedro Pauleta, "ami" de Figo, trouvant preneur à 9.000 euros.

Au total, la vente des 30 maillots mis aux enchères a recueilli près de 500.000 euros (493.500). Le match, intitulé "Soirée des Champions", est organisé par les fondations respectives de Popescu, Hagi et Figo. Les fonds recueillis sont destinés à l'éducation d'enfants défavorisés.

:fou::amoureux:Cher, mais bon c'est pour une bonne cause........................

Thunderace59
27/05/2008, 22h01
FRANCE 2 - 0 EQUATEUR

en voilà une bonne nouvelle ...;)

Gomis énorme non pas qu'il ait marqué les deux buts mais dangereux et toujours placé de bonne augure pour lui par contre merci et au revoir Mr CISSE ...:yes:

Norton
30/05/2008, 19h59
Rallye: Sébastien Loeb aux commandes en Grèce
ven. mai 30, 2008


ATHENES (Reuters) - Le Français Sébastien Loeb a pris les commandes du rallye de l'Acropole à l'issue des sept spéciales de la première journée.
Le pilote de l'écurie Citroën, qui vise un cinquième titre consécutif de champion du monde, devance de 15,7 secondes son coéquipier espagnol Dani Sordo.
Le Norvégien Petter Solberg, au volant de sa Subaru, est troisième devant son compatriote Henning Solberg sur Ford.
Le Finlandais Mikko Hirvonen, en tête du championnat du monde, n'est que septième.

Norton
31/05/2008, 20h21
Loeb perd du terrain, Sordo en tête

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/14/0/large_403050.jpg Sébastien Loeb (Citroën C4) a perdu les commandes du rallye de l'Acropole à cause d'une crevaison, samedi matin dans la région de Corinthe, mais son coéquipier Dani Sordo l'a relayé et menait après les trois premières spéciales de la 2e journée.

Sordo, sur l'autre C4 officielle, avait commencé la journée à la 2e place, à 15 secondes de Loeb. Performant et régulier, il a bénéficié d'une crevaison de son chef d'équipe, 6 km après le départ de l'ES9 (Pissia 1), longue de 16 km, où le quadruple champion du monde a finalement perdu 34 secondes sur la meilleure Ford.

"J'ai préféré ne pas changer de roue et faire les 10 derniers kilomètres en faisant attention", a expliqué Loeb. Il avait déjà perdu 16 secondes dans l'ES8, où il était obligé d'ouvrir la route en tant que leader du rallye. Mais il s'est repris dans l'ES10 (Aghia Triada), signant le meilleur temps pour rester bien accroché à la 2e place, à 16 secondes de Sordo.

Chutes
Hirvonen, après un temps scratch dans l'ES8 (Aghii Theodori), a perdu beaucoup de terrain dans les deux spéciales suivantes et plongé au classement, vraisemblablement à cause de problèmes de suspension. Il pointait à la mi-journée à la 8e place, à plus de trois minutes et demie de Sordo.

Petter Solberg, le champion du monde 2003, est resté dans le Top 3 à bord de sa nouvelle Subaru Impreza, mais sous la menace de Jari-Matti Latvala sur la deuxième Focus officielle. "C'est bien, mais il manque encore un petit quelque chose", a dit Markko Martin, le pilote d'essais Subaru, posté à la fin de l'ES9 dans une enfilade très rapide, où les soucis d'Hirvonen étaient évidents.

Tracées sur les hauteurs du golfe de Corinthe, les trois spéciales de cette 2e journée devraient être beaucoup plus cassantes samedi après-midi lors du deuxième passage.

Norton
01/06/2008, 06h12
Federer en huitièmes sans forcer

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/15/4/large_403204.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/1/9/art_large_403224.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/0/8/art_large_403223.jpg
Roger Federer s'est facilement qualifié pour les huitièmes de finale de Roland-Garros, en expédiant le Croate Mario Ancic en trois sets 6-3, 6-4, 6-2.

Le Suisse y rencontrera le Français Julien Benneteau, soit un nouveau joueur non tête de série. S'il passe, son adversaire en quarts serait le Chilien Fernando Gonzalez, 25e mondial, ou l'Américain Robby Ginepri, 88e.

Autant dire que la voie est libre pour le N.1 mondial qui n'a passé qu'un peu plus d'une heure et demie sur le court samedi pour dominer Ancic, qu'il avait battu déjà pratiquement sur le même score en quarts de finale en 2006.

Un succès rassurant pour Federer après son deuxième tour laborieux face à l'Espagnol Albert Montanes contre qui il avait lâché son premier set du tournoi.

Finaliste des deux dernières éditions, le Suisse n'a plus perdu en Grand Chelem avant le stade des demi-finales depuis Roland-Garros 2004. S'il y arrive cette année, ce sera la 16e fois de suite qu'il rejoindra le dernier carré d'un majeur.

Norton
01/06/2008, 14h28
Athlétisme: Bolt bat le record du monde du 100 mètres en 9"72
dim. juin 1, 2008 9:07

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-01T081930Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-ATHLETISME-RECORD-BOLT-20080601.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-01T081930Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-ATHLETISME-RECORD-BOLT-20080601.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif


NEW YORK (Reuters) - Le Jamaïcain Usain Bolt a battu samedi le record du monde du 100 mètres en réalisant un temps de 9,72 secondes lors du Reebok grand prix sur la piste du stade Icahn à New York.
Le précédent record, 9,74 secondes, était détenu depuis septembre dernier par son compatriote Asafa Powell.

:)Nouveaux produits.........?

Norton
01/06/2008, 19h58
:cadeaux:
Loeb gagne encore, Citroën bat Ford à l'Acropole

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/12/1/large_403456.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/11/0/art_large_403455.jpg
Le Français Sébastien Loeb (Citroën C4) a remporté le 55e rallye de l'Acropole, 7e manche du Championnat du monde WRC, dimanche à Athènes, devant le Norvégien Petter Solberg (Subaru Impreza) et le Finlandais Mikko Hirvonen (Ford Focus).


Loeb, en tête vendredi et samedi soir, a finalement devancé de 1 minute et 9 secondes Solberg, de retour au plus haut niveau avec la nouvelle Impreza dont c'était la première sortie officielle.

Cette 41e victoire en WRC, dont cinq cette saison et deux en Grèce (2005, 2008), permet à Loeb de reprendre la tête du championnat pilotes, avec un point d'avance sur Hirvonen remonté en 24 heures de la 8e à la 3e place. Citroën revient à deux points de Ford au classement constructeurs.

Pendant trois jours, ce rallye historique du calendrier mondial a, comme prévu, beaucoup fait souffrir les mécaniques. La dernière journée a été fatale à Henning Solberg, le frère aîné de Petter, dépossédé de sa 3e place par Hirvonen à cause de coupures moteurs sur sa Ford Focus.

:D:content::content:

Norton
01/06/2008, 20h00
Contador victorieux du Giro

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/4/3/large_403533.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/6/5/art_large_403535.jpg
L'Espagnol Alberto Contador a mis fin à une série de onze victoires italiennes dans le Giro, dimanche à Milan, où l'Italien Marco Pinotti (High Road) a enlevé la 21e et dernière étape, un contre-la-montre de 28,5 kilomètres.

Contador, vainqueur du Tour de France l'été dernier, s'est imposé à sa première participation dans le Giro, à l'âge de 25 ans. Au classement final, le Madrilène a battu trois coureurs italiens. Riccardo Ricco, autre représentant de la nouvelle vague (24 ans), a pris la deuxième place, à 1 min 57 sec, et Marzio Bruseghin la troisième à 2 min 54 sec, deux secondes devant Franco Pellizotti. Le vainqueur sortant, Danilo Di Luca, s'est classé huitième, juste derrière nottre compatriote Jurgen Van den Broeck, après avoir fait trembler Contador à deux jours de l'arrivée, dans l'avant-dernière étape de montagne.

Contador, qui n'a pas gagné d'étape, s'est montré constant au long des trois semaines de course qu'il avait abordé dans l'incertitude au départ de Palerme le 10 mai. "Je n'ai été prévenu qu'une semaine avant", a répété l'Espagnol, dont l'équipe Astana a été officiellement invitée tardivement après avoir été évincée dans un premier temps par l'organisateur Angelo Zomegnan. Dans la dernière étape, un chrono tout plat de Cesano Maderno à Milan, les candidats au podium ont payé logiquement leurs efforts des jours précédents en montagne.

Les spécialistes ont confisqué les premières places, à l'avantage de Pinotti (30 ans), qui s'est imposé à la moyenne de 52,213 km/h. Pinotti a devancé de 7 secondes son coéquipier allemand Tony Martin (23 ans) et de 10 secondes le Russe Mikhaïl Ignatiev, en tête aux deux premiers pointages intermédiaires. Champion national du contre-la-montre, le Bergamasque, qui a gagné pour la première fois une étape du Giro, avait porté l'an dernier le maillot rose pendant quatre jours. Contador s'est classé 11e de l'étape, à une quarantaine de secondes. Ricco, qui comptait seulement 4 secondes de retard au départ, lui a cédé plus d'une minute et demie.

Slimdean
02/06/2008, 08h06
Ca c'est du sport !!!

Le président Vladimir Poutine lors de sa visite au japon
a choisi de faire un combat contre Natsumi une fille de 10 ans

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo2_300.jpg

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo4_300.jpg


http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo300.jpg

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo1_300.jpg

:Daieuh !

manu94600
02/06/2008, 08h17
:D:D:lol:

:mdr:

Thunderace59
02/06/2008, 10h20
Athlétisme: Bolt bat le record du monde du 100 mètres en 9"72
dim. juin 1, 2008 9:07

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-01T081930Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-ATHLETISME-RECORD-BOLT-20080601.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-01T081930Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-ATHLETISME-RECORD-BOLT-20080601.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif


NEW YORK (Reuters) - Le Jamaïcain Usain Bolt a battu samedi le record du monde du 100 mètres en réalisant un temps de 9,72 secondes lors du Reebok grand prix sur la piste du stade Icahn à New York.
Le précédent record, 9,74 secondes, était détenu depuis septembre dernier par son compatriote Asafa Powell.

:)Nouveaux produits.........?

oh tout de suite ...

Ben Jonhson avait tourné en 09.79 en 1988, il était vert fluo le bonhomme mais maintenant ils ont une couleur normale c'est ça la technologie ....:D

Norton
02/06/2008, 13h01
oh tout de suite ...

Ben Jonhson avait tourné en 09.79 en 1988, il était vert fluo le bonhomme mais maintenant ils ont une couleur normale c'est ça la technologie ....:D

Exact, j'avais reçu un chaton super ce jour là, du coup l'ai appelé Ben Jonhson;):D:D

Norton
02/06/2008, 13h03
Ca c'est du sport !!!

Le président Vladimir Poutine lors de sa visite au japon
a choisi de faire un combat contre Natsumi une fille de 10 ans

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo2_300.jpg

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo4_300.jpg


http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo300.jpg

http://news.bbc.co.uk/olmedia/910000/images/_911383_judo1_300.jpg

:Daieuh !

:fou::D:D:Dsympa, gaffe aux représailles.............KGB pas loin.......:mdr:

Norton
02/06/2008, 19h40
Sabotage à Zolder

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/12/13/large_403813.jpg L'équipe Gravity de Bert Longin et Anthony Kumpen, qui a pris part ce week-end au Belgian GT Championship de Zolder, a été victime d'un sabotage: des inconnus ont détruit les freins et les roues de ses deux véhicules, et ont mélangé de l'eau au carburant, indiquent ce lundi plusieurs journaux. Si l'équipe a déjà des soupçons quant à l'identité des auteurs, elle ne pense pas que la concurrence soit impliquée. C'est la deuxième fois déjà que l'équipe est victime de tels agissements sur ses voitures.

Dans la nuit de samedi à dimanche, l'entrée du box réservé à l'équipe Gravity a été forcée. Les mécaniciens ont constaté dimanche matin que les deux voitures de l'équipe avaient été sabotées. Ils ont pu les remettre en état de marche, mais les pilotes ont dû abandonner à mi-course, à la suite de problèmes avec l'arrivée d'essence.:diable::langueŽ:

Norton
02/06/2008, 19h44
Mourinho est le nouvel entraîneur de l'Inter

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/9/7/large_404167.jpg
Voici la photo que l'on peut voir sur le site du club intériste.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/11/11/art_large_404186.jpg Jose Mourinho est le nouvel entraîneur de l'Inter, a annoncé lundi le club milanais, précisant que le technicien portugais s'était engagé pour trois saisons.

Mourinho, 45 ans, succède à Roberto Mancini, limogé la semaine passée après quatre saisons à la tête de l'équipe, et ce malgré la conquête de trois titres consécutifs (2006 - attribué par la justice sportive à la suite du scandale des matches truqués -, 2007, 2008). Le club n'a pas précisé le montant de l'engagement du Portugais. Toutefois, selon la presse italienne, celui-ci devrait toucher près de 9 millions d'euros nets par saison.

Le secret de Polichinelle est devenu réalité lundi avec la signature pour trois ans à l'Inter de l'entraîneur portugais Jose Mourinho, qui aura une mission aussi claire que redoutable: remporter la Ligue des Champions, épreuve qui échappe au club milanais depuis 43 ans. Il y a un tout petit plus de deux semaines, l'Inter fêtait la conquête de son 3e titre d'affilée et l'entraîneur d'alors, Roberto Mancini, semblait intouchable, fort d'avoir fait revenir le club au sommet après plus de 15 ans de vaches maigres.

Mais, c'est bien connu, plus on gagne, plus on veut gagner encore. Et le championnat c'est bon, mais la Ligue des Champions, c'est encore meilleur. Et de ce côté-là, l'Inter n'a pas été à la fête durant les quatre saisons de Mancini à la tête de l'équipe, à l'image des éliminations en huitièmes contre Valence et Liverpool ces deux dernières années.

Alors le richissime patron du club, Massimo Moratti, n'y est pas allé par quatre chemins: exit Mancini - et ce malgré un contrat qui courait jusqu'en 2012 -, et place à Jose Mourinho, laissé libre depuis son limogeage de Chelsea en septembre. Selon les médias italiens, il devrait gagner 9 millions d'euros nets par saison, soit plus qu'à Chelsea où il était déjà l'entraîneur le mieux payé du monde (7,8 M EUR par an)!

Au yeux de Moratti, le Portugais, 45 ans, a le profil idéal pour permettre à son équipe d'accéder au Graal européen, qui échappe depuis le doublé de 1964 et 1965. Mancini est un grand entraîneur estime sûrement Moratti, mais, pour lui, Mourinho est un peu plus que cela, un "très" grand entraîneur. Celui-ci peut en effet déjà s'enorgueillir d'un succès en C1, en 2004 avec le FC Porto.

Fidèles partisans
Et puis, autant Mancini est un technicien austère, cassant, qui communique peu, autant son successeur est ce que les médias appellent un "bon client": tour à tour charmeur ou provocateur, arrogant certes, mais, plus que tout, charismatique. L'Angleterre s'est régalée pendant trois ans, c'est désormais au tour de l'Italie. Selon la presse portugaise, cela fait même déjà plusieurs mois qu'il prend des cours d'italien afin d'être immédiatement "opérationnel".

A l'Inter, le groupe est déjà extrêmement fort. Mais, naturellement, chacun s'attend à ce qu'il le soit encore plus car, rien que sur son nom, le Portugais peut attirer des très grands joueurs. Et, à ce jeu-là, toute la presse italienne s'affole, imaginant une équipe renforcée par ses plus fidèles partisans lorsqu'il officiait à Chelsea (Lampard, Drogba, Ricardo Carvalho, Paulo Ferreira) ou à Porto (Deco). Cela devrait coûter très cher. Mais le technicien sait que le président Moratti n'est pas un avare.

Néanmoins, et quel que soit le recrutement à venir, la saison à venir s'annonce redoutable pour l'Inter. Mourinho va devoir d'abord prendre en main l'effectif, et il n'est pas à exclure que ses décisions ou son caractère - jugé despotique par ses détracteurs - ne s'accomodent pas avec quelques unes des fortes têtes du groupe (Ibrahimovic, Vieira et Materazzi entre autres).

Et puis, surtout, les trois années passées par le Portugais à Chelsea ont prouvé une chose: il ne suffit pas de s'appeler Mourinho pour remporter la Ligue des Champions. Sous sa conduite, les "Blues" n'ont jamais dépassé les demi-finales. Et c'est cela qui lui avait coûté sa place.

:non:Vais pas m'en réjouir..................

Norton
02/06/2008, 19h55
Cristiano Ronaldo touché à la cheville droite

L'attaquant Cristiano Ronaldo est sorti du premier entraînement de la sélection du Portugal, au stade Maladière, à Neuchâtel, avec une poche de glace à la cheville droite.

http://www.20min.ch/images/content/1/2/5/12573797/6/1.jpg
Ronaldo a quitté l'entrainement un bandage à la cheville. ap


L'équipe nationale portugaise était arrivée dimanche soir à Neuchâtel, où elle avait pris ses quartiers pour l'Euro-2008 de football. Elle disputera son premier match du tournoi le samedi 7 juin contre la Turquie (groupe A).

AFP

manu94600
02/06/2008, 21h25
Ah ah j'ai hate de voir les nouvelles recrues de l'inter :content:

Cristiano blessé :fou::pleure:

Thunderace59
02/06/2008, 22h53
Bleus : Flamini rappelé

Rédaction Football365 - lundi 02 juin 2008 - 11h22

Suite à l'incertitude planant sur la gravité de la blessure de Patrick Vieira, Raymond Domenech a rappelé Mathieu Flamini, qui était dans la liste des trente joueurs pré-sélectionnés pour le stage de Tignes.
Mathieu Flamini est attendu dans la journée à Clairefontaine. Le milieu de terrain du Milan AC, qui était dans la liste des trente joueurs pré-sélectionnés pour le stage de Tignes, a été rappelé par Raymond Domenech suite à l'incertitude planant sur la gravité de la blessure de Patrick Vieira.
XS

Thunderace59
02/06/2008, 23h03
Man City : Eriksson limogé

Rédaction 365 - lundi 02 juin 2008 - 10h54




Sven-Göran Eriksson n'est plus l'entraîneur de Manchester City. Le technicien suédois a été démis de ses fonctions.


Comme prévu, Sven-Göran Eriksson a été démis de ses fonctions d'entraîneur de Manchester City. Les noms de Zico, Scolari, Mancini et Hugues sont évoqués pour lui succéder.
R.L.
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Grant limogé
Yann CHAPOT - samedi 24 mai 2008 - 20h08

Chelsea a décidé de se séparer d’Avram Grant. Le technicien israélien n’aura pas tenu un an sur le banc des Blues. Malgré une finale de Ligue des Champions et un titre raté de justesse pour son équipe.



Avram Grant n’est plus le manager de Chelsea. Le club londonien a annoncé ce samedi avoir mis fin aux fonctions de son technicien israélien moins d’un an après son arrivée sur le banc des Blues. Convoqué vendredi après-midi à Stamford Bridge, l’ancien sélectionneur d’Israël n’aura pas résisté à la déception des dirigeants londoniens de n’avoir remporté aucun titre cette saison. On lui reproche également de ne pas avoir su donner un style de jeu flamboyant à son équipe comme le souhaitait le propriétaire du club Roman Abramovitch, Grant se contentant de reproduire tout au long de la saison les schémas de jeu de son prédécesseur.

Huit mois passés sur le banc de Chelsea sous intense pression. Il ne se passait pas une semaine sans que son statut et ses compétences ne soient remis en cause. Que ce soit par les médias, l’opinion publique et même son vestiaire. Les dernières déclarations en date de Nicolas Anelka ont confirmé le malaise qui existait entre le manager et ses joueurs. Au lendemain de la finale perdue en Ligue des Champions, Peter Kenyon, le directeur exécutif du club, avait laissé poindre un possible désaveu de son manager : « Le bilan est intéressant mais insuffisant » avait alors déclaré le dirigeant. C’est en effet la première fois depuis quatre ans que Chelsea ne remporte pas le moindre trophée, soit avant que n’arrive José Mourinho.

Un José Mourinho dont le Sun annonçait ce samedi un possible retour sur le banc de Chelsea. Si cette possibilité semble improbable, dans les prochaines heures toutes les rumeurs vont courir. Pour le moment, Frank Rijkaard semble le favori. Le technicien néerlandais, qui va quitter le FC Barcelone, à l’avantage de connaître Hen Ten Cate, déjà en place et qui était aussi son adjoint au Barça. D’autant que Guus Hiddink, le sélectionneur de la Russie que souhaitait faire venir Roman Abramovich, a une fois de plus décliné l’offre du milliardaire russe. La piste de Roberto Mancini (Inter Milan) est également évoquée. Idem pour Marcello Lippi. A une glissade près, celle de Terry lors de la séance de tirs au but mercredi, Avram Grant serait devenu un héros. Il est désormais le paria. ---
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Chelsea !!! c'est de mieux en mieux ... :bad:il n'ont jamais été en finale de C1, dès qu'il y arrive il vire l'entraineur ....:boutons:
si on veut être champion d'Europe il faut ..... de la patience !

MAN UNITED !!! :content::p

http://a1767.g.akamai.net/v/1767/18689/7d/img-dc2.adtech.de/images/Default_Size_16_1x1.gif (http://adserver.aol.fr/?adlink|516|1431806|0|16|AdId=-3;BnId=0;itime=443875909;key=key1+key2+key3+key4;)

Norton
03/06/2008, 05h52
:content:
Stielike débarque à Tourbillon

Uli Stielike (54 ans) succède à Alberto Bigon au poste d’entraîneur du FC Sion.

http://www.20min.ch/images/content/1/9/2/19229708/1/1.jpg


L’ancien joueur du Real Madrid au glorieux palmarès a signé un contrat de trois ans avec le club valaisan. Il sera assisté dans sa tâche par Claude Mariétan, responsable technique de l’Association genevoise de football.

En tant qu’entraîneur, Stielike a dirigé la sélection nationale suisse de 1989 à 1991, puis Neuchâtel Xamax de 1992 à 1994. De 2003 à 2006, il était à la tête des espoirs allemand. C’est à la suite de cette expérience qu’il a été nommé à la tête de la Côte d’Ivoire. Des raisons familiales avaient toutefois éloigné Stielike de ses fonctions professionnelles lors de la CAN 2008.

Norton
03/06/2008, 05h57
Nicolas Sarkozy a rendu visite aux Bleus

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/6/14/large_404249.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/0/10/art_large_404260.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/16/9/art_large_404259.jpg
Le Président de la République Nicolas Sarkozy a rendu visite, lundi, aux joueurs de l'équipe de France au Centre national de Clairefontaine (ouest de Paris), leur assurant que "toute la France était derrière" eux à une semaine du premier match des Bleus à l'Euro 2008 contre la Roumanie.

Arrivé vers 12h25 par hélicoptère, Nicolas Sarkozy était accompagné par la ministre des Sports Roselyne Bachelot et par le Secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte. Le président a été accueilli à sa descente d'hélicoptère par les 23 joueurs français, le sélectionneur Raymond Domenech, le président de la Fédération française de football (FFF), Jean-Pierre Escalettes, le président de la Ligue de football professionnel (LFP) Frédéric Thiriez et le Directeur technique national (DTN) Gérard Houllier.

Le président s'est ensuite adressé aux joueurs français dans la résidence des Bleus avant de s'isoler avec le groupe pour un déjeuner. "Je voulais vous dire que durant cet Euro, il y aura beaucoup de pression compte tenu de votre palmarès, a déclaré Nicolas Sarkozy. Sachez que toute la France sera derrière vous quoi qu'il se passe et quoi qu'il arrive. Le plus important, c'est de se donner du plaisir."

"Le sport, c'est comme dans la vie, on n'est pas sûr de gagner à tous les coups, a-t-il ajouté. Moi, j'ai beaucoup perdu avant de gagner. Ce qui compte, c'est que votre équipe se batte avec les valeurs qui sont les siennes", a ajouté le chef de l'Etat.

Norton
03/06/2008, 05h59
:fou:
Forfait du capitaine italien Cannavaro

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/10/4/large_404644.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/9/3/art_large_404643.jpg
Le capitaine et défenseur Fabio Canavaro, qui s'était blessé à la cheville gauche lors d'un entraînement lundi après-midi, est forfait pour l'Euro 2008 (7-29 juin en Suisse et Autriche), annonce l'agence Ansa.

Le joueur du Real Madrid a été sorti sur une civière lors du premier entraînement des champions du monde 2006 en Autriche, à une semaine de leur entrée dans l'Euro-2008. Il était resté une vingtaine de minutes au sol après un choc involontaire avec son coéquipier Giorgio Chiellini lors d'un match d'entraînement.

Evoluant dans le groupe C, l'Italie doit affronter les Pays-Bas (9 juin à Berne), la Roumanie (13 juin à Zurich) et la France (17 juin à
Zurich).

Norton
03/06/2008, 12h41
Koebi Kuhn "soulagé" et là à 100%

http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2008/swisstxt20080513_9081851_0.jpg
Le Zurichois était de nouveau présent à Feusisberg mardi.[Keystone]


03.06.2008 13:21


Revenu au repère de Feusisberg quelques heures après ses joueurs lundi soir en raison du malaise de sa femme, Koebi Kuhn est apparu soulagé mardi en conférence de presse.


"Le diagnostic est bon et tout est sous contrôle. Je suis maintenant là avec toute ma concentration", a déclaré le sélectionneur.

Tranquillo Barnetta devrait, lui, réintégrer l'équipe mercredi. Le demi de Leverkusen s'entraînera encore seul ce mardi. "Il n'est pas encore à 100% mais sera prêt samedi", a dit Koebi Kuhn.

Ernst Laemmli, délégué aux équipes nationales, a en outre précisé que Marco Streller pourrait revenir, après l'Euro, sur sa décision d'arrêter la Nati.:content:

Norton
03/06/2008, 19h56
Djokovic et Nadal s'affronteront en demi-finales

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/14/3/large_405753.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/6/14/art_large_405779.jpg
7S7 mise à jour Novak Djokovic a mis à profit son expérience pour battre dimanche le jeune Letton de 19 ans Ernests Gulbis en trois sets très accrochés 7-5, 7-6 (7/3), 7-5 et se qualifier pour les demi-finales de Roland-Garros.

C'est la deuxième fois d'affilée que Djokovic, 21 ans, entre dans
le dernier carré à Roland-Garros. Le Serbe, 3e mondial, en est désormais à cinq demi-finales de suite en Grand Chelem, une performance qu'il est seulement le quatrième à réussir dans l'ère Open après Ivan Lendl, Boris Becker et Roger Federer (le Suisse en est à 15, série en cours).

Djokovic et Gulbis ne s'étaient jamais affrontés sur le circuit
professionnel mais se connaissent très bien pour avoir fréquenté ensemble l'académie de tennis de Niki Pilic en Allemagne, du temps de leur adolescence.

"On a été amis longtemps, je suis heureux de le voir réussir aussi
bien. Il a été un peu malchanceux aujourd'hui", a dit le vainqueur.

Les deux hommes se sont livré un beau duel dans des conditions
pénibles (pluie intermittente et vent fort). Le Letton a réussi à mettre
Djokovic en difficulté du fond du court et lors de spectaculaires séances d'amorties et contre-amorties. Le Serbe est même sorti une ou deux fois de ses gonds.

Mais le métier du vainqueur de l'Open d'Australie dans les fins de
set et sa plus grande rigueur (37 fautes directes à 60) ont fait la
différence.

Gulbis, dont on connaissait le potentiel depuis son huitième de
finale au dernier US Open, a confirmé son talent. Son exploit de la
quinzaine est d'avoir sorti au deuxième tour l'Américain James Blake
(N.7). Actuellement 80e mondial, il va faire son entrée dans le Top 50 dès lundi prochain.

Rafael Nadal, triple tenant du titre, s'est qualifié pour les demi-finales de Roland-Garros où il rencontrera le Serbe Novak Djokovic pour un choc très attendu, après sa victoire, une nouvelle fois expéditive, sur Nicolas Almagro en trois sets 6-1, 6-1, 6-1.

Le face-à-face vendredi entre Nadal et Djokovic aura un double enjeu puisqu'il offrira au vainqueur non seulement une place en finale mais aussi la place de N.2 mondial, occupée pour l'instant par l'Espagnol.

Mardi, jour de ses 22 ans, le Majorquin n'a laissé aucune chance à
son compatriote, comme il l'avait fait au tour précédent face à un autre
Espagnol, Fernando Verdasco, et tous les autres adversaires qu'il a
rencontré jusque-là.

En cinq matches, il n'aura abandonné que 25 jeux, soit une moyenne
ridicule de 1,6 jeux par set.

Almagro, 20e mondial, était le premier droitier que Nadal avait à
affronter depuis le début du tournoi. Cela n'a strictement rien changé,
alors qu'on attendait un test plus significatif pour le N.2 mondial face
au joueur ayant remporté le plus de matches sur terre battue cette saison (29).

"En principe c'était un match compliqué mais ça s'est bien passé,
a réagi le Majorquin à la sortie du court. Je vais essayer de continuer
comme ça pour la demi-finale très difficile contre Djokovic. Les résultats indiquent que ça va bien pour moi. Mais je vais aborder la demi-finale avec la plus grande humilité et tranquillité."

Nadal n'a perdu que deux matches sur ses 115 derniers disputés sur
terre battue et attend toujours d'être poussé dans un cinquième set en quatre participations à Roland-Garros.

Norton
03/06/2008, 19h58
Ana Ivanovic à nouveau dans le dernier carré

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/4/14/large_405539.jpg 7S7 mise à jour La Serbe Ana Ivanovic, tête de série N.2, s'est qualifiée pour les demi-finales de Roland-Garros pour la deuxième fois de sa carrière en battant mardi la Suissesse Patty Schnyder (N.10) en deux sets 6-3, 6-2.

Lors de l'édition 2007, Ivanovic était devenue la première Serbe à
se hisser en finale d'un grand chelem, où elle avait été battue par
Justine Henin. Pour sa première participation en 2005, Ivanovic avait
atteint les quarts de finale.

A 20 ans, la finaliste de l'Open d'Australie cette année affiche
déjà six titres à son palmarès dont le dernier glané en mars à Indian
Wells. La jeune fille de Belgrade a abordé Roland-Garros juste après un revers à Rome, où elle a été évincée par une jeune qualifiée.

Mardi, la Serbe aura eu besoin de 1h15 de jeu pour expédier la
Suissesse, qui n'a jamais réussi à atteindre les demi-finales à Paris
depuis sa première participation en 1996. Ivanovic a profité des
nombreuses fautes directes de Schnyder (31), qui a tout de même sauvé deux balles de match malgré le vent et la pluie, qui a commencé à tomber en fin de match.

"C'était une adversaire coriace. Mais j'ai su être patiente. Je suis très contente de la façon dont j'ai joué. Je suis restée concentrée. Je me suis sentie très bien sur le court. Je voulais faire le mieux possible", a expliqué la Serbe.

Depuis le début du tournoi, Ivanovic a été expéditive. Elle a même
infligé un cinglant 6-0, 6-0 en huitièmes de finale à la Tchèque Petra
Cetkovska.

"On doit jouer chaque match comme si c'était le dernier du tournoi, comme si c'était une finale. C'est comme ça que j'arrive sur le court et que je joue chaque match et ça m'aide vraiment", a commenté Ivanovic qui entend garder ce niveau de jeu pour la suite.

Pour une place en finale, elle rencontrera soit sa compatriote Jelena Jankovic (N.3), qu'elle a battu lors de leurs cinq dernières rencontres, soit l'Espagnole Carla Suarez, issue des qualifications, et qu'elle n'a encore jamais affrontée.

Norton
03/06/2008, 20h10
EURO 2008
L'équipe d'Allemagne est arrivée au Tessin


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/1___________________article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/1___________________zoom.jpg) Image © KeystoneL'équipe allemande de football est arrivée mardi au Tessin où elle séjournera durant l'EURO 2008. Elle a atterri à l'aéroport de Lugano-Agno avant de prendre la direction d'Ascona où elle a réservé l'hôtel "Giardino" jusqu'au 29 juin.

- le 03 juin 2008, 14h42
Le Matin



Emmenée par Theo Zwanziger, président de la Fédération allemande de football, la délégation a été reçue par une cinquantaine d'élèves de classes de la région et de nombreux journalistes. Peu de curieux se sont déplacés malgré un temps ensoleillé et chaud.
Le conseiller d'état tessinois Gabriele Gendotti, directeur du département de la culture et des sports, a souhaité la bienvenue aux footballeurs. Les joueurs n'ont pas donné d'interview ni signé d'autographes. L'équipe a tout de suite pris place dans le bus qui a pris la direction d'Ascona, escorté par la police.

Thunderace59
04/06/2008, 00h15
Mexique : Eriksson sélectionneur

Rédaction Football365 - mercredi 04 juin 2008 - 00h10 Sven-Göran Eriksson, l’ancien sélectionneur de l’Angleterre puis de Manchester City, a été nommé mardi sélectionneur du Mexique.
Un nouveau challenge pour Sven-Göran Eriksson. Le Suédois a été nommé mardi pour deux ans sélectionneur du Mexique, en remplacement d'Hugo Sanchez. Agé de 60 ans, Sven Goran Eriksson entraînait Manchester City cette saison avant d’être poussé vers la sortie.

MB



espèrons qu'il fera mieux qu'avec l'Angleterre:)

Thunderace59
04/06/2008, 00h19
Man. Utd : Ramsey va signer

Rédaction Football365 - mardi 03 juin 2008 - 16h03

Le jeune milieu gallois de Cardiff, Aaron Ramsey (17 ans), va s’engager prochainement avec Manchester United.
Un renfort gallois pour Manchester United. Les Red Devils sont parvenus à un accord avec Cardiff pour le transfert du jeune milieu Aaron Ramsey, rapporte le site officiel des Red Devils. Le joueur passera prochainement la visite médicale d’usage. Agé de 17 ans, Aaron Ramsey, passé pro en avril 2007, a disputé seize matchs avec Cardiff. Convoqué face à l'Islande et aux Pays-Bas par la sélection galloise la semaine passée, sans entrer en jeu, il est considéré comme un des plus grands espoirs du football britannique.

MB
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Inter Milan : Pas de chamboulement

Rédaction Football365 - mardi 03 juin 2008 - 16h02

Avec l’arrivée de Jose Mourinho aux commandes de l’Inter Milan, on pouvait penser que l’effectif allait beaucoup évoluer. Mais le coach portugais assure qu’il n’a besoin que de trois recrues au maximum.
L’effectif du champion d’Italie 2008 ne devrait pas subir de nombreux changements à l’intersaison. Jose Mourinho a assuré lors de sa présentation mardi au centre d’entraînement, ne pas vouloir bouleverser l’effectif, qui, selon lui, n’a besoin que de « deux ou trois joueurs maximum ».
AG

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Man. City : Pont d’or pour Ronaldinho ?

Rédaction Football365 - mardi 03 juin 2008 - 18h27

D'après plusieurs medias britanniques, Manchester City serait prêt à offrir un salaire hebdomadaire de 293 000 euros à Ronaldinho, l'attaquant brésilien du FC Barcelone. Cela en ferait le joueur le mieux payé de Premier League.
Manchester City est prêt à faire des folies Ronaldinho. Le club anglais serait prêt, selon plusieurs medias britanniques, à offrir un salaire hebdomadaire de 293 000 euros à l'attaquant brésilien du FC Barcelone. Ce dernier deviendrait ainsi le joueur le mieux payé de Premier League. La direction du Barça exigerait 40 millions d’euros pour le transfert de l'ancien Ballon d'or.

MB
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le pouvoir d'achat ... voilà un truc qu'il ne connait pas... :fou:

Norton
04/06/2008, 06h01
Vaud
RSS (javascript:void(0)) EURO 2008 Van der Sar: «On se sent ici comme à la maison»

PAYS-BAS | 00h41 L’équipe de Van Basten est arrivée hier à Lausanne. Rencontre avec ses stars.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11244284-1/112442841_resize_crop320par220.jpg ARC | Edwin Van der Sar et Ruud Van Nistelrooy (au centre) sont accueillis à l’hôtel Beau-Rivage par Patrice Iseli (à g.) et Marc Vuilleumier,




P.-A. S. | 04 Juin 2008 | 00h41

Van Basten, Van Nistelrooy, Van der Sar. Il y avait de la star au mètre carré, hier soir, à l’hôtel Beau-Rivage de Lausanne.
La délégation néerlandaise a pris ses quartiers dans le palace peu après 19h30. C’est la troisième fois que les joueurs des Pays-Bas préparent un grand rendez-vous en ces lieux. «L’hôtel est idéal, on y mange bien, les gens sont sympas et l’endroit est calme. On se sent ici comme à la maison», explique Edwin Van der Sar. Le gardien de Manchester United, champion d’Angleterre et héros de la Ligue des champions sait qu’il est important de soigner les moindres détails pour atteindre ses objectifs.
«En foot rien n’est jamais acquis. Voyez, lorsque Terry a frappé son penalty, en finale de la Ligue des champions, j’étais heureux que le ballon s’écrase sur le montant. Remporter deux trophées cette année est quelque chose d’extraordinaire. Mais là, pour l’Euro, nous repartons de zéro. Réussir notre entrée contre l’Italie, lundi, sera primordial.»
La clé du succès, selon Van Basten

La formule gagnante, Marco Van Basten la connaît, lui qui remporta le titre en 1988. Il y a 20 ans, l’attaquant qui recevra à trois reprises le Ballon d’or envoyait les Pays-Bas au paradis, d’une volée magistrale. Ce trophée européen reste à ce jour le seul titre de la sélection orange. «Pour gagner, il faut être physiquement fort, faire en sorte que les joueurs se sentent bien sur le terrain et il faut aussi de la chance», estime le sélectionneur.
Patrice Iseli, chef du Service des sports de Lausanne et Jean-Claude Mermoud avaient les yeux brillants en voyant certains joueurs. «J’aime le dynamisme et la pugnacité des Hollandais», confie le conseiller d’Etat, ancien junior du FC Oulens et fondateur du FC Penthéréaz.
Entraînement public, demain au stade de la Pontaise à 18?h (ouverture des portes à 17h. L’entrée est libre.

:content::content::content:J'habite à côté du stade, vais pas rater ça.............:amoureux:

Norton
04/06/2008, 08h04
Euro: Domenech satisfait de la victoire contre la Colombie
mer. juin 4, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-04T055618Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-DOMENECH-20080604.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-04T055618Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-DOMENECH-20080604.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif


par Bertrand Boucey
SAINT-DENIS (Reuters) - Raymond Domenech s'est satisfait mardi de la victoire et de l'absence de blessé dans les rangs de l'équipe de France à l'issue de la dernière rencontre de préparation pour l'Euro, contre la Colombie.
Les Bleus se sont imposés 1-0 sur un penalty de Franck Ribéry au Stade de France, à l'issue d'un match jugé intense par le sélectionneur français.
"Déjà, il n'y a pas de blessé", a réagi Domenech. "Le match a été intense, il n'y a aucun problème pour la liste, c'est déjà le premier point positif."
"Le deuxième point positif, c'est que c'est gagné. C'est toujours intéressant même s'il ne l'a pas été facilement mais l'Euro ne sera pas facile", a-t-il poursuivi.
A l'issue du deuxième match de préparation conclu sur un nul sans but samedi face au Paraguay, Domenech avait reproché à ses joueurs de privilégier le beau jeu au détriment de l'efficacité.
Même si les Bleus n'ont trouvé la faille que sur un coup de pied arrêté malgré les nombreux mouvements du trio offensif, il a cette fois préféré mettre l'accent sur les multiples occasions obtenues par les Français.
"TANT QU'ON A DES OCCASIONS"
"Le fait d'avoir des occasions de but contre des équipes solides, qui savent défendre, c'est bien. Tant qu'on a des occasions, on peut marquer. Donc dans ce registre, c'est vrai qu'on peut améliorer le pourcentage de réussite", a-t-il dit.
"On en a gardé quelques uns pour l'Euro."
Parmi les autres motifs de satisfaction, le sélectionneur a aussi retenu le match de sa charnière centrale Lilian Thuram et William Gallas, qui n'avaient pas évolué ensemble depuis le début de la préparation.
"L'objectif, c'était qu'ils aillent au bout. Qu'ils fassent un match entier dans un match à haute intensité, c'est bien", a-t-il jugé.
Domenech a dit ne pas encore savoir si l'équipe alignée au coup d'envoi mardi serait également celle qui débuterait l'Euro le 9 juin contre la Roumanie.
De ces trois matches de préparation, il a refusé de tirer des certitudes.

Norton
04/06/2008, 08h14
Groupe B: l'oeil d'Uli Stielike

http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2008/swisstxt20080603_9169883_2.jpg
L'ex-international allemand ne mise pas sur ses compatriotes.[Reuters]


03.06.2008 16:03


Joint quelques jours avant la signature de son contrat à Sion, Uli Stielike (54 ans), ex-sélectionneur de la Nati, décortique le groupe B, celui de sa "Mannschaft".




"L'Allemagne n'est pas favorite du tout"
"Pour moi, l'Allemagne n'est pas favorite du tout de l'Euro. N'oublions pas que lors du Mondial 2006, les Allemands ont profité du fait qu'ils jouaient à domicile. Et je ne pense pas qu'ils soient plus forts aujourd'hui. J'estime même qu'ils pourraient avoir des problèmes avec leur gardien. Jens Lehmann n'a en effet pas beaucoup joué cette saison à Arsenal".

"La Pologne va créer des surprises"
"A mon avis, c'est une équipe qui va causer bien des surprises... Les Polonais auront un énorme avantage lors de cet Euro, c'est que personne n'attend absolument rien d'eux! La Pologne pourrait donc considérablement gêner l'Allemagne et la Croatie, les "gros" de ce groupe B".

"Les Croates sont techniques et surprenants"
"La Croatie est une bonne équipe, avec beaucoup de joueurs qui évoluent à l'étranger. Sélection très technique, la Croatie a les moyens de réussir un coup et donc de surprendre. Mais attention, les Croates sont parfois tellement surprenants qu'ils peuvent... se surprendre eux-mêmes!"

"Une mission trop difficile pour l'Autriche"
"Dans ce cas-là, évoluer à domicile sera une mission bien trop grande pour les Autrichiens. A mon avis, ce sera même un sacré poids pour l'Autriche de jouer devant son public, notamment en raison de son inexpérience internationale. Et il ne faut pas se le cacher, techniquement et tactiquement, l'Autriche est bien en-dessous...

En conclusion, je dirai que les qualifiés de ce groupe B seront l'Allemagne et... la Pologne! J'ai l'impression que cet Euro sera celui des surprises".

Norton
04/06/2008, 08h20
Groupe A: l'oeil de Comisetti

http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2008/swisstxt20080602_9163127_0.jpg
Comisetti: "la Suisse a les moyens d'aller en quarts".[Keystone]


02.06.2008


Alexandre Comisetti (34 ans/30 sélections) sera le consultant de la tsr durant l'Euro 08. Le Vaudois, qui a disputé l'Euro 96, analyse le groupe A, celui de la Suisse.




Portugal: "il faudra tous les surveiller"
"Cristiano Ronaldo, Nani, Ricardo Carvalho: toutes ces stars de la Ligue des Champions sont les noms qui viennent tout de suite à l'évocation de la Seleçao. Nuno Gomes est aussi un sacré joueur. Il faudra tous les surveiller comme le lait sur le feu. Les artistes lusitaniens peuvent faire des trucs improbables, qu'on a peu l'habitude de voir.

Mais leur salut passe par le collectif. Chacun devra jouer la même partition que son coéquipier. Si l'harmonie est là, ils seront injouables".

Tchéquie: "des jeunes prometteurs"
"C'est une équipe solide qui possède des jeunes prometteurs et une défense efficace, qui n'a encaissé que 8 buts en qualifications. En attaque, la troupe de Brueckner peut s'appuyer sur une tour. Jan Koller, qui mesure 2m02, est un élément à part. Il est rare de rencontrer un tel joueur en football.

Tomas Rosicky, le "petit Mozart", manquera lui certainement beaucoup au milieu du terrain. Par contre, je ne pense pas que l'absence de Pavel Nedved pèsera. Le milieu de la Juventus commence gentiment à passer le pas".

Turquie: "le contexte est différent"
"Il s'agit d'une formation qui possède beaucoup de tempérament. Le passé entre cette sélection et la Suisse est chargé en émotions (ndlr: le barrage de qualification pour le Mondial 2006 s'était fini par une rixe). J'estime cependant qu'il ne faut pas en remettre une couche, le contexte est différent maintenant. Inutile pour la Nati de perdre de l'énergie par rapport à cet incident du passé.

Attention à Emre (Newcastle), le meneur de jeu. Même s'il évolue dans une position reculée, tous les ballons transitent par lui. Nihat, qui a marqué 18 buts en championnat avec Villarreal, est aussi un joueur qui sort du lot".

Suisse: "les moyens d'aller en quarts"
"Pour moi, elle a largement les moyens de se qualifier pour les 1/4. La Nati est capable de rivaliser au niveau des qualités affichées par les autres équipes du groupe A. Le premier match face aux Tchèques sera bien sûr déterminant pour la suite. Mais une défaite ne compromettrait pas tout pour autant. On se souvient que le Portugal avait perdu 2-1 en ouverture de l'Euro 04 et qu'il s'était tout de même rendu en finale.

Les matches amicaux joués jusqu'ici ne veulent rien dire. Quand tu es impliqué dans des matches importants avec ton club, tu joues forcément un peu avec le frein à main en équipe nationale. Ce ne sera plus le cas durant cet Euro".

:content:Yes J-3:boutons:

Norton
04/06/2008, 20h43
Roland-Garros: Roger Federer, quatre année à la suite
mer. juin 4, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-04T161058Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-ROLAND-GARROS-HOMMES-FEDERER-20080604.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-04T161058Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-ROLAND-GARROS-HOMMES-FEDERER-20080604.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
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pour Chrystel Boulet-Euchin
PARIS (Reuters) - Malmené durant un set par le Chilien Fernando Gonzalez, Roger Federer, le numéro un mondial, s'est qualifié mercredi pour les demi-finales de Roland-Garros pour la quatrième année consécutive.
Le Suisse s'est imposé 2-6 6-2 6-3 6-4 en deux heures et une minute face à la tête de série n°24, un véritable spécialiste de la terre battue, vainqueur du tournoi de Munich début mai.
"J'étais vraiment sous pression pendant et après le premier set. Je ne me sentais vraiment pas bien, je ratais beaucoup de coups droits et il défendait bien", a concédé Federer, finaliste malheureux Porte d'Auteuil face à l'Espagnol Rafael Nadal en 2006 et 2007.
Le Suisse a démarré péniblement, concédant son service dès le premier jeu de la rencontre.
Gonzalez - qui ne l'avait battu qu'une fois en 11 rencontres, lors de leur dernière confrontation à la Masters Cup en fin de saison dernière - le laissait recoller au score au quatrième jeu mais inscrivait ensuite quatre jeux de rang pour boucler la manche en 25 minutes.
"UN BEAU MATCH"
A ce moment de la partie, Federer semblait au plus mal mais c'était sans compter sur la réaction du champion qui ne tardait pas à égaliser à un set partout.
Dans les deux dernières manches, un break rapidement acquis lui permettait d'avancer sereinement vers la victoire obtenue d'une demi-volée de coup droit déposée au milieu du court, qui subjuguait le Chilien.
"J'ai eu beaucoup de peine mais j'ai réussi à trouver un chemin pour dominer les échanges du fond du court. Après, ce fut un beau match", s'est félicité le Suisse.
"Le tirage n'était pas évident. J'ai joué de très bons joueurs de terre battue et Fernando (Gonzalez) en est un. C'est vraiment une bonne victoire."
Pour une place en finale, Federer rencontrera le vainqueur de la rencontre opposant le Français Gaël Monfils à l'Espagnol David Ferrer, tête de série numéro cinq.

Norton
04/06/2008, 20h48
Roland-Garros: Gaël Monfils fait exploser le métronome Ferrer
mer. juin 4, 2008

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par Jean-Paul Couret
PARIS (Reuters) - Gaël Monfils a fait sensation à Roland-Garros où il s'est qualifié mercredi pour les demi-finales avec une éclatante victoire 6-3 3-6 6-3 6-1 sur l'Espagnol David Ferrer, tête de série n°5.
Premier Français depuis Sébastien Grosjean en 2001 à atteindre le dernier carré, Monfils aura pour adversaire, vendredi, le n°1 mondial Roger Federer, vainqueur du Chilien Fernando Gonzalez, n°24, 2-6 6-2 6-3 6-4.
"J'ai une revanche à prendre car j'ai perdu deux fois contre lui cette année. Je suis chez moi donc je l'attends de pied ferme", a-t-il dit.
Le Suisse l'a battu trois fois en trois rencontres dont deux cette année à Miami et Monte-Carlo, à chaque fois sur le score de 6-3 6-4.
Rares étaient ceux qui attendaient Monfils à pareille fête car bien que revenu en forme après une année gâchée par les blessures, il n'avait gagné que cinq matches depuis le début de la saison dont quatre sur terre avant le début du tournoi.
Ses trois premiers matches l'avaient en outre opposé à des adversaires classé au-delà de son 59e rang mondial et Ivan Ljubicic, son adversaire des huitièmes et tête de série n°28, était loin de la forme qui l'avait porté au troisième rang mondial.
Ferrer, finaliste de la Masters Cup en décembre, se présentait comme un adversaire d'un tout autre niveau.
Transformé par son passage dans le sérail du Team Lagardère et ses retrouvailles avec son entraîneur Thierry Champion qui fut lui-même quart de finaliste à Roland-Garros, Monfils l'a dominé dès les premiers échanges.
"JE ME SENS TRÈS FORT"
"Mon jeu est monté progressivement. J'ai joué un très gros tennis aujourd'hui je me suis bien adapté, c'est un jeu que j'aime bien aussi. j'ai réussi à tenir le choc physiquement alors que c'est ce qui me faisait peur", a-t-il dit.
Bien dans sa tête, solide sur ses jambes, sobre dans son comportement, relâché dans ses coups, Monfils a remporté le premier set en 40 minutes.
Ses statistiques, 17 coups gagnants contre quatre à Ferrer, deux balles de break converties sur quatre contre aucune, quatre aces, dont un à 223km/h, contre zéro, disaient sa supériorité.
Dans la deuxième manche, Ferrer, métronome et marathonien des courts, a réussi à dicter la longueur des échanges. Un break dans le septième jeu lui a permis de prendre le dessus et il a pris le set par un jeu blanc sur le service de Monfils.
Monfils n'a pas craqué. Un break dans le deuxième jeu du troisième set l'a relancé. Son service lui a servi de protection jusqu'à 5-3 et il a pris l'avantage deux sets à un sur le service de Ferrer.
A ce moment du match, le public n'applaudissait plus, il rugissait à chaque point du Français.
"Avec le public et ma famille derrière, je me sens vraiment très fort", a-t-il dit. "J'étais bien en jambes je couvrais vraiment bien mon terrain, j'ai pris la balle tôt quand il fallait, j'ai fais des changements de rythme. J'ai vraiment fait un très grand match."
Le quatrième acte du récital est passé en 34 minutes. Monfils a aligné cinq jeux. Ferrer a gagné son service et a mené 0-30 sur celui du Français. Une série de services gagnants et de coups droits ont rétabli la situation et Monfils a scellé sa victoire en forçant un retour de revers dans le filet.

:bad:J'ai regardé le match. Monfils a vraiment bien joué a mon avis.........

Norton
05/06/2008, 05h53
FOOTBALL - EURO 2008
Les Français sont arrivés à 21 h... 08

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/supp_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/supp_zoom.jpg)
Image © Michel PerretUne cinquantaine de supporters, une quarantaine de journalistes et une soixantaine de policiers ont accueilli les Tricolores dans leur palace du Mont-Pèlerin...

- le 04 juin 2008, 23h46
Le Matin


Alors que c'est bientôt l'heure de l'Euro, en ce début d'après-midi pluvieux, Le Mont-Pèlerin se coupe du monde! La route qui mène de Chexbres jusqu'au Mirador Kempinski est barrée. On ne passe pas, ou alors à pied. «Bienvenue aux Bleus!» C'est écrit au-dessous d'un panneau d'interdiction...
Salko est arrivé le premier, emmitouflé dans son drapeau tricolore. Il était 14 heures. Puis Olivier, Charles et Romain l'ont rejoint. «On vit ensemble, on vibre ensemble!» C'est le slogan des Bleus. C'est également le credo de leurs supporters.
«Aux armes, citoyens...» Qui ne saute pas «n'est pas Français». Les chants fusent. Un, deux, trois, quatre puis... cinquante, ils sont venus de Carpentras, de Thonon et de Normandie, pour se placer devant le camp retranché de l'équipe de France.
Arrivent les caméras, les micros, TF1, France 2, M6, Canal +, RMC, France Info et même la TV roumaine! «Ils ne peuvent pas atterrir à Sion, il fait trop mauvais. Ils arrivent à 19 heures à Genève!» Les journalistes français, qui parlent aux Français, sont en ligne avec d'autres confrères. «En 2002, on dormait dans leur hôtel...» C'était en Corée. Nostalgie. Ce sera finalement 19 h 45 lorsque ont débarqué les héros, escortés depuis Cointrin jusqu'à la Riviera, à leur palace étoilé, réquisitionné pour (en principe) un mois et gardé jour et nuit par des agents de sécurité.
La bande à Raymond Domenech, victorieuse mardi soir de la Colombie, a finalement franchi la ligne d'arrivée à... 21 h... 08. Sur leur balcon, les voisins ont agité leurs drapeaux. Sept heures d'attente pour quinze secondes de bonheur! «Ribéry a souri», «Domenech nous a fait signe!» Comme le passage d'une étape du Tour, c'est allé très vite. L'occasion pour Salko, Olivier, Charles, Romain, Dominique et tous les fans de l'Hexagone de souhaiter une bienvenue aux Français, qui s'entraîneront cet après-midi (17 h 30) à Châtel-Saint-Denis.

Atterissage à Genève plutôt qu'à Sion
Les mauvaises conditions météo ont provoqué une modification du programme de l'équipe de France. Les Bleus ont atterri à Genève, et non pas à Sion comme initialement prévu. L'avion des Bleus s'est posé à Cointrin peu avant 20 h. La sélection dirigée par Raymond Domenech a ensuite pris la route pour gagner son luxueux hôtel au Mont-Pèlerin.
http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/att_article.jpg
L'équipe de France (ici Mandanda, Makelele, Coupet, Toulalan et Clerc, de g. à dr.) est accueillie à sa descente d'avion. Photo © Keystone

Norton
05/06/2008, 15h58
Groupe D: l'oeil de Luis Fernandez

http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2008/swisstxt20080605_9176623_2.jpg
Luis Fernandez verrait d'un bon oeil une victoire espagnole.[Reuters]


05.06.2008 12:26


Né en Espagne et ex-international français, Luis Fernandez (48 ans) est actuellement consultant pour plusieurs médias dans l'Hexagone. Il analyse le groupe D.




"La Grèce n'a rien à perdre"
"Il faut faire très attention à cette équipe. Dans une compétition comme celle-là, la Grèce n'a pas de pression, elle n'a rien à perdre. Elle a aussi des joueurs qui ont accumulé de l'expérience depuis le titre remporté il y a quatre ans au Portugal. Maintenant, l'effet de surprise ne va pas forcément se reproduire encore une fois".

"L'union fait souvent défaut dans l'équipe d'Espagne"
"C'est une équipe très talentueuse avec beaucoup de joueurs qui évoluent dans des grands clubs d'Europe. Sur le plan offensif et au milieu du terrain, les Espagnols sont bien armés. J'ai certaines craintes sur le plan défensif, même si avec Ramos et Puyol, ils ont des éléments solides qui jouent au Real Madrid ou à Barcelone.

Maintenant, avec l'Espagne c'est toujours le même problème. Ils ont des grands joueurs, mais l'union dans l'équipe fait souvent un peu défaut. L'absence de Raul? C'est le choix du sélectionneur, il est mieux placé que quiconque pour faire sa liste.

"Je ne crois pas trop à la Russie"
"Ils ont un entraîneur, en la personne de Guus Hiddink, qui semble être né sous une bonne étoile. A chaque fois, tout ce qu'il touche, c'est le jackpot (ndlr: il avait notamment emmené la Corée du Sud à la 4e place au Mondial 2002)! Les Russes ont toujours pratiqué un très bon football.

Le Zenit l'a encore prouvé en gagnant il y a quelques semaines la Coupe UEFA. Le problème pour eux, c'est le calendrier de leur championnat. Apparemment, ça ne leur convient pas pour briller lors des grandes compétitions en juin. Moi, je n'y crois pas trop à cette équipe... mais méfiance quand même"!

"La Suède joue un football appliqué"
"Zlatan Ibrahimovic est le leader de la formation suédoise. C'est un joueur qui a fait une grosse saison avec l'Inter, mais il était blessé dans la 2e partie. C'est un football sérieux, appliqué, avec beaucoup de rigueur. L'équipe sait ce qu'elle a à faire sur le terrain, elle n'en fait pas de trop.

En conclusion, je dirai que les qualifiés de ce groupe D seront l'Espagne et la Suède".

:content::yes:Suis joliment de son avis...............

Norton
05/06/2008, 16h07
Dinara Safina s'est qualifiée pour la finale de Roland-Garros en battant Svetlana Kuznetsova 6-3 6-2


05.06.2008 16:01


Dinara Safina disputera à Roland-Garros sa première finale en Grand Chelem. La Russe s'est défait relativement facilement de Svetlana Kuznetsova, 6-3 6-2. La petite soeur de Marat a éliminé sa troisième compatriote d'affilée après Maria Sharapova en 1/8 de finale et Elena Dementieva en 1/4. En s'inclinant, Kurznetsova a perdu l'occasion de prendre la place de no1 mondiale, qui reviendra à la gagnante de la deuxième demi-finale qui oppose Ana Ivanovic, la tombeuse de Patty Schnyder, et Jelena Jankovic.

Norton
06/06/2008, 05h58
Sports
RSS (http://javascript<b></b>:void(0)) Cech, cet homme au casque noir sur le chemin de la Suisse

EURO 2008 | 00h46 Gros plan sur l’un des meilleurs gardiens du monde avant le match d’ouverture entre la Suisse et la République tchèque demain, à 18h, à Bâle.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11270507-1/112705071_resize_crop320par220.jpg AP | SEREIN A 26 ans, Petr Cech totalise 53 sélections. Considéré comme l’un des meilleurs gardiens du monde, le Tchèque est confiant avant le match d’ouverture. PRAGUE, LE 11 SEPTEMBRE 2007
OLIVIER BREISACHER / SEEFELD | 06 Juin 2008 | 00h46


C’était le 28 mai 2002 au Parc Saint-Jacques. Il fêtait le premier grand succès de sa carrière: champion d’Europe des moins de 21 ans face à la France, qu’il dégoûtait 120 minutes, puis lors d’une séance de tirs au but. Six ans plus tard, presque jour pour jour, Petr Cech retrouvera l’enceinte bâloise. «Je ne suis pas du genre nostalgique, prévient-il. C’est un bon souvenir, qui remonte toutefois à bien longtemps…»
A quelques mètres des installations olympiques de Seefeld, repère autrichien des Tchèques durant l’Euro, Petr Cech a laissé filtrer hier toute sa confiance avant le match d’ouverture. A ses yeux, «la pression est bien plus sur les épaules de la Suisse, en raison de son statut de pays organisateur». Son vis-à-vis, Diego Benaglio? «Il a brillé depuis son arrivée à Wolfsburg, sans commettre de véritables erreurs. En cas de pépin, Zuberbühler a suffisamment d’expérience.» Et Alexander Frei, son ancien coéquipier de Rennes? «Je devrai m’en méfier. Mais il n’incarne pas le seul danger helvétique. J’en ai gardé un bon souvenir durant les 18 mois vécus en France.» Soit jusqu’en 2004.
Depuis, le natif de Pilsen a changé de statut en rejoignant Chelsea et en savourant, notamment, deux titres nationaux (2005, 2006), une Cup (2007) et, presque une Ligue des champions (2008, échec aux tirs au but face à Manchester United). Pour le grand public, il est devenu le gardien casqué, personnage haut en couleur, malgré sa modestie qui tranche avec d’autres stars du camp tchèque. Ce géant de 197 cm est considéré comme l’un des meilleurs gardiens du monde. A 26 ans seulement. De son propre aveu, il n’a pas encore atteint les sommets. «N’oublions pas non plus Buffon, Van der Sar ou Casillas», lâche-t-il, sans porter de jugement sur lui.
On l’appelle «Big Pete»
Ce casque noir de 80 grammes fait désormais partie du personnage. Impossible de passer inaperçu pour «Big Pete» (son surnom à Stamford Bridge), admirateur dans sa jeunesse du gardien belge Michel Preud’homme. Il ne se rappelle même plus des conditions tragiques qui en sont la cause. Elles remontent au 14 octobre 2006. Violemment percuté par le genou de Stephen Hunt, l’attaquant du FC Reading, Petr Cech restait étendu sur le dos, les jambes écartées, la main droite sur les yeux. Le gardien des Blues et de la Reprezentace annonçait au soigneur vouloir reprendre le jeu, en vain. Evacuation vers les urgences, trou noir complet, diagnostic inquiétant: fracture du crâne, avec cerveau comprimé. Opération compliquée.
Petr Cech s’en remettra rapidement, sans véritables séquelles. Un petit miracle et un retour sur le terrain trois mois plus tard. Lui qui rêvait de devenir hockeyeur professionnel dans son enfance, le voilà comblé: il portera lui aussi un casque de protection. Pas celui d’un gardien de hockey, mais celui des rugbymen de l’hémisphère Sud. «Je devrai l’enfiler de longues années encore.» Ce qui ne semble en rien entraver son agilité et ses réflexes dans la cage.
Diego Benaglio: «Le gardien d’en face ne m’intéresse pas»

http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11270549-1/112705491_medium.jpgUn journaliste d’une chaîne de télévision allemande apporte à Diego Benaglio les salutations de Felix Magath. «Merci, c’est gentil», répond-il. Son entraîneur à Wolfsburg flâne du côté du Costa Rica pendant que le gardien suisse contemple la pluie à Feusisberg.
«Je me réjouis de ce premier match contre les Tchèques, enchaîne Benaglio. La pression n’est pas plus forte que d’habitude. Un match d’ouverture est un événement particulier, mais je me concentre pour réussir ce que j’ai fait en championnat contre Duisburg ou Cottbus, bien jouer et ne pas prendre de buts. Je ne rêve pas non plus. Je ne suis pas un rêveur, mais une personne réaliste.»
Il a débuté en équipe A le 3 juin 2006 durant une mi-temps contre la Chine. Il vit ensuite dans les tribunes le blanchissage mondial de Pascal Zuberbühler en Allemagne. Intronisé numéro un en janvier 2008, il compte douze sélections avant d’aborder sa première compétition majeure à 25 ans.
Devant le but opposé se dressera le monument Petr Cech samedi. Le Tchèque a un an de plus que le portier suisse, ses 53 sélections comprennent une participation à l’Euro 2004 ainsi qu’à la Coupe du monde 2006. «Buffon et lui sont les meilleurs gardiens du monde. J’apprécie le style de Cech. Je ne le connais pas personnellement, la tranquillité qu’il dégage m’impressionne. Il ne livre pas de déclarations fracassantes, il préfère les actes aux paroles. Mais sa présence ne change rien pour moi. Je me concentre sur mon jeu et sur ma performance. Le gardien d’en face ne m’intéresse pas.»
STÉPHANE FOURNIER / FEUSISBERG

Norton
06/06/2008, 06h01
Sports
RSS (http://javascript<b></b>:void(0)) Ribéry au cœur des questions

EURO 2008 | 00h40 Premier entraînement des Bleus à Châtel-Saint-Denis. Vieira était là en pleine possession de ses moyens. Ribéry, lui, a vite arrêté.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11270022-1/112700221_resize_crop320par220.jpg ÉDOUARD CURCHOD | MÉNAGÉ Franck Ribéry (à dr.), accompagné par un membre du staff médical, s’est contenté d’un léger footing sur la magnifique pelouse du stade du Lussy. CHÂTEL-ST-DENIS, 5 JUIN 2008

PHILIPPE DUBATH / CHÂTEL-SAINT-DENIS | 06 Juin 2008 | 00h40


Le chouchou, c’est vraiment lui. Franck Ribéry est aimé des enfants, des adultes, des papas et des mamans, et cela se sentait vivement dans les mots et applaudissements qui lui étaient adressés par le public de Châtel-Saint-Denis, venu assister hier à la première sortie des Bleus. Oui, le chouchou c’est lui, et c’est bien pour cela qu’une certaine inquiétude s’est emparée de ses nombreux supporters quand dans un premier temps, il a trottiné seul, loin derrière les autres, puis quand il a quitté le terrain, comme Thierry Henry d’ailleurs, bien avant ses coéquipiers.
Le petit dribbleur et inspirateur du jeu tricolore absent lors du match de lundi contre la Roumanie? Rien qu’à l’évocation de cette possibilité, les fronts des très nombreux journalistes français se ridaient. Ils ne voulaient pas croire, et on les comprend, à une nouvelle affaire rappelant celle de la cuisse de Zidane, qui perturba la France dès le début de la Coupe du monde 2002… Mais on n’en est pas là, il s’en faut même de beaucoup.
Info ou intox

En fait, il est vraisemblable que Ribéry souffre encore, et tout «simplement» de sa cheville, qui avait été touchée pendant le duel contre la Colombie, mais que tout s’arrangera à temps. C’est ce que préféraient d’ailleurs se dire la grande majorité des spectateurs, qui ont bien envie de voir les Français rester longtemps dans le tournoi. Et puis, dans ce contexte de préparation où l’on sait combien les adversaires s’observent, s’analysent, il n’est pas impossible - les observateurs français s’accordaient à ce propos - qu’il ne s’agisse que d’une forme d’intox, visant à semer un vague trouble chez les Roumains, voire même chez les Italiens et les Hollandais… Le sélectionneur français en dire-t-il davantage aujourd’hui lors de la conférence de presse prévue en début d’après-midi?
«Il a l’air impeccable»

Hormis le cas Ribéry, c’est le cas Vieira qui a retenu l’attention: le grand milieu de terrain a semblé se porter pour le mieux. Dans les échauffements comme dans les jeux avec le ballon, il n’a pas lâché le moindre signe pouvant laisser croire que sa cuisse le faisait encore souffrir. «Il a vraiment l’air impeccable» souriait dans la tribune Sébastien Barberis, qui dirige aujourd’hui une succursale bancaire à Châtel. De là à penser que Vieira est complètement remis, et que Raymond Domenech pourra compter sur lui lundi, il y a un pas.
Cela dit, lors de ce spectacle bizarre - car il s’agit presque d’un non-spectacle - que constitue un entraînement suivi par deux mille personnes au moins, on aura pu apprécier le travail fourni par les préparateurs du terrain de Lussy. La pelouse, impeccable, de surcroît mouillée par une pluie fine mais jamais agressive, aura permis aux Français de faire apprécier la qualité de leurs passes lors de petits matches ou de jeux à une touche de balle. Un spectateur attentif rappelait que les Français étaient venus regarder le terrain en janvier, et que devant l’herbe rare et jaune, ils avaient manifesté quelque inquiétude. Les voilà rassurés. Ils reviendront le cœur léger à Lussy, protégés de tous côtés par un service d’ordre très courtois, il faut le dire. Et tout là-haut sur la magnifique colline verte, à 200 mètres du stade, deux policiers reprendront sans doute place derrière l’écriteau des paysans rappelant judicieusement: «Derrière ce paysage, il y a des agriculteurs qui le font vivre».

Norton
06/06/2008, 06h03
Sports
RSS (javascript:void(0)) On s’est pressé pour les «Oranje» à la Pontaise

EURO 2008 | 00h35 La sélection de Marco Van Basten a disputé un entraînement léger devant 5000 personnes conquises.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11269647-1/112696471_resize_crop320par220.jpg AFP | FOULE DES GRANDS JOURS Il y a longtemps que le public n’avait plus pris d’assaut en masse la Pontaise. LAUSANNE, LE 5 JUIN 2008.




JEAN-FRÉDÉRIC DEBÉTAZ | 06 Juin 2008 | 00h35

La tribune sud du stade de la Pontaise n’avait plus vu autant de monde remplir ses sièges depuis bien longtemps. Hormis Athletissima, cela fait belle lurette que les amateurs de ballon rond n’ont plus vibré sur des reprises de volée, des centres précis et des arrêts photo. Mais lorsqu’il s’agit des Hollandais, on se déplace en masse, et ce malgré la pluie.
Enfants aux yeux brillants

Et même si les Néerlandais n’ont pas forcé leur talent, ils ont su faire briller les yeux des enfants et épater les ados venus en nombre pour apercevoir les joueurs qu’ils voient d’habitude les soirs de Ligue des champions.
«Je suis venu voir Kuyt et Babel, raconte Edin, footballeur de 12 ans du Stade-Lausanne Ouchy. Comme je suis fan de Liverpool, c’est une super occasion de les voir.» Malheureusement pour Edin, Ryan Babel a quitté la sélection en raison d’une blessure.
A côté de lui, son pote Lirim, 13 ans, observe attentivement la séance de tirs et tente de repérer le portier de Manchester United, Edwin Van der Sar: «Tu crois que c’est lui, là devant? On ne voit pas bien depuis ici.»
Puis vers 19 h 15, l’entraînement se termine. Pas une minute à perdre pour les fans, il faut foncer à l’entrée nord pour voir les vedettes. Rapidement, les barrières voient s’agglutiner les gens. Natels et appareils photo en position, le moindre bruissement fait partir le flash. Le car attend devant la porte d’entrée et les policiers sont en place. Un premier joueur sort pour filer dans le bus. Raté.
Bain de foule pour Van der Sar

Le bal se poursuit comme cela jusqu’à l’arrivée de Van der Sar. Souverain par la taille, le géant batave se paie un bain de foule en signant les autographes à une vitesse stratosphérique. Le public hurle comme à un concert de Tokio Hotel.Un dernier signe de la main et Van der Sar se cloître dans le car qui redescend gentiment vers le Beau-Rivage. Les gens s’éparpillent. Certains exhibent l’unique cliché qu’ils ont pu saisir. Vous avez dit stars?

:content:Top sympas les Hollandais

Norton
06/06/2008, 06h04
Sports
RSS (http://javascript<b></b>:void(0)) Tennis: Monfils peut-il imiter Tsonga ?

SPORT | 14h01 Gaël Monfils (ATP 49) peut-il refaire à Roland-Garros le coup réussi par Jo-Wilfried Tsonga, qui avait créé la sensation en janvier à Melbourne en atteignant la finale ? Le Nyonnais d'adoption attend en tout cas "de pied ferme" Roger Federer (no 1) vendredi en demi-finale à Paris.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11263725-2/112637251_resize_crop320par220.jpg dr




ATS | 05 Juin 2008 |

La hargne et l'insouciance du Français de 21 ans, qui disputera sa première demi-finale en Grand Chelem, seront-elles suffisantes face à l'expérience et au talent du Bâlois, présent pour la 16e fois à ce stade de la compétition dans un tournoi majeur ? Sans doute non. Roger Federer paraît à l'abri d'une mauvaise surprise, surtout s'il évolue dans le même registre que dans les trois derniers sets du quart de finale (2-6 6-2 6-3 6-4) joué mercredi face à Fernando Gonzalez (no 24).
Certes, Gaël Monfils affiche la même décontraction que celle qui avait permis à Tsonga d'écraser Rafael Nadal 6-2 6-3 6-2 au même stade de la compétition dans la Rod Laver Arena. Certes, "la Monf'" semble capable d'enflammer un public qui, pourtant, souhaite voir Roger Federer triompher à Paris. Mais peut-il vraiment devenir le premier Français à disputer une finale à Paris depuis Henri Leconte 20 ans plus tôt ?
De nombreux éléments plaident en faveur de Roger Federer. Le Bâlois a tout d'abord remporté leurs trois face-à-face en deux sets, le dernier ayant eu pour cadre le récent Open de Monte-Carlo. Il possède surtout dans son arsenal toutes les armes à même de faire douter Gaël Monfils. Rassuré par la qualité de son revers depuis le début de la quinzaine, il peut profiter des lacunes de Gaël Monfils à la volée, où il ne manquera pas de l'attirer grâce à son slice, et sur son côté revers.

Norton
06/06/2008, 06h09
La rivale de Manaudou se dénude à son tour

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/10/11/large_407636.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/13/14/art_large_407639.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/6/9/art_large_407649.jpg
La nageuse italienne Federica Pellegrini, 19 ans, rivale de la championne française Laure Manaudou, à qui elle a piqué record du 400 mètres et petit ami, s'exhibe seins nus pour le magazine Fox Uomo. Les pages intérieures de la revue en dévoilent encore un peu sur son corps bien entretenu.

Sur le plan des clichés osés, les siens restent cependant dans une division bien en-dessous de ceux diffusés à l'insu de Manaudou. :amoureux::amoureux::amoureux::D:D

Norton
06/06/2008, 08h40
Le GP de Francorchamps assuré jusqu'en 2012

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/7/11/large_408296.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/6/10/art_large_408295.jpg
Un accord est intervenu pour le maintien de la compétition automobile à Francorchamps jusqu'en 2012 et peut-être jusqu'en 2015, écrit vendredi le quotidien Le Soir.

Bernie Ecclestone, le patron du sport automobile dans le monde, vient d'accepter les propositions faites par le gouvernement wallon afin de conserver le GP de Belgique deux années supplémentaires. Il sera donc garanti jusqu'en 2012.

"Cela va dans le sens de nos nombreux projets qui visent à faire de Francorchamps un vrai pôle de développement économique. Autour du circuit bien sûr, mais aussi au travers du centre de formation et de la zone industrielle. Nous avons d'ailleurs de nombreux contacts avec le milieu de la moto, notamment avec le Superbike dont nous pourrions accueillir une manche bientôt", indique le ministre wallon de l'Economie Jean-Claude Marcourt, qui souligne que l'objectif est de prolonger le contrat de la F1 jusqu'en 2015.

Norton
06/06/2008, 08h42
Serena Williams s'offre une soirée (trop) arrosée

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/5/9/large_408039.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/12/1/art_large_408046.jpg Serena a quitté la discothèque dans un état déplorable. Ses fans préféreraient la voir briller sur les courts de tennis.

Serena Williams n'a pas vraiment la tête au tennis en ce moment. Par ailleurs, elle semble avoir bien digéré sa défaite au troisième tour de Roland Garros contre Katarina Srebotnik. La joueuse américaine, de retour aux Etats-Unis, a profité de son élimination précoce dans le tournoi pour s'offrir une petite escapade nocturne pour le moins arrosée.

Lorsque Serena quitta la boîte de nuit japonaise Nobu, elle fut à deux doigts de tomber par terre et eut besoin du soutien salvateur d'un ami pour ne pas vaciller. Titubante et émêchée (pour ne pas dire complètement ivre), Serena a essayé de fuir les photographes, mais sans résultat. Quelques clichés qui feront sans doute le tour du :D

Norton
06/06/2008, 15h16
:fou:Nadal a encore frappé...................

Top fort:content::content::content:

Thunderace59
06/06/2008, 18h07
MANCHESTER UNITED / TRANSFERTS :
Ronaldo, épisode I

Nicolas COUET - vendredi 06 juin 2008 - 14h05

Cristiano Ronaldo a officiellement affirmé son intention de rejoindre le Real Madrid la saison prochaine. Le montant record du transfert ne garantit pas encore le départ du meilleur joueur du monde. Chaque Mercato a droit à son feuilleton. Celui de Cristiano Ronaldo a débuté magistralement jeudi après quelques balbutiements inhérents à tout lancement de saga. En conférence de presse, l’ailier mancunien s’est enfin dévoilé : « Je voudrais jouer pour le Real Madrid, mais seulement s’ils sont prêts à payer la somme du transfert que Manchester demande », a-t-il indiqué. Voilà de quoi tenir en haleine les spectateurs gourmands de rebondissements. Car l’heure de voir Cristiano Ronaldo revêtir un autre maillot que celui des Red Devils n’est pas encore arrivée. Recruté pour plus de 17 millions d’euros en 2003 au Sporting Portugal, le joueur portugais ne devrait pas être cédé à moins de 80 millions :D( qui parle de pouvoir d'achat?)par Manchester United. Une jolie plus value qui ne convainc cependant pas Sir Alex Ferguson de laisser filer son joyau.
Le dossier n’est pas si simple. D’une part, Manchester n’est pas enclin à lâcher ce qui se fait de mieux au monde actuellement. Et Sir Alex Ferguson n’est pas homme à se laisser marcher sur les pieds. Dans un second temps, l’indemnité de transfert réclamée par Manchester United est exorbitante. S’il parvenait à réunir le montant demandé, le Real Madrid s’inscrirait de nouveau dans l’histoire en acquérant le joueur le plus cher du monde (mieux que Zidane recruté à la Juventus de Turin pour 75 millions d’euros). Voilà l’une des raisons qui explique peut-être les velléités de voyage de Sir Alex Ferguson, désireux de se rendre en Suisse pour rendre une visite de courtoisie à son joueur.
En accord avec Luiz Felipe Scolari, le manager écossais a réservé un hôtel à Neuchâtel, lieu de résidence des Portugais pour l’Euro, avec la volonté de rencontrer son joueur. Coup de théâtre, vendredi puisque le joueur portugais a refusé de recevoir son entraîneur préférant se consacrer pleinement à la préparation de l’Euro avec la Seleccao. Persona non grata par « Môsieur » Cristiano Ronaldo, l’entraîneur mancunien, qui ne devrait pas apprécier ce boycott, ne se laissera pas faire pour autant. Les 31 buts de son ailier en Championnat plus les huit en Ligue des Champions pèsent lourd dans la décision. Le choix de se séparer du probable futur ballon d’or n’est pas à prendre à la légère même dans le club le plus riche du monde (Ndlr : selon le magazine américain Forbes). La succession du numéro 7 n’est donc pas encore ouverte. Malgré la volonté affirmée du joueur de rejoindre les Merengue, le feuilleton ne fait que commencer. La suite après l’Euro… ?

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manu94600
06/06/2008, 19h04
Conneries :non::non:

Puis si il prt c'est surement pour plus de 80 millions :diable::p

Norton
06/06/2008, 20h55
:diable:La ou ailleurs faut pas le plaindre.......................

manu94600
06/06/2008, 20h58
Ah ah c'est clair mais non pour moi y reste a Manchester ;) puis sa sera surement pas pour 80 millions :diable:

Norton
06/06/2008, 20h58
Nadal-Federer, comme on se retrouve...

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/2/9/large_408954.jpg
Quatrième finale d'affilée pour Nadal.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/6/9/art_large_409179.jpg Federer, pour la troisième fois d'affilée à la Porte d'Auteuil, retrouvera l'Espagnol en finale.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/0/3/art_large_409173.jpg Monfils a réussi un brillant tournoi à Roland Garros. "Je suis quand même déçu, il y avait la place pour gagner", a-t-il déclaré au terme de la rencontre.
Roger Federer, vainqueur du Français Gaël Monfils en quatre sets 6-2, 5-7, 6-3, 7-5, vendredi en demi-finales de Roland-Garros, affrontera Nadal en finale samedi. Ce dernier, triple tenant du titre, s'est qualifié pour sa quatrième finale de Roland-Garros en quatre participations en dominant le Serbe Novak Djokovic 6-4, 6-2, 7-6 (7/3) vendredi.

Federer a reconnu son "soulagement" après son match le plus difficile du tournoi. "Gaël a été magnifique tout au long de la quinzaine. C'est un sacré talent. Je le dis depuis la première fois que je l'ai rencontré. Il a pu enfin le montrer sur un grand court. C'est magnifique pour lui et pour moi aussi".

Monfils a dit son impression d'être passé à côté de quelques choses de grand.
"Je suis déçu, il y avait de la place. Dans le quatrième set, j'aurais pu mieux gérer les balles de break, c'est à ce moment là que je n'ai pas su avoir le petit plus pour faire pencher la rencontre", a dit le Français, âgé de 21 ans.

Nadal, le rouleau-compresseur
Toujours invaincu à Paris, l'Espagnol n'a pas encore perdu le moindre set cette année, avant de rencontrer le Suisse Roger Federer ou le Français Gaël Monfils dimanche en finale. Assuré de conserver son rang de N.2 mondial, qu'il aurait perdu au profit de Djokovic en cas de défaite, le Majorquin de 22 ans n'est plus qu'à un succès d'égaler le record de Björn Borg qui avait remporté le tournoi quatre années de suite.

Comme le Suédois à sa grande époque, Nadal démolit ses adversaires à Paris. Indébordable, il a largement dominé Djokovic, 21 ans, qui avait beaucoup crâné avant le match mais a longtemps été bien moins convainquant sur le court. Avant de finir fort pour revenir de 0-3, s'offrir une balle de set à 6-5 et pousser Nadal dans le tie-break de la troisième manche, le Serbe a parfois même semblé complètement perdu.

Le fait qu'il lève les bras au ciel en réussissant son premier break du match dans le troisième set traduisait toute son impuissance. Son sursaut en fin de match, encouragé par un public qui en voulait plus, venait cependant trop tard pour espérer dévier de sa trajectoire le roi de la terre battue. Sur son terrain de prédilection, celui-ci n'a perdu que deux matches sur les 116 qu'il a disputés depuis avril 2005. Il avait déjà battu Djokovic au même stade l'année dernière à Roland-Garros et en quarts de finale en 2006.

A sa quatrième participation, il attend toujours d'être poussé dans un cinquième set à Roland-Garros.:content::content::content::p:amoureux::amo ureux:

manu94600
06/06/2008, 20h59
Sans hésité Nadal !

Norton
06/06/2008, 21h01
Massa le plus rapide aux premiers essais libres

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/1/2/large_409157.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/0/1/art_large_409156.jpg
Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) a dominé la première séance d'essais libres du Grand Prix du Canada, septième épreuve du championnat du monde 2008 de Formule 1, vendredi sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal.

Avec un temps de 1 min 17 sec 553/1000, Massa a devancé le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber) de 256/1000e de seconde et le Finlandais Heikki Kovalainen (McLaren-Mercedes) de 580/1000e de seconde.

L'autre BMW Sauber de Nick Heidfeld s'est classée quatrième devant Kimi Raikkonen (Ferrari) et le vainqueur de l'an dernier Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes).

La séance a débuté sous un léger crachin et une piste très grasse. Les pilotes roulaient sur des oeufs et naviguaient à allure réduite sur un tracé inégalement humide.

Jarno Trulli (Toyota) osait sortir en pneus secs mais il ne tardait pas à traverser une pelouse après un freinage délicat. Tout le monde montait ensuite des gommes pluie intermédiaire, ce qui n'empêchait pas quelques autres excursions sur les bas-côtés.

Conditions délicates
La séance voyait le peloton se scinder en deux, entre ceux qui décidaient de rouler malgré les conditions délicates et ceux qui préféraient ne pas prendre de risques. Ainsi, à un quart d'heure du terme de la session, six pilotes (Alonso, Hamilton, Kovalainen, Webber, Coulthard et Raikkonen) n'avaient pas encore bouclé un seul tour chronométré.


Pendant que la concurrence ramait sur les bords du bassin ayant accueilli les épreuves d'aviron aux jeux Olympiques de 1976, les Ferrari patientaient ainsi tranquillement dans leurs stands en attendant que les autres nettoient la piste.

Après plus de trois quarts d'heure Kimi Raikkonen sortait pour un petit tour d'installation et Felipe Massa se fendait de cinq tours en piste.
L'asphalte s'asséchait en fin de séance, les pneus secs refaisaient leur apparition et les temps tombaient dans les 10 dernières minutes.

Cette fois Raikkonen ne restait pas inactif et il réalisait meilleur temps après meilleur temps.

Mais comme souvent les derniers à passer profitaient de l'amélioration progressive de la piste et Massa, Kubica, Kovalainen et Heidfeld lui passaient devant.

Dure séance pour les Honda de Rubens Barrichello (18e) et Jenson Button (20e et dernier). Sébastien Bourdais (Toro Rosso) a assez peu tourné et réalisé le 19e temps, sept places derrière son coéquipier Sebastian Vettel.

Norton
06/06/2008, 21h05
Sans hésité Nadal !
:diable:On dit jamais 2 sans 3
en l'occurence on verra si c'est pas 3 sans 4:langueŽ::D:D:D
je rigole HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..........................

manu94600
06/06/2008, 21h08
:diable:On dit jamais 2 sans 3
en l'occurence on verra si c'est pas 3 sans 4:langueŽ::D:D:D
je rigole HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..........................

:mdr:

Put** sa mfous les boules de raté un week-end chargé de sport même si le tennis sa m'ennuis :) la F1, MotoGp et enfin ouverture de l'euro :boutons::pleure:

Norton
07/06/2008, 06h00
TENNIS - ROLAND-GARROS
Federer et Nadal: les inséparables, acte III

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/federer5_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/federer5_zoom.jpg)
Image © Keystone
Roger FederTandis que le joueur de Majorque a produit une formidable impression, le Bâlois, lui, a laissé les observateurs sceptiques

Roger Jaunin - le 06 juin 2008, 23h56
Le Matin



Alors le central s'est tu. Alors Roger Federer a jeté deux poings rageurs au ciel gris et bas de Paris. Et enfin, dans sa loge, José Higueras, entraîneur «anonyme» jusque-là, s'est fendu d'un sourire. Et autour de lui, Mirka, Robert et tous les autres en ont fait de même, sans ostentation, juste ce qu'il fallait pour saluer la victoire de «leur» champion. Et - qui sait? - se projeter déjà trente-six heures plus tard, même box, même tension, mais autre adversaire.
Son nom? Nadal. Prénom Rafael. «Propriétaire», en quelque sorte, et depuis trois ans, de ce court Philippe- Chatrier transformé en chaudron le temps d'accueillir le régional de l'étape, Gaël Monfils. Rafael Nadal qui est ressorti vainqueur de neuf de leurs... dix duels sur terre battue, dont deux, ici même et à la même hauteur de finale. Hier encore, face à Novak Djokovic, et place de numéro deux mondial en jeu, le joueur de Majorque a produit un tennis que certains n'hésiteront pas à qualifier de «terrifiant». Roger Federer lui-même, reconnaîtra «avoir été surpris par la rapidité avec laquelle Rafa avait battu Djokovic». Et d'ajouter: «Après leur demi-finale d'Hambourg (7-5 2-6 6-2), je pensais qu'ils étaient beaucoup plus proches l'un de l'autre.»
Proche... C'est bien sûr «la» question que tous se posent aujourd'hui, à propos des deux finalistes de demain. Roger Federer «attend de voir», se dit «curieux de savoir», et Rafael Nadal dit que «de toute façon, quel que soit le nom de l'adversaire, je joue toujours pour produire mon meilleur tennis». Pour le reste, et si le tenant du titre a laissé une formidable impression tout au long de la quinzaine, et encore mieux hier, Roger Federer, lui, n'a cessé d'alterner le sublime et le beaucoup moins bon (pour lui), notamment sur un coup droit trop souvent... capricieux pour être désigné comme un argument massue.
«Je suis là où je voulais être!»
Roger Federer
Volée salvatrice
Avec tout juste trente fautes «non provoquées», dont la majorité sur ce fameux coup droit - baromètre de son jeu-, le numéro un mondial a semé le doute dans l'esprit de ses plus chauds supporters. Mais les statistiques indiquent aussi qu'il a réussi près de soixante points gagnants, dont dix-sept à la volée, là où, justement, il est venu conclure face à Gaël Monfils une rencontre longue de trois heures et dix minutes.
Or, à l'évidence, et face à Rafael Nadal, c'est bel et bien haut le court qu'il va lui falloir aller chercher sa chance.
EN SETS
Paris. Internationaux de France à Roland-Garros (25,54 millions de francs suisses/terre battue).
Simple messieurs, demi-finales: Federer (S/1) bat Monfils (Fr) 6-2 5-7 6-3 7-5. Nadal (Esp/2) bat Djokovic (Ser/3) 6-4 6-2 7-6 (7/3). La finale aura lieu demain à 15 h.
Double mixte, finale: Azarenka/Bryan (Bié/EU/3) battent Srebotnik/Zimonjic (Sln/Ser/1) 6-2 7-6 (7/4).

Norton
07/06/2008, 06h04
Sports
RSS (javascript:void(0)) Euro 2008, l’heure de vérité pour la Suisse

ÉVÉNEMENT | 00h49 A 18h ce soir, la Nati ouvre le bal contre les Tchèques. Le pays aussi joue gros, les yeux du monde braqués sur lui.

http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11281881-1/112818811_resize480.jpg
OLIVIER BREISACHER / SEEFELD ET STÉPHANE FOURNIER FEUSISBERG | 07 Juin 2008 | 00h49

Sur les forums
Suisse-Tchéquie, enfin l’ouverture

FACE À FACE Le duel entre Jan Koller et Alexander Frei est une des clés du match d’ouverture ce soir à Bâle (18 heures). Tout les sépare. Vingt-deux centimètres de taille en faveur du Tchèque, une pointure 50 contre une pointure 40, un style de jeu basé sur la mobilité pour le Suisse et sur la position pour son opposant, leurs destins de footballeur. Frei a quitté le championnat de France pour rejoindre Dortmund pendant que Koller a effectué le voyage inverse vers Monaco en 2006. Un point commun réunit ces deux buteurs hors normes. Ils sont les attaquants les plus efficaces de l’Euro. Leur moyenne de buts marqués par match joué est la plus élevée de tous les participants à la compétition qui comptent au moins dix sélections en équipe nationale.
Koller, le monstre des surfaces

http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11281947-1/112819471_medium.jpgSes 202 centimètres, ses 102 kilos, la taille de ses chaussures (50), sa détermination, son instinct de buteur et ses records ont bâti, au fil des années, la légende du personnage. Authentique machine à marquer, renard des surfaces, il incarnera l’ennemi public numéro un pour la défense helvétique.
En juin 2005, Jan Koller est devenu le meilleur buteur de l’histoire tchèque, avec sa 35e réussite en sélection, battant un record vieux de 70 ans (Antonin Puc). Entre-temps, la fine gâchette a augmenté son capital à 54 goals. Qui s’ajoutent aux 164 obtenus en 392 matches sous les couleurs de six clubs professionnels (Sparta Prague, Lokeren, Anderlecht, Borussia Dortmund, Monaco, Nuremberg).
Sur les pelouses autrichiennes et suisses, la terreur des gardiens ne veut pas rater sa sortie internationale. Après les Euros 2000 (aucun but) et 2004 (2), puis la Coupe du monde 2006 (1 but), Jan Koller avoue un goût d’inachevé. L’Euro 2008 est sa dernière opportunité pour remettre les pendules à l’heure, avant de tirer sa révérence.
La défense suisse? Jan Koller n’est pas l’homme des grandes déclarations. Son truc à lui, c’est le jeu, et rien d’autre. Pas besoin de lui rappeler qu’il fera l’objet d’une surveillance rapprochée. Il en a l’habitude. «Je connais la valeur de Senderos, il est fort de la tête», a-t-il glissé cette semaine, depuis la base tyrolienne de Seefeld, qu’il a quittée hier pour rejoindre Bâle.
Faire du natif de Smetanova Lhota (village de 270 âmes, au sud de la Bohême) un simple monstre au sang-froid est un brin réducteur. Malgré ses apparences, sa technique et sa finesse font des ravages. Elles n’ont pas suffi à éviter la relégation à Nuremberg en 2e Bundesliga, mais doivent contribuer à offrir un cadeau d’adieu à Karel Brückner, un entraîneur avec lequel il s’avoue très lié. «Après l’Euro, il sera temps pour nous deux de laisser la place à d’autres», concède-t-il.
Sa carrière sous le maillot tchèque se conjuguera alors au passé. Ce n’est qu’à 26 ans que Jan Koller a fêté sa première cape. Au Mondial 2006, il avait trouvé une fois le chemin des filets, avant de se blesser lors du premier match et de précipiter l’échec de sa sélection, restant à quai dès le premier tour. Comme pour rappeler que l’adversaire de la Suisse reste très «Koller-dépendant». Pour le meilleur comme pour le pire!
Frei, l'obsession du but

http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11281954-1/112819541_medium.jpgAlexander Frei affronte un marquage serré. Des dizaines de journalistes l’entourent en conférence de presse. Les espaces se réduisent plus que dans une surface de réparation. Le capitaine de l’équipe nationale passe à l’offensive. «Il faudra marquer un but de plus que les Tchèques pour gagner le match», répond-il à l’interrogation quant à la clé du succès ce soir à Bâle. L’interlocuteur insiste. Frei réplique. «Marquer un but de plus que les Tchèques. La question n’est pas de jouer avec huit attaquants ou avec un seul.»
Incisif, affûté, déterminé, le meilleur réalisateur de l’histoire de l’équipe nationale s’exprime comme sur le terrain. Le geste et la parole poursuivent le même objectif, être décisif. L’efficacité est une obsession. Sans fétichisme ni superstition. «Je n’ai pas de rituels avant les matches. Je mets indifféremment mon soulier gauche ou mon soulier droit en premier. Que le brassard de capitaine soit blanc ou bleu ne m’intéresse pas.»

Norton
07/06/2008, 06h07
Sports
RSS (javascript:void(0)) Les ambitions portugaises et les espoirs turcs

GROUPE A | 00h29 Les troupes de «L’empereur» face à celles du «Général»: la deuxième bataille de l’Euro 2008 s’annonce haute en couleur, ce soir à Genève. Un favori très clair se dégage avant ce duel: le Portugal. Mais on aurait tord d’enterrer les Turcs trop vite…

http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11279726-2/112797262_resize_crop320par220.jpg AFP | ENTRAÎNEMENT Concentrés à l’extrême durant une séance de stretching, les Portugais sont donnés favoris contre les Turcs. GENÈVE, LE 6 JUIN 2008




FRÉDÉRIC LOVIS ET CHRISTIAN MOSER / GENÈVE | 07 Juin 2008 | 00h29

Que réserve Fatih Terim aux Portugais? On salive déjà à l’idée de connaître la réponse! La manière dont le sélectionneur turc avait conditionné ses troupes et son pays avant le fameux match d’Istanbul face à la Suisse est encore dans toutes les mémoires. Et puis, il n’a pas hésité à écarter des figures emblématiques de son groupe (Sükür, Bastürk et Halil Altintop) pour retenir 23 hommes, dont 16 évoluent en championnat national.
Cette sélection n’a pas vraiment l’expérience des grands rendez-vous. Seuls Emre, Rüstü et Nihat ont pris part au Mondial 2002, que la Turquie avait terminé au… 3e rang! Et puis, plus rien. Elle reste sur une campagne qualificative difficile et sur un récent match amical face à l’Uruguay ayant mis en lumière d’importantes carences défensives (défaite 3-2).
L’arrière-garde, composée de joueurs issus de clubs stambouliotes, va-t-elle tenir le choc face à Ronaldo et Cie? «La meilleure défense, c’est l’attaque, se convainc Turan Arda. Mais il est clair qu’il faudra adapter notre jeu contre le Portugal.» Le risque: à trop vouloir défendre à Genève, les Ottomans perdraient une bonne partie de ce qui fait leur force: l’offensive. «Oui, l’entraîneur prône un football d’attaque, convient Hamit Altintop. On s’y fait très bien, on aime ça.» Mais contre un des bulldozers de la planète football… «Au-delà du système à appliquer samedi, il faut adopter l’état d’esprit juste, être concentré et motivé. Si nous arrivons à conjuguer ces éléments, on peut battre le favori.»
«Du moral à gagner»

Les Portugais? Dévorés par l’ambition. Il n’y a qu’a lire les propos de Petit, l’aspirateur de tous les ballons, après l’annonce du nouveau ranking de la FIFA, qui a fait «chuter» les Lusitaniens du 9e au 11e rang. «Pour moi, la place du Portugal se situe dans le top 5 mondial.» Ni plus, ni moins!
Le finaliste de l’Euro 2004 et demi-finaliste du Weltmeisterschaft serait-il un peu moins saignant depuis? «Faux! rétorque Luiz Felipe Scolari. Depuis 2006, nous n’avons perdu qu’un match officiel – 1-2 contre la Pologne – alors que nous avons changé l’effectif à 50%. Les jeunes Bosingwa, Pepe, Moutinho, Quaresma, Veloso et Nani sont bien là.» Conditionnés par le «Général», ils ont faim. Et de la classe! Le potentiel offensif du Portugal et sa créativité ne font aucun doute. Si Nuno Gomes est discuté, le coach sait pertinemment toute l’importance de l’avant-centre de Benfica. Il est le point d’appui idéal pour Cristiano Ronaldo.
Le Portugal ne demande qu’à s’éclater, ce soir à Genève. Une faiblesse? La charnière centrale Carvalho-Pepe n’a pas encore été rodée. Si les générations se suivent, l’équipe passe toujours rapidement de l’euphorie à la dépression. Petit, le «vieux de la vieille» (à 31 ans, il se retirera après l’Euro), a donné le ton. «Nous sommes là, les anciens, pour entourer le groupe et faire passer le message.» £
Les équipes probables

Portugal: Ricardo; Bosingwa, Carvalho, Pepe, Ferreira; Moutinho, Deco, Petit; C. Ronaldo, Gomes, Simao.

Turquie: Volkan; Sabri, Zan, Servet, Balta; H. Altintop, Aurelio, Emre; Mevlüt, Nihat, Tuncay.

manu94600
07/06/2008, 23h09
Vive le Portugal :yes: :p

Vraiment pas de chance pour la Suisse qui méritait mieux mais est tombé sur un Petr Cech impressinnant !!

Norton
08/06/2008, 05h58
SUISSE - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE 0-1
L'immense frustration

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/une2_____article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/une2_____zoom.jpg)
Image © KeystonEuro 2008: la Suisse battue 1 à 0 (http://www.lematin.ch/fr/sport/euro2008/euro-2008-la-suisse-battue-1-a-0_538-171305)Battus contre le cours du jeu, les joueurs de Köbi Kuhn n'ont pas fini de ravaler leur déception. L'arbitre les a privés d'un penalty évident. Touché aux ligaments du genou et sorti en pleurs à la 42e, Alex Frei est out pour le reste du tournoi. Vonlanthen a touché du bois. Rageant!

Nicolas Jacquier - le 07 juin 2008, 23h13
Le Matin Dimanche



18h42 hier soir au Parc St-Jacques. Victime d'un choc anodin avec le défenseur Grygera, Alex Frei s'écroule. Se tordant de douleurs, le No 9 ne se relèvera pas. Pour lui, l'Euro s'est terminé le jour où il commençait. La Suisse vient de perdre son meilleur atout... qu'elle ne récupérera pas avant le mois d'août! Comme on l'imagine, ce terrible coup du sort a considérablement pesé sur l'issue du match. Privé de son buteur maison, victime d'une déchirure partielle des ligaments internes du genou gauche, l'équipe nationale allait finir par perdre un match qu'elle aurait pu, dû gagner. Eu égard au nombre d'occasions que ses joueurs se sont créé. On pense par exemple à cette frappe de mule de... Frei, obligeant Cech à sortir les poings (36e), à cette tête de Yakin flirtant avec le poteau (66e). Ou encore à la barre transversale trouvée par Vonlanthen (80e). Voilà qui fait beaucoup. D'autant que la Suisse, non contente d'être frappée par le sort avec la sortie sur blessure de son leader, allait encore devoir composer avec les étranges décisions de M. Roberto Rossini, privant le pays organisateur d'un penalty évident quand le capitaine Ujfalusi détourna de la main gauche une remise de la tête de Streller (80e). Avant de continuer à fermer les yeux sur une main moins flagrante du même Ujfalusi dans les arrêts de jeu et de pas accorder à la Suisse un penalty qui aurait pu être celui... de la compensation.
Streller passe à côté de son sujet
A l'arrivée, les joueurs de Köbi Kuhn ont subi une défaite mortifiante. Avec un Senderos rassuré par la présence de Müller à ses côtés, l'arrière-garde helvétique a parfaitement réussi à contenir Koller. Si le «revenant» Barnetta n'a pas eu son rendement traditionnel, la déception est à chercher du côté d'un Marco Streller ne pesant d'aucun poids sur la défense adverse. Très peu inquiété hormis sur une déviation de... Magnin l'obligeant à jouer des claquettes (14e), Benaglio allait toutefois s'avouer vaincu sur un but du remplaçant Sverkos, piégeant une défense qui venait de remonter le terrain. Tentant le tout pour le tout en sortant Lichtsteiner et Behrami, Kuhn prenait alors un pari audacieux mais raté en lançant Vonlanthen et Derdiyok. Malgré une nette emprise sur le jeu comme en témoigne sa domination de la deuxième mi-temps, la Suisse en restera là, tchèque et peut-être déjà mat. Voilà qui vous plombe une ambiance, retombée de plusieurs crans. Bien sûr, tout demeure encore possible puisqu'il reste deux matches de rattrapage. Mais comment contourner l'absence de l'indispensable Frei? Köbi Kuhn se serait bien passé de cette équation - sans attaquant - supplémentaire.
L'exemple du Portugal
Tant en 1996 (1-1 contre l'Angleterre) qu'en 2004 (0-0 contre la Croatie), la Suisse avait commencé son tournoi avec un match nul. Arès cette défaite au goût amer, il lui faut désormais oublier son immense frustration pour rebondir mercredi. Et tenter d'imiter le Portugal, battu voici 4 ans en ouverture de son Euro avant de se retrouver en finale. On aimerait encore pouvoir rêver.
SUISSE - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE 0-1 (0-0)
Parc Saint-Jacques, 39 730 spectateurs. Arbitre: M. Rosetti (It).
But: 70e Sverkos 0-1. Sur un ballon dégagé de la tête par Behrami, Rozehnal remet dans le paquet. Parti dans le dos de la défense à la limite du hors-jeu (mais sans l'être), le remplaçant du géant Koller marque le premier but de l'Euro 2008 d'une frappe du droit.
Suisse: Benaglio; Lichtsteiner (75e Vonlanthen), Müller, Senderos, Magnin; Behrami (84e Derdiyok), Fernandes, Inler, Barnetta; Frei (46e Yakin), Streller. Entraîneur: Kuhn.
République tchèque: Cech; Grygera, Ujfalusi, Rozehnal, Jankulovski; Polak, Sionko (83e Vlcek), Plasil, Galasek, Jarolim (87e Kovac); Koller (56e Sverkos). Entraîneur: Brückner.
Notes: La Suisse au complet.
44e: victime deux minutes auparavant d'un choc avec Grygera, Alex Frei, touché au genou gauche, quitte la pelouse en pleurs, soutenu par le Dr Roder et le physiothérapeute Meissgeier. A la sortie de Frei, Magnin devient capitaine.
66e: s'appuyant sur des béquilles, Frei vient s'asseoir sur le banc helvétique.
80e: reprise de Vonlanthen sur la latte. Ujfalusi est élu homme du match.
Avertissements: Magnin (58e, faute sur Sionko), Vonlanthen (76e, faute sur Jarolin), Barnetta (94e, réclamations).
Coups de coin: 6-2 (2-1).
:diable:Match volé:langueŽ:.................................

Norton
08/06/2008, 06h01
GROUPE A
Ludovic Magnin: «On a grillé tous nos jokers!»

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/magnin_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/magnin_zoom.jpg)
Image © Keystone
Ludoivic Magnin était très énervé après le match. Mais il veut croire encore en la bonne étoile de son équipeLes Suisses sont conscients d'avoir bien joué et ne veulent pas se laisser abattre. Après une préparation marquée par les blessures et l'état de santé inquiétant d'Alice Kuhn, voilà la blessure d'Alex Frei. Ludovic Magnin et ses copains en ont marre des mauvaises nouvelles

Thérèse Untersander - le 07 juin 2008, 22h58
Le Matin Dimanche



Capitaine Frei à l'hôpital, c'est au vice-capitaine Ludovic Magnin de motiver ses troupes. «Moi, j'espère rendre le brassard à Alex le plus vite possible. Il ne faut pas peindre le diable sur la muraille, même si j'ai tout de suite su que ce n'était pas l'Alex comédien qui restait au sol. Dans ces conditions, c'est dur d'être le motivateur. Surtout quand on est fâché! Cette main non sifflée me rend complètement fou! Je ne veux même plus y penser. Ce soir, on a grillé tous nos jokers: l'avis du public, le 50-50 et le coup de fil à un ami! Là, j'en ai juste marre des mauvaises nouvelles.»
«Ça fait très mal, renchérit Stefan Lichtsteiner. On a fait un très bon match ce soir, aussi bien offensivement que défensivement et pourtant, on perd. On a vu qu'on tenait le niveau lors d'un match de classe internationale. On a perdu le match et perdu Alex. Mais on s'est aussi créé des occasions sans lui. C'est pour cela qu'il faut continuer sur le même chemin.»
Les voeux de Cech à Frei
«Tu ne contrôles ni les occasions qui ne rentrent pas, ni l'arbitrage, soupire Gelson Fernandes. On était pourtant bien là, prêts à représenter le pays. C'est toujours dur de perdre un coéquipier. Mais c'est là qu'on voit qu'Alex est un véritable leader: il revient en béquilles s'asseoir sur le banc!»
«La main d'Ujfalusi, le l'ai très bien vue dans les seize mètres, pas besoin de ralenti, affirme Diego Benaglio. Au-delà de ça, nous avons fait un match plein, avec beaucoup d'occasions. Quand tu perds avec une latte et une faute de main, c'est dur...»
«Ce qui s'est passé ce soir n'est pas juste, conclut Johan Vonlanthen qui a touché du bois à la 80e minute. Nous avons su nous créer des occasions, on nous refuse un penalty évident, mais s'énerver contre cela ne nous avance à rien. Nous avons perdu un joueur important et nous n'avons pas eu de chance. J'espère que cette poisse va cesser.»
Dans le camp de ceux qui sourient, l'excellent gardien tchèque Petr Cech tenait à glisser un mot à son ancien coéquipier à Rennes. «Je suis surtout déçu pour Alex, parce que c'est un gars qui adore jouer au football. Et être le capitaine de la Suisse pendant l'Euro dans son pays était primordial pour lui. Je lui souhaite donc un bon rétablissement et que sa blessure soit moins grave que ce que l'on dit ce soir.»
PREMIER TOUR
Hier
Suisse - Rép. Tchèque 0-1 (0-0)
Portugal - Turquie 2-0 (0-0)
Groupe A
1. Portugal1 1 0 0 2-0 3
2. République tchèque1 1 0 0 1-0 3
3. Suisse1 0 0 1 0-1 0
4. Turquie1 0 0 1 0-2 0
Aujourd'hui
18.00 Autriche - Croatie (à Vienne)
20.45 Allemagne - Pologne (à Klagenfurt)
Demain
18.00 Roumanie - France (à Zurich)
20.45 Pays-Bas - Italie (à Berne)
Mardi
18.00 Espagne - Russie (à Innsbruck)
20.45 Grèce - Suède (à Salzbourg)
Mercredi
18.00 République tchèque - Portugal (à Genève)
20.45 Suisse - Turquie (à Bâle)
Jeudi
18.00 Croatie - Allemagne (à Klagenfurt)
20.45 Autriche - Pologne (à Vienne)
Vendredi
18.00 Italie - Roumanie (à Zurich)
20.45 Pays-Bas - France (à Berne)
Samedi
18.00 Suède - Espagne (à Innsbruck)
20.45 Grèce - Russie (à Salzbourg)
Dimanche 15 juin
20.45 Suisse - Portugal (à Bâle)
20.45 Turquie - République Tchèque (à Genève)
Lundi 16 juin
20.45 Pologne - Croatie (à Klagenfurt)
20.45 Autriche - Allemagne (à Vienne)
Mardi 17 juin
20.45 Pays-Bas - Roumanie (à Berne)
20.45 France - Italie (à Zurich)
Mercredi 18 juin
20.45 Grèce - Espagne (à Salzbourg)
20.45 Russie - Suède (à Innsbruck)

Norton
08/06/2008, 06h04
Ana Ivanovic remporte Roland Garros

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/4/9/large_409704.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/3/8/art_large_409703.jpg Justine Henin a remis le trophée à Ana Ivanovic.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/6/1/art_large_409621.jpg

Norton
08/06/2008, 06h05
Hamilton en pole position au GP du Canada

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/3/10/large_409720.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/2/9/art_large_409719.jpg
Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) occupera dimanche la pole position du Grand Prix du Canada de Formule 1, à l'issue des qualifications courues samedi à Montréal.

Grille de départ
1re ligne:
1. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes)
2. Robert Kubica (Pol/BMW-Sauber)
2e ligne:
3. Kimi Räikkönen (Fin/Ferrari)
4. Fernando Alonso (Esp/Renault)
3e ligne:
5. Nico Rosberg (All/Williams-Toyota)
6. Felipe Massa (Bré/Ferrari)
4e ligne:
7. Heikki Kovalainen (Fin/McLaren-Mercedes)
8. Nick Heidfeld (All/BMW-Sauber)
5e ligne:
9. Rubens Barrichello (Bré/Honda)
10. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault)
6e ligne:
11. Timo Glock (All/Toyota)
12. Kazuki Nakajima (Jap/Williams-Toyota)
7e ligne:
13. David Coulthard (G-B/Red Bull-Renault)
14. Jarno Trulli (Ita/Toyota)
8e ligne:
15. Nelson Piquet Jr (Bré/Renault)
16. Sébastien Bourdais (Fra/Toro Rosso-Ferrari)
9e ligne:
17. Adrian Sutil (All/Force India-Ferrari)
18. Giancarlo Fisichella (Ita/Force India-Ferrari)
10e ligne:
19. Jenson Button (G-B/Honda)
20. Sebastian Vettel (All/Toro Rosso-Ferrari).

Norton
09/06/2008, 06h27
L'Allemagne remporte son premier match à l'Euro depuis 1996

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/1/14/large_410279.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/1/12/art_large_410262.jpg Lukas Podolski est allé saluer les supporters polonais après le match et signer des autographes. Lukas Podolski est né polonais.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/0/11/art_large_410261.jpg La Pologne n'a pas été ridicule et aurait même mérité au moins un but.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/16/10/art_large_410260.jpg Joachim Löw et Leo Beenhakker.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/15/9/art_large_410259.jpg Smolarek aurait dû voir son but validé.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/14/8/art_large_410258.jpg
L'Allemagne a remporté sa première victoire à un Euro depuis 1996 en s'imposant deux buts à zéro (mi-temps 1-0) contre la Pologne, grâce à un doublé de Lukas Podolski. Sans trop forcer leur talent, les Allemands s'imposent face à des Polonais courageux.

Dès le début de la partie, les Allemands portent le danger devant les filets de Boruc. Après quatre minutes de jeu, Klose évite le piège du hors jeu et part vers le but, effaçant le gardien en glissant le ballon à Gomez, seul devant le but, mais un peu trop court, il manque le cadre de quelques centimètres.

Podolski, acte un: hors-jeu non-sifflé
Jusqu'au quart d'heure, l'Allemagne domine la partie mais les Polonais se signalent à la quinzième minute lorsque Zurawski s'échappe vers le but, mais Lehmann se met en confiance en effectuant une bonne sortie pour sa première intervention. Les hommes de Joachim Löw insistent et à la vingième minute, Klose, hors-jeu d'une cheville, part vers le but de Boruc et glisse le ballon à Podolski qui ouvre le score. Le juge de touche ne bronche pas.

Les hommes de Beenhakker se réveillent alors et tentent de revenir au score. Lobodzinski place une frappe à ras du sol mais son tir n'est ni assez puissant ni assez bien placé pour tromper la vigilance de Lehmann (27'). Dix minutes plus tard, c'est Zurawski qui tente sa chance sur une superbe passe en retrait, mais son envoi ne trouve pas le cadre. Les 22 acteurs retournent au vestiaire sur le score de un but à zéro en faveur de l'Allemagne.

Beenhakker mise sur Guerreiro
Les Polonais remontent sur le terrain bien décidés à ratrapper leur retard. Zurawski a cédé sa place à Guerreiro, un Brésilien nationalisé polonais peu avant l'Euro. Et dès la 48', celui-ci se met en évidence lorsque son centre tir passe dangereusement devant le but de Lehmann, sans toutefois trouver un partenaire ou le chemin des filets. La Pologne insiste mais les Allemands sont bien organisés en défense, à l'instar de Frings qui "tient la boutique", discrètement mais efficacement.

Le tournant du match survient à la 62e minute, lorsque Smolarek, à la limite du hors-jeu, s'échappe vers Lehmann, qu'il trompe en deux temps, son premier envoi lui étant renvoyé par le montant. Lehmann
est battu et Smolarek pousse le ballon au fonds du but mais le juge de ligne avait signalé une position de hors-jeu discutable qui prive la Pologne de l'égalisation.

Podolski, acte deux: le coup de grâce
Ce fait de match réveille les Allemands, qui font tout pour se mettre à l'abri. Schweinsteiger, monté au jeu après dix minutes en seconde période, tente sa chance de loin sans vraiment inquiéter Boruc. Quelques minutes plus tard, Ballack reprend en pleine course un centre en retrait et allume le portier polonais (70'). Mais celui-ci sort un arrêt de grande classe et dévie le ballon en croner du bout des doigts.

Mais Boruc ne fait que repousser l'échéance, puisque deux minutes plus tard, profitant d'un cafouillage de la défense polonaise et d'un assist involontaire de Klose, Podolski propulse le ballon au fonds des filets de Boruc d'une frappe qui ne laisse aucune chance au portier slave. Un peu assomés par ce but, la Pologne jouera malgré tout le coup jusqu'au bout.

À la 84e minute, Guerreiro adresse un centre superbe à Saganowski,
dont le coup de tête n'est repoussé que grâce à un arrêt-réflexe de Lehmann, impérial. Le match finit sur le score de deux buts à zéro, mais les Polonais étaient loin d'être ridicules, et auraient même pu prétendre arracher un nul (voire plus?) à la Mannschaft sans ces hors-jeu, plus rarement sifflés contre les "grandes" nations que contre leurs adversaires, convenons-en (il en va de même pour les fautes dans le rectangle etc.).

L'Allemagne prend la tête de son groupe devant la Croatie (3 points), l'Autriche et la Pologne (0 points).

Thomas Halter

Norton
09/06/2008, 06h30
:fou:
Nadal impitoyable remporte son 4e Roland Garros d'affilée

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/0/12/art_large_410142.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/16/11/art_large_410141.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/15/10/art_large_410140.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/8/1/art_large_410116.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/8/14/art_large_410099.jpg
Rafael Nadal a remporté son quatrième Roland Garros d'affilée en infligeant à Roger Federer la pire défaite de sa carrière en trois sets 6-1, 6-3, 6-0 dimanche en finale. Le match n'a duré que 1h 48 min et il s'en est fallu d'un seul jeu pour que ne soit égalé le record de la finale la plus expéditive de l'histoire, oeuvre de Guillermo Vilas en 1977 (trois jeux perdus).

Borg, qui a remis la Coupe des Mousquetaires à Nadal, reste le détenteur du record de titres à Paris avec six victoires, mais vu la démonstration de puissance réussie dimanche par son héritier, ce n'est qu'une question de temps. En réussissant les quatre à la suite, l'Espagnol, âgé de 22 ans, a bel et bien rejoint dans la légende du tennis le Suédois, le seul à l'avoir fait jusqu'à présent (1978-1981).

"Gagner quatre fois ici, c'est quelque chose d'impensable. J'ai joué un match presque parfait", a dit Nadal. En gagnant le tournoi sans céder un seul set, l'Espagnol a réussi une performance dont Bjorn Borg était également le dernier auteur en 1980.

Infaillible
Les premiers mots de l'Espagnol avaient été pour son adversaire, surclassé comme jamais il ne l'avait été sur un court de tennis. "Je regrette pour Roger, il a un comportement exemplaire. Je le félicite pour son attitude dans la défaite, comme dans la victoire et pour le bien qu'il fait au tennis. Tous les joueurs doivent lui être reconnaissants."

Avec ses grands lifts de coup droit, mais aussi de plus en plus souvent de revers, l'Espagnol, presque infaillible (7 erreurs seulement dans tout le match), a dressé un mur sur lequel le Suisse s'est fracassé dès le début de la rencontre. On n'avait même jamais vu un joueur dominer aussi outrageusement l'homme aux douze titres du Grand Chelem. Paraissant perdu sur le court, Federer a commis un nombre colossal de fautes (35). A part pendant quelques jeux au milieu de la deuxième manche, le N.1 mondial a donné une impression de totale impuissance.

Même si la rapidité avec laquelle il a laminé Federer est forcément surprenante, on l'avait vu venir tant la domination de Nadal avait été éclatante depuis le début du tournoi, et même de la saison sur terre battue. En demi-finale, il avait administré une correction à peine moins sévère au N.3 mondial, le Serbe Novak Djokovic, en trois sets, et au tour précédent, il avait gagné le quart de finale le plus expéditif de l'histoire en ne cédant que trois jeux à Nicolas Almagro.

Roger si loin
Le Majorquin termine la saison sur terre avec une seule défaite, à Rome, due avant tout à des ampoules. Il a gagné 115 de ses 117 matches sur l'ocre et en est à 9 victoires à 1 sur cette surface contre Federer. C'est la troisième fois consécutivement que Federer perd en finale de Roland Garros, record égalé. Mais il n'a jamais paru plus loin de réaliser son rêve: remporter enfin le dernier tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès.

Il semble même que tant que Nadal se dressera sur sa route, ce projet restera une utopie. "J'espérais faire un peu mieux que quatre jeux mais Rafa est très fort, il a dominé ce tournoi comme presque jamais personne ne l'avait fait avant, peut-être comme Bjorn. Perdre en finale ce n'est jamais trop drôle, mais je vais réessayer l'année prochaine", a-t-il dit.
:diable:Trop fort................. Bravo Nadal..............

Norton
09/06/2008, 06h32
Premier succès de Robert Kubica au GP du Canada

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/2/9/art_large_410229.jpg
Le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber) a remporté sa première victoire en Formule 1 au Grand Prix du Canada, septième des 18 épreuves du Championnat du monde 2008, dimanche sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal.

Kubica, qui s'empare de la tête du Championnat du monde des pilotes, a devancé son coéquipier allemand Nick Heidfeld pour un fantastique doublé BMW Sauber, la aussi une première. Heidfeld avait déjà pris la deuxième place au Québec l'an dernier. Le revenant David Coulthard a placé sa Red Bull-Renault sur la troisième marche du podium. Ce sont ses premiers points cette saison.

La course s'est disputée sous un beau soleil et la piste, même en mauvais état, a tenu jusqu'au terme de l'épreuve. Celle-ci a été animée, comme souvent au Canada, et les favoris se sont auto-éliminés dans un accrochage étonnant à la sortie des stands où le poleman Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a tamponné Kimi Raikkonen (Ferrari).

Timo Glock (Toyota) a terminé quatrième, inscrivant lui aussi ses premiers points de la saison. Felipe Massa, perturbé par un problème à son premier ravitaillement, a sauvé l'honneur pour Ferrari avec la cinquième place devant Jarno Trulli (Toyota), Rubens Barrichello (Honda) et Sebastian Vettel (Toro Rosso).

Feu rouge
Ces deux derniers accèdent aux points pour la deuxième fois consécutive tandis que McLaren-Mercedes a fait chou blanc.
Il s'agit d'une magnifique revanche pour le très populaire Robert Kubica, qui avait terminé à l'hôpital le Grand Prix du Canada 2007 après un terrible accident.

Pour une fois le premier tour était vierge de tout incident. Les trois premiers conservaient leurs places mais Alonso se faisait dépasser par Rosberg pour la quatrième position. Hamilton prenait ensuite rapidement le large et le "petit train" s'étirait peu à peu jusqu'au 14e tour, quand Adrian Sutil rangeait sa Force India en bord de piste en raison d'un souci mécanique.

Sa monoplace était très mal placée mais il fallait deux tours pour que la voiture de sécurité entre en piste. Dès que la voie des stands était ouverte tout le monde s'y précipitait pour ravitailler durant la neutralisation et perdre le moins de temps possible. Les sept premiers s'arrêtaient simultanément et là intervenait le tournant de ce Grand Prix: Kubica et Raikkonen repartaient les premiers mais ils s'arrêtaient à la sortie de la voie des stands où un feu rouge clignotait.

Tête à queue d'Alonso
Derrière, Hamilton et Rosberg se précipitaient pour repartir mais ne pouvaient freiner à temps pour éviter l'obstacle formé devant eux par la Ferrari et la BMW Sauber immobilisées. Hamilton tamponnait Raikkonen et les deux hommes abandonnaient. Rosberg touchait aussi, mais Kubica repartait indemne dans la seconde suivante lorsque le feu passait enfin au vert.

Après cet épisode inédit de carambolage dans les stands sous régime de voiture de sécurité, Heidfeld occupait la tête au 'restart' devant Rubens Barrichello (Honda) et Kazuki Nakajima (Williams-Toyota), qui eux n'avaient pas ravitaillé. Massa s'arrêtait quant à lui deux fois en deux tours, probablement en raison d'un problème avec la machine à ravitailler. Il repartait dernier.

A l'issue de la première salve de ravitaillements, les deux BMW Sauber de Kubica et Heidfeld étaient en tête devant Fernando Alonso (Renault), Coulthard et Barrichello. Malheureusement, Alonso, qui piaffait derrière Heidfeld depuis plusieurs tours, abandonnait au 44e tour après un tête à queue et un contact avec le mur.

Son coéquipier Nelsinho Piquet s'était déjà arrêté un peu plus tôt en raison d'un problème mécanique. Nakajima cassait ensuite son aileron avant et tapait un mur en voulant rejoindre son stand. Puis Giancarlo Fisichella (Force India) partait en tête à queue et abandonnait à son tour.

Kubica quant à lui se dirigeait tranquillement vers son premier succès qui lui permet avec 42 points de devancer désormais Hamilton et Massa, 38 points, au championnat du monde.

Norton
09/06/2008, 06h35
GROUPE B - AUTRICHE - CROATIE 0-1
Un penalty pour la Croatie, rien d'autre!

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/pemna_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/pemna_zoom.jpg)
Image © Keystone
Sur penalty, Modric ne rate pas l'occasion de marquer le seul but du match. A la fin, tandis que le buteur semble remercier le ciel, les Autrichiens sont profondément déçusLa Croatie peine contre l'Autriche mais s'en tire finalement à bon compte. Alors que la troupe de Slaven Bilic partait largement favorite, elle a souffert. «Nous avons été mis sous pression», reconnaît Mladen Petric

Thomas Dayer - le 08 juin 2008, 22h50
Le Matin


«Dans les tournois majeurs, tous les premiers matches sont difficiles parce qu'ils sont marqués par la nervosité. Celui-là l'était, c'est évident.» Le double national Croate et Suisse Mladen Petric l'avoue sans se cacher: hier, les siens ont été curieusement gênés par l'Autriche. Une Autriche qui présente un football souvent approximatif, parfois vraiment téléphoné. Un football qui se développe sans génie, ni talent. L'équipe de Josef Hickersberger - elle le sait - entre sur un terrain avec de maigres qualités à faire valoir. N'empêche: à la 93e minute hier, elle aurait bien pu s'offrir une petite surprise en arrachant un point. Et si la tête de Kienast avait fait mouche, le dénouement n'aurait pas fait tache dans le scénario. Plus tôt, un tir de Harnik, une tête de Vastic et une frappe de mule de Korkmaz - obligeant Pletikosa à une parade spectaculaire - avaient déjà fait trembler les Croates. «Nous avons trop reculé, je ne sais pas pour quelle raison, reconnaît Dario Simic (AC Milan). Et finalement, oui, nous avons vécu un match difficile.»
Pourtant, la troupe de Slaven Bilic avait tout, tout pour bien faire. Et avec facilité. Favorite avant même de pénétrer sur le gazon, elle semblait avoir d'entrée donné le ton. C'était certain, elle allait assurer. Le penalty justifiable transformé par Modric après moins de cinq minutes de jeu le prouvait. Il resterait pourtant... le seul tir cadré croate! L'autre ex-Bâlois Ivan Rakitic condamné au banc, Mladen Petric tentait bien de tirer les siens hors du pétrin. Mais à deux reprises, ses essais ne troubleraient pas la tranquillité de Jürgen Macho. Et puis l'Autriche, ainsi, s'est pris à y croire. «Ils nous ont mis sous pression», reconnaît l'attaquant qui ne contredit cependant pas son entraîneur Slaven Bilic lorsqu'il prétend que la Croatie peut remporter le tournoi: «Le potentiel, nous l'avons! Et comme je le disais, ce n'était que le premier match.» Au moins, elle a mieux entamé sa compétition que la Suisse: «Je n'ai pu regarder le match que vingt minutes samedi parce que nous nous entraînions. Mais je suis déçu, ce résultat est vraiment dommage!» Les trois points engrangés hier l'auront consolé.
AUTRICHE - CROATIE 0-1 (0-1)
Stade Ernst Happel. 51 428 spectateurs. Arbitre: M. Vink (Hol).
But: 4e Modric (penalty) 0-1.
Autriche: Macho; Prödl, Stranzl, Pogatetz; Standfest, Aufhauser, Säumel (61e Vastic), Gercaliu (68e Korkmaz); Ivanschitz; Harnik, Linz (73e Kienast). Entraîneur: Hickersberger.
Croatie: Pletikosa; Coriuka, R. Kovac, Simunic, Pranjic; Srna, N. Kovac, Modric, Kranjcar (61e Knezevic); Olic (82e Vukojevic), Petric (72e Budan). Entraîneur: Bilic.
Note: Les deux équipes au complet.
Avertissements: 3e Pogatetz (réclamations), 21e Säumel (faute sur N. Kovac), 51e R. Kovac (faute sur Linz), 68e Prödl (faute sur Olic).
Coups de coin: 4-7 (2-3)

Norton
10/06/2008, 05h45
La France déçoit face à la Roumanie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/10/7/large_411172.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/4/12/art_large_411132.jpg Tamas a livré une grosse prestation dans l'axe de la défense roumaine (ici en duel avec Malouda).
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/1/9/art_large_411129.jpg Avec les Pays-Bas et l'Italie, un menu copieux attend la France.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/0/8/art_large_411128.jpg Très accrocheur, Makelele n'a offert aucun cadeau aux Roumains et en particulier à D.Niculae.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/13/4/art_large_411124.jpg
7S7 mise à jour En panne d'inspiration, la France n'est jamais parvenue à trouver la faille dans la défense roumaine. C'est la première vraie surprise de cet Euro. La tâche se complique pour les Bleus car le menu est copieux avec les Pays-Bas et l'Italie au programme. Pour les Roumains, il s'agit quasiment d'une victoire et ils viennent de prouver que le groupe C est bel et bien celui de la "mort".

Sans Vieira et Henry
Comme prévu, la France s'aligna sans Patrick Vieira (touché à la cuisse) et Thierry Henry (pas à 100%). Pour pallier à leurs absences, Raymond Domenech opta pour Toulalan dans le milieu et Anelka pour accompagner Benzema en attaque. Du côté roumain, c'est l'équipe annoncée depuis quelques jours qui débuta la rencontre.

45 minutes prudentes
Sans se procurer de véritables occasions dignes de ce nom, la France prit le commandement des opérations. Le seul tir cadré de cette première période fut signé par Benzema dont l'essai ne trompa pas la vigilance de Lobont (42e). Juste avant, une tête et un centre-tir d'Anelka et ne furent meme pas cadrés. (32e et 36e). La Roumanie, pour sa part, se contenta de bien defendre et d'essayer de surprendre les Français sur l'un ou l'autre contre. Cette rencontre, fermée et tactique, se termina sur un nul vierge à la pause.

En panne d'inspiration
Si Malouda donna la première alerte dans cette deuxième mi-temps, les Français ne trouvèrent pas la faille dans la défense roumaine. Quelques signes de tension furent même remarqués chez les vice-champions du monde (jaune pour Sagnol, mésentente entre Abidal et Makelele). Maître dans la possession de balle (58% à l'heure de jeu), la France pêcha cependant dans le dernier geste.

Une fin de partie décevante
Dans les trente dernières minutes, la France pataugea son football et ne parvint même plus à porter le danger devant le but défendu par Lobont. Plus le temps passa, plus la Roumanie gagna en confiance. Même si les hommes de Piturca n'auront rien fait pour remporter les trios points, ce partage reste un excellent résultat et leur permet de rester dans la course pour une qualification vers le second tour.

Pour les Bleus, l'équation est simple : pour accéder aux quarts de finale, il faudra battre les Pays-Bas et ensuite l'Italie. C'est plus facile à dire qu' à faire !

Norton
10/06/2008, 05h48
L'Italie en berne

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/15/3/large_411228.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/11/3/art_large_411258.jpg Sneijder s'est faufilé avec aisance dans la défense italienne.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/13/5/art_large_411260.jpg Le but de Ruud Van Nistelrooy fera couler beaucoup d'encre.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/12/4/art_large_411259.jpg Stefan Wittberg, l'assistant arbitre, a décidé de ne pas signaler Van Nistelrooy hors-jeu. Etrange.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/8/0/art_large_411255.jpg Wesley Sneijder et Dirk Kuyt célèbrent le deuxième but des Bataves.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/14/6/art_large_411261.jpg Edwin van ders Sar était dans un état de grâce ce lundi soir.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/9/1/art_large_411256.jpg Alessandro Del Piero se prend la tête. Le buteur transalpin, à l'instar de ses équipiers, s'est heurté à un super van der Sar.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/10/2/art_large_411257.jpg Dirk Kuyt a abattu un boulot dantesque sur son aile.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/15/7/art_large_411262.jpg Giovanni Van Bronckhorst exulte. Le discret défenseur vient d'inscrire le troisième but des siens.

Les Pays-Bas sont sortis vainqueurs du premier choc de cet Euro 2008 en infligeant une sévère défaite (3-0) à l'Italie, championne du monde en titre. Les hommes de Van Basten ont impressionné en évoluant à un niveau extraordinaire, à l'image de van der Sar, qui a sans cesse repoussé les essais transalpins. Les attaquants bataves eurent plus de réussite que leur adversaire. D'abord sur un premier but de Van Nistelrooy, pourtant en position de hors-jeu, et ensuite sur deux contre-attaques rapidement menées. Les Pays-Bas prennent la tête du groupe C et affronteront la France, auteur d'un piètre nul (0-0) face à la Roumanie, vendredi soir. L'Italie, dernière du groupe, devra se relever face aux hommes de Piturca.

Il y a trente ans
L'Italie a subi une véritable dégelée ce soir au stade de Suisse de Berne, où elle s'est heurtée au réalisme batave et aux gants d'Edwin van der Sar, le vétéran alerte de l'arrière-garde Oranje. Après une rencontre haletante, les Pays-Bas ont effacé trente ans de disette en compétition officielle, où leur dernière victoire face à la Squadra Azzura remontait au 21 juin 1978 lors de la Coupe du monde en Argentine. On ne sait encore à l'heure actuelle si l'équipe de Van Basten imitera ses illustres prédécesseurs et atteindra la finale de la compétition, mais à voir le jeu chatoyant développé nonante minutes durant, peu parviendront à stopper la fougue de cette équipe talentueuse.

Coup de pouce
Avec Van der Vaart et Sneijder à la baguette, Kuyt au four et au moulin sur l'aile droite, les Pays-Bas ont dominé la partie, en bénéficiant d'un petit coup de pouce de l'arbitre Peter Fröjdfeldt
à l'heure de prendre l'avance lorsque, en renard des surfaces, Van Nistelrooy -pourtant hors jeu- trainait au petit rectangle pour reprendre une frappe de Sneijder (25e). Avant cela, le buteur hollandais, revenu en grâce aux yeux du sélectionneur, avait manqué son face à face avec Buffon. Le gardien transalpin sortira encore vainqueur de leur duel en fin de mi-temps. Entre-temps, Sneijder avait doublé la marque suite à une contre-attaque imprimée par Van Bronckhorst, qui venait de sauver sur la ligne un corner de Pirlo. (31e)

Noeud du problème
Cette phase résumait parfaitement le noeud du problème italien : un manque de réalisme (ou de réussite) à l'attaque, et un certain laxisme en défense (Materazzi eut du mal à masquer son manque de rythme face à Kuyt), orpheline de Cannavaro, forfait pour toute la durée du tournoi. Les changements imprimés par Donadoni (en plaçant Zambrotta à droite, Panucci dans l'axe et Grosso à la place de Materazzi) permettaient néanmoins aux Transalpins de presser un peu plus. Sans un super van der Sar, notamment sur les essais de Del Piero -dangereux dès sa montée au jeu à la place de Di Natale- et Grosso, les Azzuri auraient réduit le score.

C'est d'ailleurs sur une nouvelle parade du portier de Manchester United, déjà héros de la finale de la Ligue des Champions, que les Pays-Bas enfonçaient définitivement le clou, au prix d'un contre de l'inusable Van Bronckhrost, buteur sur service de Kuyt.


Au pied du mur
Jamais l'Italie n'avait subi défaite aussi lourde. Elle devra relever la tête vendredi (18h) face à la Roumanie si elle veut éviter une nouvelle désillusion dans une compétition qu'elle n'a remportée qu'à une seule reprise (en 1964) et qu'elle a souvent quittée la tête basse, hormis la finale homérique perdue en 2000 face à la France. Des Tricolores qui seront les prochains adversaires des Pays-Bas et qui, au vu de ce qu'ils ont démontré en début de soirée face à la Roumanie, devront déployer le grand jeu pour venir à bout de l'épouvantail orange.

Loïc Struys

L'homme du match:

37% d'entre vous ont décidé de sacrer Wesley Sneijder "L'Homme du match". Le numéro dix de la sélection a dynamisé le jeu de son équipe et a sublimé sa prestation par une passe décisive et un but. Et ce, le jour de ses 24 ans. Bon anniversaire !

La rédaction a longtemps hésité et a finalement décidé d'élire Giovanni Van Bronckhorst "L'Homme du match". Le défenseur de 33 ans, longtemps joueur de Barcelone et aujourd'hui à Feyenoord Rotterdam, a contribué pleinement à la victoire de son équipe en amenant, avec énergie et précision, le deuxième but après avoir sauvé sur la ligne un corner de Pirlo. Son but en fin de partie a couronné une prestation cinq étoiles.

Naàlya
10/06/2008, 18h25
Si la Hollande a gagné c'est parce qu'elle s'entraîne au stade olympique de la pontaise à Lausanne, à 5min de chez moi :yes: Et dire que les autorités veulent détruire ce stade:diable: En tout cas vivement demain pour le match Suisse-Turquie:)

Norton
11/06/2008, 05h54
Si la Hollande a gagné c'est parce qu'elle s'entraîne au stade olympique de la pontaise à Lausanne, à 5min de chez moi :yes: Et dire que les autorités veulent détruire ce stade:diable: En tout cas vivement demain pour le match Suisse-Turquie:)

:diable:J'ai signé une pétition pour que l'on ne change pas le stade;)

Norton
11/06/2008, 05h54
L'Espagne gagne sans forcer

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/4/7/large_412237.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/12/11/art_large_412211.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/11/10/art_large_412210.jpg Casillas n'a pas eu grand chose à faire et n'a pas grand chose à se reprocher sur le but de Zyryanov.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/4/1/art_large_412186.jpg Fernando Torres et David Villa se sont promenés pendant tout le match.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/12/7/art_large_412177.jpg Aragones réussit une belle entrée en matière.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/11/6/art_large_412176.jpg Guus Hiddink a quant à lui du souci à se faire.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/8/3/art_large_412173.jpg
L'Espagne s'est imposée sans forcer ce soir sur le score fleuve de quatre buts à un (mi-temps 2-0) face à des Russes bien peu inspirés. David Villa a inscrit trois buts (1-0, 2-0 et 3-0), Fabregas (4-1) et Zyryanov (3-1) s'étant chargés des deux autres. Bien qu'ayant vu cinq buts, les spectateurs neutres n'auront pas vu un très beau match de football.

Les deux équipes commencent le match sur un mode mineur. L'Espagne se crée les occasions les plus dangereuses via Villa et Torres. Le premier avertissement pour Akinfeev survient à la quinzième minute sur un tir lointain de Villa, mais sa frappe ne surprend pas le portier russe. La Russie presse dans sa moitié de terrain et procède par contre.

À la 17e minute, la première action véritablement construite par les Russes arrive dans le rectangle, mais Semshov ne parvient pas à cadrer son envoi. L'Espagne est avertie, les Russes vendront chèrement leur peau, ou du moins c'est ce que laisse paraître le début du match.

Villa et Torres pour faire la différence
Les Espagnols restent calme et continuent de construire, ce qui leur réussit à la 20e minute lorsque Torres parvient dans le rectangle et efface Akinfeev sorti sur lui, en glissant la balle à Villa qui pousse celle-ci au fonds des filets. Les Russes tentent de se reprendre et trois minutes plus tard, Zyryanov hérite d'un centre en retrait dans le rectangle mais son envoi trouve le poteau. Sur la contre-attaque, Torres manque d'alourdir le score mais ne trouve pas le cadre.

Les hommes d'Aragones ne doivent pas s'endormir s'ils ne veulent pas se faire remonter. Torres et Villa vont donc continuer à tenter leur chance de loin, sans inquiéter vraiment Akinfeev. L'équipe espagnole gère tranquillement son avance et les Russes ne montrent pas grand-chose, peu inspirés et probablement coincés dans un dispositif tactique très défensif.

Sans forcer
Torres et Villa se font de plus en plus pressants, jusqu'à la 45e, lorsque Iniesta lance Villa, qui, parti à la limite du hors-jeu remporte son duel avec le gardien russe en plaçant le ballon entre ses jambes, assommant la Russie juste avant la pause. L'Espagne n'a pas eu à forcer son talent pour mener à la mi-temps.

Le match reprend sans changement tactique important. Bystrov a remplacé Sychev et l'Espagne aligne la même équipe qu'en première période. La Russie tente de revenir dans le match, à l'instar de Bystrov, qui reprend un centre de la tête que Casillas capte sans difficultés. D'autres timides tentatives russes suivront, essentiellement des tirs à distance.

Des Russes trop timides
À l'heure de jeu, l'envoi de Bilyaletdinov passe tout près du montant de Casillas. Mais dès que l'Espagne accélère, elle crée le danger, et sans les interventions idoines de Zhirkov et de son gardien Akinfeev, le score serait déjà plus lourd à vingt minutes du terme. Un quart d'heure avant la fin du temps réglementaire, Villa inscrit son troisième but de la soirée, mettant les défenseurs russes dans sa poche avant de tromper Akinfeev, impuissant.

Les Russes semblent alors résignés et continuent de tenter leur chance de loin, sans succès. À quelques minutes du terme, Zyryanov réduit l'écart de la tête sur corner, dans l'indifférence quasi générale. On pense alors que le match se finira ainsi, mais c'est sans compter sur Fabregas qui profite d'une énorme bourde dans la défense russe pour mettre un but à son tour, donnant au marquoir son score définitif, quatre buts à un.

Sans forcer, l'Espagne a gagné son premier match et prend provisoirement la tête de son groupe au terme d'une rencontre qui, malgré un nombre élevé de buts, était loin d'être passionante, tant elle manquait d'engagement, de rythme et de compétition. Les hommes de Guus Hiddink ne se remettront pas facilement de cette claque reçue d'entrée de jeu, et l'Espagne doit quant à elle éviter de se reposer sur ses lauriers sans réaliser que la suite sera en principe bien plus difficile.

Thomas Halter

L'homme du match
Sans surprises, le choix de la rédaction et des lecteurs de 7sur7 est le même et se porte sur le leader du classement des buteurs, David Villa, auteur d'un triplé aujourd'hui.

Norton
11/06/2008, 05h57
Les champions grecs battus par la Suède

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Ibrahimovic a ouvert le score à la 67e minute.


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Un coup de génie de l'attaquant suédois Zlatan Ibrahimovic a provoqué la chute prématurée des Grecs, déjà en danger dans la défense de leur titre de l'Euro-2004 après leur défaite 2 à 0 face aux Suédois mardi à Salzbourg (groupe D de l'Euro-2008).

L'équipe d'Otto Rehhagel se retrouve en très mauvaise posture avant d'affronter samedi les Russes, sèchement battus par les Espagnols (4-1). Une défaite scellerait leur sort. Quant aux Suédois, habitués des grands tournois, ils pourraient se qualifier pour les quarts de finale en cas d'exploit contre les partenaires de Torres et Villa. Longtemps, les Grecs ont semblé devoir suivre le chemin de 2004: ennuyeux, mais diablement réaliste. On se disait qu'ils allaient refaire leur coup: endormir un adversaire a priori supérieur avant d'emporter le morceau sur un coup de pied arrêté ou un malentendu.

Cette tête vers ses propres buts du défenseur Petter Hansson sur un centre vicieux de Traianos Dellas aurait pu parfaitement faire l'affaire, mais Andreas Isaksson intervenait à bon escient (65). Et dans la minute, Ibrahimovic, accueilli à l'échauffement par quelques sifflets de ses propres supporters, leur répondait en montrant ce qu'est un joueur de classe mondiale avec son premier but en sélection depuis près de trois ans (octobre 2005). Tout juste remis de blessure, à court de compétition, soumis comme son partenaire Henrik Larsson à la surveillance rapprochée du duo Sotirios Kyrgiakos et Paraskevas Antzas dans un système à trois défenseurs centraux, le joueur de l'Inter Milan avait jusqu'alors été discret.

Tout juste cette tête qui avait frôlé le cadre en première période (33) pouvait-elle laisser prévoir ce geste splendide. S'appuyant en une-deux sur Larsson, excentré à droite à l'entrée de la surface, Ibrahimovic envoyait du coup de pied un missile dans la lucarne d'Antonios Nikopolidis (67e, 1-0). Sonnés, les Grecs allaient perdre leurs derniers espoirs dans la foulée. Sur un tir de Larsson détourné par Nikopolidis, Hansson profitait de l'incompréhension entre Giourkas Seitaridis et Kyrgiakos pour marquer un but de raccroc que n'auraient pas renié les Grecs (72e, 2-0).

Quant à ces derniers, dans un match très longtemps ennuyeux, ils n'ont pas montré grand-chose, si ce n'est des tirs du buteur de la finale remportée contre le Portugal d'Angelos Charisteas, trop écrasé (7e) et excentré (39e) pour inquiéter Andreas Isaksson, un peu plus sollicité par le tir rebondissant d'Angelos Basinas (45e). Bien insuffisant pour espérer que le miracle portugais puisse se répéter.

Naàlya
11/06/2008, 07h50
Tu l'as trouvé où cette pétition? j'en ai entendu parler, mais j'ai pas pu la signer...:pleure:

Norton
11/06/2008, 09h19
Tu l'as trouvé où cette pétition? j'en ai entendu parler, mais j'ai pas pu la signer...:pleure:

www.pontaiseavenir.ch;)

Belledenuit
11/06/2008, 22h54
Norton ???? please................... Ne pèse pas trop sur le cloux pour notre NATI !!!! mdr

Je me suis dit que si ce soir je ne mangerais pas une fondue, je ne cracherais pas sur un bon Kebab mais du coup, je me suis tirée dans un Chinois ! lol

Norton
12/06/2008, 05h58
Norton ???? please................... Ne pèse pas trop sur le cloux pour notre NATI !!!! mdr

Je me suis dit que si ce soir je ne mangerais pas une fondue, je ne cracherais pas sur un bon Kebab mais du coup, je me suis tirée dans un Chinois ! lol

Ben moi j'ai noyé la défaite avec une belle gueule de bois à la clé.................:diable::fou:

Norton
12/06/2008, 06h01
La Suisse éliminée de l'Euro

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/8/7/large_413227.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/12/11/art_large_413231.jpg La Suisse n'a plus aucune chance de participer aux quarts de finale après sa défaite contre la Turquie.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/11/10/art_large_413230.jpg Les Turcs remportent la victoire après un matche disputé dans des conditions difficiles.

Le Portugal, l'un des favoris pour la victoire finale, a décroché mercredi le premier billet pour les quarts de finale de l'Euro-2008, grâce à son succès sur la République tchèque (3-1), alors que la Suisse, coorganisatrice, est éliminée après sa défaite face à la Turquie (2-1).
Les Portugais sont même assurés de terminer en tête du groupe A. Ils disputeront leur quart de finale à Bâle (Suisse), le jeudi 19 juin, face au deuxième du groupe B.

Le deuxième billet du groupe A pour les quarts de finale se jouera le 15 juin entre la République tchèque et la Turquie à Genève. Le vainqueur de ce match accédera aux quarts de finale.

Le Portugal a assuré sa qualification en battant la République tchèque grâce notamment à un super Cristiano Ronaldo, auteur d'un but, d'une passe décisive et largement impliqué dans le premier but de son équipe.

Les Suisses n'ont plus aucune chance d'accéder aux quarts de finale après avoir été battus par la Turquie, qui a inscrit le but de la victoire dans les arrêts de jeu par Turan (90+2e). Le match a été disputé dans des conditions difficiles, sur un terrain détrempé par la pluie. Lors de la dernière journée, dimanche, les Suisses affronteront pour l'honneur le Portugal à Bâle.

La sixième journée de l'Euro est programmée jeudi: le vainqueur de Croatie-Allemagne accomplira un pas décisif vers la qualification pour les quarts de finale, alors que l'aventure du perdant d'Autriche-Pologne devrait cesser au terme du premier tour. :pascool::pascool::pascool:

Norton
12/06/2008, 06h03
Le Portugal a un pied en quarts

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/12/12/large_413112.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/11/0/art_large_413145.jpg Deco a ouvert la marque dès la 8e minute.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/15/4/art_large_413149.jpg Bien aidé ce soir par Polak, Sionko a pesé lourd sur la défense portugaise.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/11/11/art_large_413111.jpg Christiano Ronaldo a inscrit le 2e but décisif.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/14/3/art_large_413148.jpg Quaresma a obligé Cech à se retourner une 3e et dernière fois.

Le Portugal est quasiment assuré d'être qualifié pour les quarts de finale suite à sa victoire 1 à 3 (mi-temps: 1-1) contre la République tchèque ce mercredi soir. Grâce aux buts de Deco, Christiano Ronaldo et Quaresma, le Portugal compte en effet 6 points et fait désormais la course en tête. Si l'autre rencontre du groupe A entre la Suisse et la Turquie se solde par un nul ou si cette dernière l'emporte, la selecao sera assurée de sa qualification.

La pression était forte sur les épaules des vice-champions d'Europe pour ce 2e match. A égalité de points avec les Tchèques, il s'agissait déjà d'un rendez-vous capital pour la qualification pour les quarts. Ce qui n'empêchait pas la partie de démarrer sur les chapeaux de roue: après à peine 8 minutes de jeu, Deco ouvrait le score, profitant de la confusion après une jolie incursion de Ronaldo et Nuno Gomes.

Mais les Tchèques haussaient largement leur niveau de jeu par rapport à leur victoire poussive face à la Suisse (1-0) en match d'ouverture. Bien organisés en défense, ils se montraient tout aussi dangereux en attaque. Logiquement, Sionko égalisait donc au quart d'heure de jeu sur corner, emmenant son équipe à pousser les Portugais en défense. Un peu sonnés, ceux-ci ne se montreront plus dangereux avant les dix dernières minutes. Et c'est donc sur le score logique de 1 -1 que les joueurs se quittaient à la mi-temps.

Alors que la République Tchèque ouvrait les hostilités en seconde mi-temps, le Portugal retrouvait rapidement le chemin vers les filets pour inquiéter Cech. Le duel entre Cech et Ronaldo tournait cependant à l'avantage du premier... rappelant des mauvais souvenirs de Ligue des Champions.

Mais à l'heure de jeu, prenant son élan, la star portugaise reprenait un bel assist de Deco d'une frappe puissante pour tromper le gardien tchèque et faire 1-2. Sionko, le meilleur Tchèque de la rencontre, offrait encore quelques frayeurs aux supporters méditerranéens mais sans succès.

En toute fin de rencontre, le même Ronaldo s'offrait finalement le luxe de l'altruisme quand à 2 contre 1 face à Cech, il permettait à Quaresma de clore les débats avec le 3e but grâce à une passe pragmatique. Une victoire, quasiment synonyme de qualification pour les quarts de finale, accueillie avec soulagement par Scolari. Le Brésilien voulait en effet éviter à tout prix de passer par un match décisif face à la Suisse dimanche à Bâle. Le Portugal jouera au contraire avec l'esprit dégagé.

La formation lusitanienne compte désormais 6 points, contre 3 pour les Tchèques, 2e du classement. L'autre match du jour de ce groupe A opposera la Suisse et la Turquie, les deux équipes battues lors de la journée inaugurale et pour qui la défaite est interdite sous peine d'élimination. :diable:

Homme du match
Comme les lecteurs de 7sur7 (66%), la rédaction a choisi Christiano Ronaldo, notamment pour son but décisif et sa concentration dans la volonté.

Naàlya
12/06/2008, 09h19
Merci Norton, j'en ai vu des au marché avec la pétition donc j'ai pu signer:yes:

Bon sinon pour le match, l'ambiance était super, j'ai plus du tout de voix, ni d'oreille tellement on encourageait la Suisse, mais ça n'a pas servi à grand chose...

Il faut dire qu'à la 2ème mi-temps on avait l'impression de voir un autre équipe, et qu'ils avaient plus de milieu de terrain, très bizarre...

Enfin en rentrant on avait l'impression d'assister à une marche funèbre, ça changeait de l'arrivée ou tout les supporters criaient, chantaient et avec les cloches...:pleure:

Par contre la sécurité zéro, il y en avait des qui fouillait mais pas tout le monde, on a pu entrer avec un parapluie :diable: Donc ils disent qu'il y a une bonne sécurité mais j'ai pas vu ou elle était...

Belledenuit
12/06/2008, 09h33
Vrai que l'ambiance de l'après match ressemblait plus à un enterrement qu'autre chose.............:bad::bad::bad: Naalya ? tu as eu besoin d'un parapluie, ah bon ? On a pourtant pas vu qu'il pleuvait là bas d'après la pelouse.................:D:D:D:D

Norton
12/06/2008, 13h17
:non::non::non::fou:

Dernières nouvelles
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Un international polonais se pend

TRAGÉDIE | 12h02 Adam Ledwon avait porté à 18 reprises le maillot de l'équipe nationale polonaise. Consultant à la télévision, il était apparemment confronté à une crise de couple.
Adam Ledwon jouait en Autriche. | Keystone
AFP | 12 Juin 2008 | 12h02

Adam Ledwon (34 ans) a été retrouvé pendu chez lui mercredi soir à Klagenfurt, a-t-on appris auprès de son club Austria Carinthie. Le milieu de terrain polonais avait joué 18 fois en équipe nationale. Il avait inscrit un but. Pour l'Euro 2008, il ne faisait pas partie de la sélection de Leo Beenhakker. «Il a été découvert par son coéquipier Patrick Wolf qui venait le chercher pour la soirée», a précisé une porte-parole du club, Iliane Zayic.
Ancien du GKS Katowice en Pologne, il avait notamment joué au Bayer Leverkusen et avait rejoint l'Austria Carinthie la saison dernière. «L'équipe perd un de ses meilleurs joueurs et un être humain irremplaçable», a indiqué Mme Zayic.
Adam Ledwon, qui avait également acquis la nationalité allemande, était marié et avait trois enfants. Selon certaines sources, sa femme l'aurait quitté il y a quelques jours. Adam Ledwon était consultant pour la télévision polonaise. Il avait donné hier encore des interviews à des journaux polonais en prévision du match Autriche-Pologne de ce soir, à Vienne.

Naàlya
12/06/2008, 16h41
En faites on a même pas eu besoin du parapluie parce qu'on était juste à l'abri :yes: Heureusement qu'ils ont pensé à faire un toit quand ils ont fait ce stade^^ Mais c'était impressionnant de voir les nuages noirs arriver, et surtout toute la pluie...En faites ça c'est transformé en match de waterpolo :)

Norton
13/06/2008, 06h00
L'Autriche arrache le nul, la Croatie se qualifie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/0/12/large_414222.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/1/13/art_large_414223.jpg Le penalty converti par Vastic permet à l'Autriche de rester en compétition.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/14/11/art_large_414236.jpg Roger Guerreiro avait ouvert le score à la 30e minute, son but étant validé malgré sa position de hors-jeu.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/16/13/art_large_414238.jpg Le but égalisateur tardif est tombé comme un coup de massue.

Le match entre la Pologne et l'Autriche dans le Groupe B de l'Euro 2008 s'est terminé sur un partage 1-1, jeudi soir, au stade Ernst Happel de Vienne. Ce résultat permet à la Croatie, qui a battu l'Allemagne 2-1 plus tôt dans la soirée, de décrocher son ticket pour les quarts de finale du tournoi.

Roger Guerreiro, le Brésilien naturalisé Polonais il y a quelques semaines, avait ouvert le score à la 30e minute. Il fallut attendre le
temps additionnel pour voir l'Autriche arracher l'égalisation grâce à Vastic, sur penalty. Un retour au marquoir qui permet à l'Autriche, pays co-organisateur de cet Euro, de rester dans la compétition, au contraire de la Suisse, déjà fixée sur son sort malheureux après sa défaite mercredi contre la Turquie (2-1).

Buteur hors-jeu
Le réalisme polonais s'imposait dès la demi-heure de jeu grâce à deux nouveaux titulaires: servi par Marek Saganowski, doublure du capitaine Maciej Zurawski, forfait, le milieu offensif Guerreiro, en position de hors-jeu, trompait le gardien autrichien Jürgen Macho, un but pourtant validé par l'arbitre anglais Howard Webb.

Penaly tardif
En seconde période, Harnik tentait encore une tête, interceptée par
Boruc (53), mais les Polonais ne relâchaient pas leur pression et seul un arrêt-réflexe de Macho empêchait le meneur de jeu Mariusz Lewandowski de doubler la mise (63). Le miracle est survenu dans le temps additionnel. Sur un centre autrichien, le Polonais d'Anderlecht Marcin Wasilewski faisait tomber dans la surface Sebastian Prödl et l'arbitre accordait en conséquence à l'Autriche un penalty, transformé par Vastic (90+3).

La Pologne et l'Autriche prennent leur premier point dans cet Euro et ferment la marche dans le Groupe B, derrière la Croatie, qualifiée avec 6 points, et l'Allemagne, 2e avec 3 points. La 3e journée du groupe B opposera lundi (20h45) l'Autriche à l'Allemagne et la Pologne à la Croatie.

Malgré leur défaite ce jeudi, les Allemands, vainqueurs de la Pologne (2-0) le 8 juin, sont en mesure d'accéder aux quarts de finale. La qualification passera par un succès ou un nul face à l'Autriche, lundi à Vienne. Pour remporter le deuxième billet pour les quarts de finale, la Pologne et l'Autriche doivent pour leur part impérativement gagner leur dernier match. Assurée de terminer à la première place du Groupe B, la Croatie affrontera en quarts de finale le deuxième du Groupe A, c'est-à-dire la République Tchèque ou la Turquie.

Norton
13/06/2008, 06h03
EURO 2008 - GROUPE B - CROATIE - ALLEMAGNE 2-1
La Croatie était plus forte

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/croatie-allemagne_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/croatie-allemagne_zoom.jpg)
Image © Keystone
Kranjcar (à g.) et Rakitic félicitent Olic (à g.), qui vient de marquer le 2-0 contre des Allemands (ici Podolski) très moyens.Les Allemands n'ont pas rassuré leurs supporters face à des Croates très bien organisés

Les agences - le 12 juin 2008, 23h48
Le Matin



Et si la Croatie était l'équipe surprise de l'Euro? A Klagenfurt, les Croates ont battu l'Allemagne 2-1 et ont fait un grand pas vers la qualification. Srna (24e) et Olic (62e) ont marqué pour les hommes de Bilic, Podolski redonnant un vain espoir aux Allemands à la 79e.
Dix ans après sa première victoire contre l'Allemagne (3-0 en quarts de finale de la Coupe du monde en France), la Croatie a récidivé dans un grand tournoi. Et elle n'a rien volé, tant s'en faut. Les Croates, supérieurs techniquement et collectivement, ont largement mérité de s'imposer contre une Mannschaft dépourvue d'imagination et très suspecte en défense.
Avec quatre joueurs (Simunic, Kovac, Rakitic, Olic) évoluant en Bundesliga sur la pelouse au coup d'envoi, les joueurs croates se trouvaient face à des rivaux dont ils connaissent tout ou presque. Mais c'est surtout grâce à leur maîtrise collective qu'ils ont pu confirmer les qualités qu'ils avaient déjà démontrées un certain soir de novembre à Wembley, où ils avaient éliminé l'Angleterre...
La partie a eu de la peine à démarrer. Durant une vingtaine de minutes, les deux équipes se sont observées. Dans une telle configuration, il faut souvent un but pour débloquer les choses.
C'est ce qui arrivait à la 24e: au terme d'une belle séquence collective, Pranjic centrait de la gauche pour Srna, qui devançait Janssen au deuxième poteau pour battre Lehmann.
Allemands sans créativité
Les Allemands, vexés, tentaient de mettre du rythme, mais ils manquaient de créativité. Sur coup franc, Ballack expédiait un missile que Pletikosa devait repousser des poings (33e). La Croatie aurait pu rejoindre les vestiaires avec deux longueurs d'avance si Lehmann n'avait pas effectué une parade déterminante devant Kranjcar (42e).
En deuxième mi-temps, l'Allemagne a bien tenté de bousculer son adversaire, en vain. Löw a effectué des changements qui n'ont pas permis à son équipe de renverser la tendance.
Au contraire, la Croatie doublait la mise à la 62e, de manière un peu heureuse. Un centre de Rakitic était dévié par Podolski sur le poteau, et Olic se montrait plus prompt que la lourde charnière Mertesacker-Metzelder pour exploiter le rebond.
Malgré la réduction du score signée Podolski, les Allemands n'ont jamais semblé en mesure d'arracher l'égalisation.
CROATIE - ALLEMAGNE 2-1 (1-0)
Wörthersee, Klagenfurt. 31 461 spectateurs (guichets fermés). Arbitre: De Bleeckere (Be).

Norton
13/06/2008, 15h04
:)Va vous changer..........................

Les Ford en tête après 4 spéciales au rallye de Turquie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/15/14/large_414764.jpg Les Ford Focus des Finlandais Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala (Ford Focus) étaient en tête du rallye de Turquie, 8e manche (sur 15) du Championnat du monde des rallyes (WRC), vendredi à midi, à l'issue des quatre premières épreuves spéciales de la 1e
journée.

Sébastien Loeb (Citroën C4) avait fait le meilleur temps dans la
super-spéciale d'ouverture (ES1), jeudi soir à Antalya, mais il a dû se
contenter de limiter les dégâts vendredi matin, obligé d'ouvrir la route
et de balayer la piste en tant que leader du Championnat du monde.
Hirvonen, qui le suit à un point au Championnat, et le suivait sur la
route, avec un peu moins de balayage à faire, en a profité pour prendre la tête du rallye devant trois autres Focus. Loeb ne pointait qu'à la 5e place à la pause de midi au parc d'assistance de Kemer.

Latvala a été victime d'une crevaison et a fait le temps scratch dans
l'ES3, ne lâchant que sept secondes à Hirvonen. Le spectacle a été assuré par Gigi Galli, meilleur temps dans l'ES2 et l'ES4, et 3e à midi sur sa Focus de chez Stobart, devant Henning Solberg sur l'autre Focus-Stobart.

Cinq autres spéciales restaient à disputer au cours de cette 1re
journée, dont trois passages dans les mêmes spéciales que le matin, puis deux premiers passages en fin d'après-midi dans des spéciales qui seront répétées samedi.:cadeaux:

Norton
14/06/2008, 06h32
:)
Pays-Bas, équipe de la mort

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/5/6/large_415281.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/11/14/art_large_415304.jpg Robben (3e but) et Van Persie (2e but), deux remplacements gagnants.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/16/4/art_large_415309.jpg Sneijder a enfoncé les Français avec un 4e but superbe.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/0/5/art_large_415310.jpg Henry a redonné espoir aux Français pendant 45 secondes.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/3/8/art_large_415313.jpg Thuram n'a pas joué son meilleur match.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/9/14/art_large_415319.jpg Ribery (ici face à Mathijsen) n'a pas pu trouver la faille.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/8/13/art_large_415318.jpg Le sélectionneur des Pays-Bas, Marco van Basten, a remporté la bataille tactique face à son alter ego français Raymond Domenech.

Doit-on parler de groupe de la mort ou d'équipe de la mort? Après avoir vaincu l'Italie 3-0, les Pays-Bas ont en effet sévèrement battu la France 4 à 1 ce vendredi soir. Soit 7 buts en 2 matches contre les champions et vice-champions du monde.


On disait les Pays-Bas joueurs, s'exposant aux contres. C'est faux. Les hommes de Van Basten ont surpris avec un bloc bien organisé, plus bas que prévu: une nouvelle arme dans leur besace, déjà riche en attaquants. Les Oranje, assurés de finir premiers du groupe, se posent ainsi en favoris pour la suite.

Le jeu des Néerlandais fut moins délié au départ que contre l'Italie lundi (3-0). Mais un premier but sur corner de Kuyt, mal marqué par Malouda, sur leur première occasion (9e), a suffi pour mettre les Bataves sur la voie des quarts.

Même si, sous les coups de boutoir des Français en début de seconde période, les Pays-Bas ont montré quelques signes de fébrilité, c'est un contre assassin de Robben, passeur décisif pour Van Persie, qui a coulé le navire français (0-2, 59). Puis Robben a aggravé la marque sur un dernier contre (1-3, 72e), avant un dernier coup de poignard de Sneijder (1-4, 90+2).

Finale France-Italie?
Raymond Domenech a été clairvoyant cette semaine. Il avait annoncé un France-Italie en guise de "finale" du groupe C pour ses Bleus. Ce sera le cas, avec cette menace: les Français ne sont plus maîtres de leur destin. Même en cas de victoire, il ne seront pas sûrs d'être qualifiés, car si la Roumanie s'impose contre les Néerlandais, ce sera fini pour eux.

Défense
On disait que la qualité première des Bleus était leur défense, qui n'avait pas encaissé de but depuis cinq matches avant ce vendredi. Mais elle n'a tenu que 9 minutes à Berne, la faute à un très mauvais marquage de Malouda sur Kuyt. C'est d'autant plus rageant que le jeu des Bleus de vendredi était nettement plus plaisant que contre la Roumanie lundi (0-0).

Le mérite en revenait à un 4-2-3-1 ressuscité, avec Evra à la place d'Abidal, Govou en milieu droit, Ribéry meneur axial et Henry seul en pointe, auteur de son 45e but en sélection (record en cours chez les Bleus) sur une passe de Sagnol (le score était alors de 1-2, 71e).

Dans ce système, déjà utilisé avec succès, en dehors du Mondial 2006, face à l'Italie, battue 3-1 en qualification aller de l'Euro, Ribéry est plus libre. Même s'il a, du coup, une petite tendance à pencher à gauche, du côté de Malouda. Le joueur de Chelsea a vécu un match cauchemardesque, après son erreur sur le but.

Dommage car, quand il est enfin sorti de ce trou noir, le Guyanais a apporté son écot au réveil offensif des Bleus à la demi-heure de jeu. Malouda a trop écrasé sa frappe (34e), avant que Govou ne trouve les gants de Van der Sar (même 34e minute) ou que Ribéry n'oblige le gardien batave à un arrêt en deux temps (35e).

Large effectif
Vainqueurs successivement des champions et des vice-champions du monde depuis le début de l'Euro 2008, avec 7 buts inscrits contre 1 encaissé, les hommes de Van Basten deviennent les grands favoris du tournoi. Ils auront en plus l'avantage de pouvoir faire tourner leur effectif lors du dernier match du groupe, contre la Roumanie mardi, avant d'attaquer leur quart de finale.

Le point
- Les Pays-Bas sont qualifiés pour les quarts de finale et assurés de la première place.
- La Roumanie sera qualifiée si elle bat les Pays-bas, ou par la différence de buts en cas de match nul France-Italie.
- L'Italie sera qualifiée uniquement en cas de défaite de la Roumanie. Soit par une victoire contre la France, soit par la différence de buts en cas de match nul France-Italie.
- La France sera qualifiée uniquement en cas de défaite de la Roumanie et de victoire contre l'Italie.

:diable:Alors Msieur Domenech.......Déjà champion d'europe?

Norton
14/06/2008, 06h36
GROUPE B - ITALIE - ROUMANIE 1-1
L'Italie en sursis grâce à Buffon

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/buffon_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/buffon_zoom.jpg)
Image © Keystone
Grâce à un réflexe extraordinaire, Buffon détourne le penalty de Mutu, ce qui a valu à l'Italie de ne pas être éliminée hier soir:amoureux::amoureux::content:Les champions du monde n'ont fait que match nul contre la Roumanie. Le portier transalpin a évité défaite et élimination à son équipe en détournant un penalty de Mutu à la 80e. Mais elle n'est plus maîtresse de son destin

- le 13 juin 2008, 22h39
Le Matin



L'Italie, championne du monde, faute de parvenir à battre la Roumanie (1-1) au terme d'une rencontre à rebondissements a réduit au minimum ses chances de franchir le premier tour de l'Euro. Malgré les cinq changements opérés dans l'équipe de départ, malgré de très nombreuses occasions, et malgré, aussi, une belle réaction d'orgueil après l'ouverture du score par les Roumains, les Azzurri n'ont pas trouvé la clé. Et ils risquent fort de quitter l'Euro dans quelques jours.
Les Roumains peuvent espérer
Les joueurs de Donadoni n'ont désormais plus leur sort entre leurs mains. Même s'ils battent les Français mardi à Zurich, tout dépendra du résultat de la rencontre entre Roumains et Néerlandais qui aura lieu en même temps. Autant d'inconnues qui rendent donc la qualification très hypothétique.
Pour les Roumains, en revanche, avec deux nuls consécutifs, les quarts ne tiennent pas du rêve. Une victoire contre les Pays-Bas leur suffira pour se qualifier.
Les Azzurri devaient absolument vaincre et, donc, marquer, pour conserver un maximum de chances d'aller en quarts. Ils y sont parvenus deux fois. Mais, la première fois, le but de la tête de Toni a été jugé - sévèrement - hors-jeu (45e), tandis que, la deuxième fois, le but de Panucci, à la suite d'un corner, a bien été validé, mais il a seulement servi à égaliser (56e).
Erreur de Zambrotta
La Roumanie, bien moins recroquevillée que contre la France (0-0), avait en effet marqué une minute plus tôt grâce à Mutu: à la suite d'une remise bien trop faible de la tête de Zambrotta, l'attaquant ne s'était pas fait prier pour ouvrir le score.
Mutu aurait même pu devenir un héros dans son pays s'il n'avait vu son penalty repoussé par Buffon (81). Un penalty sifflé consécutivement à une faute de Panucci sur Daniel Niculae. Le gardien de la Juventus a été le sauveur de l'Italie, et pas seulement sur le penalty. En première mi-temps, il avait déjà été décisif, repoussant un tir de Mutu (16e) puis, surtout, détournant un coup franc puissant à ras de terre de Tamas (18e).
Son homologue roumain, Lobont, n'a cependant pas non plus été en reste, sortant deux arrêts réflexes sur des têtes de Toni (40e, 41e), au moment où la domination italienne était la plus forte et où, très certainement, les champions du monde ont laissé passer leur chance de gagner. Et juste avant le penalty roumain, Lobont a encore réalisé un arrêt déterminant sur un coup de tête de de Rossi.
ITALIE - ROUMANIE 1-1 (0-0)
Letzigrund. 30 000 spectateurs.
Arbitre: M. Ovrebö.
Buts: 55e Mutu 0- 1. 56e Panucci 1-1.
Italie: Buffon; Zambrotta, Panucci, Chiellini, Grosso; Pirlo, De Rossi; Camoranesi (85e Ambrosini), Perrotta (57e Cassano), Del Piero (77e Quagliarella); Toni.
Roumanie: Lobont; Contra, Tamas, Goian, Rat; Radoi (25e Dica); Petre (60e Nicolita), Codrea, Chivu, Mutu (88e Cocis); Daniel Niculae.
Notes: 25e, Radoi sort sur blessure. 48e, but de Toni annulé pour hors-jeu. 81e, Buffon arrête un penalty de Mutu.
Avertissements: 43e Mutu, 58e Chivu, 62e Pirlo, 73e Goian (suspendu contre les Pays-Bas), 92e De Rossi.

Luca Toni n'était pas hors-jeu quand il a marqué!
Contre les Pays-Bas, lundi dernier, Gianluca Buffon avait encaissé en un match plus de buts que durant les... sept parties de la Coupe du monde en 2006! Celui qui est considéré comme le meilleur portier de la planète s'était d'ailleurs excusé auprès de ses tifosi, promettant une grosse réaction, un sursaut d'orgueil...
Ses fans lui ont aujourd'hui tout pardonné après que le Maestro de la Juventus eut arrêté un penalty-couperet à la 80e minute d'un Adrian Mutu malheureux au terme d'une rencontre de qualité, d'une énorme intensité. «Sans lui, on serait déjà à la maison», reconnaît Fabio Grosso, qui veut encore croire au miracle, même si Gianluca Zambrotta a l'impression que «cet Euro n'est pas pour nous...» Le joueur du Barça, qui a permis, en glissant, à Adrian Mutu d'ouvrir la marque, fait surtout allusion au Norvégien Tom Henning Ovrebo.
«Ce n'était pas un grand jour pour l'arbitre, peste Roberto Danadoni. On n'a pas de chance avec les directeurs de jeu: une fois, on voit un joueur couché à trois mètres de la ligne et une autre... on n'aperçoit pas un joueur qui quitte le poteau de corner!» Il est vrai que le Scandinave a privé, dans les arrêts de jeu de la première mi-temps, d'un but valable de Luca Toni. Il n'était pas hors-jeu. Si l'erreur est humaine, elle a faussé la suite d'une rencontre que les Transalpins avaient abordé avec un état d'esprit de gagneurs face à des Roumains qui avaient eux aussi élevé le niveau de leur jeu. «Nous avons réalisé une performance de haut niveau», estime Donadoni. Il n'empêche que ce point dans la poche ne fait pas le bonheur des champions du monde, qui mardi, contre la France, ne seront plus maîtres de leur destin. Dans ce groupe de la mort... c'est peut-être bien la Roumanie qui va rester en vie! Ce jeu de Roumains n'est d'ailleurs pas si vilain...
Christian Maillard

Norton
14/06/2008, 06h55
:content:Rallye, Turquie, 1ère étape

Loeb le balayeur (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/loeb-le-balayeur-160750/#)

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/auto-moto/rallye/actualites/loeb-le-balayeur-160750/3127995-1-fre-FR/loeb-le-balayeur_actus.jpg Sébastien Loeb ouvrira une nouvelle fois la piste samedi (Panoramic) Seulement 4e au général à l’issue de la matinée, Sébastien Loeb a «hérité» de la première place vendredi soir. Le Français aura donc l’épineux privilège de balayer une nouvelle fois la route lors de la deuxième journée.
par Nicolas Cerbelle, le 13-06-2008

Mikko Hirvonen avait prévenu : «La deuxième position offre une bien meilleure adhérence. Ma priorité est de garder un bon rythme. Si je ne mène pas ce soir, ça me va. Il peut y avoir un ou deux pilotes devant.» Le pilote Ford, en tête à l’issue de la première boucle, n’avait pas l’intention de terminer la première journée à la 1ère place du général. Le Finlandais ne jouait plus la gagne dans l’après-midi. Il laissait même la tête à son coéquipier Jari-Matti Latvala à l’issue de l’ES6, une spéciale marquée par l’abandon de Chris Atkinson, victime d’un problème de suspension. Gigi Galli profitait quant à lui du ralentissement des cadors pour se hisser en haut du classement. Auteur de trois temps scratches (ES 4, 5 et 8), l’Italien de Stobart termine finalement 4e à l’issue de la 1ère étape. A la peine depuis la première spéciale, courue jeudi, Sébastien Loeb profitait également de la tactique mise en place par Ford pour combler une partie de son retard.
Hirvonen pris à son propre jeu
Vainqueur de la 7e spéciale, l’Alsacien n’en demeurait pas moins méfiant : «J’ai toujours su qu’il serait difficile de bien faire en partant en tête. Je continue d’attaquer. Il va être intéressant de voir ce qu’il va se passer dans les deux dernières spéciales du jour.» A juste titre. Dans les ES 8 et 9, Latvala et, surtout, Hirvonen levaient considérablement le pied. Seuls Galli et Henning Solberg continuaient d’attaquer. Le petit frère de Petter signait même le dernier temps scratch du jour. La mauvaise opération du jour revenait à Sébastien Loeb. Bien que seulement 4e de l’ES9, le champion du monde récupérait bien malgré lui le fauteuil de leader pour une petite seconde ! A force d’assurer, Hirvonen était pris à son propre piège. Il ne s’élancera qu’en 5e position samedi : «Je ne suis pas content de mon temps. J’ai lutté dans la première partie du chrono et je ne sais pas pourquoi.» Latvala est en revanche bien calé en embuscade. Il s’élancera juste derrière Loeb et Henning Solberg.
Classement de l’ES1 (courue jeudi) :
1. Loeb (Fra, Citroën) 2’07’’6
2. P. Solberg (Nor, Subaru) à 0’’7
3. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’1
4. Latvala (Fin, Ford) à 2’’3
5. Sordo (Esp, Citroën) à 2’’9
Classement de l’ES2
1. Aava (Est, Citroën) en 16’03’’6
2. Galli (Ita, Ford) à 1’’6
3. Mikkelsen (Nor, Ford) à 2’’2
4. Hirvonen (Fin, Ford) à 2’’3
5. Sordo (Esp, Citroën) à 6’’9
Classement de l’ES3 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 21’05’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 15’’2
3. Galli (Ita, Ford) à 17’’3
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 17’’6
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 18’8
6. Loeb (Fra, Citroën) à 19’’5
Classement de l’ES4 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 21’05’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 15’’2
3. Galli (Ita, Ford) à 17’’3
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 17’’6
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 18’8
6. Loeb (Fra, Citroën) à 19’’5
Classement de l’ES5 :
1. Galli (Ita, Ford) en 15’42’’8
2. Latvala (Fin, Ford) à 0’’9
3. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’8
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 1’’9
5. Sordo (Esp, Citroën) à 4’’4
6. Loeb (Fra, Citroën) à 5’’6
Classement de l’ES6 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 20’46’’
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 10’’4
3. Loeb (Fra, Citroën) à 11’’2
4. Sordo (Esp, Citroën) à 11’’7
5. Galli (Ita, Ford) à 15’’
Classement de l’ES7 :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 7’38’’9
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’3
3. Galli (Ita, Ford) à 5’’5
4. H Solberg (Nor, Ford) à 6’’7
5. P. Solberg (Nor, Subaru) à 12’’0
Classement de l’ES8 :
1.Galli (Ita, Ford) en 12’21’’5
2. H Solberg (Nor, Ford) à 0’’1
3. Latvala (Fin, Ford) à 2’’4
4. Hirvonen (Fin, Ford) à 9’’7
5. P. Solberg (Nor, Subaru) à 10’’
Classement de l’ES9 :
1.H Solberg (Nor, Ford) en 17’49’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 4’’2
3. Wilson (GB, Ford) à 6’’8
4. Loeb (Fra, Citroën) à 8’’8
5. Gardemeister (Fin, Suzuki) à 10’’7
Classement général
1. Loeb (Fra, Citroën) en 2h02’35’’2
2. H Solberg (Nor, Ford) à 1’’
3. Latvala (Fin, Ford) à 1’’1
4. Galli (Ita, Ford) à 2’’2
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 6’’9

Voilà qui va faire plaisir à quelqu'un...................:amoureux:

Norton
14/06/2008, 06h57
:content:
Programme des 24 Heures du Mans :
Mercredi 11 juin
9H00 à 11H00 : Vérifications Administratives & Techniques Group C (Circuit)
10H00 : Briefing Team Managers "24 Heures du Mans"
16H00 : Briefing des Pilotes "24 Heures du Mans"
18H00 à 18H30 : Essais Qualificatifs / Qualifying Practice Sessions Group C
19H00 à 21H00 : Essais Qualificatifs "24 Heures du Mans" - 1e Séance
22H00 à 24H00 : Essais Qualificatifs "24 Heures du Mans" - 1e Séance
Jeudi 12 juin
18H00 à 18H30 : Essais Qualificatifs / Qualifying Practice Sessions Group C
19H00 à 21H00 : Essais Qualificatifs "24 Heures du Mans" - 2e Séance
22H00 à 24H00 : Essais Qualificatifs "24 Heures du Mans" - 2e Séance
Vendredi 13 juin
10H00 à 20H00 : Découverte des stands
18H00 à 19H00 : Parade des pilotes (Centre Ville)
Samedi 14 juin
9H00 à 9H45 : Warm-Up "24 Heures du Mans"
10H15 à 11H15 : Course Group C
14H22 : Début de la procédure de départ "24 Heures du Mans"
15H00 : Départ de la 76e Edition des "24 Heures du Mans"
Dimanche 15 juin
15H00 : Arrivée de la 76e Edition des "24 Heures du Mans"

Belledenuit
14/06/2008, 09h57
:content:Rallye, Turquie, 1ère étape

Loeb le balayeur (http://www.sport24.com/auto-moto/rallye/actualites/loeb-le-balayeur-160750/#)

http://www.sport24.com/var/plain_site/storage/images/auto-moto/rallye/actualites/loeb-le-balayeur-160750/3127995-1-fre-FR/loeb-le-balayeur_actus.jpg Sébastien Loeb ouvrira une nouvelle fois la piste samedi (Panoramic) Seulement 4e au général à l’issue de la matinée, Sébastien Loeb a «hérité» de la première place vendredi soir. Le Français aura donc l’épineux privilège de balayer une nouvelle fois la route lors de la deuxième journée.
par Nicolas Cerbelle, le 13-06-2008

Mikko Hirvonen avait prévenu : «La deuxième position offre une bien meilleure adhérence. Ma priorité est de garder un bon rythme. Si je ne mène pas ce soir, ça me va. Il peut y avoir un ou deux pilotes devant.» Le pilote Ford, en tête à l’issue de la première boucle, n’avait pas l’intention de terminer la première journée à la 1ère place du général. Le Finlandais ne jouait plus la gagne dans l’après-midi. Il laissait même la tête à son coéquipier Jari-Matti Latvala à l’issue de l’ES6, une spéciale marquée par l’abandon de Chris Atkinson, victime d’un problème de suspension. Gigi Galli profitait quant à lui du ralentissement des cadors pour se hisser en haut du classement. Auteur de trois temps scratches (ES 4, 5 et 8), l’Italien de Stobart termine finalement 4e à l’issue de la 1ère étape. A la peine depuis la première spéciale, courue jeudi, Sébastien Loeb profitait également de la tactique mise en place par Ford pour combler une partie de son retard.
Hirvonen pris à son propre jeu
Vainqueur de la 7e spéciale, l’Alsacien n’en demeurait pas moins méfiant : «J’ai toujours su qu’il serait difficile de bien faire en partant en tête. Je continue d’attaquer. Il va être intéressant de voir ce qu’il va se passer dans les deux dernières spéciales du jour.» A juste titre. Dans les ES 8 et 9, Latvala et, surtout, Hirvonen levaient considérablement le pied. Seuls Galli et Henning Solberg continuaient d’attaquer. Le petit frère de Petter signait même le dernier temps scratch du jour. La mauvaise opération du jour revenait à Sébastien Loeb. Bien que seulement 4e de l’ES9, le champion du monde récupérait bien malgré lui le fauteuil de leader pour une petite seconde ! A force d’assurer, Hirvonen était pris à son propre piège. Il ne s’élancera qu’en 5e position samedi : «Je ne suis pas content de mon temps. J’ai lutté dans la première partie du chrono et je ne sais pas pourquoi.» Latvala est en revanche bien calé en embuscade. Il s’élancera juste derrière Loeb et Henning Solberg.
Classement de l’ES1 (courue jeudi) :
1. Loeb (Fra, Citroën) 2’07’’6
2. P. Solberg (Nor, Subaru) à 0’’7
3. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’1
4. Latvala (Fin, Ford) à 2’’3
5. Sordo (Esp, Citroën) à 2’’9
Classement de l’ES2
1. Aava (Est, Citroën) en 16’03’’6
2. Galli (Ita, Ford) à 1’’6
3. Mikkelsen (Nor, Ford) à 2’’2
4. Hirvonen (Fin, Ford) à 2’’3
5. Sordo (Esp, Citroën) à 6’’9
Classement de l’ES3 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 21’05’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 15’’2
3. Galli (Ita, Ford) à 17’’3
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 17’’6
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 18’8
6. Loeb (Fra, Citroën) à 19’’5
Classement de l’ES4 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 21’05’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 15’’2
3. Galli (Ita, Ford) à 17’’3
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 17’’6
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 18’8
6. Loeb (Fra, Citroën) à 19’’5
Classement de l’ES5 :
1. Galli (Ita, Ford) en 15’42’’8
2. Latvala (Fin, Ford) à 0’’9
3. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’8
4. H.Solberg (Nor, Ford) à 1’’9
5. Sordo (Esp, Citroën) à 4’’4
6. Loeb (Fra, Citroën) à 5’’6
Classement de l’ES6 :
1. Latvala (Fin, Ford) en 20’46’’
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 10’’4
3. Loeb (Fra, Citroën) à 11’’2
4. Sordo (Esp, Citroën) à 11’’7
5. Galli (Ita, Ford) à 15’’
Classement de l’ES7 :
1. Loeb (Fra, Citroën) en 7’38’’9
2. Hirvonen (Fin, Ford) à 1’’3
3. Galli (Ita, Ford) à 5’’5
4. H Solberg (Nor, Ford) à 6’’7
5. P. Solberg (Nor, Subaru) à 12’’0
Classement de l’ES8 :
1.Galli (Ita, Ford) en 12’21’’5
2. H Solberg (Nor, Ford) à 0’’1
3. Latvala (Fin, Ford) à 2’’4
4. Hirvonen (Fin, Ford) à 9’’7
5. P. Solberg (Nor, Subaru) à 10’’
Classement de l’ES9 :
1.H Solberg (Nor, Ford) en 17’49’’3
2. Sordo (Esp, Citroën) à 4’’2
3. Wilson (GB, Ford) à 6’’8
4. Loeb (Fra, Citroën) à 8’’8
5. Gardemeister (Fin, Suzuki) à 10’’7
Classement général
1. Loeb (Fra, Citroën) en 2h02’35’’2
2. H Solberg (Nor, Ford) à 1’’
3. Latvala (Fin, Ford) à 1’’1
4. Galli (Ita, Ford) à 2’’2
5. Hirvonen (Fin, Ford) à 6’’9

Voilà qui va faire plaisir à quelqu'un...................:amoureux:


YES YESSSSSSSSS YESSSSSSSSSSSSS..... trop fort, trop beauuuuuuuu SEB:amoureux::amoureux::amoureux: SEB ? C'est bien...........:D:D:D

Léo_messi
14/06/2008, 13h03
:)


Large effectif
Vainqueurs successivement des champions et des vice-champions du monde depuis le début de l'Euro 2008, avec 7 buts inscrits contre 1 encaissé, les hommes de Van Basten deviennent les grands favoris du tournoi. Ils auront en plus l'avantage de pouvoir faire tourner leur effectif lors du dernier match du groupe, contre la Roumanie mardi, avant d'attaquer leur quart de finale.

Le point
- Les Pays-Bas sont qualifiés pour les quarts de finale et assurés de la première place.
- La Roumanie sera qualifiée si elle bat les Pays-bas, ou par la différence de buts en cas de match nul France-Italie.
- L'Italie sera qualifiée uniquement en cas de défaite de la Roumanie. Soit par une victoire contre la France, soit par la différence de buts en cas de match nul France-Italie.
- La France sera qualifiée uniquement en cas de défaite de la Roumanie et de victoire contre l'Italie.

:diable:Alors Msieur Domenech.......Déjà champion d'europe?

Les Pays Bas ne sont pas les grand favori du tournoi. C'est clair qui ont sans doute la meilleur organisation offensive mais au niveau de la défense ça reste très faible. Les français et les italiens ont manqué clairement de réalisme parce qu'ils ont eu énormément d'occasions.
Les Pays Bas vont laisser filé le dernier match contre la Roumanie, cela leur permettra d'éliminer le France et l'Italie. Car si les Pays Bas vont au bout de l'Euro, ils pourraient retrouvé la France ou l'Italie en Demi-Finale. Donc autant les éliminer tout de suite.

Eh Norton, où est ce que tu as vu que Domenech se voyait déjà champion d'Europe ?

webamanu
14/06/2008, 13h54
Va falloir que Domenech pense à faire rentré Chabal quand même.

GéantVert
14/06/2008, 14h15
Va falloir que Domenech pense à faire rentré Chabal quand même.

il le reserve pour la final, il monte en puissance, :boutons: ah on est presque éliminé, j'ai mal compris Raimond :D

Norton
14/06/2008, 15h15
Les Pays Bas ne sont pas les grand favori du tournoi. C'est clair qui ont sans doute la meilleur organisation offensive mais au niveau de la défense ça reste très faible. Les français et les italiens ont manqué clairement de réalisme parce qu'ils ont eu énormément d'occasions.
Les Pays Bas vont laisser filé le dernier match contre la Roumanie, cela leur permettra d'éliminer le France et l'Italie. Car si les Pays Bas vont au bout de l'Euro, ils pourraient retrouvé la France ou l'Italie en Demi-Finale. Donc autant les éliminer tout de suite.

Eh Norton, où est ce que tu as vu que Domenech se voyait déjà champion d'Europe ?

:diable:Msieur l'a prétendu bien avant le tournoi sur une chaîne que je ne citerai pas, sans compter une innondation dans la presse, et ce ... jusque dans les quotidiens.. suisses! Si ce n'est pas peu exagérer...

Norton
14/06/2008, 15h31
Roger Federer en finale à Halle

http://www.tsr.ch/xobix_media/images/tsr/2008/swisstxt20080614_9217721_4.jpg
Roger Federer n'a pas puisé dans ses réserves face à Kiefer.[Reuters]


14.06.2008

Roger Federer s'est qualifié aisément pour la finale du tournoi sur gazon de Halle. Le no1 mondial a battu l'Allemand Nicolas Kiefer 6-1 6-4 en 65 minutes.

Norton
14/06/2008, 15h36
Le choc Suède-Espagne, Grèce-Russie pour garder espoir

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/14/12/large_414882.jpg
David Villa, le buteur espagnol auteur d'un triplé contre la Russie.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/15/13/art_large_414883.jpg Zlatan Ibrahimovic.

L'Espagne affrontera la Suède, samedi à Innsbruck, dans un match capital en vue des quarts de finale de l'Euro 2008, tandis que la Grèce et la Russie, à Salzbourg, devront éviter tout nouveau faux pas si elles veulent rester dans la course à la qualification.

Suède-Espagne (18H00 à Innsbruck): Déjà vainqueurs de la Grèce, tenante du titre, les Suédois défient une équipe qu'ils connaissent bien pour l'avoir déjà affrontée à deux reprises lors de la phase de qualifications (victoire 2-0 à domicile, défaite 3-0 à l'extérieur). Pour ce duel très "physique", les jaunes et bleus pourront compter sur leur attaquant vedette, Zlatan Ibrahimovic, impressionnant face à la Grèce. Seul point noir: le forfait sur blessure du défenseur Niclas Alexandersson (109 sélections), l'un des cadres de l'équipe.

L'Espagne, elle, aborde cette rencontre avec sérénité après sa démonstration de force face aux Russes, balayés 4-1 mardi. Selon toute probabilité, le même onze, avec le tandem Torres-Villa en pointe, devrait être reconduit. Attaque flamboyante, milieu pléthorique (Iniesta-Xavi-Silva), l'unique bémol pourrait se situer au niveau de la défense, qui n'a pas été exempte de reproches face à la Russie.

Grèce-Russie (20H45, à Salzbourg): Après le fiasco inaugural face à la Suède, la Grèce attend beaucoup du match, capital, contre la Russie, mais sans certitudes sur la tactique à adopter. Raillé pour sa stratégie "mesquine", ultradéfensive, Otto Rehhagel devra miser sur une attaque renforcée s'il veut bouger les lignes russes. Mais le sélectionneur avoue être dans l'impasse de ce côté-là, arguant que son équipe n'a pas autant d'atouts offensifs qu'une équipe comme l'Allemagne.

Terrassée par l'Espagne, la Russie a montré d'inquiétantes carences défensives, qu'il lui faudra effacer si elle veut l'emporter face à la Grèce et ne pas laisser échapper sa qualification. Avec Pavlyuchenko encore incertain (blessure aux adducteurs), l'attaque russe, elle aussi, n'est pas au mieux. En cas de forfait, le sélectionneur néerlandais de l'équipe, Guus Hiddink, pourrait aligner le duo Sychev-Adamov.

Pasky
14/06/2008, 18h13
Je ne connais rien au foot, mais dites moi si j'ai bien compris :

Les Pays bas perdent face à la Roumanie et cela a plusieurs avantages
- La France est éliminée :), vont nous lâcher les baskets dans les médias
- L'Italie est éliminée :), vont moins la ramener.

- Les joueurs des Pays Bas vont pouvoir se reposer pendant 90mn, et pour le même prix, bien se payer la tronche des deux équipes qui se voyaient déjà en haut de l'affiche:)

C'est ça j'ai bon ?:yes:

FuryShoei
14/06/2008, 18h49
Je ne connais rien au foot, mais dites moi si j'ai bien compris :

Les Pays bas perdent face à la Roumanie et cela a plusieurs avantages
- La France est éliminée :), vont nous lâcher les baskets dans les médias
- L'Italie est éliminée :), vont moins la ramener.

- Les joueurs des Pays Bas vont pouvoir se reposer pendant 90mn, et pour le même prix, bien se payer la tronche des deux équipes qui se voyaient déjà en haut de l'affiche:)

C'est ça j'ai bon ?:yes:

T'as tout compris Pasky !!! C'est peut-être pas très fair-play, mais à leur place, c'est ce que je ferais !!!

Norton
15/06/2008, 05h44
T'as tout compris Pasky !!! C'est peut-être pas très fair-play, mais à leur place, c'est ce que je ferais !!!

:DPas faut..........................
Mais je pense que la Hollande va jouer le jeu;)

Norton
15/06/2008, 05h46
Rallye de Turquie : Loeb rétrograde à la 3e place

Créé le 13/06/08 - Derniêre mise à jour le 14/06/08 à 23h18

Les Ford de Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala sont repassées en tête du rallye de Turquie, samedi, devant la Citroën C4 du Français Sébastien Loeb, 3e, qui a fait tout ce qu'il a pu pour préserver ses chances de victoire.
http://www.europe1.fr/var/europe1/storage/images/sport/sports-mecaniques/rallyes/rallye-de-turquie-loeb-retrograde-a-la-3e-place/1158104-2-fre-FR/Rallye-de-Turquie-Loeb-retrograde-a-la-3e-place_img_234_199.jpg







C’est le yo-yo en tête du Rallye de Turquie. Sébastien Loeb, en tête samedi matin du Rallye de Turquie, était 3e au classement général samedi soir. Mikko Hirvonen et Jari-Matti Latvala, sur Ford, ont repris les commandes lâchées la veille.
Comme prévu, et comme vendredi pendant toute la 1re journée, Loeb a été gêné par sa position sur la route, car il était obligé de balayer la couche de terre pour trouver la bonne trajectoire, avec une adhérence limitée. Malgré ce handicap, l’Alsacien n'a concédé que 13 secondes le matin, en deux spéciales, puis seulement une vingtaine l'après-midi, en cinq spéciales, terminant même en beauté par deux temps scratch dans l'ES15 (Phaselis 2) et l'ES16, la super-spéciale d'Antalya.
Il ne reste que trois spéciales dimanche matin, 67 km chronométrés, pour inverser la tendance.
Loeb (http://www.sebastienloeb.com/), vainqueur coup sur coup en Sardaigne et en Grèce, sur des terrains a priori comparables aux spéciales turques, veut conserver la tête du championnat qu'il a eu tant de mal à récupérer.


Olivier Durin

Norton
15/06/2008, 05h49
Villa qualifie l'Espagne pour les quarts

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/2/14/large_415754.jpg
En inscrivant son 4e but de l'Euro, Villa a été le sauveur de l'Espagne.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/14/3/art_large_415698.jpg Mine de rien, sans avoir trouvé le chemin du but, Larsson a pesé sur la défense espagnole.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/16/3/art_large_415683.jpg Torres, en bon renard des surfaces, a montré la voie à suivre à l'Espagne.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/15/2/art_large_415682.jpg En gagnant son duel face à Ramos, Ibrahimovic avait rétabli l'égalité au marquoir (34e).
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/14/1/art_large_415681.jpg Visiblement touché musculairement, Puyol avait cédé sa place à Albiol. Dix minutes après ce remplacement, la Suède égalisait.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/13/0/art_large_415680.jpg Torres, en bon renard des surfaces, a montré la voie à suivre à l'Espagne.

Après le Portugal, la Croatie et les Pays-Bas, l'Espagne est la quatrième équipe qualifiée pour les quarts de finale de cet Euro. Torres marqua en premier avant qu'Ibrahimovic égalisa pour les siens en première période. Villa, en héros, porta le coup d'assommoir dans les arrêts de jeu. Pour la Suède, tout se jouera dans le dernier match contre la Russie.

Un seul mot d'ordre: l'efficacité
Si aucune équipe n'arrivait à prendre l'ascendant sur l'autre au cours de cette première période, la Suède et l'Espagne firent preuve de beaucoup de réalisme. Les premiers à se montrer efficaces furent les Ibériques. A la suite d'un corner, donné en deux temps, Silva centra pour Torres. En bon vieux renard des surfaces, l'attaquant de Liverpool trompa Isaksson (0-1).

Pris à la gorge, les Suédois réagirent de la meilleure manière. Après un tir non-cadré d'Elmander (16e), Ibrahimovic gagna son duel face à Ramos et se montra très lucide pour battre Casillas. (1-1) Entretemps, Puyol, blessé, fut remplacé par Albiol. A quelques secondes de la pause, Villa fut poussé dans le dos par Elmander mais l'arbitre de le partie ne broncha guère. Ce n'est que très logiquement que les 22 acteurs rentrèrent aux vestiaires sur le score de 1-1.

L'Espagne dominatrice
En seconde période, les hommes de Luis Aragones appuyèrent sur le champignon. Sans pour autant développer un football de qualité, ils se procurèrent plusieurs occasions. A la 63e minute, l'Espagne hérita d'une triple opportunité (Villa, Silva et Torres) mais chaque tentative fut repousée soit par Isaksson soit par la défense suédoise.

C'est ensuite Senna qui fit parler sa puissance de frappe. A 20 mètres du but, le joueur de Villareal décocha une belle frappe et Isaksson détourna en corner. Quelques minutes plus tard, la tête de Senna fut captée sans problème par le dernier rempart suédois.

Ce n'est que dans les arrêts de jeu que Villa fit la différence pour l'Espagne. Parti en contre et bien servi par Capdevila, l'attaquant de Valence se joua d'un défenseur suédois pour tromper Isaksson et permettre à l'Espagne de se qualifier. "Viva Espana". La fiesta pouvait alors commencer!

Norton
15/06/2008, 05h52
GROUPE D - GRèCE - RUSSIE 0-1
Grèce: l'adieu au titre

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/gre__article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/gre__zoom.jpg)
Image © Keystone
Zyryanov vient de précipiter la Grèce vers la sortie et la perte de son titreLe miracle grec n'a pas eu lieu une deuxième fois: battus par la Russie, les champions d'Europe quittent la scène sans but

- le 14 juin 2008, 22h15
Le Matin Dimanche




Tenante du titre, la Grèce est éliminée de l'Euro 2008 après deux matches seulement, comme la Suisse. Dans le groupe D, à Salzbourg, les Grecs se sont inclinés 1-0 contre la Russie. Ce résultat qualifie mathématiquement l'Espagne pour les quarts de finale.
Le seul but d'un match ouvert mais dominé par la Russie a été inscrit par Zyryanov (33e), qui profitait d'une erreur du gardien Nikopolidis. Le deuxième ticket pour les quarts se jouera mercredi lors du match Suède - Russie. Les Russes devront s'imposer pour se qualifier, alors que la Suède pourrait se contenter d'un nul.
Le miracle grec de 2004 appartient à un passé déjà lointain. Le champion d'Europe se retrouve sorti après deux matches. Un triste sort que la sélection dirigée d'Otto Rehhagel partage avec la Suisse, qu'elle retrouvera dans les éliminatoires de la Coupe du monde.
Face aux Russes, la Grèce s'est présentée dans de meilleures dispositions que contre la Suède. Cette fois, tout n'a pas été sacrifié à la défense, Rehhagel revenant à un 4-3-3 et une volonté d'aller parfois de l'avant.
Mais rien n'y a fait et les Grecs n'ont toujours pas marqué depuis le début du tournoi: un constat d'échec qui peut s'expliquer par le manque de réussite de Charisteas, héros voici quatre ans, mais en panne d'efficacité depuis.
Les meilleures occasions ont été pour les hommes de Guus Hiddink, notamment sur un tir lobé de Pavlyuchenko sur lequel Nikopolidis réalisait un bel arrêt (14e). Le portier grec était moins inspiré à la 33e, quand il se trouait sur un long centre de la gauche du remuant Bilyaletdinov. Au deuxième poteau, Semak pouvait remettre pour Zyryanov, tout seul à cinq mètres pour l'ouverture du score. La formation russe peut poursuivre son parcours. Et pour le match décisif contre la Suède, elle pourra compter sur le retour du joyau Arshavin. De bon augure?
GRÈCE - RUSSIE 0-1 (0-1)
Wals-Siezenheim, Salzbourg. 30 063 spectateurs. Arbitre: M. Rosetti (It).
But: 33e Zyryanov 0-1.
Grèce: Nikopolidis; Seitaridis (40e Karagounis), Dellas, Kyrgiakos, Torosidis; Katsouranis, Basinas, Patsatzoglou; Charisteas, Liberopoulos (61e Gekas), Amanatidis (80e Giannakopoulos).
Russie: Akinfeev; Anyukov, Kolodin, Ignashevich, Zhirkov (87e Vassili Berezutski); Semak; Torbinski, Zyryanov, Semshov, Bilyaletdinov (70e Saenko); Pavlyuchenko.
Notes: la Russie sans Arshavin (suspendu). 87e, but de Gekas annulé pour hors-jeu.
Avertissements: 42e Karagounis, 58e Liberoupoulos, 77e Saenko, 84e Torbinski.

Norton
15/06/2008, 05h55
TOURNOI DE HALLE
La 75e finale de Federer

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/fedr_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/fedr_zoom.jpg)
Image © Keystone
Roger Federer en route pour son 55e titre dans un tournoi ATP...Le Bâlois s'est imposé sans difficulté à l'Allemand Kiefer. Le No 1 mondial a donné une véritable leçon de tennis à Kiefer, le «régional de l'étape». Il rencontrera aujourd'hui un autre Allemand: Philipp Kohlschreiber, pour tenter de recevoir son 55e titre

- le 14 juin 2008, 20h15
Le Matin Dimanche



Roger Federer s'est qualifié à Halle pour la 75e finale de sa carrière. Sur le gazon allemand, le Bâlois a évincé, en deux sets, le joueur local Nicolas Kiefer (ATP 38), battu 6-1 6-4. Aujourd'hui, c'est contre un autre Allemand, Philipp Kohlschreiber (ATP 40), que le numéro un mondial tentera de décrocher un cinquième titre à Halle, le 55e au total.

C'est une véritable leçon de tennis sur gazon que Federer a dispensé à Kiefer, le dernier joueur à l'avoir battu à Halle (en demi-finale en 2002). En 22 minutes et un double break, la première manche était dans la poche.
En 1 heure et 5 minutes
Le second set était plus accroché. Federer sauvait quatre balles de break à 2-3 (dont trois de suite). Trois jeux plus tard, Kiefer «offrait» son engagement sur une double faute, et Federer bouclait l'affaire le jeu suivant après 1h05 de match.
Depuis mercredi et son premier tour, Federer n'a toujours pas été inquiété dans son jardin allemand. Avant Kiefer, ni Michael Berrer, ni Jan Vacek, ni Marcos Baghdatis n'étaient parvenus ne serait-ce qu'à lui ravir son engagement (sur 39 jeux de service disputés). «C'est une de mes grandes satisfactions de la semaine», a commenté à ce propos Federer. «Je suis aussi fier de la façon dont je me suis sorti des moments chauds, notamment quand j'étais mené 0-40 sur mon service lors de la seconde manche.»
Amuse-gueule avant Wimbledon
Sur sa lancée, le Bâlois devrait sauf surprise récupérer son titre à Halle, lui qui s'y était imposé de 2003 à 2006 avant de zapper l'édition 2007. «Après chacun de mes titres à Halle, j'avais enchaîné avec une victoire à Wimbledon. J'espère que l'histoire va encore se répéter cette année», a lâché le quintuple tenant du titre à Londres, désormais invaincu depuis 58 matches sur gazon.
Federer ne s'est frotté qu'une seule fois à Kohlschreiber. C'était déjà à Halle, en 2005, et le Suisse s'était imposé en deux manches. L'Allemand de 24 ans, éliminé lors du dernier Roland-Garros par Stanislas Wawrinka, a obtenu le droit de défier Federer en battant en demi-finale la tête de série no 2 James Blake.
Retrouvailles à Londres


Rafael Nadal va rejoindre Novak Djokovic, son adversaire malheureux de la demi-finale de Roland-Garros, sur le gazon de la finale du tournoi londonien
Tandis que Roger Federer disputera aujourd'hui la finale du tournoi de Halle, ses deux grands rivaux Rafael Nadal et Novak Djokovic se disputeront le titre au Queen's de Londres. L'Espagnol a décroché sa place de finaliste en disposant d'Andy Roddick 7-5 6- 4, tandis que le Serbe a laminé David Nalbandian 6-1 6-0.
Nadal a montré qu'il était plus fort que jamais sur gazon, face à un Roddick très à l'aise sur cette surface, comme en témoignent ses quatre titres lors des cinq dernières éditions du Queen's. Avant cette édition 2008, le numéro deux mondial n'avait jamais dépassé les quarts de finale au Queen's. Pendant les 87 minutes du match, le Majorquin n'a pratiquement fait aucune erreur et a parfaitement contré la puissance du service de Roddick qui n'a été crédité «que» de 14 aces.
De son côté, Novak Djokovic a impressionné en ne laissant qu'un jeu à Nalbandian. Le numéro trois mondial n'a passé que 47 minutes sur le court. A 21 ans, il disputera la première finale de sa carrière sur gazon.
Nadal et Djokovic se sont affrontés à onze reprises sur le circuit. L'Espagnol mène 8-3 dans les duels, sa dernière victoire face à son cadet remontant à la demi-finale de Roland-Garros il y a une semaine.

EN SETS
Halle (All). Tournoi ATP (713 000 euros/gazon). Demi-finales: Federer (S/1) bat Kiefer (All) 6-1 6-4. Kohlschreiber (All) bat Blake (EU/2) 6-3 7-5.
Londres. Queen's. Tournoi ATP (713 000 euros/gazon). Demi-finales: Nadal (Esp/1) bat Roddick (EU/3) 7-5 6-4. Djokovic (Ser/2) bat Nalbandian (Arg/4) 6-1 6-0.
Varsovie (Pol). Tournoi ATP (425 000 euros/terre battue). Demi-finales: Davydenko (Rus/1) bat Fognini (It) 6-2 6-3. Robredo (Esp/2) bat Monaco (Arg/3) 6-4 6-4.
Birmingham (GB). Tournoi WTA (200 000 dollars/gazon). Demi-finales: Bondarenko (Ukr/12) bat Erakovic (NZ) 6-3 6-2. Wickmayer (Be) bat Mattek (EU) 7-5 7-6 (7/2).
Barcelone. Tournoi WTA (145 000 dollars/terre battue). Demi-finales: Kirilenko (Rus/2) bat Cohen-Aloro (Fr) 7-5 6-3. Martinez (Esp) bat Llagostera (Esp) 2-6 6-3 6- 1.
Lenzerheide. Tournoi ITF (10 000 dollars/terre battue). Demi- finales: Gerards (PB/WTA 291) bat Steiert (All/WTA 630) 7-5 6-2. Boczova (Slq/WTA 618) bat Meddens (PB/WTA 736) 3-6 6-2 6-1. Finale: Gerards - Boczova. Double. Finale: Gerards (PB)/Meddens (PB) battent Balducci/Sabino (It) 6-0 6-3.

Norton
15/06/2008, 05h58
EURO 2008
Domenech: "Il reste une chance infime"

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/domenech_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/domenech_zoom.jpg)
Image © Keystone
Raymond Domenech veut que son équipe relève la tête face à l'Italie.Le sélectionneur de l'équipe de France, Raymond Domenech, a estimé samedi qu'il restait "une chance infime" aux Bleus de se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro-2008, avec un "match exceptionnel" contre l'Italie, mardi à Zurich.

- le 14 juin 2008, 15h11
Le Matin Online & les agences



Pour se qualifier, il faudrait que la France l'emporte et que, dans le même temps, la Roumanie ne gagne pas contre les Pays-Bas.
Q: Avez-vous commis des erreurs dans vos choix d'entraîneur?
R: "Evidemment, quand on perd 4-1 (face aux Pays-Bas, vendredi soir à Berne, ndlr), on se dit que tout ce qu'on a fait n'a pas été parfait. Mais au moment où je fais les choix, je pense que ce sont les meilleurs. J'assume ces choix. Un match, ce sont les joueurs qui le font. Ce qui se passe ne s'efface pas."
Q: Certains joueurs vous ont-ils déçu?
R: "Je ne suis pas dans ce registre-là. Ce n'est pas onze joueurs, avec des coupables et des gens biens. Ce sont 23 joueurs qui vont passer ou s'arrêter, tous ensemble."
Q: Vous avez des "wagons d'occasions", selon votre expression, mais ça ne rentre pas...
R: "Il y a un peu de maladresse, c'est récurrent chez nous. On a du mal à enfoncer le clou quand on est bien."
Q: Comment ça va se passer dans les têtes pour le match contre l'Italie?
R: "Celui qui n'a pas envie de faire ce match contre l'Italie, même après avoir pris une rouste, il n'a rien à faire dans ce métier. Ca va être un match exceptionnel."
Q: Un groupe se soude dans la victoire et se délie dans la défaite...
R: "La force des groupes solides, c'est dans la défaite. Ceux qui se regardent le nombril, ils tuent le groupe. Ca peut exister. Je pense, je souhaite, j'espère qu'il n'y en a pas dans le groupe."
Q: Regrettez-vous la confiance accordée à des cadres vieillissants?
R: "Il n'est jamais négatif d'accorder sa confiance. On sait qu'on vieillit tous. On fait des constats. Les matches deviennent de plus en plus difficiles. Notre préparation et notre récupération n'ont pas été idéales. On ne peut aller contre, il faut faire avec (Domenech avait tenté en vain de changer le calendrier et notamment la finale de la Coupe de France, ndlr)."
Q: Gagner contre l'Italie peut ne servir à rien...
R: "Il faut sortir de notre dernier match en se disant qu'on a fait quelque chose de beau, de grand, pour que ça reste. Il faut ne pas rester sur "on en a pris quatre contre les Néerlandais"."
Q: Ce dernier match peut être utile pour une projection à long terme?
R: "Il est tout aussi décisif pour la suite à moyen et long terme."
Q: C'est l'occasion de faire jouer les jeunes?
R: "Il existe une stratégie d'avenir, pour donner du temps de jeu à d'autres joueurs. Là, ce serait aussi l'idée de sacrifier la qualification pour dire: +On joue notre va-tout pour voir si ça marche avec une jeune génération+. Je n'ai pas tranché. On verra qui sera apte pour le troisième match. La situation actuelle fait que ça ne dépend pas de nous, mais il reste une chance infime. Je ne vais pas faire des expériences, je ne sais pas ce qui va se passer après l'Italie. L'expérience, la maturité, c'est capital. Il faut un encadrement. L'intégration des jeunes, ça se gère au compte-gouttes. Ce n'est pas: +On tente et on voit ce que ça donne+. Il faut être prudent pour ne pas griller certains joueurs. Je pense aussi à la possibilité du panachage."
Q: Un joueur comme Thuram aura-t-il l'envie et les moyens physiques de jouer contre l'Italie?
R: "On fera le tour pour savoir qui sera apte physiquement et dans la tête. Il y a 11 et même 23 joueurs à qui j'ai envie de poser cette question. Il faut connaître ceux qui ont envie de se dépasser pour ce match-là, car ce sera un match unique dans leur vie."

manu94600
15/06/2008, 14h17
:D Punése il est sérieux le Raymond :boutons: adieu les BLEUS :)

Norton
15/06/2008, 17h33
Tennis: Rafael Nadal bat Novak Djokovic en finale du Queen's
dim. juin 15, 2008

LONDRES (Reuters) - Rafael Nadal a confirmé qu'il faudrait compter avec lui à Wimbledon en battant Novak Djokovic 7-6 7-5 en finale du Queen's.
À une semaine du début de Wimbledon, Nadal a ainsi remporté son premier titre sur gazon. Il est aussi devenu le premier Espagnol à remporter un tournoi sur cette surface depuis Andres Gimeno à Eastbourne en 1972.
Le quadruple vainqueur de Roland-Garros avait pourtant raté son début de match et laissé Djokovic mener 3-0 mais il a vite retrouvé les coups qui lui avaient permis de battre Andy Roddick en demi-finale.
Un smash sur la balle de match a prouvé qu'il avait suffisamment fait évoluer son jeu pour rivaliser avec Roger Federer sur sa surface de prédilection après l'avoir dominé à Roland-Garros.

Norton
15/06/2008, 17h37
Tennis: Roger Federer retrouve la victoire à Halle
dim. juin 15, 2008 4:40

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-15T154116Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-HALLE-20080615.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-15T154116Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-HALLE-20080615.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif

HALLE, Allemagne (Reuters) - Roger Federer, humilié par Rafael Nadal en finale de Roland-Garros, a retrouvé le goût de la victoire sur le gazon de Halle où il a remporté le tournoi pour la cinquième fois.
Le numéro un mondial a battu l'Allemand Philipp Kohlschreiber 6-3 6-4 et a du même coup remporté son 59e match d'affilée sur sa surface de prédilection, avant de se rendre à Wimbledon où il visera une cinquième victoire consécutive.
"J'ai joué un grand tennis toute la semaine. Je n'ai pas perdu mon service une seule fois ce que je ne crois pas avoir déjà fait dans un tournoi. Cette victoire est particulière pour moi et j'en suis très heureux", a-t-il dit.
"C'est évidemment un bon signe de gagner ici à Wimbledon, pardon, à Halle, le Wimbledon allemand", a-t-il ajouté en riant de son lapsus.

Norton
15/06/2008, 17h38
L'Audi de Kristensen-Capello-McNish remporte les 24 Heures du Mans

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/5/10/large_416080.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/6/11/art_large_416081.jpg
L'Audi R10 TDI de Tom Kristensen, Rinaldo Capello et Allan McNish a remporté dimanche la 76e édition des 24 Heures du Mans automobiles, devant les Peugeot 908 HDi-FAP de Gené-Minassian-Villeneuve et Montagny-Klien-Zonta, après avoir bouclé 381 tours depuis samedi 15h00.

L'Audi victorieuse a livré une course parfaite et ultra-réaliste. La pluie, et le talent de son trio de pilotes sur piste mouillée, lui a d'abord permis de prendre la tête de l'épreuve au petit matin, avant d'être servie par la chance à deux heures de l'arrivée lorsqu'un tête-à-queue de Kristensen n'a pas fini dans le bac à graviers.

Avec ce nouveau succès, le 3e consécutif de son prototype diesel, Audi remporte son 8e succès dans la grande course d'endurance... tout comme le Danois Kristensen qui améliore son record personnel. Au terme d'un final haletant, la constance d'Audi a été récompensée. La marque allemande, invaincue dans la Sarthe depuis 2000, n'a connu aucun souci technique et place ses trois protos dans le Top 6: les vainqueurs, mais aussi Luhr-Prémat-Rockenfeller (4e) et Biela-Pirro-Werner (6e).

Côté français, l'équipage de la N.9, Montagny-Klien-Zonta (3e), complète le podium. Quant à Lamy-Sarrazin-Wurz (5e), pourtant les plus rapides en course (3:19.394 samedi soir), ils ont connu une série de soucis et terminé loin des vainqueurs.

Norton
16/06/2008, 06h06
Sports
RSS (javascript:void(0)) Hirvonen devance Loeb

RALLYE DE TURQUIE | Mikko Hirvonen, vainqueur du rallye de Turquie, a repris au Français Sébastien Loeb la première place au championnat du monde. Le Finlandais s'est imposé avec 7,9 secondes d'avance sur son coéquipier et compatriote de l'écurie Ford Jari-Matti Latvala. Loeb a fini troisième au volant de sa Citroën.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11363152-1/113631521_resize_crop320par220.jpg Hirvonen devance Loeb avec sa Ford WRC



15 Juin 2008 |

Après huit épreuves, le Finlandais compte trois points d'avance au classement sur le Français. Ford conforte sa première place au classement du championnat du monde des constructeurs avec 99 points contre 90 à Citroën et 53 à Subaru.
«C'est fantastique mais la course a été serrée», a déclaré Hirvonen. «Mes pneus avant sont morts. J'ai eu une crevaison dans les derniers kilomètres.» Après avoir été en tête jusqu'à la deuxième journée de course, Loeb s'est fait piéger par un stratagème tactique de Ford qui a demandé à ses pilotes de ralentir pour laisser le Français ouvrir la course et jouer un rôle de «balayeur» sur les routes à gravillons.
Loeb a perdu 41 secondes dans l'affaire et son retard était trop important dimanche pour lui permettre de revenir. «J'ai fait tout ce que j'ai pu mais comme tout le monde nous avons détruit nos pneus et j'ai décidé de ralentir pour éviter une crevaison. On ne peut pas gagner tous les jours, mieux vaut une troisième place qu'un abandon», a-t-il dit.
L'Espagnol Dani Sordo, coéquipier de Loeb, a pris la quatrième place devant le Norvégien Henning Solberg (Ford) et son frère cadet Petter (Subaru).

Norton
16/06/2008, 06h08
L'équipe suisse
(javascript:void(0))Kuhn s'en va sur un succès

SUISSE-PORTUGAL | 01h07 Deux buts de Yakin permettent à l'équipe nationale de fêter sa première victoire dans une phase finale de Coupe d'Europe des nations. Historique, mais inutile.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11366546-1/113665461_resize_crop320par220.jpg EPA | REMERCIEMENTS: Hakan Yakin et Köbi Kuhn s'embrassent sur la pelouse du Parc Saint-Jacques. Après le match d'hier, les membres de l'équipe de Suisse ont déroulé une banderole en l'honneur de l'entraîneur avec lequel ils ont participé à deux phases finales de l'Euro et une Coupe du monde.BÂLE, LE 15 JUIN 2008



DANIEL VISENTINI | 16 Juin 2008 | 01h07

Ce Suisse-Portugal aurait pu, aurait dû être un éclat de lumière. Il ne se sera teinté que d'émotions froides, au début, avant que Yakin ravive bien des regrets en inscrivant les deux buts de la victoire suisse. Un succès historique puisque le premier de la Suisse en phase finale d'un Euro. C'est tellement plus beau quand c'est inutile...
Assuré de terminer en tête du groupe, le Portugal s'est donc aligné avec ses remplaçants. Seuls Ricardo, le gardien, Pepe et Ferreira avaient joué les deux premiers rencontres côté lusitanien.
Pascal Zuberbühler dans les buts

Dans le clan suisse, Kuhn avait décidé de titulariser Pascal Zuberbühler. Pour services rendus, pour une ultime 51e sélection avant sa retraite internationale. Des sifflets ont fusé des tribunes. Le grand Zubi les a fait taire sur le terrain avec quelques arrêts et un blanchissage, s'il vous plaît!
C'est donc une Suisse fidèle aux promesses de Kuhn qui a gentiment relevé la tête, histoire de quitter le tournoi sans trop rougir. Et elle y est parvenue. Avec d'abord une action d'école, Müller-Derdiyok-Yakin. Oh, bien sûr, on pourra toujours s'interroger sur la motivation des Portugais. Ou songer à cette faute de Lichtsteiner sur Nani qui valait un penalty. Aussi à ce but de Postiga annulé alors qu'il n'était pas hors jeu.
On pourra aussi sourire du penalty généreux accordé par l'arbitre pour une «faute» de Fernando Meira sur Barnetta, penalty que Yakin devait transformer sans trembler, nuançant vaguement les souvenirs douloureux d'un soir de Mondial 2006 à Cologne, contre l'Ukraine.
Mais au final, il fallait peut-être bien ça, ce petit coup de pouce pour oublier la poisse, ces adieux avec une victoire pour l'honneur. Pour ne pas se quitter fâché avec le public. Ottmar Hitzfeld, le successeur de Kuhn, aura apprécié.
Les 40 000 spectateurs du Parc Saint-Jacques aussi. Qui ont d'abord soutenu les leurs avec un brin de retenue. Avant de retrouver leur fierté bafouée par cette élimination prématurée.
Tout le stade a ditmerci à Köbi

Au coup de sifflet final, c'est donc presque une communion qui a réuni la Suisse, son public et Köbi Kuhn. Les joueurs ont alors déployé une banderole «Merci Köbi» et tout un stade a chanté ce merci.
La Suisse a donc quitté «son» Euro en pouvant garder la tête haute. En pouvant invoquer une certaine malchance et une terrible poisse. Mais elle a effectivement quitté son Euro sans avoir rempli son objectif. Hier soir à Bâle, et sans doute dans toute la Suisse, c'est ce sentiment bizarre qui a laissé tout le monde un peu souriant mais pantois quand même.
Un peu de baume sur les plaies helvétiques. C'est au moins ça...

Norton
16/06/2008, 06h09
Dernières nouvelles
(javascript:void(0))Une nouvelle victoire à l'arraché pour l'équipe de Turquie

TURQUIE - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE | 01h07 La formation de Fatih Terim a fait preuve d'extraordinaires qualités morales pour renverser une situation complètement défavorable, hier soir à Genève. Vendredi, à Vienne, elle défiera la Croatie à l'enseigne du deuxième quart de finale de l'Euro.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11366503-1/113665031_resize_crop320par220.jpg AFP | VICTOIRE: Au cours d'un final à couper le souffle, Nihat Kahveci (à dr.) a mis à deux reprises le feu dans la défense tchèque, inscrivant successivement le 2-2 et le 3-2.GENÈVE, LE 15 JUIN 2008




FRÉDÉRIC LOVIS | 16 Juin 2008 | 01h07

Extraordinaire sélection turque! C'est au forceps et au prix d'une confiance sans faille qu'elle a composté, avec les tripes et le coeur, son ticket pour la capitale autrichienne. Comme en 2000, elle rejoint les quarts de finale. Mais il faut bien admettre que cela tient du miracle.
Les hommes de Fatih Terim, menés 2-0 à l'heure de jeu suite à des réussites inscrites de Koller et de Plasil, ont réussi un véritable exploit. Celui de renverser totalement une situation quasi désespérée. Comme face à la Suisse quatre jours plus tôt, la Turquie a engrangé une victoire qui restera sans aucun doute gravée dans les annales.
Les Tchèques s'écroulent

La qualification de la sélection ottomane n'est peut-être pas tout à fait méritée. Comme à Bâle, elle s'est contentée de livrer 45 minutes (les dernières) de haut niveau, pour se retrouver propulsée parmi les huit meilleures formations du tournoi. Alors qu'elle a tenu le coup assez sereinement durant plus d'une heure de jeu, la défense tchèque s'est écroulée en fin de partie. Elle n'a pas su absorber les nombreux coups d'accélérateur des artistes venus des bords du Bosphore et a fini par plier assez inexplicablement l'échine en toute fin de partie.
C'est tout d'abord une vieille connaissance qui se mettait en évidence. Turan Arda, l'homme ayant propulsé la Suisse en enfer en inscrivant le 2-1 dans les arrêts de jeu, marquait le but de l'espoir dans la foulée du second but tchèque. Un but d'une importance considérable, car il a sonné la révolte d'une formation à nouveau chamboulée rapidement après la pause par Fatih Terim. Un homme qui a une nouvelle fois prouvé ses qualités de coaching en parvenant, avec trois changements très vite effectués, à bouleverser la face d'un match.
Reste que le pauvre Petr Cech, pourtant l'une des valeurs sûres de son équipe, s'est «troué» au plus mauvais moment. Alors qu'il ne restait qu'une poignée de minutes à jouer, il captait mal un centre visiblement anodin. Nihat, en vrai renard des surfaces, ne se faisait pas prier pour exploiter l'incroyable bévue du gardien de Chelsea.
Le Stade de Genève a ainsi vécu une superbe fin d'Euro. A l'occasion de l'ultime partie qui y était jouée, il a été le théâtre d'un de ces scénarios de match faisant la beauté du football. Une toute grande soirée, qui restera à jamais gravée dans la mémoire de beaucoup.
Turquie - République tchèque 3-2 (0-1)
Stade de Genève. 29016 spectateurs (guichets fermés). Arbitre: M. Fröjdfeldt (Su). Expulsion: Volkan (92e, voie de fait). Avertissements: 6e Topal. 10e Aurelio (suspendu). 62e Arda. 73e Asik. 80e Galasek. 93e Ujfalusi. 94e Baros (sur le banc).Buts: 34e Koller 0-1. 62e Plasil 0-2. 75e Arda 1- 2. 87e Nihat 2-2. 89e Nihat 3-2.
Turquie: Volkan; Altintop, Güngör (63e Asik), Servet, Balta; Tuncay, Aurelio, Topal (57e Kazim), Arda; Nihat, Semih (46e Sabri).
République tchèque: Cech; Grygera, Ujfalusi, Rozehnal, Jankulovski; Galasek; Sionko (84e Vlcek), Matejovski (39e Jarolim), Polak, Plasil (80e Kadlec); Koller.
Notes: 39e Matejovski sort sur blessure.

Norton
16/06/2008, 06h14
L'équipe de Hollande en goguette au Flon

CHOC | 00h37 Grosse émotion, samedi au centre-ville de Lausanne. Les Oranje ont passé la soirée dans deux établissements de la place. Le groupe ne s'est laissé approcher que très difficilement, mais, en ralliant à pied le second café, ils ont provoqué une belle hystérie.
http://www.24heures.ch/var/plain/storage/images/11365822-1/113658221_resize_crop320par220.jpg PHILIPPE MAEDER | Au pas de charge, l'équipe de Hollande traverse la place du Flon pour se rendre du Pur au Luna, où les joueurs finiront la soirée. Ceux-ci refusent quasiment tout contact, ce qui n'empêche pas des grappes de fans de les suivre.



CLAIRE JOTTERAND | 16 Juin 2008 | 00h37

«Des gens qui valent des millions et qui passent à côté de toi! Ça me choque, ça me choque!» Ardian n'en revient pas. Il rejoue la scène pour la quinzième fois au moins devant Manu, son pote, qui se prend la tête d'avoir tout manqué. «On buvait un verre, assis là tranquilles de ce côté du Flon, quand je me retrouve devant van der Sar, van Nistelrooy et tous les autres. T'imagines? Mes idoles! Peut-être les prochains champions d'Europe!»
Ardian a pu filmer la scène avec son portable. Il a eu de la chance. A l'instar de quelques dizaines de badauds, surpris par ce cortège de footballeurs en jeans-polo qui traverse la place du Flon au pas de charge, la tête baissée. Il est 23 h samedi. L'équipe de Hollande, basée au Beau-Rivage, était venue discrètement se sustenter au Pur, au coeur de Lausanne.
Arrivés en car deux heures auparavant par une rue secondaire, les 23 joueurs débarquent au restaurant branché, déjà plein à craquer mais dont une longue table restait réservée. Le repas se passera sans photos ni autographes. Personne ne doit s'approcher. L'escorte y veille fermement. «C'est notre moment privé. On aimerait être comme tout le monde», aurait confié le capitaine van der Sar au patron de l'établissement, Jean-Marc Regamey. Dehors, la poignée de groupies qui tente simplement de «faire coucou» à travers les baies est gentiment priée, en franglais, de s'éloigner: «Quiet. Laissez-les vivre! Vous comprenez?»
Idoles imperturbables

Respectueux, les ados patientent un peu plus loin. «On ne veut rien leur demander, juste les admirer», lâchent deux copines en pâmoison. Antho et ses amis, 16 ans, resteront dans les parages pendant deux bonnes heures: «On voudrait les prendre en photo ou même, si possible, leur faire signer notre T-shirt. Ils jouent tellement bien!» Pendant ce temps, les idoles, imperturbables, dégustent filets d'agneau, crevettes géantes et tournedos avec beaucoup d'eau, et à peine deux ou trois bouteilles de vin. Pas de régime et permission de 1 h du mat'. C'est fête. L'équipe a brillé, la veille, face à la France. Et le match suivant, sans enjeu, n'est pas avant trois jours, contre la Roumanie.
En fin de repas, les convives aux pieds en or se lèvent. Direction le Luna, de l'autre côté du Flon. Les hommes de la sécurité ne peuvent pas interdire l'approche, mais ils la découragent fortement. Les dizaines de badauds forment vite un cortège frénétique derrière l'équipe, qui refuse presque tout contact. Un autographe est signé à la volée.
En tentant d'immortaliser la scène, notre photographe se fait empoigner. Il est contraint de s'éloigner. De mon côté, en courant au rythme des foulées de géants, je n'ai pu arracher de Van der Sar qu'un «no comment poli, une petite tape d'excuse sur l'épaule et, finalement, une phrase appuyée d'un regard cordial mais pressé: «L'accueil à Lausanne est très chaleureux, vraiment. C'est sincère. On arrive bien à se relaxer. C'est important si on veut rester encore deux semaines!» Une main de fer m'éloigne prestement du gardien.
L'équipe s'engouffre dans le bar par une porte dérobée. Laissant des groupies sous le choc, bredouilles mais compréhensifs: «J'ai pu le toucher!» s'extasie un fan.
Respect admiratif

Au Luna, bondé, les supporters restent dans le respect admiratif. Les joueurs dansent un peu, boivent raisonnablement et traversent tout l'établissement pour se rendre aux toilettes, sans être harcelés. Ryan Babel, dont la femme est Française, explique au patron combien l'équipe apprécie de pouvoir se fondre dans la population: «En Angleterre et en Hollande, c'est impossible!» Une heure, le car orange vient cueillir ses joueurs. Laissant les clients du Luna sous le charme. «S'il avait signé mon bras, je ne me serais plus jamais lavé de ma vie!
:amoureux:sympa...............

Norton
16/06/2008, 06h26
Autriche-Allemagne: 10-5

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/7/2/large_416252.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/8/3/art_large_416253.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/6/1/art_large_416251.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/4/14/art_large_416249.jpg
Autriche 10-Allemagne 5, mais il s'agit seulement de... "Sexy Soccer", un match de beach-football remporté dimanche à Vienne par des Autrichiennes "revêtues" seulement d'un string et de peinture aux couleurs nationales, rouge-blanc-rouge.

"On a montré aux garçons que c'est possible", a déclaré la capitaine de l'équipe autrichienne, Renée "Pornero", faisant ainsi allusion au "miracle de Cordoba", la victoire historique (3-2) de l'Autriche sur l'Allemagne au Mondial 1978 en Argentine, que les Autrichiens rêvent de rééditer lundi à Vienne à l'Euro-2008 (Gr.B).

Une victoire de l'équipe du pays coorganisateur, avec la Suisse, de l'Euro-2008 est la condition sine qua non d'une qualification et provoquerait automatiquement l'élimination des favoris allemands, qui ont terminé 3es du Mondial 2006, sur leurs terres.
:amoureux:

Norton
16/06/2008, 06h27
:content:
Nadal gagne une finale serrée contre Djokovic

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/8/8/large_416168.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/6/6/art_large_416166.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/5/5/art_large_416165.jpg
L'Espagnol Rafael Nadal, tête de série numéro 1, a remporté dimanche le tournoi ATP du Queen's en venant à bout en finale du Serbe Novak Djokovic, tête de série numéro 2, en deux sets serrés, 7-6 (8/6), 7-5.
Une semaine seulement après avoir remporté Roland-Garros pour la quatrième fois, l'Espagnol a réussi la transition entre terre battue et gazon.

Il avait remporté 8 des 11 confrontations préalables avec Djokovic, dont une demi-finale à sens unique à Roland-Garros. Mais à Londres il avait peiné en quarts et en demies, alors que Djokovic balayait Lleyton Hewitt, vainqueur du tournoi en 2006, puis David Nalbandian, ancien finaliste, en ne perdant que 5 jeux en deux matches.
Confiant, le Serbe démarrait le match sur les chapeaux de roues, décidé à agresser Nadal avec son coup droit. Cette stratégie lui permettait de réaliser un break sur la première mise en jeu de Nadal, puis de s'offrir une balle de break pour avoir l'occasion de mener 4 jeux à rien.

Incapable de transformer l'occasion, le Serbe remettait Nadal en selle, et dissipait par la suite l'avantage du break. Il disposa d'une autre chance d'empocher le set en servant à 6-5 dans le jeu décisif, mais glissa en fond de court après un échange musclé, avant de perdre les derniers points du set.

Après ce coup au moral du Serbe, Nadal breaka dès le deuxième jeu du deuxième set. Pas disposé à rendre les armes, Djokovic revint dans le match et s'offrit même une chance de servir pour le set à 5-4. La chance passa encore. Sur la balle de match, une amortie trop longue du Serbe le mit en difficulté, offrant à Nadal l'occasion de conclure d'un smash.

Nadal est le premier Espagnol à gagner sur cette surface depuis Andreas Gimeno en 1972. Ce faisant, il envoie un message à Roger Federer, son grand rival qu'il pourrait retrouver en finale de Wimbledon le 6 juillet. Quelques minutes avant la victoire de Nadal, le Suisse venait en effet de réussir son tour de chauffe sur herbe en remportant le tournoi de Halle, en Allemagne, sans perdre un set, ni même son service.

manu94600
16/06/2008, 10h13
Oh, bien sûr, on pourra toujours s'interroger sur la motivation des Portugais. Ou songer à cette faute de Lichtsteiner sur Nani qui valait un penalty. Aussi à ce but de Postiga annulé alors qu'il n'était pas hors jeu.
On pourra aussi sourire du penalty généreux accordé par l'arbitre pour une «faute» de Fernando Meira sur Barnetta, penalty que Yakin devait transformer sans trembler, nuançant vaguement les souvenirs douloureux d'un soir de Mondial 2006 à Cologne, contre l'Ukraine.
Mais au final, il fallait peut-être bien ça, ce petit coup de pouce pour oublier la poisse, ces adieux avec une victoire pour l'honneur. Pour ne pas se quitter fâché avec le public. Ottmar Hitzfeld, le successeur de Kuhn, aura apprécié.
Les 40 000 spectateurs du Parc Saint-Jacques aussi. Qui ont d'abord soutenu les leurs avec un brin de retenue. Avant de retrouver leur fierté bafouée par cette élimination prématurée.
Tout le stade a ditmerci à Köbi


Il été pas très clair ce match :non: est ce que la Suisse a offert du chocolats aux arbitres :)

GéantVert
16/06/2008, 10h33
Et Trezeguet dans tout çà (http://fr.youtube.com/watch?v=eTjMHw-irSw)

manu94600
16/06/2008, 10h36
Et Trezeguet dans tout çà (http://fr.youtube.com/watch?v=eTjMHw-irSw)

Il avait qu'a pas essayer de se faire la meuf a Domenech :D (Estelle Denis) en même qui n'aurait pas essayé :)

Norton
16/06/2008, 16h49
Il été pas très clair ce match :non: est ce que la Suisse a offert du chocolats aux arbitres :)

:non::non:C'est nous qui sommes chocolat.........
Cette victoire compte pour beurre.............:diable::D

Norton
16/06/2008, 16h51
Löw: "Aller au bout de nos limites"

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/14/7/large_416752.jpg Le sélectionneur allemand, Joachim Löw, a assuré que son équipe avait "digéré" la défaite contre la Croatie (2-1) avant le match décisif contre l'Autriche lundi, pour lequel elle devra aller "jusqu'au bout de ses limites" si elle veut se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro 2008 (Gr.B).

Le premier match contre la Pologne a été satisfaisant, le deuxième
face à la Croatie, un accident. Comment abordez-vous cette troisième
rencontre?
"Une chose est sûre: l'équipe montrera demain (lundi) un tout autre
visage que contre la Croatie. Trente millions de supporters vont nous
regarder, vont placer leurs espoirs en nous. Nous avons le devoir de ne pas décevoir toute une nation. Nous avons digéré la défaite contre la Croatie. Nous allons aborder ce match avec une très grande énergie et avec confiance. Mais nous allons devoir aller jusqu'au bout de nos limites car l'Autriche a joué jusqu'ici avec beaucoup de passion. Et nous n'allons pas sous-estimer cette équipe."
Que pensez-vous de la référence à Cordoba (ville d'Argentine où
l'Autriche avait battu l'Allemagne 3-2 au Mondial-1978, ndlr)?
"Beaucoup de mes joueurs n'étaient pas nés à cette époque! Bien
sûr, on en parle, mais la situation actuelle n'est en rien comparable avec Cordoba. Et l'Autriche est autant sous pression que nous. Nous sommes suffisamment courageux pour aborder ce match et assumer la pression."
Le respect de l'Autriche pour l'Allemagne est très grand. Qu'en
est-il du respect de l'Allemagne pour l'Autriche?
"Nous avons vu leurs matches et nous avons constaté leur énorme
engagement. Ils ont eu de nombreuses occasions. Ils sont hôtes de la
compétition et se sont améliorés ces derniers mois. Nous sommes donc conscients de leurs qualités."

Norton
16/06/2008, 16h56
http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-16T072548Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-FOOTBALL-EURO-POLOGNE-CROATIE-20080616.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-16T072548Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-FOOTBALL-EURO-POLOGNE-CROATIE-20080616.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif

Par Zoran Milosavljevic
BAD TATZMANNSDORF, Autriche (Reuters) - La Pologne a besoin d'une victoire contre la Croatie lundi, même si ce ne sera peut-être que pour sauver l'honneur, a déclaré le défenseur Michal Zewlakow.
"Nous avons déçu nos supporters jusqu'ici alors qu'ils ont été notre force motrice, alors nous devons tout faire pour leur donner quelque chose à célébrer", a déclaré Zewlakow lors d'un point presse.
"S'il n'y a qu'une chance sur un million de se qualifier pour les quarts, il faudra se battre jusqu'au bout pour saisir cette chance."
Pour avoir une chance de se qualifier, la Pologne doit gagner par deux buts d'écart à Klagenfurt et espérer que l'Autriche batte l'Allemagne par un seul but à Vienne .
La Croatie est déjà assurée de terminer à la première place du groupe B mais Zewlakow ne s'attend à aucune faveur.
"Nous savons qu'ils seront détendus et qu'ils commenceront le match avec des joueurs remplaçants qui auront envie de prouver leur valeur et impressionner leur entraîneur", a estimé le défenseur.
"Ils sont sur une bonne lancée alors que l'ambiance dans notre camp a flanché après notre défaite 2-0 contre l'Allemagne. Il est temps de retrouver le moral."
Le sélectionneur Leo Beenhakker qui avait jugé la qualification perdue après le nul 1-1 contre l'Autriche a changé d'avis.
"Nous croyons toujours qu'il est possible d'atteindre les quarts et nous sommes totalement concentrés sur cet objectif", a-t-il dit.
"Naturellement, nous alignerons une équipe offensive contre la Croatie car nous avons besoin de marquer des buts."
Tandis que Beenhakker devrait opter pour un système en 4-3-3, son homologue croate Slaven Bilic devrait laisser plusieurs joueurs au repos.
"Ce serait de la folie de faire entrer des joueurs qui sont sous la menace d'un carton et nous avons également des joueurs blessés ou touchés qui ont besoin de repos", a dit Bilic.
"Nous jouerons avec beaucoup de fierté, comme face à l'Angleterre à Wembley, et nous avons la volonté d'aligner une équipe forte pour continuer sur notre série de victoires."
Les Croates étaient déjà qualifiés pour l'Euro 2008 quand ils ont éliminé l'Angleterre en la battant 3-2 en novembre.
Zoran Milosavljevic, version française Diane Falconer, édité par Jean-Paul Couret

Pasky
16/06/2008, 17h05
Le sélectionneur allemand, Joachim Löw, a assuré que son équipe avait "digéré" la défaite contre la Croatie (2-1) avant le match décisif contre l'Autriche lundi, pour lequel elle devra aller "jusqu'au bout de ses limites"

Pour l'équipe de France c'est fait :D

Norton
16/06/2008, 17h08
Le sélectionneur allemand, Joachim Löw, a assuré que son équipe avait "digéré" la défaite contre la Croatie (2-1) avant le match décisif contre l'Autriche lundi, pour lequel elle devra aller "jusqu'au bout de ses limites"

Pour l'équipe de France c'est fait :D:DAffaire à suivre..........

manu94600
16/06/2008, 17h59
:non::non:C'est nous qui sommes chocolat.........
Cette victoire compte pour beurre.............:diable::D

:mdr:

Norton
17/06/2008, 05h35
Ballack délivre la Mannschaft

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/15/9/large_417144.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/4/2/art_large_417167.jpg Michael Ballack peut exulter. Son coup de génie a permis à son équipe d'emporter une victoire étriquée, mais capitale.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/9/7/art_large_417172.jpg Les Autrichiens s'en vont avec les honneurs et peuvent se vanter d'avoir fait douté l'Allemagne.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/7/5/art_large_417170.jpg Andreas Ivanschitz salue les supporters autrichiens.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/6/4/art_large_417169.jpg L'arbitre espagnol, M. Gonzalez, lassé des protestations incessantes des deux entraîneurs, a renvoyé Löw et Hickersberger dans la tribune officielle.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/5/3/art_large_417168.jpg Ballack a décoché une frappe surpuissante qui n'a laissé aucune chance au portier autrichien.

L'Allemagne s'est contentée du service minimum contre l'Autriche, l'ennemi juré. La Mannschaft a remporté une courte victoire (1-0) grâce à une frappe stratosphérique de Michael Ballack peu après le repos. L'équipe entraînée par Joachim Löw décroche ainsi son ticket pour les quarts de finale du championnat d'Europe. Elle devra toutefois élever son niveau de jeu si elle veut espérer inquiéter le Portugal de Cristiano Ronaldo.

Face à son meilleur ennemi, l'Allemagne jouait très gros ce soir dans l'antre d'Ernst-Happel à Vienne. L'Autriche, quant à elle, rêvait de réitérer l'exploit de Cordoba, où elle était parvenue à sortir la Mannschaft de la Coupe du Monde 1978 en Argentine. Une victoire phare dans l'histoire du football autrichien, une honte pour l'équipe germanique.

La première mi-temps des Allemands était à l'image de leurs deux premiers matchs: un jeu assez inconstant émaillé d'une myriade d'imprécisons. Malgré quelques belles phases de jeu, la Mannschaft décevait globalement. Gomez aurait néanmoins pu et dû donner l'avance à son équipe en début de rencontre. L'attaquant allemand ratait l'immanquable après un travail splendide de Klose.

L'Autriche, de son côté, laissait une meilleure impression que lors de ses deux premières apparitions. S'appuyant sur une bonne organisation, elle ne s'octroyait toutefois que peu d'opportunités réelles. Les deux équipes regagnèrent le vestiaire sur un score vierge.

En début de seconde mi-temps, Lahm s'élançait dans une percée offensive axiale dont il a le secret. Ivanschitz stoppait l'arrière gauche du Bayern fautivement. Ballack prenait ses responsabilités... et envoyait une frappe surpuissante dans le plafond du but de Macho, impuissant devant la violence du tir du milieu de terrain de Chelsea. Ballack délivrait la Mannschaft.

Courageusement, l'Autriche tentait de réagir, mais le dernier geste faisait défaut. Lehmann n'était plus mis en difficulté. L'Allemagne, quant à elle, oubliait de tuer le match en contre. Les hommes de Joachim Löw n'avaient guère convaincu les observateurs ce soir. L'Autriche quitte "son" Euro la tête haute, et peut se targuer d'avoir titillé l'équipe allemande, qui, sans réellement bien jouer, remporte deux de ses trois premières rencontres. Sera-ce suffisant pour ennuyer la solide équipe du Portugal? On en doute, mais le réveil pourrait sonner à tout moment pour les partenaires de Michael Ballack. Et l'Allemagne n'est jamais aussi redoutable que quand on ne l'attend pas...

Michaël Bouche

Sondage (homme du match)

Les internautes ont plébiscité Michael Ballack (62%), l'auteur du but, comme homme du match. Notre choix se porte plutôt sur l'arrière gauche de la Mannschaft, Lahm. Irréprochable en zone défensive, le défenseur du Bayern est également à la base du but de Ballack.

Norton
17/06/2008, 05h37
Troisième victoire pour la Croatie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/9/9/large_417189.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/11/11/art_large_417191.jpg
La Pologne, ballottée par l'équipe B de la Croatie (0-1), lundi à Klagenfurt (groupe B), n'a jamais été en position de se qualifier pour les quarts de finale d'un Euro 2008 qu'elle quitte sans avoir montré grand-chose.

La Croatie, elle, a reposé ses titulaires en vue de son quart contre la Turquie, vendredi à Vienne, et adressé un message clair: elle figure parmi les favoris. Ivan Klasnic, le premier joueur transplanté d'un rein à avoir joué un Euro, est aussi devenu le premier à y marquer un but (53), une frappe croisée qui n'a laissé aucune chance à Artur Boruc.

Alors que la Pologne devait absolument gagner, et largement, pour espérer poursuivre son premier Euro, alors qu'elle devait logiquement dominer, elle a subi le jeu suave des Croates, qui l'ont privée de ballons durant presque tout le match, sauf les 20 dernières minutes, celle du baroud d'honneur.

Que malgré neuf changements dans l'équipe de départ le collectif croate soit resté si impeccable en dit long sur le potentiel de l'équipe de Slaven Bilic... Plus gênant encore pour les Polonais, leur meilleur joueur fut Boruc, le gardien, qui a sauvé a plusieurs reprises son équipe, devant Danijel Pranjic (14, 35) ou Klasnic (33, 46).

Les Polonais n'ont pas manqué de courage, mais de ballons. Signe de leur hargne, ils ont à trois reprises continué à jouer alors qu'un Croate restait blessé à terre, sous les sifflets des tribunes à carreaux rouges et blancs.

Le meneur Roger Guerreiro, si inspiré contre l'Autriche (1-1, but du Brésilo-Polonais), a été bien tenu par Hrvoje Vejic (un peu trop tenu, parfois...), et n'a pas pu diriger le jeu. Il s'est retrouvé une seule fois en position de marquer mais a trop croisé sa frappe (64).

Seul en pointe, Marek Saganowski a livré un dur combat à la charnière croate, Vejic/Knezevic (puis Corluka), ainsi qu'à l'arbitre grec Kyros Vassaras, pointilleux à son égard. Il n'a décroché qu'une action, une tête bloquée par Vedran Runje (68). Tomasz Zahorski en a eu une dernière, mais le gardien était encore là (88). C'était bien trop peu.

Norton
17/06/2008, 05h40
mont-pèlerin
L'excès de sécurité des Bleus a tué l'esprit de fête de l'Euro

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/mont_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/mont_zoom.jpg)
Image © DR
Les Bleus se cachent derrière les interdictions au Mont-Pèlerin et à Châtel-Saint-DenisA force d'en faire trop, l'équipe de France a perdu bien des fans dans la région

Dominique Botti - le 16 juin 2008
Le Matin Bleu



Les Tricolores jouent leur dernière carte, ce soir contre les Italiens. Une défaite signifierait leur retour à la maison. Et, surtout, le retour au calme pour certains habitants du Mont-Pèlerin.

«J'aime les Français. Leur présence fait du bien à la région. Mais trop, c'est trop», s'énerve André Dupraz. Après dix jours d'Euro, l'épicier du village se plaint des mesures sécuritaires prises pour assurer la tranquillité de l'équipe.
Leur hôtel, le Mirador Kempinski, est transformé en «bunker». Les agents de sécurité privée y pullulent. Et les panneaux d'interdiction y fleurissent. Des policiers vaudois et fribourgeois complètent le dispositif à l'extérieur, lors de la sortie du car des Bleus. Les contrôles d'identité, les restrictions d'accès au village exaspèrent. «Au début, les enfants ne pouvaient plus accéder à une aire de jeu publique à l'entrée de l'hôtel», ajoute l'épicier.
A quelques kilomètres de là, à côté du terrain d'entraînement des Français à Châtel-Saint-Denis (FR), la population pensait aussi que l'Eurofoot était une fête. «J'en ai marre», se plaint Jean Genoud. Cet agriculteur a le malheur d'avoir ses champs à côté du stade. Certains, qui offrent une vue imprenable, sont interdits d'accès pour les préserver des paparazzi lors des séances à huis clos. «Le premier jour d'entraînement, j'ai cru que nous étions en guerre», conclut Jean Genoud. Et maintenant, ce qu'il veut, c'est la paix.

Norton
17/06/2008, 05h52
Blessé à la cuisse, Vieira ne pourra pas jouer contre l'Italie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/8/13/large_417103.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/11/1/art_large_417106.jpg Le capitaine de l'équipe de France, Patrick Vieira, blessé à la cuisse gauche, a indiqué ce lundi qu'il ne pourrait pas jouer le match contre l'Italie de l'Euro 2008 (Groupe C), mardi, à Zurich.

"J'arrive à m'entraîner mais j'ai toujours cette douleur qui m'empêche d'accélérer, de frapper dans le ballon, ça me fout les boules, je ne sais pas où j'en suis, je ne sais pas quand je pourrai rejouer (dans ce tournoi si la France continue, ndlr)", a expliqué le milieu de terrain devant la presse à la veille du match contre l'Italie.

Interrogé sur d'éventuelles erreurs de diagnostic ou de soins, Vieira, 31 ans et 105 sélections, a indiqué qu'il ne voulait "pas rentrer là dedans pour l'instant", ajoutant "qu'on y viendra sans doute un jour", évoquant juste des "incohérences" sur sa blessure, sans vouloir en dire plus.

Sa déchirure musculaire à la cuisse est survenue le 30 mai, à l'entraînement du deuxième match de préparation des Français, à Toulouse. Vieira n'a pas joué depuis. Il était finalement resté dans les 23, alors que Mathieu Flamini, rappelé comme 24e homme par précaution, a été renvoyé en France le jour où les Bleus ont donné leur liste officielle des 23, le 9 juin, jour de leur premier match contre la Roumanie.

La saison du "Long", son surnom, avait été polluée par les blessures, avant qu'il ne finisse l'exercice correctement avec l'Inter Milan, après seulement 16 matches du Calcio.

Belledenuit
17/06/2008, 08h55
Ahhhhhhhhhhhh ce soir ça va être le soir de tous les soirs !!!!!!
Préparez assez de bières, du pop corn en suffisance et prévoyez des palettes de mouchoirs pour certains:D:D:D:D

Les "zappettent" vont voir du pays et les mirettes aussi..............Vu la météo, ça va au moins chauffer dans les chaumières:yes::yes::yes:

Bon matchs à tous pour ce soir:amoureux::amoureux::amoureux:et que les meilleurs gagnent................

Norton
17/06/2008, 12h10
Ahhhhhhhhhhhh ce soir ça va être le soir de tous les soirs !!!!!!
Préparez assez de bières, du pop corn en suffisance et prévoyez des palettes de mouchoirs pour certains:D:D:D:D

Les "zappettent" vont voir du pays et les mirettes aussi..............Vu la météo, ça va au moins chauffer dans les chaumières:yes::yes::yes:

Bon matchs à tous pour ce soir:amoureux::amoureux::amoureux:et que les meilleurs gagnent................

Va masser...............:amoureux::D:content::content ::content:

Norton
17/06/2008, 21h58
:yes:Buona sera!

manu94600
17/06/2008, 22h04
:yes:Buona sera!
:non: Buona notte en italien:)

Norton
17/06/2008, 22h05
:diable:et si les Suisses sont chocolat la france et dans quoi?:D

éliminée dans le même tour OK:bad:

Norton
17/06/2008, 22h08
L'Italie se qualifie pour les quarts!

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/5/9/large_418494.jpg
Buffon, le capitaine de la Squadra Azzura, a joué un rôle prépondérant dans la qualification de l'Italie pour les quarts de finale.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/0/2/art_large_418472.jpg Pirlo n'a pas manqué l'occasion d'ouvrir la marque sur penalty.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/3/5/art_large_418475.jpg Autre tournant du match: Abidal a accrocha fautivement Toni dans le rectangle. Le défenseur du Barça rejoigna les vestiaires à la 23e minute et offrit un penalty aux Italiens.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/2/4/art_large_418474.jpg La sortie sur blessure de Franck Ribéry a laissé un grand vide chez les Bleus.

7S7 mise à jour Dans ce groupe C, dit de la "mort", c'est finalement l'Italie qui accompagnera les Pays-Bas vers les quarts de finale de l'Euro. Les Italiens affronteront l'Espagne dimanche prochain.

Dans ce choc sous haute tension, mettant aux prises le champion du monde et son dauphin, les Bleus auront vécu un véritable calvaire. En moins d'une demi-heure, les hommes de Raymond Domenech furent réduits à dix unités (exclusion d'Abidal qui a provoqué un penalty transformé par Pirlo), menés à la marque et privés de Ribéry suite à un duel ave Zambrotta.

Pour couronner le tout, le second but de la "Nazionale" fut inscrit par Henry, déviant malencontreusement un coup franc tiré par De Rossi.

Une victoire qui n'enlève cependant rien au mérite de la Squadra Azzura qui a retrouvé un bon niveau de jeu, une bonne organisation défensive et décroche logiquement son billet pour le second tour.

Entrée en matière délicate pour la France
La France fut rapidement et sérieusement bousculée dans la première demi-heure de jeu. Si Toni et Panucci auraient pu rapidement ouvrir la marque pour la Squadra Azzura, la plus mauvaise nouvelle pour les Bleus fut la perte sur blessure de Franck Ribéry. Après un contact musclé mais anodin avec Zambrotta, le stratège français s'écroula sur la pelouse en tenant sa jambe gauche. Il ne fallut qu'une poignée de secondes pour que Ribéry n'exige son changement.

Groggys, les Bleus ne trouvèrent jamais les ressources mentales et physiques pour se remettre de ce traumatisme. Pire encore, à la 23e minute, Abidal sècha littérallement Toni dans le rectangle. M. Lubos, l'arbitre de la partie, n'hésita pas à renvoyer le défenseur du FC Barcelone aux vestiaires et à accorder un penalty logique à Pirlo. Le Milanais ne laissa pas passer l'aubaine (0-1).

Toni est-il maudit?
En supériorité numérique, mieux en jambes que son homologue français mais surtout avec un ascendant moral important sur son adversaire, la Squadra Azzura essaya de tuer la rencontre le plus rapidement possible. Toni, à la fois en manque d'adresse et de chance depuis l'ouverture de l'Euro, loupa encore trois grosses occasions avant la pause. Auteur de 36 buts en 42 matchs avec le Bayern de Munich cette saison, l'attaquant italien n'a pas encore trouvé ses marques même si sa force athlétique pèse toujours sur les défenses adverses.

Une seconde période de piètre qualité
Par la suite, le niveau d'intensité des deux équipes a nettement baissé d'un cran. D'un côté, des Français, impuissants, cherchant à revenir au score. De l'autre, une équipe italienne bourrée d'expérience et de maîtrise collective. Résultats des courses: très peu d'occasions franches et une qualité collective revue à la baisse.

L'Italie fit le break à l'heure de jeu. Un coup franc tiré par De Rossi fut détourné dans son propre but par Henry. Une sale soirée pour les Bleus qui clôturent un Euro très décevant (un seul point au compteur, un but marqué et six encaissés).

Quant à l'Italie, véritable compétiteur, sa qualification est totalement méritée. Reste désormais à savoir comment les champions du monde vont combler les absences de Pirlo et de Gattuso (suspendus) lors du prochain quart de finale qui l'opposera à l'Espagne. D'ici là, la Squadra Azzura peut dignement savourer ce succès !

Christophe Da Silva Costa

Norton
17/06/2008, 22h11
:diable:
La Roumanie sombre face aux Pays-Bas B

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/11/0/large_418500.jpg Seule équipe à être maître de son destin dans ce groupe de la "mort" - avec les Pays-Bas déjà qualifés -, la Roumanie n'a jamais fait illusion face aux Battaves, pourtant fortement démobilisés. L'équipe de Piturca s'est inclinée 2 buts à 0 et n'a jamais été en mesure d'inquiéter les hommes de Marco Van Basten. Cette victoire néerlandaise élimine la Roumanie et qualifie l'Italie, vainqueur de la France sur le même score.

Déjà qualifiés et assurés de terminer premier de leur groupe, les Pays-Bas n'avaient plus rien à gagner dans ce duel. Si ce n'est remettre dans le parcours la France ou l'Italie. La Roumanie, quant à elle, était maître de son destin. Une victoire lui permettrait d'accéder aux quarts de finale. Un exploit qui semblait à la portée des hommes de Piturca vu l'effectif remanié de Van Basten, qui avait laissé au repos des titulaires comme Kuyt, Van Nistelrooj ou Sneijder.

Bien joué dans le fait que la Hollande n'allait pas jouer le........ Soit dit:content::content::content:

Norton
17/06/2008, 22h24
Euro: la France disparaît dès le premier tour
mar. juin 17, 2008 9:48

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-06-17T204727Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-ITALIE-20080617.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-06-17T204727Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-FOOTBALL-EURO-FRANCE-ITALIE-20080617.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif



par Bertrand Boucey
ZURICH (Reuters) - La France a disparu de l'Euro mardi dès le premier tour, incapable de survivre à la blessure de Franck Ribéry, l'expulsion d'Eric Abidal et un penalty d'Andrea Pirlo dans la première demi-heure d'un match décisif remporté 2-0 par l'Italie.
Avec un maigre point en trois matches et une dernière place dans le groupe C, les Bleus rentrent prématurément "à la maison", comme l'ont chanté en français les supporters italiens après le but de Daniele De Rossi scellant le sort des Français en deuxième mi-temps.
La victoire simultanée des Pays-Bas sur la Roumanie propulse in extremis l'Italie en quart de finale, où elle affrontera l'Espagne dimanche à Vienne.
Pour cette rencontre décisive face à l'Italie, Raymond Domenech a choisi la révolution. Non seulement il a rappelé Karim Benzema en attaque mais il a écarté Lilian Thuram et Willy Sagnol en défense et Florent Malouda au milieu de terrain.
Le sélectionneur est contraint à des changements encore plus profonds dès la huitième minute lorsque Franck Ribéry se blesse dans un contact avec Gianluca Zambrotta et doit laisser sa place à Samir Nasri.
LUCA TONI GÂCHE
Les changements se transforment en désorganisation quand Eric Abidal est expulsé pour une faute sur Luca Toni dans la surface. Pirlo transforme le penalty, la France est menée 1-0 et doit alors marquer deux buts à 10 contre 11 pour croire en l'exploit (25e).
Nasri ressort, Jean-Alain Boumsong entre et le temps que la France retrouve ses esprits et un semblant de stratégie, Toni manque de tuer le maigre suspense restant avec trois frappes de peu à côté en deux minutes. L'attaquant italien avait déjà failli à sa réputation de tueur dès la quatrième minute en ratant le cadre du but, seul face à Grégory Coupet.
Incapables d'approcher efficacement de la surface adverse, hormis sur une frappe trop croisée de Henry (34e), les Bleus ne rentrent aux vestiaires qu'avec un seul but de retard, soulagés de voir un coup-franc de Fabio Grosso heurter le poteau juste avant la pause.
L'Italie se laisse volontiers dominer en début de deuxième mi-temps.
Benzema place bien une puissante reprise de volée au-dessus du but de Gianluigi Buffon (50e) puis Henry écrase trop une frappe en pivot (52e). La France reste toutefois impuissante et subit encore un coup du sort à l'heure de jeu, quand un coup-franc lointain de De Rossi détourné par Henry trompe Coupet.
Benzema tente une dernière fois de sauver l'honneur à un quart d'heure de la fin du match, d'une frappe enroulée détournée du bout des doigts par Buffon.
Deux ans après la finale de la Coupe du monde 2006, l'Italie a encore brisé tous les espoirs français.
Bertrand Boucey

webamanu
17/06/2008, 22h27
http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/images/clear.gif
http://today.reuters.com/images/clear.gif
Deux ans après la finale de la Coupe du monde 2006, l'Italie a encore brisé tous les espoirs français.

C'est vrai, mais la grosse différence c'est que cette fois les italiens ont gagné a la régulière. :)

Norton
17/06/2008, 22h45
C'est vrai, mais la grosse différence c'est que cette fois les italiens ont gagné a la régulière. :)

Merci
ceci dit cite moi une équipe qui n'à pa eu de chance?

La main de dieu.......................:diable::D
Chance entre ()

bien de reconnaître un jour que la France va pas être championne du monde tout les 2 ans (Mundial-Europe)
Pas rêver les gars.....................;)

Mais restons sport, va se battre pour le prochain MUNDIAL:bad:

Bonne a la prochaine

Norton
18/06/2008, 06h04
GROUPE C-PAYS-BAS - ROUMANIE 2-0
Les «Oranje» ont joué le jeu!

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/holl__article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/holl__zoom.jpg)
Image © Keystone
Van Persie signe le 2-0 à la 87e, mais l'affaire était déjà entendue après le but de Huntelaar.Même avec des remplaçants, les Pays-Bas n'ont pas bradé leur match contre les Roumains, qu'ils ont éliminés. A Berne, ce sont plutôt les Roumains qui, à la surprise générale, n'ont pas misé outre mesure sur l'attaque

- le 17 juin 2008, 23h00
Le Matin



Les Pays-Bas n'ont pas triché! Ils ont battu la Roumanie 2-0 au Stade de Suisse, lors du dernier match du groupe C que les Bataves ont remporté haut la main, avec trois succès en autant de matches. Les Roumains ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes. Car, à Berne, c'est bel et bien la troupe de Victor Piturca qui n'a pas joué le jeu.
Van der Saar sur le banc
Il est des choses difficilement compréhensibles en football. L'attitude de la Roumanie hier soir en fait partie. Face à elle, les Pays-Bas ne forcèrent pas leur talent. Seuls deux titulaires des rencontres contre l'Italie et la France étaient alignés par Marco Van Basten: Orlando Engelaar et Khalid Boulahrouz. Même le gardien Edwin van der Sar chauffait le banc.
Un remaniement profond qui n'eut à aucun moment l'allure d'une braderie, comme le craignaient les jours précédents Italiens et Français. Certes, les «Oranje» n'étaient pas animés du même feu qu'en début de tournoi. Ils livrèrent cependant une copie tout à fait sérieuse pour une équipe déjà qualifiée.
Si scandale il devait y avoir, il fallait plutôt se pencher sur le cas roumain. Apeurés par les redoutables avants néerlandais, dont Robben et Van Persie, les hommes de Piturca pensaient avant tout à défendre. Et défendre encore. Comme contre la France (0-0) et l'Italie (1-1), la Roumanie misait sur les contres. Et ne changea rien - sauf un léger sursaut en fin de match - ni à l'annonce de l'ouverture du score italienne à Zurich ni à celle de leurs adversaires du soir, par Huntelaar à la 55e. Au 2-0 de Van Persie à la 87e, l'affaire était déjà entendue.
Solides, les Tricolorii manquaient une fois de plus de mordant, malgré quelques occasions franches qui auraient pu les relancer dans la course à la qualification. Comme cette frappe de Mutu non cadrée (30e) ou cette combinaison Mutu-Rat-Codrea que le demi de Sienne concluait d'un tir bien trop enlevé en dépit de son placement idéal (44e).
Le pari stupide
Absente des toutes les phases finales des grandes compétitions depuis 2000 et son historique quart de finale à l'Euro belgo- néerlandais - en terminant devant l'Allemagne et l'Angleterre! -, la Roumanie a raté sa sortie 2008. Certes, les titres se gagnent d'abord avec une défense de fer. Mais, avec un seul but inscrit en trois matches, elle prétérita ses chances de figurer au tour suivant.
On l'a vu dans ce «groupe de la mort» depuis le début de la compétition, la frilosité n'est pas payante. En ne titularisant pas son avant-centre habituel Daniel Niculae pour le ménager (!), Piturca a surtout fait le pari de la prudence. La Roumanie lui réclamera certainement des comptes.
PAYS-BAS - ROUMANIE 2-0 (0-0)

Stade de Suisse, Berne. 30 777 spectateurs (à guichets fermés). Arbitre: M. Busacca (S).

Buts: 55e Huntelaar 1-0. 87e van Persie 2-0.

Pays-Bas: Stekelenburg; Boulahrouz (58e Melchiot), Heitinga, Bouma, de Cler; de Zeeuw, Engelaar; Afellay, van Persie, Robben (61e Kuyt); Huntelaar (82e Vennegoor of Hesselink).

Roumanie: Lobont; Contra, Tamas, Ghionea, Rat; Cocis, Codrea (72e Dica), Chivu; Nicolita (82e Petre), M. Niculae (59e D. Niculae), Mutu.

Avertissement: 78e Chivu.

Norton
18/06/2008, 06h12
:boutons:
Domenech: «je n'ai qu'un seul projet, c'est épouser Estelle»

«Denis, je le lui demande ce soir» a déclaré Raymond Domenech sur M6, quelques minutes après l'élimination de l'équipe de France de football de l'Euro 2008.

http://www.20min.ch/images/content/2/9/2/29257555/3/1.jpg
Une chose est sûre, Raymond Domenech sait rebondir. (Photo: AP Photo)


Raymond Domenech, nommé au poste de sélectionneur des Bleus le 12 juillet 2004, et sa compagne, la journaliste Estelle Denis, animatrice de «100% Euro» sur M6, ont une fille prénommée Victoire, trois ans, et un petit garçon, Merlin, né en juillet dernier.

En dépit de la défaite de l'équipe de France face à l'Italie (2-0) lors de son troisième et dernier match du groupe C, Raymond Domenech a exprimé sa «fierté».

Il a souligné qu'il avait de «vrais regrets», estimant qu'il y avait «quelque chose» dans les troupes, du «courage», de l'»abnégation», du «talent».

Malgré son élimination de l'Euro 2008, «cette équipe a de l'avenir», elle a un «vrai potentiel» et des «joueurs qui peuvent prétendre à une grande carrière», a-t-il dit, ajoutant qu'il ne s'était «jamais inscrit dans autre chose que le sportif».

AUX (LARMES) CITOYENS.........................:bad:

Norton
18/06/2008, 06h16
:diable:C'est un fait......................... La Suisse éliminée OK mais avec un match gagné................:content::D

Norton
18/06/2008, 06h23
La Suisse argentée grâce à Schurter

En VTT, l’équipe de Suisse, tenante du titre l’an dernier, a décroché la médaille d’argent en relais, en ouverture des Mondiaux de Commezzadura (It), dans le Val di Sole.

http://www.20min.ch/images/content/1/8/5/18502654/2/1.jpg
L'argent pour la Suisse grâce à Schurter.


Elle la doit surtout aux efforts de Nino Schurter, auteur d’une impressionnante remontée en fin de course. Sous l’impulsion du Grison, qui assurait le dernier relais, la Suisse est passée en l’espace de 6 km de la 8e à la 2e place.

A un demi-tour de la fin, Schurter accusait encore une trentaine de secondes de retard sur l’équipe en 3e position. Au prix d’un joli rush, il est allé chiper la médaille d’argent à l’Italien Cristian Cominelli, pour 1’’. La France a remporté l’épreuve avec 2’23’’ d’avance sur les Suisses.

Norton
18/06/2008, 15h59
La presse française veut la démission de Domenech

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/4/12/large_418782.jpg La presse nationale française estime mercredi que l'élimination de la France de l'Euro après sa cinglante défaite contre l'Italie signifie la fin d'une époque et le probable départ de son sélectionneur Raymond Domenech.

"Inéluctable", titre ainsi l'Equipe, qui ajoute que "cette élimination dès le premier tour est un naufrage". Pour le quotidien sportif, "cet échec retentissant (...) aura des conséquences. Une génération va se retirer". "Raymond Domenech a encore deux ans de contrat et il devait emmener une équipe renouvelée à la conquête de l'Afrique du Sud.

Mais cet Euro manqué dans les grandes largeurs va ébranler sa position", ajoute l'Equipe".

"La Fin", titre de son côté en Une le journal populaire Le Parisien/Aujourd'hui en France. "Entre des joueurs couverts de gloire et d'argent, qui n'ont plus au fond d'eux-mêmes la soif de vaincre et un sélectionneur ayant délibérément choisi de mourir avec ses idées, le football français a reçu une claque magistrale", estime-t-il.

Il ajoute que "trop d'erreurs ont été commises à tous les niveaux" et que "les responsables doivent être sanctionnés. Il faut déjà remplacer Raymond Domenech pour relancer les Bleus sur des nouvelles bases, vers le Mondial 2010. Il y a urgence", affirme encore le Parisien/Aujourd'hui en France.

France Soir n'y va pas par quatre chemins et exige en gros titre en première page "la Démission" de Domenech. Le quotidien d'informations générales estime que "l'équipe de France n'a jamais montré un visage conquérant. Avec une défense "gruyère", un milieu sans idée et une attaque fantôme, c'est tout le système Domenech et son coaching catastrophique qui a fait naufrage hier. Une seule issue pour lui: la porte!"

Pour le Figaro, "Il n'y eut jamais vraiment d'espoir depuis cette sinistre rencontre initiale contre les Roumains. Il n'y eut pas vraiment de match non plus contre l'Italie, la France ne paraissant à aucun moment en mesure d'inquiéter son frère ennemi transalpin. Pas d'équipe non plus. (...) Une équipe entre deux générations, sans Zidane, mais encore avec Thuram".

Mêmes sons de cloche dans la presse de province à l'instar du Journal la Presse de la Manche pour qui, "le décès d'une époque glorieuse a été consommé, hier soir, devant l'Italie".

"Au fond du fond", ajoute le journal, "on se dit que la France atterrit durement à sa place, qu'elle ne méritait absolument pas d'accéder aux quarts de finale".

"Pour espérer un miracle, les Bleus ont sans doute cru que rien de tragique ne pouvait leur arriver", écrit de son côté l'Est Républicain.

"Comme en Allemagne en 2006, il aurait fallu jouer contre le Togo et non pas contre l'Italie. Ces Italiens qu'on retrouve régulièrement sur notre route et qui après la finale dramatique de Berlin, nous poussent cette fois dans le vide. (...) Raymond Domenech qu'on n'hésite pas à traiter de fou en Italie lorsqu'il écarte de sa sélection Trezeguet, le buteur de la Juventus ou Mexes, le dernier rempart de la Roma pour prendre Thuram ou Abidal. Le sélectionneur national risque cette fois d'en prendre pour son grade en rentrant au pays".

;)Pas un bon cadeau de fiançaille ........................:)

Norton
19/06/2008, 06h04
EURO 2008
C'est à cause de l'hôtel

http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/raymond_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/raymond_zoom.jpg)
Image © Keystone
Hier, en début d'après midi, Raymond Domenech répondait aux questions des journalistes. Il s'est ensuite envolé pour Paris avec une partie des joueurs de l'équipe de France. Le sélectionneur tricolore a mis en cause la configuration de l'hôtel qui a hébergé son groupe durant l'Euro.Raymond Domenech fustige les installations qui ont accueilli les Bleus et parle d'une campagne antifrançais en Suisse

Les agences - le 18 juin 2008, 23h49
Le Matin



Raymond Domenech a mis sur le compte de la «configuration de l'hôtel» du Mont-Pèlerin (VD), où les Bleus étaient basés, ce «côté fermé», ce repli sur soi, qui a beaucoup été reproché à l'équipe de France jusqu'à son élimination de l'Euro. Il a aussi évoqué «une campagne antifrançais».
«On n'a pas pris plus de mesures (de sécurité et de protection) qu'en Allemagne pendant la Coupe du monde 2006, mais, là, il y avait la configuration de l'hôtel, presque une forme de cul-de-sac et on a été victimes de cette géographie qui nous a donné ce côté plus fermé», s'est défendu le sélectionneur français.
«Il y avait la configuration de l'hôtel, presque une forme de cul-de-sac. On a été victimes de cette géographie qui nous a donné ce côté plus fermé»
Raymond Domenech
Les Bleus étaient logés à l'Hôtel Mirador Kempinski, au Mont-Pèlerin, qui domine le lac Léman.
La presse mise en cause
«Il y a eu aussi plus de directives au niveau des instances suisses, pour bloquer des attroupements devant l'hôtel, a poursuivi le technicien national. Nous, on avait demandé à ce qu'il n'y ait pas d'attroupement devant l'hôtel, pas de caméras devant l'hôtel qui nous prennent en train de manger.»
«Avec une route unique pour accéder à l'hôtel, les autorités prenaient des mesures qui ont bloqué les accès, mais on ne peut pasd leur en vouloir», a encore commenté Domenech.
Certains journaux suisses ont taxé l'équipe de France de «délire sécuritaire», parlant de protection digne d'un «G8 et pas d'un Euro» autour des Bleus. «Bien avant que nous n'arrivions, il y avait eu une campagne antifrançais dans les journaux ici, a répondu Domenech. C'est bizarre, car les premiers touristes, ce sont les Français, ici. Mais quelques journaux ont maintenu cette pression.» «Nous, on a pratiqué l'ouverture d'entraînements, trois fois, avec accès aux gamins gratuits et nous, contrairement à certaines équipes, on n'a pas fait payer les places aux entraînements - je ne sais pas ce qu'on aurait entendu si on avait fait ça -, on a fait des accès sur invitations, gérées par la commune», s'est défendu le sélectionneur.
«Je ne réponds pas à cette question»
«Je ne réponds pas à cette question», a répété mercredi Raymond Domenech, interrogé par la presse sur son avenir, notamment pour savoir s'il avait toujours envie d'être sélectionneur de l'équipe de France, après l'élimination des Bleus au premier tour de l'Euro.
«Je ne répondrai pas à cette question, mon sort personnel n'a aucun intérêt, a souligné le technicien national. Je n'ai jamais fait de projet d'avenir. Cette équipe a un avenir, je le répète.»
A la question «êtes-vous en danger?», Domenech s'est contenté de dire: «Je ne raisonne pas en me disant des choses comme ça, la décision ne m'appartient pas.» Quand un journaliste a parlé d'échec, le sélectionneur a rétorqué: «Moi, je parle de déception.»
Des tensions dans le groupe
Le président de la Fédération française, Jean-Pierre Escalette, a déclaré qu'il n'était pas «homme à déchirer un contrat sous le coup de l'émotion», à propos de l'éventuel limogeage du sélectionneur Raymond Domenech qui a un contrat jusqu'en 2010, et une mission: conduire l'équipe de France à la Coupe du monde 2010. Les deux prochaines semaines seront consacrées à la réflexion des parties concernées et s'annoncent décisives pour l'avenir de Domenech, après l'élimination de l'équipe de France au 1er tour de l'Euro.
D'autre part, des images tournent en boucle depuis deux jours sur Internet, mises à disposition par un site norvégien. On y voit Boumsong calmer Vieira(?), furieux contre Evra, sous les yeux médusés de Ribéry ou de Nasri.
Domenech n'a jamais nié l'existence de «tensions» inhérentes à tout groupe. Il a reconnu «un manque d'homogénéité». Selon lui, «il y avait un écart de mentalités, de vie».:fou:

Pas lui qui a voulu l'hotel en question?;)

Norton
19/06/2008, 06h12
La Russie écarte la Suède et affrontera les Pays-Bas en quarts

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/1/8/large_423743.jpg
Arshavin a pesé très lourd sur la défense suédoise, prenant part à tous les bons coups.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/4/11/art_large_423746.jpg Ibrahimovic, à l'instar de ses coéquipiers, n'a pas pesé lourd face à la fougue des jeunes russes.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/3/10/art_large_423745.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/5/12/art_large_423747.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/2/9/art_large_423744.jpg Guus Hiddink a réussi à arracher son duel avec Marco Van Basten.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/7/14/art_large_423749.jpg Le bonheur des uns...
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/6/13/art_large_423748.jpg ...fait plus que jamais le bonheur des autres.
La Russie s'est qualifiée ce soir pour les quarts de finale de l'Euro 2008 aux dépens de la Suède grâce à une victoire deux buts à zéro (mi-temps: 1-0). Arshavin et Pavlyuchenko ont assuré la victoire de leur équipe et offert à la Russie un quart de finale qui les opposera aux Néérlandais. La fougue et la vivacité de la jeunesse russe a eu raison de Suédois peu inspirés et maladroits en zone de finition.

Dans l'autre rencontre, l'Espagne a battu la Grèce deux buts à un.

Le début de match est assez peu rythmé, et seules de vagues occasions sont créées de part et d'autre. Ibrahimovic met bien le nez à la fenêtre à deux reprises, mais sans créer vraiment le danger devant Akinfeev. Les Russes se font rapidement très pressants, et se crée quelques demi-occasions, qui n'inquiètent pas non plus Isaksson. Arshavin se fait cependant déjà remarquer avant le quart d'heure.

Arshavin dans tous les bons coups
La première frayeur est suédoise, lorsqu'à la 21e minute, Arshavin force Isaksson à intervenir via un centre-tir que le portier suédois dévie en corner. Le coup de coin joué, Zhirkov hérite du ballon et décoche une frappe puissante qui file peu à côté du cadre. Les
Suédois sentent le vent mauvais se lever, à raison, puisque trois minutes plus tard, Arshavin file sur le flanc droit. Voyant Zyryanov à sa hauteur, il lui glisse le ballon dans le rectangle. Zyryanov fait preuve d'une exceptionelle lucidité en passant intelligemment à Pavlyuchenko, qui, isolé au point de penalty, trompe Isaksson d'une frappe croisée qui part se loger hors de portée du gardien suédois, dans le petit filet.

Les Russes sont survoltés. Bilyaletdinov tente sa chance à distance peu après le but, sans trouver le cadre. Se réveillant un peu, la Suède se crée une occasion un tantinet sérieuse lorsque Larsson reprend de la tête un centre de Nilsson mais se heurte à la transversale d'Akinfeev (27'). Bilyaletdinov, encore lui, répond du tac-au-tac avec un tir trop faible pour inquiéter Isaksson, à la 28e minute, mais surtout à la 36e minute lorsque son envoi trouve le cadre suédois. Pavlyuchenko est au rebond mais se heurte au portier scandinave. Sur le corner qui suit, Zhirkov allume à distance mais se heurte aussi à Isaksson.

Dans les cinq dernières minutes de la première période, les Suédois tentent de recoller au score. Mais les tentatives de Hansson (41'), Ljunberg (43') et Nilsson (45' +1') se heurtent à un Akinfeev impérial, tant sur sa ligne que dans ses sorties vers les chaussures suédoises. Les joueurs retournent au vestiaire sur le score de 1-0.

On achève bien les chevaux
Les Russes reviennent sur le terrain bien décidés à creuser l'écart pour se mettre à l'abri. Et dès la 51e minute, sur la première véritable occasion en deuxième période, les Russes doublent la mise via Arshavin, qui conclut une jolie action en triangle qu'il avait lui-même initiée, sur un assist de Zhirkov. Les Suédois tentent bien de recoller au score mais ne parviennent que rarementà approcher efficacement du but d'Akinfeev. Lorsqu'ils y parviennent, généralement sur des centres aériens, le dernier geste fait défaut.

Certains joueurs suédois semblent déjà se faire à l'idée de l'élimination, et Ibrahimovic ne court pratiquement plus. Les Russes manquent même à plusieurs reprises d'asséner le coup de grâce à des Suédois palôts, presque transparents. Le match manque de peu de sombrer dans le tragi-comique burlesque, voire clownesque, lorsqu'à la 66e minute, Arshavin part seul vers le but, ratrappé difficilement par Stoor. Arshavin pourrait à ce moment-là s'écrouler à juste titre et faire écoper Stoor d'un carton rouge, mais son envie de but est trop forte. Stoor s'arrache et parvient à "écarter" le danger par une lourde passe qui manque de tromper son gardien.

Mérite russe, résignation suédoise
Malgré de piètres tentatives suédoises, via Ibrahimovic notamment, le score ne changera plus. Les dix dernières minutes sont pénibles pour les Scandinaves, qui peuvent s'estimer heureux de n'avoir encaissé que deux buts. Les Russes étaient tout simplement supérieurs, de la tête et des épaules, grâce à leur jeu rapide, offensif et déterminé, qualités inexistantes ce soir du côté suédois. La Russie s'est méritoirement qualifiée pour la phase finale d'un grand tournoi, ce qui n'était plus arrivé depuis l'ère soviétique. Guus Hiddink et ses jeunes russes affronteront en quart de finale les Bataves de Marco Van Basten, pour une rencontre qui s'annonce dores et déjà passionantes vues les prestations des deux équipes jusqu'à présent.

Thomas Halter

chrisgaz
19/06/2008, 07h44
EURO 2008
C'est à cause de l'hôtel


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/raymond_article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/raymond_zoom.jpg) Image © Keystone

Hier, en début d'après midi, Raymond Domenech répondait aux questions des journalistes. Il s'est ensuite envolé pour Paris avec une partie des joueurs de l'équipe de France. Le sélectionneur tricolore a mis en cause la configuration de l'hôtel qui a hébergé son groupe durant l'Euro.Raymond Domenech fustige les installations qui ont accueilli les Bleus et parle d'une campagne antifrançais en Suisse

Les agences - le 18 juin 2008, 23h49
Le Matin



Raymond Domenech a mis sur le compte de la «configuration de l'hôtel» du Mont-Pèlerin (VD), où les Bleus étaient basés, ce «côté fermé», ce repli sur soi, qui a beaucoup été reproché à l'équipe de France jusqu'à son élimination de l'Euro. Il a aussi évoqué «une campagne antifrançais».

«On n'a pas pris plus de mesures (de sécurité et de protection) qu'en Allemagne pendant la Coupe du monde 2006, mais, là, il y avait la configuration de l'hôtel, presque une forme de cul-de-sac et on a été victimes de cette géographie qui nous a donné ce côté plus fermé», s'est défendu le sélectionneur français.«Il y avait la configuration de l'hôtel, presque une forme de cul-de-sac. On a été victimes de cette géographie qui nous a donné ce côté plus fermé»

Raymond Domenech
Les Bleus étaient logés à l'Hôtel Mirador Kempinski, au Mont-Pèlerin, qui domine le lac Léman.
La presse mise en cause
«Il y a eu aussi plus de directives au niveau des instances suisses, pour bloquer des attroupements devant l'hôtel, a poursuivi le technicien national. Nous, on avait demandé à ce qu'il n'y ait pas d'attroupement devant l'hôtel, pas de caméras devant l'hôtel qui nous prennent en train de manger.»
«Avec une route unique pour accéder à l'hôtel, les autorités prenaient des mesures qui ont bloqué les accès, mais on ne peut pasd leur en vouloir», a encore commenté Domenech.
Certains journaux suisses ont taxé l'équipe de France de «délire sécuritaire», parlant de protection digne d'un «G8 et pas d'un Euro» autour des Bleus. «Bien avant que nous n'arrivions, il y avait eu une campagne antifrançais dans les journaux ici, a répondu Domenech. C'est bizarre, car les premiers touristes, ce sont les Français, ici. Mais quelques journaux ont maintenu cette pression.» «Nous, on a pratiqué l'ouverture d'entraînements, trois fois, avec accès aux gamins gratuits et nous, contrairement à certaines équipes, on n'a pas fait payer les places aux entraînements - je ne sais pas ce qu'on aurait entendu si on avait fait ça -, on a fait des accès sur invitations, gérées par la commune», s'est défendu le sélectionneur.
«Je ne réponds pas à cette question»
«Je ne réponds pas à cette question», a répété mercredi Raymond Domenech, interrogé par la presse sur son avenir, notamment pour savoir s'il avait toujours envie d'être sélectionneur de l'équipe de France, après l'élimination des Bleus au premier tour de l'Euro.
«Je ne répondrai pas à cette question, mon sort personnel n'a aucun intérêt, a souligné le technicien national. Je n'ai jamais fait de projet d'avenir. Cette équipe a un avenir, je le répète.»
A la question «êtes-vous en danger?», Domenech s'est contenté de dire: «Je ne raisonne pas en me disant des choses comme ça, la décision ne m'appartient pas.» Quand un journaliste a parlé d'échec, le sélectionneur a rétorqué: «Moi, je parle de déception.»
Des tensions dans le groupe
Le président de la Fédération française, Jean-Pierre Escalette, a déclaré qu'il n'était pas «homme à déchirer un contrat sous le coup de l'émotion», à propos de l'éventuel limogeage du sélectionneur Raymond Domenech qui a un contrat jusqu'en 2010, et une mission: conduire l'équipe de France à la Coupe du monde 2010. Les deux prochaines semaines seront consacrées à la réflexion des parties concernées et s'annoncent décisives pour l'avenir de Domenech, après l'élimination de l'équipe de France au 1er tour de l'Euro.
D'autre part, des images tournent en boucle depuis deux jours sur Internet, mises à disposition par un site norvégien. On y voit Boumsong calmer Vieira(?), furieux contre Evra, sous les yeux médusés de Ribéry ou de Nasri.
Domenech n'a jamais nié l'existence de «tensions» inhérentes à tout groupe. Il a reconnu «un manque d'homogénéité». Selon lui, «il y avait un écart de mentalités, de vie».:fou:

Pas lui qui a voulu l'hotel en question?;)

c est lui qui a choisi le fameux hotel, et qui a demander tout le service d ordre autour de l équipe de france.... c est un sujet qui est passé dans téléfoot sur TF1.... ou justement, il dit clairement que le choix de l hotel et la mise en place d un service de sécurité peut faire gagner ou perdre une compétition.... ce mec est un abrutit.. a se contredire constament, et a ne jamais se remettre en question.... je ne l ai jamais aimé, et sa déclaration de "demande en mariage" juste 5 minute apres la défaite de l'équipe de france face a l italie a fini de me dégouter.... vivement qu il le vire, et qu il prenne Didier Dechamp... ca c est de l entraineur.... ou Wenger aussi... on veut un vrai entraineur.. et non pas un mec formé avec un jeu de simulation sur PC.....:diable::diable:

nono_le_robot
19/06/2008, 08h35
ouai en plus AMHA elle a du lui dire NON :D

parce que d'après les "rumeurs" elle aurait été très en colère! :diable:

Norton
20/06/2008, 05h54
"Tu me gonfles!"

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/10/13/11/large_425591.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/14/12/art_large_425592.jpg Raymond Domenech et sa compagne, Estelle Denis.

Ce n'est décidément pas un bon Euro pour Raymond Domenech. Après avoir essuyé un match nul et deux défaites éliminatoires dans le "groupe de la mort" avec les Bleus, s'être mis sa compagne à dos pour l'avoir demandée publiquement en mariage (ce que l'intéressée était loin de trouver romantique) juste après l'élimination de l'équipe de France, Raymond Domenech s'est illustré de manière peu élégante sur TF1.

À un journaliste qui voulait lui faire exprimer des regrets pour la manière dont il a géré son équipe à l'Euro 2008, Raymond Domenech a vertement lancé " Tu me gonfles!" en quittant le plateau, là où l'on pouvait légitimement espérer un mea culpa, ou ne fût-ce qu'une remise en question des choix tactiques du sélectionneur français. L'auto-critique ne semble pas faire partie de l'arsenal tactique de Domenech, qui n'a pas su retenir sa mauvaise humeur, voire sa mauvaise foi. Telle une bête blessée, Domenech semble avoir besoin d'un long break pour se remettre de la pression qui va de pair avec la difficile tâche de sélectionneur national, français qui plus est.

Thomas Halter

Norton
20/06/2008, 05h56
L'Allemagne une taille au-dessus

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/12/14/large_426134.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/1/11/art_large_426191.jpg L'Allemagne s'est montré intransigeante tout au long du match.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/13/6/art_large_426186.jpg Podoloski et Schweinsteiger se congratulent. Les deux joueurs ont pris une part active dans la victoire allemande.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/14/7/art_large_426187.jpg Le duel tant attendu entre Cristiano Ronaldo et Michaël Ballack a tourné court.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/0/10/art_large_426190.jpg Rien ne lui a souri. Cristiano Ronaldo est passé à côté du match ce soir.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/2/12/art_large_426192.jpg Nuno Gomes avait ramené l'espoir peu avant la mi-temps.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/15/8/art_large_426188.jpg Le troisième but de Ballack, certes entaché d'une poussée fautive de l'Allemand, illustre la faiblesse de l'arrière-garde portugaise sur les ballons aériens.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/16/9/art_large_426189.jpg Helder Postiga a réduit le score en fin de match.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/5/4/14/art_large_426194.jpg Felipe Scolari quitte la sélection portugaise sur une fausse note.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/4/3/13/art_large_426193.jpg Bastian Schweinsteiger est l'homme du match.

L'Allemagne en demi-finale! La Mannschaft a éliminé le Portugal (2-3) en quart de finale de l'Euro 2008 plus riche en buts qu'en gestes techniques. La faute à l'Allemagne, sans doute, qui a empêché les artistes portugais de s'exprimer en jouant avec sa rigueur habituelle et en profitant à merveille de l'apathie adverse pour prendre le large grâce à des buts de Schweinsteiger et Klose à la demi-heure. La réduction du score de Nuno Gomes peu avant la mi-temps a perturbé l'Allemagne jusqu'à l'heure de jeu avant que Ballack ne marque de la tête. La réduction du score de Postiga ne changera rien. L'Allemagne affrontera le vainqueur de Croatie-Turquie.

Au rendez-vous
Une fois encore, l'Allemagne est présente au rendez-vous fixé. Alors qu'au lendemain de sa défaite face à la Croatie en match de poule et après la séance gaspillage contre l'Autriche le potentiel des allemands était remis en question, ce mercredi on a une fois de plus constaté qu'une équipe peut renaître dès l'entame de la phase éliminatoire. Tout le contraire du Portugal, en fait. Encensés par les observateurs depuis le début de la compétition pour son jeu chatoyant (hormis un match comptant pour du beurre face à la Suisse), les hommes de Scolari buttent une fois encore au moment de confirmer leur talentueux noyau au sommet de la scène internationale.

La minute Schweinsteiger
Le Portugal s'est pris les pieds dans le nouveau et bondissant tapis d'herbes de Bâles, sans même avoir eu un mot à dire, tant son adversaire a rapidement mis les choses au point. D'abord en attendant les offensives portugaises -qui ne vinrent jamais- et ensuite, en prenant les commandes lors de la première estocade, placée sous la forme d'un double une-deux Lahm-Podolski, suffisant pour mettre dans le vent le flanc droit lusitanien et servir sur un plateau Schweinsteiger (1-0, 24e). Le médian du Bayern, blâmé par tout un pays suite à son exclusion face à la Croatie, n'en restait pas là, puisque deux minutes plus tard à peine, il plaçait un coup-franc sur la tête de Klose, plus prompt que Ricardo, parti, sur cette sortie, à la chasse aux papillons. (2-0, 26e).

Ronaldo discret
L'Allemagne imposait un défi physique que les Portugais ne pouvaient relever. Pourtant, ceux-ci avaient des arguments autrement techniques à faire valoir, mais n'étaient pas parvenus à les exprimer jusque-là, à l'image de Cristiano Ronaldo, plus malheureux en équipe nationale qu'avec Manchester, avec lequel il a réalisé le doublé Ligue des Champions-Premier League cette année. Assez discret sur l'ensemble du match, le médian mancunien sera toutefois impliqué dans la réduction du score de Nuno Gomes, mais il s'agira là de la seule action digne de ce nom de la part du présumé meilleur joueur du monde. Lehmann n'aura d'ailleurs pas beaucoup de travail à effectuer durant les nonante minutes.

Copie-conforme
Le système de jeu mis en place par Joachim Löw, invité à assister à la rencontre depuis les loges du stade après avoir été exclu de la zone neutre contre l'Autriche, privera le Portugal d'espaces. Une tactique qu'aurait peut-être dû observer l'arrière garde lusitanienne, piégée -une nouvelle fois- par une tête de Ballack à l'heure de jeu, auteur d'un but (son deuxième de la compétition) copie-conforme (fautive?) du goal de Klose. Le Portugal ne reviendra pas, malgré la réduction du score de Postiga.

Dans les loges
L'Allemagne atteint les demi-finales d'un Euro pour la première fois depuis 1996, année du dernier de ses trois sacres (après 1972 et 1980). Elle pourrait retrouver sur sa route la Croatie, amenée à affronter la Turquie vendredi soir, pour une revanche qui s'annonce détonante. Une demi-finale que les Portugais regarderont à la télévision, alors qu'ils furent présents à ce stade de la compétition lors des deux dernières éditions. Sûr que Felipe Scolari aurait préféré une meilleure sortie, lui qui entraînera Chelsea l'an prochain, où il retrouvera un certain...Michaël Ballack.

Loïc Struys

L'Homme du match:

Vous avez choisi (32%) d'élire Bastian Schweinsteiger "Homme du match". Votre choix rencontre celui de la rédaction de 7sur7. Le médian Bavarois, exclu par Frank De Bleeckere lors de la défaite face à la Croatie, s'est superbement rattrapé en inscrivant un but et en effectuant une passe décisive, le tout en deux minutes. Quand il évolue à ce niveau, Schweinsteiger est indispensable à la Mannschaft, comme le sont Ballack, Lahm, Podolski ou Metzelder. En confiance, l'Allemagne risque décidemment d'être difficile à battre.

Norton
20/06/2008, 06h07
Ribery opéré jeudi à Munich pour un ligament arraché

Blessé mardi soir lors du dernier match des Bleus de l'Euro 2008, Franck Ribery devait être opéré jeudi à Munich pour un ligament arraché à la cheville gauche et sera indisponible près de huit semaines.

http://www.20min.ch/images/content/3/1/5/31599506/1/1.jpg
Franck Ribery s'est blessé mardi soir contre l'Italie. (Photo: AP Photo)


Le meneur de jeu du Bayern de Munich a été examiné mercredi à l'hôtel de l'équipe allemande à Bâle par le médecin de l'équipe Hans-Wilhelm Muller-Wohlfahrt qui est également le médecin du Bayern.

Ribéry s'était blessé à la jambe gauche mardi soir dès la 7e minute de la rencontre France-Italie lors d'un accrochage avec le défenseur italien Gianluca Zambrotta. La France, battue deux buts à zéro par l'Italie, a terminé dernière du groupe C et quitté l'Euro.

Mercredi, le sélectionneur des Bleus Raymond Domenech avait parlé «d'une grosse entorse» à la cheville.

manu94600
20/06/2008, 18h50
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/15/8/art_large_426188.jpg Le troisième but de Ballack, certes entaché d'une poussée fautive de l'Allemand, illustre la faiblesse de l'arrière-garde portugaise sur les ballons aériens.

Pff sur 2 arbitres qui aurait du voir l'action personne ne l'a vus :langueŽ: Ballck tu mérite de te blessé au prochain match :p

Mais bon c'est vrai c'est le foot en tous cas très beau match sa c'est joué jusqu'au bout ! :amoureux: Mais ont pouvait rien face a nos petite tailles ;)
C'est pas l'équipe de France sa :)

Norton
21/06/2008, 07h33
Un nouveau miracle propulse la Turquie en demis!

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/10/4/large_427084.jpg
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/16/12/art_large_427107.jpg Le Premier ministre turc Erdogan était aux côtés de Michel Platini dans la tribune officielle.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/11/7/art_large_427102.jpg Klasnic pensait avoir offert la qualification à son équipe, mais le jusqu'au-boutisme turc a eu raison des Croates.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/9/5/art_large_427100.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/12/8/art_large_427103.jpg Klasnic a ouvert le score pour la Croatie à la 119e minute!
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/10/6/art_large_427101.jpg http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/4/2/art_large_427112.jpg Rustu repousse le tir au but de Petric! La Turquie est en demis-finales après un match riche en émotion.

La Turquie s'est qualifiée pour les demi-finales de l'Euro au terme d'un match incroyable et riche en rebondissements. Au bout du temps réglementaire, le score était toujours de 0-0. La Croatie semblait avoir fait le plus dur à la dernière minute des prolongations en ouvrant le score grâce à Klasnic (1-0). C'était sans compter sur l'extraordinaire combativité et courage de l'équipe turque qui égalisait à l'ultime seconde de jeu par l'entremise de Sentürk (1-1). Au terme de la séance de tirs aux buts, c'est la Turquie qui gagnait le droit d'affronter l'Allemagne en demis.

La première mi-temps était très fermée avec une volonté mutuelle de ne pas se découvrir et de ne pas lâcher de leste. Cette première période se résumait à une bataille de l'entrejeu. Les deux équipes étaient timorées et ne voulaient céder la moindre parcelle de terrain à l'adversaire. Tactiquement, les deux formations jouaient le match parfait. C'est la Croatie qui héritait toutefois de la plus belle occasion. Olic reprenait un centre à ras de terre de Modric sur la trasversale! Un signe avant coureur sans doute.

Malgré une possession de balle à l'avantage des Croates en deuxième période, on assistait globalement à la même physionomie de match qu'en première mi-temps. Rakitic et Petric semaient à plus d'une reprise la panique dans la défense adverse, sans trouver la faille toutefois. Au bout du temps de jeu réglementaire, le score était toujours vierge et l'on se dirigeait vers les prolongations.

Les quinze premières minutes supplémentaires étaient en faveur des Turcs qui retrouvaient un seconde souffle. Sans trouver le chemin de filets. Tuncay et Sentürk voyaient leurs essais repoussés par Pletikosa. Détail important: les Turcs avaient accumulé les cartons jaunes dans cette rencontre. En cas de qualifcation, Tuncay, Arda et Asik manqueraient la demi-finale contre l'Allemagne.

La fatigue se faisait ressentir dans les deux camps et le jeu s'effilochait. Nihat se blessait en toute fin de rencontre et cédait sa place à Karadeniz. Tout le stade Ernst Happel se préparait déjà pour une séance de tirs aux buts! Mais patatras! Rustu s'aventurait trop de loin de son goal, Modric adressait un bijou sur le crâne de Klasnic qui reprenait victorieusement! (119') Tout le banc croate ainsi que les supporters avaient déjà sorti le champagne. Mais l'incroyable allait se produire! Dans un ultime élan de courage, la Turquie parvenait à égaliser via Sentürk qui fusillait Pletikosa! (122') Scénario extraordinaire! La Turquie réitérait son exploit des poules. Les tirs aux buts allaient départager les deux équipes.

La Turquie avait évidemment un ascendant psychologique sur la Croatie qui était encore groggy de l'égalisation turque. Et ce que tout le monde pressentait arriva! Encore sonnés, les Croates passaient complètement à côté de leur séance de tirs aux buts. Modric, Rakitic et Petric ne convertissaient pas leur tir. Arda, Sentürk et Altintop gardaient quant à eux leur sang froid pour permettre à la Turquie d'accéder aux demi-finales de l'Euro. Une première! L'équipe entraînée par Fatih Terim affrontera l'Allemagne. Avec un effectif décimé.

Michaël Bouche

Norton
21/06/2008, 07h42
:content::content::content:
http://today.reuters.com/news/images/clear.gif


BÂLE (Reuters) - Berne envisage d'offrir aux Pays-Bas des morceaux de la pelouse du stade de Suisse pour remercier les supporters néerlandais de l'atmosphère festive qu'ils ont créée dans la capitale pendant leurs matches de groupe à l'Euro 2008, a déclaré le maire de la ville.
La marée orange - quelque 50.000 supporters - a envahi la paisible capitale helvète à chaque rencontre. "Nous voulons que les gens gardent des souvenirs du stade et de cette merveilleuse période", a déclaré le maire, Alexander Tschaeppaet.
"Les habitants sont très tristes aujourd'hui tellement tout est calme."
Les supporters néerlandais se sont payé une pleine page dans les deux principaux journaux locaux pour remercier la ville de son hospitalité.
La foule oranje est désormais attendue à Bâle, pour le quart de finale de samedi soir contre la Russie.
Iain Rogers, version française Jean-Stéphane Brosse
;)Je souhaite que Monsieur Domenech lise ce petit article.............:diable:Comme quoi tous ne sont pas mécontents de l'acceuil des suisses.......................

Norton
22/06/2008, 06h07
La Russie crée la surprise contre les Pays-Bas

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/6/7/large_427522.jpg
Arshavin, époustouflant tout au long de la rencontre, a été le meilleur homme sur le terrain. Il a notamment marqué le troisième but de la Russie.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/7/10/art_large_427540.jpg Enorme déception pour les Pays-Bas et Van Der Vaart. Avec la Russie, ils sont tombés sur un gros morceau.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/6/9/art_large_427539.jpg Guus Hiddink, l'entraîneur de la Russie, a joué un sale tour à ses compatriotes.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/6/9/10/art_large_427525.jpg Torbinsky, à peine monté au jeu, a profité d'un excellent service d'Arshavin pour faire le 1-2 dans les prolongations.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/11/8/art_large_427493.jpg Van Der Sar a limité la casse pour les Pays-Bas.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/13/10/art_large_427495.jpg Malgré la perte de son bébé il y a quelques jours, Boulahrouz a tenu à être sur la pelouse.

7S7 mise à jour C'est la grosse surprise de l'Euro ! Les Pays-Bas, désignés comme le grand favori au titre après ses victoires contre l'Italie, la France et la Roumanie, ont perdu face à une équipe de Russie très impressionnante. Même s'il aura fallu attendre les prolongations, les Russes ont largement dominé les débats.

Menés et malmenés tout au long de la rencontre, le parcours des hommes de Marco Van Basten s'arrête en quarts de finale. Les Russes, quant à eux, connaîtront bientôt leurs adversaires en demi-finales: ce sera soit l'Italie, soit l'Espagne. Guus Hiddink, l'entraîneur de la Russie, a joué un sale tour à ses compatriotes!

45 minutes de qualité
Même si les deux équipes, surtout la Russie, manquèrent de réalisme au cours de cette prmeière période, les deux équipes offrirent un spectacle haut en couleurs.

Très tôt, le Saint-Jacob Park de Bâle, envahi par une marée orange très impressionnante, assista à une domination de l'équipe russe. Kolodin fit parler sa puissance de frappe à trois reprises mais c'est surtout Arshavin (meilleur homme sur le terrain) et Pavlyuencho qui semèrent la zizanie dans la défense des Pays-Bas.

Du côté hollandais justement, pas grand-chose à se mettre sous la dent hormis des phases arrêtées de Van Der Vaart qui ne furent déviés par aucun de ses coéquipiers.

Les Pays-Bas au bout du rouleau
En seconde période, le scénario de la rencontre ne bougea pas d'un fil. Et ce n'est que très logiquement que la Russie se détacha au marquoir. A la 57e minute, un centre Semak trouva Pavlyuchenko qui dévia le ballon du pied gauche (0-1). Dans la dernière demi-heure de jeu, les hommes de Guus Hiddink jouèrent avec leur destin. Tour à tour, Arshavin, Zhirkov et Pavlyuechenko oublièrent de tuer la partie.

Et ce qui devait arriver arriva. En brûlant l'une de ses dernières cartes, à nouveau sur une phase arrêtée de Sneijder cette fois, Van Nistelrooy redonna espoir à ses couleurs à quatre minutes du terme. Tout était à refaire et les 22 acteurs furent obligés de faire des heures supplémentaires.

La Russie, au bout de la nuit
Pas question de parler de coup au moral pour les Russes. Au contraire même. Face à des Hollandais timorés et au bout du rouleau physiquement, ils s'en donnèrent à coeur joie. Les troupes de Marco Van Basten l'échappèrent de justesse lors de la première prolongation, ils craquèrent littérallement dans le dernier quart d'heure à jouer et la meilleure équipe sur le terrain fut récompensée par ses efforts.

A neuf minutes du coup de sifflet final, Arshavin déborda Ooijer pour servir Torbinsky (1-2). Pour couronner cette belle soirée de football, Arshavin porta le coup de grâce à la 116e minute. Son tir croisé laissa Van Der Sar de marbre et la Russie décrocha son billet pour les demis.

Le moins que l'on puisse dire est que les quarts de finales ont été placés sous le signe des surprises jusqu'ici. Après les éliminations du Portugal et de la Croatie, voilà maintenant les Pays-Bas priés de rentrer à la maison plus tôt que prévu. Comme quoi, débuter une compétition de manière trop euphorique n'est jamais une bonne chose.

Après le succès en coupe UEFA du Zénit Saint-Pétersbourg, l'année 2008 pourrait être celle de la Russie. Cette équipe s'est métamorphosée par rapport au premier tour. Avec un Arsahvin comme chef d'orchestre, tous les rêves sont permis!

:amoureux::content:Un superbe match..............

Belledenuit
22/06/2008, 11h08
Héhéhéhéhéhé, pour une fois que je n'ai pas dit trop de conneries...........

Ouiiiiiiiiiiii, un match époustoufflant !!!!! et les "bombes" du No. 10 Russe, impressionnant..........

Ils méritaient de gagner ce match, rien à redire..........:amoureux::amoureux::amoureux::amo ureux:

Et ce soir, Paëlla contre Spaghettis......... Rien que pour Donadoni, je vais avoir un tit penchant pour l'Italie :D:D:D:D

Norton
23/06/2008, 07h38
Casillas envoie l'Espagne en demi-finale

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/7/6/large_428016.jpg
Casillas a sorti un arrêt énorme pour parer le tir au but de De Rossi.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/3/2/art_large_428012.jpg Splendide et décisif!
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/2/1/art_large_428011.jpg Luis Aragones sait que le plus dur reste à faire.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/1/0/art_large_428010.jpg Luca Toni et Roberto Donadoni n'ont pas franchement réussi leur Euro.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/13/15/12/art_large_428007.jpg Buffon a livré une bonne prestation, et eu une brin de chance, mais n'a pu faire basculer l'issue du match, contrairement à Casillas.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/5/2/art_large_427997.jpg Joie intense du côté espagnol après l'ultime transformation de Fabregas...
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/13/10/art_large_428005.jpg ...et désarroi infini du côté italien.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/7/11/10/art_large_428020.jpg Les joueurs furent tous d'un fair-play exemplaire, et le match d'une correction rare.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/16/13/art_large_428008.jpg Ce n'est qu'un jeu mais il peut faire si mal...
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/0/14/art_large_428009.jpg ...ou causer tant de joie.

L'Espagne s'est qualifiée ce soir pour les demi-finales de l'Euro 2008 aux dépens de l'Italie, battue aux tirs au but après un match sans goal. Après avoir dominé la première période et montré le plus de volonté de vaincre pendant 120 minutes, l'Espagne l'emporte aux tirs au but (0-0, 4-2 aux tirs au but). L'Italie n'a pas démérité mais a trop attendu les Ibères, qui ont fait le jeu la plupart du temps. L'Espagne n'avait plus battu l'Italie dans un grand tournoi depuis les Jeux Olympiques d'Anvers, en...1920.

Espagne-Russie: bis repetita...
Les Espagnols, sacrés en 1964, affronteront la Russie en demi-finale jeudi (20h45) à Vienne. Les deux équipes s'étaient déjà affrontées lors de leur premier match dans la compétition. L'Espagne l'avait largement emporté (4-1), le 10 juin à Innsbruck, grâce notamment à un triplé de l'attaquant David Villa.

Demi-finalistes pour la première fois depuis 1984, où ils avaient été
battus en finale par la France, les Espagnols avaient réalisé une première phase quasi parfaite, ponctuée par trois succès sur la Russie (4-1), la Suède (2-1) et la Grèce (2-1). L'Espagne est la première équipe ayant terminé en tête de son groupe à accéder aux demi-finales, puisque le Portugal, la Croatie et les Pays-Bas ont successivement été éliminés en quarts de finale.

Retour perdant du catenaccio?
Pour l'emporter face aux champions du monde italiens qui, en quadrillant impeccablement le terrain, l'ont toujours empêchée de
développer son jeu rapide et technique, l'Espagne a dû attendre les tirs au but et deux arrêts décisifs de Casillas sur les 2e et 4e tentatives, celles de De Rossi et Di Natale. C'est ensuite Fabregas qui a transformé le tir au but victorieux.

Les hommes d'Aragones, qui avaient une nouvelle fois fait très forte impression au 1er tour (3 succès), parviennent ainsi à rejoindre enfin le dernier carré d'un Euro ou d'un Mondial pour la première fois depuis
l'Euro 84 (défaite en finale). Les Espagnols ont donc, comme attendu, tenu le ballon. Mais tout à la fois tendus par l'enjeu et perturbés par le mur adverse, cela s'est avéré inefficace.

L'Italie en contre
En première période, les rares occasions sont ainsi venues de frappes lointaines de Villa (25) ou Silva (32), stoppées sans mal par Buffon. L'Italie, privée des ouvertures de Pirlo, suspendu, au milieu, s'est
quant à elle appliquée - avec succès - à ne laisser aucun espace à
l'adversaire. Devant, elle s'en est remise à Perrotta (tête captée par
Casillas, 19) ou aux dribbles de Cassano pour tenter de marquer.

En seconde période, le jeu est reparti sur les mêmes bases, avec une
nette possession de balle pour les Espagnols. Cela n'a cependant pas
empêché les Italiens de se créer la meilleure occasion, une frappe de
Camoranesi, à la suite d'un dégagement des poings de Casillas sous la pression de Toni, sauvée du pied par le même Casillas (61).

La chance des bons gardiens pour Buffon ne dure qu'un temps
Pour la réplique, les Espagnols ont attendu les 80e et 81e minutes, avec deux frappes de Senna, la première, sur coup franc, écartée des poings par Buffon, tandis que la seconde fut repoussée par le gardien italien avec la complicité du poteau.

En prolongation, une frappe puissante de Silva, le meilleur espagnol
sur la pelouse avec l'impeccable Casillas, est d'abord passée à droite du poteau (93) avant que Di Natale, d'une superbe tête, ne contraigne le portier du Real Madrid à détourner du bout des mains (95). Le match est tendu, l'enjeu est dans toutes les têtes et prévient l'ouverture du score.

Les Espagnols l'emportent ensuite aux tirs au but et rejoignent les Russes en demi-finale. Le mérite est évident, et la demi-finale contre les Russes promet d'être à la hauteur du talent, de la vivacité et de la rage de vaincre dont les deux formations ont fait preuve jusqu'à présent.

L'homme du match
Les lecteurs de 7sur7 ont choisi David Villa comme homme du match. La rédaction a choisi Casillas, héros des tirs au but avec deux arrêts décisifs.

Norton
23/06/2008, 07h44
:content:
Sauser sacré champion de mountainbike

Le Suisse a réalisé un superbe triplé dimanche lors de l'épreuve de cross country des Championnats du monde de VTT à Val di Sole (Italie), Christoph Sauser s'imposant devant ses compatriotes Florian Vogel (2e) et Ralph Naef (3e).

Roel Paulissen s'est montré le meilleur Belge en terminant en 7e position, Filip Meirhaeghe finissant 42e. Sven Nys, dans un jour sans après avoir connu des problèmes de dos la semaine précédant la course, a abandonné.

Sauser, qui menait déjà au classement général provisoire de la Coupe du monde avant l'épreuve de Val di Sole, a parcouru les 40,66 km en 1h58min26sec, avec une vitesse moyenne de 20,60 km/h. Le Français Julien Absalon, détenteur du titre mondial depuis 2004 et qui faisait figure d'homme à battre dans ces Mondiaux, a lui aussi abandonné.

Plus tôt dans la journée, chez les dames, l'Espagnole Margarita Fullana a remporté pour la troisième fois l'épreuve de cross country en précédant l'Allemande Sabine Spitz, championne du monde et championne européenne en titre, et la Russe Irina Kalentieva (3e), championne du monde 2006. L'Espagnole a parcouru les 29,14 km en 1h39:01, avec une vitesse moyenne de 17,66 km/h.

Résultats
Messieurs
1. Christoph Sauser (Sui), les 40,66 km en 1h58:26 (moy.: 20,60 km/h)
2. Florian Vogel (Sui) 2:54
3. Ralph Naef (Sui) 4:19
4. Liam Lileen (GBr) 4:42
5. Fredrik Kessiakoff (Suè) 4:47
6. Christoph Soukup (Aut) 5:07
7. Roel Paulissen (BEL) 5:39
8. Inaki Lejarreta Errasti (Esp) 6:04
9. Moritz Milatz (All) 6:51
10. Oliver Beckingsale (G-B) 6:57
...
42. Filip Meirhaeghe (BEL) 15:48

Abandons: e.a.: Julien Absalon (Fra), José Antonio Hermida Ramos (Esp), Sven Nys (BEL)

Dames
1. Margarita Fullana (Esp) les 29,14 km en 1h39:01 (moy.: 17,66 km/h)
2. Sabine Spitz (All) à 1:43
3. Irina Kalentieva (Rus) 2:20
4. Marie-Hélène Prémont (Can) 2:51
5. Maja Wloszczowska (Pol) 3:45
6. Catherine Pendrel (Can) 4:51
7. Gunn-Rita Dahle Flesjaa (Nor) 5:16
8. Elisabeth Osl (Aut) 5:29
9. Georgia Gould (USA) 6:18
10. Blaza Klemencic (Sln) 6:37

Norton
24/06/2008, 06h29
De Bleeckere arbitrera Russie-Espagne

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/14/5/11/large_428711.jpg Notre compatriote Frank De Bleeckere a été désigné pour arbitrer jeudi la seconde demi-finale de l'Euro 2008 de football, lundi par l'UEFA. Il officiera le jeudi 26 juin à Vienne à l'occasion de Russie - Espagne. Le Suisse Massimo Busacca dirigera la première demi-finale, Allemagne - Turquie, ce mercredi 25 juin à Bâle.

La finale pour Rosetti
L'Italien Roberto Rosetti a lui été désigné pour arbitrer la finale de l'Euro 2008, le dimanche 29 juin à Vienne. Les trois rencontres se joueront à 20h45.

Arbitre international depuis 2002, M. Rosetti, 40 ans, avait déjà dirigé le match d'ouverture de ce championnat d'Europe des nations, Suisse - République Tchèque, le 7 juin.

Frank De Bleeckere (41 ans) et ses assistants Peter Hermans et Alex Verstraeten dirigeeront leur 3e rencontre dans cet Euro après les rencontres de poules Croatie-Allemagne (2-1) le 12 juin et Russie-Suède (2-0) le 18 juin.

"Je suis très très très heureux", a déclaré Frank De Bleeckere à
l'agence Belga. "Il restait huit candidats pour trois places. Je suis
vraiment très heureux et très fier pour notre équipe. C'est magnifique
pour l'arbitrage belge".

L'arbitre d'Audenaerde, qui avait dirigé quatre rencontres du Mondial
2006 -dont un quart de finale-, n'est pas déçu de ne pas avoir été désigné pour la finale.

"Pourquoi serais-je déçu? J'aurai arbitré trois matches, deux en phases de poules, qui se sont déroulés sans problèmes, et maintenant une demi-finale, qui est parfois plus difficile à diriger qu'une finale. C'est le plus grand moment de ma carrière avec le quart de finale du Mondial 2006. Je pourrai terminer ma saison sur une demi-finale de l'Euro. C'est magnifique", a poursuivi Frank De Bleeckere, qui passera rapidement des fastes de l'Euro à la préparation du championnat de Belgique.

Il arbitrera en effet le match amical Knokke-Anderlecht le 5 juillet (18h00), qui sera son tout dernier devoir avant les vacances.

Norton
24/06/2008, 06h33
DEMI-FINALE
La marche allemande de l'Empereur


http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/allemagne___article.jpg (http://www.lematin.ch/multimedia/images/img_traitees/2008/06/allemagne___zoom.jpg) Image © Keystone

Le gourou Terim a su, une nouvelle fois, trouver les mots justes. Et il est redevenu fréquentable.En demi-finale contre la Mannschaft, Fatih Terim «le conquérant» rêve d'étendre son empire. Après le pugilat d'Istanbul en novembre 2005 contre la Suisse, le sélectionneur du Bosphore s'est racheté une conduite. Perçu parfois comme un gourou, l'agitateur du banc n'a peut-être pas fini de faire parler de lui. En bien désormais

Nicolas Jacquier - le 23 juin 2008,
Le Matin



16 novembre 2005, Istanbul. Fatih Terim planifie les événements de ce qui restera comme le match de la honte. La Suisse plonge dans l'enfer du stade Sukru Saraçoglu, que ses joueurs quittent battus mais qualifiés. Les images de la fuite des Helvètes font le tour du monde. La planète entière montre du doigt Fatih Terim, accusé d'être l'instigateur des violences. Le lendemain du scandale, Sepp Blatter, président de la FIFA, promet lui-même des sanctions exemplaires.
7 février 2006, Zurich. Au siège de l'organisation, la Commission de discipline rend son verdict. Après trois mois d'enquête et d'auditions, les sanctions tombent, frappant (!) aussi des Suisses (Huggel écope d'une lourde suspension). Mise au ban de la communauté sportive, la Turquie est condamnée à disputer six matches officiels à domicile à huis clos dans un pays étranger, à... 500 km des frontières turques! Passant entre les mailles du filet, Fatih Terim s'en sort sans la moindre suspension, la FIFA ne s'en étant tenue qu'aux faits.
2 décembre 2007, Lucerne. A l'occasion du tirage au sort des groupes, la main innocente du Grec Zagorakis attribue la Turquie au groupe de la Suisse. Les retrouvailles s'annoncent explosives. Jouant les médiateurs, Fatih Terim désamorce diplomatiquement la bombe. «Nous viendrons en Suisse pour faire honneur au fair-play turc», promet-il en tombant dans les bras de Köbi Kuhn. Dans son for intérieur, l'homme bouillonne déjà. En Turquie, l'«Empereur», baptisé ainsi par ses fans après la victoire de Galatasaray (qu'il entraînait alors) contre Arsenal en finale de la Coupe de l'UEFA en l'an 2000, n'est qu'un «mégalomaniaque raté» pour ses détracteurs, qui ne cessent de fustiger ses emportements.
11 juin 2008, Bâle. Grâce à un coaching gagnant, le... bouillonnant Fatih Terim élimine la Suisse et, 938 jours après le match du scandale, savoure sa revanche. Quatre jours plus tard, l'homme réitère le même coup de poker contre les Tchèques. La presse du Bosphore ne trouve pas de superlatifs assez forts pour porter aux nues celui qu'elle vouait aux gémonies une semaine plus tôt!
17 juin, Zurich. Fatih Terim reçoit une reconnaissance - et une absolution internationale - inattendue. Dans son bureau présidentiel, au siège de la FIFA, Sepp Blatter confie au «Matin» combien le sélectionneur turc l'impressionne: «Je l'admire pour sa capacité d'aller chercher la victoire, au moment où la majorité de ses collègues, à sa place, se contenteraient d'attendre les prolongations.» Terim peut boire du petit-lait.
20 juin, Vienne. Avec une mentalité toute germanique, la Turquie remet ça. Nouveau «miracle», contre les Croates cette fois-ci. Le gourou Terim, une nouvelle fois, a su trouver les mots justes. Sa recette? «Il faut respecter ses consignes, répond Hamit Altintop. Il nous avait dit de ne pas avoir peur, d'y croire jusqu'au bout.» Exactement ce qu'un Allemand a l'habitude de faire...
25 juin, Bâle. Face à l'Allemagne, terre d'exil de 2,4 millions d'immigrés turcs, l'Empereur rêve d'étendre demain son empire. Les blessures en cascade? Les suspendus? Tout cela ne fait que renforcer l'unité du groupe. Seul défenseur central encore valide, Gökhan Zan résume ainsi la foi turque: «Ce n'est pas un problème si nous jouons la finale avec seulement onze joueurs!» Et si, quatre ans après la victoire surprise de la Grèce, la Turquie s'inventait un destin grec? Fatih (le «conquérant» en turc) n'a peut-être pas fini de faire parler de lui. En bien désormais.
Les Turcs toujours à Vienne
Avec la Turquie, ça déménage pas mal. En l'espace d'une semaine, la délégation du Bosphore a déjà changé trois fois d'hôtel. Après avoir logiquement quitté le 16 juin la Réserve, son camp de base 5 étoiles aux portes de Genève, la Turquie avait été s'installer à l'hôtel Steigenberger Avance, à Krems, une petite ville de 30?000 habitants située à 80 km à l'ouest de Vienne. Mais, déçus des conditions d'hébergement rencontrées là-bas, Terim allait abréger le séjour. Dès lors, que faire? Retourner en Suisse? On évoqua furtivement un possible «transfert» à... Neuchâtel, au Beau-Rivage, le palace libéré la veille par le Portugal - hypothèse vite écartée au profit d'une solution viennoise. Finalement, la Turquie a posé ses valises pour 72 heures à l'hôtel Hilton de la capitale autrichienne. Ce matin, un vol spécial amènera le demi-finaliste à Bâle, au bord du Rhin. Avec le secret espoir, pour la Turquie, de retourner dès jeudi au bord du Danube...

:diable:Ben à mon avis l'empereur va perdre sa couronne..............

Norton
26/06/2008, 06h05
L'Allemagne se qualifie en finale dans la douleur

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La Mannschaft a vaincu mais n'a pas convaincu.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/15/11/art_large_431186.jpg Lahm, pas vraiment dans le coup dans ce match, a fait la différence dans les arrêts de jeu.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/1/14/art_large_431189.jpg Fatih Terim peut être fier de la Turquie. Avec la Russie, c'est la grande révélation de l'Euro.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/15/11/7/art_large_431182.jpg Altintop et Schweinsteiger, les deux meilleurs joueurs de la soirée.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/5/1/art_large_431176.jpg Klose a profité d'une "boulette" de Rustu pour marquer le second but de la Mannschaft.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/16/10/art_large_431170.jpg Boral avait ouvert la marque pour la Turquie.

"Le football est un sport simple: 22 acteurs courent après un balle durant 90 minutes et à la fin, les Allemands gagnent toujours." Cette phrase, lâchée il y a une bonne vingtaine d'années ans par Gary Lineker, s'est une nouvelle fois avérée juste ce mercredi soir.

Les Allemands, dans la douleur, ont décroché dans la douleur leur billet pour la finale face à une équipe turque impétueuse qui aura joué le coup à fond. Qui sera l'adversaire de la Mannschaft en finale? Ce sera soit la Russie, soit l'Espagne qui s'affrontent ce jeudi soir.

La Turquie sans complexe
Le costume de favori ne va pas bien aux joueurs de la Mannschaft. Décimée par plusieurs absences (Nihat, Emre, Tuncay et bien d'autres encore...), la Turquie laissa ses complexes aux vestiaires. Avec un jeu basé sur la vivacité et l'agressivité (dans le bon sens du terme), les hommes de Fatih Terim décidèrent de prendre les Allemands à la gorge. Une tactique payante. Après un essai sur la latte de Kazim Kazim, Boral permit aux Turcs de prendre l'avance au marquoir. Plus prompt que Friederick, il profita d'un "rebond" après une déviation de Senturk sur le montant.

Six minutes. C'est le temps qu'il aura fallu à l'Allemagne pour recoller au score. Sans être convaincants, les Allemands firent parler leur réalisme. Un centre millimétré de Podolski trouva Schweinsteiger. Un but qui ressembla étrangement au premier but inscrit par la Mannschaft contre le Portugal. Tout était à refaire.

Si les 45 premières minutes furent relativement bonnes, les 22 acteurs baissèrent nettement d'intensité dans cette deuxième mi-temps. Imprécis et mauvais dans le dernier geste, Turcs et Allemands jouèrent la montre jusqu'à un quart d'heure du coup de sifflet final.

La "boulette" de Rustu
Il fallut finalement attendre une grossière erreur de Rustu pour décoincer cette rencontre. Le gardien de la Turquie, déjà présent lors de la fameuse épopée en 2002, se troua littérallement lors d'une sortie aérienne. Klose, en bon renard des surfaces, devança la sortie de Rustu de la tête (79e).

Et comme la Turquie a pris la bonne habitude de ne jamais lâcher l'affaire dans cet Euro, elle retrouva les ressources mentales, mais aussi physiques, pour faire douter l'Allemagne. Sabri roula dans la farine Lahm pour adresser un centre à Senturk. Ce dernier dévia juste le ballon entre les jambes de Lehmann (2-2 à la 86e).

Lahm dans les arrêts de jeu
Alors que tout le monde pensa que cette rencontre se jouerait dans les prolongations, une ultime offensive allemande décida du sort de la partie. Lahm, sur son flanc gauche, profita d'une blessure de Kazim Kazim, pour se présenter devant Rustu après un relais avec Ballack. Tel un vrai attaquant, le back gauche de poche du Bayern de Munich fit preuve de beaucoup de lucidité pour tromper Rustu. Les deux équipes venaient à peine de rentrer dans les arrêts de jeu.

L'Allemagne est donc la première équipe qualifiée pour la finale de l'Euro. Elle devra néanmoins montrer un autre visage dimanche prochain si elle ne veut pas connaître une mauvaise surprise. Quant à la Turquie, malgré cette défaite, elle pourra toujours se targuer d'avoir été la révélation de cette compétition aux côtés de la Russie.

Sondage: Kazim Kazim le meilleur
Les lecteurs de 7sur7 ont désigné Kazim Kazim de justesse (devant Schweinsteiger) comme le meilleur joueur de la rencontre entre l'Allemagne et la Turquie.:content:

Norton
30/06/2008, 05h58
L'Espagne règne sur l'Europe!

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/18/10/14/art_large_434054.jpg El Nino (Torres) a parfaitement profité de la petite mésentente entre Lahm et Lehmann. Sa pichenette est parfaitement dosée et crucifie le gardien allemand.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/9/13/art_large_434053.jpg Casillas exulte! L'Espagne n'avait plus gagné l'Euro depuis 1964.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/16/8/12/art_large_434052.jpg Ballack, à cours de rythme, s'est très vite éteint. Après avoir perdu la finale de la Ligue des Champions avec Chelsea, il connaît une nouvelle désillusion.
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/9/1/5/art_large_434045.jpg Iniesta félicite Torres après son but splendide!
http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/8/0/4/art_large_434044.jpg Torres avait failli donner l'avance aux Espagnols à la 20e minute de jeu. Le montant repoussait sa reprise.

Alors que l'Euro se refusait à l'Espagne depuis 1964, la Roja a vaincu le signe indien. Torres a offert le sacre à son équipe d'une pichenette somptueuse à la demi-heure de jeu à la suite d'une mésentente dans la défense germanique (1-0). La technicité et créativité espagnoles l'ont emporté face à la rigueur et le physique allemands. La Mannschaft n'a jamais eu voix au chapitre et a été submergée du début jusqu'à la fin par la vivacité des petits formats ibériques. Invaincue dans cette compétition, la Roja a offert une véritable démonstration de collectivité et mérite amplement son sacre. Par ailleurs, elle s'est débarassée de son étiquette d'équipe incapable-de-gagner-une-grande-compétition.

L'Espagne, en quête du trophée Henri Delaunay depuis 44 ans, avait connu plusieurs désillusions dans les grandes compétitions. Malgré l'histoire qui ne plaidait guère en sa faveur, la Seleccion partait légèrement favorite. L'Allemagne, quant à elle, présentait de plus belles statistiques. La Mannschaft jouait sa 6ème finale européenne à Vienne. Trois fois déjà, elle avait été sacrée championne d'Europe.

Après des débuts hésitants, la Roja monte en puissance et affirme sa supériorité dans le milieu de terrain. Lahm est éclipsé par le repositionnement de Silva. La bataille de l'entrejeu tourne à l'avantage des Ibériques qui allient technicité et précision à merveille.
Première alerte pour les Allemands à la 20e: Ramos centre sur la tête de Torres. La reprise du Kid atterrit sur le poteau. L'Allemagne a eu très chaud. L'Espagne est finalement récompensée peu après la demi-heure de jeu: Torres profite d'une mésentente entre Lahm et Lehmann. El Nino lobe magnifiquement Lehmann, démontre toute sa classe et prouve encore une fois qu'il est le meilleur attaquant évoluant en Europe (1-0).

La deuxième mi-temps est conforme à l'analyse de la première période. L'Espagne, s'appuyant sur une circulation de balle irréprochable, ballade les hommes de Joachim Löw qui, privés de ballon, s'épuisent petit à petit. L'Espagne est souveraine d'un point de vue technique, mais aussi physique. Et fait joujou avec la défense allemande complètement asphyxiée... Les ouailles d'Aragones tentent de mettre la Mannschaft KO, mais pèchent à la conclusion. Ramos et Senna sont à deux doigts de mettre l'Espagne définitivement à l'abri.

Ballack, exténué, est éclipsé par la vivacité de Xavi et Iniesta ainsi que le volume de jeu de Senna, qui réalise une prestation remarquable. Löw joue son va-tout en introduisant Gomez et Kuranyi. Mais l'axe central Puyol-Marchena tient bon et repousse les derniers assauts germaniques. Rosetti met à un terme à la rencontre. L'Espagne est sacrée championne d'Europe! Un sacre on ne peut plus mérité compte tenu du football offensif dont nous a gratifiés la Roja tout au long de la compétition. L'Allemagne, qui n'avait pas encore vraiment convaincu dans cet Euro, aura manqué de fraîcheur physique, mais aussi d'habileté technique pour rivaliser avec cette équipe d'Espagne.

Michaël Bouche


Sondage (homme du match)
Vous avez plébiscité logiquement Fernando Torres comme homme du match (66%). Notre choix se porte aussi sur El Nino qui a, derechef, démontré sa classe, sa lucidité devant le but, et sa capacité à être décisif dans les moments-clé.:content::content::content:

Norton
30/06/2008, 18h50
Federer et Nadal qualifiés pour les quarts de finale

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/1/8/2/art_large_434987.jpg Le Suisse Roger Federer, quintuple tenant du titre, a écarté sans souci en 8e de finale de Wimbledon un ancien vainqueur du tournoi, l'Australien Lleyton Hewitt, sans se montrer forcément éblouissant mais en gagnant tous les points importants (7-6, 6-2, 6-4). Quant à l'Espagnol Rafael Nadal, 2ème joueur mondial et tête de série N.2, il s'est également qualifié pour les quarts de finale en battant le Russe Mikhaïl Youzhny (ATP 17/N.17) en trois sets 6-3, 6-3, 6-1. En quarts, il rencontrera le Français Richard Gasquet (ATP 10/N.8) ou le Britannique Andy Murray (ATP 11/N.12).

"Sur les gros points, il a beaucoup mieux joué que moi", a reconnu Hewitt qui était le seul autre joueur ayant remporté Wimbledon en lice cette année. L'Australien a encaissé sa douzième défaite de rang contre le Suisse, qu'il n'a plus battu depuis près de cinq ans, quand Federer n'était pas encore le roi incontesté du tennis mondial.

Premier set crucial
Aucun des deux joueurs ne s'est procuré de balles de break dans la première manche et les approximations inhabituelles de Federer, qui commettait quatre fautes directes dans le tie-break, ont pu un instant laisser croire que Hewitt allait l'ébranler. Mais après avoir manqué trois balles de set, Federer concluait sur un ace (9/7).

21 aces
Dans les deux manches suivantes, il commettait des erreurs dans le jeu. Il laissait Hewitt se procurer huit balles de break, toutes annulées, notamment grâce à une première balle particulièrement performante dans les moments cruciaux (21 aces). "J'ai bien servi et ça a été primordial", a-t-il reconnu après la rencontre. "J'ai eu quelques balles de break dans les 2e et 3e sets sur lesquelles il n'a fait aucune erreur", a expliqué Hewitt. "Chaque petite chance qu'il m'a donnée, il ne me l'a pas laissée longtemps."

Federer, qui n'a toujours pas perdu un set dans le tournoi (et deux fois sa mise en jeu en quatre matches) affrontera en favori le Croate Mario Ancic, vainqueur de Verdasco 13-11 dans la manche décisive.

Norton
30/06/2008, 18h52
La Nationalmannschaft acclamée à Berlin

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L'Allemagne, qui a perdu en finale de l'Euro-2008 contre l'Espagne, va se qualifier pour le Mondial-2010 et prendre sa revanche sur la "Roja", a assuré lundi à Berlin le sélectionneur de l'équipe d'Allemagne, Joachim Löw.

"Nous allons réussir les qualifications et si nous affrontons l'Espagne dans ce tournoi, nous les battrons", a lancé M. Löw à des dizaines de milliers de supporteurs venus rendre hommage à l'équipe allemande à la Porte de Brandebourg, en plein coeur de la capitale. "Hier nous étions terriblement déçus et tristes mais je crois que nous avons beaucoup accompli en arrivant deuxième", a affirmé le sélectionneur tout en reconnaissant "la qualité" des joueurs espagnols. "La Mannschaft a fait de belles prestations ces deux dernières années et nous pouvons tous être fiers d'avoir été en finale", a-t-il dit devant une foule qui semblait avoir, comme lui, oublié la frustration d'avoir perdu en finale.

L'équipe d'Allemagne, vice-championne d'Europe, est arrivée lundi à Berlin, où des milliers de supporteurs attendaient de lui rendre hommage à la Porte de Brandebourg, malgré sa défaite dimanche à Vienne en finale de l'Euro-2008 face à l'Espagne (1-0). L'avion de la Nationalmannschaft a atterri à 13H50 locales (11H50 GMT) à l'aéroport de Tegel. A leur descente d'avion, les joueurs sont partis directement rejoindre la "Fanmeile", principal lieu de rassemblement public des supporteurs, situé près de la Porte de Brandebourg. "Aucune rencontre" n'est prévue entre les joueurs et la chancelière allemande Angela Merkel, qui avait assisté à la finale dans la capitale autrichienne mais ne sera pas présente à Berlin ce lundi, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Ulrich Wilhelm.

"L'équipe a bien lutté, mais cela n'a pas suffi" pour devenir championne d'Europe. Elle a "des possibilités de s'améliorer" et "nous avons bon espoir pour le Mondial-2010" en Afrique du Sud, a-t-il observé. Dimanche, 600.000 supporteurs s'étaient massés au pied de la Porte de Brandebourg, au coeur de la capitale allemande, pour soutenir la Nationalmannschaft. La police berlinoise, qui avait déployé plus de 1600 agents pour l'occasion et procédé à 65 interpellations, a salué lundi le comportement pacifique des supporteurs. Après la fin du match, la plupart des supporteurs allemands étaient rentrés se coucher.

Seuls 4000 d'entre eux environ avaient eu encore le coeur à la fête pour célébrer la performance allemande sur le Kurfürstendamm, la plus longue artère commerçante de la ville. En revanche, en Saxe-Anhalt (est de l'Allemagne), 25 policiers ont été blessés et 60 personnes placées en garde à vue pour avoir agressé les forces de l'ordre à l'issue de la finale, sur fond de frustration et de violence, selon la police locale.

Norton
02/07/2008, 06h48
52% des Français souhaitent le départ de Domenech

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/17/7/11/art_large_435326.jpg Selon le sondage IFOP, seulement 41% des personnes interrogées souhaitent que Domenech reste à son poste et 8% ne se sont pas prononcées.

Plus d'un Français sur deux, soit 52%, ne souhaitent pas que Raymond Domenech reste l'entraîneur de l'équipe de France de football, selon un sondage IFOP pour le compte de l'Equipe publié dans son édition de mardi. Le quotidien sportif rappelle qu'un sondage publié la semaine dernière par le journal Aujourd'hui/Le Parisien en France ne faisait état que de 42% de Français hostiles à l'actuel manager des Bleus et demandant son départ.

Selon le sondage IFOP, seulement 41% des personnes interrogées souhaitent que Domenech reste à son poste et 8% ne se sont pas prononcées. Interrogées sur les personnalités qu'ils aimeraient voir occuper le poste de sélectionneur français, 43% se sont prononcées pour l'ancien capitaine de l'équipe de France, Didier Deschamps. 17% ont opté pour l'actuel entraîneur d'Arsenal, le Français Arsène Wenger, à égalité avec le coach de Bordeaux (1re division) Laurent Blanc (17%), devant l'ancien international français, Jean Tigana (10%), l'ancien entraîneur de l'équipe de France Gérard Houiller et le nouvel entraîneur de Lyon (1re division), Claude Puel.

Dans ce contexte, 75% des personnes interrogées ont trouvé "légitime" et 22% "inappropriée" que d'anciens joueurs de l'équipe de France, vainqueurs de la Coupe du monde 1998, soutiennent publiquement la candidature de Didier Deschamps.

Norton
02/07/2008, 06h49
Serena Williams en demi contre Zheng Jie

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/11/7/3/large_436023.jpg L'Américaine Serena Williams, 6ème joueuse mondiale et tête de série N.6, s'est qualifiée mardi pour les demi-finales de Wimbledon en battant la Polonaise Agnieszka Radwanska (WTA 11/N.14) en deux sets 6-4, 6-0.


En demi-finales, la cadette des soeurs Williams rencontrera la surprenante Chinoise Zheng Jie (WTA 133), qui s'est imposée en trois sets - 6-2, 5-7 et 6-1 - face à la Tchèque Nicole Vaidisova (WTA 22/N.18).

Norton
03/07/2008, 19h02
7e finale à Wimbledon pour Venus Williams

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Venus Williams.


http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/0/16/12/art_large_437817.jpg Elena Dementieva.

L'Américaine Venus Williams, tenante du titre, 7e joueuse mondiale et 7e tête de série, s'est qualifiée jeudi pour la finale du simple dames des Internationaux de Grande-Bretagne de tennis sur le gazon de Wimbledon.

Elle a battu en demi-finale la Russe Elena Dementieva (WTA 5/N.5) en deux sets 6-1, 7-6 (7/3), en 1h42. Venus Williams visera un 5e titre à Wimbledon samedi.

Elle rencontrera en finale la gagnante de la 2e demi-finale qui oppose
sa soeur cadette Serena Williams (WTA 6/N.6) à la Chinoise Zheng Jie (WTA 133).:content:

Norton
03/07/2008, 19h04
Raymond Domenech reste à la tête des Bleus

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/3/12/12/art_large_437592.jpg Le sélectionneur Raymond Domenech a été maintenu jeudi à la tête de l'équipe de France de football à l'issue du conseil fédéral de la Fédération française, malgré l'élimination des Bleus au premier tour de l'Euro 2008.

Le Conseil fédéral a cependant décidé de "redéfinir les modalités" de
l'exercice de sa mission, sans donner immédiatement de détails.

"Le Conseil fédéral a maintenu le sélectionneur dans ses fonctions
pour préparer le Mondial 2010, en redéfinissant les modalités de
l'exercice de sa mission et les modalités de gestion de la sélection
nationale", a déclaré le président de la Fédération française de football (FFF) Jean-Pierre Escalettes à l'issue de ce conseil fédéral qui s'est tenu à Paris au siège de la FFF.

Cette décision, a précisé M. Escalettes, a été votée par 18 voix pour
et une abstention. Raymond Domenech, dont le bilan désastreux à l'Euro 2008 (2 défaites, 1 nul, 6 buts encaissés, 1 but marqué) et la communication parfois dérangeante avaient fait grincer des dents au sein même de la fédération française, se voit donc chargé de qualifier la France pour le prochain Mondial, en 2010 en Afrique du Sud.

Raymond Domenech avait été nommé sélectionneur de l'équipe de France à l'été 2004 en remplacement de Jacques Santini. Depuis son arrivée à la tête des Bleus, il avait atteint la finale de la Coupe du monde 2006. Sous sa houlette (54 matches), les Bleus ont remporté 30 victoires, obtenu 17 nuls et enregistré 7 défaites.

Norton
03/07/2008, 19h09
;)
Les déclarations de Federer et de Safin

Roger Federer (Sui, vainqueur du Croate Mario Ancic): "Le tournoi est
parfait jusqu'à maintenant, je n'ai pas brûlé trop d'énergie. Je ne me
suis pas mis en situation difficile. Je sers bien et je bouge très bien.
Tout est en place. J'ai fait un match parfait aujourd'hui, je ne pouvais
pas demander plus. C'était un joueur difficile à battre sur gazon. J'ai
servi comme il fallait. J'ai toujours été en contrôle. Je n'ai jamais été
sous pression. (la série de 17 demi-finales de Grand Chelem de suite).
C'est fantastique. Le précédent record était beaucoup plus bas. Ca
représente beaucoup pour moi.

(Safin) Sur un jour, tout le monde peut faire un grand match, surtout ceux qui ont été N.1 mondial. Je n'ai jamais considéré Safin comme le N.80 ou 90 mondial. Ce qui est plus étonnant c'est de le voir aussi loin sur gazon, une surface sur laquelle il n'aimait pas jouer. On n'est jamais content de le voir dans son tableau."

Marat Safin (Rus/Qualifié pour les demi-finales de Wimbledon): "Lopez est un joueur très compliqué, qui slice beaucoup, varie son jeu, a de l'expérience, est malin. Il ne vous laisse pas beaucoup d'occasions d'attaquer. Son jeu ne me convient pas et j'étais très nerveux au premier set. Cela m'a pris un set et demi pour m'habituer. Je suis surpris d'être toujours là comme je suis surpris d'avoir encore gagné deux Grands Chelems dans ma carrière.

Si vous remontez en 1995, ce n'était pas brillant (...). Pour moi, c'est presque un soulagement. Cela me prouve que je peux jouer sur cette surface. Ce n'est pas le même sentiment que votre première demi-finale à 20 ans. C'est agréable, mais c'est différent. Maintenant mon
but, c'est de revenir dans le Top 20. Il reste du travail. A un moment, je suis tombé à la 95e place mondiale, j'ai dû jouer les qualifications à
Hambourg. J'ai alors touché le fond. Mais j'y suis allé, je me suis
qualifié. (Contre Federer:) C'est une autre chance. Mais je pense que ce sera trop difficile pour moi.;)

Norton
03/07/2008, 19h28
:content::content::content::amoureux:Wimbledon: une finale entre soeurs Williams
jeu. juil. 3, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-07-03T145057Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-WIMBLEDON-FEMMES-20080703.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-07-03T145057Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-WIMBLEDON-FEMMES-20080703.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
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http://today.reuters.com/images/bullet.gif

LONDRES (Reuters) - Comme en 2002 et comme en 2003, les soeurs Williams, Venus et Serena, se sont qualifiées pour la finale dames de Wimbledon.
Serena qui avaient remporté ces années-là ses deux victoires dans le tournoi sur gazon du Grand Chelem, a battu en demi-finale la Chinoise Zheng Jie 6-2 7-6 dans un match interrompu à deux reprises par la pluie.
Venus, vainqueur du tournoi à quatre reprises en 2000, 2001, 2005 et 2007, a fait jouer sa puissance pour écarter la Russe Elena Dementieva sur un score presque identique 6-1 7-6.
L'aînée des deux soeurs a assis sa victoire sur un barrage de services gagnants et de coups de fond du court destructeurs.
Après un premier set concédé en 38 minutes, Dementieva a fait meilleure figure dans la deuxième manche où elle a même réussi à prendre le service de Venus Williams et l'a parfois déstabilisée par des passing-shots précis.
Lorsqu'est venu le moment du tie-break, la Russe a perdu pied sur une série de fautes directes. Venus Williams a scellé le match par sept points à trois sur un coup droit décisif.
Serena, la cadette, a dévoré le premier set de son match contre Zheng Jie en 28 minutes après avoir pris le service de la Chinoise dès le premier jeu et malgré une interruption de 37 minutes provoquée par une première averse à 5-2.
La joueuse chinoise de 24 ans a considérablement amélioré son jeu dans la deuxième manche. Les deux jeunes femmes en étaient à 5-5 40-30 pour Zheng Jie lorsque la pluie a une nouvelle fois suspendu leur duel.
A la reprise, une heure et 22 minutes plus tard, un tie-break a mis fin au suspense.
A cinq points partout, Serena Williams s'est ménagé une balle de set et de match grâce à un ace et Zheng lui a offert la victoire par une double faute.
Pritha Sarkar, version française Jean-Paul Couret

Norton
04/07/2008, 06h00
Coulthard annonce sa retraite en F1 en fin de saison

http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/12/11/9/large_437829.jpg Le Britannique David Coulthard (Red Bull) a annoncé qu'il arrêterait sa carrière en Formule 1 à la fin de la saison, jeudi en marge du Grand Prix de Grande-Bretagne qui se disputera dimanche.

"Je voudrais annoncer ma décision de me retirer de la Formule 1 en fin
de saison, a indiqué l'Ecossais âgé de 37 ans. Je resterai activement
impliqué en tant que consultant pour Red Bull. Je me concentrerai sur le développement de la voiture et les essais. Je reste également ouvert à l'idée de courir à nouveau dans d'autres disciplines à l'avenir, donc je ne raccroche pas définitivement mon casque !"

"J'ai pris cette décision plus tôt dans l'année, je voulais arrêter à
un moment où je suis encore compétitif, a-t-il ajouté. Le fait d'annoncer cela lors du Grand Prix de Grande-Bretagne est facile à comprendre: j'ai remporté deux de mes 13 victoires à Silverstone et je suis membre du British Racing Drivers' Club, qui organise la course."

Coulthard a débuté sa carrière en Formule 1 en 1994, quand il a pris
le baquet d'Ayrton Senna après la mort du Brésilien. Il a couru pour
Williams, McLaren et Red Bull et remporté 13 Grands Prix.

Il est le deuxième plus expérimenté des pilotes en activité derrière
Rubens Barrichello: il va disputer dimanche son 238e Grand Prix. Il avait aussi fini deuxième du Championnat du monde en 2001.

Cette année, après un début de saison compliqué marqué par plusieurs accidents, l'élégant Ecossais a signé un spectaculaire retour sur le devant de la scène en accrochant le podium au Grand Prix du Canada.

Norton
04/07/2008, 19h51
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Sixième finale d'affilée pour Roger Federer

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http://www.7sur7.be/static/FOTO/pe/2/7/5/art_large_438845.jpg Le Suisse Roger Federer s'est qualifié vendredi pour sa sixième finale de Wimbledon d'affilée en battant le Russe Marat Safin en trois sets 6-3, 7-6 (7/3), 6-4. Le quintuple tenant du titre rencontrera dimanche soit l'Espagnol Rafael Nadal, comme les deux années précédentes, soit l'Allemand Rainer Schuettler.

Le N.1 mondial a pris l'initiative du fond du court grâce à son coup droit (15 gagnants à 3) tout en commettant beaucoup moins de fautes directes (14 à 25). Jamais menacé, le Suisse n'a eu que deux balles de break à défendre dans tout le match. "J'ai contrôlé un joueur dangereux capable de battre n'importe qui. J'ai été solide, je ne lui ai pas donné beaucoup de chances. J'ai bien servi, je n'ai pas commis beaucoup d'erreurs. C'était un match parfait pour moi", a dit le Suisse, qui jouera sa 16e finale de tournois majeurs (12 gagnés).

Federer n'a pas perdu un seul set lors de ses six premiers matches. "Je n'ai pas eu trop de problèmes jusqu'à présent, ça a été un chemin parfait vers la finale. Je n'ai peut-être pas été poussé assez pour pouvoir dire que j'ai joué le meilleur tennis de ma carrière." S'il s'imposait dimanche, il se rapprocherait à un titre du record de victoires à Wimbledon (7 par Pete Sampras) et en Grand Chelem (14 par le même). Il serait le premier de l'ère Open à gagner six fois de suite, et le deuxième de toute l'histoire, 122 ans après le Britannique William Renshaw.

Safin, tombé à la 75e place mondiale, disputait sa première demi-finale à Wimbledon. Sa présence à ce niveau était une grosse surprise car le Russe n'avait plus obtenu de résultat en Grand Chelem depuis plus de trois ans et sa victoire à l'Open d'Australie en 2005. "Il faudrait que je joue ce genre de matches un peu plus souvent contre les meilleurs pour pouvoir les inquiéter. Ce n'est pas le même rythme", a dit le Moscovite.

Norton
04/07/2008, 19h57
:amoureux::content::content::content::content:Wimb ledon: troisième finale Roger Federer-Rafael Nadal
ven. juil. 4, 2008

http://today.reuters.com/news/images/clear.gif http://today.reuters.com/misc/genImage.aspx?uri=2008-07-04T180158Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRSP-TENNIS-WIMBLEDON-NADAL-20080704.jpg&resize=Other (http://javascript<b></b>:commonPopup('/news/newsPhotoPresentation.aspx?type=sportsNews&imageID=2008-07-04T180158Z_01_NOOTR_RTRIDSP_0_OFRSP-TENNIS-WIMBLEDON-NADAL-20080704.XML', 540, 525, 1))http://today.reuters.com/images/clear.gif
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:boutons:
par Eric Salliot
WIMBLEDON (Reuters) - La finale de Wimbledon opposera dimanche pour la troisième année consécutive Roger Federer à Rafael Nadal, les deux meilleurs joueurs du monde, qui se sont déjà affrontés il y a un mois, en finale de Roland-Garros.
Vendredi, dans des demi-finales assez déséquilibrées, le Suisse a éliminé le Russe Marat Safin, 75e mondial, en trois sets (6-3 7-6 6-4), alors que l'Espagnol a dominé l'Allemand Rainer Schuettler (n°94) 6-1 7-6 6-4.
Face à Marat Safin, qui n'avait pas humé l'odeur d'une demi-finale de Grand Chelem depuis 2005, Roger Federer a obtenu une victoire d'une clarté absolue.
"J'étais confiant avant et pendant ce match, a-t-il déclaré. Cela a été une victoire facile dans la mesure où j'ai su contrôler un joueur dangereux, capable de surprendre n'importe qui. Je l'ai breaké dès le premier jeu et lors du dernier jeu. Résumé comme ça, c'était un match parfait."
Le numéro un mondial s'apprête à disputer sa seizième finale de Grand Chelem, la sixième sur le gazon londonien. "Arriver en finale d'un Grand Chelem, c'est grand mais ici, c'est cent fois plus spécial. Maintenant, il ne manque plus qu'un match pour remporter le sixième titre", a poursuivi Federer.
"Ce sera une finale de rêve pour tout le monde. J'adore jouer contre lui. Il mérite sa place en finale. Moi, je sais ce qu'il faut faire pour battre Rafa sur les surfaces rapides. Je vois beaucoup de joueurs qui jouent faux contre lui.
65 VICTOIRES CONSÉCUTIVES
"Contre lui, il faut prendre les options qui se présentent, sinon c'est lui qui les prend. C'est ce qui augmente la pression pour les joueurs normaux."
Depuis le début de la quinzaine, Roger Federer n'a pas perdu le moindre set. Il a porté sa série de victoires consécutives sur gazon à soixante-cinq.
Dans la seconde demi-finale, Rafael Nadal a connu une unique frayeur face à Rainer Schuettler, 94e mondial. Inexistant dans le premier set, lâché en 23 minutes, l'Allemand s'est ressaisi, servant même pour le gain de la manche à 5-4. Mais, à partir de 15-0, perdant toute lucidité, il cédait sa mise en jeu et, quelques minutes plus tard, le tie-break sur le score de sept points à trois.
Dans la troisième manche, l'Espagnol trouvait le moyen de gâcher trois balles de match consécutives dans le huitième jeu, mais il concluait tranquillement au bout de 2h02 sur sa mise en jeu.
"Je n'ai pas sûrement pas joué le meilleur match, ici à Wimbledon, a dit Rafael Nadal. Quand on gagne un premier set aussi facilement, on est un peu étonne quand l'autre se met subitement à bien jouer.
"Ce n'est pas parce que j'ai remporté le tournoi du Queen's que je me sens plus en confiance. J'arrivais déjà en confiance. La finale va se jouer sur la forme du moment. L'an passé, j'ai été sur le point de le battre. Si dimanche j'ai une opportunité, j'espère la saisir."
Le jeune espagnol a conscience de l'enjeu de cette finale face à Roger Federer. "Si je gagne dimanche, ma carrière va changer un peu, a-t-il dit. Je sais que je devrai jouer mon meilleur tennis.
"Je sais qu'il joue bien mais, moi aussi je joue le meilleur tennis de ma carrière sur herbe, je l'ai prouvé en quart de finale."

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